Catégorie: Rumeur et crédibilité
Nanterre dément les rumeurs d'échec de Nicolas Sarkozy au DEA
Nanterre dément les rumeurs d'échec de Nicolas Sarkozy au DEA
LEMONDE.FR | 06.03.09 | 11h33 • Mis à jour le 06.03.09 | 11h48, extraits
En pleine mobilisation des enseignants-chercheurs, un texte du professeur de sciences politiques Alain Garrigou, titré "Sarkozy et l'université – la revanche personnelle d'un cancre", s'est taillé un certain succès sur la blogosphère. Publié par le site de la Fondation Copernic et Mediapart, il y explique la "petite guerre" livrée par le chef de l'Etat aux scientifiques et aux universitaires par ses études "assez médiocres".
[...] L'université a de son côté indiqué au Monde.fr, après recherches, que Nicolas Sarkozy a en fait obtenu son diplôme à la session d'octobre-novembre 1980, en conservant le bénéfice de ses notes de séminaires de l'année précédente, et avec 6 à l'examen écrit, et 16 au mémoire. Soit une moyenne de 14, correspondant à la mention "assez bien". Alain Garrigou souligne que pour terminer son diplôme l'année suivante, il faut obtenir une dérogation, "ce qui n'arrive que dans des cas exceptionnels"... L'université indique pour sa part que ce n'est pas si rare. Et devait publier un communiqué sur l'affaire, vendredi 6 mars.
Appeler Pôle emploi peut coûter cher
Créé le 17/01/09 - Dernière mise à jour le 06/03/09 à 12h36, Europe 1, extrait
Téléphoner au numéro d'appel unique de Pôle emploi, le 39 49 qui permet de joindre le nouvel organisme chargé des chômeurs, coûte en principe 11 centimes d'euro la minute. Mais la note est six à sept fois plus élevée depuis certains téléphones mobiles.
Millau : qu'est ce que ce « jouet » sur le lit ?
NDLR : Un peu plus bas, une vidéo de TF1/LCI. « Sans jouets », a déclaré le procureur ? Que fait ce Picachu sur le lit ? S'agit-il d'une mise en scène, pour des images, ou le doudou de l'enfant aurait-il été abandonné là ? Plus bas encore, une vidéo de M6, l'opinion d'une voisine qui prétend connaitre un peu cette famille et ces deux enfants. Cette dame ne se serait aperçue de rien ?
Millau : un enfant séquestré par ses parents
Jérôme Bouin (lefigaro.fr) Avec AFP, 05/03/2009 | Mise à jour : 16:53
Âgé de 7 ans, battu par son père, il était la plupart du temps enfermé dans une chambre aux volets constamment fermés. Ses parents, qui ont reconnu les faits, ont été écroués.
Un homme de 42 ans et une femme de 35 ans ont été mis en examen et écroués pour avoir maltraité leur fils de 7 ans, séquestré dans une chambre-prison vraisemblablement depuis plusieurs années au domicile familial à Millau, dans l'Aveyron, a-t-on appris.
«Le petit garçon était enfermé depuis plusieurs années dans une pièce qui ne comportait qu'un matelas imbibé d'urine avec un sommier, sans jouets ni meubles», a déclaré le procureur de la République de Millau, Patrick Desjardins, confirmant une information de La Dépêche du Midi.
Vu sur ITélé puis sur M6,
le Picachu est resté sur place
La France se soucierait encore du respect du à la justice
La justice examine mercredi une plainte d'Yvan Colonna contre Nicolas Sarkozy
LEMONDE.FR avec AFP | 04.03.09 | 12h17 • Mis à jour le 04.03.09 | 12h45, extrait
Un nouvel imbroglio se profilait, mercredi 4 mars, en marge du procès d'Yvan Colonna. Le tribunal de grande instance de Paris doit en effet examiner cet après-midi une plainte d'Yvan Colonna contre Nicolas Sarkozy pour atteinte à la présomption d'innocence. Il reproche au président de la République, alors ministre de l'intérieur et candidat à l'élection présidentielle, de l'avoir plusieurs fois publiquement présenté comme coupable et lui réclame 50 000 euros de dommages et intérêts.
En 2003, lors d'un meeting, M. Sarkozy s'était félicité de l'arrestation de "l'assassin du préfet Erignac", mais ces propos sont aujourd'hui prescrits. Le 5 janvier 2007, lors d'un déplacement à Sainte-Lucie de Tallano (Corse-du-Sud), M. Sarkozy avait répondu à un journaliste : "Vous le savez. Il n'y a pas que moi qui le pense. Sinon je ne pense pas qu'on l'aurait gardé en prison."
