Archives pour: 2009
Athletisme : enquête [psychologique ?] sur un éventuel hermaphrodite
NDLR : Pour un peu d'histoire, voir aussi Le tribunal de l'impuissance.
Athletisme
Mondiaux à Berlin: enquête sur un éventuel hermaphrodite
L'IAAF a demandé à la Fédération sud-africaine de lui fournir des informations sur Caster Semenya, prodige du 800 m féminin, suspectée d'être un hermaphrodite et de présenter des attributs féminins et masculins. VIDEO.
LeMatin.ch & les agences, le 19 août 2009, 18h55, extraits
"Nous avons contacté les gens de la Fédération sud-africaine pour savoir s'ils avaient des documents permettant d'établir son sexe. Ce sont ces documents qu'ils sont en train de recueillir, mais il faut savoir que c'est un processus complexe, qui prend du temps et coûte cher", a-t-il poursuivi.
Selon l'IAAF, la constitution de ce dossier qui comprend l'expertise d'experts, psychologues et gynécologues, prend plusieurs semaines. "Nous n'avons à l'heure actuelle aucun élément définitif ne l'autorisant pas à participer au 800 m", a commenté le porte-parole. "Il serait totalement faux de l'exclure. C'est un dossier sensible, une question de santé, cela concerne une personne qui n'a rien fait d'illégal, il faut être juste avec elle", a-t-il insisté.
Des doutes sur le sexe de Semenya auraient pu la priver de finale
Mercredi 19 août 2009, France 24, extrait
La jeune Sud-Africaine Caster Semenya, en lice ce mercredi en finale du 800 m dames, a failli se voir refuser le départ. L’IAAF s'est réuni quelques heures avant la course pour statuer… sur son identité sexuelle.
[...] Pour le moment, l’IAAF, "a effectué des tests physiques et une vérification des parties génitales pour déterminer le sexe de Semenya", mais les résultats de ces tests ne sont pas attendus avant plusieurs semaines. "Ces examens de vérification de sa féminité sont une procédure extrêmement complexe. Nous ne disposons d'aucun élément déterminant qui aboutirait au fait qu'elle ne soit pas autorisée à courir", a déclaré Nick Davies, porte-parole de l'IAAF. Les officiels ont donc décidé de la laisser participer à la finale, à seulement quelques heures du départ.
L’étude des parties intimes ne suffit pas
La frontière homme / femme est en effet plus difficile à identifier qu’on ne le croit. Il ne suffit pas de regarder l’entrejambe. Ross Tucker et Jonathan Dugas, tous deux chercheurs sud-africains en médecine du sport, ont consacré un long billet sur la controverse, qui fait rage depuis longtemps en Afrique du Sud, sur leur blog "The science of sport". Ils expliquent que "les parties intimes ne définissent pas le sexe d’une personne. Leur étude permet une distinction rudimentaire seulement, mais les caractéristiques masculines peuvent se développer en l’absence d’organe génital masculin".
Les deux chercheurs vont encore plus loin : "Même la génétique ne permet pas de faire la distinction. Il faut une approche multidisciplinaire. Pour réaliser un test fiable, il faut faire appel à des gynécologues, des psychologues, des généticiens et des endocrinologues."
L'homme qui devait mourir pour les talibans
L'homme qui devait mourir pour les talibans
De notre envoyé spécial à Pulli Charkhi (Est de Kaboul), Renaud Girard
Le Figaro, 19/08/2009 | Mise à jour : 20:14, extrait
TEMOIGNAGE - Abed, un Pakistanais de 22 ans, avait été endoctriné par les talibans pour commettre un attentat suicide sur un poste frontière afghan. Estimant avoir été floué, il a raconté son odyssée à notre reporter dans sa prison près de Kaboul.
Lorsque le détenu Abed, condamné à une peine de réclusion de vingt ans, est amené dans le bureau du surveillant chef, au sein du bloc 7 de haute sécurité de la prison de Pulli Charkhi, son allure n'est pas différente de n'importe quel jeune homme du peuple qu'on rencontre dans les bourgades du Pendjab, province orientale du Pakistan. Visage caramel ourlé d'une barbe noire et coiffé d'un petit bonnet brodé, saroual-kamiz beige, sandales hors d'âge, Abed ressemble à tous ces pauvres travailleurs intermittents qui louent leurs bras à la petite semaine pour échapper au chômage. Il s'assoit calmement, refuse poliment de prendre un morceau de pastèque amenée par les gardiens et, dans ce bureau sommaire où flotte une légère odeur de fromage rance, il commence, dès notre première question, à raconter en dari son hallucinante mésaventure.
