Mot(s) clef: famille de boches
De l'identité Nationale à l'identité Juive, que de débats
Hier, sur France Info, j'entendais le discours de ce qui pouvait être une association juive. Je n'ai pas retenu de nom et je n'ai pas eu le temps d'enregistrer ce son que je ne retrouve pas sur Internet. J'apprenais que des juifs dont les noms ont été francisés souhaiteraient maintenant obtenir plus facilement des modifications des fichiers de l'état civil, pour renouer avec leurs origines, renforcer leur identité. Un nom et l'état civil sont-ils porteurs de sens ? En surfant ici et là, on apprend qu'à travers l'histoire, nos assemblées ont souvent débattu de ces sujets, la francisation des noms des populations immigrées ou des noms étrangers, de noms difficiles à prononcer, des prénoms ridicules également. J'ai repéré des ouvrages intéressants, plutôt vieux, onéreux ou indisponibles à la vente. Le sujet est bel et bien d'actualité ; hier, en rubrique Société, Libé publiait « Avec cette francisation, je me suis senti étranger ».
Mais selon l'arrêt rendu ce 15 courant, par Versailles, ces débats n'ont probablement pas lieu d'être. Tout ce que j'ai entendu ou lu dans l'actu depuis hier, lu aujourd'hui sur la toile, par exemple, dans quelques extraits de livres d'historiens ou de droit, ce n'est pas vraiment avéré, c'est tout juste virtuel, irréel, au moins numérique ou simplement diffusé par Radio France. Même ce qui est écrit noir sur blanc, sur du papier, dans mes piles et mes étagères, c'est irréel, à oublier, voire même à faire brûler, à détruire. Qui accorde encore une quelconque importance à l'état civil et à ces noms, à l'histoire des contraintes exercées sur ces derniers, voire même sur certains sujets, du fait de leurs noms ? Certainement pas les magistrats professionnels du coin.
Depuis que j'ai lu cet ultime arrêt rendu ce 15 courant, par Versailles, j'ai eu de nombreux doutes. Sur Wikipédia, j'ai bien relu que Klaus, Papon et Touvier ont été condamnés. J'ai aussi lu encore que « Jacques Chirac a consacré plusieurs de ses discours au sort des Juifs de France » ; on peut le lire ici. Un peu plus loin, on peut même lire que « Le Président de la République française, Jacques Chirac, a inauguré le 25.1.2005 à Paris le `' Mémorial de la Shoah " ». Est-ce bien sérieux ? Certaines de ces condamnations sont anciennes, mais quelques discours de Jacques Chirac seraient plus récents. Il n'est pas sûr qu'ils aient porté partout. J'ai maintenant assez hâte de feuilleter Parquet et politique pénale depuis le XIXe siècle, ce collectif paru en 2002. Quelques pages pourraient être consacrées à des périodes plus glauques du passé, comme « Vichy », « l'Algérie », etc.
Par le passé, j'ai manifesté devant le mémorial de la Shoah. Je ne suis pas passé inaperçu, j'avais un écriteau autours du cou : « j'ai couché avec une allemande ». Il y a eu des discussions et la police est évidemment passée, ce jour là. Une dame m'a houspillé, j'apprenais que c'était kipour. Mais je suis resté digne, avec mon écriteau autour du cou. Après m'avoir écouté puis après ses propres vérifications, la police ne m'a pas embarqué. Depuis, je suis parfois retourné au mémorial ; j'ai prévu de m'y rendre encore, dans 10 jours.
Parfois, tout vacille lorsqu'on a été confronté à des discours ou à des écrits de révisionnistes, de négationnistes. Je doutais et devais faire une vérification dans le livret de famille de ma fille Justine ; elle en voulait une photocopie, ce dont la Dass et la chambre des créatures inférieures de Versailles ont fait tout un fromage. J'ai bel et bien couché avec une allemande, quand à cette gosse, pour certains, ce sera bien une enfant de boches. Elle est sûrement très à l'aise, à Hagenau plutôt qu'à Bagneux, de l'autre côté des Vosges, parmi ou moins loin d'autres schleus.
Peut-on rire, en France, après la Shoah ? Oui, beaucoup même, par exemple en lisant le Charlie hebdo qui paraissait hier. La chancellerie ne m'a pas répondu ; en septembre dernier, j'écrivais à la Garde des vélodromes. Souvent, je me demande pourquoi des français auraient souhaité priver Papon de sa médaille ; n'a-t-il pas été enterré de l'autre côté du périph ? Ces jours-ci, Monseigneur Williamson fait encore un carton, sur dailymotion ; est-ce bien réel ? Sur le Parisien, je lis : « En réponse à une question, il dit qu'il est poursuivi en Allemagne pour avoir "mis en question les six millions de juifs gazés. Et le mettre en question, c'est un crime, selon le droit allemand, donc ils m'attaquent". » Mais en France, aujourd'hui, on rigole plus volontiers d'autres sujets, tel que celui de la burqa ou du voile.
La burqa s'invite aux vœux de Sarkozy
AFP, 21/01/2010 | Mise à jour : 20:10, extrait
Les responsables religieux ont présenté aujourd'hui leurs voeux au président de la République à l'Elysée et parlé du voile intégral, le représentant de l'islam Mohammed Moussaoui redisant son opposition à une loi d'interdiction.
Charlie hebdo du 20/1/2010 et un livret de famille de boche délivré par la ville de Paris
Retour sur... la procédure de prise à partie
Comme je l'exposais, il y a peu, à la cour d'appel de Versailles, je ne parlerais plus de la procédure de prise à partie si ce n'était pas à mon avis utile à des démonstrations dont certains ne veulent pas entendre parler. En effet, je connais des magistrats professionnels qui n'en démordront peut être jamais, préférant se raccrocher toujours à des opinions de quelques travailleurs sociaux, d'un psychiatre et d'un psychologue, d'un pasteur et d'un corbeau également. Pourquoi pas ?
