Roms : l'UMP choqué par Hollande
NDLR : Des camps construits par les socialistes, et/ou avec des travailleurs sociaux, c'est mieux
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Roms : l'UMP choqué par Hollande
Par Europe1.fr avec AFP
Publié le 15 février 2012 à 15h12
Mis à jour le 15 février 2012 à 15h14
L'UMP a vivement réagi mercredi à des propos de François Hollande préconisant "d'organiser une solution" pour les Roms en France en créant "des camps" pour éviter que "ces populations ne s'installent n'importent où". Le candidat PS à l'Elyséee a fait cette proposition dimanche sur Canal+. "L'origine du mal, c'est-à-dire de cette circulation d'une population qui n'est acceptée nulle part et qui vit dans des conditions indignes, c'est de ne pas avoir fixé une règle européenne pour (la) garder là où elle doit vivre, en Roumanie", a-t-il dit.
Bayonne : le maire jugé pour diffamation
NDLR : C'est plus fort que moi, ce genre de brève ou d'information me fait tweetter... « Ca, ça me fait penser à une opinion de Versailles / Bayonne: le maire jugé pour diffamation http://www.lefigaro.fr/flash-actu/201... poke @MeAgatheCordelier ». C'est à noter, mais le sujet du moment, c'est à nouveau certains discours de Vanneste.
Bayonne: le maire jugé pour diffamation
AFP Publié le 14/02/2012 à 20:56
Le député-maire de Bayonne, Jean Grenet (Parti radical), était jugé aujourd'hui par le tribunal correctionnel de Bayonne pour diffamation à l'encontre du président d'une association locale qui milite pour la transparence de l'activité municipale. Le délibéré a été fixé au 17 mai.
Le président de l'association Bayonne Irréprochable, Frédéric Velez, reproche à l'élu, qui était absent à l'audience, d'avoir tenu des propos "insultants et diffamatoires" à son égard lors d'un conseil municipal en 2011, propos repris dans un compte-rendu diffusé sur internet. L'avocat du plaignant, Me Hervé Espiet, a rappelé les propos par lesquels le député-maire, âgé de 72 ans, avait semblé jeter un doute sur la santé mentale de M. Velez. "M. Grenet doit garder la maîtrise de ses paroles", a estimé l'avocat du plaignant, qui a demandé un euro symbolique de dommages et intérêts.
Me Philippe Souriceau, conseil de Jean Grenet, a présenté M. Velez comme une personne inondant la mairie de courriers et estimé que "citer le député-maire en correctionnelle à Bayonne, c'est s'offrir une tribune pour pas cher". Il a opposé aux propos du maire ceux tenus par M. Velez dans les journaux parlant de M. Grenet comme "d'un monarque municipal". Précisant qu'une "condamnation en correctionnelle pourrait avoir des conséquences sur l'égilibité de (son) client", il a demandé la relaxe.
Pas de sanction contre Letchimy
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Pas de sanction contre Letchimy
Par Europe1.fr avec agences
Publié le 14 février 2012 à 12h52
Mis à jour le 14 février 2012 à 13h58
Le député avait évoqué le "régime nazi" après les propos de Claude Guéant sur "les civilisations".
Le bureau de l'Assemblée nationale a finalement décidé de passer l'éponge. Serge Letchimy ne sera pas sanctionné pour les propos tenus la semaine dernière à l'encontre de Claude Guéant, a annoncé le président de la chambre basse du Parlement, Bernard Accoyer, à l'issue d'une réunion du bureau chargé d'étudier son cas.
Pierre Sarkozy protégé par la police
NDLR : On s'en doutait, le scooter de Jean est aussi bien protégé.
Pierre Sarkozy protégé par la police
Le Figaro, mis à jour le 11/02/2012 à 20:25 | publié le 11/02/2012 à 20:15
Le fils aîné du président Nicolas Sarkozy, Pierre Sarkozy, bénéficie en permanence d'une protection policière, en France et à l'étranger, ont indiqué aujourd'hui les ministères des Affaires étrangères et de l'Intérieur, réagissant à une information du site internet Mediapart. Pierre Sarkozy, 26 ans, producteur de rap connu dans le milieu musical sous le nom de DJ Mosey, "bénéficie en permanence d'une protection policière à l'étranger ou en France. La protection des proches du chef de l'Etat est légitime et nécessaire", a déclaré le porte-parole du ministère de l'Intérieur, Pierre-Henry Brandet.
