Archives pour: Décembre 2008, 29
Faute de place en réanimation, un patient décède
Faute de place en réanimation, un patient décède
France Info - 07:14, extrait
Selon le syndicat d’urgentistes Amuf, l’homme victime d’un malaise cardiaque samedi soir dans l’Essonne a dû patienter six heures avant d’être admis, trop tard, en service de réanimation.
L’affaire pourrait susciter une certaine polémique.
Le fils de la victime du schizophrène sous protection
Faits divers
Le fils de la victime du schizophrène sous protection
Le Parisien | 28.12.2008, 18h49 | Mise à jour : 22h11
Michel Trabuc, dont le père Germain avait été tué par Joël Gaillard, le dangereux schizophrène qui s'est échappé d'un hôpital marseillais dans la nuit de vendredi à samedi, a été placé sous protection. Dimanche matin, Michel Trabuc qui vit dans les Hautes-Alpes, avait fait état de ses craintes pour sa propre sécurité et celle de sa femme.
Sur la radio RTL, il a expliqué avoir demandé une protection de la part des gendarmes, demande qui est resté sans réponse. Michèle Alliot-Marie, le ministre de l'intérieur l'a appelé en personne dans la journée pour le rassurer. Des gendarmes ont été affectés à sa surveillance 24 heures sur 24. Joël Gaillard avait tué sauvagement en mars 2004 Germain Trabuc un retraité de 83 ans qui était le compagnon de sa grand-mère.
Dieudonné : « ils ne réagissent que lorsque je fais scandale »
Nouvelle provocation de Dieudonné
lefigaro.fr, 28/12/2008 | Mise à jour : 16:38, extraits
VIDÉO - L'humoriste controversé a remis vendredi au négationniste Robert Faurisson un «prix de l'infréquentabilité et de l'insolence», lors d'un spectacle auquel assistait Jean-Marie Le Pen et sa famille.
[...] Dieudonné n'en était pas à son premier «dérapage verbal» sur la Shoah et la communauté juive. En 2004, il avait par exemple comparé les juifs à des négriers et, en 2003, avait assimilé le judaïsme à une secte. Sans oublier son sketch sur le plateau d'«On ne peut pas plaire à tout le monde», où grimé en juif orthodoxe, il avait fait le salut nazi aux cris de «IsraHeil !». Mais le comique assume son art de la provocation : «Les journalistes ne viennent plus voir mes spectacles. Ils ne réagissent que lorsque je fais scandale», a-t-il confié au JDD.
Dimanche 28 Décembre 2008
Dieudonné dérape encore
Le Journal du Dimanche, extrait
Dernier en date : le vrai-faux baptême de sa fille Plume. "J'ai raconté que Le Pen était le parrain de ma fille; ce n'est pas vrai mais l'audience que cette information m'a donnée m'aurait coûté plusieurs millions de publicité sur TF1 ou France 2", a-t-il confié à ses amis. Cynique, il explique : "Les journalistes ne viennent plus voir mes spectacles, ils ne réagissent que lorsque je fais scandale." Alors il en rajoute, se pose en victime pour mieux attaquer. Flirtant toujours plus près avec les extrêmes.
L'humoriste Dieudonné dérape une nouvelle fois
LEMONDE.FR | 28.12.08 | 10h10 • Mis à jour le 28.12.08 | 10h18, extrait
L'humoriste Dieudonné a remis, vendredi 26 décembre, sur la scène du Zénith de Paris un prix de "l'infréquentabilité et de l'insolence" au négationniste Robert Faurisson, plusieurs fois condamné pour contestation de crime contre l'humanité. Dieudonné a fait monter M. Faurisson sur scène, où un technicien habillé en déporté juif, avec une étoile jaune sur la poitrine, est venu lui apporter son trophée devant près de 5 000 spectateurs, dont Jean-Marie Le Pen.
A priori, on recherche un « schizophrène dangereux »
NDLR : Les uns pourchassent, internent et surveillent des fous tandis que d'autres dépistent et sauvent des enfants en danger. A chacun son dada.
Selon Libé et le Figaro, « Un individu à priori schizophrène et dangereux » serait en ce moment même « activement recherché ». Mais les enquêteurs ne disposeraient d'aucun « signalement précis »...
Une enquête administrative doit déterminer dans quelles conditions cet individu « à priori schizophrène » a pu s'évader de l'hôpital psychiatrique. Probablement en criant « au feu » avec les autres.
