Catégorie: Le cas Petrella
L'Iran énervé contre Sarkozy
NDLR : Oops... Revoir aussi des cas tel que Petrella et Cassez.
L'Iran énervé contre Sarkozy
AFP, 01/09/2009 | Mise à jour : 17:03
L'Iran juge "inacceptables" les déclarations du président français Nicolas Sarkozy selon qui le peuple iranien "mérite mieux que les dirigeants actuels", a indiqué le porte-parole du ministère des Affaires étrangères cité par l'agence Isna."Malheureusement, la France, qui adopte des positions de plus en plus extrémistes, a décidé de s'ingérer dans les affaires intérieures de l'Iran, ce qui est totalement inacceptable", a déclaré le porte-parole, cité par l'agence de presse iranienne Isna.
La veille, M. Sarkozy avait affirmé à l'occasion d'une rencontre à Berlin avec la chancelière allemande Angela Merkel, que le peuple iranien "mérite mieux que les dirigeants actuels" à Téhéran.
Polémiques en Italie
Polémique de Berlusconi sur le viol
AP, 25/01/2009 | Mise à jour : 20:14
Le président du Conseil Silvio Berlusconi a déclenché une polémique dans son pays aujourd'hui en déclarant que les femmes italiennes étaient si jolies qu'elles avaient besoin d'êtres escortées par des soldats pour éviter d'être violées.
Silvio Berlusconi a tenu ces propos en réponse à des questions de journalistes au sujet d'une proposition gouvernementale prévoyant le déploiement de 300.000 soldats dans les rues des villes italiennes pour lutter contre la criminalité. Une récente série de crimes violents, incluant un viol à Rome lors de la Saint-Sylvestre, est à l'origine de cette proposition.
Dimanche, M. Berlusconi a expliqué que, même avec des moyens supplémentaires, les viols peuvent se produire, estimant que "nous aurions besoin de tellement de soldats car nos femmes sont tellement belles".
La député d'opposition Giovanna Melandri a jugé ces propos "profondément offensants". Le président du Conseil a, lui, affirmé qu'il faisait simplement un compliment aux femmes.
Oups...
Battisti:"aucun rôle" de Carla Bruni
AFP, 25/01/2009 | Mise à jour : 18:56
Carla Bruni-Sarkozy affirme n'avoir eu "aucun rôle" dans la décision du Brésil de refuser l'extradition en Italie de l'ex-activiste italien d'extrême gauche Cesare Battisti, dans une émission de la télévision italienne diffusée ce soir.
Battisti/Brésil : une « humiliation »
Battisti/Brésil: une "humiliation"
AFP, 14/01/2009 | Mise à jour : 11:09
L'octroi par le Brésil du statut de réfugié politique à l'ex-activiste italien d'extrême-gauche, Cesare Battisti, dont l'Italie réclamait l'extradition, est "une humiliation", a dénoncé aujourd'hui une association italienne de victimes du terrorisme.
"Nous prenons acte de la victoire du terrorisme dans notre pays, (...) de l'humiliation pour les victimes et du mépris (exprimé) envers elles", a dénoncé dans un communiqué Bruno Berardi, président de l'association "Domus Civitas" des victimes du terrorisme et de la mafia.
Cesare Battisti, condamné en Italie pour quatre assassinats, "a réussi à se tirer d'affaire, à la barbe de la justice italienne", a déploré M. Berardi.
La décision brésilienne "démontre encore une fois une insensibilité totale et un manque de respect pour notre démocratie", a affirmé à l'AFP Sabina Rossa, députée du Parti Démocrate (centre gauche), membre d'une autre association de victimes du terrorisme et dont le père a été tué par les Brigades rouges.
Cesare Battisti, 52 ans, après avoir fui la France en 2004, s'était réfugié au Brésil où il avait été arrêté en 2007 et écroué dans l'attente d'une éventuelle extradition vers l'Italie.
Petrella : la France a « rassuré » l'Italie
Petrella : la France a "rassuré" l'Italie
Source : AFP, 23/10/2008 | Mise à jour : 16:37
Le ministre italien des Affaires étrangères Franco Frattini a relevé que la France a "rassuré" l'Italie sur le caractère "exceptionnel" de la mesure de clémence accordée à l'ex-brigadiste Marina Petrella et que le cas "ne se répétera pas".
