Catégorie: La fugue
Un mois de prison ferme pour la mère de Yasmine
Faits divers
Un mois de prison ferme pour la mère de Yasmine
| 30.11.2008, 07h10 | Mise à jour : 01.12.2008, 13h19, extrait
La mère de la petite Yasmine a été condamnée ce lundi à trois mois de prison dont un mois ferme pour avoir inventé la disparition de sa fille de 2 ans et demi samedi après-midi en Seine-et-Marne. Elle écope de surcroît d'une amende de 2000 euros.
Affaire Filippis/Sarkozy: Joffrin satisfait
AFP, 01/12/2008 | Mise à jour : 19:07
Le directeur de Libération, Laurent Joffrin, a dit "constater avec une certaine satisfaction" que le président Sarkozy avait "contredit sa ministre de la Justice et sa ministre de l'Intérieur" après l'interpellation du journaliste Vittorio de Filippis.
"Je constate avec une certaine satisfaction que le président de la République a contredit en deux phrases sa ministre de la Justice et sa ministre de l'Intérieur, et que le problème que nous avons soulevé est un vrai problème, tel qu'il l'a lui-même confirmé. Un problème qui ne se pose pas seulement pour les journalistes mais pour l'ensemble des citoyens", a-t-il déclaré à l'AFP.
Nicolas Sarkozy a fait savoir ce soir qu'il comprenait "l'émoi" suscité par l'interpellation de Vittorio de Filippis, et annoncé une mission chargée de réfléchir à "une procédure pénale plus respectueuse des droits et de la dignité des personnes".
A propos de cette mission, M. Joffrin a estimé que c'était "une très bonne chose, à condition que cette commission ne soit pas nommée pour enterrer la question".
La Garde des Sceaux Rachida Dati a jugé que la procédure dans l'interpellation de Vittorio de Filippis était "tout à fait régulière" et la ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie a assuré que la police avait "suivi les procédures" pour exécuter le mandat d'amener.
Enfant disparue : la mère voulait que son mari rentre
SEINE ET MARNE
Enfant disparue : la mère voulait que son mari rentre
NOUVELOBS.COM | 30.11.2008 | 16:16
La fillette de deux ans et demi avait été déclarée disparue samedi, puis retrouvée saine et sauve pendant la nuit. La mère a avoué avoir tout inventé pour que son mari réintègre le domicile conjugal. Elle est en garde à vue.
Une mère en garde à vue après la fausse disparition de sa fille
Des réactions...
Encore!
30/11/2008 à 11:25
Mais qu'est ce que ca fait sur la page d'un quotidien national!? Le jour où mon chat fera une fugue puis reviendra la semaine d'apres, j'ai peur de retrouver son histoire ici!
J'imagine déjà la couverture "Sept bouts de papiers ont été gachés pour retrouver un faux-chat fugueur. L'amazonie porte plainte pour destruction de sa foret. Le propriétaire du chat est en garde à vue".
Une mère en garde à vue après la fausse disparition de sa fille
AFP, 30/11/2008 | Mise à jour : 10:34
Elle est soupçonnée d'avoir inventé l'histoire de cette disparition. Un problème familial serait à l'origine de l'affaire.
La mère d'une fillette de deux ans et demi portée disparue samedi en Seine-et-Marne puis retrouvée «saine et sauve» quatorze heures après sa disparition était en garde à vue dimanche en début de matinée, a-t-on appris de sources judiciaire et policière. La mère, qui est soupçonnée d'avoir inventé l'histoire de la disparition de sa fille, a passé la nuit en garde à vue au commissariat de Noisiel, en Seine-et-Marne, a indiqué la source judiciaire. Cette source a déclaré que la mère était entendue par les enquêteurs, sans préciser si elle allait être mise en examen ou non. «A notre niveau, tout ce qu'on sait c'est que c'est un problème familial, le couple était séparé, la gamine a été remise au père saine et sauve», a-t-on expliqué de source policière. «En fait elle n'a jamais été en danger, elle n'a jamais été perdue», a-t-on ajouté de même source.
