Catégories: Sciences humaines, La psychiatrie, Psychologie, idéologies, Rumeur et crédibilité, Sociologie, anthropologie
Une histoire des haines d'écrivains
NDLR : J'avais donc fini par passer commande... « Un livre délicieux », selon le Monde. J'ai le sentiment qu'en janvier 2011, une chambre civile de la cour d'appel de Versailles ne s'était pas méprise lorsqu'elle finissait par reconnaitre qu'elle avait perçu une « forte animosité » à mon encontre. Hugo, un homme « dangereux », « haï » ? « L'opposant » était-il « malade » ?
Une histoire des haines d'écrivains
Boquel Anne, Kern Etienne, Flammarion, janvier 2009, coll. essais
Mariage, PACS, union libre : Bien choisir le statut juridique et patrimonial
NDLR : A aborder avec des pincettes, car, potentiellement, très peu fiable ? Qu'en pensent les notaires ? Plus j'en lis, et d'avantage je me dis que « divorcer », quand on a jamais été marié, c'est vraiment très compliqué, en plus d'être embrumé dans certaines requêtes ou répliques. « Divorcer » d'avec la famille de mon ainée, c'était déjà assez balaise, sa mère à elle était décédée depuis 4 à 5 ans déjà... Si c'était à refaire, avec ce que j'ai appris au cours de ces dernières années, je crois que je ne m'approcherais plus jamais d'une femme en âge de procréer
Mariage, PACS, union libre : Bien choisir le statut juridique et patrimonial de votre couple
De Sébastien Meaux
Editions L'Express (9 février 2007), coll. Les essentiels, vu sur Google books...
Biographie de l'auteur, selon Amazon... Sébastien Meaux est journaliste et juriste en droit de la famille, contribue à différentes publications spécialisées. II est l'auteur de Héritage, donations, testament paru dans la même collection.
Au sujet de l'arme atomique, interview de Staline (6 octobre 1951)
NDLR : Voir également Cinq mois de guerre ainsi que Le chagrin des juges. A présent, suit la guerre froide ? De toute façon, je n'ai pas le choix, je vais devoir composer, jusqu'à la quille et probablement avec des débiles encore. On ne devrait pas tarder à me reparler de complotite aiguë... tiens, le mot cosmopolite ? Ce simple mot avait grillé Péan.
Duck'n'cover... on m'en avait parlé. Le géant de fer, je l'avais vu. On comprend mieux l'attitude de l'administration, des pros de la justice ou du social, ainsi que les attitudes du château et de ses courtisans, ils ne me répondent plus ou racontent des salades : « en cas de problème, balayez sous le tapis puis faites l'autruche, on vous soutiendra, jusqu'au bout. » Quelle histoire. Ils réclament encore des suppos ? Quand vont-ils sortir de dessous la table et répondre ?
Le 6 octobre 1951, Joseph Staline accorde à la Pravda un entretien au cours duquel il répond aux attaques américaines contre la politique nucléaire de l'Union soviétique. Source : STALINE, Joseph. Derniers écrits, 1950-1953. Paris: Editions sociales, 1953, p. 69-71. Un interview, à lire sur ena.lu.
Les derniers complots de Staline, l'affaire des blouses blanches,
par Jacques Marie, sur Google books
Absolument dé-bor-dée !
Voir aussi Petit lexique pour l'usage du travailleur social
Voir également Ces juges qui dérapent ou l'éthique dans le service public et Le chagrin des juges
Tout aussi délicieux : L'apôtre, le fervent fonctionnaire, le sceptique et l'idée de charité
Absolument dé-bor-dée !