Les magistrats n'en peuvent plus des "oukases" de la chancellerie
LEMONDE.FR | 23.10.08 | 19h29 • Mis à jour le 23.10.08 | 19h37, extrait
Ce sont des magistrats remontés qui s'étaient réunis, jeudi 23 octobre, devant le Palais de justice de Paris. Ils étaient environ 300 magistrats, avocats, personnels de justice, soudés dans la même manifestation. Interrogés sur les raisons de leur mobilisation, ils évoquent leur condition de travail et les relations difficiles avec leur ministre de tutelle, Rachida Dati.
Florence Feuillebois, avocate, témoigne : "La politique qui est menée aujourd'hui ne se donne pas les moyens d'une justice décente. Les délais de procédure sont prohibitifs. Personnellement, je travaille beaucoup avec les prud'hommes. Il faut attendre un an et demi ou deux pour pouvoir plaider et six mois pour obtenir la décision. Ce n'est pas normal. Les moyens investis sont ridicules et le traitement des justiciables scandaleux. Nous sommes parfois obligés de plaider dans des salles d'audience dignes d'un pays africain. Il n'y a pas suffisamment de salles et pas suffisamment de magistrats." "Il n'y a pas assez de greffiers, le travail quotidien des magistrats relève de plus en plus du travail de bureau. Il y a un manque de moyens chronique et ça ne va pas aller en s'améliorant. On ne peut pas prétendre avoir une justice de qualité sans argent", estime aussi Annie Baland, juge à la cour d'appel de Paris.
Dati comprend les «états d'âme» des magistrats
23/10/2008 | Mise à jour : 14:26 | Commentaires 65, puis une mise à jour...
Fronde judiciaire contre Dati
lefigaro.fr, 23/10/2008 | Mise à jour : 19:12 | Commentaires 73
Magistrats, avocats et profession de justice se sont unis pour protester contre les «attaques» de la Garde des Sceaux, qu'ils accusent de ne pas respecter leur indépendance.
Rouilan reste en prison
RTL info.be - Le célèbre écrivain italien Claudio Magris a réclamé des excuses au président Nicolas Sarkozy qui a "insulté" l'Italie en la faisant passer pour "un pays de barbares" avec son refus d'extrader l'ex-terroriste des Brigades rouges Marina Petrella en raison de sa santé.
Marseillaise: Laporte "assume" ses propos
Source : AFP, 16/10/2008 | Mise à jour : 20:19, extrait
Le secrétaire d'Etat aux Sports, Bernard Laporte, a affirmé jeudi soir assumer sa proposition de ne plus jouer à Paris les matches contre les équipes du Maghreb après les sifflets de mardi soir contre la Marseillaise, une idée qui lui a valu de vives attaques.
"J'assume tout ce que j'ai dit", a déclaré M. Laporte au journal de France 3.
Le secrétaire d'Etat a ensuite repris son argumentaire, estimant "inadmissible que l'hymne national soit sifflé", et affirmant: "les matches à risque, il faut les délocaliser et aller les jouer en province".
"Ce n'est pas de la discrimination", a-t-il assuré, en réponse aux critiques qui se sont abattues sur lui.
Autriche : Jörg Haider était ivre
Autriche: Jörg Haider était ivre
Source : AFP, 15/10/2008 | Mise à jour : 14:45
Le chef historique de l'extrême droite autrichienne Jörg Haider conduisait avec un taux d'alcoolémie de 1,8 gramme d'alcool dans le sang lors de son accident de voiture mortel samedi, affirme aujourd'hui Stefan Petzner, successeur de Haider à la tête du parti BZÖ. La limite autorisée en Autriche est de 0,5 gramme par litre de sang.
Jörg Haider, 58 ans, a perdu le contrôle de son véhicule dans un faubourg de Klagenfurt (sud) après une manoeuvre de dépassement et effectué plusieurs tonneaux. Il roulait officiellement à 142 km/h dans une zone limitée à 70 km/h.
