Mot(s) clef: joyeuxdivorce
15 000 euros pour retrouver son fils
NDLR : #JoyeuxDivorce
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15.000 euros pour retrouver son fils
lefigaro.fr Publié le 27/09/2012 à 18:21
La mère d'un garçonet disparu depuis plus d'un an promet une récompense de 15.000 euros à qui l'aidera à retrouver son fils, rapporte aujourd'hui France 3 Basse Normandie.
C'est la deuxième fois qu'une telle initiative est lancée en France, en accord avec le ministère de l'Intérieur et le juge d'instruction chargé de l'affaire. Le petit Mathis, aujourd'hui âgé de 9 ans, a disparu en septembre 2011, enlevé par son père. Ce dernier, incarcéré à la prison de Caen refuse toujours de dire où il a laissé l'enfant.
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Dati désigne Desseigne comme étant le père de son enfant
NDLR : #JoyeuxDivorce
EXCLUSIF - Rachida Dati désigne Dominique Desseigne comme étant le père de son enfant
Le Point.fr - Publié le 02/10/2012 à 09:05, l'essentiel
L'ancienne garde des Sceaux assigne au civil le P-DG du groupe Barrière pour "reconnaissance de paternité".
Par Jean-Michel Décugis et Aziz Zemouri
C'est un mystère des dessous de la République qui risque d'être levé. Le Point.fr est en mesure de révéler que l'ancienne garde des Sceaux Rachida Dati a assigné Dominique Desseigne, le P-DG du groupe de casinos et hôtels Lucien Barrière, devant un tribunal civil hors de Paris pour "reconnaissance de paternité". Une information confirmée par Dominique Desseigne lui-même, que le Point.fr a joint lundi soir par téléphone. "Je n'ai aucun commentaire à faire, sinon la justice me le reprocherait", s'est-il contenté de préciser.
Rachida Dati, actuelle maire UMP du 7e arrondissement de Paris, a toujours refusé de révéler le nom du père de sa fille Zohra, dont elle a accouché, le 2 janvier 2009, à la clinique de la Muette dans le 16e arrondissement de Paris. Un silence pour protéger sa vie privée qui a suscité les rumeurs les plus folles. La suite, sur Le Point...
D'un tweet du jour, par @krstv
Corinne Raoult : « Je ne veux pas salir mon mari »
NDLR : #JoyeuxDivorce
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Info le Parisien
Corinne Raoult : «Je ne veux pas salir mon mari»
Le Parisien | R.B. | Publié le 10.10.2012, 19h37 | Mise à jour : 20h13
Corinne Raoult, épouse de l'ancien ministre de la Ville et maire UMP du Raincy (Seine-Saint-Denis), se dit consternée par l'écho médiatique donné à la plainte qu'elle a déposée contre son mari Eric Raoult, placé en grade à vue ce mercredi durant trois heures dans les locaux de la sûreté territoriale de Bobigny. «C'est une affaire qui dure. Moi je ne veux pas nuire à Eric», a-t-elle confié mercredi soir au Parisien.fr.
«Je ne veux pas salir mon mari qui reste toujours mon mari. La plainte a été déposée, mais je ne fais pas de ma vie privée à un fonds de commerce, un sujet médiatique... », dit-elle, un peu ennuyée de l'évolution de cette affaire, ce mercredi, avec le placement en garde à vue de son mari qui fait désormais l'objet d'une enquête pour violences conjugales. Corinne Raoult, dont il est aujourd’hui en instance de divorce et qui était également son assistante parlementaire, refuse toutefois de commenter le fond de l'affaire. Elle a dépose deux plaintes, l'une en juin dernier, l'autre la semaine dernière.
Affaire Bettencourt : Philippe Courroye porte plainte
NDLR : Ca va, j'ai moi même été gentil. Au cours des années passées, je n'ai jamais injurié des magistrats. J'aurai du, tout en les filmant, puis publier la vidéo sur Youtube, sur FaceBook, partout #JoyeuxDivorce
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Italie: un enfant arrêté émeut l'opinion
AFP Mis à jour le 12/10/2012 à 17:39 | publié le 12/10/2012 à 17:22
La vidéo d'un garçon de 10 ans, emmené de force par des policiers à la sortie de l'école, en vertu d'une décision de justice sur la garde de l'enfant, faisait polémique vendredi en Italie, où une enquête a été ouverte sur le comportement des forces de l'ordre.