Comment faire 35 h en un mois... Quand on est fonctionnaire
Par Zoé Shepard, mars 2010, chez Albin Michel
Présentation de l'éditeur, chez Amazon.fr. « Les premières semaines, j'ai cherché les caméras. C'était forcément une plaisanterie. Six mois après avoir été embauchée à la mairie, j'ai accepté la triste réalité : je suis un petit rouage d'un univers absurde. Un monde où ceux qui en font le moins se déclarent « dé-bor-dés ! » Où les 35 heures se font... en un mois. Je passe mes trois heures de travail hebdomadaire à pipeauter des notes administratives, bidouiller de vagues rapports, jouer les GO pour délégations étrangères et hocher la tête en réunion. L'essentiel est de réussir à gaspiller son temps en prenant un air important, à lécher les bottes des dirigeants pour glaner quelques informations et à jouer les fidèles vassaux des élus tout puissants... »
Tel est en résumé le quotidien d'une « desperate fonctionnaire » comme des millions d'autres, qui n'en peut plus de n'avoir rien à faire et d'être obligée, par solidarité avec la fonction, de faire semblant.
Biographie de l'auteur. Zoé Shepard, trente ans, est fonctionnaire territoriale. Son nom est un pseudonyme.
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Le conseil de discipline du jour. Billet
Une haut fonctionnaire menacée de révocation pour avoir écrit un livre
Par Grégoire Leménager
Au conseil régional d'Aquitaine, on rigole encore moins qu'Eric Raoult avec le devoir de réserve. Une haut fonctionnaire s'était amusée en mars dernier à publier un livre qui racontait, sur le ton de la pochade amère, qu'on ne fiche pas grand-chose dans la fonction publique territoriale. C'était sous-estimer cette dernière : l'administration, qui est parfois plus susceptible qu'on croit, a organisé pour cette dame un conseil de discipline ce jeudi, 12 rue du Cardinal Richaud à Bordeaux-Lac, au centre de gestion de la Gironde. Et l'auteur d'« Absolument dé-bor-dée ! » (Albin Michel), qui prétendait dire à ses lecteurs « Comment faire 35 heures en... un mois », risque de ne plus en faire du tout. La révocation lui pend au nez. Elle devait bien sentir que sa plaisanterie n'amuserait pas tout le monde, puisqu'elle avait choisi de signer sous le pseudonyme de Zoé Shepard (avec un Z, comme Zorro) ce roman-témoignage au vitriol où l'on se traîne de réunions inutiles en pauses-cafés sans intérêt, et où, en cas de difficulté majeure, on se contente de trouver « un plan B. B, comme bluff »... La suite sur bibliobs.nouvelobs.com
Une fonctionnaire risque la radiation après la sortie d'un brûlot
Par Idir HOCINI, sur TF1/LCI, extraits
le 30 juin 2010 à 15h49, mis à jour le 01 juillet 2010 à 11:30
Zoé Shepard parle dans "Absolument dé-bor-dée" de sa vie de bureau dans la fonction publique tout en paresse et en filouterie. Le conseil régional d'Aquitaine où travaille l'écrivain s'est senti visé, et l'accuse de violer son devoir de réserve. Zoé Shepard (le pseudonyme de l'auteur) raconte dans son livre* la vie d'une haute fonctionnaire absolument débordée. Un turbin et des horaires frisant l'Annapurna bureaucratique : 35 heures de travail... par mois. "J'ai longtemps cru que mon gène de la paresse était récessif. Puis j'ai intégré la fonction publique territoriale et ai constaté dans un environnement favorable qu'il pouvait pleinement s'exprimer ", peut-on lire dans l'ouvrage. [...] Le livre se boit comme du petit lait. La vie professionnelle de Zoé Shepard est drôle et elle est racontée avec beaucoup de style. Le public fait un accueil plutôt chaleureux à ce premier essai déjà vendu à 12.000 exemplaires. [...] Pourtant, Zoé Shepard se défend d'avoir voulu mouiller la région : "Ces pages, ce sont les tribulations d'une fonctionnaire territoriale. Personne n'est pointé du doigt. Il faut le voir comme un mélange du journal de Bridget Jones et du diable s'habille en Prada. Ce n'est pas du tout une autobiographie, je ne cite aucun nom, aucun dossier. On m'a concocté un dossier disciplinaire complètement ubuesque". Alors pourquoi Alain Rousset, président du conseil régional d'Aquitaine, veut-il " la tête " de sa fonctionnaire ? "Car mes détracteurs poursuivent une sorte de vengeance personnelle. Malgré le caractère romancé de mon livre, j'y soulève certains dysfonctionnements qui s'appliquent visiblement très bien à la région Aquitaine, puisqu'ils se sentent visés".