L'Iran a « brisé l'idole » de l'Holocauste
L'Iran a "brisé l'idole" de l'Holocauste
AFP Publié le 11/02/2012 à 09:56 Réactions (20)
L'Iran a "brisé l'idole" de l'Holocauste, a affirmé aujourd'hui le président Mahmoud Ahmadinejad lors d'un discours à l'occasion du 33eme anniversaire de la révolution islamique de 1979.
"L'Occident et les colonialistes, pour dominer le monde, ont créé une idole qu'ils ont appelée le régime sioniste. L'esprit de cette idole est l'Holocauste (...) et la nation iranienne, avec courage et clairvoyance, a brisé l'idole, préparant la libération des peuples occidentaux", a déclaré M. Ahmadinejad, qui a suscité de vives réactions internationales en niant à plusieurs reprises, dans le passé, le génocide des Juifs durant la Seconde guerre mondiale.
Kerredine - J'veux m'intégrer (Clip Officiel)
Affaire Bettencourt : les motifs de la double mise en examen d’Eric Woerth
NDLR : Voir aussi Les régionales, en Moldavie française... Cet ensemble devrait faire plaisir à Frédéric Lefebvre
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Affaire Bettencourt : les motifs de la double mise en examen d’Eric Woerth
LEMONDE | 10.02.12 | 10h39 • Mis à jour le 10.02.12 | 10h47, extrait
Pour Nicolas Sarkozy, qui s'apprête à entrer officiellement dans la campagne présidentielle, le coup est rude et le symbole fort. Son ancien ministre du travail, celui qui fut le trésorier de sa campagne victorieuse, en 2007, aujourd'hui pilier de la cellule "riposte" mise en place autour du chef de l'Etat, a été mis en examen à deux reprises dans le dossier Bettencourt, à l'issue de deux éprouvantes journées d'audition, mercredi 8 et jeudi 9 février.
M. Woerth, mis en cause publiquement à partir de juin 2010 suite à la publication d'enregistrements clandestins opérés au domicile de la milliardaire Liliane Bettencourt, avait d'abord profité de l'inertie du parquet de Nanterre (Hauts-de-Seine). Le procureur Philippe Courroye, un intime du président de la République, s'était contenté, à l'été 2010, d'ouvrir une enquête préliminaire, se refusant à désigner un juge indépendant et à lancer la moindre poursuite sur les multiples infractions révélées par les enregistrements.
Jean-Michel Gentil, Valérie Noël et Cécile Ramonatxo, juges d'instruction du tribunal de Bordeaux où le dossier a été dépaysé en novembre 2010, n'ont pas eu la même mansuétude. Les magistrats ont estimé que des "indices graves et concordants" de commissions d'infractions pesaient sur le député UMP et maire de Chantilly (Oise), désormais poursuivi à double titre dans ce psychodrame familial aux allures de scandale d'Etat.
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Affaire Estelle Mouzin : le militaire n'a rien à voir avec l'affaire
NDLR : Ouf, je l'ai échappée belle. J'ai plein de notes dans mon blog
Info Franche-Comté - Affaire Estelle Mouzin
Le militaire n'a rien à voir avec l'affaire
Par Sarah Rebouh et Catherine EME-ZIRI, France 3, extrait
Au moment de l'enlèvement d'Estelle, il était âgé de 11 ans, donc trop jeune pour être considéré comme suspect. A priori, ces notes manuscrites ne semblaient pas révéler de nouveaux éléments qui seraient, jusqu'à maintenant, inconnus ou non publiés par les médias. Le jeune militaire est revenu à l'hotel. Apparemment, il n'était pas au courant qu'il était recherché par la gendarmerie.
Dernièrement, il s'est présenté pour louer à nouveau une chambre, dans l'Etap Hôtel de Besançon où il semble avoir ses habitudes. Interrogé par les gendarmes, il a déclaré n'avoir aucun lien avec la disparition d'Estelle. Il aurait tout simplement pris des notes à la suite du visionnage d'une émission télé retraçant l'histoire de la jeune fille. Pour ce qui est de la valise, il dit l'avoir laissé à l'hôtel précipitemment pour réussir à avoir son train. D'après une source proche de l'enquête, il n'aurait effectivement rien à voir dans l'affaire Estelle Mouzin.