Sur les images, filmées par la tante maternelle du garçonnet et diffusées par la télévision italienne, on le voit se débattre entre plusieurs policiers qui le tiennent par les bras et les jambes, et le traînent par terre, au milieu des cris et des injures. On entend une femme hurler le nom de l'enfant "Leonardo" et crier aux policiers de "le laisser tranquille".
Une Espagnole met en vente ses organes
NDLR : Encore un #JoyeuxDivorce #LOL
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Une Espagnole met en vente ses organes
AFP Publié le 11/11/2012 à 20:55
Une chômeuse espagnole, âgée de 44 ans, a annoncé aujourd'hui proposer à la vente tous les organes qui ne seraient pas indispensables à sa survie pour se payer un logement pour elle et sa fille. "J'ai d'abord mis en vente un rein, maintenant je propose aussi les cornées de mes yeux, un de mes poumons, un morceau de mon foie... Je vends n'importe quel organe de mon corps à qui peut le payer, et je fais cela parce que je suis tout simplement désespérée", a déclaré la quadragénaire dans une interview filmée et diffusée dimanche sur le site internet du quotidien El Mundo.
"J'ai besoin d'un logement (...) pour y installer mon foyer, dans un endroit digne", a-t-elle déclaré en indiquant être sans travail et souffrir d'une incapacité à 66% à cause des mauvais traitements que lui a fait subir l'homme avec qui elle a vécu pendant 18 ans et qui veut maintenant la faire expulser de la maison où elle vit avec sa fille. "J'ai reçu un préavis d'expulsion pour ma fille et moi. Nous n'avons pas de famille, nous ne savons pas où aller", a expliqué la quadragénaire.
L'« effroyable » lapsus d'Ayrault
NDLR : Une variante de #JoyeuxDivorce
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Délaissée, elle fait des alertes à la bombe
AFP Mis à jour le 15/11/2012 à 22:10 | publié le 15/11/2012 à 21:56
Une mère de famille de 36 ans, éconduite par son amant et désireuse d'attirer l'attention, a été condamnée à 15 mois de prison dont 7 mois ferme par le Tribunal de Grasse pour avoir provoqué de multiples alertes à la bombe dans des écoles des Alpes-Maritimes. Cette ancienne gérante de supérette au chômage avait déclenché, le 7 septembre dernier, par ses alertes téléphoniques anonymes l'évacuation de toutes les écoles primaires de Mandelieu, commune dans laquelle l'enfant de son ex-amant était scolarisé.
Copé veut qu'on le « respecte »
NDLR : Pauv'Copé, le voilà encore victime, à chouiner, et bientôt grand perdant ? S'il gagne, selon certaines rumeurs, l'UMP pourrait prochainement enfin « imploser ». Quelle brochette autour de Copé. J'ajoute simplement trois liens dans cette brève ; en les suivant, on y retrouvera probablement tous les noms qui y sont énumérés.
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Copé veut qu'on le "respecte"
Sipa Publié le 16/11/2012 à 22:22
Jean-François Copé veut qu'on le "respecte". A deux jours de l'élection du président de l'UMP, il a dénoncé vendredi soir les attaques de son adversaire François Fillon... qu'il n'a pour autant pas hésité à étriller.
"Je comprends qu'on ne partage pas cette ligne politique. Simplement, je demande qu'on la respecte. Qu'on respecte ma personne, mes convictions", a lancé vendredi M. Copé, devant quelque 2.000 personnes réunies au Carrousel du Louvre à Paris. Pour son dernier gros meeting après trois mois de campagne, le secrétaire général de l'UMP avait repris la scénographie des réunions publiques de Nicolas Sarkozy, avec une arrivée au milieu d'une foule agitant des drapeaux tricolores, sur fond de musique tonitruante.