[...] L'audience pourrait de toute façon tourner court, le ministère public ayant déjà demandé au tribunal de prononcer un sursis à statuer, dans l'attente de la fin du mandat présidentiel de M. Sarkozy, qui ne peut être poursuivi tant qu'il est à l'Elysée.
PARIS (Reuters), 04.03.09, 11h10 - La France examine les options possibles dans l'affaire Florence Cassez, une ressortissante française condamnée à 60 ans de prison en appel au Mexique, et Nicolas Sarkozy s'efforcera d'obtenir son rapatriement lors de sa visite officielle à Mexico le 9 mars.
"L'Elysée prend acte de la condamnation en appel de Florence Cassez", précise mercredi un communiqué de la présidence française au lendemain du jugement à l'encontre de cette Française de 34 ans, interpellée dans le cadre d'une affaire d'enlèvements au Mexique.
"Il examine les options possibles dans le respect de l'indépendance de la justice mexicaine et des conventions internationales qui nous lient au Mexique", poursuit la présidence.
Jurisprudence Bouygues : la science fait un peu de résistance
NDLR : Que l'on ne se laisse pas emporter par ces sachants là, les jugements et l'arrêt critiqué sont sans aucun doute parfaitement motivés... Est-ce un réel problème si l'erreur scientifique manifeste décrite par cette dépèche AFP s'est effectivement glissée dans la jurisprudence Bouygues ?
Antennes relais : "risques non démontrés"
AFP, 04/03/2009 | Mise à jour : 11:33
L'Académie nationale de Médecine souligne l'absence de risque démontré des antennes relais de téléphone mobile, tout en relevant une "erreur scientifique" dans une récente décision de justice en appel condamnant un des opérateurs à démonter une antenne. "Les antennes de téléphonie mobile entraînent une exposition aux champs électromagnétiques 100 à 100.000 fois plus faible que les téléphones portables: être exposé pendant 24 heures à une antenne à 1 volt par mètre donne la même exposition de la tête que de téléphoner avec un portable pendant 30 secondes", relève l'Académie dans un communiqué.
Or, "on ne connaît aucun mécanisme par lequel les champs électromagnétiques dans cette gamme d'énergie et de fréquence pourraient avoir un effet négatif sur la santé", poursuit-elle dans une "mise au point".
L'Organisation mondiale de la santé et le comité européen sur les risques sanitaires émergents (Scenihr) se sont prononcés unanimement sur l'absence de risque de ces antennes, note l'instance conseillère des pouvoirs publics.
"A ce jour, aucun système sensoriel humain permettant de percevoir ce type de champ n'a été identifié". C'est pourquoi la "quasi-totalité" des études sur l'électro-hypersensibilité montre que les sujets concernés, en dépit de troubles variés en présence de dispositifs émetteurs de champs électromagnétiques, "sont incapables de reconnaître si ces dispositifs sont actifs ou non", précise l'académie. Elle "s'étonne que l'arrêt de la Cour d'Appel de Versailles (condamnant Bouygues Telecom à démonter une antenne le 4 février) puisse s'appuyer sur une erreur scientifique manifeste en prenant en compte le 'risque démontré' de champs d'extrêmement basse fréquence émis par ces antennes". "En réalité, les antennes de téléphonie mobile émettent exclusivement en haute fréquence", pointe-t-elle.
Un groupe de travail des académies de médecine, des sciences et des technologies va examiner les questions posées par cette actualité judiciaire, conclut-elle.
Laurence Parisot déboutée de sa plainte contre l'UIMM
Economie
300 000 emplois détruits en 2009 : Lagarde confirme
Le Parisien | 02.03.2009, 08h26 | Mise à jour : 14h55, extrait
Chômage en forte hausse, croissance en baisse... Deux jours avant de présenter son projet de loi de finances rectificatives en Conseil des Ministres mercredi, le gouvernement revoit ses prévisions de croissance à la baisse et intègre officiellement le scénario d'une récession pour 2009.
Conjoncture
Croissance : Bercy prévoit désormais un PIB à - 1,5% en 2009
02/03/2009, L'Usine Nouvelle, extrait
L'activité française devrait plonger dans le rouge cette année, avec à la clé, 300 000 postes détruits et un déficit de près de 100 milliards d'euros. Le gouvernement français s'apprête à sérieusement réviser à la baisse la croissance pour cette année. Car Bercy, en prise avec la réalité d'une récession généralisée, prévoit désormais un recul de l'activité française de 1,5% en 2009, comme l'a confirmé ce lundi à l'AFP l'entourage de la ministre de l'Economie, Christine Lagarde. C'est "la réalité de ce qui est devant nous", a déclaré par ailleurs Frédéric Lefebvre, porte-parole de l'UMP sur BFM TV/RMC.