Sifflets: la saisie du parquet demandée
Source : AFP et AP, 15/10/2008 | Mise à jour : 15:01
La ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie a demandé aujourd'hui au préfet de Seine-Saint-Denis, où se situe le Stade de France, de signaler officiellement les outrages à l'hymne national au procureur de la République de Bobigny, annonce le ministère dans un communiqué.
"L'enquête pourra s'appuyer sur les images filmées au cours de la rencontre, grâce à des caméras professionnelles implantées (...) depuis le printemps 2008 pour les matchs à risque", précise le ministère. Les interpellations "déboucheront sur des interdictions administratives de stade, comme pour les trois individus appréhendés à l'issue du match pour des infractions diverses".
Suite à des incidents similaires, lors du match amical France-Algérie en novembre 2001, puis lors de la finale de la Coupe de France entre Lorient et Bastia en mai 2002, la loi de sécurité intérieure défendue en 2003 par Nicolas Sarkozy a créé un "délit d'outrage" au drapeau et à l'hymne national, passible de six mois de prison et de 7.500 euros d'amende.
Info Figaro.fr: la lettre de Petrella à Sarkozy
Source : lefigaro.fr, 15/10/2008 | Mise à jour : 13:11
L’ancienne brigadiste Marina Petrella, dont le décret d’extradition a été annulé la semaine dernière par le chef de l’État, a rédigé fin juillet une lettre, adressée à son avocate, qui l'a notamment transmise à Nicolas Sarkozy. Dans ce courrier, dont l’existence a été révélée au figaro.fr par l’avocate de Petrella, cette dernière revient sur les faits pour lesquels la justice de Rome la réclame.
Notamment accusée de complicité dans le meurtre d'un commissaire en 1981, Marina Petrella ne formule dans ce courrier aucune excuse. Elle se contente d’"exprimer ce qu’elle ressent" sur cette période, notamment "de la compassion", selon Me Irène Terrel, l’avocate de Petrella. Cette dernière assure que "Nicolas Sarkozy a pris connaissance de ce courrier". On ne sait pas encore quel impact il a pu avoir dans la décision finale du chef de l’État.
Le courrier figure en bonne place dans un ensemble de documents fournis par les défenseurs de l’ex membre des Brigades rouges pour obtenir l’application de la clause humanitaire de la convention d'extradition de 1957 : Me Terrel a fourni aux autorités compétentes, au premier rang desquels la présidence de la République française, de multiples bulletins médicaux, qui témoignaient de l’aggravation de l’état de santé de sa cliente.
Pétrella : un opposant en grève de la faim
NDLR : J'enrichis mon vocabulaire, je découvre le mot barbouze.
Pétrella: un opposant en grève de la faim
Source : AFP, 14/10/2008 | Mise à jour : 11:54 | Commentaires 5
Le président d'une association italienne de victimes du terrorisme est en grève de la faim à partir d'aujourd'hui afin d'obtenir de Nicolas Sarkozy l'extradition de l'ex-membre des Brigades rouges, Marina Petrella. "J'ai commencé une grève de la faim et de la soif puisque le président français a été ému par celle de Marina Petrella afin de le convaincre d'extrader la terroriste" Marina Petrella.
M. Berardi (55 ans) a également précisé qu'il se rendrait le 24 octobre à Paris avec des membres de son association pour manifester contre le refus de la France d'extrader Marina Petrella. La décision de ne pas extrader Marina Petrella a suscité de vives réactions chez les associations de victimes du terrorisme et leurs proches qui ont condamné la décision de Paris.
Besancenot: "Des méthodes de barbouze"
Source : AFP, 14/10/2008 | Mise à jour : 12:29
Olivier Besancenot, porte-parole de la LCR, a dénoncé ce matin des "méthodes de barbouzes", après l'interpellation du directeur de Taser France Antoine Di Zazzo et de neuf autres personnes dans le cadre de l'enquête sur l'espionnage présumé le concernant, . "C'est scandaleux, c'est révoltant. C'est d'abord des méthodes de barbouzards. On a l'impression d'etre dans un mauvais film", a-t-il affirmé. Et d'ajouter : "Les barbouzards doivent rendre des comptes devant la justice."
