Catégorie: Non catégorisé
Poupette vs Zilla vs Fisher-Price
Je fais des tests, encore. Un bon moment pour rappeler ma bio X (ex Twitter) : « D'après un psychiatre et plusieurs vrais magistrats, je n'aurais pas conscience des troubles que je crée autour de moi. Je décline toute responsabilité. »
Un billet que j'ajoute à ma rubrique Victimes, Kenza est émouvante lorsqu'elle se plaint tout le temps, de « haters »
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La même énergie. On en serait tenté d'appuyer fort sur Kenza pour voir si ça fait pareil. #poupettekenza
Poupette vs Zilla vs Fisher-Price: https://t.co/7Mw1bqaq1x pic.twitter.com/1TZmKtZItX— Bruno Kant (@bkant) June 12, 2024
Kenza, « une migrante, effrayée par un risque d'expulsion » ? « Illegal Immigrant cries about how she’s gonna get deported by Frances’s new government », a envoyé Ian Miles Cheong, @stillgray, un compte X à 1M abonnés. La bio de ce compte à pastille Blue : « I say the quiet part out loud. » Mais Kenza serait plutôt en fuite à l'étranger, à Dubaï, d'où elle fait « caca sur la France » tout en étant terrorisée par l'idée de finir rapatriée puis sanctionnée à nouveau pour ses frasques.
La note X en réaction au post de @stillgray est doublement vache ; elle rappelle où Kenza Benchrif aka Poupette porte-monnaie autant que égérie Knorr, Dior, Heintz, Boss, KFC, Jaquemus, MacDo, Nike, Vuitton et Hermès (etc, dont #contrefaçon) avait une réelle audience : Snap, Snapchat, d'où elle tirait ses buzz/vues/PDP et ses rentrées d'argent :
L'efficacité des notes #poupettekenza pic.twitter.com/ZmlrOQwvn1
— Bruno Kant (@bkant) June 12, 2024
Une influenceuse qui nous parle de boycott KFC, mais sans trop réfléchir, c'est gratiné 🤣 #poupettekenza pic.twitter.com/I8CqWhXBnu
— Bruno Kant (@bkant) May 15, 2024
Message aux Poupettes et à leur 👛: "les Chypre ou sandales Hermès, tu peux en avoir en plein de couleurs, paske 500 balles, c'est rien"
Also dans 8 jours: le nouveau produit que les Poupettes pourront acheter pour faire le bonheur du compte en banque de Kenza 🙃 #poupettekenza pic.twitter.com/YPAM39IUIz— Bruno Kant (@bkant) June 7, 2024
200 enfants qui crispent, on se demande pourquoi autant #Syrie
Nous n'avons plus de trouvailleurs ni de magistrats et d'avocats à Nanterre pour s'occuper convenablement de ceux là ? Le problème pourrait être le passage obligé par Bobigny. On peut les faire atterrir dans le Val-d'Oise, à Taverny ? En tous cas, je suis certain qu'il existe des solutions toutes simples et dont personne n'aurait rien à foutre, même à l'ONU. Puis on en dirait qu'on a tout fait « dans l'intérêt des enfants », il existerait même des voies de recours, et adviennent que pourra. Advienne que pourra ou Inch'Allah الله et on y croirait tous, « les enfants se portent à merveille, sont idéalement intégrés. »
Edit... Sur Twitter et avec le préfet de police Lallement, j'apprends que c'est un bon moment pour une citation. Facile. L'un de mes billets qui est évidemment pour ma rubrique Victimes, d'autant plus que le sujet touche, jusqu'à l'ONU. Oh purée, les enfants, 200, c'est sacré, pour tous, dira-t-on, et si on discute de leur mamans, ainsi que d'attachement, on va même arracher des larmes et des signatures #petition #honte à nos essentialistes et aux pasteurs les plus primaires.
Un billet qui n'est finalement rien qu'un peu de diffamation publique encore. Les intéressés ou ciblés apprécieront.
