Catégorie: Rumeur et crédibilité
Eh connard
Bref la totale tu t'rappelles que quand tu parlais de moi
Tu parlais jamais au futur putain j'en avais marre des fois
Toutes ces conneries mais regarde et soit pas dégoûté
Mais j'suis en vie et j'regrette pas de ne t'avoir jamais écouté
[Refrain]
Eh connard c'est à toi que j'parle dis moi tu t'reconnais ?
Directeur de centre et d'maison d'enfant et laisse moi rigoler
M'sieur qui sait tout et c'est surtout pour détruire les gamins
Ou l'espoir des parents connard personne ne peut prétendre demain
Eh connard c'est à toi que j'parle et j'ai pas oublié t'inquiète ni tes coups d'putes
Ni tes belles paroles qui finalement rackettent le peu d'espoir qu'il reste quand toi tu dis qu'y en a plus
Moi j'm'en fous j't'ai jamais écoutée mais ma mère elle t'a cru
Keny Arkana - Eh connard / 4 312 649 vues • 14 juil. 2007
Le Monde des medias, le n°11
NDLR : Twitter, une « partouze lacrymale ». Vrai, on y rigole beaucoup, et personne n'y est jamais très sérieux ni trop intelligent. « Twitter, juste un dépotoir de petites phrases », écrivait Yann Moix, puis il supprimait son compte.
Une humeur de Xavier Debort
Peut-on aider Mallaury Nataf ?
NDLR : Lire aussi un article plus récent et surtout moins accablant pour Nataf, paru 5 jours plus tard, également dans tvmag : Mallaury Nataf assassine les services sociaux...
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Peut-on aider Mallaury Nataf ?
L'ancienne vedette du Miel et des abeilles s'enfonce, jour après jour, dans la misère en rejetant la responsabilité de sa situation sur l'État et les services sociaux
Tags : Mallaury Nataf
Par Emmanuel Schwartzenberg
Publié le 19/10/2012 à 13:13, le Figaro (tvmag)
Mallaury Nataf se retrouve aujourd'hui dans la situation ou, à force d'avoir crié au loup, son horizon s'est obscurci au point de se retrouver réellement dans la rue. Hormis 20 minutes, les médias ont cessé de l'accueillir dans la mesure où l'ancienne comédienne a fait le procès des personnes qui l'ont fait ou qui lui sont venus en aide.
L'escroquerie nucléaire
NDLR : Un hors série, Charlie Hebdo septembre-octobre 2012, dont j'aurais pu me passer. Le nucléaire français m'amuse déjà suffisamment, je vais ranger ces feuilles inutiles, mais certainement drôles aussi, pas très loin de Bête noire, un ouvrage ou curiosité dont je n'avais pas réellement besoin non plus.
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Bête noire, « condamné à plaider »
NDLR : Je commence seulement à feuilleter plus « la bête noire », paru chez Michel Lafon, en avril dernier... agaçant et enrichissant, ce contenu écrit par un vrai pénaliste, Eric Dupond-Moretti, et un bon journaliste, Stéphane Durand-Souffland. Avec un pareil ouvrage et succès, ce pamphlet est à classer parmi mes références. Je comprend de mieux en mieux Eolas, qui me censure, ou qui m'a répondu des âneries... il pourrait s'être trompé #LOL Arf, page 85, « étudier le parcours des scellés », ceux égarés ou détruits par la Poste ? #pschitt, puis fin de la procédure ! Cessez de me lire, Eolas et plein de juges vous expliqueront que je ne suis qu'un gros débile, à faire soigner à tous prix ! « Eric Dupond-Moretti `'tue les Experts comme jadis..." », avais-je lu chez Mediapart ; oui, c'est assez cela, ha ha ! « Seuls les magistrats sont titulaires quand il s'agit de faire émerger la vérité » ? Dupond-Moretti a presque raison, au civil, ce sont les astrologues et les juges qui tranchent, les juristes confirmeront tous
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« La campagne régresse au stade halal ! »
NDLR : Une campagne « au stade halal », puis affreux, la boucherie, le bloc, ce 8 mars au soir, je confirme
Le Canard n° 4767, du 7 mars 2012
Justice : 4000 lecteurs de « Que choisir » accusent
Que choisir n°501, mars 2012
Mariage, PACS, union libre : Bien choisir le statut juridique et patrimonial
NDLR : A aborder avec des pincettes, car, potentiellement, très peu fiable ? Qu'en pensent les notaires ? Plus j'en lis, et d'avantage je me dis que « divorcer », quand on a jamais été marié, c'est vraiment très compliqué, en plus d'être embrumé dans certaines requêtes ou répliques. « Divorcer » d'avec la famille de mon ainée, c'était déjà assez balaise, sa mère à elle était décédée depuis 4 à 5 ans déjà... Si c'était à refaire, avec ce que j'ai appris au cours de ces dernières années, je crois que je ne m'approcherais plus jamais d'une femme en âge de procréer
Mariage, PACS, union libre : Bien choisir le statut juridique et patrimonial de votre couple
De Sébastien Meaux
Editions L'Express (9 février 2007), coll. Les essentiels, vu sur Google books...