Elle avait enlevé ses enfants : un an avec sursis requis
Elle avait enlevé ses enfants d'un foyer de Meaux, un an avec sursis requis
AFP 10.11.08 | 17h47
Un an de prison avec sursis a été requis lundi à l'encontre d'une femme accusée d'avoir organisé, avec l'aide de sa soeur, l'enlèvement de ses enfants, en décembre 2006, d'un foyer de Meaux (Seine-et-Marne) où elle les estimait injustement placés.
Le procureur adjoint André Ribes a requis la même peine à l'encontre de la soeur, absente à l'audience. Brigitte et Véronique Nagy, toutes deux âgées de 46 ans avec onze mois d'écart, comparaissaient pour "soustraction de mineurs de moins de 15 ans par ascendant hors de la République", un délit passible de trois ans de prison.
Selon l'accusation, les deux soeurs étaient venues chercher le 16 décembre 2006 Vincent et Cassandra, âgés alors de 11 et 9 ans, du foyer de l'Enfance de Meaux où ils avaient été placés par un juge des enfants de Melun par une ordonnance de placement provisoire du 9 octobre 2006.
Puis les enfants avaient pris avec leur tante un train à destination de Rome, où ils avaient été retrouvés le 20, dans un couvent, grâce au témoignage d'une Française.
Jugée pour avoir organisé la fugue de ses enfants en Italie
PROCES.
Jugée pour avoir organisé la fugue de ses enfants en Italie
leparisien.fr | 10.11.2008, 07h00
Une mère comparaît à partir d’aujourd’hui à Meaux pour avoir organisé, avec sa soeur, la fuite de ses enfants vers l’Italie. Séparée de son mari, elle ne supportait pas que son fils et sa fille aient été placés dans un foyer. Elle risque trois ans de prison.
Fausse disparition : un épilogue peut-être provisoire
NDLR : Un épilogue peut-être provisoire ? Des fillettes « complètement consentantes », d'après la procureure ? La mère a aussitôt rencontré ses filles au sein de l'unité pédiatrique de l'hôpital Maison-Blanche où les psychologues et le juge aux affaires familiales ont mis au point « une nécessaire phase de réadaptation » ?
Dans cet article, on reconnait bien les discours français : « éviter des drames », « éviter de nouveaux scandales », « faire taire les critiques ». Revoir les communications et des dossiers tel que celui de la protection de l'enfance ou celui des tribunaux de commerce...
Accueil » Actu » Société
Publié le 19/10/2008 09:11 - Modifié le 19/10/2008 à 11:15 | LaDepeche.fr
Fausse disparition : Sophie et Valérie chez leur mère en Italie
Epilogue peut-être provisoire de la fausse disparition de Sophie et Valérie : les deux adolescentes, 11 et 13 ans, réapparues jeudi à Reims sont reparties vendredi soir en Italie. Avec leur mère. Et « complètement consentantes », d'après la procureure de la République de Reims.
Leur père, un Franco-Italien, l'un de leurs oncles et deux proches ont été mis en examen pour « soustraction de mineures ». Ils ont été laissés en liberté.
Sophie et Valérie étaient depuis des mois l'enjeu d'un conflit entre leurs parents séparés, leur père les ayant soustraites, avant leur « disparition », à la garde de leur mère, une Italienne de 37 ans résidant en Calabre, Katia Navigante. Celle-ci avait fait onze heures de route depuis Milan pour rejoindre Reims. Là, elle a aussitôt rencontré ses filles au sein de l'unité pédiatrique de l'hôpital Maison-Blanche où les psychologues et le juge aux affaires familiales ont mis au point « une nécessaire phase de réadaptation ». Katia Navigante n'avait pas vu Sophie et Valérie depuis quatorze mois. Son ex-mari, Renaldo, a confié sa « détresse de père bafoué par la justice. » Accusant Katia de maltraiter ses filles, il a déclaré que celles-ci lui ont demandé de « les protéger » : « J'étais prêt à risquer la prison pour les sauver ». Il veut maintenant « se battre dans la légalité ».
