Sarkozy à Metz : « l'axe franco-allemand est fondamental »
NDLR : J'ai l'impression que Sarkozy se moque du monde... l'axe franco-boche, « fondamental » ?
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Sarkozy plaide en Moselle pour "l'axe absolument fondamental "franco-allemand
Le Parisien | Publié le 01.01.2012, 18h41
Nicolas Sarkozy a plaidé en Moselle, où il est venu dimanche salué les travailleurs de la Saint-Sylvestre à Metz, pour "l'axe absolument fondamental" formé par la France et l'Allemagne, "un patrimoine" légué par les générations précédentes.
"Ici, je veux dire combien est absolument fondamental l'axe que forme l'Allemange et la france", a affirmé le président de la République, devant quelques 600 fonctionnaires (policiers, gendartmles, pompiers. ..), ayant assuré la permanence des services publics la nuit de la Saint-Sylvestre.
Il avait auparavant visité le centre régional d'information et de coordination routière (CRICR) de Metz. Claude Guéant (Intérieur) et Nadine Morano (Apprentissage) suivaient le cortège présidentiel.
"S'il y a une région où je peux dire cela en étant sûr d'être compris, quelque soit vos sensiblités politiques, c'est ici. La paix et l'amitié avec l'Allemagne, c'est un patrimoine que les générations nous ont donné", a-t-il ajouté.
"Vos grands-parents, peu importe qu'ils soient de gauche ou de droite, tous les présidents, tous les gouvernements ont travaillé à cette entente, à ce rassemblement", a-t-il argué.
"Faisons en sorte que personne n'y touche. Faisons en sorte, nous-mêmes, d'être les ambassadeurs de la nécessité de cette entente. Vos parents et vos grands-parents, ici, en Lorraine, ont tellement souffert qu'on ne pourrait pas accepter qu'on remette en cause cela", a-t-il également affirmé.
"Il y a la politique, et puis, il y a la France, ses intérêts supérieurs", a-t-il conclu.
AFP
Marche silencieuse samedi pour Estelle Mouzin
Mis à jour 02-01-2012 17:41, Metro
Marche silencieuse samedi pour Estelle Mouzin
Disparue depuis le 9 janvier 2003, la fillette de neuf ans n'a jamais été revue depuis. Guermantes, sa ville de Seine-et-Marne, se mobilise une nouvelle fois cette année.
HOMMAGE - L'association Estelle organise samedi 7 janvier à 15 heures, neuf ans presque jour pour jour après la disparition d'Estelle Mouzin, une marche silencieuse dans la ville de Guermantes (Seine-et-Marne). Comme chaque année, une centaine de personnes est attendue dans la commune, à l'occasion du neuvième anniversaire de la disparition le 9 janvier 2003 de l'enfant alors âgée de 9 ans. Le cortège défilera comme chaque année dans la ville avant de se recueillir à l'endroit où a été planté en 2005 "l'arbre du souvenir", près du lieu de la disparition de la fillette.
Des difficultés récurrentes...
Alors qu'une conférence de presse est organisée mardi au cabinet de Maître Didier Seban, avocat de la famille, Eric Mouzin devrait critiquer une nouvelle fois les problèmes de coordination manifestes entre la police, la justice et l'association. L'année dernière, il avait déploré que "huit ans après la disparition d'Estelle, les choses se compliquent chaque année un petit peu plus" évoquant notamment "la disparition des éléments de preuve".
Disparition d'Estelle Mouzin : le coup de colère de la famille
NDLR : Ca me fait rigoler. En mai 2010, Eric Mouzin s'était un peu moqué de moi, je me plaignais du fonctionnement des prétoires de mon coin, Nanterre, Antony et la cour d'appel de Versailles... Et voilà donc qu'à son tour, Monsieur Mouzin réclame un « contrôle », voire même un « changement de juge »
Disparition d'Estelle Mouzin : le coup de colère de la famille
TF1/LCI, le 03 janvier 2012 à 13h51 , mis à jour le 03 janvier 2012 à 13h54
Près de neuf ans après la disparition de la fillette, l'avocat de la famille demande le dessaisissement du tribunal de Meaux, qu'il estime "pas en mesure de traiter normalement un dossier aussi grave". Et il dénonce : "On a le sentiment que les enquêteurs sont livrés à eux-mêmes".