Droit de réponse de la Licra
NDLR : La Licra semble également bien connaitre ces vieux textes de 1881. J'ai le sentiment qu'un bouquin de Maurice Berger, pédo-psy, n'a jamais suscité aucune réaction, ni de la part de la Licra, ni de la part du MRAP, ni d'ailleurs de la part d'autres associations et humoristes. Je m'en étonnais encore en février 2009, dans mon billet Valse avec les loups. Aujourd'hui, plus rien ne me surprend. Un peu plus loin, en meurthe-et-moselle, Enfance et Partage insiste, redemande ou aurait même obtenu l'audition d'un juge pour enfant ? « C’est attendu pour demain ? » Cela leurs avait pourtant déja été refusé. Mes Constantino et Vaissier-Catarame auraient-ils réclamé une « révision » d'une décision de la cour d'appel de Nancy ? Mais la presse a pu rapporter n'importe quoi ; je vais lire ce qui paraitra encore, au cours de ces prochains jours.
Voir aussi Loup... Qui es tu ?... et Quelques discours, le bon docteur et la naissance du récit noir.
Un coupon d'un ancien Républicain Lorrain
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Droit de réponse de la Licra
Publié le mardi 29 juin 2010 à 11H00, l'Union
« La Licra a poursuivi Dieudonné M'Bala M'Bala pour avoir tenu à son sujet dans le journal l'union les propos suivants : « Ce sont des associations mafieuses qui organisent la censure. Je pense que ce sont des organisations qui nient tous les concepts du racisme à part celui qui concerne les Juifs. En fait, ce ne sont que des officines israéliennes ». Le 8 juin 2010, le tribunal correctionnel de Reims l'a reconnu coupable du délit de diffamation publique et l'a condamné à 5 000 euros d'amende. Dans l'édition de l'union, datée du 9 juin 2010, M. Bruno Testa s'est cru autorisé d'écrire dans un article intitulé « La mouche du coche - Liberté de censure » : « Mafieux » n'est certes pas le mot adéquat. Mais que la Licra cherche à intimider ceux qui condamnent la politique israélienne, qui peut le nier ? « Officine israélienne » ? Officiellement non, mais ne mériterait-elle pas le label ? ». Il est inacceptable que sous couvert de commenter une décision de justice, M. Bruno Testa réitère la diffamation commise par Dieudonné M'Bala M'Bala, en justifiant et légitimant les propos scandaleux qu'il a tenus, et qui ont été condamnés en des termes sans équivoque par le tribunal correctionnel de Reims. Les accusations de M. Bruno Testa procèdent d'une méconnaissance totale de ce qu'est la Licra et des combats qu'elle mène, en toute indépendance, depuis des décennies contre toutes les formes de racisme et d'antisémitisme. Il est intolérable qu'il puisse ainsi être porté atteinte à son honneur et à sa considération. »
JUSTICE assises de meurthe-et-moselle
Mattéo, 2 ans, mort dans l’indifférence
29/06/2010, Républicain Lorrain, extrait
A cette époque-là [NDLR : en octobre 2003], la maman a été placée en garde à vue. Puis son enfant avait fait l’objet d’un placement par un juge des enfants remplaçant du TGI de Briey. Mais une semaine plus tard, la juge titulaire revient et rend l’enfant à sa mère. Deux mois plus tard, survient le drame. Les deux avocats de l’association partie civile Enfance et Partage, Mes Constantino et Vaissier-Catarame, ont demandé l’audition de cette juge. C’est attendu pour demain. Hier, les personnalités des deux accusés ont été passées au petit tamis. Delphine Bailleux, 20 ans à l’époque, mère immature, accro à la télé, très détachée de son fils. Damien Billiaux, 21 ans, paumé, caractériel, pervers pour le psychiatre, ayant peu de sentiments pour sa compagne et son fils. Celui-ci est poursuivi pour violences habituelles et violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner. La maman répond de non-dénonciation. Aujourd’hui seront évoqués les faits. Le verdict est attendu jeudi. M.-O. N.