Ces enfants ballottés entre deux pays
La triste histoire de Valérie et Sophie met en lumière le drame des enfants issus de couples binationaux - 350 000 se marient chaque année au sein de l'Union européenne, et 170 000 divorcent. Les associations spécialisées dénombrent, chaque année, 300 cas d'enfants enlevés hors du territoire national par l'un de leurs parents.
La question du divorce de ces couples est, au sein des « vingt-sept », une source de discorde. Les législations sont en effet disparates. Malte, par exemple, ne reconnaît pas le divorce. L'Irlande l'admet, mais de façon restrictive. Les Pays-Bas, la Belgique, l'Espagne et les pays scandinaves ont dépoussiéré leurs textes relatifs au divorce. L'Allemagne, elle, accorde systématiquement la garde de l'enfant au parent de nationalité allemande.
Il y a deux ans, la Commission européenne a proposé un réglement donnant aux époux en instance de divorce le droit de choisir la juridiction compétente et la loi applicable à leur litige. Mais la Suède a opposé son veto à ce réglement, refusant l'idée qu'un tribunal suédois doive appliquer une loi sur le divorce moins libérale que la sienne. Neuf pays européens - dont la France - entendent mettre en place des accords de coopération renforcée afin de faciliter les démarches. Et d'éviter de nouveaux drames.
Un exemple parmi des dizaines : à Clermont-Ferrand, dans le Puy-de-Dôme, une mère, Cécile Sharp, n'a plus de contacts depuis quatre mois avec ses enfants. Elle accuse son mari américain d'avoir enlevé Chloé (11 ans), Emma (7 ans) et Simon (3 ans). Cécile avait épousé Timothy aux Etats-Unis. Le couple s'était installé en France en 2005.
Trois ans plus tard, elle a demandé le divorce, la garde principale des enfants et l'interdiction pour son mari de quitter le territoire français avec eux. Elle a appris par un e-mail que Timothy se renseignait sur les inscriptions scolaires au Texas. En juin, la juge a donné raison à Cécile. Trop tard : le père et les enfants avaient disparu. La mère a saisi la justice. Elle n'a pu se constituer partie civile, le procureur soutenant l'absence d'infraction.
Enquête : Les fugueuses de Reims, les dessous de l'affaire
19 octobre 2008 - 16h55 - TF1-LCI
Les deux soeurs qui avaient disparu sont réapparues. Les équipes de Sept à huit ont suivi depuis le début de l'affaire, les protagonistes en France et en Italie.
Les « disparues de Reims » reparties en Italie avec leur mère
Faits divers
Les "disparues de Reims" reparties en Italie avec leur mère
leparisien.fr avec AFP | 18.10.2008, 11h39 | Mise à jour : 12h14
Les deux soeurs de 11 et 13 ans réapparues jeudi à Reims, après que leur père et des proches ont organisé leur fausse disparition pendant dix jours, sont reparties vendredi soir en Italie avec leur mère. «Elles sont reparties hier soir avec leur maman, elles étaient d'accord pour repartir», a déclaré à l'AFP la procureure de la République de Reims, Madeleine Simoncello, ajoutant que «l'histoire se (terminait) bien».
«Elles sont reparties complètement consentantes, contrairement à ce que l'on avait pu dire», a-t-elle ajouté.
Reims : le père avoue être à l'origine de la fugue
Reims : le père avoue être à l'origine de la fugue
lefigaro.fr avec AFP et AP, 17/10/2008 | Mise à jour : 21:35
Le père et l'oncle de Sophie et de Valérie ont été mis en examen pour avoir organisé la disparition des deux adolescentes pendant dix jours.
Le père et l'oncle de Sophie et de Valérie, ces deux sœurs qui s'étaient volatilisées pendant dix jours du domicile paternel de Reims, avant de réapparaître comme si de rien n'était jeudi, ont tout avoué : oui ils ont bien monté de toutes pièces la « disparition » des jeunes filles. Les deux hommes, qui ont passé 24 heures en garde à vue, ont été mis en examen vendredi pour soustraction de mineurs et laissés libre sous contrôle judicaire. Les deux amis du père de Sophie et de Valérie qui avaient également été placés en garde à vue jeudi, ont, dans la soirée, été mis en examen et placés sous contrôle judiciaire. Ils sont soupçonnés d'avoir caché et hébergé les fillettes l'un à Reims et l'autre dans l'Aisne.
