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De la Bastille à Nuremberg, la soirée se prépare
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De la Bastille à la Concorde, la soirée se prépare
Mots clés : François Hollande, Nicolas Sarkozy
Par lefigaro.fr, extraits
Mis à jour le 06/05/2012 à 12:20 | publié le 05/05/2012 à 19:41
Les préparatifs sont déjà en cours sur les deux places symboliques, où les candidats sont attendus en cas de victoire.
Ne pas vendre la peau de l'ours... Dans l'équipe de campagne de François Hollande, peu d'informations filtrent sur l'organisation de la fête qui suivra l'éventuelle victoire du candidat socialiste. Le début de soirée du candidat se passera à Tulle, où il aura voté et passé tout le week-end. François Hollande s'exprimera peu après 20h sur la place de la Cathédrale de la préfecture corrézienne, quel que soit le résultat. Il partira ensuite pour Paris et devrait se rendre place de la Bastille avec ses partisans en cas de victoire, une information que son équipe de campagne se refuse toutefois à confirmer officiellement.
[...] Pour sa part, Nicolas Sarkozy, là aussi quel que soit le résultat, interviendra à la Mutualité devant les militants et supporters, et en cas de victoire, ira ensuite à la Concorde, a indiqué son entourage. Sur la place, cinq mini-grues, à l'arrêt, étaient stationnées à la sortie du jardin des Tuileries, où touristes et familles se promenaient en nombre samedi après-midi. Deux vastes zones entre le parc et les voies de la place étaient délimitées par des barrières métalliques. L'équipe de campagne du candidat UMP a réservé un camion podium, qui sera tout de suite opérationnel si c'est nécessaire, avec un système de sonorisation et une scène.
(Avec AFP)
Rapport/psychiatres : Breivik le conteste
NDLR : Breivik aurait-il aussi été expertisé par des charlatants ? Son cas particulier et ce que remporteront ses avocats va m'intéresser. Par le passé, en France, en cours ou à l'issue d'une audience, une mère avait poignardé un juge pour enfant, celui de Metz ; elle avait rapidement été internée en psychiatrie, d'où elle a été extraite par ses bavards ; cette mère avait ensuite été assez lourdement condamnée, 13 ans. Prochainement, nous devrions aussi juger Chantal Clos, je ne pense pas qu'elle ait été déclarée « irresponsable au moment des actes », injugeable par de bons et fidèles apôtres ou chrétiens, même si la presse avait rapidement parlé d'un « coup de folie »...
Rapport/psychiatres: Breivik le conteste
Le Figaro, publié le 03/12/2011 à 14:02
L'auteur des attaques du 22 juillet en Norvège, Anders Behring Breivik, conteste le rapport des psychiatres le qualifiant de malade mental, a rapporté un de ses avocats aujourd'hui. "Nous avons examiné une bonne partie du rapport qui détaille les conversations qu'il a eues avec les psychologues. Il a réagi en disant qu'il contenait des erreurs factuelles, des mensonges et que ses déclarations avaient été sorties de leur contexte", a précisé au journal Verdens Gang l'un des avocats de Behring Breivik, Odd Ivar Groen.
Le « cyberbullying » dénoncé par la CNIL : réalité ou exagération ?
NDLR : C'est bien ce qu'il me semblait. La CNIL s'adressait surtout aux profs ou à ces méchants élèves.
Des "agents de silence" pour tempérer les nuits parisiennes
12/11/10 18:41, NouvelObs avec AFP, extraits
A l'occasion des premiers états généraux des nuits parisiennes, Bertrand Delanoë a dévoilé des pistes pour régler les conflits grandissants entre fêtards et riverains. Des mimes et des clowns transformés en "agents de silence" pour faire taire les fumeurs des trottoirs et des subventions pour insonoriser les bars : le maire de Paris a dévoilé vendredi 12 novembre des pistes pour régler le conflit entre fêtards et dormeurs, tout en défendant le "droit à la fête". [...] La mairie de Paris et la préfecture de Police également associée aux états généraux de la nuit, avaient été interpellées l'an dernier par le collectif "Quand la nuit meurt en silence", dont la pétition dénonçant notamment les fermetures administratives pour nuisances sonores, a été signée par 16.000 personnes à ce jour. Selon la préfecture de police, 119 établissements ont été provisoirement fermés en 2009 pour "tapages avec musique amplifiée" et "atteintes à la tranquillité publique constituées par des éclats de voix et des rires". Selon la ville, 600.000 Parisiens travaillent une partie de la nuit tandis que 2,2 millions d'entre eux sont dans les bras de Morphée dès minuit.
