Catégorie: Le cas Dati
Morano dénonce le soutien de Royal à Dati
Morano dénonce le soutien de Royal à Dati
AFP, 11/01/2009 | Mise à jour : 12:22
Nadine Morano, secrétaire d'Etat en charge de la Famille, a dénoncé le "soutien visiblement intéressé" de Ségolène Royal à la ministre de la Justice, Rachida Dati, sur son retour au travail très rapide après son accouchement.
Dans le Journal du Dimanche Mme Royal, qui avait elle-même accouché lorsqu'elle était ministre, estime qu'"à fonction exceptionnelle, comportement exceptionnel", tout en affirmant que Mme Dati a été obligée de reprendre ses fonctions après cinq jours car Nicolas Sarkozy devait faire d'importantes annonces sur la justice, ce qu'elle qualifie de "comportement brutal, provocateur et humiliant".
Dati nous parle de petits mots, de cadeaux, de chaussons
Samedi 10 Janvier 2009
Royal: "Qu'on laisse tranquille Rachida Dati!"
Le Journal du Dimanche
Dans une interview à paraître dans le Journal du Dimanche, Ségolène Royal pointe un acharnement, "indécent et injuste", contre Rachida Dati, tout juste revenue à son ministère cinq jours après son accouchement. Pour la socialiste, qui fut la première ministre à accoucher en exercice, c'est Nicolas Sarkozy, qui est responsable de la reprise trop rapide de la ministre.
Rachida Dati : « la priorité, c'est ma fille Zohra »
Quelques bises et remerciements plus tard, Rachida s'impatiente. Plus tôt dans la soirée, elle les avait bien prévenus : "A l'issue de ce moment convivial, je m'attarderai moins que d'habitude, parce que j'ai vraiment hâte de retrouver ma fille".
Politique
Rachida Dati : «La priorité, c'est ma fille Zohra»
Le Parisien | 09.01.2009, 23h19 | Mise à jour : 10.01.2009, 00h22
Rachida Dati a bien du mal à cacher son bonheur. Vendredi soir, à la Maison des associations du VIIème arrondissement de Paris, la mère et la maire ne faisaient plus qu'une. Conviée par les différentes associations du VIIe à partager la galette des Rois, la Garde des Sceaux en a profité pour parler de sa fille, Zohra, née il y a une semaine.
Le retour tambour battant de Rachida Dati
Le retour tambour battant de Rachida Dati
Le Figaro, 07/01/2009 | Mise à jour : 22:54, extrait
Aujourd'hui, Rachida Dati devrait suivre les questions d'actualité au Sénat alors que mardi, en son nom, la ministre Valérie Létard a défendu le vote de la loi réformant la filiation. Elle permet à un parent de déclarer à la mairie un enfant sous son nom puis d'en changer si un lien de filiation est établi par la suite avec l'autre parent. Outre un passage au ministère, la mère de Zohra devrait aussi se rendre jeudi aux vœux du personnel de sa mairie et, vendredi, à une galette des Rois dans son arrondissement. Cette reprise en fanfare met mal à l'aise nombre de femmes, peu disposées, comme elle, à faire une croix sur leurs congés maternité...
Rachida Dati fait livrer des lapins
Rachida Dati fait livrer des lapins en peluche aux mamans prisonnières
Créé le 07/01/09 à 19h36, Europe
Rachida Dati a fait livrer des peluches à 19 prisonnières, selon une information dévoilé par le Canard Enchaîné. Ces détenues sont, elles aussi, de jeunes mamans enfermées avec leurs bébés, comme le prévoit la loi pendant les 18 premiers mois qui suivent la naissance.
Une jeune maman de retour au gouvernement
France Info - 12:03, extrait
Cinq jours après avoir accouché par césarienne de la petite Zohra, Rachida Dati a regagné ce matin les rangs du gouvernement pour le premier conseil des ministres de l’année. La Garde des Sceaux assistera cet après-midi à l’audience solennelle de rentrée de la Cour de cassation...