Les Bourses mondiales dévissent
France Info - 22:33, extrait
Paris, les Bourses européennes et Wall Street ont chuté ce soir, déprimées par le secteur financier après l’annonce d’une perte trimestrielle historique de l’assureur américain AIG et d’une énorme augmentation de capital de la banque HSBC. A Paris, l’indice CAC 40 qui a enfoncé la barre des 2.600 points, a chuté de 4,48% à 2.581,46 points, sa deuxième plus forte baisse en 2009, après celle du 14 janvier (-4,56%) et tombant au plus bas depuis le 13 mars 2003.
Laurence Parisot déboutée de sa plainte contre l'UIMM
LEMONDE.FR avec AFP | 02.03.09 | 16h25 • Mis à jour le 02.03.09 | 16h36, extrait
La présidente du Medef, Laurence Parisot, n'a pas eu gain de cause. Elle a été déboutée, lundi 2 mars, de ses poursuites en diffamation contre un ancien président de l'UIMM qui affirmait qu'elle était au courant "depuis longtemps" de l'existence de retraits de fonds suspects au sein du patronat de la métallurgie. La 17e chambre civile du tribunal de grande instance de Paris a considéré que Daniel Dewavrin, prédécesseur de Denis Gautier-Sauvagnac à la tête de l'UIMM, était de bonne foi.
"La crédibilité de Laurence Parisot écornée", par Fanny Guinochet (Challenges)
Entreprises 02.03.2009 | 18:44, Challenges, extrait
Voila un jugement qui tombe particulièrement mal pour la présidente du Medef, repartie dare-dare en campagne pour briguer un second mandat en 2010. Critiquée au sein du patronat, elle risque, avec cette décision, d’être encore un peu plus déconsidérée. En aparté, les patrons sont nombreux, en effet, à lui reprocher sa façon d’intervenir dans la crise, de prendre ses décisions seule, de ne pas suivre les recommandations du conseil exécutif. "Nous avons beau lui dire qu’elle est inaudible, elle n’en fait qu’à sa tête", raconte un membre du bureau excédé. A l’assemblée générale du Medef, le 5 février dernier, la grogne s’était fait sentir. Non seulement les rangs étaient clairsemés mais les rares caciques présents avaient applaudi mollement.
Faits divers
Coup de couteau: le garçon a cru utiliser un «jouet»
Le Parisien avec AFP | 02.03.2009, 15h37 | Mise à jour : 16h06, extraits
Le garçon de cinq ans, qui avait poignardé samedi à Uckange (Moselle) sa soeur de dix ans parce qu'elle avait refusé de lui prêter sa console de jeux, pensait que le couteau dont il s'est servi «était un jouet». «Il a dit dans ses mots aux gendarmes qu'il croyait que le couteau de cuisine dont il s'est saisi (pour poignarder sa soeur en plein thorax) était un jouet», a-t-on appris de source proche de l'enquête lundi à Metz.
Une revue de presse parfum banane et chocolat
Fin février - début mars 2009
Bertrand promet « une juste indemnisation » au groupe MGMT
PEER-TO-PEER
The Pirate Bay publie son manifeste
NOUVELOBS.COM | 26.02.2009 | 14:30
En plein procès, le plus grand site de partage de fichiers sur internet a annoncé la sortie d'un petit ouvrage sur son mode de vie pirate.
En plein procès pour non-respect de droits d’auteur, The Pirate Bay a annoncé, mardi 24 février, la publication sur son site d’un livre “Powr, broccoli and KOPIMI”.
Ce manifeste compile cent aphorismes pour pratiquer un mode de vie libre, appelé “Kopimi”, allusion en anglais au téléchargement “Copy me”.
On peut y lire “créez le plus grand service de partage de fichiers du monde en un clin d’oeil”, “Niez tout pendant un procès”, références directe à leur actualité, mais encore ” déclarez que vous recevez 1256 emails par jour”, “N’allez pas au Kurdistan” , “Créez une inflation et une crise financière globale”.
D’abord en version suédoise, la traduction anglaise était disponible dès le lendemain grâce au soutien d’internautes.
Les responsables de The Pirate Bay invitent leur communauté à partager, traduire, réviser, copier, jeter, publier, brûler, cacher ou refaire le livre.
Libre de droits, le document n’est, pour l’heure, accessible qu’en fichier .torrent.
PARIS (AFP), il y a un jour — Xavier Bertrand a affirmé mercredi soir que l'UMP avait "proposé de discuter d'une somme" représentant "une juste indemnisation" mais "certainement pas un euro symbolique" au groupe MGMT pour avoir utilisé sans autorisation la musique de ce groupe rock américain lors de deux meetings et sur internet.