La société en recevant l'enfant se met à la place de la famille ; elle en accepte les devoirs (...) elle doit faire pour l'enfant ce que ferait la famille elle-même, supposé qu'elle connût ses devoirs et qu'elle eût la volonté et le pouvoir de les remplir (...) elle doit veiller au développement des facultés morales de l'enfant trouvé • Paris, 1838
Avant de rejeter la responsabilité sur les socialistes, rappelant que l'ancien Premier ministre Lionel Jospin avait signé la circulaire autorisant cette pratique: "Autrement dit, ce sont des socialistes qui ont pensé qu'il était plus sain pour les familles et les enfants d'adapter comme ça les chambres dans les centres de rétention", a-t-il raillé. Les parents sont "libres de choisir d'amener ou pas leurs enfants dans un centre de rétention ou de les confier à l'extérieur", a précisé Eric Besson, en guise de justification. • Le JDD, le 3 septembre 2009, Sans-papiers: Besson déterminé • A son tour, le NPA a évoqué une décision qui résulte "d'une politique gouvernementale inhumaine et barbare exécutée par une justice zélée qui piétine les conventions internationales sur les droits de l'enfant et le droit à la vie familiale"
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Allah hoo
A force de lire et d'entendre de tout, je finis par voyager vraiment ailleurs. Pourvu qu'on ne me suspecte pas d'être radicalisé, et que ça ne dérange pas de trop les voisins. En théorie, c'est en vente libre en France, ça ne devrait donc pas affoler la DGSI ? Si un Iranien ou un Pakistanais passe par là et avait de bonnes pistes de lectures, j'en veux bien.
C'est différent de Lili Allen, Fuck You (mais very much), et très différent aussi de Badmarsh & Shri, moins roots.
Saïda Garnier, pas toute seule, soutenue par la CGT et par Sud-Ouest, ça devrait aller, même si le CCIF n'existe plus.
Accusée à tort d’apologie du terrorisme, elle a été licenciée
Par Frédéric Zabalza. Publié le 04/12/2020. Mis à jour à 20h53, Sud-Ouest, l'essentiel... Salariée du groupe Excelia Sup de Co à La Rochelle depuis vingt ans, Saïda Garnier a été licenciée aux motifs d’apologie et de provocation au terrorisme avec une arme. Soutenue par la CGT, elle dément et dénonce une « machination ».
Article 1355
Modifié par Ordonnance n°2016-131 du 10 février 2016 - art. 4. L'autorité de la chose jugée n'a lieu qu'à l'égard de ce qui a fait l'objet du jugement. Il faut que la chose demandée soit la même ; que la demande soit fondée sur la même cause ; que la demande soit entre les mêmes parties, et formée par elles et contre elles en la même qualité.
Après la BD, des photos, un roman photo, toute une histoire
Ce 23, un article est paru sur le site du New York Times, par Norimitsu Onishi et Constant Méheut. L'article est facile à trouver, je n'en mets aucun lien ici car il dévoile des identités de mineurs, leur âge, des noms et prénoms, des photos également, dont d'une école, et parce que de nos jours, un rien peut susciter une campagne de harcèlement.
« Au moins 14 élèves ont été interrogés par la police... » « À Châtenay-Malabry, dans les Hauts-de-Seine, une adolescente de 17 ans qui avait à plusieurs reprises exprimé son soutien au meurtrier de M. Paty doit comparaître devant un juge d’instruction. Près de Marseille, deux garçons de 16 ans ont été arrêtés, l’un parce qu’il avait approuvé la décapitation, l’autre pour avoir refusé d’arrêter sa musique et de retirer ses écouteurs pendant la minute de silence. »
« Les médias français citent au moins 17 cas de procédures ouvertes à l’encontre de mineurs », apprend-on là bas ; il pourrait y en avoir eu plus que 17, mais non médiatisées, nous expliquent-ils. Pour d'autres chiffres, présentations et opinions que ceux de New York, on peut également aller lire le Monde : « dilemme », « Un cinquième des 400 incidents lors de la minute de silence pour Samuel Paty sont le fait d’enfants de primaire. Leur jeune âge interroge les enseignants sur le bienfondé de ces signalements. » Selon www.education.gouv.fr, « Plus de douze millions d'élèves fréquentent les écoles, collèges et lycées de notre pays ». Mais ça restera un drame pour ceux qui auront été ainsi affectés.