D'ailleurs, "quand je vois les drapeaux voler, je ressens des émotions que nous avons tous ressenties il y a quelques mois", a lancé à la tribune, histoire de réactiver la nostalgie militante, Jean Sarkozy. Le fils de l'ancien président était chargé de chauffer la salle avec Luc Chatel, Claude Goasguen, Jean-Pierre Raffarin, Marc-Philippe Daubresse ou Nadine Morano.
"Ces derniers jours, je trouve qu'ils m'ont quand même beaucoup attaqué... et même injurié", a soupiré Jean-François Copé, lui-même pourtant pas avare d'attaques contre son adversaire. "S'il faut taper sur quelqu'un, tapez sur la gauche, bon dieu!", a lancé celui qui se veut "direct, franc mais jamais perfide".
Adepte d'une opposition "implacable" face à la gauche, Jean-François Copé ne s'en est pas moins pris une nouvelle fois à François Fillon et aux "grands apôtres de la prudence", fustigeant le "déclinisme permanent", "les mines contrites" et autres "figures lugubres".
Une avocate marseillaise égorgée dans son étude
NDLR : Evidemment, un meurtre d'une avocate, c'est assez terrible, comme ceux de notables, en Corse. Mais dans l'information immédiate et « éphémère », « tout se perd et tout se vaut », nous a dit le collégien Darcos ; on doit juste être passif devant ces flux d'images et d'informations, on doit voir défiler les tweets, les coupons de presse ou voir passer les billets de blogs comme les vaches voient passer les TGV
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Une avocate marseillaise égorgée dans son étude
Créé le 30-11-2012 à 23h45 - Mis à jour à 23h45, NouvelObs
MARSEILLE (Reuters) - Une avocate a été retrouvée vendredi la gorge tranchée dans son étude du centre-ville de Marseille, a-t-on appris de source policière. Le corps de la victime a été découvert dans l'après-midi par son associé dans leur cabinet de la rue Saint-Ferréol, la principale artère piétonne de la ville. Me Raymonde Talbot, 65 ans, était spécialisée dans le droit des personnes, de l'immobilier et du commerce. Elle avait prêté serment en 1981. L'enquête a été confiée à la police judiciaire. "Il s'agit manifestement d'un acte criminel, d'un homicide", a affirmé à la presse le procureur de la République Jacques Dallest, qui s'est rendu sur les lieux. Le magistrat a précisé que la victime avait été atteinte de plusieurs de coups donnés à "l'aide d'un objet tranchant", vraisemblablement un couteau, à plusieurs endroits du corps. La victime présentait une plaie plus profonde au niveau de la gorge qui pourrait être, de source proche de l'enquête, à l'origine directe de la mort de l'avocate. Les enquêteurs, qui n'excluent aucune piste, ont saisi plusieurs bandes vidéo de caméras disposées dans cette rue très commerçante de Marseille.