PARIS (Reuters), 19.08.09, 17h40, extraits - Un dialogue entre des clientes d’un supermarché et le ministre de l’Education Luc Chatel lundi dernier sur le thème du prix des fournitures scolaires a été mis en scène, reconnaît la société Intermarché. [...] Des journalistes présents lundi dans le supermarché disent dans Libération de mercredi que les “ménagères” qui se trouvaient dans le rayon fournitures scolaires de l’Intermarché de Villeneuve-le-Roi (Val-de-Marne) sont arrivées dans la même voiture avant le ministre, et sont reparties de la même façon. [...] Une porte-parole de Luc Chatel et le service de presse de l’UMP se sont d’abord refusés mercredi à tout commentaire. Le ministère a ensuite diffusé des lettres adressées par Luc Chatel à Libération, France Info et France Inter dans lesquelles le ministre explique qu’il “condamne fermement le procédé” imputé à Intermarché.
PARIS(AFP), il y a 2 heures, extrait - Des salariés d'Intermarché ont été invités à faire de la figuration lors d'une visite lundi du ministre de l'Education nationale Luc Chatel dans un magasin du Val-de-Marne, une initiative dont l'enseigne a assumé mercredi l'entière responsabilité. Accompagné du secrétaire d'Etat au Commerce Hervé Novelli, M. Chatel faisait ce jour-là la promotion de l'opération "les essentiels de la rentrée", des fournitures scolaires à bas prix, résultat d'un accord entre le ministère de l'Education et des enseignes de distribution. La direction d'Intermarché a tenu mercredi à affirmer "avoir pris l'initiative d'inviter un certain nombre de (ses) salariés à l'occasion de la venue des ministres dans l'un de ses magasins à Villeneuve-le-Roi". Cette mise au point intervenait après plusieurs informations de presse laissant entendre que l'UMP avait pu convier des militants à cette visite ou au moins que des sympathisants UMP avaient fait de l'excès de zèle.
Voir aussi Voir aussi Un salon de l'Agriculture sans risques pour Sarkozy
Grippe A : Luc Chatel veut rassurer les familles
NDLR : Un établissement ou une classe pourrait donc bientôt fermer « du jour au lendemain ». Mais si j'écris à Nanterre et que je cite Chatel, Libé et le Monde, je vais encore passer pour un débile ?
Lutte contre la grippe A : Luc Chatel veut rassurer les familles avant la rentrée scolaire
LE MONDE | 18.08.09 | 14h30 • Mis à jour le 18.08.09 | 18h42, extrait
Après avoir réuni la cellule de crise ministérielle et les correspondants académiques "pandémie grippale", le 18 août, le ministre de l'éducation Luc Chatel a officiellement présenté à la presse le plan de l'éducation nationale contre une éventuelle pandémie de grippe A (H1N1). Mode d'emploi.
Va-t-on vers une fermeture totale des établissements scolaires ?
"En cas de pandémie totale, le gouvernement est prêt à fermer les écoles", a rappelé plusieurs fois Luc Chatel ces derniers-jours. Mais ceci n'est qu'une des hypothèses envisagées par le ministre de l'éducation. A l'heure actuelle, "la fermeture totale des écoles n'est pas d'actualité. On va accueillir tous les enfants à la rentrée et on va informer les parents", a rappelé M. Chatel, le 16 août, dans le Journal du dimanche. La décision de fermer une classe ou une école sera prise au cas par cas et du jour au lendemain afin de limiter la contagion.
Délinquance : la riposte de Brice Hortefeux

NDLR : Xavier Raufer, pour C dans l'air du mercredi 12 août 2009, sur le thème des cambriolages et effractions à domicile, un peu après 32'10 : « ils vont voir un juge... chacun sait que les dames ont bon coeur ». Si j'entends bien M. Raufer, la délinquance serait en hausse parce que la magistrature tend à se féminiser ?
Délinquance : la riposte de Brice Hortefeux
Jean-Marc Leclerc
Le Figaro, 18/08/2009 | Mise à jour : 21:56, extrait
Devant la hausse des violences et des cambriolages, le ministre de l'Intérieur va réunir policiers et gendarmes le 1er septembre et convoquer vingt préfets enregistrant les meilleurs et les pires résultats dans la lutte contre la criminalité.
Brice Hortefeux frappe du poing sur la table. La publication par l'Observatoire national de la délinquance (OND) d'un bilan annuel des crimes et délits révélant notamment une hausse inquiétante de 12 % des cambriolages, a fait l'effet d'un électrochoc au sommet de l'État. «J'ai décidé de convoquer par anticipation, dès le 1er septembre, tous les directeurs départementaux de la sécurité publique et les commandants de groupement de la gendarmerie», annonce ainsi au Figaro l'hôte de la place Beauvau. «Je leur fixerai, poursuit-il, des objectifs précis de baisse de la délinquance. Il faudra mettre un coup de collier contre les cambriolages». Cette grand-messe était prévue initialement le 14 septembre.

