Mot(s) clef: bardot
Un hashtag de plus
Je pense qu'il est inutile de s'attarder plus sur #LMEF, où j'ai archivé quelques notes perso. Après cette diffusion du 16, je n'ai vu paraitre rien d'autre qu'un court article et extrait dans le blog de Jean-Marc Morandini : « Morandini Zap: Des dirigeants détournent de l'argent public destiné aux enfants ». « Saloperies de mineur(e)s, en plus, ça coûte ! »
Ici, dans mon propre blog, je ne vais pas faire beaucoup plus d'efforts que Morandini, et principalement noter que ce sont des poules qui ont retenu l'attention des gens. En effet, ce jour, je remarquais qu'il a pu y avoir gros bad buzz ou vrai polémique, éventuellement dans le prolongement de la diffusion de #LMEF de la semaine passée... Je comprend évidemment les gens. Ce dont souffrent 100 000 poules, c'est assez terrible, on vient de le voir à la télé, tandis que nous ne savons pas grand chose de ce dont pourraient souffrir ou non environ 500 000 mineurs d'une classe d'âge...
D'autres faits et chiffres nous renseignent ? Les audiences de la soirée du mardi 9 septembre 2014 #LMEF... « Elevage intensif, 1 191 000 spectateurs, 4.8 % ». « Enfants en souffrance, la honte" a séduit 855.000 téléspectateurs pour 3,4% du public », peut-on aussi lire chez Morandini. Un petit tour sur Google Trends nous éclaire également.
Toujours les mêmes rengaines:
"Non, tout va très bien! #LMEF Quoi faire pour y voir clair?"
http://t.co/Oaj0s40ZYS pic.twitter.com/2bQRt5REaG
— Bruno Kant (@bkant) 17 Septembre 2014
Audience d'H pr #violencesconjugales & d'avoir jeté un lapin par la fenêtre. 6 avocats pour défendre le lapin.... ?!! http://t.co/pWjpEfEWiv
— mascuwatch (@mascuwatch) 13 Septembre 2014
Pour que la lutte contre la maltraitance des enfants soit grande cause nationale 2014.Deux enfants meurent par jour. pic.twitter.com/7q2QCC53aV
— Valerie Trierweiler (@valtrier) 3 Décembre 2013
#LMEF L'enfant proie, un livre de Pascal Vivet, Samuel Luret, 2005... Dysfonctionnements et dérives pic.twitter.com/T6gh52yEUj
— Bruno Kant (@bkant) 16 Septembre 2014
#LMEF @pmtokyo Un autre truc juste ignoré, même pas commenté? Rien dans la presse depuis ce matin: http://t.co/24749fMOm1
— Bruno Kant (@bkant) 17 Septembre 2014
Un « mur des homophobes » à Paris
Je note, après RSF, ActUp a à son tour manifesté au voisinage de Beaubourg. Je note surtout la complaisance de Paris. Des groupuscules tels que les FEMEN, ActUp ou RSF y sont tolérés, voire même encouragés ; mais quand je me rends à Paris pour protester, les autorités me cherchent des poux ou des maladies mentales !
Ma propre santé ou ce que martèle l'Etat français, qui souhaite manifestement encore me faire passer pour un dérangé, je l'évoquerais à nouveau en juin prochain, au cours de la journée d'étude de l'ONED sur le thème de « La santé des enfants accueillis au titre de la Protection de l’enfance ». En octobre 2010, à Blois, pour les rendez-vous de l'histoire, un modérateur m'avait fait une réponse assez censée, me lâchant qu'un peu partout, les opposants sont souvent traités de fous. En novembre 2012, j'ai répondu à Marie Derain, Défenseur des droits ; elle n'a pas réagit. En février dernier, j'ai écrit à la préfecture du Val-de-Marne ; je n'ai pas obtenu de réponse. En février dernier, j'avais aussi écrit à l'Elysée ; ma correspondance y est toujours à l'étude. Cet hiver, j'avais également écrit à France 2, qui ne m'a pas répondu non plus. J'en passe, des meilleures. Que me lâchera l'ONED, en juin prochain, un grand silence ?