Jean-François Rosnoblet, édité par Gérard Bon et Danielle Rouquié
« Mon ex est une mère toute puissante »
NDLR : Un extrait de « TOUS EGAUX », Libération du 15 et 16 décembre 2012... « Mon ex est une mère toute puissante », le récit d'un #JoyeuxDivorce #gay ? J'ai du mal à saisir certaines revendications ou larmoiements des #LGBT, maintenant soutenus par le #PS. En des domaines tels que l'autorité parentale et divers droits, comme l'hébergement des enfants, les #LGBT n'ont-ils pas déjà acquis les mêmes droits ou peines que les hétéros ? Mais oui, c'est dur, ces histoires, et on le sait tous, et les socialistes très bien aussi, les tribunaux, ça fonctionne vraiment mal. Malgré tout, dans ces situations parfois très éprouvantes, il faut saisir un juge, faire appel, patienter, espérer, persévérer, insister, ou aller se faire soigner quand on est « pas content », etc, comme tout le monde. A quoi serviraient, sinon, les tribunaux, à sauver les éléphants du cirque Pinder ? Ils pourraient mourir
C'est quoi ce sketch? Ils sont déjà les mêmes droits que les hétéros, que veulent-ils de plus? #MariagePourTous #LGBT twitter.com/bkant/status/2…
— Bruno Kant (@bkant) Décembre 17, 2012
.@dassouline :« le PS appelle à la mobilisation le 27 janvier aux côtés des associations» bit.ly/TrgmOb
— Parti Socialiste (@partisocialiste) Décembre 17, 2012
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Drame familial à Salon : « ce fut un choc et la semaine fut terrible »
NDLR : Le prochain qui me pond un laïus, une complainte ou un court tweet, me parlant d'une femme baffée façon Trintignant, je lui retourne direct que la victime avait très certainement été violentée en bas âge, par son papa de merde, et qu'on n'y peut rien, si la pauv'dame en redemandait. Qu'on ne me reparle plus non plus d'homophobie, à moins que ce ne soit pour rediscuter de l'efficacité ou de l'utilité de la HALDE, et surtout du terrible cas Sébastien Nouchet et de ses agresseurs. Mon billet du 14 courant, je ne le mettrais finalement pas à jour ; je conserve cependant mes notes ou tweets (auxquels personne n'avait réagit, comme le plus souvent) ; gazouillant, j'avais raillé Valls, son « opération séduction », son discours adressé récemment à la Fédération protestante de France, et réagit également à une citation de Alain, selon qui, « penser, c'est dire non ». Oui, ce que je publie peut être illisible pour beaucoup ; de mon point de vue, ce sont d'autres qui sont abjects lorsqu'ils s'obstinent dans leur mutisme, lorsqu'ils refusent les débats portant sur la protection de l'enfance, ou même lorsqu'ils refusent les débats portant sur les divorces les plus conflictuels. Hier sur Twitter, je finissais ma soirée en citant Jean Genet, une phrase extraite de Pompes funèbres, Sartre pouvait le lire : « Pourtant, si je me complais dans la vue de tant de laideurs que j'enlaidis encore quand j'en écris, dans ce que m'inspire la mort de Jean existe cet ordre de ne rien faire de mal. ».
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Drame familial à Salon : "Ce fut un choc et la semaine fut terrible"
Publié le dimanche 23 décembre 2012 à 14H54, La Provence, extrait
Il y a une semaine, Uribatan Teles Almeida poignardait de deux coups de couteau sa femme, Catherine, 29 ans et caporal-chef à la base aérienne 701 de Salon, et pendait leurs deux filles, Suely et Yuna, 3 et 6 ans, avant de lui-même se suspendre à une corde. Catherine lui avait annoncé son souhait de divorcer. Arrivant du Brésil, la petite famille venait de s'installer dans le quartier Saint-Jean en août.
Aussi abrupte qu'absurde, la tragédie laissait encore hier sans voix la plupart des participants à la marche blanche organisée durant l'après-midi par la FCPE en mémoire des trois victimes, dont les corps ont été rapatriés en Alsace auprès de leur famille maternelle.
Une marche en trois étapes... la suite, sur La Provence
Lyon : le père soupçonné d'avoir égorgé ses deux enfants en garde à vue
NDLR : « La première fois que le père divorcé gardait ses enfants ». Un #JoyeuxDivorce qui devrait encore donner du grain à moudre à nos « féministes », ou contre tout ces pères qui se juchent sur des #grues
Actualité > Faits divers
Lyon : le père soupçonné d'avoir égorgé ses deux enfants en garde à vue
Le Parisien | Publié le 19.05.2013, 11h34 | Mise à jour : 12h24
L'homme de 48 ans soupçonné d'avoir égorgé ses deux enfants de 5 et 10 ans près de Lyon après un divorce difficile était toujours en garde à vue dimanche en fin de matinée.
Les corps de la fillette de cinq ans et de son frère de dix ans avaient été découverts samedi en fin d'après-midi dans l'appartement du père, à Saint-Priest, dans la banlieue sud-est de Lyon.
Selon plusieurs témoignages, cet homme d'origine britannique avait pris la fuite à rollers...
