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Tunisie : deux Femen françaises condamnées à 4 mois de prison ferme
NDLR : « Leurs avocats français ont fait eux aussi de la résistance » ? Il ne fallait pas bouder le prétoire, mais s'y rendre, et faire confiance à la justice, ce que Hollande devrait prochainement nous rappeler, puis faire appel, patienter et espérer, etc, etc. Quatre mois alors qu'elles en risquaient 6 ou plus, ça va ; ils s'écouleront très vite
Société
Tunisie : deux Femen françaises condamnées à 4 mois de prison ferme
Le Parisien | Marie-Pia Rieublanc | 12.06.2013, 16h30 | Mise à jour : 22h37
Les deux Femen françaises Pauline Hillier et Marguerite Stern (23 et 27 ans), ainsi que leur consoeur allemande Joséphine Markmann (19 ans), ont été condamnées à quatre mois et un jour de prison ferme ce mercredi par le tribunal de Tunis. Arrêtées le 29 mai après avoir manifesté seins nus dans la capitale tunisienne, elles comparaissaient pour «atteinte aux bonnes moeurs et à la pudeur» et risquaient jusqu'à six mois d'incarcération.
Le caractère abusif d'un internement psychiatrique devant la justice
NDLR : La version du Monde avec l'AFP est à peine différente de ce que j'ai perçu. Valérie est une fidèle de l'église évangélique Charisma ? Il semble s'agir d'un courant protestant. Quelques uns de mes propres billets ainsi que ce que j'exposais à la cour d'appel de Versailles a souvent agacé la Cour comme le pasteur d'Uhrwiller. Valérie, fidèle, protestante, ne peut pas recevoir ses enfants, mais le pasteur Clementz, à la perception apocalyptique du monde, était tout à fait apte à s'occuper convenablement de mon ainée ? On va donc enfin parler de sectes, discuter très intelligemment de vrais sectes ou de pratiques parfaitement abjectes. J'adore. Voir aussi, page 2, une réponse que m'avait un jour faite la MIVILUDES, j'avais alors surtout critiqué l'OSE France
Société
Le caractère abusif d'un internement psychiatrique devant la justice
Le Monde.fr avec AFP | 12.06.2013 à 22h02
Le ministère public a demandé mercredi 12 juin aux magistrats de la cour d'appel d'Orléans de confirmer en appel le caractère abusif de l'internement psychiatrique d'une jeune femme, hospitalisée sur décision préfectorale en juin 2010, à la demande de son époux.
L'avocat général a estimé que la décision d'internement de Valérie Dubois, 34 ans, avait été prise sur la base de faux certificats médicaux établis à deux reprises par le médecin de famille, en avril et en juin 2010. Le praticien, sollicité par le mari qui a depuis demandé le divorce, disait avoir examiné la patiente le jour de la rédaction des documents. Or sa dernière consultation remontait au 8 mars 2010, date à laquelle elle était venue le voir pour des violences conjugales.
AUCUN TROUBLE PSYCHIATRIQUE
Selon l'époux, Valérie Dubois, qui fréquente l'église évangélique Charisma, souffrait de délires mystiques qui risquaient de mettre en danger sa vie et celle des deux enfants du couple. Internée en juin 2010 à l'hôpital de Fleury-les-Aubrais (Loiret) sur décision préfectorale, elle en était sortie un mois plus tard grâce à une mainlevée du juge des libertés et de la détention, décision confirmée en appel. Elle a ensuite fait réaliser une expertise qui ne relève aucun trouble psychiatrique. Mais la garde de ses enfants âgés de 9 et 13 ans lui a été refusée, et elle ne peut les rencontrer que deux heures par semaine dans un cadre neutre.