"La semaine dernière, l'UMP que je représente en tant que secrétaire général, a proposé de discuter -nous en avons parlé avec l'avocate aujourd'hui encore - une somme qui sera une juste indemnisation, mais certainement pas un euro symbolique", a déclaré sur RTL M. Bertrand.
L'avocate française de MGMT avait dénoncé mercredi une proposition "méprisante" de l'UMP qui lui a offert, via son agence de communication, un euro symbolique d'indemnisation.
"Cette proposition est peu respectueuse du droit des auteurs et des artistes. Elle est méprisante", avait affirmé à l'AFP Isabelle Wekstein.
Le directeur général de Blue Advertainment, agence responsable de la communication de l'UMP, a adressé le 16 février un courrier à l'avocate dans lequel il reconnaît avoir commis une erreur non intentionnelle, par "manque de vigilance", et lui propose "à titre symbolique" un euro d'indemnisation pour le préjudice subi.
Affaire Pérol : Fouquet explique que « personne n'y a rien compris »
Pérol est le "meilleur" '(Guaino)
AFP, 27/02/2009 | Mise à jour : 12:01, extrait
Le conseiller spécial de Nicolas Sarkozy Henri Guaino a qualifié vendredi sur RTL de "complètement fou" le "débat" suscité par la nomination de François Pérol à la tête du groupe Caisse d'épargne/Banque populaire, qui était selon lui le "meilleur candidat".
M. Guaino a nié qu'il y ait eu refus de la part de M. Pérol de s'expliquer devant la commission de déontologie, indiquant que cette dernière "n'a pas été réunie" et donc que "le conseiller n'a pas eu à refuser".
PARIS (Reuters), 27.02.09, 12h50, extrait - Le président de la commission de déontologie affirme que sa position n'a pas varié et que la nomination de François Pérol à la tête de la future deuxième banque française est a priori légale.
Dans Le Monde, daté de samedi, Olivier Fouquet indique cependant qu'il "n'est pas trop tard" si François Pérol veut saisir la commission pour lever tout doute sur la régularité de son arrivée à la tête du groupe issu de la fusion Banques populaires-Ecureuil.
"Nous sommes prêts à recevoir sa demande aujourd'hui, demain, dans quinze jours," dit-il.
Affaire Pérol : Fouquet s'explique
AFP, 27/02/2009 | Mise à jour : 09:49, extrait
Dans l'affaire de la Banque populaire et de la Caisse d'Épargne, "M. Pérol est intervenu dans le dossier pour informer le président de la République comme l'a fait le directeur adjoint de cabinet de Matignon, monsieur (Antoine Gosset-) Grainville, pour informer le Premier ministre. S'ils ont travaillé normalement, on ne peut pas dire que M. Pérol soit intervenu autrement que comme un conseiller", ajoute-t-il.
La lettre envoyée à l'Elysée rappelait la jurisprudence de la commission en la matière, en réponse à une "demande d'informations de Claude Guéant, secrétaire général de l'Elysée", explique M. Fouquet. "Je vois que personne n'y a rien compris. Ça, c'est la difficulté de la rédaction juridique".
"Là-dessus, le président de la République fait ce lapsus que je comprends très bien. La lettre est arrivée le mardi matin à l'Élysée alors que le Président, lui, rencontrait puis déjeunait avec Berlusconi à Rome. Je ne sais pas quel contact il a eu avec Guéant. Peut-être ont-ils parlé de la Commission de déontologie mais ça a dû être très très bref. Visiblement, le Président n'a pas tout compris et ses propos ont déclenché une tempête médiatique".
Economie
Publié le 26/02/2009 à 21:28 - Modifié le 27/02/2009 à 08:12 - Le Point.fr, extrait
INTERVIEW - Affaire Pérol : le président de la Commission de déontologie s'explique
L'administration téléphone tout le temps pour savoir si elle est dans un cas de saisine obligatoire ou facultative. On leur envoie alors de la jurisprudence. Par e-mail ou par téléphone pour la fonction publique d'État. Comme le rapporteur général de la Commission n'était pas là, je l'ai donc moi-même rédigée et transmise à l'Élysée. Je vois que personne n'y a rien compris. Ça, c'est la difficulté de la rédaction juridique. Là-dessus, le président de la République fait ce lapsus que je comprends très bien.
Guadeloupe : le préfet contredit le Medef
AFP, 27/02/2009 | Mise à jour : 07:18
Le préfet de la Guadeloupe, Nicolas Desforges, a déclaré jeudi qu'il "s'inscrivait en faux" contre les affirmations du Medef selon lesquelles son président, Willy Angèle, aurait été physiquement menacé par le leader du LKP, Elie Domota, durant les négociations de la veille.