Affaire Fiona : la mère en grève de la faim
Très intéressant, ce que la presse relaye là. Aussi passionnant que ces détournements d'une photo d'un bébé belette sur le dos d'un pivert. Ca doit générer du clic et de très nombreux commentaires, comme cette étude sur la taille moyenne du pénis, chez l'homme. Du clic, des cris, des ragots ou du buzz autour de quelques coupons de presse, du grand journalisme, sans risques de poursuites au motif de diffamation, ou alors vraiment minimes.
« Cécile Bourgeon, suspectée d'être impliquée dans la mort de sa petite fille de cinq ans, Fiona, en mai 2013, a décidé d'entamer une grève de la faim après le rejet d'une nouvelle demande de remise en liberté », lit-on sur le Figaro, « "Je souffre, je deviens folle. J'ai besoin de retrouver ma liberté", explique la femme de 28 ans. Incarcérée à la maison d'arrêt de Lyon-Corbas, au moins jusqu'à son procès devant les assises, annoncé pour le premier semestre 2016, elle envisage à présent de se pourvoir en cassation. »
Il me semble qu'il y a des limites à la détention provisoire. Et qu'en tous cas, les voies dites de justice ou de recours peuvent être utiles à ces personnages ; il faut bien qu'elles soient parfois utiles à quelques uns, ou nous n'y croirions plus, nos avocats non plus ! Puis qu'en dire ou qu'ajouter encore, sinon bon courage à Cécile Bourgeon ?
De source Google, les news
Eolas, ce lolymous ou Batman : rien qu'un dommage collatéral
On m'a fait remarquer que je ne lâchais plus #EolasIPJ Eolas. On m'a même posé une question tout à fait explicite : « ben pourquoi cette fixette sur eolas ? » Lorsque quelque chose m'amuse, mérite à mon avis d'être souligné, me dérange, me gène ou m'ennuie, je le dis, je tweete, et lorsqu'on m'attaque, je mords et ne lâche plus jamais prise - quelques uns, dont des magistrats et même des notaires, ont déjà pu le constater. Sur Twitter, lorsqu'un bruit ou rumeur m'a intéressé ou ennuyé, ça se voit, je tweete moi-même et j'utilise des hashtags. C'est pratique, les hashtags : c'est utile pour diffuser des opinions, même jusqu'auprès de ceux qui m'ont bloqués ; ça me permet également d'organiser mes tweets par catégories, pour les retrouver plus facilement aux archives. Comme je l'ai rappelé dans un précédent billet, il existe un passif, dont une grosse vacherie que m'avait lançé Batman, ce justicier du net ; quelques uns ont pu en conclure que j'en veux énormément à Eolas, des suites à un ou divers petits différends d'ordre privés ; un tout petit fond existe donc bien, je ne le cache d'ailleurs pas, et ce fond ou souvenir est très certainement assez réciproque ; mais s'il existe un passif de cette nature, c'est sûrement plus lié à la personnalité d'Eolas, coutumier, ce que je soulignais d'ailleurs, ces jours-ci :
@bkant Merci :-)
— mchristine gryson (@outreauvo) 7 Juillet 2015
Comme depuis toujours, ces jours passés, j'ai tweeté à plein de sujets, pas uniquement sur le thème #EolasIPJ. « Igor et Grichka Bogdanové : `' Nous n'avons jamais été condamnés " », pouvait-on lire ce 3 juillet, sur le Figaro (l'article du Figaro a depuis été mis à jour). J'ai aussi tweeté sur ce thème ; mes tweets comme l'article du Figaro ainsi que la réponse de sciences.blogs.liberation.fr à ces frères sont certainement passés totalement inaperçus.