Pour ce billet, je note également que l'engagement 31 (mariage pour tous), c'est fait. 50 (le droit de vote des étrangers), ça suit. Beaucoup (des minorités et des étrangers) auront ensuite enfin plus de droits - à faire valoir dans des tribunaux réputés défaillants. Pendant ce temps, en France, les classes moyennes empruntent le « descenseur social ».
Il doit s'agir du « rêve » ou des idéaux dont les socialistes et Hollande nous parlaient au cours du printemps 2012.
Société | 17/05/2013 - 20:47
Un "mur des homophobes" à Paris, le JDD
Personnalités politiques, animateurs de la Manif pour tous, chefs d'Etats étrangers, responsables religieux : Act Up-Paris a dévoilé vendredi à Paris un "mur des homophobes" à l'occasion de la journée internationale contre l'homophobie.
Une cinquantaine de militants de l'association se sont rassemblés près du Centre Pompidou devant une trentaine de portraits barrés du slogan "L'homophobie tue". Parmi les personnalités brocardées par l'association figurent plusieurs responsables religieux : le pape François, l'archevêque de Paris André Vingt-Trois, l'ex-grand rabbin Gilles Bernheim, ou le président du Conseil français du culte musulman (CFCM) Mohammed Moussaoui. Sur un autre panneau, la députée Christine Boutin et la chef de file de la Manif pour tous Frigide Bardot côtoyaient les présidents Mahmoud Ahmadinejab, Vladimir Poutine et Robert Mugabe. L'ancien leader socialiste Lionel Jospin, la députée FN Marion Maréchal-Le Pen, ou le président camerounais Paul Biya sont également représentés.
Après le mur des cons,on affiche publiquement le mur des #homophobes . #ACTUP #IDAHO #sida #aids… instagram.com/p/Za42h1Kg0_/
— Julien Danjoux (@Bitchy_Boys) 17 mai 2013
Pages: 1 · 2
#Bugarach #FinDuMonde Le Maya est farceur #éléphants
#FinDuMonde #Bugarach "un poste médical avancé et une équipe médico-psychologique se tient prête à intervenir" lindependant.fr/2012/12/21/un-…
— Bruno Kant (@bkant) Décembre 21, 2012
#Bugarach #FinDuMonde Je devrais pouvoir survivre, j'ai un entonnoir, celui que j'utilise pour faire chier les juges justice.cloppy.net/index.php/epil…
— Bruno Kant (@bkant) Décembre 21, 2012
Valse avec les loups
Certains ne doutent de rien, ils s’en vont au front comme en 14, la fleur au fusil et le verbe très haut.
On sait que les mots et les discours sont chargés de sens et qu’ils peuvent tuer ou pousser des foules au conflit voire même vers les charniers, de différentes manières. On sait à peu près comment initier de tels mouvements. Nous n’avons que peu de certitudes : ça peut marcher mais par la suite, il est souvent difficile et pénible de trouver les mots et les moyens qui apaiseront ces mêmes foules. Ces jours-ci, on nous parle beaucoup de la Guadeloupe. Il semblerait qu'un cadavre - puisqu’il en faut un à chaque fois… - vient d’émouvoir le pouvoir.
Il arrive qu’un livre voire son auteur et une œuvre soient stigmatisés et parfois même durablement discrédités pour quelques mots et pensées qu’ils expriment ou soutiennent. Un livre noir, son contenu et ses références ont fait couler beaucoup d’encre au cours de ces dernières années. Certains estiment la prose de cet ouvrage excessive mais il reste en vente libre. Peu avant sa parution, j’avais eu l’opportunité d’étudier son contenu, quelques initiés en avaient dévoilé des bribes sur Internet suite à quoi je publiais un article intitulé Le code noir. Un mois plus tôt, je publiais Les pignoufferies. Depuis, j’ai pris beaucoup de distances.
