Catégorie: La disparition d'Elise
Lettre ouverte de Léonide Rochal à Monsieur Jean-Michel André
Le médecin des enfants du monde est élu "Européen de l'année 2005" • A lire sur www.readers-digest.de
International
Elise: Belenkaïa non satisfaite de l'accord à l'amiable avec André (Vesti)
14:15 | 25/ 04/ 2009
MOSCOU, 25 avril - RIA Novosti. La Russe Irina Belenkaïa accusée par la justice française d'avoir enlevé sa propre fille Elise (3 ans) n'est pas satisfaite de l'accord négocié vendredi entre son avocat Anatoli Koutcherena et son ex-époux Jean-Michel André, a annoncé samedi la chaîne de télévision Vesti. "Je ne pense pas que la décision adoptée soit juste et qu'il soit bon pour l'enfant de vivre six mois dans un pays et six mois dans l'autre", a déclaré Mme Belenkaïa.
Lettre ouverte de Léonide Rochal à Monsieur Jean-Michel André
16:57 | 23/ 04/ 2009
MOSCOU, 23 avril - RIA Novosti. Voici une lettre ouverte du Pédiatre du Monde, de l'Européen de l'Année (Reader's Digest) et de l'Etoile de l'Europe (Business Week) à Monsieur Jean-Michel André.
Monsieur Jean-Michel André,
Pardonnez-moi de me mêler de votre vie privée. Mais, malheureusement, aujourd'hui elle est devenue publique pour le monde entier. Il y a longtemps que je ne suis plus un jeune homme. Je suis grand-père. Voilà pourquoi je peux parler en toute sincérité et en connaissance de cause. De plus, j'ai consacré toute ma vie à la santé des enfants.
J'ai essayé de vous joindre, y compris par internet, mais je n'ai pas réussi. Voilà pourquoi, je vous envoie une lettre ouverte. Tout d'abord, je condamne le fait que l'on vous ait agressé. C'est horrible. J'ai beaucoup d'amis en France et j'aime la France.
Jeune disparu dans le Nord : les recherches continuent
NDLR : Une affaire et histoire qui relève de la farce.
Nord : aucune trace de Jonathan
Le dimanche 26 avril, M6 info, extraits
L'angoisse grandit dans le Nord, où Jonathan n'a pas donné signe de vie depuis quatre jour. Le jeune homme de 17 ans a disparu dans la nuit de mercredi à jeudi entre les communes de Bierne et Bergues, alors qu'il rentrait d'une fête entre amis "fortement alcoolisée". L'adolescent a été vu pour la dernière fois aux alentours de minuit. Il quittait le lieu de la fête pour regagner son domicile à pied, à environ deux kilomètres. [...] Si vous avez la moindre information concernant Jonathan Carbon, contactez la gendarmerie de Hoymille au 03 28 68 65 22.
Jeune disparu dans le Nord : les recherches continuent
Créé le 24/04/09 - Dernière mise à jour le 26/04/09 à 13h22 - Europe 1, extrait
Un jeune de 17 ans a disparu dans la nuit de mercredi à jeudi entre les communes de Bierne et de Bergues (Nord). La gendarmerie qualifie la disparition d"inquiétante" et ne privilégie aucune piste.
L'âpre bataille entre les parents d'Elise
Samedi 25 Avril 2009
Burgaud: Une sanction contestée
Par V.V. (avec Reuters)
leJDD.fr, extrait
Fabrice Burgaud, juge d'instruction chargée de l'affaire d'Outreau a reçu vendredi une "réprimande", la plus petite sanction possible, par le Conseil supérieur de la magistrature (CSM). Une décision qui soulève la polémique: les responsables de la commission d'enquête parlementaire parlent d'une "farce", alors que la défense a révélé qu'un magistrat du CSM était lié à l'affaire.