L'arrêt rendu par la cour de cassation est publié depuis de longs mois déjà, dans cette archive.
Par le passé, j'avais échangé des mails avec Pascale Robert-Diard - ping, pong ping... puis, plus rien ; elle a pu perdre sa raquette ou cherche encore la balle. Elle aurait souhaité prendre connaissance du rapport fait par la cour de cassation, il est là. Lorsque je le relis, je me dis que je reviens de très loin, sans une égratignure et sans même avoir eu un avocat pour cette procédure. Je remercie cependant G., il m'a poussé puis bien aidé sur cette voie alors que je connaissais assez bien le statut de la magistrature avant de m'y aventurer. Au cours de cette procédure, tout a vacillé, la manière dont se défend ensuite le juge pour enfant en attestera, voir son mémoire. L'essentiel de ce que j'ai déposé doit être là.
Le juge qui se défendait contre moi demandait une indemnité de 2 500 euro, sur le fondement de l'article 700 du NCPC. La réponse rendue en décembre 2008, par la cour de cassation, me semble être assez claire : « Vu l'article 700 du code de procédure civile, rejette la demande ; » A cette période, certaines sphères avaient déjà beaucoup débattu des possibilités de recours d'un justiciable ou d'un citoyen « contre un juge ». Mais c'est bien autre chose qui m'intéressait.
En effet, l'arrêt est motivé, rappelle des textes organiques, c'est rassurant ; ce pourvoi ou même cette requête à la première présidence auraient du être déclarés irrecevables. Je suis passé à travers quasi toutes les tranches et tous les trous du gruyère, j'étais tout en haut. J'agissais d'un côté tout en travaillant aussi sur d'autres terrains. Je lis et je fais un peu de tout mais je reste surtout focalisé sur l'assistance éducative, un monde ou un théâtre bien à part où les rideaux ne sont jamais tirés, rien n'y passe au travers si ce n'est un peu de brume ou, parfois, de petits cris d'acteurs « qui n'en peuvent plus ».
En retombant, les effets de la procédure de prise à partie sur la procédure d'assistance éducative ont été inespérés. Il y a d'abord eu des sommations de juger, une audience chez le juge pour enfant, un petit reportage sur France 2 en juin 2008, puis un changement de juge pour enfant, en octobre 2008. Justine et nous pouvions renouer, puis passer l'été 2009 en famille, ce qui ne s'était plus produit depuis 2004, malgré les intentions bienveillantes du pasteur d'Uhrwiller... La chambre des créatures inférieures de la cour d'appel de Versailles n'a jamais voulu en entendre parler.
Un autre document suivra d'ici quelques jours, l'avis du ministère public, exprimé dans le cadre de cette procédure de prise à partie. Je pense que je l'ai fourré dans une pile de journaux ou dans une étagère, je finirais par remettre la main dessus ; j'ai bien retrouvé un jour une correspondance que m'avait adressé Ségolène Royal, aux alentours du printemps 2007. J'aurais pu formuler des observations après réception de cet avis du ministère public, ce que je n'ai pas fait. A l'audience publique, le 2 décembre 2008, auprès de la première chambre civile, tout s'est très bien passé.
Aujourd'hui, lorsque je relis ce rapport de la cour de cassation, je me dis que le nouveau juge pour enfant aurait peut être du convoquer une audience lorsqu'il a reçu le rapport de l'ARSEA, en novembre dernier. En effet, la cour d'appel vient elle même de rendre un arrêt selon lequel il y aurait depuis un certain temps des éléments nouveaux au dossier du juge pour enfant de Nanterre. Ce dernier attendait-il la décision qu'allait rendre Versailles ? Ca passionnera peut être un jour des juristes ou des polémiciens ; je ne vais pas rouspéter. Je vais tranquillement écrire à nouveau à Nanterre, puis y discuter encore de tout ce qui s'est passé, depuis l'été dernier. Il y aura une prochaine audience, au plus tard, en juillet 2010.
Mais à vrai dire, qu'il y ait maintenant ou non une prochaine audience m'indiffère, que ce soit au cours des prochaines semaines ou même en juillet 2010 ; je ne me précipite même pas sur du papier pour écrire à Nanterre. En décembre dernier, la Cour m'a bien confirmé que ce « placement » sera prorogé jusqu'à la majorité de Justine. Il s'agissait donc bien d'une « solution durable », comme me l'écrivait la Dass, début 2003, quelque chose d'approprié au traitement tout à fait spécifique ou au « sauvetage » de Justine, une enfant de boches. En 2005, Claire Davidson disait aussi à Justine qu'elle ne rentrerait plus jamais à la maison, peut être un peu comme si nous n'étions plus là, comme si nous n'existions plus, comme si sa famille naturelle avait un jour été poussée dans un wagon. Si c'était là la volonté du dieu sûrement très juste et bon du pasteur et de sa soeur le corbeau, qu'il en soit ainsi. Bien sûr, des professionnels de la Dass et de cette infra-justice « pour mineurs » martèleront que ces « placements » ou « solutions » ne sont que « provisoires » voire « transitoires », qu'il y toujours lieu de « se battre pour un enfant » et que tout peut un jour s'arranger... y croient-ils eux même ?
