Mot(s) clef: épuration
Taubira confirme une loi « très vite » sur le harcèlement
NDLR : Un article de Durand-Souffland... cette connaissance d'Eric Dupond-Moretti, lui-même plus connu sous le sobriquet « acquittator » ? C'en est fini des roquets, procs et procurettes à la botte ? Une valse, « épuration » ou « purge socialiste » du parquet va suivre, pour remplacer tous ceux qui avaient été juchés par #UMP et le nabot ?
Taubira confirme une loi «très vite» sur le harcèlement
Mots clés : Justice, Conseil constitutionnel, Réformes, Christiane Taubira
Par Stéphane Durand-Souffland
Mis à jour le 18/05/2012 à 15:39 | publié le 17/05/2012 à 20:35, le Figaro, extraits
La nouvelle garde des Sceaux se trouve confrontée à deux priorités : apaiser une magistrature qui s'est souvent sentie rudoyée sous le précédent quinquennat et adopter des réformes phares du programme d'Hollande.
Faire adopter une loi nouvelle contre le harcèlement sexuel...
Nommer les procureurs comme les juges du siège...
Supprimer les peines planchers..
Multiplier les centres éducatifs fermés pour les mineurs délinquants...
Supprimer la Cour de justice de la République...
Quand la campagne vire à l’acerbe et au trivial
NDLR : C'est cool, je suis en osmose avec les discours de cette campagne, j'ai même un petit temps d'avance alors que j'avais depuis longtemps déjà le sentiment qu'ils glissaient sur ces terrains. Hormi Nicolas Sarkozy et son parti, ces civilisateurs, qui pourrait encore, maintenant, me reprocher d'avoir lancé quelques petites phrases sur la toile, dans la rue, dans des correspondances et même dans des prétoires ?
International | Politique | Société
Politique. Déconnomètre ou épuration: quand la campagne vire à l’acerbe et au trivial
Publié le 02/03/2012 à 15:53, le Progrès
«Je l’emmerde», «déconnomètre» ou, dans un autre registre «épuration», «anormal», «produit de contrebande imaginé par des cerveaux d’extrême droite», «semi-démente": le ton de la campagne présidentielle a glissé vers le trivial et l’acerbe, symptôme, aux yeux de certains, d’une fonction politique banalisée.
Lyon : les nouveaux gangsters prennent un fou rire au tribunal
NDLR : Un fou rire ? Je n'en ai pas entendu un seul, ce 1er avril, en public, et encore mois le 4 mars dernier, à huis clos, en catimini ou dans la chambre du conseil. Même lorsque j'ai lancé « mensonge ! » alors que le rapporteur de la Cour revisitait l'histoire du « placement » de mon âinée, personne n'en a rigolé. Plus tard, certains parmi l'assemblé faisait plutôt la moue lorsque je parlais de la Shoah et même d'épuration ; j'aurai peut-être du commencer par leurs parler de tondues et d'enfants de boches. Les tondues, la France s'en souvient ? Ce 4 mars, il m'a souvent semblé que la Cour était assez pressée d'en finir, mais je n'ai pas le sentiment d'avoir fait bailler qui que ce soit non plus, même pas lorsque je parlais de mes succès, en cassation, ainsi que dans d'autres prétoires que ceux de Nanterre et de la chambre des mineurs. Prochain challenge : parler comme j'ai l'habitude de le faire ou d'écrire, et faire rire, surtout des juges et de quelques très talentueux experts... Je note également qu'un brigadier aurait osé ou pris le risque de « désobéir » afin de rattraper une « dépressive » en fauteuil roulant.
Rhône - Justice.
Lyon : les nouveaux gangsters prennent un fou rire au tribunal
Le Progrès | Publié le 19/04/2011 à 00:00, extraits
Interpellés en possession d’armes de guerre, à bord d’une voiture volée en pleine vague de braquages de bijouteries, quatre hommes sont jugés depuis hier. Une nouvelle génération qui affole les compteurs.
