Mot(s) clef: gascogne
Toujours du bistro #Wikipedia et la fin de « conflits » ?
J'aurais pu continuer à discuter ainsi avec chacun des nouveaux arrivants... et même « troller », jouer. Je pense que les noms ou pseudos de ceux qui m'ont répondu ou qui ont agit sont sans la moindre importance. Si j'étais passé par là bas à un autre moment, sur des articles sensibles, certaines réactions et ces réponses qui m'ont été faites auraient été tout à fait similaires. Rappel en boucle des règles, etc, « contribue, et tais toi. » Les pseudos auraient été différents.
L'essentiel de ce que j'ai observé puis documenté à ces sujets #Wikipedia est regroupé ici. Dans cette courte synthèse et chronologie figure un paragraphe pornographique et scatologique ; une dédicace de Stéphane Bourgoin, criminologue, m'avait un moment intrigué, puis inspiré ; mais ce texte là est bien évidemment précédé d'un bref avertissement.
L'article sur Maître Eolas est donc maintenant réapparu. Et c'est ainsi nettement plus conforme à la réalité, au monde tel qu'il est connu. Voir WP:TI ou la base : « Une encyclopédie décrit le monde tel qu'il est connu, et non le monde tel qu'on voudrait le faire connaître. » Au bistro, ce 10 août, on me répondait ensuite encore : « Si je comprends bien le problème se situe dans `'faire dedans ce que je veux". ... ça s'acquiert plus par l'expérience que par autre chose, c'est à dire, en apprenant à discuter sur les pages de discussion des articles... Pour ma part, j’ai commencé par intervenir sur WP sur les PDD des articles, et sur des sujets d’actualités polarisants... apprendre une certaine souplesse. » Je vais poursuivre, sur les PDD, les pages de discussions. La suite sera maintenant certainement plus sobre et sereine.
Début juillet, pour une première contribution à partir de mon compte Bkant, je mentionnais donc l'existence d'une question au JORF sur la PDD de Guy Delcourt. Puis le 2 août, tout en sourçant suffisamment bien aussi en PDD de Maître Eolas - France Inter, le Monde, Mediapart (le journal, un article de Michel Deléan, et non d'un blogueur de là bas), etc - je rappelais l'épisode #MagistratsSansTwitter et je mettais en doute la neutralité de l'article sur Maître Eolas. Puis des réactions vives ont suivies. « Vous semblez fort partial dans vos messages, ce qui est contraire à la neutralité qui doit régner à la rédaction d'un article encyclopédique », m'a-t-on répondu, en PDD de Maître Eolas. « Partial » ? J'y arrivais avec un chausse-pied et la réalité, aurait-on pu dire ? Puis tout s'est un peu affolé ou emballé
+1. Ne pas oublier non plus que Wikipédia est un « projet ». Cordialement, — Jol... [discuter] 10 août 2015 à 17:02 (CEST)
Gé..) Jol..) Entre les uns qui me demandent de me taire et d'autres que me répondent encore, je suis embarassé. En premier car je souhaite me taire maintenant aussi, après une petite expéricence, ici. Il n'est plus utile d'en ajouter. Vous me parlez de choses que je connais, auxquelles j'adhère, ou de choses qui m'ont déjà été dites et redites, depuis le 2 août, période à laquelle j'aurais souhaité modifier deux articles - faire dedans ce que je veux, et de censé, dans des articles choisis, ce que tout le monde peut faire. Depuis, j'ai ajouté des trucs dans l'article de Taubira, dans l'article du journal d'un avocat aussi. D'autres ont revu cela (typo, forme). Hier soir ou ce matin, je remarquais que mon ajout dans l'article de Christiane Taubira avait été saboté; mais c'est maintenant réparé. On est là dans le champ politique, et parfois dans l'actu. C'est manifestement très différent d'articles sur des choux et des cailloux, c'est parfois tendu. "il faudrait contribuer ou pas WP, alors que tu n'as pas encore fait des choses significatives dans l'espace encyclopédique" mais j'ai à peine pu commencer, et de suite, j'ai été confronté à des difficultés. Si on m'avait laissé faire, quelques milliers de petits ajouts ici et là auraient pu suivre, et vite. Alors j'ai fait le choix a/ de me plaindre un peu d'abord, ce qui aurait pu résoudre le truc. Ensuite et car ça n'allait toujours pas, j'ai opté pour un choix b/ qui a consisté à comprendre mieux ce qui coinçait, et de le documenter. C'est aussi une contribution au "projet", non? Je ne pense pas être le premier à avoir été confronté à des phénomènes de ce genre, ou similaires. Je ne veux maintenant plus intervenir davantage ici. En tous cas, demain, il ne devrait plus rien figurer à ces sujets, dans le bistro. Sauf si quelqu'un d'autre que moi décidait d'ouvrir un topic à ces sujets. Ne me répondez plus, ou je serais tenté de réagir encore. Cdt --Bkant (discuter) 10 août 2015 à 18:16 (CEST)
#Wikipedia.fr : un néant encyclopédique, un désastre collaboratif
J'ai commencé à étudier Wikipédia, l'encyclopédie francophone, ses rouages et sa modération ou ces consensus. Un constat s'impose déjà : un désastre collaboratif. D'autres rétorqueront que je « trolle » encore, cette réplique si facile...