"Je m'inscris en faux contre les affirmations de M. Angèle. A aucun moment, sa sécurité n'a été en cause" a affirmé le préfet.
"Lorsque M. Domota", le leader du LKP,"a eu un geste déplacé envers M. Angèle, trois policiers du RAID se sont interposés" a affirmé M. Desforges à l'AFP. "M. Angèle n'a pas été touché par M. Domota" a précisé le préfet.
"J'ai immédiatement provoqué une suspension de séance pour calmer les esprits" a-t-il précisé. "M. Angèle n'a pas été menacé physiquement", même si le président de la Fédération locale du Medef peut, selon le préfet, se plaindre "d'une attitude déplacée".
"Je déplore tous les effets de langage et j'appelle toutes les parties à un dialogue serein" a affirmé M. Desforges. Il a également dit que "la sécurité de l'ensemble des participants est assurée lors des réunions".
"J'appelle bien évidemment le Medef à retourner à la table des négociations en l'assurant que, comme par le passé, sa protection sera assurée", a conclu le préfet.
Le Medef et sept autres organisations patronales ont refusé de rejoindre jeudi la table des négociations en raison d'un "climat d'intimidation et de violences" entretenu par le collectif intersyndical.
Crise : les Yvelines lancent leur propre plan de relance
10h47 Actualité Politique | Institutions
Après le karaoké, le vélo et le jogging, Sarkozy collectionne les timbres !
C’est une nouvelle face cachée du chef de l’Etat révélée par la presse britannique : il est passionné de timbres et aurait renoué avec ce plaisir d’enfance.
11h45 Actualité France | Economie
Ces entreprises qui recrutent en période de crise
Malgré la hausse spectaculaire du chômage, certains secteurs manquent de mains d’œuvre et cherchent à recruter.
11h39 Actualité Internationale | Amérique latine
Le livre qui égratigne l’image d’Ingrid Betancourt
Trois Américains, otages des Farc pendant plus de cinq ans, publient un ouvrage dans lequel ils racontent leurs relations souvent tendues avec leur ancienne compagne de détention. Dans un ouvrage intitulé "Hors de captivité, survivre 1.967 jours dans la jungle colombienne", trois Américains, qui ont été otages des Farc, racontent leurs relations avec une ancienne compagne de détention, Ingrid Betancourt. Sans mâcher leurs mots à propos de la Franco-colombienne qualifiée notamment de manipulatrice. ...
11h27 Actualité Politique | Gouvernement
Guadeloupe : Sarkozy optimiste sur l'issue de la crise
Après 38 jours de grève, un accord a été signé en Guadeloupe dans la nuit de jeudi à vendredi. "Tout n'est pas encore résolu mais ça progresse", a déclaré le président de la République vendredi.
11h21 Actualité France | Economie
Crise : les Yvelines lancent leur propre plan de relance
Le président du Conseil général des Yvelines, Pierre Bédier, a annoncé jeudi que son département lançait un plan d'appui de 430 millions d'euros pour les filières automobile et bâtiment de son territoire.
10h58 Actualité Internationale | Europe
Italie : lourde amende contre un cartel des pâtes
L'autorité italienne de la concurrence a indiqué jeudi avoir infligé une amende globale de 12,5 millions d'euros à des fabricants de pâtes, dont Barilla, qui se sont concertés pour augmenter les prix de l'aliment favori des habitants de la péninsule.
10h48 Actualité France | Justice
Air Lib : la condamnation de Corbet confirmée en appel
La cour d'appel de Paris a confirmé vendredi la condamnation de l'ancien PDG d'Air Lib Jean-Charles Corbet à 4 ans de prison, dont 18 mois ferme, pour avoir détourné 15 millions d'euros et provoqué la faillite de la compagnie en 2003, entraînant le licenciement de ses 3.200 salariés.
09h57 Actualité France | Faits divers
Un artisan arrêté vigoureusement par erreur dans la Sarthe
A Tuffé dans la Sarthe, jeudi, une dizaine de gendarmes cerne la maison de Pascal, 40 ans, un artisan sans histoire. Ils l'arrête, par erreur. A Tuffé dans la Sarthe, jeudi, une dizaine de gendarmes cerne la maison de Pascal, 40 ans, un artisan sans histoire. Menotté devant sa famille par de véritables "cow-boys", Pascal est envoyé en prison pendant une heure et demi. En fait, il a été victime d’une "doublette". Dans le jargon policier, cela signifie que des malfrats ont utilisé une voiture "copie conforme" de la sienne. Le témoin d’un cambriolage d’un bar tabac de Châteauroux avait transmis aux enquêteurs le signalement du break vert des voleurs. Après découverte de la supercherie, Pascal et son frère sont finalement innocentés, avec peu de délicatesse. "Je demande simplement des excuses", conclut Pascal.