[...] La sanction est aussi contestée sur le terrain politique. Mais là, l'analyse n'est pas celle des avocats de Fabrice Burgaud. André Vallini, qui fut président de la commission d'enquête parlementaire sur l'affaire de pédophilie d'Outreau, a dénoncé samedi la "provocation" que constitue selon lui cette simple réprimande. "Soit le CSM considérait que le juge Burgaud devait être sanctionné et il fallait le sanctionner sévèrement parce qu'il avait mal travaillé, soit le CSM considérait qu'il n'y avait rien à reprocher au juge Burgaud et il fallait à ce moment-là l'exonérer de toute sanction", a-t-il poursuivi sur l'antenne d'Europe 1. Le député socialiste de l'Isère penchait plus quant à lui pour interdire au magistrat d'être à nouveau juge d'instruction. "Les Français ne vont pas comprendre cette décision", a-t-il ajouté en estimant que le mot réprimande est "le plus mal choisi possible" et que cette sanction résulte d'un "esprit de corps".
Même son de cloche chez Patrick Houillon, député UMP du Val-d'Oise et ancien rapporteur de la commission parlementaire. "Le mot réprimande résonne comme une farce", a-t-il estimé dans un entretien accordé au Figaro paru ce samedi. Il est "décalé" et "incompréhensible". "Quand on pense aux 26 années de prison cumulées, aux nombreuses tentatives de suicide, aux familles séparées, cette sanction semble totalement disproportionnée", ajoute Philippe Houillon, qui craint que "l'écart risque de se creuser entre les Français et leur justice".
L'âpre bataille entre les parents d'Elise : un choc culturel, une affaire d'Etats
LE MONDE | 18.04.09 | 14h14 • Mis à jour le 20.04.09 | 08h58, extraits
Avignon Envoyée spéciale
"Maman, elle a fait une bêtise", dit Elise André-Belenkaya du haut de ses trois ans et demi, avant de plaquer sa menotte sur la bouche de son papa. Comme pour clore le débat sur l'âpre bataille qui oppose son père français à sa mère russe depuis l'automne 2007 pour l'obtention de sa garde... Dimanche 12 avril, Irina Belenkaya - qui tentait de franchir avec la fillette la frontière Est ukrainienne depuis la Hongrie après l'avoir enlevée le 20 mars - a été arrêtée sous ses yeux. En détention provisoire à Budapest, elle pourrait être extradée vers la France d'ici au 25 mai.
Le Quai d'Orsay débarque sur Twitter
Burgaud "le bouc émissaire idéal" (USM)
AFP, 24/04/2009 | Mise à jour : 16:50, extrait
Le juge Fabrice Burgaud, réprimandé par le Conseil supérieur de la magistrature (CSM) pour son instruction de l'affaire d'Outreau, est le "bouc émissaire idéal de tous les dysfonctionnements de la justice", estime aujourd'hui dans un communiqué l'USM, premier syndicat des magistrats.
"Au delà du sort personnel de Fabrice Burgaud, bouc émissaire idéal de tous les dysfonctionnements de la justice, l'Union syndicale des magistrats (USM) ne peut que regretter que les réformes préconisées par la Commission d'enquête parlementaire, pour éviter que ce genre d'affaire ne se renouvelle, soient ignorées", écrit le syndicat.
Le CSM inflige une "réprimande" au juge Burgaud
LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 24.04.09 | 06h44 • Mis à jour le 24.04.09 | 18h07, extrait
"La réprimande est une fausse sanction destinée à répondre à la pression de l'opinion publique. Je suis inquiète parce que s'il instruit d'autres dossiers, des innocents risquent encore de finir dans les geôles de la République", a déclaré Roselyne Godard, connue comme "la boulangère" du procès d'Outreau. "La sanction la plus utile aurait été de le contraindre à proférer des excuses, ce qui aurait permis aux magistrats de se remettre en cause", a-t-elle ajouté.