La piste de la fugue organisée est privilégiée par les enquêteurs depuis la réapparition dans la cour de leur collège de Sophie et de Valérie. Les deux sœurs, âgées de 11 et 13 ans, portaient des vêtements propres et étaient bien nourries. Rien ne suggérait dix jours d'errance en pleine nature. Leur fugue est survenue quatre jours à peine après que la cour d'appel de Reims ordonne le retour des fillettes chez leur mère en Italie. Dans la chambre des adolescentes, une lettre proclamait : «nous préférons mourir que retourner en Italie». «On peut supposer que cette lettre n'a pas été écrite volontairement», avance le procureur de Reims, Madeleine Simoncello.
« Il a mené tout le monde en bateau »
Sophie et Valérie ont probablement été « relâchées » à cause de la vaste opération de perquisitions qu'a menée la police, jeudi à l'aube, chez une vingtaine de domiciles de proches de leur père, à Reims et dans les alentours. Ce qui aurait contraint les organisateurs du pseudo-enlèvement à laisser Valérie et Sophie retourner à leur école. La magistrate, en charge de l'affaire, a prévenu que les auteurs et complices de cette mise en scène seraient sévèrement poursuivis. « Il a mené tout le monde en bateau, il nous a bernés et fait travailler pour rien », s'est insurgée Madeleine Simoncello.
Les deux fillettes, au centre d'un divorce très douloureux, ont retrouvé leur mère vendredi. « Je suis contente parce qu'elles sont en bonne santé, et on s'est vues pour la première fois depuis 15 mois », s'est réjouie Katia Navigante, 37 ans. « Elles sont belles. Pour le moment, je suis fatiguée, très fatiguée. C'est mes filles qui m'intéressent. Les autres choses, ce n'est pas à moi de juger », a-t-elle ajouté.
Nées en Italie, Sophie et Valérie ont quitté ce pays pour Reims avec leur père à l'été 2007. Leur mère, résidant en Calabre à Lamezia Terme, et qui en avait la garde, a alors saisi la justice pour les récupérer. En juillet dernier, un juge de Reims avait ordonné une expertise psychologique des enfants - le père accusant la mère de maltraitance, et celle-ci l'accusant de manipuler ses filles. « Ces deux enfants ont été conditionnées par l'entourage de leur père », a déploré l'avocate de Katia Navigante.
Probablement du JDD, 12 octobre 2008
Fugue à Reims : Le père est soupçonné d'avoir organisé la disparition
Le père des jeunes fugitives de Reims soupçonné d'avoir organisé leur disparition
AP, extrait
"Il ne parle pas beaucoup, mais Renaldo Galtieri est directement impliqué dans la disparition de ses filles, Valérie et Sophie", a déclaré jeudi à l'Associated Press le procureur de la République de Reims, Madeleine Simoncello.
La magistrate ne cache pas sa colère. Le père "a mené tout le monde en bateau et nous a bernés. C'est inadmissible, je ne ferai pas de cadeau. Il a fait travailler une cinquantaine de policiers. Il est en garde à vue de même qu'un frère et deux amis, tous des hommes de 35 à 40 ans". Le procureur ajoute que "d'autres personnes pourraient être inquiétées. La responsabilité de chacun sera étudiée".
Mme Simoncello précise que la piste familiale avait d'emblée été ciblée, en raison de "coïncidences troublantes, mais aucune piste n'a été négligée". Des écoutes téléphoniques et une surveillance discrète ont permis aux policiers de suivre le scénario. Grâce à "une organisation familiale", souligne le procureur, les deux soeurs ont été déplacées au fil des jours. Leur réapparition jeudi matin "survient après des descentes de police" dans la matinée, note-t-elle.
Les soeurs âgées de 11 et 13 ans ont en effet réapparu dans leur établissement scolaire, le collège Maryse-Bastié à Reims, cartable sur le dos, comme si elles n'avaient jamais disparu. Elles "donnaient l'impression de deux élèves qui venaient de rater le bus et qui avait un quart d'heure de retard, c'est tout", a témoigné sur RTL Dany Alary, le principal du collège.
