Catégorie: Polémique et société
« Welcome » : Besson dénonce des dérapages « inacceptables »
Eric Besson : le réalisateur de “Welcome” a “franchi la ligne jaune”
France Info - 12:17, extrait
Il y a quelques jours, Philippe Lioret affirmait dans une interview à La Voix du Nord que “les clandestin de Calais sont l’équivalent des juifs en 1943”. Des propos qu’Eric Besson, le ministre de l’Immigration, ne pardonne pas au réalisateur de Welcome.
En salle mercredi, ce film retrace le drame de l’immigration clandestine.
Le réalisateur du film Welcome a “ plus que franchi la ligne jaune” en assimilant les clandestins aux Juifs pourchassés sous l’Occupation. Eric Besson, le ministre de l’Immigration dénonce “une musique insupportable”, il n’accepte pas qu’on “ suggère que la police française c’est la police de Vichy, que les Afghans sont traqués, qu’ils sont l’objet de rafles, etc.”.
"Welcome" : Besson dénonce des dérapages "inacceptables"
Créé le 09/03/09 - Dernière mise à jour à 10h24, Europe 1, extrait
Eric Besson ne décolère pas après les déclarations du réalisateur de "Welcome", Philippe Lioret. "Ce qui est insupportable, c’est l’assimilation de la situation des Afghans à Calais aux Juifs de 43. C’est à nos yeux une faute majeure", a déclaré ce lundi le ministre de l'Immigration sur Europe1.
"J’ai la désagréable impression que les promoteurs du film se livrent à un dérapage volontaire, sans doute avec l’arrière pensée de renforcer la promotion pour la sortie du film." a déclaré Eric Besson, ce lundi sur Europe1. Samedi déjà, le ministre de l'Immigration avait considéré que le réalisateur, Philippe Lioret, avait "plus que franchi la ligne jaune lorsque dans une interview à La Voix du Nord, il dit 'les clandestins de Calais sont l'équivalent des juifs en 43' : cette petite musique-là est absolument insupportable". "Suggérer que la police française c'est la police de Vichy, que les Afghans sont traqués, qu'ils sont l'objet de rafles, etc., c'est insupportable", a-t-il insisté.
Valls condamne les propos de Domota
Critique du Vatican
Des centaines de catholiques manifestent à Lucerne
Plusieurs centaines de catholiques se sont rassemblés dimanche à Lucerne pour protester contre la politique conservatrice du pape. Cette manifestation se veut aussi un appel à ne pas sortir de l'Eglise.
LeMatin.ch & les agences, le 08 mars 2009, 15h07, extrait
Valls condamne les propos de Domota
AFP, 08/03/2009 | Mise à jour : 20:23
Le député PS de l'Essonne Manuel Valls a condamné aujourd'hui les propos selon lui "irresponsables" du leader syndical Elie Domota visant les chefs d'entreprise guadeloupéens mais aussi du porte-parole de l'UMP Frédéric Lefebvre parlant des "tontons macoutes du LKP".
Les propos d'Elie Domota, le leader du LKP, "ne vont pas dans le sens de l'apaisement (...) ils attisent le climat comme d'ailleurs (ceux) de Frédéric Lefebvre, le porte-parole de l'UMP, qui a tenu aussi des propos extrêmement graves parlant des tontons macoutes" du LKP, a déclaré M. Valls lors de l'émision "dimanche soir politique" France-Inter/i-Télé/Le Monde.
A Bagneux : semaine d'action contre le racisme et l'antisémitisme
NDLR : La discrimination reste tout à fait tolérée ?
Un mensuel téléchargeable sur le site de la mairie
La visite de Sarkozy au Mexique perturbée par l'affaire Cassez
La visite de Sarkozy au Mexique perturbée par l'affaire Cassez
Créé le 08/03/09 à 9h45, Europe 1, extraits
Nicolas Sarkozy se rend ce dimanche à Mexico pour une courte visite initialement consacrée au seul renforcement de la coopération franco-mexicaine mais qui a pris un tour politique avec la lourde condamnation par la justice locale de Florence Cassez qui clame son innocence. [...] Le président a promis d'évoquer ce dossier jugé "extrêmement sensible" par l'Elysée avec son homologue Felipe Calderon mais, pour ne pas froisser "l'extrême sensibilité" et la "fierté" mexicaines, il semble privilégier un scénario "à la Tchadienne". En clair, il s'agit de convaincre Florence Cassez de renoncer à son pourvoi en cassation pour obtenir son transfert vers la France pour y purger une peine "aménagée", comme ce fut le cas des six Français de l'association l'Arche de Zoé.
