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Ulster : neuf personnes interrogées après les attentats républicains
Ulster: neuf personnes interrogées après les attentats républicains
Neuf personnes étaient interrogées dimanche par la police dans le cadre de l'enquête sur les attentats républicains de la semaine dernière qui ont entraîné la mort de deux soldats britanniques et d'un policier, a-t-on appris de source policière.
AFP - le 15 mars 2009, 10h20, extrait
Meurte de Lucie
La famille de Lucie interpelle les autorités
Aller sur les lieux du martyre de Lucie, une maison à Rieden, canton d'Argovie. Y aller pour voir, tenter de comprendre l'incompréhensible, d'approcher l'inconcevable. C'est le voyage qu'ont entrepris, hier samedi, la soeur aînée de Lucie, Elsa Trezzini, son ami William et Guy, l'oncle de la disparue
Le Matin Dimanche - le 14 mars 2009, 23h27
Hier, 13 h 45. Les images défilent dans la tête d'Elsa Trezzini. Agenouillée sur le trottoir, devant la maison de Daniel H. à Rieden (AG), elle découvre les centaines de bougies, photos et messages de solidarité déposés par la population.
Devant le juge pour des pancartes sur un pont
Devant le juge pour des pancartes sur un pont
LE MONDE | 14.03.09 | 14h57 • Mis à jour le 14.03.09 | 14h57, extrait
De mai à juillet 2008, ils se sont réunis tous les jeudis soirs sur le pont Mistral, à Crest (Drôme), pour dénoncer la "casse sociale". "Il vaut mieux protester ensemble plutôt que de râler chacun chez soi, explique l'un des organisateurs, Pierre Nicolas. Cette manifestation d'initiative citoyenne n'avait pas de mot d'ordre : chacun pouvait venir avec sa pancarte et sa revendication."
Ils se retrouvaient parfois à deux, parfois à trente, pour dénoncer les réformes judiciaires de Rachida Dati, la culture des OGM ou le non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux. Quelques tracts contre le fichier "base élèves", une pancarte contre les centres de rétention : une fois par semaine, le pont Mistral de Crest (8 000 habitants) devenait "un lieu de résistance pacifique et convivial".
Sur le même sujet
Mais, au bout de sept semaines, la police municipale a pris cette petite réunion très au sérieux.
Marseille : les escrocs du coeur...
M6 nfo, le vendredi 13 mars 2009, extrait
Des bénévoles de l'association créée par Coluche ont été pris la main dans le sac à Marseille. Cinq personnes ont été mises en examen pour vols en réunion et placées sous contrôle judiciaire. Elles sont soupçonnées d'avoir détourné de la nourriture destinée aux plus démunis. Certains des suspects ont reconnu que cela faisait plusieurs années qu'ils trafiquaient.
Le principe était simple : les trois bénévoles venaient prendre livraison des dons dans une grande surface. Avant de décharger la marchandise dans l'entrepôt de l'association, ils passaient chez eux, pour partager une partie des victuailles avec deux personnes de leur famille.
La police les a pris en flagrant délit. La perquisition à leur domicile a prouvé qu'ils n'en étaient pas à leur coup d'essai.
Les trois bénévoles ont été radiés des listing de l'association, qui a porté plainte contre eux.
Les Restos ont plus que jamais besoin des dons. Cette année encore l'association n'a jamais enregistré autant de demandes. Les bénéficiaires seraient en augmentation de 10% et même de 25% dans certains départements comme le Nord. Parmi eux, de nombreux jeunes, des retraités et des familles monoparentales.
Pourquoi les ados pètent les plombs
Massacre
Pourquoi les ados pètent les plombs
De plus en plus de jeunes disjonctent, jusqu'à provoquer de véritables carnages. Mais pourquoi n'ont-ils plus de limites?
Le Matin - le 13 mars 2009, 22h12
Enquête
Genève, la descente aux enfers d'un père parfait
Après la découverte des quatre corps, l'enquête se penche sur la piste financière.
Le Matin - le 13 mars 2009, 23h02
Comment ce drame a-t-il pu avoir lieu? Pourquoi un tel déchaînement de violence? Que s'est-il véritablement passé le jour où Téodor H., 52 ans, a ôté la vie à sa femme et à ses deux fils dans un accès de folie meurtrière, avant de se suicider? Ces questions torturaient encore tous les esprits hier, dans le quartier des Acacias, à Genève. Là où la police a récupéré quatre cadavres il y a maintenant une semaine.
