Catégorie: Un peu d'histoire
L'Autriche rattrapée par un scandale de maltraitance au sein de foyers
NDLR : En France, les autorités sont tout aussi bouchées qu'en Autriche, dans les années 60. Dès 2003, et d'avantage encore en 2004, je me plaignais déjà du travail de la protection de l'enfance. Ensuite n'a suivi qu'un naufrage dont on ne reparlera peut-être que dans 30 ans. D'accord, tout ce qui s'est tramé plus récemment, avec l'ASE, Nanterre, l'OSE France, puis l'ARSEA Alsace, c'était nettement moins grave qu'ailleurs, en Europe, par le passé. Mais elles sont bouchées, nos autorités, Marie Derain ou le Défenseur des droits devraient pouvoir confirmer. Après mon récent passage à la cour d'appel de Paris, son parquet pourrait être en mesure de confirmer, lui également ?
Europe
L'Autriche rattrapée par un scandale de maltraitance au sein de foyers d'enfants
Le Monde.fr | 15.06.2013 à 10h52 • Mis à jour le 15.06.2013 à 10h52
Par Joëlle Stolz
Vienne, correspondante. On les frappait jusqu'au sang, on les violait, on les humiliait en public quand ils avaient mouillé leur lit, on leur plongeait la tête dans la cuvette des WC, on les obligeait à manger leur vomi ou à rester nu dehors en plein hiver en guise de punition. L'Autriche découvre avec effroi un chapitre, longtemps occulté, de son histoire après la seconde guerre mondiale: les sévices perpétrés, jusqu'aux années 1980, dans les foyers pour enfants et adolescents gérés par la Ville de Vienne, bastion de la social-démocratie.
Le rapport publié mercredi 12 juin par une commission d'enquête dirigée par la juriste Barbara Helige, ancienne présidente de l'Association de la magistrature et actuelle présidente de la Ligue autrichienne des droits de l'homme, détaille, sur 344 pages, les traitements, souvent sadiques, infligés aux enfants placés au Wilhelminenberg, une institution logée dans un château sur les hauteurs d'Ottakring, à partir de 1948, afin d'accueillir les cas réputés "difficiles".
Elle avait été fermée en 1977, trois ans après les critiques formulées par une députée du Parti social-démocrate SPÖ, Imtraut Karlsson. Dans un dossier accablant, celle-ci avait démontré que les foyers pour enfants à Vienne étaient de véritables prisons. A l'époque, son réquisitoire avait brièvement ému l'opinion, mais n'avait entraîné aucune sanction pénale ni administrative.
"RESPONSABILITÉ POLITIQUE" DE LA VILLE DE VIENNE
Aujourd'hui, le conseiller municipal en charge des enfants, le social-démocrate Christian Oxonitsch, reconnaît la "responsabilité politique" de la Ville de Vienne. Le Wilhelminenberg, dit-il, n'est pas un cas isolé, mais un exemple éclairant de ce qui se passait dans ces institutions sur lesquelles l'enquête se poursuit.
Des victimes affirment qu'elles ont tenté, dès les années 1960, de raconter leur histoire aux autorités de tutelle... La suite, sur le Monde
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Le livre de morale
NDLR : Par le passé, pour tenter de plaire au juge pour enfant de Nanterre, je m'étais efforcé de m'abrutir ou d'améliorer enfin mon esprit, avec d'anciens exercices de culture psychique. Ca avait déplu à ma compagne d'alors, mais elle avait fini par en rire. En 2015, les cours de morale devraient à nouveau être au programme des plus petits. J'ai décidé d'anticiper, avec le livre de morale des écoles primaires et des cours d'adultes, par Louis Boyer. C'est encore un peu ancien, de 1895, d'avant la séparation de l'Eglise et de l'Etat. « Tout peut sortir d'un mot qu'en passant vous perdites... » Récemment, un psychiatre avait donc jugé mes discours « calomnieux ». S'il m'arrivait d'en rencontrer à nouveau, aucun ne pourra prétendre que je ne fais jamais d'efforts pour parler et écrire mieux.