Entre Paris et Mexico, le sort de Florence Cassez
LE MONDE | 07.03.09 | 14h27 • Mis à jour le 07.03.09 | 14h27, extrait
Mexico Correspondante
Officiellement, le sujet ne figure pas à l'agenda, et la relation entre les deux pays est censée être "sans nuage". Pourtant, le voyage au Mexique du président Nicolas Sarkozy et de son épouse, Carla Bruni - d'abord dans un cadre privé, du 6 au 8 mars, puis avec tout le faste d'une visite d'Etat, le lundi 9 mars -, sera marqué par les ombres et les lumières de l'affaire Florence Cassez.
L'accident du premier ministre sème le trouble au Zimbabwe
En Autriche, Jörg Haider était ivre au volant...
L'accident du premier ministre sème le trouble au Zimbabwe
LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 06.03.09 | 18h42 • Mis à jour le 07.03.09 | 19h43, extrait
L'inquiétude règne à Harare après l'accident de la route qui a blessé le premier ministre Morgan Tsvangirai et coûté la vie à son épouse Susan, vendredi 6 mars. Le chef du gouvernement est sorti de l'hôpital samedi accompagné de deux ministres, sous les applaudissement des passants. Peu après, il a embarqué à bord d'un avion à destination du Botswana où il doit subir des examens médicaux au moins jusqu'à lundi, d'après des membres de son parti. Selon la police, il ne s'agit que d'un banal accident de la circulation : un camion, dont le chauffeur se serait endormi, a empiété sur l'autre voie et percuté la voiture des époux Tsvangirai qui arrivait en face.
Mais M. Tsvangirai a été l'objet de plusieurs tentatives d'assassinat par le passé.
En bordure d'une route proche de Harare, au Zimbabwe (AP)
Comment l'antisarkozysme progresse
Domota visé par une enquête après des propos sur RFO
NOUVELOBS.COM | 08.03.2009 | 09:02 • Une enquête pour provocation à la haine raciale a été ouverte après les propos du leader du LKP, qui a déclaré : "nous ne laisserons pas une bande de békés rétablir l'esclavage".
Yves Jégo va effectuer une tournée aux Antilles françaises
NOUVELOBS.COM | 08.03.2009 | 09:02 • Le secrétaire d'Etat passera la semaine du 16 mars dans les îles, afin notamment d'y préparer les états-généraux annoncés par Nicolas Sarkozy.
Bertrand : les incidents en Martinique sont "inacceptables"
NOUVELOBS.COM | 07.03.2009 | 17:31 • Le secrétaire général de l'UMP juge "inacceptables" les échauffourées survenues alors que des chefs d'entreprises organisaient une "manifestation pacifique", pour demander la libération des sites industriels, occupés par les grévistes.
Crise aux Antilles : Jégo fait son mea culpa
NOUVELOBS.COM | 06.03.2009 | 18:54, extrait • Le secrétaire d'Etat à l'Outre-mer reconnaît ne pas avoir été "un assez bon pédagogue" en métropole sur la crise qui secouait l'Outre-mer.
Le secrétaire d'Etat à l'Outre-mer, Yves Jégo, a fait, vendredi 6 mars, son mea culpa sur France 5. Il a reconnu ne pas avoir été "un assez bon pédagogue" en métropole sur la crise qui secouait l'Outre-mer. Interrogé sur le bilan de sa gestion de la crise, Yves Jégo a répondu : "Je n'ai sans doute pas assez expliqué, ici en métropole, quelle était la réalité de ce que j'avais compris là-bas". "Je n'ai sans doute pas été un assez bon pédagogue", a-t-il ajouté, "pour montrer à la métropole que ce n'était pas une crise sociale, mais que c'était aussi une crise de société profonde et qu'il fallait des réponses plus profondes".
Comment l'antisarkozysme progresse
LE MONDE | 07.03.09 | 17h06 • Mis à jour le 07.03.09 | 18h03, extraits
L'antisarkozysme est de retour. Ce qui n'était encore qu'une réaction des milieux les plus militants et radicaux aux débuts de la présidence de Nicolas Sarkozy devient un sentiment plus répandu dans l'opinion. Alors qu'il peine à convaincre de la pertinence de son plan anticrise, le chef de l'Etat cristallise un mécontentement croissant.
Le recadrage de Sarkozy : « quand on n’est pas content, on s’en va »
Le recadrage de Sarkozy, les supérettes qui bradent les aliments et le retour du petit Nicolas
France Info - 5 mars 2009, extrait
Mise au point, recadrage et contestation...