L'engagement décisif des soeurs Bruni pour Petrella
Valeria Bruni-Tedeschi a sensibilisé l'Elysée au cas Petrella
LEMONDE.FR avec AFP | 13.10.08 | Extrait
Valeria Bruni-Tedeschi a raconté, lundi 13 octobre, sur Europe 1, en avoir parlé au président de la République. "Je lui en ai parlé un peu, surtout juste après l'avoir vue en prison", a-t-elle rapporté. "J'ai donné ces informations qui ont peut-être été un tout petit peu importantes pour qu'il prenne la décision."
Officiellement, la direction de l'UMP justifie la décision de Nicolas Sarkozy par des raisons «humanitaires», dixit Frédéric Lefebvre et Patrick Devedjian. Quant à l'implication de l'épouse du chef de l'État, Dominique Paillé, porte-parole, a jugé «tout à fait honorable qu'elle s'intéresse à des situations humanitaires».
L'engagement décisif des soeurs Bruni pour Petrella
lefigaro.fr avec AFP, 13/10/2008 | Mise à jour : 15:34 | Commentaires 429
Nicolas Sarkozy a renoncé à faire appliquer le décret autorisant l'extradition de l'ancienne brigadiste en raison de «sa situation de santé». Une décision en partie liée à l'activisme de la première dame.
Quel a été le rôle exact de Carla Bruni-Sarkozy et surtout de sa soeur, la réalisatrice Valéria Bruni-Tedeschi, dans la décision française de ne pas extrader Marina Petrella ?
La question raciale embrase la course à la Maison Blanche
International
Démonstration de force de la Russie
leparisien.fr | 12.10.2008, 20h14, extrait
D'avis d'expert, on n'avait pas vu telle démonstration de force depuis la Guerre froide. Avec quatre lancements de missiles balistiques en moins de 24 heures, la Russie semble bien décidée à reprendre sa place sur l'échiquier international en réaffirmant sa puissance militaire. Dans un climat avec Washington déjà fortement dégradé par la situation en Géorgie et la délicate question du bouclier antimissile que les américains veulent installer en Pologne et en République tchèque, la Russie sort un peu plus les griffes.
15:16 - dimanche 12 octobre 2008 - Ouest-France
Le Pape condamne les violences contre les chrétiens
Le pape Benoît XVI a condamné dimanche "les violences contre les chrétiens en Irak et en Inde" et appelé à la paix religieuse en Inde, à l'issue d'une messe de canonisation place Saint-Pierre au Vatican, pendant laquelle il a proclamé la première sainte indienne.
11:13 - dimanche 12 octobre 2008 - Ouest-France
Un multimillionnaire américain propulsé dans l'espace
Un touriste américain de l'espace, le multimilionnaire texan Richard Garriott, a décollé dimanche du cosmodrome de Baïkonour, au Kazakhstan, à bord d'une fusée russe vers la Station spatiale internationale (ISS), avec un cosmonaute et un astronaute. Le vaisseau spatial a quitté le pas de tir d'où le premier homme dans l'espace, le Soviétique Iouri Gagarine, avait entamé en 1961 son vol historique.
Justice - Hélène Castel condamnée mais libre
TF1-LCI, le 06/01/2006
Jugée pour sa participation au braquage d'une succursale de la BNP, le 30 mai 1980, Hélène Castel a été condamnée vendredi après-midi à de la prison avec sursis. Après 11 mois passés en détention préventive, elle ne retournera donc pas derrière les barreaux.
PARIS (AFP), le 6/10/2008 - La cour d'appel de Paris a confirmé vendredi le renvoi du terroriste Carlos devant la cour d'assises spéciale de Paris pour une série d'attentats commis en France en 1982 et 1983, a-t-on appris lundi de source judiciaire. [...] Le procès de l'homme qui a symbolisé le terrorisme des années 1970-1980 ne devrait pas avoir lieu avant 2009.