Voilà neuf ans, pratiquement jour pour jour, qu'Estelle Mouzin a disparu. C'était le 9 janvier 2003, en Seine-et-Marne ; depuis, aucune nouvelle de la fillette. Ce mardi, à moins d'une semaine de la date anniversaire de sa disparition, l'avocat de la famille a demandé le dessaisissement du tribunal de Meaux dans l'enquête, estimant qu'il n'est "pas en mesure de traiter normalement un dossier aussi grave".
"Les dossiers s'entassent dans le bureau du juge d'instruction (à Meaux) sans être classés. Aucune pièce, aucune cote n'est aujourd'hui lisible et donc on se demande si la justice est en mesure d'orienter l'enquête. On a le sentiment que les enquêteurs sont livrés à eux-mêmes, sans aucun contrôle judiciaire", a dénoncé Me Didier Seban, lors d'une conférence de presse à son cabinet parisien.
Quid de la piste Fourniret ?
Que demandent les proches de la jeune disparue dans cette affaire ? "A la fois une enquête par le président de la chambre de l'instruction sur les conditions dans lesquelles cette enquête est menée par le juge d'instruction à Meaux et également au procureur général près de la cour d'appel de Paris que le dossier soit soumis à la cour de cassation pour être transféré à une autre juridiction", a insisté Me Seban.
Un exemple des lenteurs dans cette affaire : en mai 2010, l'avocat avait demandé à la justice d'expertiser trois scellés provenant du dossier du tueur en série Michel Fourniret, condamné en mai 2008 à perpétuité pour sept meurtres de jeunes filles entre 1987 et 2001. "Plus d'un an et demi après cette demande, nous ne sommes pas en mesure de dire si les scellés ont été examinés et si ça a donné quoi que ce soit", a-t-il poursuivi, martelant que c'est "scandaleux qu'on fasse attendre M. Mouzin et la famille sans que des orientations d'enquête ne soient menées". Et d'insister : "La première manière d'écarter la piste éventuelle de Fourniret, c'est d'examiner les milliers de cheveux qui ont été retrouvés dans sa camionnette et qui peuvent nous donner peut-être une vérité".
De son côté, Eric Mouzin, le père d'Estelle, a estimé que "soit le juge décide de clôturer le dossier, soit on continue et si c'est le cas, on se donne les moyens de le faire".
le 03 janvier 2012 à 13:51
Nadine Morano est-elle le nouveau Frédéric Lefebvre ?
Nadine Morano est-elle le nouveau Frédéric Lefebvre ?
Publié le 04/01/2012 | 19:09 , mis à jour le 04/01/2012 | 21:26, France TV info, extrait
Contre les "Guignols de l'info". Contre les humoristes. Contre les internautes anonymes. Contre la gauche... Nadine Morano est une femme en colère. Depuis qu'elle a débarqué sur Twitter - membre depuis novembre, elle a déjà envoyé plus de 700 messages et compte près de 20 000 abonnés -, la ministre de l'Apprentissage fait feu de tout bois pour critiquer ses opposants. Au point de faire oublier Frédéric Lefebvre et ses dizaines de tweets acerbes, comme le soulignait cet article de L'Express.fr au temps où il occupait la fonction de porte-parole de l'UMP.
Là où la plupart de ses collègues continuent d'envoyer des tweets froids et aseptisés, Nadine Morano a décidé de parler "comme tout le monde". "J'ai le sens de la formule et de la repartie. Je n'y peux rien, c'est inné. C'est quelque chose qui m'amuse, j'adore jouer avec les mots", s'enorgueillit-elle dans un entretien au site PureMedias. Au risque de justement passer pour "Madame Tout-le-monde", notamment lorsqu'elle commet quelques fautes d'orthographe de frappe. Florilège de sa présence sur le réseau social... la suite sur FTVi
Vrai ou faux ? Quand Morano dénonce les « SMS salaces » de Moscovici
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Vrai ou faux ? Quand Morano dénonce les «SMS salaces» de Moscovici
Le Parisien | O.B. et PH.M. | Publié le 06.01.2012, 08h05
BUREAU DE VÉRIFICATION DE LA PETITE PHRASE
«Moscovici sur RTL en donneur de leçon (sic) en dignité. D’après la presse, il aurait échanger (sic) des SMS salaces avec DSK. Affaire Carlton à Lille». Nadine Morano, lundi sur Twitter, à propos de Pierre Moscovici.