Hospitalisé d'office, le mari a été libéré par le juge
NDLR : « J'ai changé », a promis le « patient », le mari... « Grâce aux médicaments, on peut faire dire n'importe quoi à n'importe qui » ? « C'est caricatural », commentait son avocat, affirmant que « n'importe qui peut vivre ce genre d'enfer ». L'essentiel consiste à s'en extraire, ce qui n'est pas toujours facile. « La grande majorité des décisions consiste en un maintien de la mesure », selon le rapport d'activité 2012 du Controleur Général des Lieux de Privation de Libertés, paru fin février dernier. Puis suit donc le divorce, voire une expulsion du domicile conjugal. Depuis juillet 2010 et les campagnes contre les violences faites aux femmes et aux enfants, nous connaissons aussi la loi permettant l'éviction d'un conjoint violent... Les moyens de mettre un terme à une relation en moins de 24 à 48 heures ne manquent donc plus, et pour qui prendra le temps de lire, mon blog devient un outil redoutable, son contenu permet maintenant de déparasiter facilement un foyer ou même le voisinage ; ce n'était pas le but. Oui, je pense qu'il suffit d'un peu d'hostilités, et d'appels à « l'aide » ou de bons « signalements » ; puis la bienveillance de ceux qui nous entourent se charge ensuite du reste
société
Hospitalisé d'office, le mari a été libéré par le juge
05/10/2011 05:45, la Nouvelle République
L'homme interné à la demande de son épouse a convaincu le juge de le laisser sortir. Il a quitté l'hôpital de La Rochelle hier. Et va demander le divorce.
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L'Autriche rattrapée par un scandale de maltraitance au sein de foyers
NDLR : En France, les autorités sont tout aussi bouchées qu'en Autriche, dans les années 60. Dès 2003, et d'avantage encore en 2004, je me plaignais déjà du travail de la protection de l'enfance. Ensuite n'a suivi qu'un naufrage dont on ne reparlera peut-être que dans 30 ans. D'accord, tout ce qui s'est tramé plus récemment, avec l'ASE, Nanterre, l'OSE France, puis l'ARSEA Alsace, c'était nettement moins grave qu'ailleurs, en Europe, par le passé. Mais elles sont bouchées, nos autorités, Marie Derain ou le Défenseur des droits devraient pouvoir confirmer. Après mon récent passage à la cour d'appel de Paris, son parquet pourrait être en mesure de confirmer, lui également ?
Europe
L'Autriche rattrapée par un scandale de maltraitance au sein de foyers d'enfants
Le Monde.fr | 15.06.2013 à 10h52 • Mis à jour le 15.06.2013 à 10h52
Par Joëlle Stolz
Vienne, correspondante. On les frappait jusqu'au sang, on les violait, on les humiliait en public quand ils avaient mouillé leur lit, on leur plongeait la tête dans la cuvette des WC, on les obligeait à manger leur vomi ou à rester nu dehors en plein hiver en guise de punition. L'Autriche découvre avec effroi un chapitre, longtemps occulté, de son histoire après la seconde guerre mondiale: les sévices perpétrés, jusqu'aux années 1980, dans les foyers pour enfants et adolescents gérés par la Ville de Vienne, bastion de la social-démocratie.
Le rapport publié mercredi 12 juin par une commission d'enquête dirigée par la juriste Barbara Helige, ancienne présidente de l'Association de la magistrature et actuelle présidente de la Ligue autrichienne des droits de l'homme, détaille, sur 344 pages, les traitements, souvent sadiques, infligés aux enfants placés au Wilhelminenberg, une institution logée dans un château sur les hauteurs d'Ottakring, à partir de 1948, afin d'accueillir les cas réputés "difficiles".
Elle avait été fermée en 1977, trois ans après les critiques formulées par une députée du Parti social-démocrate SPÖ, Imtraut Karlsson. Dans un dossier accablant, celle-ci avait démontré que les foyers pour enfants à Vienne étaient de véritables prisons. A l'époque, son réquisitoire avait brièvement ému l'opinion, mais n'avait entraîné aucune sanction pénale ni administrative.
"RESPONSABILITÉ POLITIQUE" DE LA VILLE DE VIENNE
Aujourd'hui, le conseiller municipal en charge des enfants, le social-démocrate Christian Oxonitsch, reconnaît la "responsabilité politique" de la Ville de Vienne. Le Wilhelminenberg, dit-il, n'est pas un cas isolé, mais un exemple éclairant de ce qui se passait dans ces institutions sur lesquelles l'enquête se poursuit.