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Le "cyberbullying" dénoncé par la CNIL : réalité ou exagération ?
Guillaume Champeau - publié le Vendredi 12 Novembre 2010 à 16h32 - posté dans Société 2.0, extrait
CNIL, Vie privée, Facebook, Réseau social, Liberté d'expression
La CNIL a prévenu d'une croissance de nombre de cas de harcèlement ou de lynchages par Internet, en particulier sur les réseaux sociaux, qui lui sont notifiés. Mais le nombre de plaintes reste très faible.
Le 2 novembre dernier, la CNIL a publié sur son site internet une alerte sur les cas de lynchage ou de harcèlement sur Internet, en indiquant qu'elle "constate actuellement une augmentation des cas de "lynchage" sur internet, par exemple de professeurs par des groupes d’élèves". Elle reprenait le terme anglosaxon de "cyberbullying" pour désigner le fait pour une personne d'être "victime d’humiliations, de moqueries, d’injures, voire de menaces physiques sur un site internet".
Sans que ça paraisse surprenant, la CNIL dénonçait le rôle des réseaux sociaux, en expliquant que "le caractère public et ouvert des réseaux sociaux, ainsi que l’absence de contrôle d’identité permettent aux "harceleurs" d’agir quasi-impunément en conservant leur anonymat". "Le plus souvent, le harcèlement passe par la création d’un sujet de discussion, groupe ou page sur Facebook ou un autre réseau social, visant une personne. Sur cet espace dédié à un individu, des internautes vont venir insulter cette personne", expliquait-elle.
Mulhouse : une femme agresse une juge en pleine audience
NDLR : Je peux passer pour débile avec un poulet et un ours dans mon sac. Qu'est-ce qu'une « arme projetant du gaz », un simple déo ? Cette femme semble maintenant mûre pour de longs « soins ».
Ce genre d'agressions seraient courantes dans ces prétoires, c'est ce qui s'est dit lorsque le juge Noris a été poignardé par une mère. Peu de temps après cela, toute une famille se ruait sur un juge pour enfant, il vennait de proroger un placement. Ces gens font un métier très dur... Bientôt, pour pas qu'on bouge, on va nous crucifier sur les portiques, à proximité des prétoires. Puis on sera jugé là.
Mulhouse : une femme agresse une juge en pleine audience
L'Alsace, le 10/08/2009 à 17h38
Une magistrate a été agressée ce lundi à Mulhouse par une femme qui l'a bousculée et griffée en pleine audience avant d'être rapidement maîtrisée, a-t-on appris auprès du parquet. La juge des affaires familiales qui a porté plainte pour «violences sur magistrat dans un local judiciaire» a subi les foudres de la justiciable lorsqu'elle lui a indiqué, lors d'une audience de référé, le renvoi de l'examen de son affaire en raison du désistement de son avocate. La femme, âgée de 40 ans, a alors jeté à terre la magistrate et l'a griffée en lui arrachant violemment son pendentif. Cette femme en instance de divorce doit comparaître en septembre pour non représentation d'enfant. La juge qui souffre d'une plaie à une jambe et d'une douleur au dos a été brièvement hospitalisée mais elle a pu rejoindre dans l'après-midi le tribunal de grande instance. La femme qui l'a agressée a été placée en garde à vue au commissariat et le procureur de la République Jean-Pierre Alacchi a demandé a ce qu'elle soit examinée par un médecin.
MULHOUSE, 11 août 2009 (AFP) - 17h40
Agression d'une juge au tribunal de Mulhouse: procès reporté au 14 septembre
Le tribunal de Mulhouse a renvoyé au 14 septembre le procès d'une femme qui avait agressé une juge aux affaires familiales en pleine audience, a-t-on indiqué mardi de source judiciaire. Cette femme poursuivie pour "violences volontaires sur un magistrat dans l'exercice de ses fonctions", a comparu mardi devant le tribunal pour être jugée en comparution immédiate, mais elle a obtenu un délai pour préparer sa défense, a indiqué à l'AFP le procureur de la République Jean-Pierre Alacchi. En attendant son procès, elle a été maintenue en détention provisoire et devra aussi subir une nouvelle expertise psychiatrique au cours des prochaines semaines, selon la même source. Lors d'une audience en référé lundi, cette femme âgée de 42 ans en instance de divorce était entrée en fureur en apprenant le renvoi de l'examen de son affaire en raison du désistement de son avocate. Elle avait bousculé la magistrate, l'avait jetée à terre et l'avait griffée en lui arrachant violemment son pendentif, avant de pouvoir être maîtrisée. La juge aux affaires familiales, qui souffrait d'une plaie à une jambe et d'une douleur au dos, a été brièvement hospitalisée mais elle a pu rejoindre dans l'après-midi le tribunal de grande instance. Elle a porté plainte pour "violences sur magistrat dans un local judiciaire". Son agresseur doit aussi comparaître en septembre pour non représentation d'enfant.