A les voir tous les quatre dans le box du tribunal correctionnel, sages, calmes, on ne les imagine pas en cagoules, dans une voiture volée, à 4 h 30 dans la nuit du 14 janvier dernier à Saint-Genis-Laval. A les entendre, polis, on peine à croire qu’ils roulaient en possession de quatre armes lourdes, une chacun, dont un fusil d’assaut et un pistolet-mitrailleur de type Scorpion calibre 7,65. En plein réquisitoire, alors que la procureure réclame des peines de quatre à sept ans de prison ferme, ils sont pris d’un fou rire. Comme s’ils riaient d’une bonne blague. Hier en fin d’après-midi, la nonchalance des quatre prévenus provoque un grand silence. Les magistrats sont interloqués, les avocats regardent ailleurs, genre un ange passe. L’incident ne peut pas mieux tomber pour la procureure Hélène Descourt, qui voit se révéler dans la décontraction des prévenus « le visage d’une nouvelle délinquance ». Pour l’accusation, cette équipée armée jusqu’aux dents s’inscrit dans la vague du banditisme qui avait déferlé ces deux dernières années dans l’agglomération lyonnaise. D’ailleurs, la magistrate ne manque pas de noter que le butin issu d’une attaque de la bijouterie Cartier avait été retrouvé au domicile du père d’un des prévenus. Pour la magistrate, tout y est. Les armes, la base logistique, la bouteille d’essence pour brûler le véhicule, le gilet pare-balles, le sang-froid. Les quatre hommes ne s’émeuvent pas plus que ça de ces lourds sous-entendus.
Ils se tiennent à une version minimaliste : ils sont allés chercher un sac dont ils ignoraient tout, point barre.
[...] Lorsque le président Jean-Hugues Gay expose le dossier, on entend un profond bâillement qui monte du box. D’une autre planète. Plaidoiries aujourd’hui.
Faits divers
19 avril 2011, 13h28, France Soir, extrait
En fauteuil roulant, elle voulait prendre l'autoroute
« Sur place, sa collègue Isabelle Delacressonnière est allée immédiatement aider un conducteur qui s’interposait pour empêcher la personne de progresser : "Normalement, nous ne pouvons intervenir sur autoroute mais compte tenu de la situation d’urgence, nous avons porté secours et j’ai alerté les gendarmes du peloton d’autoroute !" » poursuit le quotidien régional.
Les pompiers sont ensuite arrivés sur les lieux pour prendre en charge la quinquagénaire. Cette dernière était en larmes lorsque elle a été évacuée et affirmait qu'elle voulait voir sa mère et ne souhaitait pas retourner dans le foyer de Charnay-lès-Mâcon où a priori, elle réside. Dépressive, la dame aurait roulé six kilomètres avant d'atteindre la bretelle d'autoroute. Elle a été hospitalisée à l'hôpital de Mâcon.
Paris Match : Philippe Bilger, grand inquisiteur
NDLR : Il me semblait bien que cette période de l'épuration après l'épuration n'était pas si loin derrière nous.
Affaire Fofana
Me Szpiner: "Je n'ai rien à me reprocher"
L'Express, publié le 28/07/2009 16:15 - mis à jour le 28/07/2009 18:04, extrait
Aviez-vous relu l'article du Nouvel Observateur avant qu'il paraisse? Non, je n'avais pas demandé à le relire et aucun enregistrement matériel n'a été fait. J'ai demandé au journal de publier un rectificatif.