Certains ont pu s'apercevoir qu'au cours de l'année 2009, j'ai souvent écrit à certaines autorités françaises, y compris au chef de l'Etat français et à l'AFP aussi. Toutes mes correspondances et envois sont restés lettre morte. A vrai dire, toutes mes correspondances et envois à ces autorités restent lettre morte depuis l'été 2007. Il n'y a quasi plus que le Trésor public français et des prétoires « pour mineurs » qui se rappellent encore de mon adresse. La clique à Morano m'a encore écrit il y a quelques temps ; mais c'est encore différent, je crois qu'ils sont en nécessité à l'UMP, leurs adhérents seraient en train de crever. Je vais éviter ces attroupements là, je ne suis pas vacciné contre H1N1.
Cette semaine, la petite a reçu une carte pour son anniversaire et les voeux usuels à cette période de l'année. La plume sur cette carte est bien différente de celle qui a rédigé les deux emails qui ont été envoyés « par Justine », depuis la boite mail du pasteur, puis versés à la fin de l'été dernier, au dossier « d'assistance éducative ». Comme je l'ai écrit dans mes dernières conclusions, je pense que Justine sera très bien à l'internat scolaire, peut-être un peu moins sous l'empire du pasteur d'Uhrwiller. Après ses 18 ans, Justine pourra faire et aller où bon lui semblera ; elle pourra alors exiger encore et le pasteur pourra « dire » et « expliquer », mais je serais assez surpris que Versailles les suive alors encore.
La réforme du CSM en retard (MAM)
AFP, 21/01/2010 | Mise à jour : 14:16, extrait
La ministre de la Justice, Michèle Alliot-Marie, a reconnu que la mise en oeuvre de la réforme du Conseil supérieur de la magistrature (CSM) risquait d'être retardée, en raison du calendrier parlementaire. "Je tiens à une mise en place rapide de la réforme", a déclaré la garde des Sceaux lors de ses voeux au monde judiciaire. Mais il faut aussi "que le Parlement ait le temps d'en discuter".
International
La Cour suprême birmane examine un recours d'Aung San Suu Kyi
AP | 18.01.2010 | 07:54, extrait
La Cour suprême birmane a commencé lundi à examiner la requête des avocats d'Aung San Suu Kyi qui contestent sa condamnation à 18 mois supplémentaires d'assignation à résidence. Une décision est attendue dans la semaine.
Libertés et sûreté dans un monde dangereux
Mireille Delmas-Marty
Sciences humaines / Droit
Date de publication : 04/02/2010
EAN13 : 9782021005363
Le monde est dangereux. Aujourd’hui, à l’heure du terrorisme, des effets conjugués de la pauvreté, de la maladie et des guerres civiles, les États doivent faire face à de nouveaux défis : une menace pour l’un d’entre eux est une menace pour tous. Si les dangers ont existé de tout temps en tous lieux, les attentats du 11 Septembre en ont sans doute changé la perception. Si bien que les responsables politiques se trouvent libérés, symboliquement et juridiquement, de l’obligation de respecter les limites propres à l’état de droit. Dès lors, l’enchevêtrement des espaces normatifs (nationaux, européens et mondiaux) induit des mouvements d’autant moins contrôlables qu’ils échappent de plus en plus aux États. Ce livre explore cette nouvelle donne et l’incertitude des réponses face aux dangers bien réels que courent les personnes, les États, voire la planète tout entière. Au-delà, il s’interroge sur les voies qui s’ouvrent à nous : sociétés de la peur ou communauté de destin ?
Une petite lettre au juge pour enfant
Il m'arrive de temps en temps de passer à la Poste. J'expédierais ce qui suit. Suivra la quille, fin 2011.
Monsieur le juge pour enfant,
Après l’été dernier, je souhaitais vous saisir, mais vous considériez alors qu’il n’y avait pas d’éléments nouveaux au dossier d’assistance éducative de ma fille Justine. La cour d’appel de Versailles vient de rendre un arrêt, suite à mon appel de votre jugement du 16 juillet 2009. Selon cet arrêt, aujourd’hui, il y aurait éventuellement des éléments nouveaux au dossier de ma fille Justine. La lecture de cet arrêt et de ses motivations me laisse assez sceptique mais je ne déclarerais pas de pourvoi pour celui-ci.
Dans ma dernière correspondance à votre attention, je vous informais, entre autres, que Justine pourrait avoir des problèmes de santé. Je le soulignais encore dans mes plus récentes conclusions, déposées en décembre dernier, à Versailles. Mais j’ai le sentiment que cela n’a pas été perçu. Justine avait déjà des difficultés ainsi que des problèmes de santé, par le passé, lorsqu’elle était placée à l’OSE France ; mais cela n’avait pas été entendu non plus (voir en pièce jointe, une lettre du 5 janvier 2005, de Monsieur Richard Josefsberg).
Aujourd’hui, la Dass attacherait une certaine importance à l’avenir ainsi qu’à la scolarité de ma fille Justine. Je pense qu’il serait donc également important de se soucier aussi de ses problèmes de santé.
Le prosélytisme religieux « pas avéré »
A la suite, un extrait d'un bulletin scolaire alsacien qui m'a été très fièrement communiqué par le pasteur d'Uhrwiller, il y a très longtemps, alors qu'elle était conviée auprès de la chambre des créatures inférieures de Versailles. A l'époque, auprès de la Cour, le pasteur démontrait qu'elle avait obtenu la garde d'une élève « studieuse » ; depuis 2008, quelqu'un envisage de « l'orienter », peut-être ses enseignants, à moins que les professionnels de l'ARSEA. Mais passons, c'est la Dass.