Miss Money (à droite) et Ach Goood à Versailles
L'agresseur de la juge avait une arme dans son sac à main
Par cockpit, le 12/08/2009 à 07:20, sur Le Post
Tags Mulhouse, juge, magistrat, tribunal, violence, arme
La femme qui avait agressé une juge aux affaires familiales en pleine audience du tribunal de Mulhouse a été présentée hier en comparution immédiate. Son procès est reporté au 14 septembre car la prévenue a demandé un délai pour assurer sa défense. Déjà condamnée pour des violences sur son mari, le tribunal a souligné qu'au moment des faits, elle avait dans son sac à main une bombe projetant un gaz, arme de 6ème catégorie. Le lecteur peut imaginer que cette arme n'a pas été détectée par les portiques de contrôle à l'entrée du tribunal, compte tenu de sa nature non métallique. Mais alors, faut-il durcir ces contrôles et rajouter une fouille physique ? Et dans les aéroports, les portiques sont-ils plus performants ? Ou peut-on également prendre un avion avec ce type d'arme ?
L'Alsace, le 12/08/2009 à 09h59, extrait
Justice Détention pour la femme qui a agressé la juge à Mulhouse
Rappelons que la magistrate venait de lui annoncer qu’elle devait renvoyer son affaire de divorce, notamment parce que son avocat ne voulait plus la défendre. La justiciable s’était alors précipitée sur la juge Litzler, la jetant à terre tout en tentant de l’étrangler, lui arrachant un pendentif et la griffant. La juge a été blessée au genou gauche, dans le dos et au cou, ce qui l’oblige à porter une minerve. Elle a une incapacité totale de travail de trois jours.
Comme c’est son droit, la prévenue, ingénieur de profession et âgée de 42 ans, a demandé un délai pour préparer sa défense. Son avocat, Me Jean – Christophe Loew, a plaidé que cela lui permettra d’étudier le dossier. Il a demandé qu’en attendant, sa cliente soit placée sous contrôle judiciaire.
Pour le parquet, Laetitia Manouvrier a requis le placement en détention provisoire, à cause de la gravité des faits, du grave trouble à l’ordre public et du risque de réitération. La magistrate a souligné que cette femme a été condamnée le 21 juillet dernier pour ses violences sur son mari, et que lundi elle portait aussi « une arme projetant du gaz ».
Expertise psychiatrique
Le tribunal a ordonné une expertise psychiatrique confiée au Dr Bernadette Ruimy et a renvoyé l’affaire au 14 septembre.
D’ici là, la prévenue a été placée sous mandat de dépôt. « L’idéal serait que vous fassiez profil bas. Ne venez pas raconter des fantasmagories sur les sectes et autres courants d’air », lui a conseillé Fernand Kato, le président du tribunal.
Une nouvelle basket Lacoste chez Colette
Une nouvelle basket Lacoste en magasin
Source : Relaxnews, 16/11/2008 | Mise à jour : 15:30
Lacoste et le magazine Shoes-Up lancent une nouvelle basket en série limitée en hommage à la France, la Lacoste X Shoes-Up. Elle est entièrement recouverte de lainage noir et a un talon sur la cheville, tout comme un Béret basque, symbole de la France et aussi du Pays Basque, le pays d'origine de René Lacoste. La série est limitée à 160 paires dans le monde et sera notamment disponible en France à partir du 18 novembre chez Colette à Paris à 130 euros.
Les baskets sont vendues dans une boîte à chapeau, accompagné d'un livre de 148 pages de portraits "Béret" réalisés par le photographe Charles Levy. La boîte contient un code qui permet aussi de télécharger le film Shoes-Up Lacoste réalisé par le Studio Mathematic à travers son label UFO.
PARIS (AFP) — Le "sac Township", offert à la première dame de France Carla Bruni-Sarkozy dans un bidonville d'Afrique du Sud, se vend désormais 100 euros pièce dans la boutique la plus branchée de Paris, la somme récoltée devant permettre d'ouvrir une coopérative sur place.
Fabriqué en quantité limitée, soit 421 pièces, l'accessoire également baptisé "sac Carla", est vendu par la boutique Colette, dans un quartier chic de la capitale, sur initiative de l'ONG Afrique du Sud, Bidonvilles.