@DrTrollkiller L'exemple #TP L 761-1. Pour les frères Bogdanoff, il faut lire leur arrêt pour comprendre. pic.twitter.com/v2MZLuLhqy
— Bruno Kant (@bkant) 3 Juillet 2015
Le mois passé, sur #Outreau quelques unEs finissaient assez vite par me traiter de « SOS papa », de pédophile, de « masculiniste », de repris de justice, de malade mental, de « bitard »... C'est courant, et encore une fois, ce n'est certainement pas lié à ma propre personnalité ; Eric Dupond-Moretti en sait quelque chose, en mai dernier, pour France Inter, lui-même nous disait : « je me fais pourrir, de lettres anonymes en blogs (Mediapart) ». Chacun débat, réplique ou s'exprime comme il peut ; voire même comme un Eolas. Et parfois, ça coince ; il y a peu, une twittas a d'ailleurs fini muselée. Je suis souvent sinon quotidiennement le flot de l'actu ou de ce qui fait du bruit ; il y avait #EolasIPJ parmi les gros bruis du moment, ce qui a pu donner le sentiment à certains qu'il n'existait plus que lui ; même si je discutais aussi de quantités d'autres choses, dont du communiqué récent du bâtonnier #Rantanplan de Paris. Par le passé, j'avais pas mal tweeté avec le hashtag #JeSuisParisienne ; certains en avaient conclu que je n'étais rien qu'un amoureux éconduit ; mais c'est absolument faux - ne surtout pas lire là des dénégations similaires à celles des Bogdanov
#Outreau #EolasIPJ DSK #ASE #éducspé #Chambon #MariagePourTous les Bogdanov #MagistatsSansTwitter #masculinistes FEMEN #PorCorns francs-maçons #JoyeuxDivorce je tweete à tous sujets. A la période #JeSuisParisienne qui faisait un bruit énorme avait très brièvement émergé #JeSuisLyonne ; on m'avait alors demandé ce que je reprochais à ces trois autres jeunes femmes... Je lis, je suis, je suis ces actualités, j'étudie et compare également ces phénomènes, ces bruits. Souvent, sur ces hashtags, il ne se diffuse que beaucoup de propagande, plus rarement des contrepoints. Pour ce qui concerne Eolas, c'était le sujet du moment, sur Twitter, je lisais essentiellement des soutiens ; très en marge, j'ai bien remarqué quelques hostilités, il m'a semblé que Eolas et son milieu les ont bien repérés aussi, ils les connaissent peut-être même bien. Batman, justicier 2 ou 3.0, contre l'IPJ, ces méchants d'un tout autre bord politique, qui ont eu le toupet de trainer la star #Nabilla jusque dans un prétoire... Sur Twitter, quelques affaires font parfois l'unanimité. L'unanimité sur les réseaux comme dans les journaux #JeSuisCharlie s'impose plus rarement à tous. Sur twitter, on me taxe très fréquemment de « troll » ; c'est comme ça, surtout comme ça lorsque #lesgens refusent et rejettent la contradiction, quelle que soit sa nature. Autour de cela, je remarque fréquemment d'énormes mensonges :
@KarinePlassard ouf à signaler d'urgence. Il troll les féministes, les fait suspendre. @RadCashew @LisePoupoupidou @Euterpeaventure
— Stephanie Lamy (@WCM_JustSocial) 4 Juillet 2015
C'est curieux. Dans mon blog et sur Twitter, j'avais bien et durant très longtemps exprimé, précisé que j'allais à Metz, auprès du JAF, dans le cadre d'une procédure hors divorce, sur le thème pension alimentaire. Puis que la requérante a été déboutée, condamnée aux dépens, que deux avocats de Metz ont été payés au lance pierre. Stephanie Lamy n'a pas réagit à ces informations ; mais elle se contente peut-être de crier fort sur Twitter #censure sans jamais rien lire...