Hormis ce bulletin scolaire, depuis 2005, je n'ai plus reçu un seul document - scolarité, santé, etc - concernant ma fille aînée. Depuis 2005, de temps en temps, j'ai eu des nouvelles de ma fille par voie de presse, comme je l'écrivais encore en en janvier 2009. Avant le placement de ma fille au presbytère protestant d'Uhrwiller, je devais supplier les travailleurs sociaux de l'OSE France pour qu'on me communique parfois de tels documents ou informations. Lorsque ma fille Justine a été « placée » à Uhrwiller, au presbytère, les juges m'ont prié de « ne pas troubler la tranquillité de Julie ».
Mais aujourd'hui, je pense qu'il n'y a plus qu'une unique « difficulté » à retenir : très récemment, ce vilain père, « d'une rigidité absolue », a refusé de communiquer une photocopie d'un livret de famille de boches.
Fuck la Proküratura française
En novembre dernier, je pensais que j'en avais fini avec la promotion de ce son de Lilly Allen. Mais aujourd'hui, après avoir lu le Parisien du 5, je n'hésite plus à le republier, un extrait de Fuck You (very much), maintenant bien connu :
Que nous a dit cette mère, par l'intermédiaire des plumes du Parisien ? « Je voyais ma fille souffrir et je ne pouvais rien faire ». J'imagine assez facilement la scène des cadres qui volent en éclat et des prédateurs qui s'acharnent, dans une grande confusion d'indifférence et d'effroi général. Cette mère aura du se débrouiller toute seule, peut-être un peu comme lorsqu'un juge pour enfant et qu'une cour d'appel sont saisis. Je publiais la photo qui suit au retour de Versailles, début décembre dernier, avec mon compte rendu d'audience et les conclusions que je venais de déposer :
Loisel, son chat et ses hiboux, dans des cadres distincts
On ne peut pas comparer ni faire un quelconque rapprochement entre ce qu'ont eu à endurer cette mère et sa fille, en Seine et Marne, et ce que mes enfants et ma famille avons eu à endurer au cours de ces sept longues dernières années. La situation de ma famille est différente ; un enfant n'est plus là, ma fille aînée a été « placée » ou « sauvée » par la Dass. En Seine et Marnes, cette fillette « s'est faite bouffer » en quelques interminables minutes seulement. Car certains reprocheront à cette enfant d'avoir couru et d'avoir donc excité ces chiens ? Par chance pour elles, pour se défendre, sa mère avait son sac à main. Pourvu qu'aucun chien n'ai de séquelles, des défenseurs de la cause animale pourraient sous peu se retourner contre cette mère et cette fillette. Des professionnels du social relèveront-ils d'abord un terrible trouble de la relation mère-enfant ? Qu'en diraient Claire Davidson, « psychologue », « spécialiste » de la petite enfance, Richard Josefsberg et Thomas Resch, des éducateurs spécialisé ? On pourrait aussi questionner quelques comportementalistes ou des dresseurs de fauves, ce serait alors une tâche pour un juge d'instruction ou, de nos jours, pour le parquet. Ah, si j'avais eu un sac à main en janvier 2005, j'aurai pu frapper plutôt que de tenter de porter plainte...
Que souhaite maintenant cette mère de Seine et Marne, des « investigations », puis un « procès » ? De quoi se plainte-elle au juste ? Selon ce Parisien, « Personne ne les a aidées, aucun des clients n’a appelé les secours [..]. C’était comme si elles ne comptaient pour rien. Le patron les a laissée partir seules, avec la fille qui saignait dans ses bras. Voilà ce qui lui laisse le plus de séquelles… » Je crois que quelques professionnels ne manqueront pas de renvoyer d'abord cette mère vers un psychiatre, pour une bonne thérapie. D'autres relèveront peut-être qu'aucune « cellule psychologique » ni aucun ministre n'ont été dépêchés sur place ? Mais il peut toujours arriver des choses pires dans la vie, ce que des rescapés ou des descendants de déportés confirmeront. Je pense que des artistes tel que les Giraud confirmeront aussi. D'ailleurs cette fillette et cette mère de Seine et Marnes s'en sont toutes les deux plutôt bien sorties ? Je me doute cependant de ce que pourrait en penser Francis Gillery avec qui j'ai pu discuter quelques instants « d'expériences singulières », fin janvier dernier, au mémorial de la Shoah.
Cette semaine, j'ai encore eu des nouvelles de cette blogueuse, Madame Muller, ses enfants sont également « placés » - ou plutôt, éparpillés sur le territoire français ? Elle dit ressortir d'un entretien avec la police. Elle affirme avoir porté plusieurs plaintes en raison de non représentations d'enfants. Elle dit maintenir ses plaintes et dit avoir le sentiment qu'elles font depuis quelques temps « le ping-pong » entre un parquet du nord et un parquet du sud de la France. Ces jours-ci, elle se plaignait aussi de ne pas pouvoir accéder aux dossiers du juge pour enfant et de l'ASE, elle semble essuyer à chaque fois comme des fins de non recevoir. Je pense que cette histoire ou de tels déboires, kafkaïens, pourraient plaire à Jean-François Copé ainsi qu'à Eric Woerth, ils recenseraient ce genre de difficultés « administratives » ? A mon avis, cette mère n'est pas réellement en demande d'un « procès », je crois plutôt qu'elle souhaiterait que ses enfants soient un jour rapprochés. Mais vu le « travail » déjà accompli par la Dass, cela me semble pour le moment assez improbable. Certains pourraient un jour prier cette « pas contente » d'aller se faire soigner aussi. Mais les enfants de cette mère sont vivants ; dans ce genre de situations, d'autres encourageraient plutôt les parents à « se battre » et même « jusqu'au bout » ? Bienvenu au pays où Ubu est roi. D'ici quelques années, si ce « traitement » persiste, cette mère pourrait effectivement être mûre pour l'asile. Quelle importance, nous dira-t-on, car ses enfants auront pleinement « profité » de l'aide de la Dass ?