Frank Berton, l'avocat de plusieurs acquittés, a qualifié de "ridicule" la sanction infligée par le CSM, la comparant à la réprimande d'un "maître d'école" à "son élève"."Tant que l'on n'aura pas mis en France un principe de responsabilité des magistrats, on arrivera à ce genre de décision qui n'a aucun sens, aucune réalité. C'est l'illustration d'un corporatisme ancestral. Il faut retirer aux magistrats le pouvoir de juger les magistrats", a-t-il plaidé.
Élise: la mère devant la justice française
AFP, 24/04/2009 | Mise à jour : 16:19, extrait
La mère d'Elise, l'enfant franco-russe que se disputent ses parents, accepte de comparaître devant la justice française où elle est poursuivie pour avoir enlevé sa fille fin mars à Arles, a annoncé aujourd'hui à Avignon le consul général de Russie en France Vadim Barabanov.
M. Barabanov s'exprimait devant la presse, à l'issue d'une rencontre de cinq heures dans un hôtel de luxe d'Avignon entre le père d'Elise, Jean-Michel André, son avocat, et le médiateur russe Anatoli Koutcherena, ainsi que le consul général.
Le Quai d'Orsay débarque sur Twitter
AFP, 24/04/2009 | Mise à jour : 16:18, extrait
Soucieux de mieux se faire connaître du grand public, le ministère des Affaires étrangères a annoncé aujourd'hui qu'il se lance sur le réseau social internet Twitter, et organise samedi une "journée portes ouvertes".
Le père d’Elise propose une « garde partagée » ?
ENLEVEMENT
La mère d'Elise se dit prête à un accord à l'amiable avec le père
NOUVELOBS.COM | 22.04.2009 | 16:46, extrait
De son côté, le père de la petite Elise, qui avait été enlevée par sa mère en avril, a accepté que l'enfant vive la moitié du temps en Russie. La mère russe de la petite Elise s'est dite prête, mercredi 22 avril, à conclure un accord à l'amiable avec le père français de son enfant. C'est ce qu'a déclaré à l'AFP le médiateur russe Anatoli Koutcherena après l'avoir rencontrée en Hongrie, où elle est toujours incarcérée, attendant son éventuelle extradition vers la France. "Je viens de voir Irina Belenkaya. Elle m'a demandé de préparer un projet en vue d'un tel accord", a déclaré le médiateur russe, avocat et membre de la Chambre civile, qui est un organe consultatif auprès du Kremlin composé de membres de la société civile.
Elise: "éviter un marchandage"
Le Figaro, flash actu, 22/04/2009 | Mise à jour : 19:48, extrait
Le père français de la petite Elise, Jean-Michel André, a réaffirmé sa volonté de trouver une solution avec la mère russe, actuellement incarcérée en Hongrie pour l'enlèvement de sa fille, mais sans que cela passe par un "marchandage". "Je ne veux pas de marchandage", a dit M. André, évoquant l'hypothèse d'une négociation portant sur l'abandon des poursuites pesant éventuellement contre lui en Russie. [...] "Je veux trouver un équilibre, c'est un engagement de principe mais il ne s'agit certainement d'une garde à 50%, nous n'avons jamais prononcé le terme de garde", a-t-il précisé, contrairement à ce qu'avait affirmé un avocat russe. Interrogé sur la perspective d'une rencontre avec un émissaire russe jeudi à Paris, M. André a indiqué ne pas être au courant, tout en se disant "tout à fait disposé à continuer à travailler avec les autorités russes".
France soir du 22
Le père d’Elise propose une garde partagée à son ex-compagne
Créé le 21/04/09 à 17h14, Europe 1, extrait
Le père de la petite Elise, enlevée par sa mère russe et retrouvée en Hongrie avant de lui être rendue, a accepté que l'enfant vive la moitié du temps en Russie moyennant deux conditions.
