Catégorie: La burqa
Fraude aux allocations ou prestations familiales : Lies Hebbadj innocenté
Fraude: Lies Hebbadj innocenté
AFP Publié le 17/02/2012 à 18:27
Le juge d'instruction de Nantes Jacky Coulon a prononcé un non-lieu dans le dossier de fraudes aux prestations sociales impliquant Lies Hebbadj, son épouse, et trois de ses compagnes, a-t-on appris aujourd'hui de source judiciaire. Le parquet a fait appel de cette décision. "L'examen du dossier n'a débouché sur aucune preuve sérieuse à charge par rapport à Lies Hebbadj. L'essentiel des charges qui pesaient sur lui se dégonflent. La montagne a accouché d'une souris", s'est félicitée son avocate Cécile de Oliveira.
« Hollande n'est pas républicain », selon Guaino
NDLR : Simple question d'interprétation.
"Hollande n'est pas républicain" (Guaino)
AFP Publié le 28/01/2012 à 08:13
Henri Guaino, conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, a affirmé hier à Tarbes au cours d'un meeting de l'UMP que François Hollande, candidat du PS à la présidentielle, n'était "pas un républicain" et faisait preuve de "complaisance vis-à-vis du communautarisme". "François Hollande est un démocrate mais pas un républicain", a affirmé Henri Guaino, devant environ 400 personnes.
François Hollande "n'a pas voté la loi contre l'interdiction du port de la burka, il ne s'est pas démarqué des pédagogistes de gauche qui ont détruit l'autorité du maître en mettant l'élève au centre de l'école plutôt que le savoir et ont donc détruit les fondaments de l'école républicaine", a-t-il affirmé.
"Complaisance vis-à-vis du communautarisme"
"Il a voté contre la suppression des IUFM qui est le symbole de ce pédagogisme, un héritage de mai 68. Il ne s'est pas démarqué des élus socialistes qui, dans leur commune, font des horaires de piscine pour les hommes ou les femmes, font des politiques communautaristes dans les cantines", a-t-il poursuivi.
Loi sur le voile : une forme d'islamophobie ?
NDLR : « La police et la gendarmerie sont là pour appliquer la loi et elles appliqueront la loi ». Quelle fumisterie, une approximation ou un mensonge de plus, mais sommes nous à celui-ci près ? Nicolas Sarkozy, précédement Ministre de l'Intérieur, ou Michèle Alliot-Marie, récemment « écartée », pourraient-ils reprendre et soutenir Guéant, qu'on en rigole un peu plus ? Allez, Sarkozy ou même l'Elysée, un petit effort...
Niqab: une amende aux Mureaux
Mots clés : NIQAB, VOILE INTEGRAL
AFP, 12/04/2011 | Mise à jour : 11:45
Une femme a été verbalisée hier après-midi aux Mureaux (Yvelines) pour avoir enfreint la loi interdisant le port du voile intégral, entrée en vigueur le même jour, selon une source policière. La jeune femme, née en 1983, dont la tenue vestimentaire n'a pas pu être précisée par la source policière, a été contrôlée "sans incident" dans un centre commercial vers 17h30. Les fonctionnaires ont infligé une amende de 150 euros à la jeune femme, a ajouté la même source.
Depuis lundi, le port du niqab ou de la burqa n'est plus autorisé dans la rue, les jardins publics, les gares, les commerces ou les mairies, en vertu de la loi du 11 octobre 2010 interdisant la dissimulation du visage. En France, il y aurait environ 2000 femmes intégralement voilées, selon diverses estimations.
Cette loi controversée est l'objet de vives critiques d'une partie de la communauté musulmane, de certaines personnalités politiques, ainsi que du Syndicat des commissaires de police, dont le secrétaire général adjoint, Manuel Roux, a estimé lundi qu'elle serait "infiniment difficile à appliquer" et "infiniment peu appliquée". Le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, a pour sa part prévenu que la loi "sera respectée", même si son application est difficile. "La police et la gendarmerie sont là pour appliquer la loi et elles appliqueront la loi", a-t-il déclaré lundi en marge d'un déplacement à Luxembourg.
À la une > France - Les brèves
FRANCE • Loi sur le voile : une forme d'islamophobie ?
12.04.2011 | Gulf News, sur Courrier International
"Le premier jour d'application de la loi bannissant le voile n'est pas passé inaperçu", note le quotidien de Dubaï, qui publie en une la photo de l'interpellation musclée à Paris d'une femme vêtue d'un niqab. Pour le journal, la décision de la France d'interdire le port du voile islamique intégral dans l'espace public remet en question les libertés que ce pays européen représente. "L'entrée en vigueur de cette loi au moment où le parti au pouvoir a lancé un débat sur la place de l'islam dans la société française rend cette interdiction d'autant plus problématique."
Amara : l'islam radical, un « cancer »
Amara : L'islam radical, un "cancer"
Religion | 15 Août 2009, Le JDD, extrait
Interdire la burqa en France permettrait de lutter contre "la gangrène, le cancer que représente l'islam radical qui déforme complètement le message de l'islam", a estimé Fadela Amara, dans une interview au Financial Times.