Tout autre part, comme en aparté, nous lisons : « On pouvait croire l’affaire dépassée, mais il n’en est rien. Ce dimanche, Mila, cette adolescente iséroise de 17 ans victime, en début d’année, de menaces de mort après des propos controversés sur l’islam, est de nouveau la cible d’appels à la haine et à la violence. » A chacun ses ados, ses valeurs, ses totems et les soucis profonds qui vont avec... Chez le New York Times, on apprend encore que : « un des enfants interrogés par la police, revient chez lui après l’école, accompagné par son grand-père... Il dit qu’il a maintenant peur de s’exprimer à l’école. » Il me semble avoir lu que Mila a depuis quelques temps peur de sortir, tout simplement.
« Joint par The New York Times, le parquet de Chambéry a fait savoir que Pierre-Yves Michau, le procureur de la République, n’était pas disponible pour un entretien. » Ca ne me surprend pas du tout. « Le ministre de l’Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, par la voix d’une porte-parole, a décliné une demande d’interview pour cet article — après l’avoir initialement acceptée — en expliquant qu’il s’était déjà exprimé publiquement sur le sujet de la laïcité et qu’il en estimait biaisée la couverture par le New York Times. » Ca ne m'étonne pas davantage tandis que je sais assez bien ce que peuvent être des « signalements » produits et pris en compte par les gens de ces milieux, une école, le parquet...
« Encore sous le choc de la décapitation, les enseignants ont reçu pour consigne stricte de signaler le moindre commentaire inapproprié, et la police celle de procéder à des enquêtes, selon des entretiens avec des enseignants, des représentants syndicaux et des fonctionnaires de police et de justice », commente le New York Times.
Je n'ai même pas tout lu de leur article. A l'occasion, peut être. Il nous raconte des interventions de police, des rafles, des auditions, des faits bien évidemment éprouvants pour des enfants et leurs mamans, leurs familles. « En France, des écoliers aussi sont pris dans le coup de filet anti-extrémistes » ? Je n'ai pas grand chose à ajouter. Une avocate avait commenté ces procédés, pour des propos d'enfants, ceux de 10 ans. D'autre part, j'avais publié un billet déjà, après avoir lu une BD et suite à plein de bruits sur Twitter encore : « Français, ça suffit ! Où sont tes Lumières ? Réveille toi ! »
Vu sur le site du New York Times, un court extrait, de l'entête de leur article... « 10 ans, avec sa mère »
« interrogés par la police ce mois-ci à Albertville, en France, pour suspicion “d’apologie du terrorisme” »
Incendie dans un centre de formation des Femen
NDLR : Un acte « politique » ? Selon le Parisien, nous pourrions suspecter les Antigones... pfff
Info > France
FEMEN
Incendie dans un centre de formation des Femen
REUTERS | RMC.fr | 21/07/2013
PARIS (Reuters) - Un centre de formation du mouvement contestataire féministe Femen a été en partie dévasté par un incendie, qui n'a cependant pas fait de victime, dimanche matin dans le 18e arrondissement de Paris.
Selon le site internet des Femen, l'incendie a éclaté dans un bureau au deuxième étage de l'immeuble. Il a pu être rapidement maîtrisé par les pompiers. Les causes ne sont pas encore connues mais les Femen n'excluent pas un acte politique.
Albi. L'Etat porte plainte contre l'avocat
NDLR : Voir aussi 567... ça n'en fini plus, ou comment l'Etat pourrait, au final, bâcler une telle plainte
Navalny : sa condamnation préoccupe l'UE
NDLR : Quel est au juste le problème ? Navalny ne peut-il pas faire appel ? Quant un juge pour enfant est saisi, vous pouvez toujours faire appel, c'est toléré. Puis les tribunaux finissent par vous envoyer chier. Bien sûr, les professionnels de ces milieux, les prétoires, sont nettement moins grossiers ; mais les effets sont similaires.
Navalny : sa condamnation préoccupe l'UE
Par Le Figaro.fr avec AFP
Mis à jour le 18/07/2013 à 11:33
Publié le 18/07/2013 à 11:29
L'Union européenne a exprimé aujourd'hui sa "préoccupation" après la condamnation de l'opposant numéro un russe Alexeï Navalny à cinq ans de camp, estimant qu'elle soulevait "de sérieuses questions" sur l'état de droit en Russie.