Entendues par les policiers, elles ne se sont pas montrées bavardes mais leur retour est survenu alors qu'une vaste opération de police s'était déroulée dès 6h chez 19 membres de leur entourage familial et des proches à Reims, Epernay et dans la région.
Nord : 2 arrestations pour maltraitance
Source : AFP, 16/10/2008 | Mise à jour : 20:09
Deux jeunes hommes ont été mis en examen et écroués mercredi pour avoir maltraité à plusieurs reprises un garçonnet de deux ans dont ils avaient occasionnellement la garde, à Sin-le-Noble (Nord), près de Douai, a-t-on appris de sources judiciaire et policière.
Les deux suspects, âgés de 21 et 24 ans, ont été mis en examen à Douai pour "violences sur mineur en réunion" et écroués. L'enfant a été retiré à sa mère et placé dans un centre éducatif, le temps que le rôle de celle-ci soit précisé.
Mort d'un détenu dans une prison du Var
Publié le 16/10/2008 à 20:03, Reuters, extrait
Sarkozy porte plainte contre Yves Bertrand, l'ex-patron des RG
Nicolas Sarkozy a déposé une plainte à l'encontre de l'ancien directeur central des renseignements généraux (RG), Yves Bertrand, pour "atteinte à la vie privée", "dénonciation calomnieuse" et "faux et usage de faux", annonce jeudi son avocat, Thierry Herzog.
Société
Le père, l'oncle et un proche des deux collégiennes de Reims en garde à vue
AP | 16.10.2008 | 15:33, extrait
Le père, l'oncle et un proche de Valérie et de Sophie, ces deux soeurs qui avaient disparu le 6 octobre du domicile familial avant de réapparaître jeudi matin, ont été placés en garde à vue au commissariat de Reims (Marne) pour y être interrogés par le SRPJ rémois et la Sûreté départementale, a-t-on appris de source policière. On précisait qu'une quatrième personne soupçonnée d'avoir aidé les deux soeurs à se cacher pendant dix jours devait être interpellée prochainement.
Mort d'un détenu dans une prison du Var
Source : AFP, 16/10/2008 | Mise à jour : 20:02
Un jeune homme de 23 ans, détenu à la prison de La Farlède (Var) où il purgeait une peine de 8 mois pour trafic de stupéfiants, est décédé il y a une dizaine de jours à la suite d'"une régurgitation massive", a-t-on appris auprès du procureur de la République de Toulon.
Elles sont arrivées « comme si de rien n'était »
Le père des deux fillettes en garde à vue
TF1-LCI, le 16/10/2008 - 13h55, extraits
Dix jours après l'annonce de leur disparition, les deux adolescentes de 11 et 13 ans se sont présentées jeudi matin dans leur établissement scolaire.
Alors que les deux soeurs de 11 et 13 ans, disparues à Reims depuis le 6 octobre dernier, se sont présentées jeudi matin dans leur établissement scolaire, leur père a été placé en garde à vue jeudi midi au commissariat de Reims. "On ne connaît pas les raisons. Il n'a même pas pu voir ses filles", a déclaré son avocat, Me Sylvie Dumont-Dacremont.
Les deux fillettes se sont présentées peu après 8 heures à l'entrée du collège Maryse-Bastié à Reims, là où elles auraient dû se rendre le lundi 6 octobre, jour de leur disparition du domicile paternel. "Elles sont arrivées comme si de rien n'était, avec leurs sacs d'école. C'était vraiment deux enfants arrivant à l'école en retard. Elles ont été prises en charge très rapidement par le conseiller principal d'éducation puis par la police", a confirmé à l'AFP Dany Alary, proviseur du collège Marise-Bastié. "Elles auront quelques explications à nous donner", commentait-on du côté de la police. Conduites dans les locaux de la Sécurité publique, elles se montraient en milieu de matinée "peu loquaces", confiait à LCI.fr un policier. "A priori elles sont saines et sauves", a déclaré pour sa part la procureur de la République de Reims, Madeleine Simoncello.