Israël aurait le sentiment que l'étau se resserre
CARNET ROSE
Rachida Dati "suit les dossiers du ministère" depuis la maternité
NOUVELOBS.COM | 03.01.2009 | 15:28, extrait
C'est ce qu'affirme le porte-parole du ministère de la Justice. La mère et la petite Zohra se portent bien.
Depuis la maternité, Rachida Dati, qui vient d'accoucher d'une petite fille, "continue à suivre les dossiers du ministère et à être tenue informée de ce qui se passe", a assuré samedi 3 janvier Guillaume Didier, porte-parole du ministère de la Justice.
Point de vue
Israël a le sentiment que l'étau se resserre, par Benny Morris
LE MONDE | 02.01.09 | 13h16 • Mis à jour le 02.01.09 | 13h17, extrait
De nombreux Israéliens ont le sentiment que les murs et l'étau de l'histoire se resserrent. Une situation qu'ils ont déjà vécue début juin 1967, juste avant la guerre des Six-Jours. Les Israéliens d'aujourd'hui - disons plutôt la population juive d'Israël - commencent à ressentir beaucoup de ce que leurs parents ont éprouvé au cours de ces journées d'apocalypse. Certes, Israël aujourd'hui est plus puissant et plus prospère. En 1967, on n'y comptait que 2 millions de juifs, contre 5,5 millions maintenant, et l'armée ne disposait pas de l'arme atomique. Cela n'empêche cependant pas la majorité de nourrir pour l'avenir un pressentiment aussi sinistre que profond.
Ce pessimisme est d'abord alimenté par le fait patent que le monde arabe, et de façon plus large le monde musulman, n'a jamais accepté de considérer l'Etat d'Israël comme légitime. Il continue de s'opposer à son existence, en dépit des espoirs formés par Israël dès 1948, et malgré les traités de paix que l'Egypte et la Jordanie ont signé en 1979 et 1994.
En second lieu, on note que l'opinion publique occidentale - et jamais les dirigeants de régimes démocratiques ne peuvent rester bien longtemps à sa traîne - est de moins en moins favorable à la cause d'Israël. L'Occident voit d'un oeil désapprobateur la manière dont l'Etat juif traite les voisins palestiniens qu'il a sous sa tutelle. Petit à petit, la mémoire de l'Holocauste s'estompe et perd de son impact, alors qu'à l'inverse, les Etats arabes renforcent leur puissance et s'affirment davantage.
Pour être plus précis, Israël est confronté à la combinaison d'une série de menaces toutes plus néfastes les unes que les autres. A l'est, l'Iran fait avancer son programme nucléaire à marche forcée. La plupart des Israéliens partagent avec un certain nombre de services secrets la conviction que ce programme a pour objectif de produire des bombes atomiques. Ajoutez à cela les menaces de destruction d'Israël proférées publiquement par le président iranien, Mahmoud Ahmadinejad, son négationnisme affiché et vous comprendrez pourquoi les responsables politiques et militaires israéliens sont sur les dents.
Société
Le CRIF appelle à un rassemblement à Paris en solidarité avec les victimes israéliennes du Hamas
AP | 04.01.2009 | 08:12, extrait
Le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) appelle à un "rassemblement silencieux en solidarité avec les victimes israéliennes du Hamas" dimanche après-midi à Paris.
La manifestation doit commencer à 15h devant l'ambassade d'Israël rue Rabelais dans le VIIIe arrondissement de la capitale, selon un communiqué du CRIF qui appelle "l'ensemble des Parisiens à rejoindre cette manifestation pacifique".
Samedi après-midi, quelque 21.000 personnes, selon la préfecture de police, ont défilé à Paris en soutien aux habitants de la Bande de Gaza, bombardée depuis le 27 décembre par l'Etat hébreu.
Rachida Dati a accouché d'une petite fille
Politique
Rachida Dati a accouché d'une petite fille
Le Parisien | 02.01.2009, 18h24 | Mise à jour : 21h25
La Garde des Sceaux Rachida Dati a accouché aujourd'hui vers 13 heures à Paris, selon plusieurs membres de son entourage. Elle a mis au monde, par césarienne, une petite fille prénommée Zohra, traduction d'«Etoile» en langue arabe .