Fadela Amara enfonce le clou. Deux mois après un débat virulent sur le port du voile intégral en France, la secrétaire d'Etat à la Ville Fadela Amara a redit son opposition à la burqa. "La burqa ne représente pas simplement un morceau de tissu mais la manipulation politique d'une religion qui réduit les femmes à l'esclavage et va à l'encontre du principe d'égalité entre les hommes et les femmes", a déclaré samedi au quotidien britannique Financial Times l'ancienne présidente de Ni putes ni soumises, une association défendant le droit des femmes.
Fadela Amara estime même que la France, havre d'un islam progressiste, se doit de "combattre la gangrène, le cancer que représente l'islam radical qui déforme complètement le message de l'islam". "La vaste majorité des musulmans sont contre la burqa", ajoute-t-elle, car "ceux qui ont participé à la lutte pour les droits de la femme chez eux, je pense en particulier à l'Algérie, savent ce que ça représente et quel projet d'obscurantisme politique ça dissimule, visant à étouffer les libertés les plus fondamentales", poursuit la secrétaire d'Etat, elle-même d'origine algérienne.
«L'Iran veut se débarrasser de ce dossier brûlant»
Propos recueillis par Laure Daussy (lefigaro.fr)
17/08/2009 | Mise à jour : 12:17
Reiss : Sarkozy "continue à se mobiliser"
Le Figaro, 17/08/2009 | Mise à jour : 08:34
UMP
Moins de fonctionnaires mais pas dans la police
NOUVELOBS.COM | 17.08.2009 | 12:34
VOILE
Le député UMP Bernard Debré veut une loi anti-burqa
NOUVELOBS.COM | 17.08.2009 | 11:11
Mariage bédouin: un DJ passé à tabac
AFP, 17/08/2009 | Mise à jour : 12:03
Un DJ invité à un mariage bédouin, dans le sud d'Israël, a été roué de coups par des invités pour avoir joué un tube des Pet Shop Boys, à la place de musiques arabes, et pris des photos de femmes qui dansaient. Jugeant que la fête manquait d'ambiance, le DJ a surpris les centaines d'invités du village d'Aroer, dans le sud d'Israël, en diffusant une chanson du duo de pop électronique anglais. Des femmes se seraient alors mises à danser "de façon exubérante" au rythme de la musique des Pet Shops Boys, à la grande fureur de jeunes invités qui s'en sont pris au DJ qui prenaient aussi des photos des danseuses. Deux agresseurs présumés ont été arrêtés puis relâchés par ordre de la justice avec interdiction de s'approcher de la résidence du DJ, lui-même un Bédouin du village. L'affaire s'est néanmoins bien terminée, les protagonistes concluant un arrangement traditionnel à la façon bédouine.
Dans la foulée de la burka, le burkini
Seine-et-Marne - Le burkini, halal mais pas à l'eau
Mis à jour le 12/08/2009 - 19h29 - TF1-LCI, extrait
Une jeune femme a été interdite de baignade fin juillet à la piscine d'Emerainville car elle portait un "burkini", maillot de bain islamique.
C'est un mélange de burqa et de bikini. C'est un compromis entre conviction religieuse et désir de faire du sport. Et ce n'est pas du goût de tout le monde : le burkini refait surface. Le mot avait fait son apparition en 2007 quand une créatrice australo-libanaise avait lancé ce maillot de bain, mariage entre le traditionnel une-pièce et le tout aussi traditionnel hidjab. Composé de deux à cinq pièces et disponible dans un arc-en-ciel de couleurs, il permet à la musulmane de se jeter à l'eau tout en respectant strictement les principes de l'Islam. Le mufti d'Australie, qui comparait les nageuses en maillot une-pièce à de "la viande découverte" l'a, en tout cas, approuvé.
Parmi les sites le commercialisant, Vetislam promet à la vacancière ou sportive vêtue du burkini un "très grand confort de mouvements", précisant qu'il ne tient pas chaud et qu'il sèche rapidement. A condition de pouvoir l'utiliser ailleurs que sur la plage. Car s'il est autorisé dans les bassins allemands ou néerlandais, en France, au même titre que le caleçon long pour les hommes, le burkini ne passe pas.
Damas joue un rôle actif auprès de Téhéran pour tenter de faire libérer Clotilde Reiss
LE MONDE | 14.08.09 | 15h08 • Mis à jour le 14.08.09 | 18h35, extrait
Beyrouth Correspondante
En intervenant auprès de Téhéran pour tenter de faire libérer Clotilde Reiss, la jeune universitaire française accusée d'avoir pris une part active aux manifestations contestant l'élection présidentielle iranienne, la Syrie scelle avec la France des retrouvailles amorcées de façon chaotique en 2007, mais qui n'ont cessé de s'intensifier.
Nicolas Sarkozy, a exprimé, mardi 11 août, sa "reconnaissance aux pays de l'Union européenne et aux autres pays amis, comme la Syrie, qui nous ont apporté leur soutien dans cette première phase". Le président français faisait allusion à la libération sous caution, le même jour, de Nazak Afshar, employée irano-française de l'ambassade de France à Téhéran, jugée en même temps que Clotilde Reiss.