Biographie de l'auteur, selon Amazon... Sébastien Meaux est journaliste et juriste en droit de la famille, contribue à différentes publications spécialisées. II est l'auteur de Héritage, donations, testament paru dans la même collection.
Au sujet de l'arme atomique, interview de Staline (6 octobre 1951)
NDLR : Voir également Cinq mois de guerre ainsi que Le chagrin des juges. A présent, suit la guerre froide ? De toute façon, je n'ai pas le choix, je vais devoir composer, jusqu'à la quille et probablement avec des débiles encore. On ne devrait pas tarder à me reparler de complotite aiguë... tiens, le mot cosmopolite ? Ce simple mot avait grillé Péan.
Duck'n'cover... on m'en avait parlé. Le géant de fer, je l'avais vu. On comprend mieux l'attitude de l'administration, des pros de la justice ou du social, ainsi que les attitudes du château et de ses courtisans, ils ne me répondent plus ou racontent des salades : « en cas de problème, balayez sous le tapis puis faites l'autruche, on vous soutiendra, jusqu'au bout. » Quelle histoire. Ils réclament encore des suppos ? Quand vont-ils sortir de dessous la table et répondre ?
Le 6 octobre 1951, Joseph Staline accorde à la Pravda un entretien au cours duquel il répond aux attaques américaines contre la politique nucléaire de l'Union soviétique. Source : STALINE, Joseph. Derniers écrits, 1950-1953. Paris: Editions sociales, 1953, p. 69-71. Un interview, à lire sur ena.lu.
Les derniers complots de Staline, l'affaire des blouses blanches,
par Jacques Marie, sur Google books
Absolument dé-bor-dée !
Voir aussi Petit lexique pour l'usage du travailleur social
Voir également Ces juges qui dérapent ou l'éthique dans le service public et Le chagrin des juges
Tout aussi délicieux : L'apôtre, le fervent fonctionnaire, le sceptique et l'idée de charité
Absolument dé-bor-dée !
Comment faire 35 h en un mois... Quand on est fonctionnaire
Par Zoé Shepard, mars 2010, chez Albin Michel
Présentation de l'éditeur, chez Amazon.fr. « Les premières semaines, j'ai cherché les caméras. C'était forcément une plaisanterie. Six mois après avoir été embauchée à la mairie, j'ai accepté la triste réalité : je suis un petit rouage d'un univers absurde. Un monde où ceux qui en font le moins se déclarent « dé-bor-dés ! » Où les 35 heures se font... en un mois. Je passe mes trois heures de travail hebdomadaire à pipeauter des notes administratives, bidouiller de vagues rapports, jouer les GO pour délégations étrangères et hocher la tête en réunion. L'essentiel est de réussir à gaspiller son temps en prenant un air important, à lécher les bottes des dirigeants pour glaner quelques informations et à jouer les fidèles vassaux des élus tout puissants... »
Tel est en résumé le quotidien d'une « desperate fonctionnaire » comme des millions d'autres, qui n'en peut plus de n'avoir rien à faire et d'être obligée, par solidarité avec la fonction, de faire semblant.
Biographie de l'auteur. Zoé Shepard, trente ans, est fonctionnaire territoriale. Son nom est un pseudonyme.