#Wikipédia #wikipédistes: les coulisses de l'encyclopédie collaborative http://t.co/LiAOfmjgUX
— Bruno Kant (@bkant) 2 Août 2015
Sur Twitter, il y a quelques mois, j'avais proposé que l'article Wikipedia d'un élu du Pas de Calais soit étendu avec la question N° 75404 publiée au JORF (droit pénal, délit d'outrage, sanctions). Il n'y a eu aucune suite, pas de réponse, pas de réactions. La question de l'élu avait aussi été publiée sur son site personnel ainsi que sur le site du parti socialiste. Cette question avait surtout été critiquée, raillée, par NextImpact ainsi que par Contrepoints ; sur Twitter, ces deux avis avaient été remarqués : Et si l’on bloquait les sites injurieux envers les élus, sans juge ?, par Marc Rees, rédacteur en chef, et Censure du net : l’idée géniale de Guy Delcourt, rubrique Libertés publiques.
Début juillet, sur Wikipedia, sur sa page discussion, je proposais l'ajout de l'existence de la question posée par Guy Delcourt ; il n'y a pas eu de suites. Puis plus récemment, j'avais donc ajouté des lignes sur la page discussion de l'article « Maître Eolas ». Il y a ensuite eu des réponses, puis très vite et comme par hasard, comme par les coulisses ou sans prévenir, sans aucun débat préalable, a suivi un toilettage, une censure sur l'article de Guy Delcourt ! Sur la page de l'élu, l'ajout de la mention de l'existence de sa question à Mme le Garde des sceaux a évidemment été refusée ; au prétexte que le sujet #loi1881 serait insignifiant, que Contrepoints ne serait pas une source secondaire acceptable et que NextImpact, ça ne suffirait pas. Au passage, sur la page de l'élu, la mention de l'existence du livre Rose mafia 2 ou Rose mafia a été supprimée ; entre 2011 et 2012, cet ouvrage ou ces débats détonnaient dans les législatives du Pas de Calais tout en faisant exploser le parti socialiste à la veille des présidentielles 2012 ; non-évènements ou détails insignifiants qui n'auraient pas à figurer sur Wikipedia ! Après l'épuration de l'article de Guy Delcourt, il n'y subsiste plus qu'un très creux ou banal CV ainsi qu'un lien vers le site personnel de l'élu, une sorte de promotion, même si celles-ci seraient inacceptables sur Wikipedia ; c'est court, juste un CV, pour une carrière politique de 20 ans ; sur Twitter, je n'ai pas hésité à parler d'un nivelage vers un néant encyclopédique. De ces derniers échanges, là bas, dans la francophonie :
Non, pas beaucoup de bruit. Il n'y a rien dans ce que vous avez indiqué qui puisse laisser penser qu'il s'agisse de quelque chose de plus qu'un détail. Rien ne montre que cela a fait "beaucoup de bruit". Durifon (discuter) 3 août 2015 à 19:59 (CEST)
Je ne crois plus à votre bonne foi - ou vous n'avez pas suivi les campagnes des années passées, dont la présidentielle 2012, et vous ne faites aucun effort pour vérifier par vous même (Google, ...) avant de procéder à une censure. Fédération PS du Pas-de-Calais : Delcourt demande des preuves à Montebourg ou Le Monde, une brève, avec AFP: "Le député et maire PS de Lens (Pas-de-Calais) Guy Delcourt a demandé mercredi à Arnaud Montebourg d'étayer "dans les plus brefs délais les preuves matérielles" de ses accusations de malversations contre le député et maire de Liévin, Jean-Pierre Kucheida, menaçant de saisir la commission des conflits du parti. ... Si M. Montebourg ne fournit pas de "preuves indiscutables", M. Delcourt invite Catherine Génisson, patronne du PS dans le Pas-de-Calais, "à mobiliser les élus socialistes de notre fédération pour demander officiellement la saisine de la commission nationale des conflits"." Bkant (discuter) 3 août 2015 à 20:46(CEST)