La naissance était prévue mi-janvier. La ministre, âgée de 43 ans, ne devrait s'arrêter que quelques jours. Plusieurs fois, avant l'accouchement, son cabinet avait assuré qu'elle reprendrait ses activités au plus vite dans son ministère.
L'identité du père de l'enfant reste un mystère. «J'ai une vie privée compliquée et c'est la limite que je me pose vis-à-vis de la presse ; je ne dirai rien là-dessus», avait indiqué Rachida Dati à des journalistes le 3 septembre dernier. Elle n'a pas dévié de cette ligne.
Dépêches - France
Incendiaires privés de passer le permis: magistrats et avocats dubitatifs
Le Parisien | 02.01.2009, 17h17, extrait
Syndicats de magistrats et d'avocats ont exprimé vendredi leurs doutes sur l'efficacité de la proposition du président Nicolas Sarkozy d'empêcher les incendiaires de voitures de passer le permis de conduire tant que les victimes n'auront pas été indemnisées.
"C'est le type même d'annonce qui fait plaisir à l'opinion publique et qui est d'une inefficacité totale", a commenté le président de l'Union syndicale des magistrats (USM, majoritaire), Christophe Régnard, interrogé par l'AFP.
Le président de l'USM doute de l'effet dissuasif de la mesure: "quand on est capable de violer la loi au point de brûler une voiture, je pense qu'on la violera aussi en conduisant sans permis".
Jean-Louis Borie, le président du Syndicat des avocats de France (SAF, classé à gauche), a dénoncé "des gesticulations médiatiques" et "une politique d'esbrouffe permanente".
Guillaume Didier, porte-parole de Rachida Dati, la ministre de la Justice, a indiqué pour sa part que la Chancellerie "travaillait depuis hier soir" jeudi à la demande du chef de l'Etat.
Pékin ferme la porte aux signataires de la Charte 08
Le grand Meccano de Nicolas Sarkozy
LE MONDE | 25.12.08 | 20h18 • Mis à jour le 26.12.08 | 08h57, extraits
Tout contrôler, tout savoir, tout décider. Jusqu'au détail. Garder la main sur son premier ministre que l'article 20 de la Constitution institue comme celui qui "détermine et conduit la politique de la nation". Conserver la maîtrise de son parti, cette arme sans laquelle 2012 ne pourrait pas s'écrire. Maîtriser sa majorité, bras armé de la réforme, et l'élargir sans cesse pour étouffer l'opposition.
Nicolas Sarkozy, l'hyper, l'ultraprésident, a bouleversé en dix-huit mois l'ordre hiérarchique des institutions. "Tout se passe à l'Elysée", constatent à l'unisson les tenants et les contempteurs de la Sarkozie.
[...] Sous le règne du sixième président de la Ve République, le premier ministre et les ministres sont devenus de simples exécutants. "Dans la hiérarchie du chef de l'Etat, il y a l'Elysée, l'UMP et seulement après le gouvernement", analyse un conseiller. "Le numéro un, c'est Sarko, avec sa filiale UMP, le numéro deux Claude Guéant et le numéro trois Fillon", ose même Jean-Pierre Raffarin.
Pour conserver la main sur ses ministres, le président s'est entouré d'une garde rapprochée de conseillers spécialisés, craints des ministères et influents dans les médias. En face de chaque portefeuille, un homme de l'Elysée : Jean-David Levitte aux affaires étrangères, Raymond Soubie aux affaires sociales, François Pérol à l'économie, Patrick Ouart à la justice, Emmanuelle Mignon et Catherine Pégard, l'ex-signature vedette du Point, postées pour panser les états d'âme des parlementaires. Chaque matin, à l'heure du petit déjeuner, le président les réunit autour de lui. Comme un gouvernement bis.
Pékin ferme la porte aux signataires de la Charte 08
LE MONDE | 26.12.08 | 12h01 • Mis à jour le 26.12.08 | 12h52, extraits
S'inspirant de la Charte 77 rédigée à Prague au temps de la guerre froide par des opposants tchèques au régime communiste, une poignée de dissidents chinois viennent de publier, il y a quelques jours, à Pékin, un texte inédit et audacieux. La "Charte 08" n'y va pas de main morte : elle appelle à la fin du monopole du parti unique et propose un texte en 19 points destiné à promouvoir la transition vers un système démocratique à l'occidentale.