Des victimes affirment qu'elles ont tenté, dès les années 1960, de raconter leur histoire aux autorités de tutelle... La suite, sur le Monde
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Privé de son droit de visite, un père se retranche dans une nacelle
NDLR : Benjamin Deparis a-t-il reçu ce père pour lui expliquer qu'il devra faire appel, pas se percher ?
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THONON-LES-BAINS.
Privé de son droit de visite, un père de famille se retranche dans une nacelle
ledauphine.com, le 12/06/2013 à 10:05
10h : Le président du tribunal, Benjamin Deparis, reçoit le père de famille.
9h51 : l’homme a quitté sa nacelle, assuré par le commissaire de police, Baptiste Berrod, qu'il serait entendu par le président du tribunal.
5 heures : ce mercredi 12 juin, un homme a entamé une grève de la faim, perché dans une nacelle, devant le tribunal de Thonon-les-Bains. Goran Markovic, 41 ans, entend dénoncer une décision de justice intervenue lundi, qui l’a privé de son droit de visite sur ses trois enfants, âgés de 10, 11 et 14 ans. En procédure de divorce depuis six ans, il voyait jusque-là ses enfants un week-end sur deux et la moitié des vacances scolaires. Des négociations ont été entamées avec le commissaire de police, dont les bureaux se situent juste en face du tribunal.
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« Sans objet », une fois encore
En lisant mes billets d'avril dernier, certains ont pu me trouver excessif ou trop caricatural. Mais pour avoir escaladé Beaubourg, l'Etat m'a bien infligé une sanction chinoise, 5 semaines de détention administrative sans procès digne de ce nom, une punition assortie d'un procès sans voies de recours. J'ai fait appel, fin avril, ce qui a pu surprendre, alors que je venais d'être enfin libéré. Faire appel, le 17 avril, d'un jugement rendu le 9 avril, alors que le préfet venait de lever la mesure, le 15, me permettait principalement de préparer un recours contre l'Etat, qui pourrait maintenant suivre.
Les appels « sans objet », ou tous droits ou possibilités de recours soudainement éteints, je connais, je ne suis donc pas du tout surpris ni gêné par ce que Paris m'a rendu. C'est tout à fait courant, banal, normal... Début 2011, au retour de la cour de cassation, la cour d'appel de Versailles balayait l'arrêt d'octobre 2010, déclarant la procédure ou l'appel « sans objet » ; il était donc parfaitement inutile ou vain de faire appel d'un jugement de juin 2008 du juge pour enfant de Nanterre, puis de faire casser et annuler un arrêt rendu par Versailles, en 2009. En septembre 2011, le juge pour enfant de Nanterre avait rendu un jugement sans convoquer ; j'ai fait appel ; comme mon ainée était alors déjà majeure, la cour d'appel de Versailles m'a simplement rendu un torchon. J'avais engagé un recours contre l'Etat suite au décès suspect de la mère de mon ainée, en milieu hospitalier, en 1999 ; puis en 2008, j'apprenais qu'un expert désigné par le tribunal administratif n'avait pu se faire communiquer l'intégralité du dossier médical... la procédure s'est ensuite éteinte. J'en oublie, j'en passe ; au cours des dix années passés, la justice m'a accoutumé à un tel fonctionnement.
Ce 29 avril, la cour d'appel de Paris laissait la charge des dépens à l'Etat. Mon appel du 17 n'a manifestement pas été jugé abusif ; à l'audience, publique, ce 25 avril, les débats avaient beaucoup portés sur la possibilité et l'intérêt de faire appel. Il arrive à certains d'être condamnés aux dépens, et parfois même d'être sanctionnés pour l'abus de l'utilisation de droits. En 10 ans et de multiples procédures, je n'ai jamais été condamné pour l'abus de l'utilisation de droits. En théorie, des droits peuvent servir à se défendre, ou à défendre ses proches, par exemple, une famille et les enfants ; en pratique, le droit et les prétoires m'ont donc surtout été utiles à matérialiser des naufrages de procédures ou d'affaires « d'ordre privé », ainsi qu'un fiasco de la protection de l'enfance, également « d'ordre privé ».
