Archives pour: Février 2009, 10
A la une de l'info
Vendredi, la troupe K'hauts a semé le chaos à la salle des fêtes
Actualité Seclin
Vendredi, la troupe K'hauts a semé le chaos à la salle des fêtes
lundi 09.02.2009, 05:04 - La Voix du Nord, extrait
| HOUPLIN-ANCOISNE |
Vendredi soir, dans le cadre des animations organisées par la médiathèque, l'association théâtrale K'hauts a proposé un spectacle burlesque à la salle des fêtes, devant un public chaleureux et conquis.
Guadeloupe : le Medef local "surpris" par le refus de François Fillon
LEMONDE.FR | 10.02.09 | 20h47, extrait
Mardi 10 février, François Fillon a refusé que l'Etat finance une augmentation des bas salaires guadeloupéens, une mesure contenue dans le pré-accord entre le patronat et le LKP, le collectif contre l'exploitation. Pour Willy Angèle, président du Medef de la Guadeloupe, la décision du premier ministre fait voler en éclats le pré-accord trouvé entre les partenaires sociaux.
Comment réagissez-vous aux refus de François Fillon de financer les 108 millions d'allègements de charge demandés ?
Willy Angèle : Je suis surpris. Le problème que nous traitons est grave, il s'agit du différentiel de pouvoir d'achat entre la métropole et la Guadeloupe sur les produits de première nécessité. Je ne vois pas comment les entreprises guadeloupéennes pourraient financer à elles seules une augmentation des 41 000 bas salaires de l'île, pour 108 millions d'euros, alors que le bénéfice dégagé par l'ensemble de ces entreprises est de 100 millions d'euros. Nous ne pouvons pas faire face à cette situation seuls, nous n'en avons pas les moyens financiers.
Quid du père de l'enfant ?
Quid du père de l'enfant?
Goran a vu l'enfant une fois en deux ans. «Lors du procès, il a dit qu'il était le père. Il a ajouté qu'il n'avait pas encore reconnu l'enfant. J'imagine donc qu'il va le reconnaître», confie Me Marc Cheseaux. Si cela devait être le cas, Goran n'aurait cependant aucune autorité parentale étant donné qu'il n'est pas marié à Chantal.
ASSASSINAT DE CLARENS (VD)
Son bébé sera surveillé
Condamnée vendredi à 20 ans de réclusion, Chantal* ne pourra pas élever son fils de 2 ans. Il a été confié à sa tante, mais elle pourra quand même le voir
Le Matin - le 09 février 2009, 23h03, extrait
Qui va s'occuper du bébé de Chantal*, 21 ans, condamnée vendredi à 20 ans de réclusion pour l'assassinat d'Enzo, le sexagénaire de Clarens, en 2006? Pourra-t-elle voir son fils de 2 ans né de sa relation avec Goran*, lui aussi condamné dans le cadre de cette affaire? Les explications du chef du Service vaudois de protection de la jeunesse, Philippe Lavanchy, et de l'avocat de la jeune femme, Me Marc Cheseaux.
*Prénoms d'emprunt
Augmentation des allocations familiales : les pistes de réforme
Augmentation des allocations familiales : les pistes de réforme
LE MONDE | 09.02.09 | 14h39 • Mis à jour le 09.02.09 | 14h39, extrait
Parmi les pistes de réforme évoquées par Nicolas Sarkozy jeudi 5 février, figure une augmentation des allocations familiales. Le gouvernement souhaite-t-il étendre cette prestation aux familles ayant un seul enfant, la prolonger au-delà du vingtième anniversaire ou la mettre sous conditions de ressources ? Nul ne le sait encore. "Tout cela sera discuté le 18 février, lors de la rencontre avec les partenaires sociaux", précise-t-on au gouvernement.
Irak : Sarkozy propose une collaboration « sans limites »
Irak : Sarkozy propose une collaboration «sans limites»
Lefigaro.fr (avec AFP), 10/02/2009 | Mise à jour : 11:55, extrait
Le chef de l'Etat français est en visite aujourd'hui à Bagdad. Pour des raisons de sécurité, ce voyage n'avait pas été annoncé.