Apparemment, c'est un cocktail explosif de dépression et d'angoisses liées à des problèmes financiers qui auraient poussé cet homme dévoué à sa famille à commettre l'irréparable. L'enquête que nous avons menée ne permet pas de répondre à toutes les questions, mais elle lève un coin du voile sur les minutes qui ont précédé le drame.
Quel sens moral pour les robots militaires ?
Menaces de tueries sur Internet : quatre arrestations à travers l'Europe
LEMONDE.FR avec AFP | 13.03.09 | 20h38, extrait
De mauvais plaisants ont été arrêtés, jeudi 12 et vendredi 13 mars, en Allemagne, en France, aux Pays-Bas et en Suède pour avoir lancé de fausses menaces sur Internet, deux jours après la tuerie dans une école allemande qui s'est soldée par 16 morts.
Enquête
Quel sens moral pour les robots militaires ?
LE MONDE | 13.03.09 | 15h30 • Mis à jour le 13.03.09 | 17h51, extrait
Année 2018. Les familles d'un soldat et d'un sous-officier américains reçoivent 100 millions de dollars de dommages et intérêts de la firme Milibots Inc. Les deux militaires, pris comme boucliers humains par des insurgés afghans qui venaient de s'emparer de leur batterie mobile de missiles, ont été "sacrifiés" par le robot autonome JCN 3000 chargé de la protection du convoi. En détruisant la batterie et ses servants, le robot a voulu parer un risque imminent d'utilisation de ces armes, susceptible d'occasionner un plus grand nombre de morts dans le camp allié, a tenté de faire valoir Milibots Inc, lorsque l'affaire a été ébruitée - avant de sortir son chéquier.
2020. Le Tribunal pénal international fait comparaître un "robot casque bleu" Swissor B12, dans une affaire de crime de guerre en Géorgie. C'est le contenu de sa boîte noire qui intéresse le tribunal. La présence de ce témoin mécanique n'a semble-t-il pas empêché ses camarades de section humains de...
L'accès à Internet, « une commodité », selon Christine Albanel
Morano veut mettre fin aux insultes sur Internet à son égard
LEMONDE.FR | 12.03.09 | 19h25 • Mis à jour le 12.03.09 | 20h04, extrait
Nadine Morano, secrétaire d'Etat à la famille, est lasse de se faire insulter sur Internet. Le 10 février, elle a porté plainte pour tenter d'en finir avec le phénomène. Grande première dans l'histoire de la vidéo en ligne : la police a donc enjoint à YouTube et Dailymotion de livrer les coordonnées d'internautes qui ont laissé des commentaires insultants à son encontre. Cette réquisition intervient dans le cadre d'une enquête préliminaire du parquet de Paris, ouverte le 13 février, à la suite d'un dépôt de plainte contre les deux sociétés pour "injure publique". Plusieurs commentaires d'internautes anonymes laissés sous des vidéos sont en cause. Sur Dailymotion, il n'est pas difficile de tomber sur des insultes sous plusieurs vidéos.
Les deux sites vont donc devoir transmettre les adresses IP des internautes aux forces de l'ordre. Ensuite, les policiers pourront s'adresser aux fournisseurs d'accès pour tenter d'identifier les personnes à l'origine des commentaires jugés insultants. Au cabinet de la secrétaire d'Etat à la famille, on affirme avoir voulu ainsi passer à la vitesse supérieure dans la lutte contre les commentaires injurieux sur Internet. "On n'insulte pas comme ça sans encourir de poursuite", s'énerve-t-on à son cabinet, où l'on confirme veiller régulièrement sur les commentaires d'internautes.
D'ordinaire, les affaires de commentaires diffamatoires ou insultants se règlent à l'amiable.
L'accès à Internet est-il un droit fondamental ?
LEMONDE.FR | 12.03.09 | 20h45, extrait
"L'accès à Internet ne peut pas être considéré comme un droit fondamental. Nous savons bien l'importance qu'il revêt dans tous les secteurs de la vie actuellement, mais avoir chez soi un accès à Internet, sachant qu'on peut avoir accès à Internet partout ailleurs, ne peut pas pas être qualifié de droit fondamental. Ce serait aller trop loin." La ministre de la culture, Christine Albanel, a insisté sur ce point, jeudi 12 mars, lors de l'examen du projet de loi création et Internet, qui prévoit notamment de couper l'accès au Web des personnes qui téléchargent illégalement. La ministre avait déjà annoncé sa position la veille, préférant qualifier l'accès à Internet de "commodité".