Politiques 12 oct. 18h32, Libé
Carla Bruni a rencontré Marina Petrella
EXCLUSIF
Carla Bruni-Sarkozy raconte à Libération qu'accompagnée de sa soeur la réalisatrice Valéria Bruni-Tedeschi, elle est allée prévenir dès mercredi après-midi Marina Petrella qu'elle ne serait pas extradée. [...] A part ce rôle de messagère de bonne nouvelle, la première dame de France, dont la famille avait quitté l’Italie à l’époque «des années de plomb», confie avoir eu au téléphone une des filles de l’ex-activiste, il y a une dizaine de jours et hier samedi pour lui confirmer l’annulation de la procédure d’extradition. Mais c’est «à la pugnacité» de sa soeur Valeria, qui «tout au long de ces deux derniers mois a fréquemment parlé de ce sujet avec mon mari», qu’elle attribue le rôle «d’alerte» joué auprès du Président.
Quatre croyances ébranlées par la crise
LE MONDE | 12.10.08 | Extraits
La fin de la présidence de George Bush coïncide avec la fin d'un cycle économique : celui ouvert en 1981 par Ronald Reagan, selon lequel "l'Etat n'est pas la solution. Il est le problème".
1) Le risque n'existe plus...
2) Les marchés s'autorégulent...
3) La finance n'est que virtuelle...
4) Tous propriétaires...
Barack Obama : "La race est une question que notre pays ne peut se permettre d'ignorer"
Obama et la question raciale
LE MONDE | 26.03.08 | Extrait
En campagne en Pennsylvanie, le sénateur noir de l'Illinois a prononcé, le 18 mars, un discours important. Pour la première fois, Barack Obama y expose sa conception des relations raciales aux Etats-Unis. Il y a été forcé par la publication des propos de l'un de ses proches, le pasteur Jeremiah Wright, qui avait dénoncé en termes virulents la discrimination envers les Noirs. Tout en s'en dissociant, Barack Obama rebondit en offrant sa vision d'une "union plus parfaite" du peuple américain.
Monde
Etats-Unis: longtemps tabou, la question raciale embrase la course à la Maison Blanche
La course à la Maison Blanche est de plus en plus dominée par la question raciale alors qu'un élu noir du Congrès, figure de la lutte pour les droits civiques dans les années 60, a accusé ce week-end le candidat républicain John McCain d'inciter à la haine contre son rival Barack Obama.
12/10/2008 WASHINGTON (AFP)
Avec les attaques personnelles lancées depuis une semaine contre le candidat démocrate, premier Noir en position d'être élu président des Etats-Unis, le camp républicain "sème les graines de la haine et de la division", a déclaré samedi John Lewis, représentant démocrate de Géorgie (sud-est) dans un communiqué diffusé sur internet.
M. McCain et sa colistière Sarah Palin "jouent avec le feu et, s'ils n'y prennent pas garde, ce feu va tous nous dévorer", ajoutait-il, rapprochant le candidat républicain au gouverneur ségrégationniste d'Alabama George Wallas dans les années 60.
Papa ? c'est quoi la crise financière ?
Economie
Papa? C'est quoi la crise financière?
La ministre allemande de la famille Ursula von der Leyen a tenté d´expliquer la crise financière actuelle aux enfants. Elle compare la situation à "une fête gigantesque" où tout est permis mais qui finit mal.
Le 12 octobre 2008, 15h39, Le Matin Online & les agences
L'Italie, entre colère et incompréhension
LEMONDE.FR avec AFP | 12.10.08 | 16h19 • Mis à jour le 12.10.08 | 16h19
En refusant de procéder à l'extradition de Marina Petrella pour des raisons de santé, l'Elysée a mis un terme à une affaire qui durait depuis la signature du décret d'extradition de l'ancienne membre des Brigades rouges (BR), en juin. La nouvelle a été très mal reçue en Italie, où les associations de victimes du terrorisme et des proches de victimes des BR ont violemment critiqué la décision du gouvernement français. Les responsables politiques transalpins n'ont eux pas tenu à s'exprimer, signe d'une possible embarras.