C'est la première visite jamais effectuée par un président français sur le sol irakien. Nicolas Sarkozy est arrivé mardi matin à Bagdad pour une visite surprise, accompagné du ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner et du ministre de la Défense Hervé Morin. Il a quitté la France lundi soir à 23h00 direction la Jordanie. De là-bas, il est monté à bord d'un avion sécurisé pour se rendre à Bagdad.
Fillon renvoie Jégo aux Antilles les mains vides
Créé le 10/02/09 - Dernière mise à jour à 16h09, Europe 1
Le secrétaire d'Etat à l'Outre-mer, Yves Jégo, va rapidement retourner en Guadeloupe, après trois semaines de grève générale. Avec à ses côtés, deux médiateurs. Et un objectif : trouver un accord salarial. Mais sans coup de pouce de l'Etat, a prévenu le Premier ministre. Yves Jégo se rendra en Martinique où les protestations sont de plus en plus vives. Il reviendra à Paris au plus tard vendredi pour le conseil des ministres.
Actualité France | Société
La protection des mineurs sur Facebook et MySpace
17 sites de socialisation en ligne actifs en Europe, dont Facebook et MySpace, ont signé un accord mardi visant à limiter les risques pour les mineurs. Ces risques sont essentiellement le harcèlement en ligne, des sollicitations d'adultes à des fins sexuelles et la divulgation involontaire d'informations personnelles
Actualité France | Politique
HLM : deux mesures en faveur des plus fragiles
L'Assemblée nationale a voté, dans la nuit de lundi à mardi, en faveur de deux mesures favorisant l'attribution de HLM aux personnes en instance de divorce et à celles victimes de violences conjugales.
Actualité France | Société
Universités : enseignants-chercheurs et étudiants dans la rue
Avec toujours le même mot d’ordre : protester contre les réformes du gouvernement dans l’enseignement supérieur. La mobilisation ne semble pas faiblir, malgré le pas en arrière de la ministre Valérie Pécresse, qui a nommé une médiatrice et s'est déclarée prête à "retravailler" le texte à l'origine du conflit, qui dure depuis deux semaines.
TERRORISME
Une militante présumée de l'ultra-gauche relâchée
NOUVELOBS.COM | 10.02.2009 | 16:00
Isa, soupçonnée d’appartenir à la "mouvance anarcho-autonome", groupuscule d’ultra-gauche qui aurait pour ambition de déstabiliser l’Etat, est libérée après plus d'un an de détention.
Un décret va paraître « prochainement », aurait assuré Nadine Morano
La magistrature française tentée par le déni sur le cas Outreau
Reuters 10.02.09 | 13h57
Par Thierry Lévêque, édité par Yves Clarisse
PARIS (Reuters), extrait - La magistrature française semble tentée par le déni dans le fiasco judiciaire de l'affaire de pédophilie d'Outreau, qui a rebondi avec les propos très critiqués d'un magistrat sur les abus sexuels dans le Nord.
Mis en accusation pour leurs méthodes dans ce dossier qui a vu 12 innocents emprisonnés jusqu'à 39 mois en 2001-2004 et un 13e mourir en prison, les acteurs du système judiciaire défendent contre vents et marées l'idée qu'aucune faute n'a été commise et que la procédure a été normale de bout en bout.
Augmentation du nombre de mineurs en danger pris en charge en 2006 (Oned)
AFP 10.02.09 | 13h12
Près de 2% des jeunes de moins de 18 ans, considérés en danger, étaient pris en charge par la protection de l'enfance fin 2006, un pourcentage en augmentation de 4% sur un an, selon le rapport de l'Observatoire national de l'enfance en danger (Oned) rendu public mardi.
Quelque 266.000 mineurs, soit près de 1,9% des moins de 18 ans, bénéficiaient, en France métropolitaine, d'au moins une mesure de prise en charge par les services de protection de l'enfance fin 2006, parce qu'ils sont considérés en danger.
La définition de l'enfant en danger est assez large, englobant l'enfant maltraité, victime de violences physiques, sexuelles, mentales, négligences lourdes, et l'enfant en situation de "risque" pour sa santé, sa sécurité, sa moralité, mais qui n'est pas pour autant maltraité.