« Le tribunal après avoir déliré... » du JDJ n°223, mars 2003
Suicides en prison : Michèle Alliot-Marie promet « la transparence »
« Il est difficile de croire à une simple coïncidence. Ce phénomène de contagion est connu, pour les suicides notamment. Il y a un lien entre la publication des incidents et l’occurrence de nouveaux cas », explique Hillel Schmid, directeur de l’institut Haruv, à Jérusalem... Voir Des infanticides en série ébranlent Israël
Suicide en prison : les mesures d'Alliot-Marie ne sont "pas sérieuses"
LEMONDE.FR avec AFP | 18.08.09 | 19h25
Les mesures de prévention annoncées par Michèle Alliot-Marie pour lutter contre le suicide en prison sont "décevantes" et pas "sérieuses", a estimé mardi 18 août le psychiatre Louis Albrand, auteur en avril d'un rapport sur le sujet pour le compte du ministère de la justice.
Suicides en prison : Michèle Alliot-Marie promet "la transparence"
LE MONDE | 18.08.09 | 13h51 • Mis à jour le 18.08.09 | 13h51, extrait
Le sinistre décompte semble ne jamais s'arrêter. Un détenu de 37 ans a été retrouvé pendu lundi 17 août dans sa cellule de la maison d'arrêt des Baumettes à Marseille. Selon les associations spécialisées, le nombre de suicides est en forte augmentation depuis début janvier, entre 88 et 92 selon les estimations de l'Observatoire international des prisons (OIP) et de l'association Ban public. "Cela correspond en moyenne à près d'un suicide tous les trois jours", dénoncent les ONG en se disant très inquiètes. Des statistiques provisoires qui laissent craindre que l'année 2009 soit encore plus sombre que 2008, marquée par 115 suicides, déjà en augmentation par rapport à 2007 (96) et 2006 (93).
C'est dans ce contexte que la ministre de la justice, Michèle Alliot-Marie devait se rendre, mardi 18 août, à la maison d'arrêt d'Orléans, pour présenter un plan d'action. La garde des sceaux devrait s'engager à une plus grande transparence sur l'ampleur du phénomène. Selon nos informations, une communication officielle devrait désormais intervenir deux fois par an pour recenser les suicides intervenus. "La difficulté est de communiquer sur le sujet sans que l'annonce de chiffres puisse contribuer à l'augmentation du phénomène", explique un proche du dossier.
Dans l'Oise : « un enfant, c’était pareil »
Reiss : "la liberté pour l'innocence"
AP, 18/08/2009 | Mise à jour : 08:27
Le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner ne réclame pas un "verdict de clémence" pour Clotilde Reiss mais exige que l'innocence de la jeune Française soit reconnue par la justice iranienne. "Quelle clémence pour l'innocence? La liberté pour l'innocence! Voilà ce que je demande", a-t-il lancé ce matin sur RTL.
"Nous affirmons que Clotilde Reiss est innocente, innocente de toute manoeuvre malsaine", a martelé le chef de la diplomatie française. "Ca va être reconnu au plus vite, je l'espère". Détenue un mois et demi dans une prison de Téhéran, la Française de 24 ans a été libérée dimanche soir sous caution, dans l'attente de son verdict qui devrait intervenir en théorie sous huit jours.
Les quatre clés de la liberté pour Clotilde Reiss
De notre correspondante au Moyen-Orient, Delphine Minoui
Le Figaro, 18/08/2009 | Mise à jour : 00:01, extrait
En payant la caution de Clotilde Reiss, la France a reconnu de facto une procédure qu'elle condamne. Techniquement, la jeune femme reste «prisonnière» à l'ambassade de France à Téhéran.
Votre ville
Oise (60)
Fay-les-Etangs
Le rottweiler tue le shih-tzu et blesse son maître
Le Parisien | 18.08.2009, 07h00, extrait
Dans un village du Beauvaisis, un rottweiler a attaqué et tué un petit chien et mordu le maître qui tentait de le secourir. Choqués, les voisins avouent leur peur du molosse.
Xavier DUMONT est encore sous le choc. Mercredi dernier, cet habitant de Fay-les-Etangs a assisté impuissant à la mort, en pleine rue, de Vogue, son shih-tzu croisé bichon de 5 ans. « Il était environ 17 heures. Je le promenais comme d’habitude, raconte-t-il. J’ai vu le rottweiler l’attaquer et le déchiqueter en deux secondes. Il l’avait attrapé par le dos, le secouait et ne le lâchait pas… Je n’ai pas réfléchi, je me suis jeté sur le chien, du haut de mes 88 kg. J’ai donné des coups de coude, mais il n’a jamais lâché. Jusqu’au moment où j’ai mis un doigt dans son oeil. J’ai pu récupérer Vogue. Il a voulu le rechiquer. Alors, un de ses crocs m’a donné comme un coup de cutter au doigt. » Xavier Dumont devra se faire poser un point de suture. VRP de profession, il est en arrêt de travail pour quinze jours.