Madoff : les partisans de l'expiation publique resteront sur leur faim
LE MONDE | 12.03.09 | 14h32 • Mis à jour le 12.03.09 | 15h39, extrait
Alors voilà, c'est comme ça que l'histoire va se finir ? On va refermer le dossier de la plus grande escroquerie financière de l'Histoire en deux temps, trois mouvements ? Les victimes auront beau avoir du mal à l'accepter, l'affaire est close. D'Israël à la Colombie, de Milan au New York de l'Upper East Side, ce sont 65 milliards de dollars (50 milliards d'euros) qui se sont volatilisés. On s'attend à ce que Bernard Madoff plaide coupable pour les onze chefs d'accusation pour lesquels il comparaît devant un tribunal de Manhattan à partir de jeudi 12 mars. Il encourt une peine de 150 ans de prison.
Des milliers de manifestants pour la paix en Irlande du Nord
"Coup de théâtre attendu" au procès Colonna
LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 11.03.09 | 15h46 • Mis à jour le 11.03.09 | 17h36, extraits
Nouvelle suspension d'audience au procès Colonna : l'accusé a quitté les lieux et a appelé ses avocats à en faire autant. Ce coup d'éclat de la défense est intervenu après l'annonce, mercredi 11 mars, par la cour d'assises de Paris du rejet de la demande de reconstitution du scénario du meurtre du préfet Erignac, en 1998, à Ajaccio. [...] Le président de la cour d'assises a déclaré qu'il commettait d'office les avocats pour les forcer à assister à l'audience mais ils ont refusé et sont partis. Les proches de Colonna ont applaudi et le président a fait évacuer le public. Le parquet général de Paris a annoncé qu'il allait demander la poursuite du procès même en l'absence de l'accusé et de ses cinq avocats. [...] Pour Yves Bordenave, ce départ est un "coup de théâtre auquel on pouvait s'attendre".
Lettres de menaces : le corbeau donne signe de vie
Le Figaro avec AFP, 11/03/2009 | Mise à jour : 19:31, extrait
L'auteur des menaces de mort adressées à des élus de la majorité aurait adressé une lettre à l'avocate de l'homme interpellé la semaine dernière. Il demande la libération de Jean-Marc Rouillan, Julien Coupat ou encore Yvan Colonna.
Des milliers marchent pour la paix en Irlande du Nord
Constance Jamet (lefigaro.fr) avec AFP et AP
11/03/2009 | Mise à jour : 18:58, extrait
Des milliers de personnes ont défilé dans les rues de la province pour protester contre les assassinats commis par des dissidents de l'IRA, opposés au processus de paix.
Béatitudes : enquête sur de possibles dérives sectaires
Georges Fenech explique : « J'ai saisi le préfet de Haute-Garonne pour vérifier le fonctionnement sur la légalité du travail bénévole, et pour qu'il demande où sont les filles d'un couple sans nouvelle d'elles. Je vais réunir le conseil qui m'entoure. Nous sommes au stade de la réflexion. Mais il faut une surveillance de la Miviludes », conclut Georges Fenech.
Accueil » Grand Sud » Aveyron
Publié le 20/02/2009 09:14 | B.-H. S.-P., La Dépêche
Béatitudes : enquête sur de possibles dérives sectaires
Religion. La Miviludes a entendu la communauté de Bonnecombe et s'est rendue au siège de Blagnac.
Vendredi dernier, les membres de la communauté des Béatitudes de Bonnecombe se sont rendus à Toulouse. Ils ont été entendus par le président de la Miviludes (Mission interministérielles de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires), Georges Fenech et deux conseillers. Ont également été entendus Liliane Poinceau et Régis Léonard, conseillers municipaux d'opposition de Blagnac, Bernard Keller, maire de Blagnac, des familles de victimes supposées, et Mgr Legall, archevêque de Toulouse.
Par ailleurs, Georges Fenech et ses conseillers se sont rendus au siège blagnacois national et international des Béatitudes où ils ont rencontré le modérateur général Françoic-Xavier Wallays, son adjoint et plusieurs membres.