Suisse : le Ministère public fédéral a gagné son indépendance
Histoire du Parquet [français]
Jean-Marie Carbasse
chez PUF, collection Droit et justice, mai 2000
L'ouvrage, présenté par PUF. Le statut du Parquet est au coeur des débats actuels sur la réforme de la Justice. Faut-il pour parfaire l'indépendance de la Justice, rompre le fameux cordon ombilical qui depuis deux siècles rattache le Ministère public au pouvoir exécutif ? Faut-il au contraire envisager la transformation des parquetiers en un corps de fonctionnaires "ordinaires" quitte à réserver la qualité de magistrat aux seuls juges du siège et à séparer strictement les deux corps ? D'un modèle à l'autre, multiples sont les propositions et projets de réforme. Il n'est peut-être pas inutile, dans un tel contexte, d'interroger l'histoire. Cet ouvrage propose la première synthèse moderne sur le passé du ministère public, singularité française, héritier d’une tradition qui remonte à Philippe le Bel.
A propos des auteurs. Ouvrage publié sous la direction de Jean-Marie CARBASSE, professeur à l'Université de Paris II, Directeur du Centre d'étude d'histoire juridique - CEHJ, Equipe de recherche de l'Université de Paris II associée au CNRS et aux Archives nationales.
Voir aussi La formation des juges et des magistrats du parquet, en Moldavie
Justice, samedi 6 mars 2010, le Temps, extrait
Les différents visages du Ministère public dans l’histoire
Le suicide de René Dubois en 1957, la démission de Rudolf Gerber dans le sillage de l’affaire Kopp, l’énergie brouillonne de Carla Del Ponte, la lutte implacable de Valentin Roschacher et Christoph Blocher: en cinquante ans, le rôle du Ministère public de la Confédération a profondément évolué. Le 23 mars 1957, le procureur général de la Confédération René Dubois se donne la mort. La Tribune de Genève vient de révéler son implication dans la mise sur écoute de l’ambassade d’Egypte à Berne. Le procureur avait accepté de travailler, en mettant notamment un inspecteur de la police fédérale à disposition, pour un officier français du renseignement extérieur, Marcel Mercier, en poste à Berne comme attaché commercial. Le scandale est considérable.
Justice, mercredi 3 mars 2010, ATS, le Temps, extrait
Le Parlement aura la haute main sur le Ministère public
Les chambres éliront le procureur ainsi que l’autorité chargée de surveiller le parquet. Par 88 voix contre 81, le National s’est rallié mercredi à ce modèle élaboré par le Conseil des Etats. Ce concept prévoit que le procureur général de la Confédération ainsi que ses deux suppléants seront élus par le Parlement pour quatre ans. La surveillance du MPC reviendra quant à elle à une autorité indépendante, élue par les Chambres fédérales.
Justice, vendredi 5 mars 2010, le Temps, extrait
Le Ministère public fédéral a gagné son indépendance
Le procureur général de la Confédération sera élu par le parlement. Le changement parachève une longue évolution. Sauf surprise lors du vote final des Chambres, le procureur général de la Confédération et ses suppléants seront élus à l’avenir par le parlement et plus par le gouvernement. Le Conseil national s’est rallié cette semaine à l’idée conçue et imposée par le Conseil des Etats – où les impulsions ont été données en leur temps par le socialiste fribourgeois Alain Berset et le radical tessinois Dick Marty. Le Conseil fédéral lui-même s’est laissé convaincre et a, au moins formellement, renoncé à défendre ses prérogatives. L’exécutif va perdre du même coup ses pouvoirs – controversés – de surveillance sur le parquet fédéral au profit d’un organisme à créer, lui aussi élu par le parlement, composé de juges fédéraux, d’avocats et de spécialistes, et qui sera garant de l’indépendance du Ministère public. Une grande nouveauté là aussi, dont la constitutionnalité a pourtant suscité des doutes. La Constitution ne prévoit nulle part la possibilité de créer une telle autorité, les cantons qui connaissent un conseil supérieur de la magistrature l’ont en général ancré dans leur loi fondamentale, mais un avis de droit de l’Office fédéral de la justice est venu rassurer les parlementaires. Du moins la majorité, la minorité ayant continué, au Conseil national, à juger la nouvelle autorité comme une sorte d’ovni institutionnel.