Sur Wikipédia, son espace francophone encore, je ne vais plus tarder à mettre en doute la brièveté et surtout la neutralité de l'article sur Batman, sur Eolas, ce personnage notoirement connu pour ses apports, pour ses qualités, un peu moins ou moins volontiers pour certaines de ses positions politiques, ainsi que très bien connu maintenant pour ses sorties, ses frasques ou son graveleux, sur Twitter. Là bas, sur l'encyclopédie libre de la francophonie, je me suis un peu lâché dans sa page discussions, sur le thème de son identité, son pseudonymat, ou plutôt, sur des sujets manifestement tabous ou très sensibles ; en m’efforçant d'y rester factuel et en soulignant que Wikipedia, cet article, ne mentionne pas des histoires telles que #MagistratsSansTwitter ! Mes mots les plus récents, là bas, sur Wikipedia :
Après avoir constaté également comment avait évolué l'article Wikipedia en lanque anglaise sur Tim Hunt, ce prix Nobel récemment déchu pour avoir déplu à quelques féministes, j'en suis rendu à comparer les historiques et l'article de Eolas à celui de Nabilla, cette autre star médiatique. Et c'est encore une fois consternant, affligeant. Selon le contenu de l'encyclopédie, Nabilla n'est que connue depuis 2011 à 2013 ; son article est nettement plus long, plus étoffé, mieux sourcé que celui sur Eolas, lui-même connu depuis 2004. Mieux encore et toujours selon l'encyclopédie collaborative, ce ne serait que grâce à des pressions de la presse satirique, traditionnelle et européenne ou étrangère que cet article sur Nabilla existerait encore ! Vu et copié de l'article de Nabilla, rubrique « Commentaires sur le phénomène » :
Mensonge, éternel mensonge... et de l'art délicat de donner des leçons ?
Je viens de survoler à nouveau deux anciens billets de Me Eolas, des lectures toutes fraiches semblaient m'y inviter. Au cours de l'été 2009, je lisais encore beaucoup cette faune là. Puis je me suis brouillé avec elle, après la parution d'un billet de Gascogne, proc', je crois, à moins que substitut : Quand la justice n'exécute plus.
A cette même période, une forme de sensure a commencé à sévir de trop, là bas, chez Me Eolas, peut être après mes commentaires, sous ce prix Busiris, décerné à Frank Louvrier ? J'avais en tous cas bien perçu la censure aussi.
De l'art délicat de donner des leçons, je l'avais lu également, comme de très nombreux billets du blog de Me Eolas, un blog le plus souvent très intéressant, mais, occasionnellement, franchement irritant.
De source www.maitre-eolas.fr, mais par un lien, via Facebook
Je me demande si je doit répondre déjà aux deux faussaires, falsificateurs, affabulateurs et menteurs de Puteaux, ou s'il vaut mieux attendre que le proc' de Nanterre soit bien ferré. D'habitude, je réagis assez rapidement. Mais très souvent, je me suis aperçu que les gens ne lisent pas, ou si peu. Il arrive même que la police convie sans même avoir lu. Alors les juges, n'en parlons même pas ; par chez moi, j'ai le plus souvent croisé de véritables autistes, des indébouchables.