Tollé à l'UMP après les excuses de Royal à Zapatero
Ameriques, 10:32
Obama, la star du sommet
AFP/LT, extrait
Le président américain Barack Obama a séduit ses homologues d’Amérique latine au sommet de Trinité-et-Tobago, mais la question cubaine menaçait dimanche l’accord sur une déclaration finale, à quelques heures de la clôture.
Plusieurs chefs d’Etat se sont dit impressionnés à l’issue d’une rencontre entre M. Obama et douze dirigeants membres de l’Union des nations sud-américaines (Unasur).
«Nous avons tous pu lui parler et il a répondu à chacun», a fait valoir le président uruguayen Tabaré Vazquez, issu de la gauche, ajoutant: «Cela n’arrivait pas auparavant».
"Faisons la paix", propose le père d'Elise à sa mère
LEMONDE.FR avec AFP | 19.04.09 | 10h10, extrait
Jean-Michel André, le père de la petite Elise qui a récupéré la semaine dernière sa fille enlevée par sa mère, citoyenne russe, se déclare dans une interview au Journal du Dimanche "prêt à retirer sa plainte". "Je veux qu'elle réalise ce qu'elle a fait, qu'elle s'excuse publiquement. Faisons la paix", déclare Jean-Michel André au JDD du dimanche 19 avril.
Tension et boycott avant la conférence sur le racisme de l'ONU
LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 19.04.09 | 13h11 • Mis à jour le 19.04.09 | 16h43, extrait
La Conférence internationale de l'ONU sur le racisme, qui doit s'ouvrir lundi 20 avril à Genève, semble être partie sur de mauvaises bases. Cette réunion doit évaluer les progrès réalisés depuis la première conférence onusienne qui s'était tenue, en 2001, à Durban. Celle-ci avait débouché sur l'adoption d'un plan d'action contre le racisme, mais s'était achevée dans la confusion, des accusations d'antisémitisme et un départ fracassant des Etats-Unis et d'Israël.
« Je n'ai rien fait d'illégal », affirme la mère d'Elise
Ouverture d'une troisième enquête pour violence policière en marge du G20
LEMONDE.FR avec AFP | 18.04.09 | 18h22 • Mis à jour le 18.04.09 | 20h16, extrait
Une troisième enquête a été ouverte sur la conduite de la police britannique pendant les manifestations anti-G20 à Londres début avril, a annoncé, samedi 18 avril, Scotland Yard. "Une troisième plainte avait été confiée à l'IPCC", concernant un incident survenu le 1er avril, a indiqué la police londonienne, sans donner plus de détails.
L'IPCC, commission indépendante étudiant les plaintes à l'encontre de la police, a déjà deux affaires en cours suite aux manifestations au sommet de Londres. La première concerne la mort de Ian Tomlinson, victime d'une hémorragie abdominale après avoir été poussé à terre par un policier. La seconde implique Nicola Fisher, une manifestante frappée par un policier du revers de la main, puis de d'une matraque, le tout filmé en vidéo.
Elle réclame son enfant
"Je n'ai rien fait d'illégal", affirme la mère d'Elise
Invoquant la loi russe, Irina Belenkaya, accusée d'avoir enlevé sa fille Elise le 20 mars à Arles, dans le sud de la France et écrouée à Budapest, estime n'avoir "rien fait d'illégal" et réclame la garde de l'enfant, dans un entretien au Journal du dimanche samedi.
LeMatin.ch & les agences - le 18 avril 2009, 15h47
"C'est vrai, j'ai reçu quelques jours seulement avant de partir en France une assignation en divorce qui stipulait que je n'avais pas le droit de faire sortir ma fille du territoire français", reconnaît Mme Belenkaya, au parloir de la prison de Budapest.
"Mais un tribunal russe m'a confié la garde de ma fille", ajoute-t-elle. "Donc, au regard de la loi russe, je n'ai rien fait d'illégal".