Il y a quelques temps, je recevais un boulet rouge du service juridique de la LICRA qui me priait de supprimer des écrits dans mes références. Un livre m’avait heurté avant même sa parution, j’avais encore découvert des présentations qui me stupéfiaient et l’ouvrage qui m’est parvenu par la suite, en octobre dernier, n’a fait que renforcer mes interrogations. Peut-on tout écrire ? Cet ouvrage reste également en vente libre. Il me semble que son contenu n’a pas suscité les débats qu’il pouvait alimenter, j’en suis aujourd’hui d’autant plus stupéfait.
En ces périodes troubles, je me demande ce qu’est « la loi » et à quoi ou à qui ça sert. Aux chiens ?
Bretagne
Trafic de chiens. Rumeur ou réalité?
Le Télégramme, 1 février 2009
Y aurait-il un trafic de chiens en Centre-Bretagne? Si les malheureux propriétaires l'affirment, la gendarmerie ne souhaite pas accréditer cette thèse!
Depuis quelques semaines, la rumeur enfle à mesure que la liste des disparitions de chiens s'allonge! Y aurait-il un trafic localisé en Centre-Bretagne mais débordant sur un rayon plus large dans les départements du Morbihan, du Finistère et des Côtes-d'Armor? Organisatrice d'un rassemblement, hier matin devant les grilles de la gendarmerie de Baud (56), Martine Philippon en est persuadée. Une liste en main, cette enquêtrice de la fondation Brigitte Bardot assure avoir collecté plus de 90 plaintes, depuis le début du mois de novembre. Autour d'elle, une cinquantaine de propriétaires, devenus orphelins de leur animal de compagnie, partage son inquiétude. «On a du mal à imaginer qu'un chien qui vous est attaché, disparaisse du jour au lendemain», s'interroge le propriétaire d'un berger allemand, porté disparu depuis le mois de décembre. «Mon dogue allemand a disparu il y a quelques semaines et j'ai fait plus de 2.000km pour tenter de le retrouver, mais en vain», se lamente une autre propriétaire.
» Dordogne » Actualité
Mercredi 18 Février 2009, www.sudouest.com/dordogne
La belle de nuit et les faisans
TRIBUNAL. Une sombre et étrange affaire de faisans et de perdreaux volés jugée hier à Bergerac
Comme le dit Jean-Luc Gadaud, le procureur de Bergerac, cette histoire fleure bon la Dordogne : de l'élevage, de la chasse, de l'adultère et des chamailleries... Ce mardi, le prévenu, âgé de 57 ans, est accusé d'avoir volé dans la nuit du 7 au 8 septembre 2007, chez un éleveur d'un petit village du Sud Dordogne, 200 faisans et 100 perdreaux.
Il nie. Il a bien sûr un alibi : « J'étais chez moi, puis chez quelqu'un. » « Oui, chez votre bonne amie, sourit la présidente. Une femme mariée dont vous taisez le nom. »
Voilà le préjudice subi par les victimes : outre les 300 oiseaux volés, 3 000 jeunes faisans sont morts en s'étouffant les uns les autres, effrayés par le vol en cours. Coût : 15 000 euros. La perquisition chez le prévenu a été fructueuse : tout le matériel pour être éleveur sans qu'il soit déclaré, et des caisses de volailles sur lesquelles est écrit « barbe », comme celles des victimes. Pour finir, un témoin, éleveur aussi, a relevé l'immatriculation d'un fourgon rempli de caisses la nuit du vol, près du lieu du méfait. La même que celle du prévenu.
Un petit pot pourri
Ce 11 courant, j'ai expliqué à Justine qu'elle pouvait être rassurée. La « justice » m'avait reproché d'exposer ce qui serait sa vie privée, mais ce qui suit n'est pas vraiment en rapport, je l'avais déjà écrit dans de précédents billets.
Je crois qu'il est utile de rappeler ici que ma cadette qui est née en 2003 est à la maison, depuis toujours.