Guéant : Letchimy « instrumentalise la Shoah »
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Guéant: Letchimy "instrumentalise la Shoah"
Par Europe1.fr avec AFP
Publié le 7 février 2012 à 20h28
Mis à jour le 7 février 2012 à 20h28
Claude Guéant a accusé d'avoir instrumentalisé "la mémoire de la Shoah" le député apparenté PS Serge Letchimy qui l'a durement attaqué mardi à l'Assemblée nationale au sujet de ses récents propos sur les civilisations, évoquant le "régime nazi" et les "camps de concentration".
"Ce qui a été dit instrumentalise la mémoire de la Shoah, la pire horreur que l'humanité ait jamais produite", a regretté le ministre de l'Intérieur en marge d'un meeting UMP en Seine-Saint-Denis, jugeant que "la limite de l'inadmissible (avait) été franchie".
"J'ai du mal à comprendre le cheminement intellectuel de M. Letchemy parce que dans les propos que j'ai tenus il n'y avait que des valeurs d'humanisme, le rappel de valeurs de la République", a dit Claude Guéant. "Une civilisation n'est pas figée pour l'éternité, cela évolue. Notre civilisation française d'aujourd'hui est meilleure que la civilisation de la France qui tolérait l'esclavage, et la France qui pratiquait la peine de mort", a argumenté le ministre qui "pense que les civilisations évoluent, s'améliorent"."Certaines s'améliorent moins que d'autres", a-t-il toutefois ajouté.
Interrogé sur le fait que des élus des Antilles avaient d'ores et déjà prévenu qu'ils ne souhaitaient pas le rencontrer lors de sa visite dans quelques jours, Claude Guéant a répondu: "J'irai quand même aux Antilles, je verrai quand même les Antillais."
Guéant : « polémique ridicule », dit Sarkozy
Guéant: "polémique ridicule", dit Sarkozy
Le Figaro Mis à jour le 06/02/2012 à 17:46 | publié le 06/02/2012 à 17:37
Les propos de Claude Guéant affirmant qu'une civilisation ou une société qui n'accordent pas les mêmes droits n'ont pas les mêmes valeurs sont empreints « de bon sens », a dit lundi Nicolas Sarkozy. « C’est une polémique ridicule. Une civilisation ou un régime politique où les hommes et les femmes n’ont pas les mêmes droits n’a pas la même valeur », a expliqué le chef de l’Etat dans un entretien à France 2 et à la chaîne de télévision allemande ZDF. "Si on veut bien ne pas polémiquer, ça nous éviterait de perdre beaucoup de temps", a-t-il ajouté.
Le discours de civilisation de Guéant ne passe pas
Politique | 5 février 2012, le JDD (paru dans)
Le discours de civilisation de Guéant ne passe pas
Le ministre de l’Intérieur a déclenché la polémique en planchant samedi sur le relativisme devant les étudiants de l’Uni.
Une nouvelle polémique pour Claude Guéant. C’est une petite phrase prononcée par le ministre de l’Intérieur et des cultes samedi lors d’une réunion du syndicat étudiant l’Uni (proche de l’UMP), à Paris à l’Assemblée nationale qui a mis le feu aux poudres. "Pour nous, toutes les civilisations ne se valent pas." Twittée par des jeunes présents lors de cette réunion à huis clos, elle a été repérée par Tristan Maupoil, un étudiant en journalisme. Qui a écrit un article sur le site frequenceesj.com. Article qui a aussitôt enflammé les réseaux sociaux.
"Discours philosophique"
Au cabinet du ministère de l’Intérieur, on ne dément pas que Claude Guéant ait prononcé une telle phrase, mais on la replace dans le contexte d’un "discours philosophique consacré au relativisme de gauche". Contacté par le JDD, l’entourage du ministre nous a fait parvenir l’extrait mis en cause : "Or il y a des comportements, qui n’ont pas leur place dans notre pays, non pas parce qu’ils sont étrangers, mais parce que nous ne les jugeons pas conformes à notre vision du monde, à celle, en particulier, de la dignité de la femme et de l’homme. Contrairement à ce que dit l’idéologie relativiste de gauche, pour nous, toutes les civilisations ne se valent pas. Celles qui défendent l’humanité nous paraissent plus avancées que celles qui la nient. Celles qui défendent la liberté, l’égalité et la fraternité nous paraissent supérieures à celles qui acceptent la tyrannie, la minorité des femmes, la haine sociale ou ethnique. En tout état de cause, nous devons protéger notre civilisation."