Elise : « l'intérêt de l'enfant va être recherché », selon le procureur
Voir aussi L'alibi généralisé de la notion de l'intérêt de l'enfant
Voir également De précédents litiges autour d'enfants bi-nationaux
Bataille juridique franco-russe autour de la mère d’Elise
France Info - 19:02, extrait
Elise, la fillette franco-russe enlevée par sa mère fin mars, est arrivée en France en début d’après-midi. Elle devait rejoindre Marseille en fin de journée. Son père était parti la rechercher jusqu’en Hongrie. Si Paris et Moscou se divise maintenant pour trancher la question de la garde de l’enfant, quid de la mère toujours en garde à vue à Budapest ?
Irina Belenkaïa au cœur d’un casse tête juridique franco-russe. La mère d’Élise, toujours placée en garde à vue en Hongrie où elle avait été arrêtée dimanche soir, fait en effet l’objet en France d’une information judiciaire pour “soustraction de mineur par ascendant”. Une procédure qui s’ajoute aux deux mandats d’arrêt européens émis par la justice française, l’un après le dernier enlèvement, l’autre après avoir tenté d’enlever Elise une première fois en 2007.
Elise : Paris prêt à des consultations
Élise: Paris prêt à des consultations
AFP, 14/04/2009 | Mise à jour : 14:35, extrait
Le ministère français des Affaires étrangères s'est dit prêt aujourd'hui à des consultations demandées par la Russie pour trouver une solution à l'affaire de la fillette franco-russe Elise André, dont les parents se disputent la garde.
Publié le 14/04/2009 à 10:16 - Modifié le 14/04/2009 à 14:22 Le Point.fr, extrait
RETROUVÉE DIMANCHE EN HONGRIE - Élise et son père de retour en France
Élise, la fillette franco-russe enlevée par sa mère le 20 mars à Arles et retrouvée ce week-end en Hongrie , est arrivée vers midi à Roissy en compagnie de son père, selon une source aéroportuaire. Tous deux ont embarqué mardi matin à l'aéroport de Budapest et vont repartir pour Lyon.
Moscou juge le retour d'Elise en France « précipité »
MOSCOU (AFP), il y a 18 heures, extrait - La Russie propose à la France des consultations au niveau des juristes à propos d'Elise, fillette franco-russe enlevée le 20 mars par sa mère en France et rendue à son père après avoir été retrouvée en Hongrie, a annoncé mardi le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.
La décision des autorités hongroises de renvoyer en France avec son père Elise, enlevée par sa mère russe et retrouvée en Hongrie, est "précipitée", a estimé mardi Sergueï Lavrov.
Elise retrouvée ce week-end en Hongrie, et son père embarquaient mardi matin à l'aéroport de Budapest en direction de Paris-Roissy. Ils ont enregistré sur un vol à direction de l'aéroport de Paris-CDG, dont le départ était prévu à 07H40 GMT. L'avion de la compagnie hongroise Malev doit se poser à 10H00 GMT (12H00 locales) à Roissy et débarquer ses passagers au terminal 2D.
ENLEVEMENT
Moscou juge le retour d'Elise en France "précipité"
NOUVELOBS.COM | 14.04.2009 | 11:17
Jean-Michel André qui a retrouvé en Hongrie sa fille, enlevée le 20 mars à Arles, a embarqué pour la France en compagnie de la fillette. La mère de l'enfant a été placée en garde à vue.
Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a estimé ce mardi 14 avril, que la décision des autorités hongroises de renvoyer en France avec son père Elise, enlevée par sa mère russe et retrouvée en Hongrie, était "précipitée".
La petite Elise et sa mère arrêtées en Hongrie
La petite Elise et sa mère arrêtées en Hongrie
lefigaro.fr, avec AFP
13/04/2009 | Mise à jour : 13:36, extrait
La fillette franco-russe, âgée de trois ans et demi, avait été enlevée le 20 mars par deux hommes et une femme alors qu'elle revenait de l'école avec son père, qui avait été violemment frappé.