Très cher divorce... ou « Silence, on souffre »
Doit-on se soucier de ces enfants du divorce « à la cubaine » ? Pas vraiment si l'on se fie à certains discours récents et à l'éventuelle création d'une « police des familles » ? Cette nouvelle « police » - je ne peux que penser à un vieil ouvrage de Jacques Donzelot, de 1977... et à des pratiques archaïques - pourrait éventuellement pallier au désengagement de l'Etat dans le domaine de la protection de l'enfance alors que la Cour des comptes vient elle-même de rendre un rapport public sur ce même sujet, la protection de l'enfance, décrivant une fois encore un dispositif « insuffisant » en France, comme on pouvait le lire depuis plusieurs années déjà, dans de précédents rapports, tout aussi officiels (Inserm, IGAS, appel des 100, chambres régionales, etc, etc).
Il y a peu, tout en m'étonnant encore - c'est vraiment relatif vu la nature de mes discours, de mes écrits et de mes actions en ce qui serait Justice - du silence du château et de sa chancellerie, j'écrivais que le chiffre 450 000 me trottait dans la tête depuis 2005. On sait qu'en France, les chiffres sont réputés farfelus, fantaisistes, c'est en tous cas ce que l'on m'a lancé lorsque j'ai avancé un jour des chiffres extraits d'un épais annuaire de statistiques très officiellement produit par le ministère de la justice... Dans un document de 2006, l'Unicef publiait un chiffre pour la france estimé à 240 000 voire même jusqu'à 820 000 enfants face au risque d'arbitraire. Je crois que la crise actuelle, financière, n'a rien amélioré à ces chiffres ou supputations, bien au contraire. Depuis fin août dernier, en France, les stocks de sangliers et de peines à exécuter ont fait couler beaucoup d'encre et ont suscité des débats parfois très tendus sur la toile. Je me suis d'ailleurs fait sensurer dans un billet de Gascogne, Quand la justice n'exécute plus ; je crois que j'ai été trop virulent envers des professionnels...
Les quelques lignes après ces feuilles du Parisien d'hier datent d'août 2005. Je pense qu'elles ne sont maintenant plus vraiment d'actualité, elles renvoient à il y a 5 ans déjà, avant la crise et à une période au cours de laquelle je pensais que la France et ses autorités travaillait à améliorer vraiment le dispositif de la protection de l'enfance. Mais au fil du temps, on s'aperçoit que des décisions tardent à être prises ; en effet, souvent des guides de « bonnes pratiques », des décrets et de beaux textes de loi restent au fond des tiroirs. Bien sûr, la justice en France n'exécute plus et les jeux du cirque sont aujourd'hui bien différents de ceux d'antan, Dominique Barella nous le confirmait dans le Monde du 2 octobre. En France, nous sommes civilisés, certains règlent même leurs différents dans des prétoires, et ce sont les contenus des journaux qui nous permettent d'y assister, si les victimes ou les cadavres ne sont pas déjà à leurs unes ou parmi les grands titres. Mais j'ai le très net sentiment que l'arbitraire - le loto - socio judiciaire est une réalité, même des professionnels en parlent, un arbitraire qui peut affecter de nombreuses familles, tandis qu'en cas de suicide ou de drame familial, on parlera de libre arbitre et d'usagers qui n'auront pas su tirer profit de dispositifs susceptibles de les aider ponctuellement ou très transitoirement. En 2005, je venais de découvrir vraiment tout le glauque, l'irrationnel et l'absurde de ce dispositif supposé protéger les enfants français. J'aurai alors souhaité que ma fille aînée et les miens puissions rapidement échapper à cet arbitraire. A cette période, tout en me faisant déjà passer pour timbré, certains professionnels m'avait parlé de la nécessité de divorcer... même si mon ex, la maman de Justine, est décédée en 1999, quelques 4 ans avant que le juge pour enfant ne soit saisi, à la mi-2003 !