L'ancien mannequin-vedette s'était vu offrir le sac, composé de toile de jute doublée de coton aux couleurs de l'Afrique du Sud, lors d'une visite en février dans une coopérative de couture qui emploie des femmes du township de Khayelitsha, au Cap.
Elle accompagnait son époux, le président Nicolas Sarkozy, lors d'une tournée en Afrique.
Cette coopérative, et quatre autres, ont été ouvertes dans deux townships du Cap avec l'aide de l'ONG.
En raison de "l'intérêt suscité dans les médias" par la visite de Carla Bruni-Sarkozy, l'ONG a "eu l'idée de reproduire ce sac" pour aider à financer une nouvelle coopérative, a indiqué vendredi à l'AFP une responsable de la société de commerce équitable Townhship Pattern, qui vend les produits de ces coopératives.
"Carla Bruni-Sarkozy a été tenue informée de notre initiative, étape par étape, et a joué un rôle en termes d'image et de notoriété", a dit Audrey Touchard.
La boutique Colette a annoncé vendredi à l'AFP avoir écoulé les 20 sacs mis en vente à partir du 1er novembre. Elle prévoit d'en disposer d'autres sur ses étalages.
Peut-on tout confier à Google ?
LE MONDE 2 | 14.11.08 | 18h03 • Mis à jour le 14.11.08 | 18h07, extrait
Depuis plusieurs semaines, il soupçonnait si fortement sa femme d'infidélité qu'il ne parvenait plus à obtenir la moindre érection. Il s'était mis en quête d'un conseiller matrimonial, tout en cherchant le meilleur moyen de confondre son épouse. Sonoriser la voiture ? Installer des caméras de surveillance pour bébés dans l'appartement ? Pister l'activité de son téléphone portable ? Le jour où il avait découvert qu'elle le trompait bel et bien, et que l'amant était une amante, il avait sombré dans l'alcool. Au fond de sa déprime, il imaginait mettre un contrat sur les deux femmes. Ce résident de Floride avait cherché un contact auprès d'une mafia au Portugal, son pays d'origine. Désespéré, il avait fini par s'enquérir d'une aide au suicide, avant de se raviser, et de décider de quitter le continent américain.
Comment connaissons-nous autant de détails privés de cette triste histoire vraie ? Quelle autre trahison, en plus de celle de son épouse infidèle, a valu à cet homme de voir ainsi publiquement exposée son intimité ? Celle de son analyste ? D'un membre de sa famille ? D'un proche confident ? Non : de son moteur de recherche. Car ce qui fait le canevas de ce drame domestique n'est rien d'autre, ni rien de plus, que la suite de mots-clés qu'il a recherchés, jour après jour et pendant trois mois, sur le Web.
En août 2006, AOL a divulgué accidentellement un fichier contenant les logs de 658 000 utilisateurs, collectés entre les mois de mars et de mai de la même année. Les logs, c'est-à-dire l'historique des mots-clés recherchés sur Google depuis le portail d'AOL, accolés à la date et à l'heure de leur recherche. Chaque internaute n'est certes identifié que par un numéro – celui de l'époux trahi est 14162375 – mais bien vite, des journalistes et des blogueurs se sont amusés à rechercher, parfois avec succès, des identités réelles derrière les suites de chiffres… Aux Etats-Unis, l'affaire a frappé les esprits. Car ce n'est pas seulement "une base de données d'intentions humaines", selon l'expression du journaliste américain John Battelle (La Révolution Google, éd. Eyrolles, 282 p., 19,90 €), que révèlent ces logs : c'est aussi et surtout un immense catalogue d'angoisses, de pulsions, de terribles secrets, de noirs fantasmes ou de perversions cachées…
Carla Bruni, son album se vend moyen mais... son sac cartonne !
News publiée le lundi 10 novembre à 12h41, www.purepeople.com, extrait
Après avoir charmé le Sénat, Carla Bruni a envoûté les clients de chez Colette, rue Saint-Honoré à Paris.
La Première dame a en effet lancé un sac, le Township, réalisé par des couturières d'une coopérative d'Afrique du Sud située dans un bidonville, à Khayelitsha. Une collaboration qui est née suite à sa visite officielle dans le pays en février 2008 avec son époux Nicolas Sarkozy.
Un sac en toile de jute doublé coton, vendu 100 euros, dont les couleurs reprennent exactement les couleurs du drapeau sud-africain et réalisé en seulement 421 exemplaires numérotés. Pas de bol mesdames, ce modèle est déjà en rupture de stock dans la célèbre boutique, une semaine à peine après sa mise en rayon.
14-18, le bruit et la fureur... cette immense tromperie ?