Ecrit collectivement par un groupe de défenseurs des droits de l'homme, le texte a été initialement signé par 300 personnes. Grâce à sa mise en ligne sur la Toile et en dépit des "pare-feu" érigés par la police chinoise de l'Internet, plusieurs milliers de signataires lui auraient à ce jour apporté leur soutien. Outre les activistes des droits de l'homme connus pour leurs prises de position en faveur des libertés, la Charte a été signée par des membres du Parti communiste, des professeurs d'université et des fonctionnaires locaux, qui n'ont pas hésité à prendre le risque de cautionner le texte. A l'échelle chinoise, l'impact est minime. Mais l'initiative vient de créer un précédent.
Le gouvernement chinois a pris immédiatement des mesures : le 8 décembre, deux jours avant la publication de la Charte, la police a embastillé son principal rédacteur, l'intellectuel Liu Xiaobo. Les milieux de la dissidence estiment que le régime, alerté par la mise en ligne prochaine de ce brûlot, a voulu envoyer un message rapide : soutenir l'esprit et la lettre du texte expose toute personne à des représailles autoritaires.
[...] Tous les opposants au régime pékinois ne parlent pas d'une seule voix : certains ont signé la Charte du bout du clavier, par principe, et sans en accepter toutes les propositions. D'autres, très critiques du système, n'ont pas adhéré au texte et se sont abstenus. L'essayiste et activiste chrétien Yu Jie, inspirateur de la mode des messes à domicile du protestantisme officieux, a signé la Charte, mais avec la réserve du croyant : "Elle n'explique pas l'origine historique du concept des valeurs universelles. Elle est un document inachevé, un cours d'eau qui ne connaît pas sa provenance, elle occulte la dimension spirituelle de l'individu", juge-t-il.
L'avocat des droits de l'homme Li Jinsong, qui ne cesse d'œuvrer pour l'application des droits inscrits dans la Constitution chinoise, est encore plus critique : "Le texte est en faveur de la transition vers une république fédérale. Cette proposition me paraît en décalage avec la réalité de la Chine qui a d'autres priorités aujourd'hui, notamment le souci de faire face à l'impact de la crise financière." Et il ajoute : "Et puis je n'aime pas le ton de cette Charte qui a l'air de dire : on a trouvé les valeurs ultimes qui doivent présider au destin de l'humanité."
[...] En attendant, la répression s'est accrue, ces derniers jours, à l'encontre des signataires. "Vous voulez faire trois ans de prison ? Quatre ?" ont dit, menaçants, des policiers à l'écrivain Wen Kejian, qui habite dans la ville de Hangzhou.
Prisons : Fleury-Mérogis « fait l'objet d'une rénovation »
Extrait du 19-20 édition nationale du 18 décembre
Syndicats pénitentiaires : "Il faut ouvrir les portes des prisons aux médias"
LEMONDE.FR | 19.12.08 | 20h47 • Mis à jour le 19.12.08 | 20h53, extrait
Contactée vendredi 19 décembre par le Monde.fr, l'administration pénitentiaire n'a pas souhaité réagir aux images montrant les conditions de vie déplorables à la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis "Les conditions de prise en charge des détenus sont pour elle une préoccupation permanente", a-t-elle seulement assuré à l'AFP, quelques heures après la diffusion de ces extraits, jeudi, sur Le Monde.fr. Et de préciser que la prison de Fleury-Mérogis "fait l'objet d'une rénovation pour laquelle le gouvernement a dégagé une enveloppe de 400 millions d'euros".
Homosexualité : le monde refuse la dépénalisation
Homosexualité : deux tiers des pays du monde refusent un appel à la dépénalisation universelle
LEMONDE.FR avec AFP | 19.12.08 | 10h47 • Mis à jour le 19.12.08 | 11h51, extrait
C'est une simple déclaration, mais elle suscite un vent de fronde. Jeudi 18 décembre aux Nations unies, un appel historique à la dépénalisation universelle de l'homosexualité a été lancé par un tiers des pays du monde, sans parvenir à obtenir le soutien de certains poids lourds de l'organisation. Plusieurs Etats arabes, mais également le Vatican, les Etats-Unis, la Russie ou la Chine se sont ainsi opposés au texte présenté devant l'Assemblée générale, dont Rama Yade, secrétaire d'Etat française aux droits de l'homme, est l'une des inspiratrices.
