Catégorie: La dalle de Marina
Carlton de Lille : la garde à vue de DSK prolongée
Carlton de Lille : la garde à vue de DSK prolongée
Publié le 21/02/2012 | 06:31 , mis à jour le 21/02/2012 | 19:13, FTVi, extrait
Une juge d'instruction est attendue en début de soirée, mardi 21 février, à la caserne de gendarmerie de Lille (Nord) pour prolonger la garde à vue de Dominique Strauss-Kahn, selon une source proche du dossier. L'ancien directeur général du Fonds monétaire international (FMI) a été placé en garde à vue mardi peu avant 10 heures, pour "complicité de proxénétisme" et "recel d'abus de biens sociaux", dans le cadre de l'affaire du Carlton de Lille.
La garde à vue de DSK peut théoriquement se prolonger jusqu'à 96 heures, mais elle devrait plutôt durer 48 heures. A l'issue de sa garde à vue, il peut être libéré sans poursuites, ou être déféré dans la foulée devant les juges. Ces derniers peuvent également le convoquer ultérieurement.
Marina : mea culpa des services sociaux
Marina: mea culpa des services sociaux
AFP, 15/09/2009 | Mise à jour : 14:28
Le conseil général de la Sarthe a reconnu aujourd'hui que la mort de Marina était un "échec" pour ses services sociaux même si "les professionnels ont fait correctement leur métier au regard de la procédure". "C'est un échec, parce qu'il y a mort d'un enfant: il y a un échec global dans la prise en charge de la situation, pour autant, on est dans l'humain et quels que soient les moyens mis en oeuvre, on ne peut pas tout empêcher", a déclaré à l'AFP le directeur général des services du conseil général, Claude Faucher.
"C'est une situation d'échec que cette enfant soit décédée, on ne peut se satisfaire de cette situation, on va évaluer les modalités d'intervention pour voir comment améliorer la prise en charge des situations et la coordination des différents services", justice, éducation nationale et collectivités locales, a-t-il ajouté dans un entretien par téléphone.
Sur le Monde : Brice Hortefeux, un habitué des propos polémiques
NDLR : Bah, tout cela, ce ne sont rien que des mots, des phrases ainsi que quelques opinions et ressentis, occasionnellement des images, des unes, et beaucoup de « fictions » également. Quelle importance, pourquoi toutes ces polémiques ? Qu'en pense le SNEP ? Je crois que le Monde 2 du week-end est un collector, à classer pas loin d'un récent Marianne et d'un Libé au moins. Je vais relire un programme télé... Je me demande pourquoi des juges et le pasteur souhaiteraient que je « supprime » mon blog, il ne contient rien que des mots et des images, quelques discours et parfois des constats, dont beaucoup ont été produits par d'autres.
Brice Hortefeux, un habitué des propos polémiques
LE MONDE | 12.09.09 | 14h43 • Mis à jour le 12.09.09 | 15h27, extrait
A peine installé place Beauvau, Brice Hortefeux, ministre de l'intérieur, avait prévu de se protéger des aléas de sa fonction, en exigeant un compte-rendu précis des événements nocturnes dès 6 h 30 chaque matin. Pas question, expliquait-il, d'être pris au dépourvu en découvrant à la radio une information sensible. Mais c'est dans un tout autre cadre, dans l'ambiance décontractée de l'université d'été de l'UMP, à Seignosse (Landes), le 5 septembre, que les ennuis sont venus. Sitôt les images d'une vidéo de Seignosse diffusées, où l'on entend le ministre dire, face à un jeune militant d'origine arabe "quand il y en a un ça va, c'est quand il y en a beaucoup qu'il y a des problèmes", la polémique a enflé. "Pour qu'il y ait excuses, il faudrait qu'il y ait faute", a riposté M. Hortefeux dans un entretien, samedi 12 septembre à Libération, en dénonçant un "lynchage médiatique". Mais les témoignages ont surgi.
Frédéric Mitterrand hué lors de la Fête de l'Humanité
LEMONDE.FR avec AFP | 13.09.09 | 09h01, extrait
Le ministre de la culture, Frédéric Mitterrand, n'est pas le bienvenu à la Fête de l'Humanité. C'est en tout cas ce que lui ont signifié plusieurs dizaines personnes à son arrivée dans les allées de ce rendez-vous de rentrée politique du PCF. "Mitterrand dehors !", ont-elles lancé alors que le ministre de la culture, arrivé à 16 heures, se rendait au stand du livre de la Fête de l'Humanité. Des insultes ont également fusé: "Mitterrand racaille !", "social-traître" et "cass' toi pauvre con", une interjection lancée par le président Nicolas Sarkozy lors d'une visite du salon de l'Agriculture en mars 2008, à un homme qui refusait de lui serrer la main.