14-18, le bruit et la fureur
Sur France 2, le 11 novembre, à 20h50
Tout est loin d’avoir été dit sur la “der des ders”, sur l’histoire de cette immense tromperie, de ce gâchis infini. A travers le récit d’un soldat qui a traversé toute la guerre et qui parle aussi au nom de ses camarades, "14-18 le bruit et la fureur" est un documentaire réalisé à partir d’images d’archives, pour la première fois, restaurées, colorisées et sonorisées. A rebours de la victimisation du soldat qui a longtemps prévalu, le propos de ce film est nouveau : la Grande Guerre a été entretenue par un consentement général. Ce sont des sociétés entières qui se sont jetées dans ce qu’elles pensaient être un combat de la civilisation contre la barbarie. Elles se sont ainsi engagées dans le premier massacre de masse moderne, sans avoir la moindre idée de ce qui les attendait. En suivant les analyses d’Annette Becker, l’un des chefs de file de ce nouveau courant historiographique, ce film donne une vision neuve de ce conflit dont l’ampleur, la violence, le caractère total ont à la fois préfiguré et engendré les tragédies du XXe siècle.
Les oubliés de la Grande Guerre : Humanitaire et culture de guerre, 1914-1918
de A. Becker
Hachette Littératures, 3 novembre 2003
Présentation de l'éditeur. Fondé sur l'analyse d'archives inédites, en particulier celles du Vatican et du Comité internationale de la Croix-Rouge, ce livre renouvelle en profondeur l'étude de la Grande Guerre. Il retrace les souffrances endurées par les populations civiles - réquisitions, travail forcé, déportations - et les prisonniers de guerre, ainsi que les interventions humanitaires qui cherchent à les protéger. Il révèle ainsi que la Grande Guerre ne fut pas seulement la guerre des tranchées mettant aux prises les combattants du front, mais qu'elle fut bien une guerre totale, pesant en profondeur sur les société et enrôlant des populations entières. Elle fut ainsi la première des guerres du XXe siècle, annonçant par bien des traits les atrocités de la seconde guerre mondiale, dont elle constitue en quelque sorte la matrice. Un ouvrage de référence, au carrefour de l'histoire et des interrogations contemporaines sur le rôle de l'humanitaire
Un projet de loi sur le « statut » de beau-parent en préparation
La sociologue Sylvie Cadolle, auteur de "Etre parent, être beau-parent, la recomposition de la famille" (Odile Jacob, 2000), signale ainsi "qu'on s'aperçoit qu'il y a des effets secondaires et des risques à tous les étages".
Pour elle, "la priorité à respecter, c'est surtout de ne pas empiéter sur le droit de l'autre parent, celui qui est extérieur au couple recomposé. D'ailleurs, les oppositions à un statut du beau-parent suscitent surtout l'opposition des mouvements de pères divorcés" dit-elle.
Partant du constat qu'un nombre croissant d'enfants vit dans une famille recomposée, avec un seul de ses parents, Nicolas Sarkozy avait chargé Xavier Bertrand, dans une lettre de mission datée d'août 2007, de créer "un statut" pour donner aux beaux-parents des familles recomposées une existence juridique.
Le ministère de la Justice a indiqué que la concertation se poursuivrait sur "une quinzaine de jours" avec l'ensemble des assocations concernées, notamment l'Unaf ou SOS Papas.
PARIS (AFP) - Un projet de loi sur le "statut" de beau-parent visant à "reconnaître des droits au tiers qui vit avec un des parents et l'enfant" est en préparation, a-t-on appris auprès du ministère de la Justice vendredi.
"L'idée de la réforme est de reconnaître sous certaines conditions des droits au tiers qui vit avec un des parents et l'enfant, il n'est pas question de porter atteinte au droit du parent qui ne vit plus avec l'enfant", a indiqué à l'AFP la Chancellerie.
L'agression avait provoqué émoi et colère chez les magistrats
«C'était inconscient quand je l'ai poignardé. Il m'a embêté pendant un an virtuellement. Je ne sais pas pourquoi il a enlevé mes enfants. Aujourd'hui, je ne le sais toujours pas», s'est-elle encore justifié devant le juge.
L'agression avait provoqué émoi et colère chez les magistrats français qui avaient estimé que leur sécurité n'était pas assurée dans les tribunaux, Fatiah B. ayant pu introduire dans une enceinte judiciaire un couteau de boucher avec une lame de 25 cm.
SÉCURITÉ DANS LES TRIBUNAUX
J'ai pas voulu vous tuer, monsieur le juge
mercredi 28 mai 2008, 20h34 | leparisien.fr