N’IMPORTE QUOI
Nadine Morano s’abrite derrière « la presse » pour mettre en cause Pierre Moscovici, le directeur de la campagne de Hollande. A l’évidence, la ministre de la Formation professionnelle ne peut pas faire allusion au SMS envoyé par DSK à son ami Fabrice Paszkowski le 21 juin 2009 (cité par « Libération » du 10 novembre 2011) et ainsi libellé : « Parfait pour Mosco. Je te dirai lundi. » Rien de « salace » en effet dans ce message vague qui, surtout, n’était pas adressé à Moscovici ! Alors, à quels SMS la ministre du gouvernement Fillon fait-elle donc référence ? Et dans quels journaux auraient-ils été publiés ? Nous n’en avons retrouvé trace nulle part.
Difficultés à rafraîchir sa mémoire
Et Nadine Morano, que nous avons interrogée hier par téléphone, a le plus grand mal à rafraîchir sa mémoire : « Je crois que c’était dans VSD, le Point… ou peut-être l’Express, je ne m’en souviens pas précisément. » Et, malgré plusieurs relances de notre part, elle n’a pas été en mesure de nous fournir l’article auquel elle faisait allusion. « Ne cherchez pas, vous ne trouverez pas. J’ai fait moi-même procéder à des investigations, il n’y en a pas! » s’insurge Pierre Moscovici. Très remonté, le directeur de campagne de François Hollande ajoute : « Il s’agit d’une diffamation caractérisée, d’un mensonge éhonté de Morano, indigne de sa fonction. Elle le fait sur commande, dans un tweet de deux lignes avec deux fautes d’orthographe posté à minuit, qui se situe au niveau des poubelles. » Le député du Doubs indique avoir songé à porter plainte. Il a consulté un avocat : « Si j’attaque en diffamation, je gagne à tous les coups, m’a-t-il assuré. » Mais Pierre Moscovici préfère, pour l’instant, s’en tenir là : « Je n’ai aucune envie de me trouver confronté en quoi que ce soit avec Morano, ce serait me salir. » Hier soir, le tweet incriminant Pierre Moscovici avait disparu du compte de Nadine Morano…
Le Parisien
Sous la robe du juge, la vulnérabilité d’un homme
Voir aussi La rupture du couple, facteur notoire d'exclusion
07 janvier 2012, prdchroniques.blog.lemonde.fr, extrait
Sous la robe du juge, la vulnérabilité d’un homme
Un homme fait face à son abîme. Il s’y est préparé, il dit même que c’est un soulagement. La voix est ferme, le regard ne fuit pas. Mais c’est la barre qui le tient. Il l’agrippe pour celer le tremblement qui agite ses mains. Quand elles tremblent trop fort, il serre le poing à s’en enfoncer les ongles dans la paume.
Patrick Keil comparaissait vendredi 6 janvier devant la 17ème chambre du tribunal correctionnel de Paris, pour « corruption active » et « violation du secret professionnel ». Avant, il était magistrat. C’était il y a un peu plus de trois ans, une éternité.
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NDLR : J'aime bien ce communiqué de presse de Dati, « une provocation gratuite ». Son webmaster a-t-il vraiment et convenablement corrigé les failles de sécurité de son site ? J'ai des doutes...
De source http://www.rachida-dati.eu/category/communiques-de-presse
Deux élus UMP condamnés pour avoir diffamé Ali Soumaré
14h39, TF1/LCI
Deux élus UMP condamnés pour avoir diffamé Ali Soumaré
Deux élus UMP du Val-d'Oise ont été condamnés mardi par le tribunal correctionnel de Paris pour diffamation, après avoir qualifié en 2010 le candidat PS aux régionales Ali Soumaré de "délinquant multirécidiviste" sur la foi d'éléments partiellement erronés. Francis Delattre, sénateur-maire de Franconville, et Sébastien Meurant, maire de Saint-Leu-La-Forêt, ont été condamnés chacun à une amende de 1.000 euros avec sursis. Ils devront en outre verser un euro de dommages et intérêts à Ali Soumaré et publier le jugement dans trois organes de presse. Le 19 février 2010, en pleine campagne des élections régionales, les deux élus avaient diffusé un communiqué dans lequel ils décrivaient la tête de liste du PS dans le Val-d'Oise comme un "délinquant multirécidiviste chevronné". Dans leurs attaques, relayées le jour même par le député et tête de liste UMP du Val-d'Oise Axel Poniatowski, ils imputaient au jeune candidat d'origine malienne cinq affaires judiciaires sur la base de documents qui se sont révélés partiellement faux. L'une des condamnations concernait un homonyme mineur. Une autre pour rébellion envers la police, datant d'octobre 2009, faisait alors l'objet d'un appel et a depuis été infirmée par la cour d'appel de Versailles, qui a relaxé l'élu début 2011.