SZPINER ET LE VERDICT DU "GANG DES BARBARES"
"Pour une justice apaisée", par Jean-Marie Bockel
NOUVELOBS.COM | 28.07.2009 | 15:13, extrait
Le secrétaire d'Etat à la Justice revient dans un texte envoyé à Nouvelobs.com sur les propos tenus par Me Szpiner, défenseur des parties civiles dans le procès du "Gang des barbares", dans les colonnes de l'hebdomadaire. L'avocat y avait qualifié l'avocat général Philippe Bilger de "traître génétique". Je tiens à signifier ici le sentiment de malaise et d’indignation que j’ai éprouvé à la lecture d’un article publié dans les colonnes du Nouvel Observateur en date du 23 juillet 2009, et intitulé "Gang des barbares, la botte de Szpiner", sous la plume de Stéphane Arteta et Marie Guichoux. La rigueur et le professionnalisme des journalistes de l’hebdomadaire ne sont évidemment nullement ici en cause, pas plus que la qualité de l’article. Je tiens cependant solennellement ici à mettre en garde l’ensemble des protagonistes quant aux dangers que fait peser la surenchère polémique, dévastatrice pour la qualité et la sérénité du débat et pour la cohésion nationale.
Culture-Match | Jeudi 9 Juillet 2009
Philippe Bilger , grand inquisiteur
C’est lui qui menait l’accusation contre Youssouf Fofana et le gang des barbares. Avocat général à la cour d’appel de Paris, il a récemment publié « Etats d’âme et de droit ». Ses verdicts sont plus assassins pour l’époque que pour les criminels.
Propos recueillis par Mariana Grépinet - Paris Match, extrait
Fils de... « Mon père, Joseph Bilger, a été condamné à la Libération à dix ans de travaux forcés pour collaboration avec l’ennemi. Il avait, au nom de la politique du moindre mal, entretenu des relations avec l’administration lorraine, sous tutelle de l’occupant. Si ma passion professionnelle m’a conduit à affronter les accusés, à les écouter, peut-être à les comprendre, c’est parce que mon père a été accusé, qu’il a été condamné et qu’on ne chasse pas aisément son père de soi. »
Etats d'âme et de droit
de Philippe Bilger
Le Cherche Midi, avril 2009
Présentation de l'éditeur, sur Amazon. Philippe Bilger aborde en toute liberté les thèmes que sa sensibilité d'homme, sa curiosité de citoyen éclairé, sa passion de magistrat et son talent de polémiste l'ont incité à mettre sur la place publique. Rien de ce qui est démocratique ne lui est étranger et aucun ridicule n'échappe à sa plume acerbe. De Nicolas Sarkozy à Rachida Dati, sans omettre les affaires qui l'ont particulièrement marqué, il tente, sans s'épargner, d'aller au plus vrai sur le monde politique, médiatique, judiciaire et intellectuel, sans jamais céder à l'autosatisfaction. Philippe Bilger évoque aussi pour la première fois son histoire familiale avec une vérité crue. Sa hauteur de vue et ses positions parfois iconoclastes provoqueront, n'en doutons pas, bien des polémiques.
Article paru dans l'édition du Mardi 5 Mai 2009
Le courrier des lecteurs, DNA, extrait
Edition / Philippe Bilger, avocat général à la cour d'appel de Paris
Le fantôme du père. Dans son dernier livre, « États d'âme et de droit », Philippe Bilger raconte son rapport complexe avec son père, Joseph Bilger, condamné pour collaboration en Alsace à la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Paris. Bureau DNA. Quand son père est condamné pour collaboration, à la fin de la Seconde Guerre mondiale, Philippe Bilger est un tout jeune enfant. Le magistrat, né en 1943, ne garde pas de souvenir précis de cette époque. Les faits du passé sont nimbés d'une brume opaque. Son père, il ne le connaîtra que très peu. De son histoire alsacienne familial, il ne sait pas grand-chose, des bribes de conversation avec sa mère, ses frères et des éléments puisés dans les comptes-rendus de son procès. « Souvenirs douloureux » ...
Dispositif gendarmerie du 8 mai 2009
Dispositif gendarmerie du 8 mai 2009
Jeudi 07 Mai 2009, de source gendarmerie.interieur.gouv.fr qui publie le programme de la cérémonie
Le Président de la République a décidé d’organiser la cérémonie officielle de commémoration de la Victoire du 8 mai 1945 à SAINTE-MAXIME (Var, ZGN), à 11h30 sur la plage de La Nartelle, en mer et sur la terre. La journée nationale des réservistes a également lieu ce même jour.