La chef de la diplomatie européenne, Catherine Ashton, "est préoccupée par le jugement" et "espère" que la condamnation sera "révisée au cours de la procédure en appel", a indiqué son porte-parole dans un communiqué.
DSK fustige les images de son arrestation
NDLR : Dans un extrait d'une « interveiw » pour CNN, diffusé aujourd'hui, DSK semble avoir jugé « terrible » le fait que des images de lui, menotté, aient pu être diffusées dans le monde entier. Il aura été traité comme une FEMEN « capturée » au Bourget, par BFMTV. DSK menotté, le choc de l'image, lisait-on en mai 2011. DSK a-t-il porté plainte, comme semble l'avoir fait Sami Naceri, et obtenu la condamnation de journaux ? Truffés de contradictions, ces médias français, et même d'informations qui viennent s'entrechoquer et se contredire... J'ai le sentiment que les journalistes sont déjà en vacances, je viens de remarquer pas mal de fautes de frappes dans des brèves du Figaro.
DSK fustige les images de son arrestation http://t.co/p0OKYXZ1cE Recemment, on a bien vu une #FEMEN menottée... au Bourget 1/2
— Bruno Kant (@bkant) July 9, 2013
Les Femen envisagent de porter plainte
NDLR : « Affaire à suivre », ai-je lu, alors je note. Il devrait en suivre encore, puisque selon ce que relayaient les médias français, trois autres FEMEN auraient été traitées de façon parfaitement inhumaine, en Tunisie. Pourvu que l'Ukraine, qui en aura eu écho, ne se fâche pas de trop avec l'Europe et le Maghreb
Accueil > Actu > Belgique
Les Femen envisagent de porter plainte
Alice Dive, lalibre.be
Publié le jeudi 27 juin 2013 à 05h40 - Mis à jour le jeudi 27 juin 2013 à 20h39
Belgique. L’étranglement, mardi, de la leader du mouvement en Belgique est remonté jusqu’en Ukraine.
Je ne comprends toujours pourquoi ce garde du corps m’a étranglée. En gros, il m’a traînée sur environ dix mètres, en me tirant par les pieds et en ne se souciant pas du tout du fait que j’étais en train d’être brûlée sur tout le dos. Il m’a maintenue au sol et au lieu de se contenter de me garder immobilisée, il m’a fait une prise d’arts martiaux d’étouffement. Je suis tombée évanouie, cela a duré quelques minutes, puis je me suis réveillée. Et aujourd’hui, du coup, je me retrouve à l’hôpital avec un orteil probablement cassé et le dos brûlé", raconte Margo Fruitier, la leader du mouvement féministe "aux seins nus" en Belgique.
Me Berton : « le viol de 4 femmes coûtait 340 euros »
NDLR : Avec le témoignage paru dans Maxi n° 1391, « à peine sorti de prison, cet homme a fait une autre victime ! », encore une histoire qui détonne dans celle du Chambon ou du meurtre d'agnès... « si l'accusé n'avait pas été libéré, elle serait vivante ». « Si l'on avait fait cette expertise [NDLR : ADN, à Rennes], on aurait pu permettre à trois victimes successives de ne pas êtres violées », affirme Me Berton. Tout le monde sait bien que avec des si, on referait le monde. Si la police m'avait mieux reçu, en janvier 2005, si j'avais alors pu déposer une plainte plutôt qu'une simple main courante, mon récit serait aujourd'hui également un poil différent ; le parquet de Nanterre l'aurait ensuite ignorée ou classée, comme toutes les autres plaintes que j'ai formulées. Je note que le Cévenol est maintenant en sursis jusqu'en mai prochain. A l'époque, en 2005, l'OSE France parraissait déjà devoir faire des efforts, pour ne pas avoir à se redresser ; si j'avais été mieux reçu par la police et par le TGI de Nanterre, entre l'été 2004 et la fin 2005, les comptes de cette association auraient-ils pu brutalement plonger dans le rouge, comme ceux du Cévenole ? J'en rediscuterais peut-être, un jour, avec Jean-François Guthmann. Dans Ouest-France, le procureur de Rennes, Thierry Pocquet, répond à Me Berton : les choix qui ont été faits ne résultent « nullement de préoccupations financières ».