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Le conseil de discipline du jour. Billet
Une haut fonctionnaire menacée de révocation pour avoir écrit un livre
Par Grégoire Leménager
Au conseil régional d'Aquitaine, on rigole encore moins qu'Eric Raoult avec le devoir de réserve. Une haut fonctionnaire s'était amusée en mars dernier à publier un livre qui racontait, sur le ton de la pochade amère, qu'on ne fiche pas grand-chose dans la fonction publique territoriale. C'était sous-estimer cette dernière : l'administration, qui est parfois plus susceptible qu'on croit, a organisé pour cette dame un conseil de discipline ce jeudi, 12 rue du Cardinal Richaud à Bordeaux-Lac, au centre de gestion de la Gironde. Et l'auteur d'« Absolument dé-bor-dée ! » (Albin Michel), qui prétendait dire à ses lecteurs « Comment faire 35 heures en... un mois », risque de ne plus en faire du tout. La révocation lui pend au nez. Elle devait bien sentir que sa plaisanterie n'amuserait pas tout le monde, puisqu'elle avait choisi de signer sous le pseudonyme de Zoé Shepard (avec un Z, comme Zorro) ce roman-témoignage au vitriol où l'on se traîne de réunions inutiles en pauses-cafés sans intérêt, et où, en cas de difficulté majeure, on se contente de trouver « un plan B. B, comme bluff »... La suite sur bibliobs.nouvelobs.com
Une fonctionnaire risque la radiation après la sortie d'un brûlot
Par Idir HOCINI, sur TF1/LCI, extraits
le 30 juin 2010 à 15h49, mis à jour le 01 juillet 2010 à 11:30
Zoé Shepard parle dans "Absolument dé-bor-dée" de sa vie de bureau dans la fonction publique tout en paresse et en filouterie. Le conseil régional d'Aquitaine où travaille l'écrivain s'est senti visé, et l'accuse de violer son devoir de réserve. Zoé Shepard (le pseudonyme de l'auteur) raconte dans son livre* la vie d'une haute fonctionnaire absolument débordée. Un turbin et des horaires frisant l'Annapurna bureaucratique : 35 heures de travail... par mois. "J'ai longtemps cru que mon gène de la paresse était récessif. Puis j'ai intégré la fonction publique territoriale et ai constaté dans un environnement favorable qu'il pouvait pleinement s'exprimer ", peut-on lire dans l'ouvrage. [...] Le livre se boit comme du petit lait. La vie professionnelle de Zoé Shepard est drôle et elle est racontée avec beaucoup de style. Le public fait un accueil plutôt chaleureux à ce premier essai déjà vendu à 12.000 exemplaires. [...] Pourtant, Zoé Shepard se défend d'avoir voulu mouiller la région : "Ces pages, ce sont les tribulations d'une fonctionnaire territoriale. Personne n'est pointé du doigt. Il faut le voir comme un mélange du journal de Bridget Jones et du diable s'habille en Prada. Ce n'est pas du tout une autobiographie, je ne cite aucun nom, aucun dossier. On m'a concocté un dossier disciplinaire complètement ubuesque". Alors pourquoi Alain Rousset, président du conseil régional d'Aquitaine, veut-il " la tête " de sa fonctionnaire ? "Car mes détracteurs poursuivent une sorte de vengeance personnelle. Malgré le caractère romancé de mon livre, j'y soulève certains dysfonctionnements qui s'appliquent visiblement très bien à la région Aquitaine, puisqu'ils se sentent visés".
Droit de réponse de la Licra
NDLR : La Licra semble également bien connaitre ces vieux textes de 1881. J'ai le sentiment qu'un bouquin de Maurice Berger, pédo-psy, n'a jamais suscité aucune réaction, ni de la part de la Licra, ni de la part du MRAP, ni d'ailleurs de la part d'autres associations et humoristes. Je m'en étonnais encore en février 2009, dans mon billet Valse avec les loups. Aujourd'hui, plus rien ne me surprend. Un peu plus loin, en meurthe-et-moselle, Enfance et Partage insiste, redemande ou aurait même obtenu l'audition d'un juge pour enfant ? « C’est attendu pour demain ? » Cela leurs avait pourtant déja été refusé. Mes Constantino et Vaissier-Catarame auraient-ils réclamé une « révision » d'une décision de la cour d'appel de Nancy ? Mais la presse a pu rapporter n'importe quoi ; je vais lire ce qui paraitra encore, au cours de ces prochains jours.
Voir aussi Loup... Qui es tu ?... et Quelques discours, le bon docteur et la naissance du récit noir.