Marina Petrella restera en France
Marina Petrella : l'Elysée confirme
Source : AFP, 12/10/2008 | Mise à jour : 10:33
Le président Nicolas Sarkozy a renoncé à extrader l'ex-membre des Brigades rouges Marina Petrella vers l'Italie en raison de sa "situation de santé", a confirmé aujourd'hui l'Elysée dans un communiqué.
france > justice-police
Marina Petrella ne sera pas extradée vers l’Italie
France Info - 10:40
C’était ce matin une information du Journal du Dimanche qui a ensuite été confirmée par l’Elysée : pour des raisons "humanitaires", Nicolas Sarkozy a renoncé à appliquer le décret autorisant l’extradition de l’ancienne membre des Brigades rouges. Son (...)
Justice
Marina Petrella restera en France
leparisien.fr avec AFP | 12.10.2008, 07h30 | Mise à jour : 09h12
Condamnée à la perpétuité en Italie, réfugiée en France puis vouée à l'extradition, l'ancienne dirigeante de la «colonne romaine» des brigades rouges devrait finalement rester dans l'hexagone.
Nicolas Sarkozy a en effet renoncé à faire appliquer le décret autorisant l'extradition.
De l’autre côté de l’école, des enfants, heureux de rentrer chez eux
Société 7 oct. 6h51 • Libé
«On tolère moins que les enseignants soient défaillants»
Interview • Christophe Hélou, sociologue et auteur d’une enquête sur la souffrance des enseignants
Christophe Hélou, auteur avec Françoise Lantheaume de l’enquête sociologique la Souffrance des enseignants (PUF, 2008), analyse pour Libération les difficultés grandissantes du métier d’enseignant.
Les enseignants seraient-ils de plus en plus en souffrance ?
Depuis une vingtaine d’années, avec l’effet du collège unique et du lycée de masse dans les années 80, les conditions d’enseignement sont devenues plus dures. Il est plus difficile aujourd’hui d’intéresser les élèves au savoir et de tenir sa classe. A partir de 1995, on a vu apparaître dans les rectorats des dispositifs spécifiques pour les enseignants en difficulté, des cellules d’écoute ou une direction des ressources humaines avec des psychologues, des médecins du travail. C’est maintenant la norme. Mais il est difficile de dire si la souffrance est devenue plus forte ou si on l’a rendue plus réelle en mettant en place ces dispositifs. Sans doute y a-t-il un peu des deux.
Suicide
Une enseignante se pend dans une salle d’école
leparisien | 07.10.2008, extrait
Trois collègues sortent de l’établissement [de Massy] pendant la récréation. Elles sont en pleurs, sous le choc : « Je savais qu’elle n’allait pas bien », répète sans cesse l’une d’elles. Dépressive, Muriel était en arrêt maladie l’année dernière. Elle n’avait repris les cours que depuis la rentrée de septembre. Les institutrices n’ont rien dit à leurs élèves, leur parlant d’un simple malaise pour les épargner. A 16 h 35, un fourgon gris pénètre dans l’établissement pour emmener le corps de Muriel, par un accès dérobé. De l’autre côté de l’école, on entend les cris insouciants des enfants, heureux de rentrer chez eux.
Incendie criminel Collège Elsa Triolet dans le 13ème
02/10/2006, www.paris.fr, extrait
Suite à un incendie criminel perpétré dans la nuit de samedi à dimanche et qui n’a heureusement fait aucune victime, le collège Elsa Triolet situé dans le 13e arrondissement sera partiellement fermé pendant une semaine.
Le feu s’est déclaré dans le bureau des surveillants et a atteint plusieurs locaux, condamnant provisoirement l’accès des élèves à une partie de l’établissement. Ce collège, d’habitude très paisible, accueille 536 élèves et n’a connu aucune tension depuis le début de l’année.
Lutte Ouvrière n°1684 du 20 octobre 2000
Dans les entreprises
Collège Elsa Triolet Saint-Denis (93) : un avertissement
Mardi 10 octobre, la moitié des enseignants, la totalité des surveillants, des aides-éducateurs, soutenus par le personnel ouvrier étaient en grève au collège Elsa Triolet de Saint-Denis
A l'origine de ce mouvement, les phénomènes classiques de violence que connaissent les établissements des « banlieues » populaires. Nous avons voulu manifester notre solidarité avec plusieurs collègues aides-éducateurs agressés dans l'exercice de leur fonction et réclamer des moyens et un changement de politique pour faire face à une situation que tout le monde juge préoccupante. C'était aussi une grève pour manifester notre mécontentement par rapport à la façon dont l'Education nationale essaye d'étouffer les problèmes qui se posent en permanence.