« Un enfant, c’était pareil »
Aujourd’hui, il tente de surmonter sa tristesse en oeuvrant pour qu’un pareil drame ne se reproduise pas. L’homme de 41 ans est allé porter plainte à la gendarmerie de Chaumont-en-Vexin. « Ça a été mon chien. Mais si c’était un enfant, c’était pareil », s’indigne Xavier Dumont. Son histoire a provoqué un vif émoi dans le quartier. Depuis la mort de Vogue, les messages de sympathie des voisins se multiplient. Mais aussi les témoignages accablants contre le rottweiler croisé « à de multiples reprises sans muselière et sans laisse dans les rues ». « Il a menacé ma fille qui était en promenade en compagnie d’une femme et d’un bébé de 3 mois », s’indigne même un riverain.

Les Bourses du monde entier en plein doute

NDLR : Voir également Ce 10 décembre [2008], en contrebas de la BNF ; à l'occasion du soixantenaire de la DUDH, nous étions 4 à 6 personnes « rassemblées » en contre-bas de la BNF, où nous avons détruit trois gros pavés qui sont manifestement inexploitables dans certains prétoires français.
Les Bourses du monde entier en plein doute
Créé le 17/08/09 - Dernière mise à jour à 22h29 - Europe 1, extrait
Peut-être "un réveil difficile" alors que les analystes avaient tablé sur une reprise. L’orage est venu d’Asie, où la bourse de Shanghai a enregistré lundi sa plus forte baisse depuis novembre. Dans la foulée, toutes les places européennes ont été rattrapées par cette vague de mauvais temps estival. A la Bourse de Paris, le CAC 40 a lâché 2,16% à 3.419,69 points. L'indice européen Eurostoxx 50 a perdu 2,46%, le Dax à Francfort plus de 2%. Wall Street a également fini en forte baisse, à -2,75% pour le Nasdaq. Depuis un mois, la place new-yorkaise était orientée à la hausse, misant sur des perspectives de reprise. Mais plusieurs signaux sont venus rappeler que la crise n’était pas terminée. Parmi eux : de nouvelles faillites bancaires aux Etats-Unis.
Société, 14/08/2009 à 06h52, Libé, extrait
Monsieur Besson, cessez de détourner les droits de l’enfant
Par MICHEL TUBIANA président d’honneur de la Ligue des droits de l’homme.
Je ne ferai pas l’injure au service de presse d’Eric Besson de ne pas connaître le poids des mots et de l’histoire : aussi suis-je stupéfait du communiqué qu’il a publié le mercredi 12 août. Celui-ci, tout en l’habillant d’une référence à la convention des droits de l’enfant, recourt à la nécessité de ne pas séparer les enfants de leurs parents pour justifier l’enfermement de mineurs et leur expulsion.
Certes, toute comparaison historique serait déplacée mais le détournement sémantique et juridique auquel se livre le ministère de l’Identité nationale montre que l’on ne doit jamais oublier, citation pour citation, les dispositions de l’article 30 de la déclaration universelle des droits de l’homme qui rappellent qu’aucune des dispositions de ce texte, comme de tous les textes qui en procèdent (et la convention des droits de l’enfant en est un), n’autorise à détruire les droits et libertés qui y sont énoncés.
Suivons le raisonnement du ministère : la convention des droits de l’enfant recommande aux Etats de ne pas séparer les enfants de leurs parents, donc en enfermant et, parfois, en expulsant tout ou partie d’une famille (le ministère ne s’interdit pas en effet d’expulser partie d’une famille laissant l’autre dans le plus grand désarroi), il satisfait à cette convention.
Mais la convention des droits de l’enfant n’a jamais été faite pour autoriser les Etats à séparer les familles, à enfermer les enfants, à les priver d’école, de logement, de soins médicaux, de leurs amis et, pour ceux nés en France, d’une future nationalité française ! Le gouvernement fait ainsi ce qu’interdit la déclaration universelle des droits de l’homme : il s’autorise d’une disposition de la convention des droits de l’enfant, en détourne le sens et la portée et l’utilise au détriment de toutes les autres dispositions protectrices des droits de l’enfant qui constituent autant de désaveux à la politique qu’il mène.
CENTRES DE RETENTION
Un bébé de 13 mois né en France a été placé en rétention
NOUVELOBS.COM | 12.08.2009 | 16:27
Réagissez à l'article 16 réactions
Un couple moldave et leur bébé de 13 mois né en France ont été placés en rétention administrative, dans un centre "équipé pour recevoir des familles".

De source La Croix
Une fillette attrape un poisson énorme

France
Paris. Les saumons de retour dans la Seine
11 août 2009 à 11h49 - Le Télégramme
Les saumons reviennent petit à petit peupler la Seine parisienne nous apprend le Figaro.fr. Un bon signe. Car la présence du poisson dans les eaux de la capitale atteste d'une amélioration de la qualitié de l'eau. Un millier de spécimens auraient traversé Paris depuis le début de l'année. A ce rythme-là, la Seine pourrait bientôt être propre à la baignade. Selon des sources assez éloignées du dossier, Jacques Chirac préparerait son maillot pour tenir la promesse faite aux Parisiens en 1988.