Ils étaient 4% de plus qu'en 2005, une augmentation quasi-identique qu'entre 2003 et 2004, 2005 ayant connu une plus faible progression (+1%).
Le nombre de jeunes majeurs pris en charge fin 2006 était de 21.387 (0,87% des 18-21 ans), une proportion stable.
"La fragilité des chiffres, issus de différentes sources, ne nous permet pas de conclure à une tendance pluriannuelle de l'augmentation", souligne cependant l'Oned, "celle-ci ne pourra être confirmée que si elle perdure dans les années à venir".
L'augmentation du nombre d'enfants bénéficiant d'une mesure en "milieu ouvert" (+ 2,1%) est plus importante que celle des enfants placés (+0,6%).
Les contrastes entre les départements sont importants. Le taux de prise en charge des enfants peut varier de 0,8% à 3,4%, et parmi les jeunes majeurs de 0,4% à 2,2%.
L'Oned, créé en 2004, devrait améliorer la fiabilité de ses données grâce au système de transmission de données individuelles et anonymes, mis en place par la loi du 5 mars 2007 sur la protection de l'enfance, dont le décret est paru fin décembre.
Sans attendre le décret, 54 départements ont créé le dispositif de d'évaluation des "informations préoccupantes", qui permettent de prévenir un placement.
La loi de 2007, qui prévoit aussi des bilans précoces, a créé un fonds de financement qui, lui, n'a pas vu le jour. Le décret va paraître "prochainement" et permettre de dégager 30 millions d'euros, a assuré Nadine Morano, secrétaire d'Etat à la famille, mardi, en visitant la plate-forme d'appel du 119 "Enfance en danger".
Le bilan de l'Oned "ne reflète qu'une partie de la situation car l'offre d'accueil ne s'adapte pas forcément aux besoins, faute de moyens", a affirmé à l'AFP Jean-Louis Sanchez, délégué général de l'Odas (Observatoire de l'action sociale décentralisée).
Les départements, maîtres d'oeuvre de la protection de l'enfance, sont aujourd'hui sous pression, dit-il, avec "la mise en place du RSA (revenu de solidarité active), la réforme de tutelles, de l'allocation dépendance et handicapée".
L'Odas, qui mène de son côté des études sur les enfants à risque, explique la progression de leur nombre par "l'isolement social dont souffrent les familles dans lesquelles ils vivent", la crise risquant d'aggraver la situation en ajoutant la précarité à l'isolement, affirme Jean-Louis Sanchez.
TELECOMS
Bouygues obligé de démonter une antenne-relais, une "première"
Le 04/02/2009 à 20h15 GMT
TASSIN-LA-DEMI-LUNE, Rhône (Reuters) - Bouygues Télécom a été condamné mercredi par la cour d'appel de Versailles à démonter une antenne-relais installée en 2006 à quelques mètres de maisons habitées par trois familles.
Nord : des propos « inexacts » selon le magistrat
Nord : des propos "inexacts" selon le magistrat
France Info - 10:56, extrait
Valérie Létard, secrétaire d’Etat à la Solidarité et élue du Valenciennois, a qualifié les propos tels que repris par le journal, de "diffamatoires et stigmatisants". "Près d’un an après la banderole insultante déployée lors du match PSG-Lens", elle s’est déclarée "inquiète par ces dérives qui, une fois encore, font injure à la fierté et à la dignité des femmes et des hommes du Nord/Pas-de-Calais". Le porte-parole de la garde des Sceaux a indiqué de son côté que cette affaire était "prise au sérieux" et que le ministère avait demandé la transmission des "termes exacts des propos" tenus par Didier Beauvais.
’’D’ores et déjà au cours de l’audience disciplinaire, la représentante de la chancellerie (la directrice des services judiciaires Dominique Lottin, NDLR) avait tenu à rappeler qu’il était hors de question de stigmatiser une région ou une catégorie de personnes’’, a ajouté M. Didier, citant le réquisitoire de Mme Lottin. Lorsqu’ils déposent devant le CSM, les témoins bénéficient d’une immunité, et ce pour garantir une entière liberté d’expression.