Rire, Mémoire, Shoah
NDLR : Rire, Mémoire, Shoah, ISBN 978-2-84162-182-8, un collectif, bibliothèque des fondations, chez Eclat, Paris-Tel Aviv, avril 2009, que je me suis décidé à acquérir après avoir lu Procès Breivik : un lancer de chaussure « libérateur » pour la Norvège... Je découvre son contenu, mais Karl Kraus, je connais. A l'époque, en 1929, déjà, des histoires d'intérêts, ainsi que des petits juges, occasionnellement désavoués, par de plus haut juchés ? Il me semblait aussi que de temps en temps, « faire appel » et plus avait du sens, et que des tribunaux, ça ne servait pas qu'aux étrangers, aux déviants et aux politiciens ou polémiciens tels que Vanneste, souhaitant s'y faire « blanchir », puis plus tard, enfin, amnistier. « Littérateur juif infesté de syphilis », pouah, la charge. Ce 15 mai, j'ai encore relu que « traitre génétique » est aussi une pique qu'il aurait été préférable de ne jamais lancer non plus ; know your limtis, c'est donc encore d'actualité. Rien qu'en voyant la couverture de cet ouvrage, sur la toile, je me doutais déjà que son contenu me plairait beaucoup. Je vais le ranger, je ne pense pas que ce pavé me sera un jour vraiment utile.
Extrait de « Mir fällt zuhr Hitler nichts ein », page 22
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Educateurs en internat, Tentative d'élucidation...
NDLR : Comme je l'exposais récemment, à la cour d'appel de Versailles, j'ai enfin pu me procurer une thèse de Richard Josefsberg, un spécialiste du travail de séparation en internat. Je découvre Educateurs en internat, Tentative d'élucidation d'une rencontre entre des hommes et une institution. On peut rester pantois. On peut aussi en rire. Peu après décembre 1958 ? Ca me mène à la fin 2008 et à la cour de cassation, qui rappelait alors des textes organiques et le statut de la magistrature. « Ca peut prouver quelque chose », rétorquera Magalie Bodon-Bruzel, « psychiatre ». Familles de « mauvaise réputation », ça s'enracinerait effectivement au 19e siècle ? Je vais me marrer, fin mars prochain, à l'université de Caen.
Educateurs en internat, Richard Josefsberg, mars 2004,
ISBN 2-284-05025-5, diffusion ANRT, page 136
Une histoire des haines d'écrivains
NDLR : J'avais donc fini par passer commande... « Un livre délicieux », selon le Monde. J'ai le sentiment qu'en janvier 2011, une chambre civile de la cour d'appel de Versailles ne s'était pas méprise lorsqu'elle finissait par reconnaitre qu'elle avait perçu une « forte animosité » à mon encontre. Hugo, un homme « dangereux », « haï » ? « L'opposant » était-il « malade » ?
Une histoire des haines d'écrivains
Boquel Anne, Kern Etienne, Flammarion, janvier 2009, coll. essais
Eichmann : un procès historique
NDLR : « Il y a 50 ans... » Aujourd'hui, un certain nombre de français pourraient se souvenir ou au moins connaitre, maintenant, ce personnage, Eichmann. Voir également Diffamation : « Libération » condamné pour injure au juge Burgaud.
Direct Matin du 29 avril - Plus grand
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Au sujet de l'arme atomique, interview de Staline (6 octobre 1951)
NDLR : Voir également Cinq mois de guerre ainsi que Le chagrin des juges. A présent, suit la guerre froide ? De toute façon, je n'ai pas le choix, je vais devoir composer, jusqu'à la quille et probablement avec des débiles encore. On ne devrait pas tarder à me reparler de complotite aiguë... tiens, le mot cosmopolite ? Ce simple mot avait grillé Péan.
Duck'n'cover... on m'en avait parlé. Le géant de fer, je l'avais vu. On comprend mieux l'attitude de l'administration, des pros de la justice ou du social, ainsi que les attitudes du château et de ses courtisans, ils ne me répondent plus ou racontent des salades : « en cas de problème, balayez sous le tapis puis faites l'autruche, on vous soutiendra, jusqu'au bout. » Quelle histoire. Ils réclament encore des suppos ? Quand vont-ils sortir de dessous la table et répondre ?