Après le naufrage d’Outreau, nous pouvions supposer que l’ère des certitudes était révolue, on nous annonçait qu’une culture du doute allait être promue, qu'elle l'était déjà depuis plusieurs années. Par le passé, certains pouvaient être persuadés, intimement convaincus, tandis qu’aujourd’hui, d’autres vont douter d'abord... être gênés par ce qu’on leurs raconte, et, en réponse, affabuler ou divaguer encore ? A l'évidence, je suis brouillé avec une certaine forme de « justice ». J'ai souvent pensé à des lettres de cachet pour affaires de « famille ».
Il y a 3 mois, manifestement sans tout connaitre de mes divers dossiers, Maître Eolas semblait persuadé que j’avais « perdu ». Je me demande encore sur quoi ce monsieur pouvait fonder son opinion… Maintenant, c’est une petite association putéolienne qui, à son tour, « communique » sur Internet. Le premier est un vrai professionnel, la seconde est plus éclectique. Le premier a l’expérience de la justice, son milieu et ses moeurs. La deuxième exprime des opinions et porte des jugements qui me paraissent aussi hasardeux et choquants que ceux de certains « professionnels » oeuvrant en faveur de l’enfance... Cela n'est pas très rassurant.
Par le passé, un couple de putéoliens semblait ravi de m'avoir croisé... D'ici quelques temps, ils pourraient encore être priés de supprimer des billets dans le blog de leur association, on verra. Sur Internet, on ne devrait pas publier n'importe quoi, le fil de l'actualité nous le rappelle occasionnellement.
La cour d'appel de Versailles semble pour sa part douter, elle vient de renvoyer deux fois, après débats. Cette cour a sûrement une bonne connaissance de cette affaire d'« assistance éducative » ou de ce « rapt » de ma fille ainée. De même, le nouveau juge pour enfant qui vient d'autoriser une sortie dans Strasbourg doit également avoir un meilleur éclairage que ceux qui s'expriment de manière péremptoire, dans leurs blogs, en me refusant tout droit de réponse.
Je ne suis pas aussi difficile et rigide. Par le passé, j'ai supprimé quelques mots pour faire suite à une demande de la Directrice juridique des éditions Dalloz. Il m'est aussi arrivé d'anonymiser quelques coupons de presse, après avoir reçu un simple email. Ici, les commentaires sont rares, les gens n'en font que peu et, parfois, j'estime préférable de les censurer, surtout s'ils contiennent des noms, des noms d'oiseaux, voire des liens trop étranges.
En 2006, j'ai été convoqué par la police car Maître Roughol m'avait lu et n'était pas contente. Il n'y a pas eu de suite.
Contrairement aux membres de l'Arche de Zoé, peut être un peu comme un autre blogueur de Puteaux, hormis le « placement » de Justine qui dure et perdure sans la moindre information d'elle, sans la moindre relation avec elle pendant trois ans, je pense qu'à ce jour, je m'en sors plutôt bien.
Certaines de mes décisions et mes écrits dérangent. Les écrits de Péan dérangent aussi, « il n'a pas les codes. Il n'est pas facile avec les mots. Au fond de lui, il a toujours la marque de son extraction modeste », peut-on lire sur l'Express. Revoir la sociologie de la bourgeoisie... Moi, je n'ai pas choisi cette voie, la « justice », puis l'écriture, d'autres en ont décidé ainsi ; en 2003, des autistes nous sont tombés dessus puis Justine a comme disparue...
Je n'ai évidemment pas la stature de Péan, je suis donc encore moins qu'un « nain » si l'on se réfère à l'opinion récemment exprimée par BHL... « un véritable monstre » selon ces deux blogueurs de Puteaux, mûr pour une « psychothérapie » d'après ce que me suggérait Maître Eolas. Le jugement du 30 juin dernier dont je fais appel, après la cassation, n'en parlons même pas. Je redoute d'entendre un jour qu'il existerait une sorte d'Unterschicht en France, une Schicht rien que pour moi, dans la chambre du conseil, ce n'est pas très clairement exprimé.