"Rabatteur de voix FN"
Numéro 2 du Parti socialiste, Harlem Désir a réagi sur son compte Twitter en fin de soirée en évoquant "la provocation pitoyable d’un ministre réduit à un rabatteur de voix FN" et pointé une "majorité en perdition électorale et morale". De son côté, la patronne d’Europe-écologie/Les Verts, Cécile Duflot a fustigé un "retour en arrière de trois siècles" et conclu son message toujours sur Twitter : "Abject!"
Dans l’entourage du ministre, on tentait samedi soir d’apaiser la polémique. "L’idée du ministre était de dire que chez les socialistes tout se vaut. Dénoncer le relativisme c’est ne pas admettre par exemple que certaines sociétés posent pour principe la lapidation des femmes adultères." Pas sûr que cela suffise à calmer les esprits.
Bruno Jeudy et Soazig Quemener - Le Journal du Dimanche
dimanche 05 février 2012
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La révolte des parents privés de leurs enfants
Actualité > Archives
RÉFORME
La révolte des parents privés de leurs enfants
Le Parisien | Valérie Urman | 13.05.2001
Réunis pour la première fois hier, les parents d'enfants « placés » ont fait entendre leur voix. Selon eux, les juges et les procureurs ont trop de pouvoir. Le gouvernement, qui les a entendus, présente une réforme mercredi.
POUR LA PREMIÈRE fois, ils sont venus parler sur la place publique. Les parents d'enfants placés ont tenu hier leurs « premières assises nationales », réunis par l'unique association à les représenter en France, le Fil d'Ariane. Environ 100 000 enfants sont, actuellement, retirés à leur famille. La justice, saisie d'environ 120 000 « mineurs en danger » sur une année, ordonne une fois sur trois le placement de l'enfant, soit 38 500 mesures nouvelles. Des chiffres énormes, dont l'importance même, alarme désormais autant les associations familiales que les juges et les pouvoirs publics. « Il arrive que l'on aille chercher un bébé tout juste sorti de la maternité... Il faut mettre en oeuvre d'autres moyens de prévenir les situations à risque », observe Ségolène Royal, qui souhaite « réduire le nombre de placements de moitié ». Secrétaire d'Etat à la Famille, intervenue hier, elle présentera mercredi la réforme de l'aide sociale à l'enfance en Conseil des ministres. Plusieurs rapports officiels remis au gouvernement ces derniers mois démontrent l'emballement abusif des procédures. Faute de prévention adaptée, des placements « économiques » achèvent de couler des familles pauvres qui ont cumulé les difficultés de l'exclusion, voire de l'errance. « Avec les 800 F à 1 000 F ( 122 € à 152,45 €) par jour que coûte l'enfant dans une institution, on pourrait aider la famille à se relever », relève Catherine Gadot, présidente fondatrice du Fil d'Ariane. « 'ai mis six ans à prouver que je m'étais reconstruite » Dans tous les cas, les droits fondamentaux des parents ne sont pas respectés. Les familles n'ont pas accès au dossier avant d'être convoquées chez un juge. Les parents « débarquent » dans le bureau, 8 fois sur 10 sans avocat, sans être informés des griefs invoqués par les services sociaux. En cas d'urgence, près d'une fois sur deux le placement intervient sans audience préalable des familles. Celles-ci attendent même la convocation du juge de longues semaines après le placement, parfois sans nouvelles de l'enfant. Or, les ordonnances provisoires de placement, difficiles à contester en appel, sont souvent renouvelées quasi automatiquement. La réforme attendue permettra aux parents d'accéder à l'ensemble du dossier. Elle imposera aussi au juge de recevoir la famille au plus tard 15 jours après le placement de l'enfant. Les procureurs aussi devraient voir leurs pouvoirs mieux encadrés. Actuellement, ils peuvent placer un enfant en urgence sans passer par un juge, « sans recevoir la famille, sans motiver sa décision et sans possibilité d'appel », déplore Jean-Pierre