Le 6 octobre 1951, Joseph Staline accorde à la Pravda un entretien au cours duquel il répond aux attaques américaines contre la politique nucléaire de l'Union soviétique. Source : STALINE, Joseph. Derniers écrits, 1950-1953. Paris: Editions sociales, 1953, p. 69-71. Un interview, à lire sur ena.lu.
Les derniers complots de Staline, l'affaire des blouses blanches,
par Jacques Marie, sur Google books
La police et son histoire et « le maintient de l'ordre »
NDLR : Depuis peu, sur Facebook, je suis ami avec Code Pénal, je pensais pouvoir m'intéresser plus à lui. Mais après ce dimanche, dans Paris, j'ai aussi ouvert le Nouveau Code de Justice Militaire. De mes lectures du moment, je retiens surtout la page 238 du Journal officiel du 21 janvier 1944, entre autres, pour la délégation de signature ou de pouvoir au délégué général du maintien de l'ordre. Je ne suis pas très sûr du contenu de cette page du JO, je l'ai vue sur Internet ; une école primaire au moins semble s'y référer ; à l'occasion, j'irais faire un tour à la Documentation Française.
Plus loin, je lis que « Seule l'autorité civile et, non militaire, est habilité à décider du moment où l'on peut considérer que le trouble à l'ordre public est atteint. » Mais ce n'est que Wikipedia, un truc pas fiable.
Ce qui suit est extrait de Google Books. C'est un peu ancien, de 1964, par Henry Buisson : La police et son histoire. La page 255 me rappelle des pratiques ou ce cirque judiciaire auxquel les prétoires du coin m'ont accoutumé. « Si les faits dont la preuve est rapportée ne sont ne sont pas ceux prévus par l'article premier, la Cour criminelle extraordinaire se déclare incompétante. En ce cas, le juge d'instruction reprend la procédure sur nouveau réquisitoire du procureur de la République. » Tant que je ne suis confronté qu'à la police, avec qui on peut discuter, tout se passe mieux.
En juillet 2007, j'avais assisté à l'arrivée du Tout de France, dans Paris, rue de Rivoli, avec une banderole repliée sous le bras et sous très étroite surveillance. Les vélos qui ne passaient finalement qu'en quelques secondes ne m'intéressaient pas vraiment. Un agent en civil m'avait intimé de déguerpir, l'altercation a été très vive : « pas de message politique », insistait-il. L'agent aurait tant souhaité que je déplie ma banderole ou savoir au moins ce qui était imprimé dessus... Je suis resté sur place pendant une heure, peut-être deux, avec un comité de surveillance personnalisé.
Voir également « La désobéissance civile ne s'improvise pas », un billet que je dédicaçais au substitut Felicis.
La police et son histoire, page 253
Suisse : le Ministère public fédéral a gagné son indépendance
Histoire du Parquet [français]
Jean-Marie Carbasse
chez PUF, collection Droit et justice, mai 2000
L'ouvrage, présenté par PUF. Le statut du Parquet est au coeur des débats actuels sur la réforme de la Justice. Faut-il pour parfaire l'indépendance de la Justice, rompre le fameux cordon ombilical qui depuis deux siècles rattache le Ministère public au pouvoir exécutif ? Faut-il au contraire envisager la transformation des parquetiers en un corps de fonctionnaires "ordinaires" quitte à réserver la qualité de magistrat aux seuls juges du siège et à séparer strictement les deux corps ? D'un modèle à l'autre, multiples sont les propositions et projets de réforme. Il n'est peut-être pas inutile, dans un tel contexte, d'interroger l'histoire. Cet ouvrage propose la première synthèse moderne sur le passé du ministère public, singularité française, héritier d’une tradition qui remonte à Philippe le Bel.