Belgique : toutes les décisions ont été « passées au crible »
NDLR : Versailles aussi a pu plusieurs fois « passer au crible » des jugements des JPE de Nanterre.
Magistrature
La juge De Tandt: la police veut "me démolir"
BELGA, mis en ligne le 17/08/2009
Francine De Tandt, la présidente du tribunal de commerce de Bruxelles, rejette les accusations et les rumeurs la concernant, lundi dans les colonnes du Soir, et dénonce l'"opération de démolition" menée contre elle par Glenn Audenaert, le directeur de la police judiciaire de Bruxelles. "Tout ce qui est dans la presse, c'est du n'importe quoi. Un tissu de mensonges. C'est du harcèlement", a-t-elle déclaré au Soir. La présidente du tribunal de commerce de Bruxelles accuse Glenn Audenaert, le chef de la police judiciaire bruxelloise, de mener une "opération de démolition parce que quand on touche à certaines personnes puissantes, ça va trop loin pour eux", souligne-t-elle.
Francine De Tandt déclare que "dans le cadre de la procédure disciplinaire qui a été lancée contre moi suite à cette affaire, toutes mes décisions des dix dernières années ont été passées au crible par la cour d'appel" et que "rien n'a pu m'être reproché".
La présidente du tribunal de commerce de Bruxelles affirme enfin "n'avoir rien à se reprocher" et elle ajoute qu'elle va aller travailler "comme d'habitude".
Magistrature
Corruption magistrats: l'avocat Peeters assigne l'Etat belge
BELGA, mis en ligne le 17/08/2009
Robert Peeters avait déjà déposé plainte vendredi auprès du juge d'instruction de Gand pour calomnie et diffamation, ainsi que viol du secret professionnel.
L'avocat Robert Peeters, mis en cause dans l'affaire de corruption de magistrats à Bruxelles, assigne l'Etat belge via deux de ses représentants, le ministre de la Justice Stefaan De Clerck et le ministre de l'Intérieur Annemie Turtelboom, annonce Le Soir sur son site internet lundi. Selon le quotidien, son avocat, Me Verstraeten, va déposer lundi cette assignation en référé au tribunal de première instance de Bruxelles. Il souhaite faire condamner l'Etat belge à faire respecter le secret professionnel dans les rangs de ses fonctionnaires.
Justice : la sérénité doit être rétablie
Le Soir(.be), lundi 17 août 2009, 11:02, extraits
C'est un précepte vieux comme le système judiciaire : la sérénité est une compagne indispensable à ceux qui ont la charge de l'exercice de la justice. Les ressorts de l'affaire qui secoue depuis jeudi la haute magistrature restent encore énigmatiques. Mais de nombreux éléments qui en ont filtré à ce jour ont déjà sérieusement entamé la sérénité, sinon de la justice tout entière, du moins du tribunal de commerce. [...] On s'étonnera à cette occasion, plus qu'il y a trois jours encore, que les mandataires du pouvoir judiciaire paraissent s'émouvoir si peu des bizarreries qui semblent caractériser le fonctionnement de la haute magistrature. Ils s'étonnent par contre de nos questions. Le secret professionnel et l'argument du respect des procédures finissent par avoir bon dos. On ne connaît toujours pas clairement à ce stade la nature et le fond du problème, mais une chose est certaine : il est sérieux. Et nos autorités doivent maintenant rapidement rassurer quant au fait que ce problème n'affecte pas le fonctionnement de la justice. Celle-ci est affaire de procédures, mais aussi de confiance du corps social. On ne peut arguer des premières pour s'asseoir sur la seconde.
Il envoie ses excréments sur les passants
Il envoie ses excréments sur les passants
AFP, 17/08/2009 | Mise à jour : 13:09
Un ouvrier japonais, stressé dans son travail, a été arrêté pour avoir jeté ses excréments sur deux passantes en circulant à moto, a annoncé aujourd'hui la police. Tatsuya Moriguchi, 39 ans, s'est présenté de lui-même au poste de police, après avoir commis dimanche son deuxième forfait à Settsu, une ville dortoir de la région d'Osaka (centre-ouest), a expliqué un porte-parole de la police municipale.
Cet ouvrier du bâtiment avait mené sa première agression le 3 août au petit matin. Après s'être soulagé en plein air, il avait enfourché sa moto en tenant le guidon de la main droite, ses excréments dans la main gauche et avait bombardé une jeune femme en arrivant à sa hauteur.
"Le suspect a expliqué avoir fait ça car il se sentait stressé au travail", a expliqué le porte-parole. Moriguchi a préféré se rendre à la police car il ne pensait pas pouvoir échapper plus longtemps aux autorités. "Je n'ai aucune idée du type de peine dont il pourrait écoper", a reconnu le porte-parole, confiant n'avoir "jamais entendu parler d'un cas comme celui-là auparavant".