La phase suivante souhaitée par l'Elysée est une libération rapide sous caution de Clotilde Reiss, puis une libération définitive. Damas semble déterminé à y prendre part activement.
Une femme interdite de piscine pour cause de "burqini"
LeMonde.fr avec AFP | 12.08.09 | 19h36 • Mis à jour le 12.08.09 | 20h15, extrait
"Je comprends que ça puisse choquer. Surtout que nous sommes en France. Mais ce qui m'ennuie, c'est qu'on m'a fait comprendre qu'il s'agissait d'un problème politique", a confié Carole au Parisien. A ses yeux, il s'agit d'une affaire de "ségrégation" et elle souhaite porter plainte auprès du procureur de Meaux et saisir des associations comme le MRAP et SOS-Racisme.
"LE SYMBOLE POSE PROBLÈME"
Le maire d'Emerainville, Alain Kelyor, réfute vigoureusement cette hypothèse. "Tout cela n'a rien à voir avec l'islam, car le règlement intérieur des piscines refuse que l'on se baigne tout habillé, pour des principes d'hygiène, comme c'est le cas pour les caleçons", a-t-il déclaré. Daniel Guillaume précise que Carole avait déjà pu se baigner une première fois dans la piscine en "burqini" avant de se voir refuser l'accès à la piscine, le 27 juillet.
Le cas de cette jeune femme intervient un mois et demi après la mise en place d'une mission d'information parlementaire sur le port de la burqa et le vif débat national qui s'en est suivi. Plusieurs de ses membres n'ont pas manqué de réagir à cette affaire.
La décision sur la burqa saluée à gauche et à droite
La décision sur la burqa saluée à gauche et à droite
LE MONDE | 14.07.08 | Extrait
A gauche comme à droite, les responsables politiques se sont félicités de la décision du Conseil d'Etat de refuser la nationalité française à une Marocaine portant une burqa. L'arrêt, révélé par Le Monde (du 12 juillet), juge que cette femme de 32 ans, mariée à un Français et mère de trois enfants nés en France, "a adopté, au nom d'une pratique radicale de sa religion, un comportement en société incompatible avec les valeurs essentielles de la communauté française et, notamment, le principe d'égalité des sexes".
Une Marocaine en burqa se voit refuser la nationalité française
Une Marocaine en burqa se voit refuser la nationalité française
LE MONDE | 11.07.08 | Extrait
La commissaire du gouvernement (chargée de donner un avis juridique), Emmanuelle Prada-Bordenave, a insisté sur les entretiens qu'a eus le couple avec les services sociaux et la police. A trois reprises, Faiza M. se serait présentée "recouverte du vêtement des femmes de la péninsule arabique, longue robe tombant jusqu'aux pieds, voile masquant les cheveux, le front et le menton et une pièce de tissu masquant le visage et ne laissant voir les yeux que par une fente".
Le couple reconnaît "spontanément" son appartenance au salafisme. Ce courant de l'islam, qui prône une lecture littérale et rigoriste du Coran, s'inspire du mode de vie des premiers fidèles du prophète Mahomet. Faiza M. a affirmé qu'elle n'était pas voilée quand elle vivait au Maroc et a indiqué "qu'elle n'a adopté ce costume qu'après son arrivée en France à la demande de son mari et qu'elle le porte plus par habitude que par conviction".
"D'après ses propres déclarations, a souligné la commissaire du gouvernement, elle mène une vie presque recluse et retranchée de la société française. Elle n'a aucune idée sur la laïcité ou le droit de vote. Elle vit dans la soumission totale aux hommes de sa famille ." Faiza M. semble "trouver cela normal et l'idée même de contester cette soumission ne l'effleure même pas", a ajouté Mme Prada-Bordenave, estimant que ces déclarations sont "révélatrices de l'absence d'adhésion à certaines valeurs fondamentales de la société française".
Parallèlement, il est apparu que Mme M. "parle bien français", un critère habituellement retenu dans l'attribution de la nationalité et que, durant ses grossesses, elle a été suivie par un gynécologue homme.
Pour la première fois en France, le Conseil d'Etat a pris en compte le niveau de pratique religieuse pour se prononcer sur la capacité d'assimilation d'une personne étrangère. Il vient de confirmer fin juin la validité d'un décret refusant à une Marocaine musulmane l'acquisition de la nationalité française, en se fondant sur "une pratique radicale de la religion incompatible avec les valeurs essentielles de la communauté française". Elle s'était présentée à ses entretiens pour demander la nationalité vêtue d'une burqa qui la couvrait entièrement. Jusque-là les refus de nationalité française dans la communauté musulmane étaient réservées aux personnes qui avaient des liens avec les fondamentalistes. Un article du 11/07/08 à lire sur Europe 1 / France Info.
PARIS (Reuters) - Une Marocaine mariée à un Français et mère de trois enfants nés en France s'est vu refuser la nationalité française en raison d'une pratique radicale de sa religion, écrit vendredi Le Monde.
Une Marocaine salafiste s'est vu refuser sa demande au motif que son «comportement en société est incompatible avec les valeurs essentielles» de la France. A lire sur le Figaro.