Société | Faits divers | 28/06/2013 - 08:10, le JDD
Me Berton : "le viol de 4 femmes coûtait 340 euros"
L'avocat Franck Berton s'est emporté vendredi matin contre la justice, qui a fini par procéder à une expertise ADN sur les sous-vêtements d'une femme violée six mois après l'agression, ce qui aurait permis à l'agresseur présumé - retrouvé en prison - d'avoir commis d'autres viols.
"Aucune expertise ADN n'a été faite parce que ça coûte cher : 340 euros. A priori le parquet n'a pas validé la dépense auprès des services de police qui avaient l'intention de le faire. La conséquence est catastrophique puisqu'a priori, l'auteur du viol de ma cliente a perpétré trois autres viols dans les semaines qui ont suivi", a expliqué le célèbre avocat sur Europe ;1. "Si l'on avait fait cette expertise, on aurait pu permettre à trois victimes successives de ne pas êtres violées, et notamment la dernière, laissée pour morte dans une benne à ordures. C'est quand même très choquant. L'agression de quatre jeunes femmes coûtait 340 euros, et on a estimé que c'était trop cher", a-t-il conclu.
Dans Ouest-France, le procureur de Rennes, Thierry Pocquet, se défend. "Compte tenu du déroulement des faits, les chances de trouver un ADN masculin sur la culotte apparaissaient infimes. Les choix qui ont été faits résultent d'une recherche d'efficacité dans les investigations, et nullement de préoccupations financières", a-t-il dit.
L'épouse du prof parti avec une élève veut divorcer
L'épouse du prof parti avec une élève veut divorcer
International | 25/06/2013 - 21:09, le JDD
L'épouse de Jeremy Forrest, l'enseignant britannique condamné à cinq ans et demi de prison après sa cavale avec une élève de 15 ans en France en septembre, a engagé une procédure de divorce, a annoncé mardi la soeur du professeur. "La procédure de divorce a été lancée", a déclaré Carrie Hanspaul, soeur de Jeremy Forrest. La femme du professeur de mathématiques "a engagé" les démarches, a-t-elle précisé sur la chaîne de télévision britannique ITV. "Personne de la famille ne lui a parlé" depuis la cavale, qui avait fait la Une de plusieurs journaux français et britanniques en septembre dernier, a-t-elle précisé.
Jeremy Forrest, âgé de 30 ans et marié depuis 2011, a été condamné vendredi en Angleterre à cinq ans et demi de prison pour "enlèvement" et relations sexuelles avec une élève de 15 ans. Lors de son procès, Jeremy Forrest a lancé "Je t'aime" à l'adolescente, aujourd'hui âgée de 16 ans. "Je suis désolée", lui a lancé la jeune fille.
Le premier Salon du mariage gay tourne au fiasco
Le premier Salon du mariage gay tourne au fiasco
Par Stéphane Kovacs
Publié le 23/06/2013 à 18:26, le Figaro, extrait
Allées désertes, hôtesses désœuvrées, agents de sécurité apathiques, en fin de matinée, Le Figaro n'avait pu rencontrer que trois clients. «Les gays se lèvent tard…», avait hasardé l'attachée de presse. Mais quelques heures plus tard, «il n'y a toujours pas un chat, s'énerve le bijoutier du Comptoir La Fayette. En quarante ans de métier, je n'ai jamais vu ça. J'ai investi 30.000 euros et je n'ai vendu qu'une seule paire d'alliances… à des hétéros!»
À côté, Johanna, qui vient de créer sa société organisatrice d'événements Eden Day, n'a signé aucun contrat. «C'est juste une catastrophe!, se désole la jeune femme. C'est mon premier salon, je comptais dessus pour démarrer. J'ai vu en tout et pour tout cinq personnes, et en parlant avec les autres, on a compris qu'on avait tous vu les cinq mêmes…» Pire, «aux questions qu'ils posaient, j'ai bien vu qu'ils n'étaient pas là pour se marier, raconte le bijoutier. On a tous remarqué que des gamins de 20 ans avaient passé toute la journée de samedi ici, pour faire semblant devant les journalistes».