Garde d'enfants : « nous devons créer de 200.000 à 400.000 places »
NADINE MORANO - SECRÉTAIRE D'ÉTAT À LA FAMILLE
« Nous devons créer de 200.000 à 400.000 places pour la garde d'enfant »
Info & Secteurs | France | Actualité | Les Echos, 13/01/09, extrait
Nicolas Sarkozy a promis la mise en oeuvre d'un droit opposable à la garde d'enfant en 2012. Comment tenir cet objectif ?
Nous devons créer entre 200.000 et 400.000 offres de garde supplémentaires d'ici à la fin du quinquennat. Mais il ne s'agit pas seulement de places de crèches : nous voulons diversifier les modes de garde et répondre aux problématiques de l'ensemble des territoires. J'ai décidé par ailleurs d'optimiser les équipements existants. Exemple : les crèches hospitalières dont le taux d'occupation moyen est de 70 %. J'ai signé un accord national avec la Fédération hospitalière de France pour les ouvrir aux familles qui habitent à proximité des hôpitaux. Rien qu'à Paris, l'accord signé permettra de créer 1.000 places.
Le rapport 2008 de l'Oned
Le rapport 2008 de l’Oned a été remis le 10 février à la Secrétaire d’Etat chargée de la Famille, madame Nadine Morano. Il présente deux chapitres, le premier présentant un état des lieux de la mise en place des cellules de recueil, de traitement et d’évaluation des informations, le second étant consacré à la mesure et à la croissance nationale du taux de prise en charge en protection de l’enfance.
Augmentation du nombre de mineurs en danger pris en charge en 2006 (Oned)
10/02/2009-[10:08] - AFP
PARIS, 10 fév 2009 (AFP) - Près de 2% des jeunes de moins de 18 ans, considérés en danger, étaient pris en charge par la protection de l’enfance fin 2006, un pourcentage en augmentation de 4% sur un an, selon le rapport de l’Observatoire national de l’enfance en danger (Oned) rendu public mardi.
Quelque 266.000 mineurs, soit près de 1,9% des moins de 18 ans, bénéficiaient, en France métropolitaine, d’au moins une mesure de prise en charge par les services de protection de l’enfance fin 2006, parce qu’ils sont considérés en danger. La définition de l’enfant en danger est assez large, englobant l’enfant maltraité, victime de violences physiques, sexuelles, mentales, négligences lourdes, et l’enfant en situation de "risque" pour sa santé, sa sécurité, sa moralité, mais qui n’est pas pour autant maltraité. Ils étaient 4% de plus qu’en 2005, une augmentation quasi-identique qu’entre 2003 et 2004, 2005 ayant connu une plus faible progression (+1%). Le nombre de jeunes majeurs pris en charge fin 2006 était de 21.387 (0,87% des 18-21 ans), une proportion stable. "La fragilité des chiffres, issus de différentes sources, ne nous permet pas de conclure à une tendance pluriannuelle de l’augmentation", souligne cependant l’Oned, "celle-ci ne pourra être confirmée que si elle perdure dans les années à venir". L’augmentation du nombre d’enfants bénéficiant d’une mesure en "milieu ouvert" (+ 2,1%) est plus importante que celle des enfants placés (+0,6%). Les contrastes entre les départements sont importants. Le taux de prise en charge des enfants peut varier de 0,8% à 3,4%, et parmi les jeunes majeurs de 0,4% à 2,2%. L’Oned, créé en 2004, devrait améliorer la fiabilité de ses données grâce au système de transmission de données individuelles et anonymes, mis en place par la loi du 5 mars 2007 sur la protection de l’enfance, dont le décret est paru fin décembre.