N'engageant que ses signataires, cette "déclaration politique" ne revêt aucun caractère contraignant. Notamment signée par tous les pays de l'Union européenne, le Brésil, Israël et le Japon, elle place la question des droits des homosexuels, lesbiennes, bisexuels et transgenres à l'ordre du jour de l'Assemblée de l'ONU et se fonde sur le principe d'universalité des droits de l'homme, consacré dans la déclaration universelle de ces droits. Il réaffirme encore "le principe de non-discrimination qui exige que les droits de l'homme s'appliquent de la même manière à chaque être humain, indépendamment de l'orientation sexuelle ou de l'identité de genre".
"En ce XXIe siècle, comment accepter que des personnes soient pourchassées, emprisonnées, torturées et exécutées en raison de leur orientation sexuelle ?", a lancé Rama Yade, après la lecture de l'appel, qualifiant d'"historique" l'initiative des "66".
Une gay pride à Moscou
On ne parle que de ça
Rachida Dati et Rama Yade: deux stars déchues de Sarkollywood
Quand la République assassine ses icônes
Mardi 16 décembre 2008 , Gala, extraits
En 2007, entre strass et paillettes, Rachida Dati et Rama Yade, glamours et resplendissantes, faisaient leur entrée au gouvernement. Il en était si fier le Président de ses actrices politiques... Deux sublimes égéries issues des minorités ethniques et sexuelles. Deux symboles de réussite sociale. Ces perles éblouissantes ne seraient-elles que des étoiles filantes? Rama et Rachida ont déçu le scénariste de leur destinée. Pourront-elles encore briller sous les ors de la République?
Pourtant apaisé par son entrevue avec le Dalaï Lama (le "Daï Lama", comme il dit), Nicolas Sarkozy ne peut plus contenir son agacement. Son casting de rêve est devenu un cauchemar. Que faire des artistes rebelles qui n’incarnent plus son ambition métissée, son rêve d’identification sociale? Même dans les films sans pitié, on ne licencie pas, sous l’ère Obama, une jeune prodige ou une célibattante enceinte… Retour sur le parcours de deux espoirs du cinéma d’une France multicolore.
Deux emblèmes de la diversité ...
Deux «Sarkozettes» totalement dévouées ...
Deux princesses en disgrâce ...
Rachida Dati « en phase de discrétion accentuée » ?
Photos sur Voici : Rachida Dati enceinte - et rayonnante - a soutenu le Téléthon • Samedi dernier, Rachida Dati a bravé le froid en compagnie du réalisateur Patrice Leconte pour soutenir le Téléthon rue Clerc dans le 7ème arrondissement de Paris. La ministre en a profité pour discuter brièvement avec les riverains. Rachida Dati devrait accoucher dans quelques jours. Le mystère reste toujours entier concernant le papa de cet enfant.
Politique
Rachida Dati dément des informations publiées par "Le Point"
AP | 12.12.2008 | 17:55
La ministre de la Justice Rachida Dati a démenti vendredi les informations de l'hebdomadaire "Le Point" daté de jeudi selon lesquelles elle pourrait faire pression sur Nicolas Sarkozy en utilisant "les histoires de famille et du département des Hauts-de-Seine", dans un courrier à l'auteur de l'article, que rend public la Chancellerie.
"Des âmes charitables affirment qu'à l'heure de la curée, Rachida Dati, qui connaît les histoires de famille et du département des Hauts-de-Seine (ancien fief du chef de l'Etat, NDLR) pour s'être occupée pendant quelques temps, en 2005, du secteur sensible des marchés publics, saura, le cas échéant, se rappeler aux bons soins de son protecteur", écrit l'auteur, Denis Demonpion, à la fin de l'article.