Mais comme Péan, je m'entête dans l'improbable. Dans l'affaire Kouchner, comme à son habitude, Péan aurait mis de côté 15 % de son enquête. En cas de représailles.
Le poussin semble avoir suscité quelques émotions et, peut être, de la curiosité, voire quelques interrogations ; j’ai pu le constater ici et là, sur Internet, ainsi qu’avec les évolutions des statistiques de ce site. Je n’avais jamais remarqué phénomène similaire dans mes statistiques, lorsque je ne parlais que d’enfances, de familles et de justice.
Ceux qui ont été interpellés mais qui n'ont que faire de l'enfance et de la famille devraient bientôt être renseignés. D'ici quelque temps, nous saurons comment la chancellerie ou même la fondation Brigitte Bardot auront réagit à l'envoi par la poste ainsi qu'à l'image du poussin publiée sur Internet. Aujourd'hui et comme un juge pour enfant est toujours saisi, j'ai le sentiment qu'il n'y aura jamais la moindre réaction officielle et publique mais je peux me tromper. Des gens réagissent souvent en faveur des animaux.
From: Bruno KANT
To: communication@fondationbrigittebardot.fr
Cc: communication@ose-france.org ; accueil.dg@arsea.fr ; cyberjustice@justice.gouv.fr
Sent: Saturday, February 07, 2009 2:10 PM
Subject: J'assume
Par le passé, dans le cadre de l'affaire Sébastien, la Ligue des Droits de l'Enfant belge était intervenue auprès du Président de la République française. J'ai envoyé un email à la Ligue Royale Belge pour la Protection des Oiseaux pour les informer que l'un de leurs communiqués figure parmi mes références. Cette ligue nous invite à respecter les oiseaux, la vie. L'ARSEA communique également sur le thème du respect des autres...
Depuis 2003 et le « signalement » à l'ASE, il s'est à mon avis instauré une relation très particulière entre moi, les autorités, des ministères, divers services et quelques élus français. J'échange des correspondances depuis plusieurs années et depuis tout ce temps, je lis et j'observe, je parle, j'écris, j'écoute des discours... Le poussin ainsi qu'une carte de visite sont bien parvenus au Ministère de la justice, à l'attention du Garde des Sceaux. Son cabinet saura réagir de façon appropriée.
Dans son blog, le président de cette association putéolienne s'est laissé aller à des insinuations des plus douteuses, je n'en ai pas vu apparaitre de telles ailleurs. Ce... « Président » semble aussi fantasmer qu'il pourrait recevoir un colis de ma part ? La petite Zohra devrait avoir reçu des chaussettes. En janvier dernier, sa maman faisait part de ses remerciements... Mais je crois qu'on s'égare, il y a chats bien plus sérieux à fouetter.
J'attends Felix chez les sauvages, l'édition de 1949, ainsi que le même livre dans son édition de 1933. Ca va me distraire, comme ces cours de culture psychique. Je préfère ces lectures à certaines activités sportives.
USA : des juges ripoux au service de prisons privées
Julie Connan (lefigaro.fr), 17/02/2009 | Mise à jour : 16:30, extrait
Deux magistrats de Pennsylvanie ont reconnu avoir touché plus de 2.6 millions de dollars pour envoyer en détention des délinquants mineurs qui ne méritaient pas une telle peine.
[...] Autrement dit, plus le nombre d'enfants incarcérés était grand, plus la commission et le pot-de-vin reversés aux juges augmentaient. Au total, les deux juges auraient permis à PA Child Care de toucher 58 millions de dollars.
[...] En sept années, plus de 5.000 adolescents de 13 à 18 ans ont été jugés coupables par les deux hommes qui opéraient dans une ancienne région minière pauvre à majorité blanche. Parmi eux, plus de 2.000 ont été envoyés en détention.