La mise au point d’abord, elle est signée Nicolas Sarkozy, hier en conseil des ministres... L’histoire est racontée par Bruno Jeudy, dans le Figaro... Le chef de l’Etat a tapé du poing sur la table, agassé par la passe d’armes entre Nadine Morano et Christine Boutin, sur le futur statut du beau-parent... Le président a sorti une phrase qui ressemble un peu à celle de Jean-Pierre Chevènement, en son temps : quand on n’est pas content, on s’en va... Il n’a cité aucun nom, mais tout le monde a compris qui était visé... En tous les cas Christine Boutin assure dans les colonnes du Figaro qu’elle ne se sent pas concernée et qu’elle n’a pas l’intention de démissionner...
Le recadrage à présent...
Il est signé du même Nicolas Sarkozy, qui parait-il, en a assez d’entendre chaque matin à la radio des mauvaises nouvelles... Heureusement, il n’a cité personne... Selon le Figaro, le chef de l’Etat réclame une opération coordonnée de communication... Il demande à ses ministres de prendre leurs plumes... Surveillez vos boites aux lettres si vous faites partie des 4 millions de Français concernés par la suppression des prochains tiers provisionnels ou par la prime de 150 euros, vous allez recevoir une lettre du ministre... Plus généralement, l’équipe de l’Elysée plancherait sur un plan média, destiné à rebooster le gouvernement, défaillant sur le plan de la communication...
Guadeloupe : Domota menace les chefs d'entreprise
Société
Publié le 06/03/2009 à 09:59 - Modifié le 07/03/2009 à 17:30 Le Point.fr, source AFP
Guadeloupe : Domota menace les chefs d'entreprise
"Soit ils appliqueront l'accord, soit ils quitteront la Guadeloupe." Au lendemain de l'accord de sortie de crise trouvé avec l'État après un mois et demi de grève générale dans l'île , le leader du LKP Élie Domota a brandi jeudi soir la menace pour contraindre les derniers chefs d'entreprise réticents à accorder une augmentation mensuelle de 200 euros à leurs salariés. Des établissements que des manifestants s'emploient toujours à bloquer. "Nous n'arrêterons pas et je l'ai dit ce soir au préfet. Nous sommes très fermes sur cette question-là. Nous ne laisserons pas une bande de békés rétablir l'esclavage", a-t-il fustigé sur Télé-Guadeloupe.
Le porno du procureur
Le président du gouvernement, Michel Probst, refuse de donner des noms en vertu de la présomption d'innocence. Et comme aucun site pédophile n'a été consulté, personne ne s'expose à une enquête pénale. Mais Michel Probst précise tout de même que «personne n'est concerné dans l'entourage du gouvernement». Et qu'aucun chef de service n'a pollué son disque dur avec des images pornos. Il précise surtout que si 30 fonctionnaires ont des raisons de rougir, 770 n'ont rien à se reprocher. Un pourcentage modeste qui dément une étude anglaise récente, qui prétend qu'un employé sur trois admet regarder des films ou des images pornos sur son ordinateur de travail, mais que 7% des employés se sont fait prendre en flagrant délit.
Le débat du «Matin»
Le porno du procureur
Le magistrat jurassien commet une bourde de débutant en consultant des sites pornos sur son ordinateur professionnel. Pincé, il démissionne
Le Matin - le 06 mars 2009, 21h46
Qu'une trentaine de fonctionnaires consultent des sites pornos au bureau peut sembler choquant. Mais les informaticiens jurassiens ont fait une découverte plus renversante encore: le procureur général en personne matait du sexe sur son écran. Yves Maître a commis une bourde de débutant: parfaitement légale sur un ordinateur privé, cette activité n'est pas tolérée par son employeur, l'Etat jurassien.
Comment ce magistrat de 55 ans a-t-il pu se montrer aussi naïf, lui qui a consulté des fournisseurs d'accès pour échafauder certains réquisitoires pendant ses dix ans de carrière? Le magistrat a été démasqué bêtement, simplement parce qu'il n'était pas le seul à encombrer le réseau informatique de l'administration cantonale.