Après tout cela, et surtout s'il suivait maintenant encore un recours contre l'Etat, quelques psychiatres ou experts auprès de la cour souhaiteront peut-être à nouveau me taxer de « quérulent ». Mais ceux-là, je les emmerde, et pas qu'un peu. Ce 25 avril, à la cour d'appel de Paris, comme lorsque j'étais enfermé à Paul Giraud, je souhaitais soutenir, d'une part, que je ne suis atteint d'aucune pathologie mentale, et que, d'autre part, on me maintenait enfermé alors qu'il n'existait aucun danger pour la sureté des personnes ou de risque grave d'atteinte à l'ordre public ; le parquet général de Paris, Madame Martine Trapero, souhaitera peut-être crier publiquement autre chose, qu'il en discute alors avec l'AFP... Il me reste à espérer que Paris n'enfumera pas prochainement une fois de plus la presse
Les carences massives de la protection de l'enfance
Pas mal, cette journée et ces présentations de l'ONED sur le thème de la santé des enfants accueillis au titre de la protection de l’enfance, ou des carences de ces sphères. J'y allais surtout pour m'assurer que ces professionnels de l'enfance pouvaient reconnaitre que dans leurs milieux, parfois, les suivis et prises en charge dérapent. J'ai un peu échangé, en off, avec plusieurs des professionnels qui se sont exprimés ; l'un d'eux m'a confirmé que dans ce pays, il est inutile de parler de telles carences, vain de parler aussi de violence et de maltraitance institutionnelle... comme si je ne l'avais pas moi-même déjà bien perçu, dès 2003, et jusqu'à récemment encore.
Les « vertiges » de mon ainée, les travailleurs sociaux savaient que c'était « concret », dès début 2005. A l'époque, les professionnels de l'OSE France me priaient de ne plus consulter les fichiers de santé du secteur de Taverny, de ne plus discuter avec les médecins de ce village, ni avec ceux de la clinique, à peine plus loin. Je ne me contentais pas de me soucier de la santé de mon ainée lorsqu'elle était en foyer, à Taverny, dans la maison d'enfants de l'OSE ; je la faisais aussi régulièrement examiner et soigner, les travailleurs sociaux ne s'en occupaient pas, ou très mal. Ca finissait par les gêner, par embarrasser Richard Josefsberg, Directeur de l'OSE, à Taverny : « nous vous demandons de ne plus contacter les médecins avec lesquels nous travaillons, cela afin de maintenir les bonnes relations que nous avons avec eux. » Lorsque le juge pour enfant est saisi, il ne faut ni publier, ni parler en public, ni bavarder en off... « D'abord un bruit léger, rasant le sol comme l'hirondelle avant l'orage, pianissimo, murmure, et file, et sème en courant le trait empoisonné. ... Le mal est fait ; ... vous voyez la calomnie se dresser », a-t-on déjà pu lire au sujet de ragots.
Passé l'été 2005, mon ainée finissait donc « placée » chez le pasteur d'Uhrwiller, et enfin suivie par les professionnels de l'ARSEA Alsace. Puis en 2010, le juge pour enfant de Nanterre n'avait donc toujours pas bien ouvert ses yeux, les travailleurs sociaux ne s'occupaient encore de rien, n'ayant relevé aucun problème de santé ! Début 2011, la cour d'appel de Versailles balayait à nouveau sous le tapis. On ne peut pas lutter contre de tels obstinés, pareilles volontés de toujours et systématiquement mal faire. « Les vertiges dont nous n'avons jamais été témoins sont peut être à rechercher ailleurs. » Chez l'expert psychiatre, fin 2005, plutôt que chez le médecin généraliste et chez l'ORL, un spécialiste, qui m'avaient chacun communiqué des informations très pertinentes à leur sujet, début 2005 aussi ?
J'ai reconnu trois personnes, parmi le public, au CEDIAS. L'une d'elles a exposé un cas particulier, manifestement pendant, ou une affaire en cours, dans un tribunal. Le Directeur de l'ONED, Gilles Séraphin, a insisté pour que les cas particuliers ne soient pas évoqués. Je me suis tu, non sans me dire qu'en cas de « difficultés d'ordre privées », on doit évidemment se précipiter chez un avocat... J'ai commencé à bouillir vraiment, plus tard, une fois les carences de la protection de l'enfance déjà bien exposées, quant un professionnel ou deux ont encore lourdement chargé les parents.