Juillet 2005, un enfant de 15 ans et demi, 30kg seulement...
ou tel que « sauvé » par l'OSE France, Nanterre et Versailles
S'il y avait eu des vagues en 2004 ou en 2005, il y aurait déjà eu un très bon scandale, de ceux dont nos élus ne veulent pas, Philippe Bas pourrait confirmer. Mais des professionnels de la Dass et des magistrats ont alors pu estimer que cela ne suffirait pas... à moins qu'ils aient supposé qu'il était alors préférable de tout balayer alors sous le tapis ? Depuis ce temps, la bosse sous ce tapis est devenue très épaisse ; ça jure, sur fonds de nombreux naufrages et fiascos judiciaires. A cette période là, 2005, une affaire glauque à Drancy avait déjà beaucoup émue. Drancy, Outreau puis Anger avaient même impulsé des réformes, un « appel des 100 », des voeux pieux, un travail balayé plus tard par l'UMP.
La Moldavie française,
un pays où les pourris et les filous sont rois
Je crois qu'il n'est plus la peine que j'en ajoute. Maintenant ce serait très certainement à d'autres d'assumer, d'oser ou de se risquer un jour à répliquer, par exemple, ceux qui ont toujours su faire montre de tant d'assurance, à huis-clos, ou lorsqu'ils rédigeaient puis expédiaient un rapport, une note ou une correspondance au juge pour enfant ou à la cour d'appel ? Qu'en dira Michèle Aliot-Marie ou MAM, Garde des vélodromes, des sceaux, Ministre de sa justice, de libertés ou quelque chose de cette nature ? En toute logique, elle soutiendra les juges et son ministère public, plusieurs substituts, procureurs et procureurs généraux ; je pense qu'elle sera très rapidement en difficulté, ce sera drôle. Si MAM ne savait plus quoi dire, elle pourrait solliciter Rachida Dati ainsi que Pascal Clément, Philippe Bas, Jean-Marie Bockel et Nadine Morano ; ses discours n'en seront que plus hilarants et obscènes. Que lâcheront encore les résidents du château ? Ils feront sûrement encore le bonheur des humoristes de tous bords. Roger Rajnzylberg, Directeur Général de l'OSE France, reprendra-t-il que les comptes de l'OSE France sont « certifiés par deux commissaire aux comptes » ? Jean-François Guthmann, Président de l'OSE France, va-t-il très cordialement m'inviter à porter plainte ? Il suivra alors une très franche rigolade, surtout si l'OSE France ajoute encore une fois que ses comptes sont « régulièrement déposés en préfecture en respect des dispositions légales ». J'attends aussi d'entendre le Président de l'ARSEA Alsace ou nos médias, journalistes, élus et professionnels de sa justice nous parler à nouveau de « logique citoyenne » ainsi que de « respect », surtout de « respect des autres », nous ne rirons que plus. A Gouvieux, les gaulois défendaient la famille d'accueil. Que fera Alfred Slovencik, maire d'Uhrwiller, prendra-t-il la défense du pasteur du village ? Entendrons nous prêcher Madame Clementz, soutenue par sa soeur, corbeau ou tata de la Dass, et son mari, médecin généraliste ? Que feront l'Eglise, les rabins et le CRIF, vont-ils défendre l'OSE France, l'ASREA Alsace et l'ASE du 9-2 ? Je pense qu'ils devront très vite défendre aussi l'association SOS Villages d'Enfants et leur ambassadrice ou marraine, Laurence Ferrari. A l'Unicef et à la mairie de Paris, ils devraient râler aussi, je pourrais leurs avoir gâché une très grande fête, en novembre dernier, celle des 20 ans de la Convention Internationale des Droits de l'Enfant. A toutes ces railleries et complaintes devraient aussi s'ajouter celles des syndicats de professionnels de la justice, de la police, du Ministre de l'Intérieur, des syndicats de « psychologues », de victimes, de travailleuses familiales et de gorets du social également. De nombreuses voix pourraient s'élever ou rester encorde absentes du champ médiatique, nos polémiciens et journalistes ou scribouillards seront susceptibles d'avoir encore du pain sur la planche. Puis suivront ensuite les conclusions des Etats généraux de l'enfance, cette année-ci, patronnés par notre chantre en personne ? Pauv' pays, où les chats américains sont certainement mieux lotis.
Eric Besson : "Je n'ai pas fait le jeu du Front national"
LE MONDE | 06.03.10 | 12h54, extrait
Après avoir lancé le débat controversé sur l'identité nationale, Eric Besson s'est fait plus discret. Le ministre de l'immigration, de l'intégration et de l'identité serait-il en disgrâce, obligé de se brider ? Il nie et repart à l'offensive : "C'est le tabou et non le débat qui entretient les mauvais instincts", assure-t-il en annonçant la tenue d'un colloque le 8 avril.
Mis à jour 07-03-2010 13:46, Metro France, extraits
Xavier Bertrand attaque le bilan "nul" du PS à la tête des régions
A une semaine du premier tour des élections régionales, le secrétaire général de l'UMP Xavier Bertrand est monté avec force au créneau dans une interview parue ce dimanche 7 mars dans "Le Parisien/Aujourd'hui en France". Interrogé sur le bilan des socialistes à la tête de la quasi-totalité des régions depuis cinq ans, le député de l'Aisne ne le qualifie pas seulement de mauvais, mais de franchement "nul", parce que selon lui, "il n'y a rien dans ce bilan". [...] D'après lui, depuis 2007 le PS s'inscrit avant tout dans "une logique d'antisarkozysme", ce qui "ne fait pas un projet".