Carla Bruni-Sarkozy vexée par une chanson ?
NDLR : Je n'aurai pas du regarder la télé pour me changer les idées... je reprend mon PC.
ITALIE
Carla Bruni-Sarkozy vexée par une chanson ?
NOUVELOBS.COM | 02.02.2010 | 16:54, extraits
Carla Bruni-Sarkozy a annulé sa participation au festival de San Remo. Il semble que les paroles taquines d'un autre invité aient déplu à la chanteuse et à l'Elysée. [...] "L'Elysée a estimé que Carla Bruni se serait exposée à la risée du public en montant sur le podium de San Remo puisque Simone Cristicchi se moque du président de la République française dans sa chanson." [...] "Elle dit quoi Carla Bruni? Comment s’habille Carla Bruni? Elle mange quoi Carla Bruni? Il est sorti le nouveau disque de Carla Bruni? Elle pense quoi Carla Bruni? Comment marche Carla Bruni? Comment se maquille Carla Bruni? Nous sommes tous plus contents avec Carla Bruni. Heureusement qu’il y a Carla Bruni", chante Simone Cristicchi, brocardant quelque peu la chanteuse "devenue une icône esthétique". Mais le chanteur italien s’en prend également à Nicolas Sarkozy dans le refrain : "Nous somme fait comme ça Sarko nò, Sarko si, si on parle de toi, il n’y a pas de problèmes". Des paroles qui n'auraient vraiment pas plus à l'Elysée. En Italie, la nouvelle fait grand bruit et l'affaire se répand peu à peu dans la presse.
SIMONE CRISTICCHI - MENO MALE - 16 02 2010
envoyé par patvar. - Clip, interview et concert.
Atelier 6 : l'intérêt de l'enfant
NDLR : Deux extrait des actes de ce colloque, de l'atelier 6, animé par l'ARSEA et le Conseil général du Haut-Rhin, puis de la synthèse. Il y a peu, selon France Soir, Jean-Marie Bockel a « insisté sur le soutien à l'exercice de l'autorité parentale, en constatant que les mesures prises à Mulhouse avaient eu des résultats `' en demie teinte " ».
L'enfance au coeur des politiques de prévention et de protection
Actes du colloque, Colmar, le 17 janvier 2008, de source www.solidarite.cg68.fr
Le serment d'Hippocrate, pour les enfants
NDLR : En suivant les liens proposés par l'opération pièces jaunes, dans sa rubrique pour les enseignants, j'ai pu trouver les fiches du cahier pédagogique 2010 parmi lesquelles figure le serment d'Hippocrate. L'une des fiches « d'éducation civique » propose de faire « lire ce serment, puis de chercher dans un dictionnaire la définition des mots soulignés. » Je pense que cette fiche pédagogique « pour les enfants » est susceptible de faire beaucoup geindre où je suis passé et où ma fille aînée a été « placée » au cours de ces dernières années.
L'Iran et Gaza à l’honneur du World Press
NDLR : Une telle photo n'aurait pas pu être prise par un professionnel ?
De source le Figaro
Novembre 2008 : Dati et Bockel inaugurent le CEF de l'ARSEA
NDLR : Lorsque je lis l'arrêt récemment rendu par la chambre des créatures inférieures de la cour d'appel de Versailles, j'ai le sentiment que ce passé là n'est pas avéré non plus.
Voir également A l'ARSEA : « une logique citoyenne et surtout le respect des autres »
De source www.justice.gouv.fr
Infrarouge ou cette réforme de tous les soupçons
NDLR : Une diffusion d'abord reportée en raison du drame ou de la malédiction d'Haïti... Puis j'ai raté sa redif et foiré l'enregistrement, dans la nuit du 6 au 7. Mais France 2 propose - à peu près - tous ses documentaires en VOD, voire sur CD, dans son catalogue virtuel. J'espère y voir figurer bientôt celui de Jacques Cotta sur l'agonie ou la mort annoncée du juge d'instruction, cette réforme de tous les soupçons. D'ici là, j'ai encore d'autres DVD pour me distraire, Munich, Apocalypse, La vie après la Shoah, La résistance, Nuit et brouillard, etc. Je vais aussi voir un jour Brokeback Mountain, on m'en a dit des choses ambigües.