Aline Lelièvre, jugée pour avoir tué son bébé de 13 mois
Voir aussi Garde d'enfants : bataille(s) autour d'une promesse
Le Planning familial reste sceptique après les annonces de Hortefeux
LEMONDE.FR | 09.02.09 | 18h41 • Mis à jour le 09.02.09 | 18h45, extrait
La direction du Mouvement français pour le planning familial (MFPF) n'est pas convaincue par les déclarations de Brice Hortefeux. Le ministre du travail et de la famille s'est engagé, mercredi 4 février, à "maintenir l'effort budgétaire" dédié au Planning familial. Depuis plusieurs semaines, le mouvement dénonce la diminution des aides de l'Etat, prévues dans le budget 2009. "Un tiers de nos 70 associations départementales risquent de disparaître", estimait Claire Ricciardi, présidente du Planning marseillais, lors d'une manifestation nationale le 27 janvier.
Faits divers
Jugée pour avoir tué son bébé de 13 mois
Le Parisien | 10.02.2009, 07h00, extraits
Aline Lelièvre comparaît à partir de ce matin aux assises pour avoir tué son bébé. Elle avait fait croire à un enlèvement avant d’avouer.
[...] Le 31 octobre 2006, Aline Lelièvre signale à sa mère la disparition de son fils. Selon sa version, elle s’est absentée, la veille au soir, de l’appartement une dizaine de minutes pour descendre la poubelle et fumer. Son bébé dormait alors dans son lit. Le lendemain matin, il n’y était plus. La mère pense à un kidnapping. La gendarmerie lance d’importantes recherches. Mais la thèse de l’enlèvement ne tient pas. Le 2 novembre, le corps de l’enfant est repêché dans un lac de Redon, enveloppé dans un drap-housse lesté de bouteilles. Détail étrange : la victime ne porte pas de pyjama. Le comportement de la mère la nuit de la disparition présumée intrigue les enquêteurs.
Réentendue, Aline Lelièvre déclare qu’elle a en fait retrouvé son fils inerte dans la salle de bains. Puis, en garde à vue, la mère admet avoir étranglé et pendu son enfant dont elle ne supportait plus la charge. De tels aveux plongent tous les proches d’Aline Lelièvre dans la stupeur. La « mère aimante » était, semble-t-il, une jeune femme secrète qui aurait caché des aspects de sa vie à son entourage. Selon l’instruction, l’accusée s’est montrée au fil de l’enquête « très fuyante » pour admettre qu’en réalité elle délaissait son enfant depuis plusieurs jours, voire plusieurs semaines. Elle aurait laissé à plusieurs reprises son bébé seul pour se rendre à son travail ou pour aller s’amuser avec des amis. Mais les raisons de son geste restent floues. L’avocate, comme la mère de l’accusée, n’a pas souhaité s’exprimer avant ce procès qui s’achèvera jeudi.
Brûlée vive, Chahrazad retrouve son agresseur aux assises
Bastien Hugues (lefigaro.fr), 10/02/2009 | Mise à jour : 09:05, extrait
En 2005, la jeune femme avait été aspergée d'essence par l'homme qu'elle refusait d'épouser. Le procès d'Amer Mushtaq Butt, son agresseur, s'ouvre aujourd'hui aux assises de Seine-Saint-Denis.
Leur première rencontre remonte au printemps 2004 dans une boutique de Neuilly-sur-Marne (Seine-Saint-Denis). Etudiante en BTS comptabilité, Chahrazad, encore mineure à l'époque, y travaille comme stagiaire. Celui qui supervise son travail, Amer Mushtaq Butt, est âgé de 23 ans. Une relation amoureuse se noue quelques mois plus tard.
Obama : «la fête est finie»
Le Figaro, 10/02/2009 | Mise à jour : 07:31, extrait
Défense appuyée de son plan de relance et ouverture vers l'Iran ont été les grands thèmes de la première conférence de presse présidentielle de l'ère Obama.
«Si nous n'agissons pas, la crise pourrait tourner à la catastrophe». Ce n'était pas la première fois que Barack Obama prononçait ces paroles alarmistes au cours des derniers jours. Mais en les répétant lundi soir lors de sa première conférence de presse présidentielle, devant un «parterre de plus de 150 journalistes américains et étrangers réunis sous les lustres de cristal de la salle Est, à la Maison Blanche, le président a voulu rappeler en toute solennité la gravité de la situation à laquelle son plan de relance entend répondre.