Avis de recherche, par la Maison d’enfants Elie Wiesel de Taverny
NDLR : Voir également Enquête « obérée » auprès des parents d'enfants placés. Nanterre, le TGI et la fac, des pourvoyeurs officiels de cautions pour des scientistes et des crevures ? J'ai surtout le sentiment que l'OSE pourrait avoir envie de faire établir que leurs stratagèmes pour « sauver » les enfants « placés » n'ont pu que leurs profiter.
De source www.ose-france.org
Le procureur Philippe Courroye fustige les « donneurs de leçon fielleux »
Actualité
15:16 - lundi 16 janvier 2012, Paris, maville.com
Le procureur Philippe Courroye fustige les "donneurs de leçon fielleux"
Le procureur de Nanterre, Philippe Courroye, a fustigé lundi lors de l'audience solennelle de rentrée du tribunal de grande instance de Nanterre les "donneurs de leçon fielleux dépourvus de mémoire et de bilan", valorisant son bon bilan à la tête du troisième parquet de France.
"Aux grandes consciences de tous bords qui brandissent haut l'étendard des grands principes tout en foulant au pied la présomption d'innocence et l'impartialité, aux donneurs de leçons fielleux dépourvus de mémoire et de bilan, aux accusateurs doctrinaires qui eux bafouent la justice en salissant des hommes et des actions sans connaître la moindre ligne du dossier ou du sujet sur lequel ils pérorent, il n'y a rien à répondre", a lancé M. Courroye.
"Le bilan que j'ai dressé, nos actions, notre conscience, notre sens du devoir, sont les seules réponses aux infamies qui déshonorent non ceux qu'elles visent mais ceux qui les profèrent", a-t-il ajouté, mettant en avant les 126.000 affaires pénales reçues en 2011 au parquet.
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Rama Yade a dû ouvrir sa porte au juge
Actualité > Elections Législatives 2012
LEGISLATIVES. Rama Yade a dû ouvrir sa porte au juge
Le Parisien | O.B. | Publié le 18.01.2012, 14h28
Le tribunal d’instance de Colombes a examiné hier la demande de Rama Yade de s’inscrire sur les listes électorales après le refus de la commission de révision, le 6 janvier. Face à elle et son avocat, Me Pierre Degoul représentait trois électeurs qui réclamaient au contraire qu’elle n’y soit pas inscrite. Selon eux, Rama Yade a menti sur sa domiciliation et n’habite pas la commune.
Pendant une heure, les deux parties se sont affrontées sur les pièces fournies par Rama Yade, par ailleurs candidate aux législatives à Asnières-Colombes, pour justifier sa domiciliation. L’élue d’opposition avait expliqué déménager en achetant un appartement rue Colbert.
« Le fond du problème, c’est cela, martèle Me Degoul. On peut aussi s’étonner qu’un élu de Colombes n’habite la ville que depuis le 7 décembre. » « Tout est fait pour gêner mon engagement politique avec des méthodes qui me déçoivent », riposte l’intéressée. A 15 heures, coup de théâtre. Alors que les plaidoiries viennent de s’achever, la juge frappe un grand coup. « Votre adresse de la rue Colbert est au cœur du problème. On y va tout de suite. Je veux voir votre domicile, on va crever l’abcès! »
Dans la salle d’audience, ce « transport » a l’effet d’un coup de massue.
Le Canard Enchaîné, assigné par Bouygues, défend son enquête
NDLR : J'attends avec impatience qu'un bavard ou qu'un imprudent critique mes sources
Accueil > Société
"Pentagone français": Le Canard Enchaîné, assigné par Bouygues, défend son enquête
LEMONDE.FR | 18.01.12 | 14h14 • Mis à jour le 18.01.12 | 22h35, extrait
"Pentagone français", volet délit de presse. Mercredi 18 janvier se tenait à la 17e chambre du tribunal de grande instance de Paris l'audience opposant le groupe Bouygues au Canard enchaîné. Le géant du BTP a assigné l'hebdomadaire satirique en diffamation et lui réclame la somme de 9 millions d'euros pour un article l'impliquant dans d'éventuels faits de corruption dans le cadre du contrat de construction et de gestion du futur ministère de la défense.
En décembre, Le Canard enchaîné avait révélé qu'une information judiciaire avait été ouverte par le parquet de Paris pour "corruption active et passive", "trafic d'influence" et "atteinte à la liberté d'accès et à l'égalité des candidats dans les marchés publics". Le 14 décembre, le PDG du groupe, Martin Bouygues, avait affirmé aux Echos que le géant du BTP allait saisir la justice "afin de défendre son image et sa réputation" face à de "fausses accusations gravement diffamatoires qui lui portent considérablement préjudice tant en France qu'à l'international".