Lorsque les médias avaient braqué leurs projecteurs sur les phénomènes de violence au printemps dernier, les ministres de l'Education nationale de l'époque Allègre et Royal et les médias avaient essayé de répandre l'idée que les personnels faisaient peser une chape de plomb sur les faits de violence qui se produisaient dans les établissements, et il avait fallu quelque temps pour qu'il apparaisse que le ministère exerçait des pressions sur les chefs d'établissements pour cacher ces faits.
Alors que dans le collège, la situation va en se dégradant au fil des années, on retrouve curieusement chez nos chefs d'établissements successifs le même discours d'adeptes de la méthode Coué : c'est toujours « Tout va bien », et au pire, « Tout ne va pas si mal », l'important étant sans doute de ne pas faire de vagues auprès de leurs supérieurs hiérarchiques
Quand des élèves particulièrement violents posent des problèmes, consigne leur est donnée de les garder à tout prix, car il y a très peu de places dans des structures spécialisées susceptibles de pouvoir les accueillir. De fait, quand des élèves sont renvoyés d'un établissement, on impose aux chefs d'établissements de recevoir en contrepartie des élèves renvoyés d'autres établissements. C'est ce que certains appellent se refiler le mistigri.
Un film sur les Brigades rouges choque
Le ministre italien de la Culture Sandro Bondi a dénoncé un film consacré au groupe armé des Brigades rouges qui doit être dévoilé ce week-end au Festival de Locarno (Suisse), le jugeant offensant pour "la mémoire des victimes du terrorisme", rapporte aujourd'hui la presse.
Le ministre, qui s'est fait projeter le film de Giovanni Pannone "Le soleil de l'avenir" après avoir été alerté par une association de victimes, affirme avoir "éprouvé un sentiment de trouble et d'amertume face à une reconstruction donnant uniquement la parole aux protagonistes d'une idéologie criminelle qui a fait souffrir tant de familles", selon le quotidien La Stampa.
Il dénonce aussi le fait que dans ce documentaire adapté d'un livre écrit par le journaliste Giovanni Fasanella et l'un des chefs historiques du groupe armé, Alberto Franceschini, les ex-briagadistes "n'expriment pas la moindre repentance ou tout au moins une prise de conscience de leur responsabilité".
Un film sur les Brigades rouges choque
Source : AFP, 08/08/2008
Petrella entre « joie » et « peur »
L'ancienne membre des Brigades rouges Marina Petrella, remise en liberté hier mais toujours en instance d'extradition vers l'Italie, se trouvait aujourd'hui "mélangée entre la joie" d'être libre "et la peur" d'être extradée, a confié son mari à l'Agence France-Presse.
Hamed Merakchi a passé l'après-midi de mercredi au chevet de son épouse, en compagnie de l'aînée de ses deux filles, à l'hôpital parisien Sainte-Anne, où Mme Petrella, 54 ans, est hospitalisée depuis le 23 juillet, dans un état critique selon les médecins.
Petrella entre "joie" et "peur"
Source : AFP, 06/08/2008
Marina Petrella : un scénario maladroit écrit à l’Elysée ?
Un scénario maladroit écrit à l’Elysée • Depuis l’annonce de l’extradition, Sarkozy a multiplié les couacs et les déclarations contradictoires.
QUOTIDIEN : mercredi 6 août 2008
Aucun doute : c’est, paradoxalement, à Nicolas Sarkozy que Marina Petrella doit sa remise en liberté. C’est en tout cas ce que veut «croire» Frédéric Rouillon, le chef du service de Sainte-Anne où est hospitalisée l’ex-brigadiste, pour qui «cette décision […] vient du plus haut sommet de l’Etat» (lire page 4). Et de fait le scénario, avec toutes ses approximations, semble avoir été élaboré de bout en bout depuis l’Elysée. Mais, après ce recul, le chef de l’Etat va devoir maintenant se coltiner un autre front, celui des amis de Marina Petrella, qui refuse son extradition en Italie.
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