« On russifie Elise », estime Jean-Michel André
« On russifie Elise »
Créé le 10.04.09 à 03h39 | Mis à jour le 10.04.09 à 03h39, 20 minutes
L'avocat du père de la petite Elise, pourrait se rendre en Russie « dans les prochains jours », a annoncé hier Jean-Michel André, le père de la fillette. Celui-ci veut vérifier auprès des autorités si la petite fille, âgée de 3 ans et demi, n'a pas été emmenée en Russie après son enlèvement en plein centre d'Arles, le 20 mars.
Une réunion de travail était organisée hier à Paris entre Jean-Michel André, le ministère de la Justice, le secrétariat d'Etat aux droits de l'homme, en liaison avec l'ambassade de France à Moscou. « Cette réunion prouve que l'on est sur la piste russe, estimait hier Victor Gioia, avocat du père d'Elise, au sortir du ministère. On sent que le gouvernement français est plus que mobilisé. » Dès le lendemain de l'enlèvement, Jean-Michel André avait accusé son ex-femme, d'origine russe, de l'avoir organisé. Les deux parents, en instance de divorce, se disputent la garde de l'enfant. « Actuellement, on est en train de russifier ma fille, estime Jean-Michel André. Il faut que l'enquête avance vite. Si je vois que ça n'avance pas, j'irai moi-même en Russie. » Hier, à l'issue de la réunion, le ministère indiquait ne « disposer d'aucune information » sur la présence d'Elise en Russie.
Samedi 04 Avril 2009, Ouest France
Privée de ses enfants
JUSTICE. Une mère est sans nouvelles de ses jumeaux, soustraits par leur père l'été dernier
Christelle vit dans la banlieue de Bordeaux. Elle s'est sentie particulièrement concernée lorsque l'actualité récente a évoqué l'enlèvement de la petite Elise, à Arles, ou encore l'affaire Fortin, ce père qui a soustrait ses fils pendant des années à leur mère. Autant de souffrance qu'elle comprend puisqu'elle n'a pas revu ses enfants depuis l'été dernier.
Il s'agit de jumeaux de cinq ans et demi, un garçon et une fille, dont elle est absolument sans nouvelle depuis que leur père a refusé de lui ramener, le 3 août 2008, après en avoir eu la garde une quinzaine de jours. À cette date, il a coupé son téléphone portable. « Je ne vis que pour ça, pour les retrouver. Et je me bats pour ne pas tomber dans la dépression, car ce serait comme baisser les bras. Et ça, il n'en est pas question. »
Le Japon pique sa crise (des missiles)
ASIE
Dans Newsweek : "Le Japon pique sa crise (des missiles)"
NOUVELOBS.COM | 10.04.2009 | 17:44, extrait
La réponse frénétique de Tokyo au dernier tir de missile nord-coréen a peut-être aidé Kim Jong Il.
> Cet article a été publié sur le site internet de Newsweek le 6 avril.
Un habitant de Takizawa, dans le nord du Japon, observant le lancement d'un engin nord-coréen. (Reuters)
JOE BIDEN avait prévenu pendant la campagne électorale qu’il "ne faudrait pas six mois avant que le monde ne mette Barack Obama à l’épreuve" par une crise internationale, quelle qu’elle soit. Dimanche dernier, Kim Jong Il a fait de son mieux pour réaliser la prédiction, en lançant un missile à longue portée Taepodong-2 en direction du Japon. Washington, Tokyo et Seoul ont dénoncé ce lancement comme une violation d’une résolution des Nations Unies interdisant au Nord de lancer des projectiles balistiques. Le président Barack Obama déclara devant la foule à Prague que "la Corée du Nord n’a pas respecté les règles", et que "les infractions doivent être punies".