"HUIT SOURCES DIFFÉRENTES"
Les auteurs de l'article ont défendu mercredi la rigueur de leur enquête. Trois journalistes du Canard se sont succédés à la barre pour décrire les étapes de leurs investigations depuis la première information obtenue par l'un deux, recoupée par ses collègues, jusqu'à la parution finale, après plusieurs semaines d'enquête. "Nous ne nous communiquons pas nos sources entre nous, nous en faisons part au rédacteur en chef qui vérifie que ce ne sont pas les mêmes", a développé Christophe Nobili, l'un des auteurs de l'article. Avec un total de "huit sources différentes", il a estimé que l'hebdomadaire satirique avait pris "toutes les précautions s'imposant".
L'avocat du groupe Bouygues, Me Olivier Metzner a fait feu de tout bois pour montrer que cette affaire est "le procès du ragot, de la rumeur, de tout ce qui est anonyme". "On vous affirme des choses que tout le monde dit […], on va comme ça à l'aventure, on se contente de bruits qui n'ont pas l'autorité de la chose jugée", a ajouté Me Olivier Metzner, s'interrogeant sur l'identité des "sources" : "celui qui fait les photocopies ? Celui qui fait le café ?".
"UNE SOMME TOTALEMENT DÉLIRANTE"
Pour attester de sa crédibilité, Le Canard avait fait citer deux journalistes de l'AFP et de Reuters qui avaient eu, de source judiciaire, confirmation de l'information de l'hebdomadaire sur l'ouverture d'une instruction confiée à deux juges parisiens sur les conditions d'attribution de ce marché de grande envergure.
Le monde du piratage perd Megaupload
Si ce dessin vous plait, nous - clubic.com - serons ravi que vous le diffusiez.
Faites le de préférence sans le modifier et en précisant la source, merci !
J'assume
« Est-ce que c'est approprié », pourrait-on, un jour, à nouveau me demander. Je pense avoir déjà répondu à une question similaire. Ces jours ci, j'ai préparé des observations, puis des conclusions, en prévision d'une ultime audience, en chambre des mineurs ou des créatures inférieures. J'avais fait appel d'un jugement rendu en septembre dernier, par le juge des enfants de Nanterre, appel que je vais évidemment maintenir. J'assume, ici, comme sur Twitter, ainsi que sur Facebook. Demain, à huis-clos, j'assumerais également, comme d'habitude. Un jour, la quille suivra... ou pas.
De conclusions, de la page de couverture
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Ilan Halimi : l’« appât » au bout de sa peine ?
NDLR : A mon avis, Libé n'est pas crédible, Emma n'est pas au bout de sa peine maintenant que son portrait a été diffusé par le Parisien et par Paris-Match. Je suis content d'avoir insisté, cet après midi, à la cour d'appel de Versailles, content de ne pas pas m'être désisté. Après quelques échanges avec la Présidente, j'y ai déposé mes conclusions dans lequelles j'évoquais, entre autres, le sujet de la réinsertion (de Jean-Luc Delarue). Mais il y a plus intéressant que toutes ces histoires là, par exemple, une nouvelle émission de France Inter : A votre écoute coûte que coûte.
Actu-Match | vendredi 20 janvier 2012
Ilan Halimi. L’"appât" libre
Emma, condamnée en 2009 à neuf ans de réclusion pour avoir été l’appât d’Ilan Halimi, ce jeune juif torturé à mort en 2006 par le «Gang des barbares», a bénéficié d’une libération conditionnelle.
Lucie Dancoing - Parismatch.com
Elle était le personnage sulfureux du «Gang des barbares». Une jeune femme qui sort littéralement de l’ombre aujourd’hui. Accusée de complicité dans l’assassinat précédé de tortures d’Ilan Halimi, Emma, 23 ans, a été condamnée en appel à neuf ans de réclusion criminelle en décembre 2010. Selon les informations du «Parisien», la jeune femme a bénéficié d’une libération conditionnelle.
«Elle est même allée au-delà de la date à laquelle elle pouvait prétendre à une sortie», a déclaré son avocate, réfutant tout «traitement de faveur». Contactée par ParisMatch.com, Me Dominique Attias, a confirmé la libération de sa cliente mais refusé de s’exprimer davantage. «Il faut laisser cette jeune femme tranquille, qu’elle se reconstruise. Je crois en une chose qui est devenue négative aujourd’hui: la réinsertion.»