La France tente de mettre fin au feuilleton judiciaire de Clotilde Reiss
LeMonde.fr avec AFP, Reuters | 17.08.09 | 12h24, extraits
Libérée sous caution après cinquante-trois jours d'emprisonnement, l'universitaire française Clotilde Reiss a passé une première nuit à l'ambassade de France à Téhéran dans l'attente d'un jugement dont la date reste incertaine. La jeune femme, qui reste sous contrôle judiciaire et ne peut donc pas quitter le pays, y sera hébergée le temps que le verdict soit prononcé. Avant une libération définitive, souhaitée de vive voix par le gouvernement français.
Une caution d'un montant inconnu. Les autorités françaises ont reconnu qu'une caution avait été payée pour la libération de la jeune femme, mais son montant reste inconnu. L'ambassade française à Téhéran s'est refusée à tout commentaire. Le ministre des affaires étrangères, Bernard Kouchner, a indiqué que la somme n'était "pas énorme" et inférieure aux "centaines de milliers d'euros" avancé par le père de Clotilde Reiss. RTL rapporte que les autorités iraniennes ont exigé le paiement de 300 000 dollars (210 000 euros).
[...] Une libération en plusieurs étapes. Le paiement d'une caution pour que Clotilde Reiss quitte le plus vite possible la prison d'Evin, aux alentours de Téhéran, était la première étape souhaitée par l'Elysée avant une libération définitive. La France, qui estime que les accusations à l'encontre de la Française sont fantaisistes, a accepté la démarche proposée par Téhéran, tout en demandant que les "procédures judiciaires à l'encontre de Clotilde Reiss" soient abandonnées.
"L'objectif final de tous les efforts que nous déployons, c'est bien sûr la libération définitive", a réaffirmé, lundi, le porte-parole du gouvernement, Luc Chatel. Pour le père de l'ancienne détenue, Rémi Reiss, il s'agit également d'une "première étape". "Il faut maintenant laisser le processus judiciaire faire sa route. Il y en a probablement pour quelques semaines, j'espère moins, avec à la clé une deuxième étape, le retour définitif de Clotilde", a-t-il déclaré sur France Info.
Reste que la date du verdict, dont dépend visiblement la libération définitive de Clotilde Reiss, reste inconnue.
Secret bancaire, 13:42, Le Temps, extrait
Un témoignage accablant contre UBS
La justice américaine, qui mène une lutte sans merci contre les contribuables coupables d’évasion fiscale, a publié le témoignage d’un Américain avouant comment UBS l’a aidé à frauder. Selon ce document, la banque aurait ainsi conseillé bon nombre de ses clients.
Amara : l'islam radical, un « cancer »
Amara : L'islam radical, un "cancer"
Religion | 15 Août 2009, Le JDD, extrait
Interdire la burqa en France permettrait de lutter contre "la gangrène, le cancer que représente l'islam radical qui déforme complètement le message de l'islam", a estimé Fadela Amara, dans une interview au Financial Times.
Fadela Amara enfonce le clou. Deux mois après un débat virulent sur le port du voile intégral en France, la secrétaire d'Etat à la Ville Fadela Amara a redit son opposition à la burqa. "La burqa ne représente pas simplement un morceau de tissu mais la manipulation politique d'une religion qui réduit les femmes à l'esclavage et va à l'encontre du principe d'égalité entre les hommes et les femmes", a déclaré samedi au quotidien britannique Financial Times l'ancienne présidente de Ni putes ni soumises, une association défendant le droit des femmes.
Fadela Amara estime même que la France, havre d'un islam progressiste, se doit de "combattre la gangrène, le cancer que représente l'islam radical qui déforme complètement le message de l'islam". "La vaste majorité des musulmans sont contre la burqa", ajoute-t-elle, car "ceux qui ont participé à la lutte pour les droits de la femme chez eux, je pense en particulier à l'Algérie, savent ce que ça représente et quel projet d'obscurantisme politique ça dissimule, visant à étouffer les libertés les plus fondamentales", poursuit la secrétaire d'Etat, elle-même d'origine algérienne.
«L'Iran veut se débarrasser de ce dossier brûlant»
Propos recueillis par Laure Daussy (lefigaro.fr)
17/08/2009 | Mise à jour : 12:17
Reiss : Sarkozy "continue à se mobiliser"
Le Figaro, 17/08/2009 | Mise à jour : 08:34
UMP
Moins de fonctionnaires mais pas dans la police
NOUVELOBS.COM | 17.08.2009 | 12:34
VOILE
Le député UMP Bernard Debré veut une loi anti-burqa
NOUVELOBS.COM | 17.08.2009 | 11:11
Mariage bédouin: un DJ passé à tabac
AFP, 17/08/2009 | Mise à jour : 12:03
Un DJ invité à un mariage bédouin, dans le sud d'Israël, a été roué de coups par des invités pour avoir joué un tube des Pet Shop Boys, à la place de musiques arabes, et pris des photos de femmes qui dansaient. Jugeant que la fête manquait d'ambiance, le DJ a surpris les centaines d'invités du village d'Aroer, dans le sud d'Israël, en diffusant une chanson du duo de pop électronique anglais. Des femmes se seraient alors mises à danser "de façon exubérante" au rythme de la musique des Pet Shops Boys, à la grande fureur de jeunes invités qui s'en sont pris au DJ qui prenaient aussi des photos des danseuses. Deux agresseurs présumés ont été arrêtés puis relâchés par ordre de la justice avec interdiction de s'approcher de la résidence du DJ, lui-même un Bédouin du village. L'affaire s'est néanmoins bien terminée, les protagonistes concluant un arrangement traditionnel à la façon bédouine.