"Vous insinuez que je serais en mesure de faire un usage déloyal d'informations en lien avec mes fonctions de directrice générale adjointe des services au conseil général des Hauts-de-Seine. Ceci est totalement faux", s'insurge la ministre dans ce courrier que Denis Demonpion a dit ne pas avoir reçu lorsqu'il a été contacté par l'Associated Press.
"Ma fonction de Garde des Sceaux, ministre de la Justice, mon statut, mes convictions personnelles et ma loyauté sans faille à l'égard du chef de l'Etat sont à l'opposé de ce que vous insinuez", ajoute Rachida Dati.
Denis Demonpion a déclaré à l'Associated Press ne pas changer une ligne de son article. "Je maintiens tout", a-t-il assuré. "Dans son entourage, ils n'ont pas du tout la même approche de ce qu'elle dit dans sa lettre", a-t-il ajouté. Le journaliste s'inscrit également en faux contre le fait qu'il n'ait pas cherché à joindre la ministre, comme elle l'indique dans sa lettre. "Ses conseillers presse m'ont dit qu'elle ne donnait pas d'interview. Mardi matin, j'ai eu son directeur de cabinet qui m'a dit qu'elle était en phase de discrétion accentuée", a-t-il ajouté. AP
De nouveaux « instruments pour un jugement moral ad hoc »
11/12/2008 20:16, La Croix, extraits
Rachida Dati à l’heure des comptes
La garde des sceaux vient de passer le cap des 18 mois à la tête de la chancellerie. Tour d’horizon de ses principales réformes
Critiquée avec virulence par les magistrats pour ses prises de position précipitées, Rachida Dati est désormais mise à mal dans son propre camp. Le président de la République s’est récemment démarqué d’elle dans l’affaire de l’interpellation controversée du journaliste de Libérationde Filippis, suivi par le premier ministre au sujet de l’incarcération des mineurs dès 12 ans. Qu’en est-il réellement des réformes de la garde des sceaux ? Revue de détail.
LES DÉTENUS
Un « contrôleur général des prisons » mis en place
[...] LES MAGISTRATS
Une saisine directe du CSM par les citoyens
Une mini-révolution. Les justiciables pourront, d’ici quelques mois, saisir eux-mêmes le Conseil supérieur de la magistrature (CSM) dans le but de faire sanctionner un juge. Ce nouveau droit, permis grâce à la réforme constitutionnelle, préoccupe les professionnels qui ignorent encore pour l’heure comment seront filtrés les recours.
Dans ce contexte, les mises en cause précipitées de certains magistrats par Rachida Dati ont été d’autant plus mal vécues par la profession. Ce fut le cas, notamment, au lendemain du suicide d’un mineur à la prison de Metz. Estimant faire les frais de la « politique du coup par coup médiatique », les magistrats n’ont pas hésité à saisir le CSM afin de « l’alerter sur les attaques contre l’indépendance de l’autorité judiciaire ».
Une saisine rarissime. Autre point de discorde entre les fonctionnaires et leur ministre : les moyens alloués à la justice. La chancellerie met en avant un budget à la hausse pour l’an prochain (+ 2,5 %) et le recrutement de près de 1 000 fonctionnaires. Insuffisant, rétorquent ses détracteurs, qui rappellent le très mauvais classement de la France en Europe en matière budgétaire. Avec 53 € dépensés par justiciable en 2006, l’Hexagone figure en effet au 35e rang des pays du Conseil de l’Europe.
LES VICTIMES
Des « juges délégués » pour aider les justiciables
[...] LES MINEURS
La lutte contre la délinquance relancée
Euthanasie : des parlementaires UMP et PS veulent aller plus loin
LEMONDE.FR avec AFP | 10.12.08 | 20h29 • Mis à jour le 10.12.08 | 20h34
11/12/2008 15.30.10, Radio Vatican
Message du Pape Benoît XVI pour la célébration de la Journée mondiale de la paix 1er Janvier 2009
Combattre la pauvreté, construire la paix
Du Vatican, le 8 décembre 2008.