Sarkozy en visite le 8 mai pour la commémoration de l'armistice
Publié le vendredi 17 avril 2009 à 18H04, LaProvence.com, extrait
Comme annoncé dès le 28 mars par LaProvence.com, Nicolas Sarkozy se rendra le 8 mai en Provence pour la commémoration de l'Armistice de 1945, a annoncé aujourd'hui Jean-Marie Bockel, secrétaire d'Etat à la Défense et aux anciens combattants.
"A la demande du président de la République, la traditionnelle cérémonie organisée dans le cadre des commémorations de l'Armistice du 8 mai 1945 se déroulera cette année sur la plage de La Nartelle, haut-lieu du débarquement de Provence du 15 août 1944", a annoncé le secrétaire d'Etat dans un communiqué.
La Provence, de l'Occupation à la Libération (1943-1944) [muet]
Diffusion 15-08-1944, coll. Office français d'informations cinématographiques
Images de Marseille occupée et débarquement des troupes alliées en Provence, le 15 août 1944.
Sur INA.fr, extraits de la fiche
Ce long documentaire entend survoler l'histoire de la région, de son occupation à partir de novembre 1942 jusqu'à sa libération en août 1944. Composé de fragments de reportage d'origine différente, il est malheureusement muet. Il n'en reste pas moins intéressant à plusieurs niveaux, d'abord en donnant à voir quelques pans de la réalité du moment, ensuite en fournissant une première représentation imagée et synthétique des évènements historiques que la Provence vient de vivre intensément et, parfois, de subir. On peut décomposer cette représentation en trois séquences (chacune étant combinée avec des éléments divers) qui suivent les étapes classiques de l'Occupation, du Débarquement et de la Libération.
[...] On les voit - Les FFI (Forces françaises de l'intérieur) - à Toulon où la bataille a duré du 21 au 28 août. FFI et FTP étaient présents durant tout ce temps, en particulier au centre, le long du boulevard de Strasbourg. Les combats pour Toulon ont été meurtriers, près de 2 700 hommes ont été mis hors de combat (tués ou blessés), le plus dur se déroulant à Hyères (Golf Hôtel), autour et dans l'arsenal. Le rôle de la Résistance est aussi politique et policier. Il est évoqué avec la Maison d'arrêt où sont conduits les collaborateurs arrêtés. C'est la seule évocation d'une épuration qui se fait au milieu de foules survoltées, exaspérées par les souffrances subies les mois précédents. La violence de l'épuration (qui n'est pas montrée ici où l'on ne voit ni lynchages, ni femmes tondues et promenées dans les rues) est le revers de l'enthousiasme général, de la liesse de la liberté retrouvée, qui, elle, est montrée. La violence s'exerce aussi parfois contre les très nombreux prisonniers allemands - 17 000 dans la seule région toulonnaise - ou sous uniforme allemand conduits vers les dépôts où ils vont rester plusieurs mois. La population, qui aspirait depuis longtemps à cette libération, est sous le coup de la douleur et de la peur. Beaucoup ont dû quitter leur maison pour se réfugier dans les bois ou les grottes en attendant la fin des combats.
Une « épuration sociale » en banlieue parisienne ?
NDLR : Lire Razzia, un billet d'humour paru dans NouvelObs n°2244. Etrangement, selon la dépêche AFP, le secteur géographique concerné, du moins vivement critiqué, serait celui de la cour d'appel de Versailles.
Christine Boutin, se disant « très choquée », répond qu'« un tel procès d'intention est proprement scandaleux », que « s'il ne s'agit que d'un écart de langage, elle souhaite leur rappeler - aux associations - qu'elle n'a jamais refusé d'ouvrir sa porte pour recueillir les doléances et les propositions constructives d'amélioration ».