Les refuges de la SPA sont débordés
Voir aussi Ruinés par la crise, les cowboys laissent mourir leurs chevaux
Le père de Clotilde Reiss heureux de cette "première étape"
Reuters 17.08.09 | 08h30, extrait
PARIS (Reuters) - Le père de Clotilde Reiss s'est réjoui lundi de la libération conditionnelle de sa fille tout en soulignant qu'il ne s'agissait que d'une première étape avant le retour de l'universitaire en France. Selon Rémi Reiss, interrogé sur France Info, cela pourrait prendre quelques semaines. Clotilde Reiss, qui a fêté ses 24 ans en prison à Téhéran, est sortie sous caution dimanche soir et a gagné l'ambassade de France où elle attendra le verdict de son procès pour espionnage. "C'est le bonheur parce que ça fait un mois et demi qu'on attend ça et surtout elle", a déclaré Rémi Reiss. "C'est un grand moment." "Elle m'a semblé en forme: bon moral, une voix tonique. Je n'ai pas de souci a priori sur son état de santé et puis je crois qu'elle a bien été respectée là où elle était", a-t-il ajouté. "C'est une première étape. Il faut maintenant laisser le processus judiciaire faire sa route. Il y en a probablement pour quelques semaines, j'espère moins, avec à la clé une deuxième étape, le retour définitif de Clotilde", a ajouté Rémi Reiss.
Hauts-de-Seine (92)
Les refuges de la SPA sont débordés
Le Parisien | 17.08.2009, 07h00, extrait
Les responsables des refuges SPA constatent que de nombreux maîtres ne viennent plus récupérer leurs animaux en fourrière. A cause de la crise, les cages sont pleines. « J’ai rarement vu un été comme ça ! On constate une explosion du nombre d’animaux non récupérés en fourrière. Soit leurs propriétaires n’en veulent plus, soit ils se rendent compte qu’ils se passent très bien de leur animal disparu et ne font pas l’effort d’aller le chercher. En tout cas, c’est catastrophique. » Responsable de la SPA de Vaux-le-Pénil, près de Melun, le refuge de l’association en Seine-et-Marne, Michèle Boulet n’en revient pas. « En ce moment, on approche des 180 chiens, ils sont deux ou trois par box et, chaque semaine, entre cinq et dix chiots nous arrivent de la fourrière. Les gens ne font pas stériliser leur chienne. Quand ils n’ont pas pu recaser les petits, ils les mettent dehors au moment du départ en vacances. Côté chats, on en compte 200, dont la moitié sont des chatons », soupire-t-elle.
Des fusées de détresse tirées pour « rigoler »
NDLR : Peut-être apprendrais-je un jour que les juges de mon secteur ont juste voulu « rigoler ».
Des fusées de détresse tirées pour "rigoler"
RTL info | 16 août 2009 | Màj 23h47
Les secouristes en mer poussent un coup de gueule. Toute la nuit, ils ont dû répondre à une série de fausses alertes, le long de la façade atlantique. Des plaisanciers ont tous eu la même mauvaise idée : pour fêter le 15 août, ils ont tiré un feu d'artifice avec des fusées de détresse. Une cinquantaine en tout. Des dizaines de pompiers et de sauveteurs sont donc intervenus... pour rien.
Faits divers
Un parapentiste recherché depuis mercredi dans les Alpes
Le Parisien | 16.08.2009, 16h44 | Mise à jour : 17h18, extrait
Un parapentiste de 32 ans qui a décollé mercredi après-midi du Mont-Chalvet, dans le secteur de Saint-André-des-Alpes (Alpes-de-Haute-Provence) était toujours recherché dimanche par les gendarmes. Le jeune homme avait décollé aux alentours de 12h45 et devait rallier le site de Dormillouse, sur la commune de Saint-Vincent-les-forts, près de la vallée du l'Ubaye, a affirmé un cousin du disparu. «Il a une voile rouge à bord blanc. Les secours et ses amis sont à sa recherche», précise un communiqué transmis par cette personne.