L’inquiétude grandit après la disparition de deux fillettes
L’inquiétude grandit après la disparition de deux fillettes
leparisien.fr | 12.10.2008, 07h00, extraits
Valérie, 13 ans, et Sophie, 11 ans , n’ont pas été vues depuis six jours. Lundi, elles ont quitté le domicile paternel laissant une lettre où elles disaient ne pas vouloir vivre avec leur mère en Italie comme l’avait ordonné la justice.
PLUS les heures passent plus l’inquiétude grandit. Disparues depuis lundi matin du domicile de leur père à Reims (Marne), Valérie, 13 ans, et sa soeur Sophie, 11 ans, n’ont toujours pas donné le moindre signe de vie. Leur signalement a été largement diffusé et les policiers locaux ont reçu le soutien de leurs collègues du SRPJ. Mais les quelques témoignages parvenus jusqu’ici de personnes ayant vu les deux fugueuses dans la région ou dans des gares parisiennes n’ont abouti que sur des impasses.
[...] Venue en France pour demander à ses filles de mettre fin à leur fugue, Katia en a aussi profité pour déposer une nouvelle plainte pour « enlèvement d’enfants » contre son mari. Perturbée par cette séparation extrêmement conflictuelle, l’enquête pour retrouver les deux jeunes soeurs piétine. Seule certitude, elles ont dû quitter l’immeuble de la rue de Verdun tôt lundi matin. Elles n’ont, semble-t-il, pas pris la direction de leur collège situé à moins d’un kilomètre de là. Le chien pisteur mobilisé en début de semaine n’a rien flairé dans le quartier.
A Reims, un lien avec la décision de la cour d'appel, estime le parquet
REIMS
Ouverture d'une information judiciaire après la disparition de deux soeurs
NOUVELOBS.COM | 09.10.2008 | 10:54
Selon leur père, les fillettes âgées de 11 et 13 ans n'ont plus donné de nouvelles depuis lundi matin après avoir quitté leur domicile pour aller à leur école. Elles refuseraient de retourner auprès de leur mère en Italie comme l'a ordonné une décision judiciaire.
Une information judiciaire contre X pour "enlèvement" a été ouverte mercredi 8 octobre après la disparition à Reims depuis lundi de deux soeurs qui refusent, selon leur père, de retourner auprès de leur mère en Italie comme l'a ordonné une décision judiciaire, a-t-on appris auprès du parquet.
Selon leur père, un Franco-Italien de 36 ans, les fillettes âgée de 11 et 13 ans n'ont plus donné de nouvelles depuis lundi matin après avoir quitté leur domicile à Reims pour aller à leur école proche, où elles n'ont pas été vues et qui a vite signalé leur absence.
Dans une lettre en italien retrouvée dans leur chambre, les adolescentes expliquent, selon leur père à qui le mot est adressé, "ne pas avoir confiance en la loi française qui ne nous a pas aidées", avant d'ajouter : "Nous préférons mourir que retourner en Italie".
Fugue
"Au départ, on enquête sur une fugue. Après avoir exploité toutes les pistes possibles (familiale, amicale et autres...), et n'ayant rien découvert, j'ai décidé de retenir une infraction pénale qui permet de faire certaines investigations d'ordre technique que l'on ne pourrait pas faire uniquement dans le cadre d'une fugue", a expliqué à l'AFP la procureure de la République de Reims, Madeleine Simoncello.
Nées en Italie, les fillettes ont quitté ce pays pour Reims avec leur père à l'été 2007. Leur mère, une Italienne âgée de 37 ans qui réside à Lamezia Terme en Calabre, a alors saisi la justice pour les récupérer.
Psychologie
En juillet dernier, un juge de Reims a ordonné une expertise psychologique des enfants, selon leur avocate, Me Céline Bole-Richard. Mais le parquet a fait appel et le 2 octobre la cour d'appel de Reims a ordonné que les adolescentes retournent en Italie auprès de leur mère.
"Tout l'entourage (des fillettes) peut être concerné" par cette information judiciaire "car il y a forcément un lien (entre leur disparition) et la décision de la cour d'appel", a estimé Madeleine Simoncello.