Nesme : Morano « plie » face au « lobby gay »
Têtu.com
Statut du beau-parent et couples gays : ça couine à droite
Par Taina Tervonen | Têtu.com | 05/03/2009 | 19H32, sur rue89, extrait
Le projet de Nadine Morano d'étendre le statut du beau-parent aux homosexuels fait grincer des dents dans son propre camp. La levée de boucliers était à prévoir. Après la ministre du Logement Christine Boutin et le FN, dont SOS homophobie souligne dans un communiqué la forte similarité des propos, ce sont désormais les députés qui s'indignent contre le projet de loi porté par Nadine Morano. Un avant-projet de loi "mal venu", estime Christian Vanneste (UMP), qui le commente sur son blog, dans un post intitulé «Ni beaux… ni parents !»: Le texte "combine le souci de complaire au très médiatique lobbie de 'la cause homosexuelle' avec une remise en cause d'une institution essentielle à notre société (...) : la Famille fondée sur le mariage d'un homme et d'une femme".
Nesme:Morano "plie" face au "lobby gay"
AFP, 04/03/2009 | Mise à jour : 14:23
Le député UMP Jean-Marc Nesme a affirmé que la secrétaire d'Etat à la Famille, Nadine Morano, a "plié sous la pression du lobby homosexuel" et que son texte sur le statut des beaux-parents "n'est qu'un subterfuge destiné à la reconnaissance légale de l'homoparentalité".
Lettres de menaces : l'enquête repart à zéro
Lettres de menaces : l'enquête repart à zéro
Créé le 03/03/09 - Dernière mise à jour le 06/03/09 à 18h49, Europe 1, extrait
La garde à vue de l'informaticien de 47 ans, réserviste de l’armée, suspecté d'être l'auteur des lettres de menaces de mort envoyées à des personnalités politiques, a été levée jeudi soir. Sans qu’aucune charge ne soit retenue contre lui. Vendredi, cet homme a accusé son ex-compagne de l'avoir dénoncé à tort par "petite vengeance purement personnelle". Le parquet de Paris a confié que, par conséquent, "l'enquête repart à zéro".
Faits divers
FRAUDE
Madoff prêt à plaider coupable
Le Parisien | 06.03.2009, 22h37 | Mise à jour : 23h02, extrait
Le financier américain Bernard Madoff, mis en cause dans une énorme fraude de 50 milliards de dollars, semble vouloir éviter tout forme de procès. Dans le document daté du 6 mars «Etats-Unis contre Bernard L. Madoff» qui a été remis au tribunal, le procureur précise que «le parquet va déposer une information, concernant la décision de l'accusé d'éviter l'inculpation» par un jury.
Le document est «approuvé» et signé par l'un des avocats de Bernard Madoff, Ira Lee Sorkin.
«On peut en déduire qu'il va plaider coupable, même si ce n'est pas dit clairement», a commenté Jacob Frenkel, un ancien enquêteur de la SEC, le gendarme boursier américain. «Cela signifie qu'il n'y aura pas de procès devant un grand jury qui prononce l'inculpation et qu'on ira directement au verdict», a-t-il ajouté.
« Pour un fils » : ...et pour une mère ou le burlesque en salles
Critique
"Pour un fils" : ...et pour une mère
LE MONDE | 03.03.09 | 15h59, extrait
Séparée de son mari, assommée par l'épreuve qui lui est imposée mais n'ayant jamais perdu espoir, Catherine tente de se reconstruire, quand se présente un jeune homme qui prétend être son fils, enlevé dix ans plus tôt. Marqué de son côté par la culpabilité de n'avoir jamais retrouvé l'enfant disparu, le policier chargé de l'enquête est un homme à vif, sensible aux tragédies humaines (il s'occupe de son frère handicapé).
Lorsqu'il reçoit ces appels du jeune Matteo qui prétend être le fils de Catherine, il multiplie les erreurs, bafoue les procédures. Impatient d'illuminer cette famille crucifiée, il permet à Catherine de visiter l'enfant à l'hôpital, autorise Matteo à venir s'installer chez elle, avant d'attendre le résultat du test ADN.
C'est à partir d'un fait divers qu'Alix de Maistre a bâti son thriller psychologique...
Suggestion de lecture, Le caméléon : « pour quelques jours d'amour, ça valait le coup »
Cinéma 04/03/2009 à 06h51, Libé, extrait
Tiens, revoilà du Bourdin !
Fait divers. «Pour un fils» évoque l’histoire du «Caméléon».
Bouleversée par un fait divers lu dans Libération, Alix de Maistre s’est attachée à réinventer les relations tordues entre une femme dévastée par le kidnapping de son enfant quinze ans auparavant (Miou-Miou) et un jeune imposteur qui prétend être son fils (Kevin Lelannier). Le film n’est pas très réussi (sauf Olivier Gourmet, émouvant dans le rôle du flic déboussolé par son enquête), mais tourne à nouveau les projecteurs sur le principal protagoniste du fait divers, Frédéric Bourdin. L’homme a emprunté tant de vies qu’il y avait de quoi faire plusieurs films. Les producteurs ne s’en sont pas privés, et Frédéric Bourdin veut à présent les faire payer.