Avec des tribunaux, une justice, des élus et des professionnels aussi couards ou pourris que ceux que j'ai fréquentés au cours de ces dernières années, le bilan de l'UMP ne peut être aujourd'hui que supérieur à celui des « anti-sakozystes » ? Je me demande si des magistrats professionnels n'auraient pas du me lire un peu mieux. Depuis janvier 2009, ils auraient pourtant pu saisir de très nombreuses opportunités. Où avaient-ils encore la tête ? A l'époque, j'étais très clair dans mon blog alors qu'au même moment, j'écrivais encore une fois au Garde des sceaux : « Contrairement à ce que le Docteur Magalie Bodon-Bruzel supposait dans un rapport très contestable versé au dossier de Justine en 2006, j’ai conscience des troubles que je crée autour de moi. J’ai également bonne conscience des troubles que d’autres créent et entretiennent autour de moi et de mes enfants. Cet expert missionné par le juge pour enfant de Nanterre aurait du m’entendre ou, à défaut, deviner que j’allais un jour répondre à la hussarde. » Juste après, Versailles renvoyait.
« C'est quoi ce blog, c'est à qui ? » C'est souvent très bien précisé, par exemple dans ce fichier ou ce billet. « C'est quoi ce titre et la Proküratura ? » C'est une invitation au voyage, pas en Russie, mais en Moldavie française.
« Russes, encore un effort », Courrier International du 4 au 10 mars 2010
« Peut-être qu'on s'est trompé », mais dans ce cas, « qu'ils fassent valoir leurs droits devant les tribunaux », a-t-il ajouté. « Je préfère qu'on ait le risque d'un contentieux devant un tribunal parce qu'on aura été trop sévère pour une habilitation plutôt qu'on se retrouve avec un drame par ce qu'on n'aura pas été assez sévère. »
Sarkozy justifie le retrait des badges
Le Figaro avec AP, le 21 octobre 2006, voir « Peut-être qu'on s'est trompé », a dit le ministre
Quelle mouche a piqué ce notaire ?
Par moments, je n'y comprend plus grand chose. Il faudrait que je brasse à nouveau de vieux papiers, je les conserve, même si le juge pour enfant de Nanterre m'a très souvent intimé de tout brûler, puis d'oublier. J'ai le très net sentiment qu'il y a quelques temps, le juge des tutelles rendait une décision - qui m'avait beaucoup énervée et dont je n'avais pas pu faire appel, je pense qu'il y eu un couac... Cette décision n'aurait-elle pas été notifiée à l'étude de Maître Charles Halter, le notaire de la famille maternelle de Justine ? C'en serait donc une de plus qui n'aura pas été exécutée ? A quoi ça sert, des juges et des professionnels de la justice, en Moldavie française, et d'aller les voir, de faire appel, tout ça ?
On me prie maintenant encore une fois de signer les yeux fermés ou « d'accepter » alors qu'à ma connaissance, l'inventaire de la succession du grand-père maternel de Justine est toujours non conforme à la réalité juridique... j'en avais fait part à diverses autorités, je l'avais placardé dans mon blog et même imprimé sur des tracts que j'avais distribué dans Paris et sa région. Je m'en plaignais déjà en 2005 ou tout début 2006. En juin 2006, Maître Charles Halter le confirmait lui-même, dans une de ses correspondances au juge des tutelles.
Pourquoi cette lettre me parvient-elle aujourd'hui ? S'agirait-il de suites à ma correspondance de septembre 2009, au juge des tutelles ? D'ici quelques temps, après ce notaire, la police pourrait aussi me recontacter ? Fin 2004 et début 2005, j'avais fait inscrire Justine au fichier des mineurs disparus. Fin juin 2006, ces disparitions n'étaient toujours pas élucidées. Cette justice et ces administrations semblent avoir beaucoup de mal à boucler ou à bâcler ce genre d'affaires...
Mais ce n'est rien qu'une succession, une part qui revient à une enfant de boches. Par le passé, d'autres sont revenus des camps et constataient alors qu'ils avaient absolument tout perdu ou qu'ils avaient été dépossédés par la France et son Administration. On ne va donc pas en faire un fromage, pas pour quelques broutilles de plus.
Ma lettre au juge pour enfant est postée, avec une erreur de plume. Ce n'est pas depuis septembre 2005 que ma fille Justine est privée de soin, mais depuis 2004 au moins. « Quelle importance ? Son placement lui profite », rétorqueront des juges pour enfants, des juges de Versailles, le ministère public ainsi que des pros de la Dass.
Je viens d'avoir une conversation téléphonique avec Madame Millet, la grand-mère de Sébastien. Elle avait été condamnée pour des faits commis par sa fille. On devrait très bientôt entendre reparler de cette histoire. Je viens aussi de lire qu'il y a eu un rebondissement au procès Viguier, « ce professeur trop intelligent et trop droit pour être honnête »...