Que ce tir de missile déclenche une crise internationale en bonne et due forme, c'est à voir. Du côté du Japon, on semble avoir choisi de faire comme si c'était déjà le cas. Quelques secondes après le lancement, les journaux tokyoïtes distribuaient des éditions spéciales dans les rues et les journaux télévisés s’arrachaient les interviews de passants, afin d'offrir au pays l’image de l’homme de la rue "effrayé" par la menace nord-coréenne. Selon un sondage commandé par le quotidien Yomiuri, 78 % des personnes interrogées ce week-end pensent que Tokyo devrait imposer plus de sanctions au Royaume Ermite. Il ne faut pas s’étonner de cette réaction réflexe. L’opinion publique japonaise est outrée à l'égard du programme nucléaire nord-coréen, tout comme elle l’était dans les années soixante et soixante-dix par les enlèvements de citoyens japonais, encore inexpliquées à ce jour.
Encouragés par leur opinion publique, les diplomates japonais ont appelé à une réunion d’urgence dimanche du Conseil de Sécurité des Nations Unies, afin de punir la belligérance du Nord. Bien que les Etats-Unis et le Japon aient réclamé une réponse ferme, rien de concret n’est sorti de la réunion, du fait des appels à la retenue des Chinois et des Russes, alliés de longue date de la Corée du Nord. Le Japon, cependant, continuera d’être aux Nations Unies à l’avant-garde de ceux qui poussent à l’adoption de mesures punitives. Dans tous les cas, les pays membres pourront dans les prochains jours exprimer leur colère aux Nations Unies pour punir Pyongyang. Quel que soit le résultat, Tokyo a l’intention d’imposer unilatéralement des sanctions supplémentaires, dès cette semaine.
ENLEVEMENT
Le père d'Elise accuse les autorités russes de ne "pas faire d'enquête"
NOUVELOBS.COM | 10.04.2009 | 07:20
Jean-Michel André souhaite se rendre, dans les semaines qui viennent, en Russie pour retrouver sa fille qui aurait, été d'après lui, enlevée par sa mère russe.
Le père de la petite Elise, enlevée le 20 mars à Arles, accuse jeudi 9 avril les autorités Russe de ne "pas faire d'enquête". Il s'est dit par ailleurs déterminé à se rendre dans les prochaines semaines en Russie pour tenter de localiser sa fille. Jean-Michel André venait d'être reçu au ministère de la Justice par des membres du cabinet de Rachida Dati, de la secrétaire d'Etat aux Droits de l'Homme Rama Yade, et du Quai d'Orsay, pour faire le point sur les recherches de la petite fille de trois ans et demi.
Le père d'Elise souhaite qu'on entende le compagnon de son ex-femme
Société
Enlèvement d'Elise: le père souhaite qu'on entende le compagnon de son ex-femme
AP | 31.03.2009 | 16:05
Le père d'Elise, cette fillette de trois ans et demi enlevée le 20 mars dernier en Arles (Bouches-du-Rhône) et introuvable depuis, a appelé mardi la presse à l'aider dans sa recherche d'un témoin de poids, qui pourrait le mettre sur la piste de la fillette.
La petite Elise introuvable une semaine après son enlèvement
PARIS (Reuters), 27.03.09, 17h40, extrait - Une semaine après son enlèvement dans le sud de la France, le père d'Elise demande aux autorités russes la confirmation officielle de la présence en Russie de la fillette, au coeur d'un conflit juridico-familial.
Jean-Michel André a reçu deux courriers électroniques dans lesquels son épouse russe, Irina Belenkaïa, affirme que la fillette se trouve désormais en Russie, sept jours avoir été kidnappée à Arles (Bouches-du-Rhône).
Mais ces mails, "n'importe qui a pu les écrire", a déclaré le père à Paris, où il était venu rencontrer des journalistes pour maintenir une "extrême pression" médiatique sur le cas de sa fille, âgée de trois ans et demi.
"J'attends un communiqué officiel du gouvernement (russe). Je pense qu'ils feront ce communiqué et le donneront à l'ambassade (de France) dès qu'ils auront la possibilité d'être certains de ce fait-là", a-t-il ajouté. "Cela fait une semaine que je n'ai pas de nouvelles."