Millau : les réponses de Claude Halmos
NDLR : Ce matin, une autre chronique ou interview diffusée par France Info était plus virulente, probablement satyrique, je ne la retrouve pas sur le net. L'opinion de Claude Halmos, psychanalyste et auteur de « L'autorité expliquée aux parents » sera parfaite pour ces notes. On attend maintenant les résultats des investigations...
Séquestration et loi Bachelot
France Info - 12:40
Au carrefour de l’info la mise en examen des parents ayant séquestré leur enfant et la loi Bachelot.
Un enfant difficile. C’est la raison que les parents d’un petit garçon de sept ans ont évoqué pour justifier sa séquestration pendant des années. L’enfant vivait dans une chambre aux volets toujours fermés, sans jouet, dans des conditions d’hygiène déplorables et était battu quotidiennement par son père. Les parents ont été mis en examen et écroué à Millau et le garçon a été placé dans une famille d’accueil. Comment un tel drame a-t-il pu survenir ? Pourquoi les services sociaux n’ont-ils rien vu ? Quel est l’avenir de cet enfant ?
Jean-Pierre Gauffre - Hier, 07:30, France Info, Ecouter la chronique (2'03")
Politique
L'Affaire Pérol va rebondir à l'Assemblée
Le Parisien | 06.03.2009, 16h13 | Mise à jour : 17h13, extrait
La polémique au sujet de la nomination par Nicolas Sarkozy de François Pérol à la tête du groupe Caisses d'épargne-Banque Populaire a du mal à retomber. Le président de la commission de déontologie, Olivier Fouquet, sera auditionné jeudi matin par la commission des lois de l'Assemblée nationale, a-t-on appris vendredi de source parlementaire.
Près de chez moi
Essonne (91)
Le commissaire de Juvisy sera jugé le 30 mars
Le Parisien ave AFP | 06.03.2009, 16h27
Le commissaire de police de Juvisy-sur-Orge (Essonne), soupçonné de détournement de fonds, devait être déféré vendredi après-midi devant le parquet de Créteil (Val de Marne), désormais saisi du dossier, et sera jugé le 30 mars devant le tribunal correctionnel.
Soupçonné d'avoir détourné une somme de 3.000 euros saisie et placée sous scellés dans le cadre d'une procédure judiciaire, le policier avait été placé jeudi en garde à vue par l'Inspection générale de la police nationale (IGPN). Il a reconnu les faits.
Lettres de menaces : le « suspect » parle
Lettres de menaces : le "suspect" parle sur Europe 1
Créé le 06/03/09 - Dernière mise à jour à 15h35 - Europe 1, extrait
La garde à vue de l'homme, un temps suspecté dans l'enquête sur les menaces de mort envoyées à Nicolas Sarkozy et à plusieurs personnalités politiques, a été levée jeudi soir. Sans qu’aucune charge ne soit retenue contre cet informaticien de 47 ans qui met désormais en cause son ex-compagne pour l’avoir dénoncé à tort. Sur Europe 1, cet homme raconte être "fatigué" mais assure être resté "calme et serein" tout au long de la procédure. "Le corbeau était un petit pigeon tout blanc", conclut-il.
Fausse piste dans l’enquête sur les lettres de menaces de mort
France Info - 14:00, extrait
L’homme entendu dans le cadre de l’enquête sur les menaces de mort adressées à plusieurs personnalités politiques, dont le chef de l’Etat, a été libéré sans qu’aucune charge ne soit retenue contre lui. Cet informaticien de 47 ans, militaire de réserve, soupçonné dans l’enquête sur les menaces de mort envoyées à Nicolas Sarkozy et plusieurs personnalités politiques, avait été interpellé mercredi à Montpellier.
C’est son ex-épouse qui l’avait mis en cause. Elle affirmait qu’il l’avait menacée dans des termes proches de ceux figurant dans les lettres de menaces contenant, chacune, une balle de 9mm.
Ni arme, ni balles, les enquêteurs n’ont retrouvé aucun indice matériel au domicile du suspect mais estimaient que la personnalité de cet homme pouvait correspondre à celle du "corbeau." "Il avait adressé des injures de toutes sortes à des familiers", soulignait-on de source proche de l’enquête. Depuis hier, Les policiers avaient cependant de sérieux doutes sur le bien fondé de cette piste.