Lorsqu'on me lit, je crois que je peux souvent passer pour un vrai dérangé, surtout lorsque je préfère rire de certains faits - comme des caricaturistes - plutôt que de m'en offusquer ou de m'indigner, attitude beaucoup commune et consensuelle dans nos sociétés ou contrées dites civilisées ? Mais je suis probablement bien moins dérangé que certains magistrats professionnels de mon secteur, le 9-2 ou le 7-8, qui assureront sûrement longtemps encore avoir toujours oeuvré dans l'intérêt de mon aînée. En effet, comme je l'expliquais dans un billet de juin dernier, dans l'arrêt que Versailles venait de rendre à la fin mai 2009, on peut lire que, en 2004, « la médiatisation des rapports mère/fille organisée par le service gardien avait eu des effets bénéfiques mais pas au point de justifier un retour de Justine au domicile du père... » Bien lire « en 2004 », « la médiatisation des rapports mère/fille »... Tout bon professionnel de la justice, loyal ou très sincère et sous serment, parlera d'une simple erreur de plume. Mais vu leur nombre et leurs natures, vu le nombre de boulettes dans mes divers dossiers qui concernent très directement ma fille aînée, vu également la manière dont des juges de la cour d'appel de Versailles s'était récemment encore appliqués pour rendre cet ultime délibéré, en mai dernier, je parlerais pour ma part, très franchement, de dénaturation des pièces de la procédure, comme pourraient le faire de respectueux ou zélés fonctionnaires du ministère de l'Intérieur ou de l'Immigration et de l'Identité Nationale.
Je parle donc aussi de stocks d'humains et de leur progéniture, de moyens et de fric ou d'emplois aussi, de non exécution de décisions de justice également, peut être un peu comme pourraient le faire des professionnels et des fonctionnaires, en ricanant dans leurs coin - and the question is « who cares ? », voir cette note, du 19 septembre dernier. Mais des professionnels et des chercheurs peuvent être plus sérieux aussi, on s'en apperçoit lorsqu'on découvre des appels d'offres ou des études telles que celle portant sur des chiffres noirs de la justice. Nous rappellera-t-on un jour que « l'homme n'est pas une marchandise comme une autre ? » Que dire de l'enfant ? Qu'en cas de doutes ou au moindre soupçons, de bons professionnels et de gentilles tatas seront toujours là pour les prendre par la main, et partir avec, pour les faire disparaitre et pousser à la campagne, loin des villes ? Fin janvier dernier, pour tuer le temps, souvent long lorsque la justice est saisie, je proposais un exercice de karaoké. Madame Nadine Morano confirmera, elle est de ceux qui savent que la Dass est insuffisante, défaillante. Je crois que des juges et d'autres « pros » pourraient un jour confirmer aussi.
« Ils sont séparés mais doivent vivre sous le même toit », peut-on lire dans le Parisien d'hier. Je me demande là encore ce qui motive ce placement « durable » de ma fille aînée Justine, en Alsace, qui s'éternise, alors que cet été, en famille, tout s'est très bien déroulé. Il faut sauver la face de quelques juges ainsi que celle d'autres professionnels de la justice ou de la protection de l'enfance ? Il faut préserver la réputation du corbeau de l'histoire et du pasteur d'Uhrwiller ? Je pensais que d'autres intérêts que ceux d'adultes et de tiers étaient supérieurs lorsque le juge pour enfant est saisi... j'ai pu très mal interpréter la loi et me tromper pendant toutes ces années, très certainement comme la cour de cassation, en décembre dernier elle n'a pas vraiment suivi les magistrats professionnels de mon secteur... Je serais aussi « malade » ou « débile » que certains magistrats de ces très hautes cours ? C'est un diagnostique « psychiatrique » confirmé par la cour d'appel de Versailles et par des intellos putéolois, ce qui me conviendrait alors tout à fait.
Depuis des années maintenant, je répondais à qui voulait l'entendre que certains combats tel que pour ou contre la garde alternée ou partagée n'étaient pas les bons à mener. Aujourd'hui, quelques militants, des professionnels, des réacs ainsi que des associatifs pourront se réorganiser en conséquence, s'entourer de nouveaux spécialistes, puis se battre à présent en faveur - ou afin de s'opposer - à l'accès partagé à la chambre à coucher. Je pense que d'autres ont déjà tous les outils qui leurs permettront d'arracher des enfants à ces familles là. Les plus mécontents des parents ou proches pourront toujours tenter ensuite de saisir des prétoires tels que de la famille ou de l'enfance, et espérer faire valoir des droits, même des droits de l'enfant ; je leurs souhaite bien du courage.