Reportage
Carlos, dans le viseur d'Olivier Assayas
LE MONDE 2 | 11.09.09 | 15h37 • Mis à jour le 13.09.09 | 11h02, extrait
Pour l'heure, en ce début juillet, la vieille dame – 86 ans – est recluse dans sa cuisine et surveille du coin de l'œil une grande agitation dans sa maison qui a été entièrement déménagée. C'est chez elle, en effet, que le réalisateur Olivier Assayas a installé sa caméra et son équipe pour les dernières scènes de son téléfilm Carlos, un triptyque de trois fois quatre-vingt-dix minutes sur la vie du terroriste vénézuélien Ilitch Ramirez Sanchez. La série, tournée en cinémascope 35 mm, devrait être diffusée sur Canal+ en février 2010 puis en salles dans une version multilingue de deux heures et demie.
Les parents de la petite Marina ont été mis en examen pour homicide volontaire
LEMONDE.FR avec AFP | 11.09.09 | 11h06 • Mis à jour le 13.09.09 | 09h08, extraits
Le parents de la petite Marina, retrouvée morte vendredi, ont été mis en examen samedi 12 septembre pour homicide volontaire, séquestration et violences habituelles sur mineur, a indiqué la procureure adjointe de la République du Mans. Le père de Marina a alerté la police mercredi soir affirmant que sa fille de 8 ans avait disparu. Elle a été retrouvée morte au Mans, vendredi après que son père, placé en garde à vue, a avoué que l'enlèvement était imaginaire. [...] Ouest-France indiquait, vendredi, que Marina avait récemment fait l'objet de deux signalements pour suspicion de maltraitance.
La bonne parole du président de HSBC
NDLR : Le proc' nous dit que « après coup, c'est facile »... ca change des refrains usuels, une dalle de béton, plutôt qu'une chape de plomb. Assez globalement, dans ces histoires, j'entends souvent « c'est pas nous ! »
RTL info | 12 sept. 2009 | Màj 11h40
Marina : des soupçons de maltraitance existaient
Terrible épilogue dans la disparition de Marina dans la Sarthe. Le corps sans vie de la fillette de 8 ans a été retrouvé tôt vendredi dans un entrepôt d'une entreprise de déménagement de la banlieue du Mans, où travaillait son père. Ce dernier est passé aux aveux : il a reconnu avoir inventé l'histoire de la disparition. Il a été placé en garde à vue avec son épouse. La mort de l'enfant remonterait à début août. Le cas de Marina avait fait l'objet de signalements aux services sociaux, notamment pour absentéisme scolaire. Des traces de coups avaient également été constatées en 2007 par la directrice de son école.
Un son de Christian Panvert, 12 sept. 2009. La petite fille et ses frères et soeurs n'avaient pas mis les pieds à l'école depuis la rentrée. Les autorités nient tout disfonctionnement des services sociaux.
La bonne parole du président de HSBC
Le Figaro, 12/09/2009 | Mise à jour : 10:51
CONFIDENTIEL - Une partie du gratin du business français avait rendez-vous, vendredi matin à Paris, dans l’arrière-salle de la librairie Galignani, chez l’ancien patron des AGF, Antoine Jeancourt-Galignani, pour écouter la bonne parole du président de la troisième banque mondiale HSBC. Pasteur à ses heures perdues, francophile, Stephen Green (notre photo) refuse de compartimenter sa vie de banquier et sa morale. Un homme de culture, un homme de foi et un banquier, bref, un être improbable », comme l’a présenté l’ex-patron de HSBC France, Charles-Henri Filippi. Auteur de « Good Value. Reflections on Money, Morality and an Uncertain World » (Éditions Penguin), le patron britannique a mêlé les références à Confucius, saint Paul ou Karl Marx pour disserter sur la légitimité des bonus des traders. Sa conviction : si la finance a besoin de plus de règles et de plus de transparence, un plafonnement par la loi n’est pas la bonne solution.