BENEDICTUS PP. XVI
11/12/2008 18:16, La Croix
Jean-Pierre Ricard : «Promouvoir et défendre la dignité de la personne»
11/12/2008 20:09, La Croix, extrait
L’Eglise actualise sa position sur la bioéthique
Conçue pour mettre à jour « Donum vitæ » (datée de 1987), la nouvelle instruction « Dignitas personæ » sur certaines questions de bioéthique, publiée vendredi 12 décembre à Rome, a donné lieu à quatre années de discussions entre théologiens moralistes
Plus de quatre ans de travail, des heures de discussions, des volumes de documentation, des consultations nombreuses, et des allers-retours constants entre l’Académie pontificale pour la vie et la Congrégation pour la doctrine de la foi. Aux dires de certains de ses rédacteurs, chaque virgule ou presque de l’instruction Dignitas personæ « sur certaines questions de bioéthique », qui sera rendue publique vendredi 12 décembre, a été longuement pesée.
Il est vrai que le sujet est particulièrement complexe : il s’agit de toutes les questions éthiques posées par les recherches touchant l’embryon. Pourquoi la Congrégation pour la doctrine de la foi a-t-elle élaboré ce document ? « Parce que nous étions assaillis de demandes en provenance des évêques et d’institutions catholiques, en particulier d’Amérique du Nord, sollicitant le point de vue de Rome sur telle ou telle découverte », explique l’un des rédacteurs. Il y a vingt ans, la même Congrégation avait publié Donum vitæ. « Mais depuis au moins dix ans, explique ce même interlocuteur, les progrès de la recherche ont bouleversé la donne, et multiplié les questions. »
Donum vitæ posait la base du jugement éthique sur la fécondation artificielle. Aujourd’hui, on n’en est plus là : « Chaque mois ou presque, on fait état d’une nouvelle découverte, qui se trouve immédiatement, via Internet, mise sur la place publique, sans que l’on dispose des instruments pour un jugement moral ad hoc. »
Raffarin : « il faut arrêter la chasse à Rachida » Dati
Publié le 07/12/2008 à 15:31 - Modifié le 07/12/2008 à 15:39 AFP
Raffarin: "il faut arrêter la chasse à Rachida" Dati
L'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin a volé dimanche sur Europe 1 au secours de la garde des Sceaux, estimant qu'il fallait "arrêter la chasse à Rachida" Dati.
"Il faut arrêter la chasse à Rachida. C'est une fille exceptionnelle (...) on l'a envoyée au feu pour mener des réformes très importantes. Je trouve très injuste qu'on attaque l'ensemble de ses prises de position (...) on s'attaque plus à sa personne qu'à sa politique", a-t-il lancé.
"Nous sommes tous concernés par la réussite de Rachida Dati. Nous devons protéger la diversité" au sein du gouvernement, a ajouté le sénateur de la Vienne.
Mme Dati a été désavouée vendredi par François Fillon sur l'opportunité d'autoriser l'incarcération dès 12 ans des mineurs dans certaines affaires criminelles, après l'avoir été lundi par Nicolas Sarkozy dans l'interpellation controversée du journaliste de Libération Vittorio de Filippis.
M. Raffarin a d'ailleurs critiqué à mots couverts l'attitude de l'actuel Premier ministre en soulignant: "quand j'étais Premier ministre, moi je faisais toujours attention à être à côté de celui qui, à un moment ou à un autre, faisait l'objet des attaques les plus virulentes".
"J'ai toujours considéré le rôle à Matignon comme un rôle politique et managérial. Le chef d'une équipe doit se trouver aux côtés de ceux qui sont exposés au front", a-t-il encore lâché.
Pour récolter des fonds, le Téléthon vend des pixels
Pour récolter des fonds, le Téléthon vend des pixels
LEMONDE.FR | 05.12.08 | 13h49 • Mis à jour le 05.12.08 | 20h21, extrait
Comment inciter aux dons en ligne et susciter du buzz autour du Téléthon, organisé du vendredi 5 décembre au samedi 6 décembre minuit par l'Association française contre les myopathies (AFM) ? En remettant au goût du jour une opération montée il y a trois ans par un blogueur américain devenu richissime grâce à son idée : alors étudiant, Alex Tew avait créé une page Internet au titre sans équivoque : milliondollarhomepage.com, où il mettait en vente un million de pixels (l'unité de surface des images numériques). Moyennant finances, chacun pouvait y faire apparaître un message (logo, texte....) accompagné d'un éventuel lien Internet. En quelques mois, l'étudiant avait réussi son pari : récolter 1 million de dollars.