09h56 Actualité France | Politique
Université : nouvelle réunion sous le regard sceptique des syndicats
Les manifestants étaient environ 2 fois moins nombreux que le 19 février dernier et ce alors qu'aujourd'hui, Valérie Pécresse reçoit les présidents d'université, puis les syndicats.
La commission de déontologie pas encore saisie sur Pérol
La commission de déontologie pas encore saisie sur Pérol
Le Figaro, 26/02/2009 | Mise à jour : 19:53, extraits
La commission de déontologie n'avait toujours pas été saisie jeudi soir sur le cas du secrétaire général adjoint de l'Elysée, dont l'arrivée à la tête du nouveau groupe CEBP a pourtant été entérinée ce même jour.
Ce jeudi, la commission de déontologie n'avait toujours pas été saisie, ni par François Pérol, ni par l'Élysée. Seul le président de la commission, Olivier Fouquet, s'est exprimé «à titre personnel». Dans un courriel aux membres de la commission, ce dernier précise que «si M. Pérol s'était comporté comme se comportent habituellement les membres des cabinets ministériels, la jurisprudence de la commission lui serait applicable». En d'autres termes, son passage de l'Élysée au monde financier ne poserait aucun problème.
Sarkozy accusé de jouer l'opinion contre les juges
Créé le 09.12.07 à 11h08 | Mis à jour le 09.12.07 à 11h10, 20 minutes, extraits
JUSTICE – C'est ce qu'estime le juge Renaud van Ruymbeke dans un entretien…
Le juge Renaud van Ruymbeke accuse le président Nicolas Sarkozy de jouer l'opinion contre les juges, commettant ainsi «une erreur majeure», dans un entretien au Journal du Dimanche (JDD). [...] «Au-delà de mon cas personnel, il apparaît qu'on cherche à discréditer la justice financière, qui dérange. Il existe indiscutablement une volonté de reprise une main de la justice, par le biais notamment des procureurs», estime le juge.
Rachida Dati : lâchée au sommet, boudée à la base
LILLE
Rachida Dati : lâchée au sommet, boudée à la base
Publié le jeudi 26 février 2009 à 14h18, Nord Eclair, extrait
Drôle d'ambiance pour la visite de Rachida Dati au tribunal de Lille... Lâchée par le président de la République qui l'a contrainte à accepter une deuxième place sur la liste UMP aux Européennes en Ile-de-France, Rachida Dati n'est plus ministre de la justice que pour quelques semaines.
Cet après-midi, elle était en visite au tribunal de grande instance de Lille où les magistrats, dans leur quasi totalité, ont boudé son déplacement.
A l'entrée du palais de justice, des magistrats distribuent des tracts jaune fluo dans lesquels ils expliquent les raisons de leur mouvement de grogne. Pas question pour eux de remettre en cause l'utilité du bureau d'aide aux victimes du tribunal de Lille, inauguré localement en janvier, et que Rachida Dati est venue visiter. C'était le prétexte de son déplacement.
Qu'ils soient membres du Syndicat de la magistrature, de l'Union syndicale des magistrats ou non syndiqués, ils tenaient par leur boycott à dénoncer "une nouvelle opération de communication sans que pour autant les problèmes de fond que traverse notre institution actuellement ne soient abordés". La venue, le matin même, du directeur adjoint de cabinet n'a pas pu déminer le terrain.
Dati : "le droit des victimes, 1e droit"
AFP, 26/02/2009 | Mise à jour : 16:59
La garde des Sceaux Rachida Dati a déclaré que le "droit des victimes (était) le premier des droits de l'homme", à l'issue d'une visite pendant laquelle elle a été interpellée par deux avocats sur le droit des prévenus et le projet de loi pénitentiaire.
Lors d'une visite au tribunal de grande instance pour évoquer la politique d'aide aux victimes depuis mai 2007, une visite que l'Union syndicale des magistrats avait appelé à boycotter, Mme Dati a été interpellée, lors d'une séance de questions avec la salle où elle venait de discourir, par deux avocats notamment sur le droit des prévenus et le projet de loi pénitentiaire.
Faut-il miser sur UBS ?
Placements
Faut-il miser sur UBS?