Si Eolas, le lolymous, s'est attiré quelques uns de mes tweets, ce n'est pas par hasard. Non en raison d'un petit différend, de piques qu'on s'échangeait, mais parce qu'il est un professionnel dans le déni, dans l'ignorance, de mauvaise foi ou naïf, comme beaucoup d'autres professionnels #avocats #éducspé et twittos. Mes véritables cibles sont d'ailleurs tout autre part, pour qui m'a lu ou me connait, elles se situent dans le domaine de la protection de l'enfance, territoire où tout est mystère - pour un bref aperçu, lire ce billet de Dadouche, contributrice, et les échanges à sa suite, dans le journal d'un avocat. Mathieu #Chambon avait été signalé et était suivi par un juge, ça n'a pas sauvé Agnès, ni d'ailleurs Mathieu :
Punaise. Un suivi par le juge des enfants l'aurait sauvé mais jamais signalé. #LTGAV
— Maitre Eolas ✏️ (@Maitre_Eolas) 19 Décembre 2013
J'arrête là, à ces sujets, la protection de l'enfance, son merveilleux et ses couacs. J'en ai une très longue expérience, sauf à de rares exceptions ou lorsque les parents sont coupables, ça n'intéresse jamais personne, les victimes de cet archipel sont et restent inconnues, ignorées, il ne s'agit pas de violences faites aux femmes ou aux aînés, il ne s'agit pas de violences infligées à des présumés coupables, qu'il s'agisse de femmes, d'enfants ou même d'hommes, ni de violences infligées à un multirécidiviste rattrapé une nième fois par la justice. Ce JDD #Chambon N° 338-339, 2014/8 #MIE #LMEF pour les 25 Ans de la CIDE était véritable un collector, il anticipait même #JeSuisCharlie les attentats de janvier dernier :
#Chambon #CharlieHebdo
@Just1M0t Un JDJ collector. Jean-Luc Rongé ment, ignore ou nie la réalité, et milite :-) pic.twitter.com/JR3JXEhcac
— Bruno Kant (@bkant) 25 Janvier 2015
Je reviens enfin, tout de même, et très brièvement sur la robe d'Eolas. Dans un précédent billet, j'écrivais que je lui arrachais cet accoutrement, que je ne lui reconnaissais plus sa qualité d'avocat ; ça a pu faire beaucoup ricaner #DinerDeCon dans son entourage immédiat #avocats #BacPlus8 - « c'est quoi, ce troll #Idiocracy dans le public, qu'est-ce qu'il raconte ! » Batman, Eolas et l'avocat seraient des sujets bien distincts, la presse et les soutiens du justicier masqué insistent d'ailleurs beaucoup sur ce point. Je lui dénie des qualités et je souligne maintenant que Eolas lui même mis à l'écart son règlement, tout ce qui a trait à la déontologie, à la dignité, aux réserves, etc, pour mieux préserver son pseudonymat, pour nous élaborer un très joli mythe auquel on doit croire, il n'y a pas d'alternative - lire Pourquoi mon anonymat ? Ce qui n'arrache rien à son blog, vers où j'ai souvent renvoyé, ni à ce que Eolas a pu remporter dans ses domaines de prédilection, notamment en droit des étrangers ou au cours de nuits passées en gardes à vues. « Batman », je crois que Tristane Banon n'a pas fini d'en pleurer de rire ; dans Le bal des hypocrytes, elle écrivait : « C'est écrit, et comme tout ce qui est écrit, ça semble vrai, ça fait sérieux. C'est pourquoi, quand on invente, on précise `' roman " sur les livres, sinon il y a bien longtemps que les gens marcheraient dans les rues le nez en l'air en attendant que Batman descende du ciel » Et manifestement, #MagistratsSansTwitter et #EolasIPJ ou #IPJ ne sont pas les seuls sujets ou affaires dans lesquels Eolas, son milieu et ses followers se sont beaucoup impliqués ou appliqués.
.@maitre_eolas Ou c'est déjà oublié, tout ça? http://t.co/d0XUJsQfQi #EolasIPJ pic.twitter.com/te9B00RMX4
— Bruno Kant (@bkant) 9 Juillet 2015
@Proc_Gascogne Vous savez bien que votre conscience est laissée en consigne à l'ENM, à côté de votre humanité.
— Maitre Eolas ✏️ (@Maitre_Eolas) 23 Novembre 2012
Je suis Maitre Eolas et j'approuve ce message http://t.co/rMxEUvgY
— Maitre Eolas ✏️ (@Maitre_Eolas) 12 Décembre 2012
@bkant 😂😂😂😂Ah b'ah oui!