Fuck you, Fuck you very, very much, Cause we hate what you do, And we hate... Un son « explicite ».
Le parisien du 11/10, un numéro spécial divorce « à la cubaine »,
« et les enfants dans tout ça », juste un stock, à prendre par la main ?
Risque d´arbitraire pour 450 000 enfants
Des extraits d'un de mes billet, du 27 aout 2005, il doit être aujourd'hui sur archive.org
« 450 000 enfants font l´objet aujourd´hui d´une mesure de protection judiciaire : enfants maltraités ou en danger – enfants en grande difficulté ou difficiles, enfants en échec scolaire, adolescents déscolarisés, fugueurs ou délinquants, enfants dont, d´une manière ou d´autre, les parents ne parviennent plus à assurer l´éducation. Or, depuis le mois d´octobre, dans le cadre de la décentralisation, un amendement adopté par le Sénat a transféré une partie de la compétence judiciaire en matière de protection de l´enfance à l´administration, ce qui entraîne pour les familles la perte des garanties tenant au débat judiciaire et un risque d´arbitraire… Cet appel est lancé par l´AFMJ (Association française des magistrats de la jeunesse), le CNAEMO (Carrefour national de l´action éducative en milieu ouvert), le SNPES/PJJ/FSU, le Syndicat de la Magistrature. » Source: Syndicat de la Magistrature, un texte qui semble avoir été d'actualité début 2004.
Ce secteur est une véritable usine si on s'en fie au chiffre 450 000 et au contenu du rapport enregistré le 26 novembre 2003 à l'Assemblée Nationale sous la référence N°1289 relatif à l'accueil et à la protection de l'enfance : « C'est un secteur potentiellement créateur de nombreux emplois (450 000 selon le Plan), à condition que soit proposé un statut suffisamment attractif. »
Un avis du Monde diplomatique d'août 2001 dans un article intitulé « Silence, on souffre », 450 000 vaches saines étaient alors sacrifiées en France à « l’assainissement du marché » : « Les sentiments et les affaires n’ont jamais fait bon ménage, mais il semble quand même qu’on ait franchi les limites du supportable. »
Le Monde diplomatique
Archives — Août 2001, extrait
« La tragédie du jour suivant, écrivait Edward Gibbon à propos des spectacles romains, consista dans un massacre de cent lions, d’autant de lionnes, de deux cents léopards et de trois cents ours. » Le temps de ces spectacles odieux est révolu (même si divers combats de coqs ou de taureaux font penser qu’on pourrait encore remplir un cirque avec des amateurs de sang). Mais la vérité, si l’on consent à la regarder en face, est que notre société fait preuve d’une plus grande et plus secrète cruauté.
2009, 9/9, 9h09...
Un billet pour le fun. Il pourra distraire ou inspirer des astrologues, des bouffons et quelques sachants mieux.
Société
Bardot furieuse contre les battues aux sangliers à Saint-Tropez
Le Parisien | 08.09.2009, 18h44 | Mise à jour : 19h00, extrait
«Non ! Non ! Non ! Vous n'avez pas le droit humainement d'autoriser une destruction massive de sangliers dans le quartier résidentiel des Salins à Saint-Tropez». Dans une lettre ouverte envoyée mardi au maire de Saint-Tropez, Brigitte Bardot a pris la tête de la fronde contre les battues aux sangliers récemment autorisées sur le territoire communale. La prolifération des sangliers dans la plaine des Salins pose en effet de graves problèmes pour les cultures en cette fin d'été. «Une tonne de raisins» aurait été mangée par les porcs sauvages, expliquent ainsi les autorités. «Des ministres sans coeur et sans couille». Dans ce courrier, tout en rappelant que «Saint-Tropez est aussi mon village d'adoption depuis plus de 50 ans», Brigitte Bardot estime que le maire, Jean-Pierre Tuveri, «se fait manipuler par les chasseurs» et qu'il est «à mettre dans le même panier que tous les anciens ministres de l'Agriculture, de l'Ecologie, incapables, sans coeur et sans couille».