A la une, Ouest-France, extrait
vendredi 11 septembre 2009
Mort de la petite Marina : le corps retrouvé sous une dalle en béton
« Nous avons retrouvé le corps à l’endroit que son père avait indiqué : un containeur placé dans un entrepôt du quartier Californie, au Mans. A priori, il n’y a pas de traces de violences apparentes. » Joëlle Rieutort, procureure de la République au tribunal du Mans, a confirmé, ce matin, la mort de Marina, 8 ans, dont la disparition a été annoncée mercredi soir. D’après la magistrate, le père, déménageur, affirme avoir mis le corps « dans une benne bétonnée, dans un entrepôt dont pouvaient disposer les employés de son entreprise ». D’après une source proche de l’enquête, le corps aurait été retrouvé sous une dalle de béton, coulée sur la fillette.
Fai tot petar miladiu !
NDLR : Une traduction serait la bienvenue... Hortefeux a-t-il décidé de sponsoriser du coca ?
Faits divers
SARTHE
Mort de Marina : les parents en garde à vue
Le Parisien | 10.09.2009, 09h39 | Mise à jour : 11.09.2009, 12h04, extraits
Le corps sans vie de la petite Marina, 8 ans, disparue mercredi soir dans la banlieue du Mans (Sarthe), a été retrouvé vendredi matin par les enquêteurs. Les parents de la fillette ont été placés en garde à vue. Il ne s'agissait donc pas d'une disparition, ni d'un enlèvement comme avait voulu le faire croire le père de Marina. Mercredi soir, l'homme avait donné l'alerte, indiquant que sa fille de 8 ans avait disparu sur le parking du restaurant McDonald's de Saint-Saturnin, au nord du Mans. La fillette était en réalité morte depuis le début du mois d'août. Après l'alerte, et alors que 150 gendarmes participaient aux recherches, les enquêteurs ont rapidement eu des soupçons sur les parents. Notamment parce que plusieurs signalements pour maltraitance concernant cette famille avaient été enregistrés ces derniers mois. Lors d'une conférence de presse, vendredi matin, Joëlle Rieutort, la procureure du Mans, a également évoqué des «éléments troublants» et notamment «que l'on n'avait pas beaucoup de traces» de cette petite fille «depuis mai, juin...» Jeudi soir, le père a été placé en garde à vue et a admis durant la nuit avoir inventé l'histoire de disparition. «Assez rapidement, lorsque les gendarmes lui ont pointé les incohérences, il en est venu à dire que l'enlèvement était imaginaire, en fin de nuit», explique Joëlle Rieutort qui confirme : «Il ne s'est rien passé au McDonald's mercredi soir».
Faits divers
HAUTE-GARONNE
Affaire Julie : deux personnes mises en examen
Le Parisien | 10.09.2009, 07h55 | Mise à jour : 11.09.2009, 20h27, extrait
Deux personnes, un homme et une femme, ont été mises en examen vendredi à Toulouse dans l'affaire de la fugue de la jeune fille de 14 ans qui avait été victime de viols avant d'être retrouvée à Toulouse le 25 août 5 jours après sa disparition. «Toutes les personnes que nous recherchons dans cette affaire n'ont pas encore été interpellées», a ajouté le procureur, les investigations se poursuivent en direction d'autres personnes pouvant être impliquées».
Brice Hortefeux au centre d'une violente polémique
LE MONDE | 11.09.09 | 15h18 • Mis à jour le 11.09.09 | 15h18, extrait
Les associations antiracistes, elles aussi, condamnent les propos du ministre de l'intérieur. Le Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (Mrap) a accueilli "avec stupeur mais sans surprise" les mots "racistes" de M. Hortefeux. Pour la Ligue des droits de l'Homme (LDH), Jean-Pierre Dubois s'interroge : "Comment un ministre peut tenir ces propos après avoir sanctionné un préfet pour les mêmes raisons ?"
Politique
Le Mrap dénonce "une dangereuse obsession des origines"
Le Parisien | 10.09.2009, 18h29 | Mise à jour : 19h57, extrait
Le MRAP a réagi, dès jeudi en fin d'après-midi, aux propos du ministre de l'Intérieur, tenus dans une vidéo diffusée sur le site du journal Le Monde. Des propos que le Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples n'hésite pas à qualifier de "racistes", faisant référence notamment à c qu'il définit comme « la phrase-clé» de la scène, quand Brice Hortefeux affirme : « Il ne correspond pas du tout au prototype. Ce n’est pas du tout ça.. Il en faut toujours un. Quand il y en a un, ça va. C’est quand il y en a beaucoup qu’il y a des problèmes. »