"La justice me reproche de les avoir enlevées à leur mère. Maintenant la police me reproche de les avoir cachées, mais c'est absurde, ce n'est pas le cas. Elles ont peur de retourner en Italie où elles sont en danger", a affirmé le père à l'AFP. L'homme, chauffeur de poids-lourds, a été entendu à plusieurs reprises par les enquêteurs.
Le couple, en instance de divorce, a une troisième fille, âgée de 16 ans, qui vit avec sa mère en Italie.
PRISON
Les gardiens dénoncent des chantages au suicide
NOUVELOBS.COM | 09.10.2008 | 10:44
Selon un gardien CGT pénitentiaire, les détenus mineurs s'amusaient à menacer les gardiens de suicide pour obtenir un changement de cellule ou une télévision.
Carlo Di Egidio, secrétaire régionale de la CGT-pénitentiaire sème le doute sur les circonstances de la mort de Nabil L., un adolescent de 16 ans retrouvé pendu dans sa cellule de la maison d'arrêt de Metz-Queuleu. Selon les gardiens, cette pendaison est un chantage qui aurait mal fini.
Carlo Di Egidio a déclaré, jeudi 9 octobre, sur France Inter qu'il s'agirait d'un "jeu" entre détenus : "Finalement, il s'agit d'un jeu lancé, il y a quelques jours, par les mineurs occupants ce quartier mineur". "C'est un jeu où ils s'encouragent entre eux à se pendre pour demander une télévision, un changement de cellule, une boîte de tabac, des choses comme ça", a-t-il précisé.
Reims : l'inquiétude d'une mère
Sophie et Valérie, 11 et 13 ans, ont disparu depuis 48 heures. Selon leur père, les deux soeurs auraient fugué après la décision d'un juge qui a donné le droit de garde à leur mère, en Italie. Des accusations rejettées en bloc par la mère, qui a fait le voyage pour expliquer sa version...
Reims : l'inquiétude d'une mère
08/10/2008, M6 info, en vidéo
Reims
ALERTE ACTU / Disparition : les deux adolescentes restent introuvables
L'Union, 8 octobre 2008
Trois jours après leur disparition, les deux soeurs Sophie, 11 ans et Valérie, 13 ans, restent introuvables. Elles ont fugué du domicile paternel suite à un arrêt de la cour d'appel ordonnant leur retour en Italie auprès de leur mère. Leur maman est arrivée à Reims mercredi. Une information judiciaire a été ouverte.
Deux soeurs activement recherchées à Reims
TF1-LCI, le 08/10/2008 - 18h45, extrait
Nées en Italie, les fillettes ont quitté ce pays pour Reims avec leur père à l'été 2007. Leur mère, une Italienne âgée de 37 ans qui réside à Lamezia Terme en Calabre, a alors saisi la justice pour les récupérer. En juillet dernier, un juge de Reims a ordonné une expertise psychologique des enfants, selon leur avocate, Me Céline Bole-Richard. Mais le parquet a fait appel et le 2 octobre la cour d'appel de Reims a ordonné que les adolescentes retournent en Italie auprès de leur mère. "Tout l'entourage (des fillettes) peut être concerné" par cette information judiciaire "car il y a forcément un lien (entre leur disparition) et la décision de la cour d'appel", a estimé Mme Simoncello. "La justice me reproche de les avoir enlevées à leur mère. Maintenant la police me reproche de les avoir cachées, mais c'est absurde, ce n'est pas le cas. Elles ont peur de retourner en Italie où elles sont en danger", a affirmé le père. L'homme, chauffeur de poids-lourds, a été entendu à plusieurs reprises par les enquêteurs. Le couple, en instance de divorce, a une troisième fille, âgée de 16 ans, qui vit avec sa mère en Italie.
L'appel sur RTL du père de deux jeunes filles en fugue
NDLR : « L’intéressé [...] ne comprend pas visiblement l’ensemble de la situation qu’il crée autour de lui... »
Sophie et Valérie ne sont pas allées au collège, lundi à Reims. Les deux adolescentes de 11 et 13 ans sont parties parce qu'elles refusent d'aller vivre chez leur mère en Italie, comme leur impose la Justice. "Plutôt mourir", ont-elles écrit dans une lettre laissée sur leur lit. Leur père, bouleversé et angoissé, lance un appel sur RTL.