A propos des auteurs. Ouvrage publié sous la direction de Jean-Marie CARBASSE, professeur à l'Université de Paris II, Directeur du Centre d'étude d'histoire juridique - CEHJ, Equipe de recherche de l'Université de Paris II associée au CNRS et aux Archives nationales.
Voir aussi La formation des juges et des magistrats du parquet, en Moldavie
Justice, samedi 6 mars 2010, le Temps, extrait
Les différents visages du Ministère public dans l’histoire
Le suicide de René Dubois en 1957, la démission de Rudolf Gerber dans le sillage de l’affaire Kopp, l’énergie brouillonne de Carla Del Ponte, la lutte implacable de Valentin Roschacher et Christoph Blocher: en cinquante ans, le rôle du Ministère public de la Confédération a profondément évolué. Le 23 mars 1957, le procureur général de la Confédération René Dubois se donne la mort. La Tribune de Genève vient de révéler son implication dans la mise sur écoute de l’ambassade d’Egypte à Berne. Le procureur avait accepté de travailler, en mettant notamment un inspecteur de la police fédérale à disposition, pour un officier français du renseignement extérieur, Marcel Mercier, en poste à Berne comme attaché commercial. Le scandale est considérable.
Justice, mercredi 3 mars 2010, ATS, le Temps, extrait
Le Parlement aura la haute main sur le Ministère public
Les chambres éliront le procureur ainsi que l’autorité chargée de surveiller le parquet. Par 88 voix contre 81, le National s’est rallié mercredi à ce modèle élaboré par le Conseil des Etats. Ce concept prévoit que le procureur général de la Confédération ainsi que ses deux suppléants seront élus par le Parlement pour quatre ans. La surveillance du MPC reviendra quant à elle à une autorité indépendante, élue par les Chambres fédérales.
Justice, vendredi 5 mars 2010, le Temps, extrait
Le Ministère public fédéral a gagné son indépendance
Le procureur général de la Confédération sera élu par le parlement. Le changement parachève une longue évolution. Sauf surprise lors du vote final des Chambres, le procureur général de la Confédération et ses suppléants seront élus à l’avenir par le parlement et plus par le gouvernement. Le Conseil national s’est rallié cette semaine à l’idée conçue et imposée par le Conseil des Etats – où les impulsions ont été données en leur temps par le socialiste fribourgeois Alain Berset et le radical tessinois Dick Marty. Le Conseil fédéral lui-même s’est laissé convaincre et a, au moins formellement, renoncé à défendre ses prérogatives. L’exécutif va perdre du même coup ses pouvoirs – controversés – de surveillance sur le parquet fédéral au profit d’un organisme à créer, lui aussi élu par le parlement, composé de juges fédéraux, d’avocats et de spécialistes, et qui sera garant de l’indépendance du Ministère public. Une grande nouveauté là aussi, dont la constitutionnalité a pourtant suscité des doutes. La Constitution ne prévoit nulle part la possibilité de créer une telle autorité, les cantons qui connaissent un conseil supérieur de la magistrature l’ont en général ancré dans leur loi fondamentale, mais un avis de droit de l’Office fédéral de la justice est venu rassurer les parlementaires. Du moins la majorité, la minorité ayant continué, au Conseil national, à juger la nouvelle autorité comme une sorte d’ovni institutionnel.
Carla Bruni-Sarkozy vexée par une chanson ?
NDLR : Je n'aurai pas du regarder la télé pour me changer les idées... je reprend mon PC.
ITALIE
Carla Bruni-Sarkozy vexée par une chanson ?