En off, l'un de ces professionnels m'a suggéré de m'adresser au Défenseur des Droits. Marie Derain, je lui ai parlé en novembre dernier. Puis j'ai tenté de rediscuter avec ces services fin février dernier ; j'aurais alors souhaité faire parvenir encore un message explicite à Marie Derain. Le Défenseur des Droits, un vague SAV dont n'auraient pas à pâlir les escrocs du Bénin ; je l'ai déjà écrit, et je le maintiens ; par le passé, même s'il était clairement insuffisant, le Défenseur des Enfants était plus accessible et souvent plus réceptif. Ce mercredi, au CEDIAS, j'ai surtout pu remettre quelques cartes de visites à des personnes susceptibles de s'intéresser plus sérieusement au « sauvetage » de ma fille ainée, au travail accompli ou bâclé, sur près de 10 ans, par l'ASE des Hauts de Seine, par l'OSE France, puis par l'ARSEA Alsace, un grossier plagiat de l'affaire Kutzner, voire même un pâle plagiat de l'affaire Finaly.
Au CEDIAS ou musée social, Paris, ce 19 juin
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Enfant de la DDASS, par Rhumantik
NDLR : Nous connaissions déjà la version de MC Jean Gab1, Enfant d'la DDASS, « juché sur ses dossiers, juger et puis caser... » Que va nous chanter maintenant Rhumantik ? La protection de l'enfance va encore geindre, nous ne devrions plus parler de la DDASS, ni de pratiques d'ailleurs ou d'antan, nous sommes en 2013
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Soleure, en Suisse : un centre national à la mémoire des enfants placés
Je poursuis mes lectures. « Les victimes ne rencontraient ni compréhension ni aide. Au contraire, les enfants étaient traités de menteurs, de quérulants et autres fauteurs de troubles, ajoute M. Fluri. » Qu'est-ce qui a changé, depuis le siècle dernier ? On prétendra que les enfants « placés » sont mieux entendus ? Des parents peuvent maintenant aussi être taxés de quérulents ou de fauteurs de troubles... surtout s'ils critiquent ou se plaignent de « professionnels », s'ils protestent et dénoncent la situation de leurs enfants. Je n'ai pas tout dit, rappelé ou décrit, dans mon précédent billet, Les carences massives de la protection de l'enfance ; un vieux billet le complète assez bien, il permettra à l'OSE France de se rafraichir mieux la mémoire : Une main courante, un document « confidentiel ».
J'ai depuis un moment déjà pour projet de publier à nouveau un billet sur le thème des bourreaux et des victimes, en croisant encore des théories telles que celles de Françoise Sironi et celles de Richard Josefsberg, quelques jugements, correspondances ou arrêts de cour d'appel également. Je l'avais déjà fait, par le passé, notamment aux alentours de 2005 et 2006, sur Internet et dans mon blog. Début 2006, j'avais même emporté, discuté, puis déposé un petit texte de Françoise Sironi à la cour d'appel de Versailles ; la chambre des mineurs plagiait ensuite Kutzner contre Allemagne... un arrêt CEDH (Allemagne condamnée) que je citais publiquement dès août 2005.
Début 2006, la MIVILUDES m'avait lu ; je me référais aussi à des publications de tels courants anti-sectes, et de chasseurs de scientistes ; mais tout « en comprenant bien mes inquiétudes, et mes interrogations, » la MIVILUDES me renvoyait vers les prétoires de Nanterre et de sa cour de confirmation, Versailles. Pour sa part, Richard Josefsberg trouvait alors mes discours et publications insupportables ; en retour, les professionnels de l'OSE France se sont lâchés, à huis clos, et dans le dossier d'assistance éducative de mon ainée, attitude que j'avais trouvée particulièrement déloyale et indigne. Quant un discours et des billets de blog déplaisent tant, on ne va pas rapporter ni geindre chez le juge pour enfant, ni se lamenter auprès de la chambre des mineurs, ce n'est pas la bonne démarche ou procédure !