RTL info | 08 oct. 2008 | Màj 09h37
L'appel sur RTL du père de deux jeunes filles en fugue
Renaldo Galtieri : « Je leur demande de ne pas faire de bêtise »
La Bourse de Paris perd plus de 8%
Source : AFP, 08/10/2008
La Bourse de Paris accélérait sa chute ce matin, le CAC 40 lâchant 8,18% après avoir franchi en quelques minutes les paliers de -5%, -6% et -7%, dans un marché affolé par la poursuite de la crise financière et ses répercussions sur l'économie.
DRAME
Un ado se suicide en prison
leparisien.fr | 07.10.2008, 21h45, extrait
Un adolescent de 16 ans, détenu au quartier des mineurs de la maison d'arrêt de Metz-Queuleu, s'est suicidé dans la nuit de lundi à mardi.
Le jeune détenu, qui s'est pendu vers 21h30 dans sa cellule, avait été condamné le 17 septembre à six mois de prison ferme pour trafic de stupéfiants, a précisé le procureur de Metz, Rémi Heitz.
Une enquête administrative a été ouverte pour déterminer les circonstances du drame.
A la Une
Annoeullin : le père rescapé du feu se suicide
mercredi 08.10.2008, 05:03 | DRAME | La voix du Nord
Au cours d'un incendie dimanche après-midi, une mère et sa fille sont décédées. Le père a été sauvé. Mais hier, il s'est jeté dans la Deûle et n'a pas survécu.
Dix-neuf ans après le meurtre de Salomé, la famille Beaussart règle ses comptes à la télévision...
mercredi 08.10.2008, 05:03 | CONTROVERSE | La Voix du Nord, extraits
Juillet 1989, à Salomé, près de La Bassée, Ida Beaussart, 17 ans, tue son père violent d'une balle de 22 long rifle. Dix-neuf ans plus tard, à la suite de la projection sur place du film relatant son calvaire, l'« affaire Beaussart » connaît un nouveau rebondissement : sa mère revendique le crime... [...] Cette maltraitance, les habitants de Salomé l'ont découverte, vendredi 26 septembre, lors de la projection du film Pleure en silence de John Gabriel Biggs, relatant le martyre de la jeune fille. Et dimanche... coup de théâtre dans le reportage diffusé sur TF1 dans l'émission « 7 à 8 ». [...] Quoi qu'il en soit, la « révélation » de la maman d'Ida Beaussart ne lui coûte pas grand-chose : « L'affaire est close. Les faits sont prescrits et un recours n'est pas possible puisqu'il y a eu acquittement », informe l'avocate d'Ida Beaussart, Blandine Lejeune. Cette dernière ne croit aucunement à cette version mais « aucun élément ne peut démentir catégoriquement ce que la mère avançait ».
Le meurtre de la rue du Dahomey devant la cour d'assises
mercredi 08.10.2008, 05:03 - La Voix du Nord
L'affaire avait fait grand bruit. Le 26 mars 2005, Fanny Ikali Lembe, 18 ans, avait succombé à plusieurs coups de couteau lors d'une violente rixe face au domicile de sa famille dans le quartier Belencontre à Tourcoing. L'auteur présumé des coups mortels, Jonathan Martinez, 23 ans à l'époque des faits, va être jugé pendant trois jours par la cour d'assises du Nord.
[...] Le triste épilogue d'un différend ayant débuté dans l'après-midi, en centre-ville de Tourcoing, où une première échauffourée avait éclaté entre plusieurs protagonistes. Plus tard, la vitre d'une habitation avait été brisée par un jet de pierres. Certains occupants des lieux, soupçonnant la famille Ikali se seraient alors rendus rue du Dahomey pour demander des comptes. Une violente bagarre éclate alors que Fanny Ikali Lembe rentre à son domicile. La toute jeune femme participe à la rixe.
Manche à balai, rateaux et armes diverses sont utilisés. Un couteau est sorti. Celui-ci serait passé entre plusieurs mains avant d'être utilisé pour frapper la jeune femme.