La torture des Noirs aux Etats-Unis en carte postale
LE MONDE | 16.08.09 | 18h07 • Mis à jour le 16.08.09 | 20h00, extrait
Arles Envoyée spéciale
Le 7 août 1930, une foule de plusieurs milliers de personnes attaque la prison de Marion (Indiana) avec une idée fixe : "Buter ces maudits Nègres." Les portes ne résistent pas longtemps. Un détenu noir, Thomas Shipp, est battu à mort, puis son corps est exhibé à la fenêtre de la prison pour que chacun puisse le voir. Un autre est frappé, mutilé. Enfin, on pend les deux hommes à un arbre.
Un photographe est là pour immortaliser la scène : Lawrence Beitler, qui a un studio en ville, imprime des cartes postales à 50 cents la pièce. Il en vend plusieurs milliers. On y voit deux corps ensanglantés, pendus à un arbre au-dessus d'une foule visiblement ravie du spectacle. Au premier plan, un homme pose en pointant du doigt un des "Nègres". A côté, deux jeunes filles agrippent des "souvenirs" : des bouts de tissu noir arrachés au pantalon d'un pendu. D'autres préféreront emporter une touffe de cheveux comme trophée de chasse.
Cette carte postale insoutenable, soigneusement encadrée avec une poignée de cheveux crépus, fait partie d'une exposition instructive et glaçante, "Without Sanctuary", présentée cet été aux Rencontres de la photographie d'Arles. 70 documents - en majorité des cartes postales, mais aussi des affiches et coupures de presse - reviennent sur le lynchage des Noirs aux Etats-Unis.
Entre 1882 et 1968, au moins 5 000 personnes ont été tuées de la sorte, en majorité dans les Etats racistes du Sud. Les cartes postales de pendus rendent à ces chiffres leur horreur concrète. La quasi-totalité de ces photos réalisées sur place ont été faites non pour dénoncer les lynchages, mais pour les glorifier. Les cartes postales étaient vendues librement dans les bureaux de tabac aux touristes et aux habitants, conservées dans les albums de famille.

Une exposition « choc », une vidéo de TF1
Clotilde Reiss est sortie de prison
Clotilde Reiss est sortie de prison
Lefigaro.fr (avec AFP)
16/08/2009 | Mise à jour : 22:22, extrait
Elle paraît en «bonne forme», selon son père qui l'a eu au téléphone. L'étudiante française, détenue en Iran depuis le 1er juillet, a été libérée sous caution et ne peut pour l'instant quitter l'Iran. La date de son retour n'est pas encore précisée. La Française Clotilde Reiss, détenue en Iran depuis le 1er juillet pour avoir participé à des manifestations post-électorales, est sortie de prison, a annoncé dimanche soir l'Elysée. La jeune femme, qui a été libérée sous caution et ne peut pas pour l'instant quitter l'Iran, sera «hébergée» à l'ambassade de France à Téhéran «dans l'attente de son retour en France». La date de ce retour n'est pas encore connue.
Les écoles pourront fermer à partir de "trois cas de syndromes grippaux"
LEMONDE.FR avec AFP | 16.08.09 | 13h26 • Mis à jour le 16.08.09 | 15h20, extraits
Le ministre de l'éducation Luc Chatel a esquissé les contours du dispositif de lutte contre la grippe A dans les établissements scolaires. "Nous avons décidé que si au moins trois cas de syndromes grippaux sont constatés dans une même classe en moins d'une semaine, celle-ci pourra être fermée", a-t-il expliqué dans un entretien accordé au Journal du dimanche, le 16 août. M. Chatel a expliqué que, si "plusieurs élèves sont absents en même temps pour le même motif", il reviendrait au chef d'établissement d'alerter l'inspection académique ou le rectorat qui préviendraient à leur tour le préfet. "En accord avec les autorités sanitaires, c’est le préfet qui prendra la décision de fermer l’école, le collège ou le lycée", a-t-il ajouté, précisant que ce dernier pourrait décider "de ne fermer qu’une seule classe, ou bien plusieurs, ou bien encore tout l’établissement, voire ceux qui se trouvent à proximité". [...] Luc Chatel a ajouté que le gouvernement n'avait pas prévu des moyens de garde de substitution en cas de fermetures d'établissements, ajoutant qu'il fera "appel à la solidarité familiale, comme lors d'une épidémie de grippe classique".
Rentrée : qui va garder les enfants ?
Le JDD du jour
Sans-papiers: RESF manifeste
AFP, 16/08/2009 | Mise à jour : 14:00
Une vingtaine de militants de RESF (Réseau éducation sans frontières) se sont rassemblés ce matin devant Notre-Dame à Paris contre les expulsions de sans-papiers, le journal Libération à la main pour contourner la décision de "ne pas autoriser" de manifestation.
"On fait preuve de la même hypocrisie que la police qui n'autorise pas la manifestation en prétendant ne pas l'interdire", a expliqué à l'AFP Richard Moyon, militant de RESF, en montrant l'édition de Libération de samedi qui consacrait deux pages au "démembrement des familles" sans-papiers.