Un coupon d'un ancien Républicain Lorrain
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Droit de réponse de la Licra
Publié le mardi 29 juin 2010 à 11H00, l'Union
« La Licra a poursuivi Dieudonné M'Bala M'Bala pour avoir tenu à son sujet dans le journal l'union les propos suivants : « Ce sont des associations mafieuses qui organisent la censure. Je pense que ce sont des organisations qui nient tous les concepts du racisme à part celui qui concerne les Juifs. En fait, ce ne sont que des officines israéliennes ». Le 8 juin 2010, le tribunal correctionnel de Reims l'a reconnu coupable du délit de diffamation publique et l'a condamné à 5 000 euros d'amende. Dans l'édition de l'union, datée du 9 juin 2010, M. Bruno Testa s'est cru autorisé d'écrire dans un article intitulé « La mouche du coche - Liberté de censure » : « Mafieux » n'est certes pas le mot adéquat. Mais que la Licra cherche à intimider ceux qui condamnent la politique israélienne, qui peut le nier ? « Officine israélienne » ? Officiellement non, mais ne mériterait-elle pas le label ? ». Il est inacceptable que sous couvert de commenter une décision de justice, M. Bruno Testa réitère la diffamation commise par Dieudonné M'Bala M'Bala, en justifiant et légitimant les propos scandaleux qu'il a tenus, et qui ont été condamnés en des termes sans équivoque par le tribunal correctionnel de Reims. Les accusations de M. Bruno Testa procèdent d'une méconnaissance totale de ce qu'est la Licra et des combats qu'elle mène, en toute indépendance, depuis des décennies contre toutes les formes de racisme et d'antisémitisme. Il est intolérable qu'il puisse ainsi être porté atteinte à son honneur et à sa considération. »
JUSTICE assises de meurthe-et-moselle
Mattéo, 2 ans, mort dans l’indifférence
29/06/2010, Républicain Lorrain, extrait
A cette époque-là [NDLR : en octobre 2003], la maman a été placée en garde à vue. Puis son enfant avait fait l’objet d’un placement par un juge des enfants remplaçant du TGI de Briey. Mais une semaine plus tard, la juge titulaire revient et rend l’enfant à sa mère. Deux mois plus tard, survient le drame. Les deux avocats de l’association partie civile Enfance et Partage, Mes Constantino et Vaissier-Catarame, ont demandé l’audition de cette juge. C’est attendu pour demain. Hier, les personnalités des deux accusés ont été passées au petit tamis. Delphine Bailleux, 20 ans à l’époque, mère immature, accro à la télé, très détachée de son fils. Damien Billiaux, 21 ans, paumé, caractériel, pervers pour le psychiatre, ayant peu de sentiments pour sa compagne et son fils. Celui-ci est poursuivi pour violences habituelles et violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner. La maman répond de non-dénonciation. Aujourd’hui seront évoqués les faits. Le verdict est attendu jeudi. M.-O. N.
Suisse : le Ministère public fédéral a gagné son indépendance
Histoire du Parquet [français]
Jean-Marie Carbasse
chez PUF, collection Droit et justice, mai 2000
L'ouvrage, présenté par PUF. Le statut du Parquet est au coeur des débats actuels sur la réforme de la Justice. Faut-il pour parfaire l'indépendance de la Justice, rompre le fameux cordon ombilical qui depuis deux siècles rattache le Ministère public au pouvoir exécutif ? Faut-il au contraire envisager la transformation des parquetiers en un corps de fonctionnaires "ordinaires" quitte à réserver la qualité de magistrat aux seuls juges du siège et à séparer strictement les deux corps ? D'un modèle à l'autre, multiples sont les propositions et projets de réforme. Il n'est peut-être pas inutile, dans un tel contexte, d'interroger l'histoire. Cet ouvrage propose la première synthèse moderne sur le passé du ministère public, singularité française, héritier d’une tradition qui remonte à Philippe le Bel.
A propos des auteurs. Ouvrage publié sous la direction de Jean-Marie CARBASSE, professeur à l'Université de Paris II, Directeur du Centre d'étude d'histoire juridique - CEHJ, Equipe de recherche de l'Université de Paris II associée au CNRS et aux Archives nationales.
Voir aussi La formation des juges et des magistrats du parquet, en Moldavie
Justice, samedi 6 mars 2010, le Temps, extrait
Les différents visages du Ministère public dans l’histoire
Le suicide de René Dubois en 1957, la démission de Rudolf Gerber dans le sillage de l’affaire Kopp, l’énergie brouillonne de Carla Del Ponte, la lutte implacable de Valentin Roschacher et Christoph Blocher: en cinquante ans, le rôle du Ministère public de la Confédération a profondément évolué. Le 23 mars 1957, le procureur général de la Confédération René Dubois se donne la mort. La Tribune de Genève vient de révéler son implication dans la mise sur écoute de l’ambassade d’Egypte à Berne. Le procureur avait accepté de travailler, en mettant notamment un inspecteur de la police fédérale à disposition, pour un officier français du renseignement extérieur, Marcel Mercier, en poste à Berne comme attaché commercial. Le scandale est considérable.