Dès septembre 2005, je citais Françoise Sironi et je me référais publiquement à ses travaux, Bourreaux et victimes ; puis mon ainée disparaissait, début novembre 2005 ; le juge pour enfant de Nanterre suspendait alors durablement tous mes droits, nous interdisant même toutes correspondances ou échanges, de quelque nature que ce soit. J'ai encore le sentiment que je ne décrivais que trop bien tout ce dont se plaignait mon ainée, ainsi que trop bien également la façon dont travaillait l'OSE France et le juge pour enfant de Nanterre. Une fois « placée », « sauvée », muselée ou cachée en Alsace, je n'ai donc plus eu la moindre nouvelle de mon ainée, jusqu'à la mi-2008.
C'est au tour de la Suisse de se pencher sur le passé...
Soleure: centre national à la mémoire des enfants placés
01 juin 2013 - 17:06, swissinfo.ch
Un centre national à la mémoire des enfants placés a été ouvert samedi à Mümliswil (SO) dans un ancien orphelinat, grâce à la fondation Guido Fluri. M. Fluri a lui-même vécu dans la bâtisse et est devenu millionnaire dans l'immobilier.
L'orphelinat avait été fermé en 1973; l'entrepreneur zougois l'a racheté en 2011. Les locaux ont alors été rénovés.
Les nouveaux locaux doivent servir de centre de rencontre, d'exposition et d'information et favoriser la recherche sur l'histoire des enfants placés administrativement. Classes d'écoles, particuliers ou groupes peuvent y séjourner gratuitement ou tenir des séminaires et autres rencontres en lien avec la problématique.
Exclusion et punitions pour la plus petite faute étaient à l'ordre du jour de ces maisons, écrit samedi Guido Fluri dans un communiqué. La violence physique, psychique, voire sexuelle étaient des pratiques fréquentes. Les victimes ne rencontraient ni compréhension ni aide. Au contraire, les enfants étaient traités de menteurs, de quérulants et autres fauteurs de troubles, ajoute M. Fluri.
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Le colloque de cloture du centenaire de l'OSE, avec François Hollande ?
NDLR : Je me demande encore pourquoi j'ai été enfermé si longtemps, après ce 8 mars dernier, alors que je venais d'escalader le centre Pompidou, le musée national d'art moderne. J'avais pourtant été très bien reçu par Monsieur Christophe Girard, maire de Paris 4ième ; il n'y avait pas eu le moindre incident, ce jour là. Je me demande également encore comment l'AFP puis toute la presse ont alors pu être à ce point enfumés par une source policière ; aurais-je du grimper aussi sur une grue pour pouvoir parler effectivement avec des journalistes ? En visitant le site du CRIF, je viens de remarquer que le colloque du centenaire de l'OSE a pu être placé sous le haut patronage de Monsieur François Hollande, Président de la République ! J'ai toujours pour projet d'escalader la bibliothèque nationale de France, ce sera fait. « L'heure de s'engager... »
Rhône : la directrice d'une école privée soupçonnée de maltraitances
Education
Rhône : la directrice d'une école privée soupçonnée de maltraitances
Par Sandra Méallier
Publié le 22/06/2013 | 09:54, mis à jour le 22/06/2013 | 16:36, rhone-alpes.france3.fr
A Brindas, près de Lyon, le pensionnat Notre-Dame de la Sainte-Espérance a fait l'objet d'un signalement auprès de l'Académie, et la gendarmerie a recueilli des plaintes de parents pour des mauvais traitements infligés à leurs enfants. La directrice devrait être présentée au Parquet dans la journée.
Le Monde des medias, le n°11
NDLR : Twitter, une « partouze lacrymale ». Vrai, on y rigole beaucoup, et personne n'y est jamais très sérieux ni trop intelligent. « Twitter, juste un dépotoir de petites phrases », écrivait Yann Moix, puis il supprimait son compte.