Crash du Mont Saint-Odile: les familles demandent à la justice de réviser sa copie
AFP - 2009-09-08T15:19:50
Epuisées par 17 ans de procédure, les familles des victimes du crash aérien du Mont Saint-Odile (87 morts en 1992) ont tenté mardi de convaincre la Cour de cassation de revenir en arrière et d'annuler l'arrêt rendu en 2008 à Colmar qui blanchissait six prévenus et rejetait la responsabilité d'Airbus
Publié le 08/09/2009 à 16:48 - Modifié le 08/09/2009 à 16:50 Le Point.fr
EXTRAIT 5
Julien Dray, le "bâtard" du PS
Disparition de l'Arctic Sea: la Russie dément la présence à bord d'armes pour l'Iran
AFP - 2009-09-08T16:01:31
WASHINGTON (AFP), 26 août 2009, extrait - Les autorités américaines paraissaient embarrassées mardi par la perspective de voir le numéro un libyen Mouammar Kadhafi planter le mois prochain sa tente de bédouin dans une banlieue de New York où résident des parents de victimes de l'attentat de Lockerbie.
Lundi, septembre 7, 2009 - 11:40
Liste des brèves AFP, par Luc Perrot, extrait
L'Unesco élit son directeur: le candidat égyptien fait scandale
L'Unesco réunit depuis lundi son Conseil exécutif à Paris pour désigner son nouveau directeur général, dans un climat de controverse inédit pour l'organisation en raison des accusations d'antisémitisme lancées contre le favori égyptien Farouk Hosni. M. Hosni, ministre de la Culture depuis plus de 20 ans dans son pays, affirme bénéficier d'ores et déjà des voix de 32 des 58 pays membres de l'Unesco qui siègent par rotation au Conseil exécutif. Soit plus que la majorité simple pour permettre sa désignation parmi les neuf candidats à la direction de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture. Le candidat égyptien, soutenu de longue date par la Ligue arabe, l'Union africaine et l'Organisation de la conférence islamique, bénéficie de la logique d'alternance qui ferait de lui le premier responsable arabe à la tête de l'Unesco. Mais une très vive controverse a semé le trouble dans les capitales européennes après qu'il eut déclaré en 2008 devant le Parlement égyptien qu'il "brûlerait lui-même" les livres en hébreu qu'il trouverait dans les bibliothèques du pays. Dans une tribune publiée en mai dans le journal Le Monde, des intellectuels dont le Prix Nobel de la Paix Elie Wiesel ont dénoncé "la honte d'un naufrage annoncé" de l'Unesco, accusant M. Hosni d'avoir multiplié dans le passé les déclarations "nauséabondes" contre les Juifs.
En Iran, le procureur de Téhéran ferme le bureau du réformateur Karoubi
LEMONDE.FR Avec AFP | 08.09.09 | 15h40
Hadopi, quelques notes
Je les retrouverais plus facilement.
4. Le Dimanche 23 août 2009 à 01:03 par Bruno
Vous pouvez rassurer grand-mère.
EnquêteL’impuissance masculine, c’est fini !
LE MONDE 2 | 21.08.09 | 15h03 • Mis à jour le 22.08.09 | 18h45
7. Le Dimanche 23 août 2009 à 01:25 par Bruno
@2 par ladyteruki “Ce que je n’arrive pas à comprendre, c’est à quoi cela sert à Louvrier de faire publier cette tribune ?”
Peut-être pour qu’on se méfie un peu plus de ce qui est publié ailleurs, sur Internet, par exemple au New-York Times.
« Quand la Justice n'exécute plus » (bis)
Je note qu'un Eolas peut raconter n'importe quoi puis très rapidement se dégonfler.
82. Le Lundi 24 août 2009 à 19:34 par Bruno
@80 par jalmad “@Eolas sous 75 : viens de lire le commentaire 78, et vous avez raison”
J’allais vous répondre un plus sérieusement, mais cela ne me parait pas utile, pas ici. Ca aurait pu être intéressant alors que l’Institut pour la Justice contribuait à un colloque, en octobre dernier, auquel Me Eolas n’avait pas assisté.
@Eolas “Laissez ce monsieur parler tout seul,”
Tout en précisant bien que ce message-ci ne s’adresse absolument pas à Gascogne, je vous laisse à discuter de ce que vous n’aimez pas ainsi que de l’exécution et de l’aménagement des peines, me disant que c’est Lèguevaque qui pourrait bien avoir raison: “juste une carrière de bourreau”.« Quand la Justice n'exécute plus »
De petites notes perso suite à la parution d'un billet, chez Me Eolas, puis des échanges...