Justice, mercredi 3 mars 2010, ATS, le Temps, extrait
Le Parlement aura la haute main sur le Ministère public
Les chambres éliront le procureur ainsi que l’autorité chargée de surveiller le parquet. Par 88 voix contre 81, le National s’est rallié mercredi à ce modèle élaboré par le Conseil des Etats. Ce concept prévoit que le procureur général de la Confédération ainsi que ses deux suppléants seront élus par le Parlement pour quatre ans. La surveillance du MPC reviendra quant à elle à une autorité indépendante, élue par les Chambres fédérales.
Justice, vendredi 5 mars 2010, le Temps, extrait
Le Ministère public fédéral a gagné son indépendance
Le procureur général de la Confédération sera élu par le parlement. Le changement parachève une longue évolution. Sauf surprise lors du vote final des Chambres, le procureur général de la Confédération et ses suppléants seront élus à l’avenir par le parlement et plus par le gouvernement. Le Conseil national s’est rallié cette semaine à l’idée conçue et imposée par le Conseil des Etats – où les impulsions ont été données en leur temps par le socialiste fribourgeois Alain Berset et le radical tessinois Dick Marty. Le Conseil fédéral lui-même s’est laissé convaincre et a, au moins formellement, renoncé à défendre ses prérogatives. L’exécutif va perdre du même coup ses pouvoirs – controversés – de surveillance sur le parquet fédéral au profit d’un organisme à créer, lui aussi élu par le parlement, composé de juges fédéraux, d’avocats et de spécialistes, et qui sera garant de l’indépendance du Ministère public. Une grande nouveauté là aussi, dont la constitutionnalité a pourtant suscité des doutes. La Constitution ne prévoit nulle part la possibilité de créer une telle autorité, les cantons qui connaissent un conseil supérieur de la magistrature l’ont en général ancré dans leur loi fondamentale, mais un avis de droit de l’Office fédéral de la justice est venu rassurer les parlementaires. Du moins la majorité, la minorité ayant continué, au Conseil national, à juger la nouvelle autorité comme une sorte d’ovni institutionnel.
Atelier 6 : l'intérêt de l'enfant
NDLR : Deux extrait des actes de ce colloque, de l'atelier 6, animé par l'ARSEA et le Conseil général du Haut-Rhin, puis de la synthèse. Il y a peu, selon France Soir, Jean-Marie Bockel a « insisté sur le soutien à l'exercice de l'autorité parentale, en constatant que les mesures prises à Mulhouse avaient eu des résultats `' en demie teinte " ».
L'enfance au coeur des politiques de prévention et de protection
Actes du colloque, Colmar, le 17 janvier 2008, de source www.solidarite.cg68.fr
Novembre 2008 : Dati et Bockel inaugurent le CEF de l'ARSEA
NDLR : Lorsque je lis l'arrêt récemment rendu par la chambre des créatures inférieures de la cour d'appel de Versailles, j'ai le sentiment que ce passé là n'est pas avéré non plus.
Voir également A l'ARSEA : « une logique citoyenne et surtout le respect des autres »
De source www.justice.gouv.fr
Confidentiel : Kärcher, Amara s'étonne
NDLR : A la suite, un ancien communiqué de la société Kärcher qui figure depuis longtemps dans un autre de mes billets ou références, Idées noires et le contrat de responsabilité parentale. Je ne savais pas que notre gouvernement avait pour ambition de faire aussi de la publicité pour Kärcher, on en apprend tous les jours.
Confidentiel Kärcher : Amara s'étonne
Le Figaro, 01/02/2010 | Mise à jour : 09:03
La secrétaire d’Etat à la politique de la ville s’étonne que la société allemande Kärcher ait récemment demandé à ce que sa marque ne soit plus citée, dès lors qu’un problème se pose dans les quartiers difficiles. «Je ne comprends pas, ça leur fait de la publicité gratuite et, en plus, cela veut dire que leurs produits sont efficaces et de bonne qualité», confie Amara. En décembre dernier, réagissant à la mort d’un enfant de 12 ans à Lyon, suite à une fusillade entre des jeunes, la secrétaire d’Etat avait indiqué : «Oui, il faut nettoyer au Kärcher, nettoyer cette violence qui tue nos enfants dans les cités».
Un communiqué de mars 2007
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