Le patron de Swissquote, Marc Bürki, conseille d'attendre avant d'acheter des actions UBS, même si elles sont au plus bas. Sauf pour les spéculateurs au coeur bien accroché
Le Matin - le 25 février 2009, 21h57
Image © DR
UBS : une bourde informatique à 36 milliards de francs
Injures et menaces : les employés de banque face à la montée des incivilités
LE MONDE | 24.02.09 | 14h08 • Mis à jour le 24.02.09 | 17h41, extrait
La crise financière a-t-elle envenimé les relations que les Français nouent avec leur banque ? "Ils sont à peine dans la file qu'ils commencent à g..., raconte Sylvie (les prénoms des personnes interrogées ont été modifiés), employée d'une agence de la Société générale à Paris. Hier, je me suis fait traiter de connasse. Dix minutes après, une personne âgée a brandi son parapluie contre moi."
Olivier, au guichet d'une agence de la BNP à Bois-Colombes (Hauts-de-Seine), tempère : "La violence verbale éclate tout de suite, reconnaît-il, mais la pharmacienne à côté affronte les mêmes difficultés."
Les motifs de colère ont été répertoriés par les syndicats : refus de sortir de l'argent, refus de chèque, frais jugés exagérés, erreur de la banque, attente au guichet, saisie arrêt sur le compte...
Hausse sans précédent du nombre de chômeurs
B.H. (lefigaro.fr) avec agences, 25/02/2009 | Mise à jour : 21:05, extrait
Le pire n'était donc pas derrière nous : la hausse record du nombre de chômeurs enregistrée en novembre a été battue en janvier. Avec 90.200 demandeurs d'emplois en catégorie 1 supplémentaires en janvier, Pôle emploi enregistre une hausse du chômage de 4,3% par rapport au mois de décembre. Une hausse sans précédent, qui bat largement le «record» atteint en novembre dernier (+64.000). En augmentation de 15,4% par rapport à janvier 2008, le nombre de demandeurs d'emplois s'établit désormais à 2,204 millions.
Entreprises / Banque
Erreur boursière
UBS fait une erreur à la Bourse de Tokyo de... 31 milliards de dollars !
La Tribune.fr - 25/02/2009 à 10:59 - 154 mots, extrait
Du coup, comme la loi boursière japonaise l'y autorisé, UBS a demandé aux autorités financières nipponnes d'annuler ces ordres. Le Tokyo Stock Exchange (TSE) a annoncé etudier ce dossier pour voir si la législation s'applique dans ce cas précis.
Super-contribuable, par Chappatte
chez Globe Cartoon, 12/2008
Economie
UBS: une bourde informatique à 36 milliards de francs
LeMatin.ch & les agences, le 25 février 2009, 13h55
Les courtiers ont donné mardi des ordres erronés (achat et vente) pour des emprunts convertibles de Capcom Co, un groupe nippon de jeux vidéo, a indiqué mercredi la Bourse de Tokyo. Capcom produit la célèbre série de jeux de combat "Street Fighter".
Le Tokyo Stock Exchange (TSE) a reçu de l'UBS une demande d'annulation, qu'il va examiner. Selon un porte-parole du TSE, cet incident chiffré à 3000 milliards de yens aura en principe peu d'impact, car l'opération a été faite hors Bourse.
Le producteur de jeux a reçu des excuses de la part du Tokyo Stock Exchange pour les éventuels désagréments. De son côté, la grande banque a expliqué que le placement non désiré avait pour origine un problème technique de programmation.
Faute de frappe
AZF, quatre mois de procès pour un étrange accident
Sarkozy recule en semant des billets
Dimanche 22 Février 2009 - 07:00, marianne2.fr, extrait
94° semaine de Sarkofrance. La crise a provoqué une grave défaite idéologique du Président et de son programme électoral. Sarkozy navigue à vue, et surtout à l'esbrouffe, sans vraie cohérence.
La crise économique a sonné le glas du programme présidentiel. Chaque semaine, le président français est contraint au recul : des manifestations bruyantes à chacun de ses déplacements, des ministres ou secrétaires d'Etat désavoués et épuisés, une protestation qui s'étend. La machine sarkozyste s'enraye.
AZF, quatre mois de procès pour un étrange accident
Par Cyrille Louis, envoyé spécial à Toulouse
Le Figaro, 20/02/2009 | Mise à jour : 19:28, extrait
L'explosion d'une usine d'engrais à Toulouse en septembre 2001 avait provoqué la mort de 30 personnes. Les causes du drame sont au cœur du débat.