Violences : « ne pas signaler un enfant maltraité, c'est être complice »
Violences - "Ne pas signaler un enfant maltraité, c'est être complice"
TF1-LCI - le 09/03/2009 - 14h42, extrait d'une interview de Gisèle Doutreligne, responsable du 119
LCI.fr : Si une personne a des doutes sur un enfant, qu'il soit de sa famille ou de son immeuble par exemple, que doit-elle faire ?
G.D : Il faut qu'elle appelle ! Signaler ce n'est pas dénoncer, c'est protéger. La personne qui appelle va dire ce qu'elle a vu ou entendu. Avec les éléments qu'on nous donnera on sera capable de savoir rapidement s'il s'agit d'un voisin qui veut se venger (mais c'est très rare), ou s'il y a peut-être un vrai problème et que la personne qui appelle a peur d'en parler directement avec les parents concernés. Je rappelle au passage que ne pas dénoncer, quand on a un sérieux doute, c'est devenir complice et c'est passible de sanction par la loi.
Politique
Dati : «Nicolas Sarkozy ne m'a jamais rien imposé»
Le Parisien | 09.03.2009, 08h50 | Mise à jour : 20h53, extrait
Alors qu'elle se lance dans la campagne pour les élections européennes aux côtés de Michel Barnier, la ministre de la justice Rachida Dati a une nouvelle fois assuré lundi matin sur Europe 1 qu'elle était maître de son destin... sans pour autant pouvoir donner précisément la date de son départ du gouvernement. «Nicolas Sarkozy ne m'a jamais rien imposé», affime Rachida Dati tout en précisant un peu après : «C'est lui qui décide.»
L'homoparentalité, un débat hors sujet estime Xavier Bertrand
Société 06/03/2009 à 12h06, Libé
Bertrand: «L’enjeu n’est pas la question de l’adoption par des couples homosexuels»
L’enjeu de l’avant projet de loi de la secrétaire d’Etat à la Famille Nadine Morano visant à donner un statut aux beaux-parents «n’est pas la question de l’adoption par des couples homosexuels», a déclaré vendredi le secrétaire général de l’UMP Xavier Bertrand.
«Il n’est pas question dans ce texte de reconnaître autre chose que des droits aux beaux-parents. L’enjeu aujourd’hui n’est pas la question de l’adoption par des couples homosexuels» ni celle «du mariage homosexuel», a déclaré M. Bertrand sur i-Télé.
L’enjeu de ce texte «ça n’est certainement pas de rentrer dans une logique qui serait une logique de mariage homosexuel ou d’adoption par les couples homosexuels, ce ne sont pas mes convictions, ce ne sont pas les convictions de ma famille politique», a-t-il ajouté.
Plusieurs députés UMP et la ministre du Logement Christine Boutin se sont élevés contre le projet gouvernemental, estimant qu’il ouvre la porte à une reconnaissance de l’homoparentalité.
(Source AFP)
Beaux-parents : le projet Morano donne "une reconnaissance sociale à une réalité"
LEMONDE.FR | 10.03.09 | 15h38 • Mis à jour le 10.03.09 | 16h04, extrait d'un chat
Par ailleurs, si le couple homosexuel venait à se séparer, les enfants pourront demander un droit au maintien du lien affectif avec ces tiers qui ont participé à leur éducation en partageant leur vie et en créant des liens affectifs avec eux. Cela veut dire qu'ils pourront se téléphoner, se voir de temps en temps, passer un week-end ensemble.
Il faut bien comprendre qu'il est de l'intérêt de l'enfant de ne pas être séparé brutalement d'un tiers avec lequel il a vécu pendant des années et que toute la jurisprudence internationale prévoit pour l'enfant ce droit à continuer à voir quelqu'un qui a partagé sa vie, ainsi que les enfants de cette personne, etc.
Les oubliées du 8 mars et la résidence alternée
Morales va plaider pour la feuille de coca
Enquête
Aux armes, citizens
LE MONDE | 09.03.09 | 14h23 • Mis à jour le 09.03.09 | 21h10, extrait
PASO ROBLES (CALIFORNIE) ENVOYÉ SPÉCIAL
Paso Robles, bourgade de Californie centrale, célèbre pour ses élevages de chevaux et ses vignobles. En ce matin d'hiver, le gun show (foire aux armes à feu) ouvre à 9 heures, mais, dès 8 h 30, une petite foule attend devant la porte du vaste hangar d'exposition : 9 dollars l'entrée pour les deux jours, gratuit pour les moins de 13 ans. A l'intérieur, une cinquantaine d'armuriers ont étalé sur leurs stands des milliers d'armes à feu, allant du revolver de poche au fusil semi-automatique, à tous les prix : 89 dollars le vieux fusil russe, plus de 2 000 dollars la carabine à longue portée dernier modèle.