Privé de son droit de visite, un père se retranche dans une nacelle
NDLR : Benjamin Deparis a-t-il reçu ce père pour lui expliquer qu'il devra faire appel, pas se percher ?
Accueil > Haute Savoie
THONON-LES-BAINS.
Privé de son droit de visite, un père de famille se retranche dans une nacelle
ledauphine.com, le 12/06/2013 à 10:05
10h : Le président du tribunal, Benjamin Deparis, reçoit le père de famille.
9h51 : l’homme a quitté sa nacelle, assuré par le commissaire de police, Baptiste Berrod, qu'il serait entendu par le président du tribunal.
5 heures : ce mercredi 12 juin, un homme a entamé une grève de la faim, perché dans une nacelle, devant le tribunal de Thonon-les-Bains. Goran Markovic, 41 ans, entend dénoncer une décision de justice intervenue lundi, qui l’a privé de son droit de visite sur ses trois enfants, âgés de 10, 11 et 14 ans. En procédure de divorce depuis six ans, il voyait jusque-là ses enfants un week-end sur deux et la moitié des vacances scolaires. Des négociations ont été entamées avec le commissaire de police, dont les bureaux se situent juste en face du tribunal.
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Tunisie : deux Femen françaises condamnées à 4 mois de prison ferme
NDLR : « Leurs avocats français ont fait eux aussi de la résistance » ? Il ne fallait pas bouder le prétoire, mais s'y rendre, et faire confiance à la justice, ce que Hollande devrait prochainement nous rappeler, puis faire appel, patienter et espérer, etc, etc. Quatre mois alors qu'elles en risquaient 6 ou plus, ça va ; ils s'écouleront très vite
Société
Tunisie : deux Femen françaises condamnées à 4 mois de prison ferme
Le Parisien | Marie-Pia Rieublanc | 12.06.2013, 16h30 | Mise à jour : 22h37
Les deux Femen françaises Pauline Hillier et Marguerite Stern (23 et 27 ans), ainsi que leur consoeur allemande Joséphine Markmann (19 ans), ont été condamnées à quatre mois et un jour de prison ferme ce mercredi par le tribunal de Tunis. Arrêtées le 29 mai après avoir manifesté seins nus dans la capitale tunisienne, elles comparaissaient pour «atteinte aux bonnes moeurs et à la pudeur» et risquaient jusqu'à six mois d'incarcération.
Meurtre d'Agnès : « si l'accusé n'avait pas été libéré, elle serait vivante »
NDLR : On va nous reparler de Chambon... sujet qui avait ému jusqu'à gauche. « Toutes les instances qui sont en charge des différentes étapes qui ont mené à cette atrocité ont déclaré que finalement, tout s'était passé dans des conditions normales ». Comme pour Marina, je suppose, et comme aux Pavillons sous bois, etc
Actualité > Faits divers
Meurtre d'Agnès : «Si l'accusé n'avait pas été libéré, elle serait vivante»
Le Parisien | Publié le 08.06.2013, 19h17 | Mise à jour : 20h01
Alors que le procès du meurtrier présumé d'Agnès, la collégienne violée et tuée en 2011 au Chambon-sur-Lignon (Haute-Loire), s'ouvre le 18 juin prochain, la famille de la victime et son avocat dénoncent «un dysfonctionnement de l'institution judiciaire» qui ont mené au drame.
Lors d'une conférence de presse samedi, Me Francis Szpiner, l'avocat de la famille, a estimé que «si la justice n'avait pas libéré une première fois l'accusé, il serait en prison et leur fille serait vivante». En effet, un an plus tôt, les parents du meurtrier présumé, Mathieu, âgé de 17 ans au moment des faits, avaient convaincu le collège-lycée Cévenol d'accepter leur fils comme élève. Or, ce dernier venait d'effectuer quatre mois de détention provisoire pour un viol sur une mineure dans le Gard. Un fait pour lequel il sera également jugé le 18 juin.
«Toutes les instances qui sont en charge des différentes étapes qui ont mené à cette atrocité ont déclaré que finalement, tout s'était passé dans des conditions normales», a dénoncé devant la presse le père d'Agnès, Frédéric Marin, entouré des grands-parents de l'adolescente, Armel et Solange Marin.
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