«Les jeunes étaient des cibles faciles. Beaucoup d'entre eux n'avaient même pas d'avocats et quand ils demandaient un avocat commis d'office, on leur disait qu'il faudrait attendre des semaines», en prison, selon une responsable de cette association. En fin de semaine, le Juvenile Law Center devrait déposer de nouvelles plaintes de plusieurs dizaines de familles.
Le lancer de nains, CE, 27-10-95, Cne de Morsang-sur-Orge
Il faut décrédibiliser le soldat Vinolas
Créé le 17.02.09 à 21h21 | Mis à jour le 17.02.09 à 21h28, 20minutes.fr
JUSTICE - Ses révélations ont été mises en doute par des hauts fonctionnaires, ce mardi, au procès Colonna...
Commentaire de Me Sollacaro, avocat de Colonna : « C’est une kyrielle de menteurs patentés. »
« J'comprends rien »
Je constate que sur Internet, plus grand monde ne s'aventure à une réponse ou à un commentaire. Depuis hier, j'ai eu droit à de la censure, à un « j'comprends rien », à un « faites donc une pétition, on sait bien que la justice est défaillante » et enfin à « on envoie pas des poussins crevés à Dati ».
Dans le forum actualités de Doctissimo, quelques intervenants et modérateurs ne manquent pas d'humour. J'en retiens que le « pauv' poussin, nous aurions pu le laisser grandir, puis le bouffer ». J'en retiens encore que les actualités d'il y a 4 ans n'intéressent plus personne mais on m'a rassuré, les six chiens iraient aujourd'hui très bien bien. A l'époque, dans le forum du Monde, quelqu'un s'était apitoyé sur le sort de « ces pauv' bêtes que la faim avait contrainte à bouffer un gosse ». Les actus de fin décembre dernier, ça ne les intéresse pas. Je me suis dit qu'il était inutile de leurs reparler des actus de janvier, même si nous attendons un délibéré pour la fin mars.
C'est dans ce contexte que je me plains depuis 6 ans d'anomalies diverses et que je me plains depuis la mi-2005 du « rapt » puis de la « disparition » de ma fille ainée. Je crois que je vais bientôt jeter l'éponge, tout le monde se défile, que je les interpelle en public ou que je les invite dans les tribunaux, ce que me suggérait très vivement la chancellerie. Dans le Monde du jour on peut encore lire que « la société serait régie par des lois » ; laissez moi rire.
Manifestation de la justice, à Paris, le 29 novembre 2007
----- Original Message -----
From: Bruno KANT
To: communication@fondationbrigittebardot.fr
Cc: communication@ose-france.org ; accueil.dg@arsea.fr ; cyberjustice@justice.gouv.fr
Sent: Saturday, February 07, 2009 2:10 PM
Subject: J'assume
Catherine Martin : "Mes fils ont vécu dans la peur du gendarme"
LE MONDE | 07.02.09 | 15h16 • Mis à jour le 08.02.09 | 10h44, extrait
L'arrestation de leur père a-t-elle fait prendre conscience à Shahi'yena et Okwari que la société est régie par des lois ? "Eux seuls pourraient répondre", dit prudemment leur mère.
Evêque négationniste : pas d'excuses
AFP, 07/02/2009 | Mise à jour : 11:50, extrait
"Si je trouve des preuves alors je rectifierais" les propos tenus, a affirmé l'évêque.
Quand le bichon de Chirac agace les auditeurs
France Info - 09:55, Chroniques, Ecouter les explications de Pascal Delannoy avec Jean Leymarie (4'15")
Un petit paquet ?
La chancellerie reçoit occasionnellement de petits paquets, j’en poste un. J’attends ensuite avec impatience sa réaction ainsi qu’éventuellement, celle de PETA et celle de la Fondation Brigitte Bardot.
En octobre dernier, je recevais un boulet rouge alors que je venais de publier un article dans mes références. Je l'ai remis en ligne à l'identique et, là encore, j’attends de constater quelles seront les réactions, potentiellement très vives.
Pour tuer le temps, souvent très long lorsque la justice est saisie, je propose un exercice de karaoké.