Steve et son épouse Teresa, la cinquantaine sportive, sont à la recherche d'un pistolet gros calibre pas trop cher. Ils possèdent déjà un petit revolver et un fusil, achetés dans un autre gun show, mais ce n'est pas suffisant : "Avec la récession, les faillites, le chômage, la criminalité augmente, affirme Teresa. Avant, les jeunes volaient pour acheter de la drogue, mais aujourd'hui des familles volent pour manger. Nous devons nous armer pour protéger notre foyer."
Morales va plaider pour la feuille de coca
AFP, 09/03/2009 | Mise à jour : 21:43
Le président bolivien Evo Morales a annoncé qu'il allait plaider en personne à Vienne cette semaine devant la Commission des stupéfiants de l'ONU, le retrait de la feuille de coca de la liste des susbtances interdites depuis 1961. "Nous espérons compter sur l'appui (d'autres pays) pour retirer la feuille de coca de la liste des produits stupéfiants," a déclaré Morales à la presse à La Paz, à la veille de son départ pour Vienne, où se tient les 11-12 mars la 52e session ministérielle de la Commission des Stupéfiants.
Un pervers agresse sexuellement une ado de 12 ans
Accueil » Grand Sud » Toulouse
Publié le 07/03/2009 07:59 - Modifié le 07/03/2009 à 08:27 | La Dépêche, extraits
Un pervers agresse sexuellement une ado de 12 ans
L'homme qui vient d'être arrêté par les policiers de la brigade des mineurs de la sûreté fait froid dans le dos. Pas très grand mais massif, c'est le regard qui affole chez ce suspect de 22 ans. Un regard perdu, inquiétant. Ce regard, une collégienne de 12 ans a dû l'affronter pendant de très longues minutes. Cette jeune fille a eu le courage de dire non et a ainsi sans doute évité le pire. Même si le cauchemar qu'elle a vécu sera très long à effacer.
Nicolas Sarkozy plaide la cause de Florence Cassez
Politique
Nicolas Sarkozy plaide la cause de Florence Cassez
Le Parisien | 09.03.2009, 07h00, extrait
Le président a évoqué avec son homologue mexicain le rapatriement de la jeune Française. Sur place, la presse, qui la croit coupable, dénonce cet interventionnisme.
Sur les murs de Mexico, des affiches exigent le rétablissement de la peine de mort pour les kidnappeurs, drame national avec 8 000 rapts par an. Au Mexique, la volonté de Nicolas Sarkozy de rapatrier Florence Cassez passe mal, très mal. Le sujet, brûlant, fait la une des journaux. Dans un éditorial, le quotidien de centre-gauche « La Jornada » étrille l’attitude « interventionniste et même colonialiste » du président français.
« Ma famille est brisée », raconte Cristina Rios, séquestrée cinquante-deux jours par la bande d’Israel Vallarta, Los Zodiaco, ex-fiancé de Cassez. Des associations de victimes comme le Mouvement blanc ou des sénateurs d’opposition somment le président Felipe Calderon de ne pas céder aux pressions de Paris.
« C’est un principe de droit français, on récupère toujours ses nationaux »
Faits divers
Armentières (Nord) et Outreau (Pas-de-Calais)
Drame du RER B : « Je ne trouve plus les larmes… »
Le Parisien | 09.03.2009, 07h00
Catherine, la mère de Jordan, fauché samedi soir par un RER aux abords du Stade de France
A Millau : un père « rustre, agressif et méchant »
Les avocats des parents de Dylan tentent d'atténuer leur responsabilité
Créé le 06/03/09 - Dernière mise à jour le 07/03/09 à 18h56 - Europe 1... d'autres extraits
Un délai de près de 8 mois s'est écoulé entre le signalement et l'arrestation des parents du petit Dylan, retrouvé séquestré à Millau, dans l'Aveyron. Le procureur de la République de Millau a écarté, à ce stade de l'enquête, un dysfonctionnement des services sociaux, mettant en cause "le nuage de fumée" autour des parents. Le couple a été mis en examen et écroués.