L'AFM a décliné le concept en un site baptisé Un million pour le Téléthon, qui fonctionne exactement sur le même principe, mais affiche un objectif un peu plus modeste.
Fillon enterre la prison à 12 ans
Vendredi 05 Décembre 2008, leJDD.fr, extrait
Les mineurs de 12 ans ne pourront finalement pas être incarcérés. Souhaitée par Rachida Dati, qui s'inspirait du rapport de la commission Varinard, la mesure, hautement controversée, a été rejetée vendredi par François Fillon, qui s'y est déclaré "totalement hostile". La ministre de la Justice a ensuite tenté de sauver la face via un communiqué, mais c'est un nouveau camouflet pour elle.
"Charlie Hebdo" assigné en justice pour son numéro "Spécial pape"
LEMONDE.FR avec AFP | 05.12.08 | 19h27 • Mis à jour le 05.12.08 | 21h06, extrait
Charlie Hebdo a été assigné en justice par l'Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l'identité française et chrétienne pour son numéro "Spécial pape", a indiqué l'hebdomadaire satirique, vendredi 5 décembre. Le directeur de la publication de l'hebdomadaire, Philippe Val, a reçu, jeudi, une citation à paraître devant le tribunal correctionnel de Paris pour "provocation à la discrimination religieuse", selon le document que s'est procuré Rue89.
La prison à 12 ans, une mesure de « bon sens », pour Rachida Dati
La prison à 12 ans, une mesure de "bon sens", pour Rachida Dati
LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 03.12.08 | 14h08 • Mis à jour le 03.12.08 | 16h10, extrait
Le principal syndicat de magistrats, l'USM, et le syndicat d'éducateurs UNSA-PJJ, ont immédiatement fait savoir, dans un communiqué commun diffusé lundi, que l'incarcération en matière criminelle n'est possible qu'à partir de 14 ans "dans la quasi totalité des pays européens". Le Syndicat de la magistrature a dénoncé "une vision réactionnaire et répressive de l'enfance" alors que l'ancienne ministre de la justice socialiste Marylise Lebranchu a estimé qu'il était "idiot" de prôner le passage à 12 ans et que cela allait "braquer tout le monde". Elle a en outre contredit Mme Dati sur les conclusion de l'ONU en la matière, l'accusant de ne pas avoir lu le rapport jusqu'au bout. "Il faut tout lire. Pourquoi on met 12 ans à l'ONU ? Parce que des pays incarcèrent avant".
Un jeune essaie de casser un bout de mur.
OPERATION ANTI-DROGUE
Contrôle dans un collège "à la demande expresse du principal"
NOUVELOBS.COM | 04.12.2008 | 10:23
L'opération menée le 19 novembre dans un collège de Marciac, avec gendarmes et chiens, "a eu lieu sur la foi de renseignements recueillis par le chef d'établissement", explique la procureure d'Auch. "Le contrôle a été négatif", précise-t-elle.
GERS
Opération antidrogue : le principal du collège se sent "trompé"
NOUVELOBS.COM | 04.12.2008 | 11:00, extraits
"Ce contrôle s'est passé dans des conditions qui ont dérapé", déclare le principal du collège de Marciac, où les gendarmes ont procédé à une opération de contrôle antidrogue. La ministre de l'Intérieur juge pour sa part que "le mélange des genres entre prévention et répression n'est pas acceptable" et demande une enquête interne.
[...] La réaction des autorités satisfait pour l'instant les parents d'élèves. La FCPE du Gers a annoncé jeudi qu'elle annulait la manifestation prévue vendredi devant le collège.
Nouveaux départs au cabinet de Rachida Dati
LEMONDE.FR | 04.12.08 | 17h56 • Mis à jour le 04.12.08 | 18h16, extrait
Plus de vingt conseillers ont quitté le cabinet en dix-neuf mois. D'autres départs devraient intervenir après la fin de l'année.