Actualités générales
Jacques Viguier: très intelligent, un brin psychorigide mais pas fou
Créé le 20.04.09 à 20h09
Mis à jour le 20.04.09 à 20h09, 20 minutes, extrait
La psychologue Catherine Hovsepian estime qu’il est «consciencieux, strict» et qu’il «essaie de compenser sa psychorigidité par des éléments de souplesse». Le psychiatre Daniel Zagury n’a pour sa part détecté «ni pathologie, ni névrose» chez ce cinéphile boulimique pas même la froideur souvent évoquée. Il voit plutôt «un ancien timide qui compense et surmonte un fond de doute concernant sa valeur». S’il n’écarte pas «un effondrement brutal des défenses de Jacques Viguier, il ne croit ni à l’assassinat de sang-froid, ni au crime passionnel d’un mari jaloux. A la grande satisfaction de Georges Catala, avocat de la défense heureux de ne pas retrouver «ce soi-disant mégalomane très très froid dont on nous parle depuis neuf ans». «Viguier est un type d’une intelligence supérieure qui maîtrise tout, y compris devant les experts», assure de son côté Guy Debuisson, l’avocat d’une des sœurs de Suzy.
Je n'ai pas l'intention de signer des documents non conformes à la réalité juridique. Ce notaire finira bien par trouver une autre solution. S'il s'obstine, je vais l'inviter à se rapprocher du Docteur Magalie Bodon-Bruzel et du juge pour enfant de Nanterre, ils lui expliqueront que le papa de Justine est « rigide ». Ce notaire ne pourrait-il pas plutôt solliciter les bons juges, le pasteur d'Uhrwiller et sa soeur, le corbeau de cette histoire ? Qu'il demande au ministère public ? Pour le reste, les travailleurs sociaux, les juges du coin et le pasteur se débrouillent toujours sans moi. Pourquoi ce notaire revient-il encore vers moi pour ce « dossier » ? Mais la quille suivra bientôt, fin 2011 ; on me le confirmait, à Versailles, en décembre dernier. Justine sera alors majeure et pourra signer, « se faire » dépouiller en personne.
Iran:le pouvoir "avertit" 17 publications
AFP, 09/03/2010 | Mise à jour : 11:14
Les autorités iraniennes ont lancé des "avertissements" à 17 publications locales, dont un important quotidien réformiste, pour des "manquements à la déontologie", "violation des règlements" ou publication d'"informations superficielles". Selon Mohammad Ali Ramin, vice-ministre de la Culture en charge des medias, les publications visées "n'ont pas respecté les devoirs du journalisme, ont violé les règlements sur les média, ont publié des informations superficielles, et propagé le matérialisme".
Trois lettres, puis suivront les vacances, sur fond de laxisme judiciaire
Je vais maintenant envoyer trois lettres, l'une à Lenovo France, il faut que je leurs réponde, une autre à la 2ième chambre civile de Versailles, en prévision de l'audience de novembre prochain, ainsi qu'une lettre pour Maître Charles Halter ; pour cette dernière, j'ai tout mon temps, la 2ième chambre civile de Versailles vient de le confirmer : « ce laxisme judiciaire ne serait pas de nature à préjudicier aux intérêts de la mineure ». Ensuite, il ne se passera probablement plus rien pendant de longs mois, d'abord en raison des vacances judiciaires. On en profitera pour se mobiliser en faveur de victimes, de vrais, par exemple, en faveur de Gilad Shalit dont on nous parle tant ces derniers jours.
Il y a peu, Lenovo France me répondait, estimant que je serais un « consommateur totalement atypique ». Je vais leurs retourner qu'ils ont raison. En effet, il fait ici 29°C et le ventilateur de mon U350 tourne au ralenti, même ou surtout lorsque je l'utilise. Je pense être le seul ou parmi les rares possesseurs à travers le monde d'un U350 à peu près silencieux. Je vais surtout leurs retourner que j'estime pour ma part avoir été trompé par les conditions d'utilisation de Lenovo, soit par ce que les logiciels préinstallés sur cet U350 affichaient à l'écran, lors de son tout premier démarrage. Ca va m'amuser.
Je vais peut-être bientôt écrire aussi au greffe de la chambre des créatures inférieures, si je décidais de faire appel de la toute prochaine décision que rendra le juge pour enfant de Nanterre. Il m'offrira peut-être l'opportunité de saisir à nouveau la première présidence de Versailles ? J'en saurais plus au cours du mois de juillet, si le greffe de ce juge n'a pas oublié mon adresse postale et sait encore comment me notifier des jugements.
Je vais également devoir téléphoner ou écrire au cadastre de Holving, la 2ième chambre civile de Versailles exige des « preuves » ; au cadastre, les fonctionnaires et procédures sont peut-être plus rigoureux qu'ailleurs, j'en saurais plus d'ici quelques mois. Je me demande ce que de tels documents pourraient établir, selon des juges, encore de vrais, alors qu'à Versailles, des correspondances de juges et même d'un notaire, se référant lui même au cadastre et s'adressant à un juge, n'ont jamais rien « prouvé ». Là bas, même des jugements et arrêts ne « prouvent » ni ne démontrent le plus souvent jamais rien. C'est à se demander parfois à quoi servent encore des prétoires, des actes et des sceaux officiels.
Ajout du 27 au soir... Je pense être en colère, probablement comme quelques juifs ou hypocrites peuvent l'être.
Je me demande pourquoi ces magistrats me font aujourd'hui encore tant chier alors qu'ils savent très bien que tous ces recours et procédures ne font que me coûter - et me coûteront encore « très cher », selon leurs propres mots ; quelques milliers d'euro ? C'est autant d'argent qui ne profitera jamais ni à mon aînée, ni à ma cadette. Ce sont des sangsues... pardon, des notables et l'Etat qui s'empliront les poches et les caisses où d'autres se gavent sans la moindre gène.