49. Le Dimanche 23 août 2009 à 15:59 par Bruno
@6 par Luc Montesquieu “Le problème de l’exécution des peines est un problème rarement traité par la presse.”
Le problème de l’exécution des décisions de justice ne se limite absolument pas aux peines. J’ai pour ma part une perle dans mes cartons. Un juge a ordonné. Quelques temps plus tard, il n’a pu que constater que sa décision n’a pas été exécutée. Un couac administratif. Le juge m’a condamné aux dépends, c’est moi qui l’avait saisi. Je reste zen, j’ai même fini par en rire.
Eolas:
Je sais que votre nombril a pour vous la force d’attraction d’un quasar pour que vous vous croyez obligé de nous abreuver de vos passionnantes considérations sur vos déboires, mais vous confondez l’exécution en matière civile (qui incombe aux parties) et l’exécution en matière pénale. Ce billet ne parle que de l’exécution pénale.
70. Le Lundi 24 août 2009 à 01:47 par Bruno
@49 Me Eolas: “Je sais que votre nombril a pour vous la force d’attraction d’un quasar pour que vous vous croyez obligé de nous abreuver de vos passionnantes considérations sur vos déboires, mais vous confondez l’exécution en matière civile (qui incombe aux parties) et l’exécution en matière pénale. Ce billet ne parle que de l’exécution pénale.”
Non, il n’y a pas que le civil et le pénal. Je parlais d’ordonnances et d’un couac au tribunal administratif. J’attendais - puisque vous rebondissez sur mon nombril - la commission d’une expertise suite à instruction et après un non lieu, après un décès très bizarre, en milieu hospitalier. Peut-être était-ce à mes avocats de bousculer plus tous ces gens là…
Si j’avais voulu râler et me plaindre du civil, j’aurai bien évidement parlé de l’exécution de décisions du JPE et d’arrêts de cour d’appel. Mais je crois qu’on en a déjà assez rigolé.
@49 Me Eolas: “Ce billet ne parle que de l’exécution pénale.”
Oui, je sais, et je trouve son titre et peut être même son contenu indécent. Gascogne a pu rapidement le comprendre.
@Me Eolas en 65 “Et il n’y a pas 27000 prisonniers dans le couloir de la mort, je précise”
J’ai cru lire qu’ils allaient d’abords relâcher les voleurs de chaussettes.
Plus loin, dans un autre billet, publié par Me Eolas...
88. Le Lundi 24 août 2009 à 00:09 par Bruno
@87 par Fred
Je suis assez d’accord avec vous. Mais selon les réactions que cette tribune pourrait susciter, quelles qu’elles soient, son auteur sera aux premières lignes. Il ne pourra même pas soutenir qu’un journaliste a mal compris ou mal rapporté ses déclarations.
@87 par Fred “Franchement le coup de la dictature iranienne pour limiter le P2P… Respect.”
C’est en effet une manière de le percevoir, on mêle allègrement d’intenses émotions et des intérêts des plus divers, y compris internationaux. Oui, respect.
Cette nuit, j'ai un peu de mal à trouver le sommeil.
En 69, sous « Quand la Justice n'exécute plus », le pseudo cap-justice répondait à Me Eolas en citant l'IGSJ. J'invitais moi-même, plus tôt, sous ce même billet, à lire un article du Parisien qui m'avait interpellé.
71. Le Lundi 24 août 2009 à 04:08 par Bruno
@69 par cap-justice “et qu’en outre, les problématiques de régulation des flux et des stocks, d’organisation et de suivi”
J’adore ce langage. Plus haut, j’avais d’abords quelques scrupules à renvoyer à la lecture d’un article du Parisien, je pouvais heurter; extraits: Fin juillet une circulaire a été envoyée à tous les préfets de département attirant leur attention sur le fait «qu’il y a nécessité de renforcer l’effort de régulation». …. Le ministre demande par ailleurs aux préfets de faire un point précis de la situation dans leurs départements : populations présentes, difficultés rencontrées et mesures mises en oeuvre pour y faire face.