Evidement, ce genre de termes et de pratiques renvoient à des périodes sombres de l'histoire de l'humanité. Mais quand le politique fait tomber les tours et que, sans même une enquête, des juges font placer les enfants dans de jolis petits villages de province, comme il y a 40 ans, je pense pour ma part qu'il y a un réel malaise.
NANTERRE (AFP) - Des associations présentes au Forum social des quartiers populaires, ce week-end à Nanterre, n'hésitent pas à parler "d'épuration sociale" pour dénoncer des opérations de rénovation urbaine conduites, selon elles, au détriment des banlieusards les plus pauvres. [...] Elles critiquent violemment les projets menés par exemple au Plessis-Robinson (Hauts-de-Seine) ou aux Mureaux (Yvelines) mais se réjouissent d'être parvenues à arrêter certaines démolitions notamment à la faveur d'un changement de majorité municipale comme à Argenteuil (Joliot-Curie et Mondor, Val-d'Oise) ou à Poissy (La Coudraie, Yvelines).
Huîtres : Smurfit Kappa pas responsable
Le PDG de la papeterie Smurfit Kappa a affirmé ce soir que les effluents rejetés par l'usine de Biganos n'avaient "aucun rapport" avec la crise qui touche les ostréiculteurs du bassin d'Arcachon, au lendemain d'une manifestation des professionnels sur le site.
"Nous sommes tout à fait convaincus qu'il n'y a strictement aucun rapport entre ce qui reste présent dans nos effluents après passage dans nos stations d'épuration et la crise ostréicole", a indiqué le PDG de Smurfit Kappa Cellulose du Pin, Jean-Paul Sandraz, précisant que les effluents de l'entreprise sont mélangés aux effluents urbains.
Plusieurs centaines de professionnels ostréicoles du bassin d'Arcachon avaient manifesté mardi, après l'interdiction de vente de leurs huîtres, sur le site de l'usine en demandant sa fermeture par "principe de précaution".
Huîtres: Smurfit Kappa pas responsable
Source : AFP, 13/08/2008
.
Les ostréiculteurs d'Arcachon manifestent
LA TESTE-DE-BUCH, Gironde (Reuters) - Entre 150 et 200 ostréiculteurs du bassin d'Arcachon ont manifesté ce vendredi pour protester contre les tests ayant conduit à une nouvelle interdiction de consommer leurs huîtres.
Plusieurs actions en justice sont également envisagées, notamment une saisine du tribunal administratif pour demander l'annulation de l'arrêté pris jeudi par le préfet de Gironde et le dépôt d'un plainte pour "délit de pollution des eaux marines".
Les professionnels, frappés par de nombreuses interdictions ces dernières années, contestent les "tests de la souris" qui consistent à injecter des extraits d'huîtres à des souris pour déceler la présence de micro-algues toxiques pour l'homme.
Sur la plage de La Teste-de-Buch, les manifestants se sont réunis près de la zone où sont rejetés les effluents des stations d'épuration des communes du bassin et de l'usine de papeterie Smurfit Kappa.
"Il ne s'agit pas de désigner les rejets du wharf comme responsables mais la question doit être posée et les analyses doivent être les mêmes partout", a déclaré Sylvie Latrille, une des ostréicultrices sur place.
On dénombre 350 entreprises d'ostréiculture pour environ 1.000 emplois sur le bassin d'Arcachon.
Sécurité sanitaire : des abattoirs français sur la sellette
Face à ces problèmes sanitaires, les maires et la population défendent vivement ces entreprises, créatrices d'emplois. De leur côté, les professionnels de ce secteur supportent difficilement cette mise à l'index.
Sécurité sanitaire : des abattoirs français sur la sellette
mercredi 21 mai 2008 | Le Parisien, extraits
Selon les inspecteurs vétérinaires de l'Union européenne, une vingtaine d'abattoirs français ne répondent pas aux normes sanitaires et devraient être fermés. Une note du ministère de l'Agriculture exige une rapide mise en conformité de ces établissements.