NOUVELOBS.COM | 02.02.2010 | 16:54, extraits
Carla Bruni-Sarkozy a annulé sa participation au festival de San Remo. Il semble que les paroles taquines d'un autre invité aient déplu à la chanteuse et à l'Elysée. [...] "L'Elysée a estimé que Carla Bruni se serait exposée à la risée du public en montant sur le podium de San Remo puisque Simone Cristicchi se moque du président de la République française dans sa chanson." [...] "Elle dit quoi Carla Bruni? Comment s’habille Carla Bruni? Elle mange quoi Carla Bruni? Il est sorti le nouveau disque de Carla Bruni? Elle pense quoi Carla Bruni? Comment marche Carla Bruni? Comment se maquille Carla Bruni? Nous sommes tous plus contents avec Carla Bruni. Heureusement qu’il y a Carla Bruni", chante Simone Cristicchi, brocardant quelque peu la chanteuse "devenue une icône esthétique". Mais le chanteur italien s’en prend également à Nicolas Sarkozy dans le refrain : "Nous somme fait comme ça Sarko nò, Sarko si, si on parle de toi, il n’y a pas de problèmes". Des paroles qui n'auraient vraiment pas plus à l'Elysée. En Italie, la nouvelle fait grand bruit et l'affaire se répand peu à peu dans la presse.
SIMONE CRISTICCHI - MENO MALE - 16 02 2010
envoyé par patvar. - Clip, interview et concert.
La Roumanie et la Shoah
NDLR : J'adore la préface de Paul Shapiro, je pense qu'elle pourrait faire pâlir à l'OSE France.
La Roumanie et la Shoah
Destruction et survie des Juifs et des Tsiganes sous le régime Antonescu, 1940-1944
de Radu Ioanid
Maison des Sciences de l'Homme, décembre 2002
Présentation de l'éditeur, sur Amazon. Trop peu d'historiens se sont penchés à ce jour sur la question de la Solution finale en Roumanie. Alors qu'on imagine que les centaines de milliers de Juifs roumains disparus pendant la Seconde Guerre mondiale ont été déportés et exterminés dans les camps du Grand Reich, les deux tiers des victimes ont en réalité péri sous les coups de l'administration du dictateur Ion Antonescu. Plus de 250 000 Juifs roumains et ukrainiens ont ainsi été soit déportés en masse, soit massacrés par la police et la gendarmerie a Iassy, Odessa, Golta et Berezovka, ou alors abandonnés à leur sort pour mourir en Transnistrie. Parler de la Solution finale " en Roumanie " exige donc de parler d'une Solution finale " à la roumaine " et de rompre le silence imposé des années durant par la guerre froide, la fermeture des archives roumaines et le national-communisme de Ceaucescu.
Extraits de source Google books
De la quatrième, sur Google books
La formation des juges et des magistrats du parquet, en Moldavie
La formation des juges et des magistrats du parquet en Europe
Actes d'une réunion multilatérale organisée par le Conseil de l'Europe en coopération avec le Centre d'études judiciaires de Lisbonne, Lisbonne, 27-28 avril 1995, paru en 1996. Voir également Le réseau de Lisbonne.
La page 129, d'extraits sur Google books
Confidentiel : Kärcher, Amara s'étonne
NDLR : A la suite, un ancien communiqué de la société Kärcher qui figure depuis longtemps dans un autre de mes billets ou références, Idées noires et le contrat de responsabilité parentale. Je ne savais pas que notre gouvernement avait pour ambition de faire aussi de la publicité pour Kärcher, on en apprend tous les jours.
Confidentiel Kärcher : Amara s'étonne
Le Figaro, 01/02/2010 | Mise à jour : 09:03
La secrétaire d’Etat à la politique de la ville s’étonne que la société allemande Kärcher ait récemment demandé à ce que sa marque ne soit plus citée, dès lors qu’un problème se pose dans les quartiers difficiles. «Je ne comprends pas, ça leur fait de la publicité gratuite et, en plus, cela veut dire que leurs produits sont efficaces et de bonne qualité», confie Amara. En décembre dernier, réagissant à la mort d’un enfant de 12 ans à Lyon, suite à une fusillade entre des jeunes, la secrétaire d’Etat avait indiqué : «Oui, il faut nettoyer au Kärcher, nettoyer cette violence qui tue nos enfants dans les cités».
Un communiqué de mars 2007
Le groupe Bouygues
NDLR : « Construire l'avenir, c'est notre plus belle aventure »... Voir aussi le principe de précaution.
Une copie écran de source http://www.bouygues.com/ - Une copie locale
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