Confidentiel : Kärcher, Amara s'étonne
NDLR : A la suite, un ancien communiqué de la société Kärcher qui figure depuis longtemps dans un autre de mes billets ou références, Idées noires et le contrat de responsabilité parentale. Je ne savais pas que notre gouvernement avait pour ambition de faire aussi de la publicité pour Kärcher, on en apprend tous les jours.
Confidentiel Kärcher : Amara s'étonne
Le Figaro, 01/02/2010 | Mise à jour : 09:03
La secrétaire d’Etat à la politique de la ville s’étonne que la société allemande Kärcher ait récemment demandé à ce que sa marque ne soit plus citée, dès lors qu’un problème se pose dans les quartiers difficiles. «Je ne comprends pas, ça leur fait de la publicité gratuite et, en plus, cela veut dire que leurs produits sont efficaces et de bonne qualité», confie Amara. En décembre dernier, réagissant à la mort d’un enfant de 12 ans à Lyon, suite à une fusillade entre des jeunes, la secrétaire d’Etat avait indiqué : «Oui, il faut nettoyer au Kärcher, nettoyer cette violence qui tue nos enfants dans les cités».
Un communiqué de mars 2007
Alerte info : le débat sur l'identité nationale impopulaire
NDLR : « Sans doute », pense-t-il à présent ? Mais passons à la suite.
Alerte info : Le débat sur l'identité nationale impopulaire, selon un sondage
Eric Besson promet d'impliquer les intellectuels dans le débat sur l'identité nationale après les régionales
Hier, 22h32, par AP
Le ministre de l'Immigration Eric Besson regrette de ne pas s'être appuyé sur des intellectuels pour la première partie du débat sur l'identité nationale et promet de le faire pour la deuxième partie, qui s'ouvrira après les régionales.
Dans un entretien dont France-Info a diffusé un extrait dimanche soir, il assure ne rien regretter sur le fond - "c'est un débat indispensable", dit-il. En revanche, il admet avoir commis des erreurs "sur la forme".
"Je n'avais pas du tout anticipé la polémique sur les élections régionales", confie Eric Besson. La gauche a reproché au gouvernement d'avoir organisé ce débat afin que l'UMP puisse séduire les électeurs de l'extrême droite au scrutin de mars. "Pour moi, la question de l'identité nationale n'avait strictement rien à voir avec les élections régionales".
Le ministre de l'Immigration considère par ailleurs qu'il aurait dû créer dès le départ un comité des sages pour guider le débat. "Il y a une chose que je ferais différemment", a-t-il dit. "J'avais consulté beaucoup beaucoup d'intellectuels, de sociologues, de politologues, etc... sur ces questions et j'estimais qu'ensuite c'était à moi d'assumer le débat".
"Sans doute, j'aurais dû dès le début créer une espèce de comité des sages, de comité d'orientation qui aurait pu permettre, quand la polémique est partie sur le fait qu'il y avait tel ou tel objectif dans ce débat, que ce (ne) soit pas moi, mais un certain nombre d'intellectuels de gauche, de droite, des vrais républicains, qui répondent à cela", a-t-il expliqué.
Et Eric Besson de conclure: "J'aurais peut-être dû m'appuyer sur ces intellectuels et je compte le faire pour la deuxième partie du débat, après les élections régionales".
Lancé le 2 novembre, le débat sur l'identité nationale se déroule essentiellement lors de réunions dans des préfectures et sur un site web mis en place pour recueillir les propositions des internautes. Des remarques xénophobes ont été déposées en ligne, avant d'être enlevées par les modérateurs. La gauche a appelé à boycotter ce débat, tout comme nombre d'associations et d'intellectuels qui trouvent que les questions posées stigmatisent les immigrés et les musulmans. AP/cb