« Prouvez », me lancent ces juges ! Hé, ducon, aux alentours de 2005, le parquet du coin a « classé d'office » alors que je me plaignais car la succession de la mère de Justine s'était à mon avis en grande partie vaporisée. Un OPJ a en effet dépouillé ma plainte de ses preuves puis ton parquet a « classé d'office » ! Aujourd'hui, tu envisages de désigner le pasteur ou son mari, le médecin, à la place des assistants de Charles Halter, pour t'assurer que son père ne pourra pas spolier la mineure, en niant toutes les carrences de ta justice et l'incurie crasse de la Dass et autres administrations de ce pays, la France ? Qu'est ce que ça signifie ?
Chez Halter, rien n'a bougé au cours des dernières années et cette situation aurait encore pu perdurer, longtemps. Ce n'est pas le pasteur qui a fait appel de la plus récente décision du juge des tutelles, ce qui a maintenant permis de mettre en lumière un certain nombre d'anomalies - « où ça », rétorqueront ces juges ? Ce n'est pas non plus le pasteur qui a signalé qu'il y avait des anomalies à l'inventaire présenté au juge des tutelles, pour approbation, et ce n'est pas le pasteur ni son mari, le médecin, qui a fait rectifier le cadastre de Holving, en 2006 ! « Ca prouve rien » ? Ne serait-ce pas à la famille maternelle de Justine de présenter et de détailler spontannément les éléments de ces successions qu'elle entend se partager un jour ? Va te faire foutre puis torche toi dans ta robe, elle n'est pas noire sans raisons !
Voir dans mes notes ou parmi mes références
Des boches aidés, jaugés et jugés par des juifs « qui ne pardonneront jamais » ? Quelle idée ! Ce pasteur et son mari, tiers dignes de confiance, ainsi qu'admin ad'hoc ? Et pourquoi pas, assis parmi, voire même, à la place des juges ou des juifs - mais évidemment « neutres », selon Anne Valentini - qui nous ont jugé ou plutôt, qui ont pollué le dossier « d'assistance éducative » de Justine, au cours des ces mascarades de procès et d'années de « travail de la relation père-enfant » ? Entre 2003 et 2005, alors que « ça se passait pas bien » pour Justine, au foyer de ces juifs - c'est le choix de Valentini, confirmé par la cour d'appel - de l'OSE France, le pasteur et son mari le médecin ont tous les deux fermé les yeux. Le pasteur d'Uhrwiller a encore fermé les yeux alors que « ça se passait pas bien » dans son presbytère non plus, aux alentours de 2008 - raison pour laquelle Justine optait finalement pour la solution de l'internat scolaire. Le pasteur et son mari ont systématiquement fermé les yeux, ils n'ont jamais bougé, jamais fait appel de quoi que ce soit.
Tu parles d'un médecin, généraliste. Lui-même et sa femme, le pasteur d'Uhrwiller, m'ont très souvent lu et même entendu au cours de ces dernières années, dans ces prétoires. Il n'y a que quelques crevures tel ce bouffon ou Bodon-Bruzel et des ignares tel des magistrats et des professionnels de l'OSE France ou de l'ARSEA Alsace qui pourraient en effet croire ou penser que la trisomie 21 de ma soeur aînée est susceptible de m'avoir affecté. A ces pitres en robe noire en premier, qu'ils soient du parquet, de Nanterre, des chambres ou de la première présidence de Versailles : la trisomie 21 n'a rien à voir avec un rhume et ne vous saute pas à la gorge tel H1N1 !
Le pasteur et son mari, tiers dignes de confiance, et maintenant admin ad'hoc également, mais quelle farce, quelle fumisterie ! J'attends avec impatience le délibéré de Nanterre, pour l'éventuelle opportunité d'un appel et la possibilité de rencontrer Echappe, probablement Olivier, membre du cercle des constitutionalistes et docteur en droit canon, un bon catho. J'ai deux mots à lui dire, en pleine face, s'il ne se dégonfle pas et ne dépèche pas un simple raporteur. J'attends aussi avec impatience la fin novembre prochain et l'opportunité de reparler à ces juges de la 2ième chambre civile.
Le pasteur d'Uhrwiller a bizarrement toujours pu se contenter d'alléguer, de prêcher, de « dire » et « d'expliquer », il n'a jamais eu à démontrer ou à prouver quoi que ce soit ; on doit dire de lui qu'il est « digne de confiance » - et donc bientôt admin ad'hoc aussi, même s'il a tous les dimanches le cul sur des successions de la famille maternelle de Justine ?
Par contre, selon ces mêmes juges, « M. KANT allègue toujours sans jamais rien établir » ou « ne justifie jamais de la réalité des faits dont il fait état ». J'ai le très net sentiment que ces juges de la 2ième chambre civile sont également un chouilla partiaux, comme les autres juges du secteur. J'y suis accoutumé, depuis longtemps. J'en rediscuterais avec la 2ième chambre civile, en novembre prochain ; il faut peut être tout simplement « mieux » éclairer ces juges ?
Leurs inculque-t-on ces moeurs à l'ENM ou au cours des stages qui les amènent sur leurs trônes ? Dans le cadre de l'affaire Bettencourt, d'abord une « affaire de famille », j'avais remarqué une bizarerie de nature assez similaire.
Hier, en me documentant, j'ai appris que Philippe Ingal-Montagnier, actuel procureur général de Versailles, devrait savoir ce qu'est l'antisémitisme. Il pourrait donc également savoir ce qu'est la Shoah ; le CRIF ou des conférenciers ont pu lui en glisser deux mots. Les juges du coin ne retenant le plus souvent pas mes mots, je pense maintenant illustrer mes prochaines conclusions ou observations avec de belles images, des caricatures antisionistes. Celle qui suivent me plaisent beaucoup ; leurs auteurs ont pu s'inspirer d'anciennes caricatures françaises de boches ou anticléricales.
Voir La République et l'Eglise (il y a un siècle)