Rosenczweig, président du tribunal pour enfants de Bobigny. « Informer les parents, c'est un petit minimum, concède Catherine Gadot, qui s'est vu retirer sa fille de l'âge de 10 mois à six ans. On vous colle l'étiquette de mauvais parent, après on n'arrive plus à remonter la pente. » Elle-même n'a pas contesté le placement, justifié par le climat familial difficile. Mais, elle regrette que « l'affaire a été entendue en une demi-heure. J'avais ma fille le week-end, le reste du temps personne ne me tenait au courant du quotidien, de ses petites maladies, de l'école. La mesure a été reconduite tous les deux ans, ça durait un quart d'heure devant le juge qui se fondait sur le dossier des services sociaux. En plus, cela se passait mal avec l'éducateur, j'ai mis six ans à prouver que je m'étais reconstruite. »
Le Parisien
Cet article a été publié dans la rubrique Vivre Mieux
Christophe Alévêque maintient ses injures sur Zinedine Zidane
Christophe Alévêque maintient ses injures sur Zinedine Zidane devant le tribunal
News publiée Le Jeudi 2 Février 2012 à 18:32, Pure People
Ce jeudi 2 février s'est ouvert le procès de Christophe Alévêque devant le tribunal correctionnel de Paris où il est accusé d'avoir injurié Zinedine Zidane au cours d'un entretien donné à SportMag le 3 janvier 2011.
Il décrivait l'ancien meneur de jeu des Bleus et du Real de Madrid en des termes fleuris, lui reprochant notamment d'être devenu un homme sandwich, "d'être une pute", "lisse" et "con comme une bite".
Alors aujourd'hui, en arrivant au tribunal, Christophe Alévêque, qui avait fait le déplacement contrairement à Zinedine Zidane, n'avait pas envie de rire, même s'il est arrivé plutôt serein, maintenant ses propos. "Je ne dis jamais que je suis allé trop loin, l'humour ne va jamais trop loin, a-t-il déclaré avant son audience. Je suis un bouffon, j'ai critiqué avec mes mots quelque chose que j'ai trouvé vulgaire."
Présidentielle : les nouvelles confidences de Sarkozy
Actualité > Présidentielle 2012
Info le Parisien
Présidentielle : les nouvelles confidences de Sarkozy
Le Parisien | Nathalie Schuck | Publié le 01.02.2012, 20h50, extrait
Le président cherche la bonne fenêtre de tir pour se lancer. Il a d'ailleurs glissé à ses invités, qu'il reçoit tous les quinze jours en alternance avec un autre groupe, que leurs rapports allaient changer bientôt de nature... « Quand je serai en campagne, ce sera plus simple pour moi », a-t-il avoué, signe que cet étrange entre-deux lui pèse. « Il y aura plusieurs séquences : la marche d'approche, la candidature, le premier tour et le second tour », a-t-il glissé, toujours aussi sybillin. Le second tour ? Il n'imagine pas en effet que Marine Le Pen, qui le talonne dans certains sondages, l'élimine. « Elle fait une erreur d'analyse en faisant une campagne d'extrême-gauche » sur la démondialisation, a-t-il jugé.
De François Hollande, il a surtout évoqué le projet. « Les socialistes ne peuvent pas gagner avec ce programme. Tous ceux qui sont sûrs de gagner une élection l'ont toujours perdue ». Et d'ajouter : « il a tiré toutes ses cartouches, sa déclaration de candidature, son premier meeting, son projet, sa grande émission. Qu'est-ce qu'il lui reste ? Pouf, il se prend de la farine sur la tête ! », a-t-il moqué.
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Génocide : Sarkozy craint le recours
Génocide : Sarkozy craint le recours
AFP Mis à jour le 31/01/2012 à 15:14 | publié le 31/01/2012 à 15:12
Le président Nicolas Sarkozy a déclaré mardi aux parlementaires de la majorité que le recours au Conseil constitutionnel contre le texte pénalisant la négation du génocide arménien "ne (lui) rend pas service", ont indiqué plusieurs sénateurs UMP.
Le chef de l'Etat a exprimé notamment le risque que si la proposition de loi était annulée, il y ait ensuite un recours contre la pénalisation de la négation de la Shoah, selon les mêmes sources.