Une humeur de Xavier Debort
Le premier Salon du mariage gay tourne au fiasco
Le premier Salon du mariage gay tourne au fiasco
Par Stéphane Kovacs
Publié le 23/06/2013 à 18:26, le Figaro, extrait
Allées désertes, hôtesses désœuvrées, agents de sécurité apathiques, en fin de matinée, Le Figaro n'avait pu rencontrer que trois clients. «Les gays se lèvent tard…», avait hasardé l'attachée de presse. Mais quelques heures plus tard, «il n'y a toujours pas un chat, s'énerve le bijoutier du Comptoir La Fayette. En quarante ans de métier, je n'ai jamais vu ça. J'ai investi 30.000 euros et je n'ai vendu qu'une seule paire d'alliances… à des hétéros!»
À côté, Johanna, qui vient de créer sa société organisatrice d'événements Eden Day, n'a signé aucun contrat. «C'est juste une catastrophe!, se désole la jeune femme. C'est mon premier salon, je comptais dessus pour démarrer. J'ai vu en tout et pour tout cinq personnes, et en parlant avec les autres, on a compris qu'on avait tous vu les cinq mêmes…» Pire, «aux questions qu'ils posaient, j'ai bien vu qu'ils n'étaient pas là pour se marier, raconte le bijoutier. On a tous remarqué que des gamins de 20 ans avaient passé toute la journée de samedi ici, pour faire semblant devant les journalistes».
« Comme l'éponge absorbe l'eau, lui, il absorbe les mythos » ?
Enfant de la DDASS, par Rhumantik... assez cruel et surtout crédible ! Voir aussi la définition de mythographe. En 2009, je traitais Olivier Echappe et son collège de mythographes. Puis fin 2010, la cour de cassation cassait, annulait un arrêt rendu par cette composition, présidée par Echappe. Mais ce ne sont pas les seuls mots, propos ou paroles auxquels je suis sensible. Voyons ce qu'en penseront les travailleurs sociaux, formés pour donner « soit disant » toujours le meilleur, puis ce que diront éventuellement de ce clip les juges et les avocats, surtout ceux pour enfants
« Une grande pensée à tous les gosses de la DDass et aux parents. Chaque année, 140 000 enfants sont retirés à leurs parents, hélas, à l'âge adulte, tout le monde n'en sort pas indemne. », lit-on sur la fin du clip, après les remerciements de Rhumantik. Le chiffre de 140 000 enfants correspond plutôt au nombre d'enfants placés en foyers et familles d'accueil, auxquels s'ajoutent tous ceux suivis par la protection de l'enfance ; avec les suivis, annuellement, ce sont 320 000 enfants qui sont concernés. Ce 19 juin, au CEDIAS, lors d'une journée d'études sur la santé de ces enfants, l'ONED nous laissait supposer qu'environ 500 000 enfants d'une classe d'âge « bénéficient » de mesures de « protection », et que seulement un tiers d'entre eux s'en sort, un tiers plutôt très mal (la COTOREP, la psychiatrie, ...), et le reste, que très moyennement.
L'épouse du prof parti avec une élève veut divorcer
L'épouse du prof parti avec une élève veut divorcer
International | 25/06/2013 - 21:09, le JDD
L'épouse de Jeremy Forrest, l'enseignant britannique condamné à cinq ans et demi de prison après sa cavale avec une élève de 15 ans en France en septembre, a engagé une procédure de divorce, a annoncé mardi la soeur du professeur. "La procédure de divorce a été lancée", a déclaré Carrie Hanspaul, soeur de Jeremy Forrest. La femme du professeur de mathématiques "a engagé" les démarches, a-t-elle précisé sur la chaîne de télévision britannique ITV. "Personne de la famille ne lui a parlé" depuis la cavale, qui avait fait la Une de plusieurs journaux français et britanniques en septembre dernier, a-t-elle précisé.
Jeremy Forrest, âgé de 30 ans et marié depuis 2011, a été condamné vendredi en Angleterre à cinq ans et demi de prison pour "enlèvement" et relations sexuelles avec une élève de 15 ans. Lors de son procès, Jeremy Forrest a lancé "Je t'aime" à l'adolescente, aujourd'hui âgée de 16 ans. "Je suis désolée", lui a lancé la jeune fille.