[...] Son casier judiciaire ne fait pas état de violences. Depuis plusieurs années, la famille était identifiée comme en difficultés financières par les services sociaux du Conseil général qui se rendaient de manière régulière à son domicile et avaient rencontré Dylan qui ne présentait pas de traces évidentes de maltraitances. L'intervention de la police mardi a permis de mettre au jour la maltraitance dont Dylan a été victime, son enfermement fréquent dans une chambre aux volets toujours fermés et meublée d'un seul matelas souillé.
Comment le séquestation du petit Dylan a-t-elle pu durer aussi longtemps ? Le procureur de la République de Millau a mis sur le compte des parents les "retards" enregistrés entre les premiers signalements et l'intervention de la police.
Quelque 150 bambins attendent une famille d'accueil
08/03/2009 15:32, LeVIF.be
En Communauté française, quelque 150 enfants de 0 à 6 ans dont les parents connaissent des difficultés ont été confiés à des pouponnières, faute de famille d'accueil. C'est ce qu'ont indiqué dimanche des responsables du secteur.
C'est l'une des raisons pour laquelle la Fédération des services de placement familial vient de lancer une petite campagne d'affichage destinée à sensibiliser le public et à recruter des bénévoles. Tant à la fédération qu'au ministère de l'Aide à la jeunesse, on souligne l'importance de l'accueil familial, un secteur qui, en moyenne, héberge simultanément 3.000 enfants et adolescents, soit un placement sur trois. (NLE)
Le porno du procureur
Le président du gouvernement, Michel Probst, refuse de donner des noms en vertu de la présomption d'innocence. Et comme aucun site pédophile n'a été consulté, personne ne s'expose à une enquête pénale. Mais Michel Probst précise tout de même que «personne n'est concerné dans l'entourage du gouvernement». Et qu'aucun chef de service n'a pollué son disque dur avec des images pornos. Il précise surtout que si 30 fonctionnaires ont des raisons de rougir, 770 n'ont rien à se reprocher. Un pourcentage modeste qui dément une étude anglaise récente, qui prétend qu'un employé sur trois admet regarder des films ou des images pornos sur son ordinateur de travail, mais que 7% des employés se sont fait prendre en flagrant délit.
Le débat du «Matin»
Le porno du procureur
Le magistrat jurassien commet une bourde de débutant en consultant des sites pornos sur son ordinateur professionnel. Pincé, il démissionne
Le Matin - le 06 mars 2009, 21h46
Qu'une trentaine de fonctionnaires consultent des sites pornos au bureau peut sembler choquant. Mais les informaticiens jurassiens ont fait une découverte plus renversante encore: le procureur général en personne matait du sexe sur son écran. Yves Maître a commis une bourde de débutant: parfaitement légale sur un ordinateur privé, cette activité n'est pas tolérée par son employeur, l'Etat jurassien.
Comment ce magistrat de 55 ans a-t-il pu se montrer aussi naïf, lui qui a consulté des fournisseurs d'accès pour échafauder certains réquisitoires pendant ses dix ans de carrière? Le magistrat a été démasqué bêtement, simplement parce qu'il n'était pas le seul à encombrer le réseau informatique de l'administration cantonale.
Nesme : Morano « plie » face au « lobby gay »
Têtu.com
Statut du beau-parent et couples gays : ça couine à droite
Par Taina Tervonen | Têtu.com | 05/03/2009 | 19H32, sur rue89, extrait
Le projet de Nadine Morano d'étendre le statut du beau-parent aux homosexuels fait grincer des dents dans son propre camp. La levée de boucliers était à prévoir. Après la ministre du Logement Christine Boutin et le FN, dont SOS homophobie souligne dans un communiqué la forte similarité des propos, ce sont désormais les députés qui s'indignent contre le projet de loi porté par Nadine Morano. Un avant-projet de loi "mal venu", estime Christian Vanneste (UMP), qui le commente sur son blog, dans un post intitulé «Ni beaux… ni parents !»: Le texte "combine le souci de complaire au très médiatique lobbie de 'la cause homosexuelle' avec une remise en cause d'une institution essentielle à notre société (...) : la Famille fondée sur le mariage d'un homme et d'une femme".
Nesme:Morano "plie" face au "lobby gay"
AFP, 04/03/2009 | Mise à jour : 14:23
Le député UMP Jean-Marc Nesme a affirmé que la secrétaire d'Etat à la Famille, Nadine Morano, a "plié sous la pression du lobby homosexuel" et que son texte sur le statut des beaux-parents "n'est qu'un subterfuge destiné à la reconnaissance légale de l'homoparentalité".