À l'origine, il y eut treize petits mots qui, avec huit ans de recul, apparaissent comme le péché originel d'un dossier judiciaire hors norme. Le 24 septembre 2001, soit trois jours seulement après l'explosion de l'usine AZF, le procureur de Toulouse, Michel Bréard, assène à une population sous le choc : «Nous privilégions à plus de quatre-vingt-dix pour cent la piste accidentelle.» Dans la Ville rose martyrisée, les thèses les plus folles ont commencé à circuler, et le magistrat cherche, on peut le penser, à calmer les esprits. Sans succès : en donnant le sentiment d'écarter prématurément, et sans explication convaincante, les autres scénarios envisageables, il vient, au contraire, de lever un vent de soupçon qui, à l'heure où doit s'ouvrir le procès de la catastrophe, n'est aujourd'hui encore pas complètement retombé.
Le 21 septembre 2001, dans les minutes qui ont suivi l'explosion de cette usine d'engrais qui fera 30 morts, une multitude de récits, souvent dantesques, s'est répandue à travers la ville. «On était dix jours après les attentats de New York, le plan Vigipirate venait d'être renforcé et tout le monde ne pensait qu'à ça», se rappelle le président de l'Association des sinistrés du 21 Septembre, Frédéric Arrou. Qui raconte : «Quelques instants seulement après le tremblement de terre, j'ai croisé une femme qui m'a dit : “Il y a eu deux attentats, l'un place du Capitole et l'autre place Saint-Georges.” Pour la première fois - je m'en souviens comme si c'était hier -, je venais de découvrir le visage inquiétant de la rumeur.»
Bataille de mémoires autour d'AZF
LE MONDE | 21.02.09 | 13h42 • Mis à jour le 21.02.09 | 13h42, extraits
Depuis sept ans, les associations de victimes et l'association des anciens salariés, qui revendique plus de 600 adhérents, se tournent le dos. "Il y a une déchirure profonde entre salariés et riverains" déplore le maire de Toulouse, Pierre Cohen (PS). Il veut croire que le procès-fleuve qui s'ouvrira le 23 février permettra "une cicatrisation". Voire...
Elie Domota : « Sarkozy entend mais ne répond pas »
Dimanche 22 Février 2009
"L'innocence des piranhas"
Le Journal du Dimanche, extrait
Gloss, le nouveau film d'Andreï Konchalovsky, 70 ans, est une fresque en forme de farce cinglante sur le milieu de la mode moscovite, parodie grossière de la mode occidentale. Illuminé par le jeu pétulant de l'actrice Yulia Visotskaïa, le film révèle surtout une Russie profondément secouée par le capitalisme. Un pays sauvage où le cynisme et l'argent sont rois.
Quel est le point de départ de Gloss ?
Il est très difficile de répondre à une telle question. Il arrive qu'un film naisse d'une seule image, d'une pensée furtive dans laquelle on rêve une grande histoire... Au départ de Gloss, il y a sans doute ma déception de spectateur face à d'autres films sur la mode. Prêt-à-porter, par exemple. Cela n'avait pas grand chose à dire sur le cynisme qui règne sur ce petit monde très puissant, où tout est d'abord marché. Le phénomène des magazines "papier glacé" révèle, selon moi, une désintégration des consciences des civilisations nouvelles. L'image y est devenue plus importante que les mots. Même les sportifs ont besoin d'une image, ce n'est plus la question qu'ils jouent bien ou pas. Comme si c'était l'image qui faisait d'eux des professionnels. On vit dans une diarrhée des images, une idéologie édictée par MTV.
A lire sur leJDD.fr
« Business as usual »
Édition du Dim 22 fév. 2009, DNA, extrait de l'édito
Les droits de l'homme en Chine ? Voilà un sujet qui fâche, à aborder obligatoirement, bien que timidement, par les dirigeants européens en déplacement à Pékin s'ils ne veulent pas encourir les foudres des bien-pensants ! En revanche, les Etats-Unis ont beaucoup mieux à faire en Chine. Sous l'administration Bush comme sous l'administration Obama, ce sera toujours le même principe : « business as usual ». Bref, les affaires, rien que les affaires...
C'est du moins l'impression qu'a donnée Hillary Clinton durant son séjour pékinois. La secrétaire d'Etat a soigneusement évité tout ce qui, selon elle, relève de la « politique intérieure » chinoise pour caresser les dirigeants de la République populaire dans le sens du poil en parlant le seul langage qu'ils veulent entendre. Celui du pragmatisme convenant aux relations entre les deux plus grandes puissances mondiales.
Caisse d'Epargne: réunion à l'Elysée hier
AP, 22/02/2009 | Mise à jour : 12:59
Une réunion s'est tenue hier à l'Elysée sur le projet de fusion entre les Caisses d'épargne et les Banques populaires, a-t-on appris auprès de l'Elysée. Selon plusieurs quotidiens dimanche, le secrétaire général adjoint de l'Elysée François Pérol pourrait prendre la tête du nouvel ensemble.