A ce stade, on peut penser que cet individu a été « retenu » par hasard et qu'il ne sera retrouvé que par l'effet du hasard aussi. Souhaitons qu'il ne soit pas aussi « schizophrène et dangereux » que la justice le suppose.
Société 27 déc. 20h32 (mise à jour le 28 déc. 19h22), Libé
Un schizophrène dangereux toujours recherché près de Marseille
Les recherches se poursuivaient dimanche pour tenter de retrouver un patient schizophrène reconnu comme dangereux qui s'est échappé d'un hôpital psychiatrique marseillais.
L'homme s'est échappé de l'hôpital psychiatrique Edouard Toulouse dans la nuit de vendredi à samedi. En 2004, il avait été mis en examen pour le meurtre d'un octogénaire mais il avait été déclaré pénalement irresponsable en raison de son état psychiatrique et bénéficié d'un non lieu. «C'est un individu à priori schizophrène et dangereux. Il est recherché activement», a indiqué le parquet de Marseille.
Les recherches s'effectuent dans la région marseillaise ainsi que dans les Hautes-Alpes, département dont sa famille est originaire. Selon une source proche du dossier, elles sont rendues difficiles par le fait que les enquêteurs ne disposent pas d'un signalement précis.
D'ores et déjà, le préfet de région, Michel Sappin, a ouvert une enquête administrative «sur les conditions dans lesquelles les deux individus ont pu s'échapper et plus largement sur les conditions de sécurité de l'établissement».
Nicolas Sarkozy a annoncé le 2 décembre une réforme de l'hospitalisation d'office après le meurtre, mi novembre, d'un étudiant par un malade échappé d'un hôpital psychiatrique à Grenoble. Les syndicats d'infirmiers et de psychiatres avaient alors dénoncé une réforme «dictée sous le coup de l'émotion».
Marseille : un schizophrène dangereux toujours en fuite
lefigaro.fr avec agences, 28/12/2008 | Mise à jour : 22:58, extrait
Le patient qui s'est échappé samedi d'un hôpital psychiatrique à Marseille est introuvable. Il avait tué un octogénaire à coup de hache en 2004. Le deuxième patient a par contre été interpellé.
Les recherches se poursuivaient dimanche pour retrouver un patient schizophrène reconnu dangereux qui s'est échappé d'un hôpital psychiatrique marseillais, dans un contexte marqué par la volonté contestée de Nicolas Sarkozy de réformer l'hospitalisation psychiatrique sans consentement.
Un deuxième patient, un Comorien de 19 ans qui avait été interné alors qu'il purgeait une peine aux Baumettes et qui s'était échappé dans la matinée du même établissement, l'hôpital Edouard-Toulouse, a été retrouvé dans l'après-midi. L'homme a été arrêté dans les quartiers nord de Marseille, à la cité La Savine (15e arrondissement), a-t-on précisé de même source.
Le jeune homme n'est pas le seul à être parvenu à s'évader du service psychiatrique de l'hôpital Edouard Toulouse. Joël Gaillard, un schizophrène qui a tué en 2004 le compagnon de sa grand-mère à coup de hache, est activement recherché depuis sa fuite, samedi. Les recherches s'effectuent dans la région marseillaise ainsi que dans les Hautes-Alpes, département dont sa famille est originaire. Selon une source proche du dossier, elles sont difficiles car les enquêteurs ne disposent pas d'un signalement précis de M. Gaillard.
Joël Gaillard qui était hospitalisé d'office depuis octobre 2007, avait demandé début décembre une permission de sortie pour les fêtes. Une requête qui lui avait été refusé après une expertise médicale. Décidé à sortir, l'homme a actionné , samedi,l'alarme incendie de l'hôpital Edouard, distrayant les infirmières.
Deux évasions en deux jours d'un hôpital psychiatrique de Marseille
LEMONDE.FR avec AFP | 28.12.08 | 16h08 • Mis à jour le 28.12.08 | 16h08
Deux patients, l'un considéré comme dangereux l'autre comme non dangereux, se sont échappés ce week-end de l'hôpital psychiatrique Edouard-Toulouse de Marseille.
Dans la nuit de vendredi à samedi, un schizophrène considéré comme dangereux a quitté l'hôpital. En 2004, cet homme avait été mis en examen pour le meurtre à coups de hache d'un octogénaire, compagnon de sa grand-mère, mais il avait été déclaré pénalement irresponsable en raison de son état psychiatrique et avait bénéficié d'un non lieu. La police et la gendarmerie étaient toujours à sa recherche, dimanche.