— Tristane Banon (@BanonTristane) 12 Juillet 2015
Sur le fond encore, je ne pense pas que grand chose nous sépare réellement, Batman ou ce mythe et moi. Il m'arrive donc de fréquenter un peu aussi des prétoires, d'en parler, et de remporter parfois de petites victoires. Et comme Eolas le lolymous, je m'exprime beaucoup sur la justice et des affaires ; selon une idée originale de Pascal Clément, Ministre de la justice, lancée aux alentours de 2005 et de l'après #Outreau ce naufrage. Pascal Clément nous disait alors de bien montrer la justice de qualité, la justice de tous les jours, celle qui touche ou satisferait le plus commun des Français. L'essentiel de la « Déclaration de M. Pascal Clément, ministre de la justice, sur les moyens de remédier aux dysfonctionnements de la justice et notamment de faire face à des procès particulièrement sensibles en prenant exemple sur ce qui a été réalisé lors des procès concernant l'accident du Tunnel du Mont Blanc à Bonneville et le réseau pédophile d'Angers, à Paris le 6 octobre 2005 » (attention, seul le prononcé ferait vraiment foi), « FRANCE. Ministre de la justice », « Circonstances : Réunion des magistrats et fonctionnaires ayant traité les procès... » : « Trop souvent la Justice est stigmatisée pour ses dysfonctionnements. Ceux-ci sont réels mais ils sont rares, très rares. En réalité, au quotidien, la Justice fonctionne beaucoup mieux qu'on ne le dit. ... C'est l'éternelle histoire des trains qui arrivent à l'heure. ... Mais je voulais d'abord, solennellement et symboliquement, mettre en lumière la capacité de l'institution judiciaire à traiter dans les meilleures conditions des dossiers pourtant extrêmement difficiles. ... Vous êtes le symbole de la qualité de notre justice au quotidien. C'est ce symbole que je tenais à saluer. ... Mais je pense aussi à l'avenir, à d'autres procès sensibles qui se tiendront. Je souhaite que votre expérience enclenche un cercle vertueux, que ces investissements ne soient pas sans lendemain. » Je n'ai pas souvent vu arriver le train à l'heure, lorsqu'il arrivait, ces années passées ; la faute à pas d'chance, m'expliquera-t-on, ou la faute à mes avocats, osera-t-on peut-être me répondre... L'affaire d'Angers dont nous parlait Pascal Clément, en octobre 2005, il y a dix ans, était un anti-Outreau de la protection de l'enfance, un réseau de pédophiles « ordinaires » qui n'avait pendant longtemps fait l'objet d'aucun signalement de la part des travailleurs sociaux.
En octobre 2005, il y a dix ans, ma fille aînée disparaissait. Elle avait été prélevée dans ma famille, par des travailleurs sociaux et des magistrats aux procédés et aux motivations des plus abjects. A l'époque, la « justice » avait plagié Kutzner contre allemagne et pire. Puis par la suite, même si ma fille ainée avait pu à nouveau et ponctuellement retrouver sa famille naturelle pour le printemps et l'été 2009, car j'avais ébranlé le juge pour enfant, même provoqué un changement de juge à Nanterre, nous la perdions à nouveau de vue, elle allait redisparaitre ; rien de bien anormal à cela ; aux alentours de 2009, s'obstinant, la « justice » décidait de plagier l'affaire Finaly... Cette histoire là n'est pas la seule au cours de laquelle les trains nous passaient dessus avec un peu de retard, passaient sur moi, sur ma famille, nos relations, passaient sur mes enfants et sur ma compagne d'alors. Inutile que j'en dise plus, que j'en ajoute, c'est depuis longtemps amplement documenté dans mon blog, alors que ce ne sont pas les hashtags à « troller » ou pour se distraire qui manquent.
Ben oui, Batman, juste un dommage collatéral, il l'a trop ouvert, soutenant des trucs qui ne me plaisaient pas. Souvent pas du tout. Cet ensemble étant ajouté et précisé, Eolas pourrait maintenant décider de réagir, de me répondre, ou même de m'assigner : « Don’t fuck with me. I’m a lawyer. », lit-on dans les mentions légales du plaideur #FreeSpeech
Si ls twittos de #Outreau se souciaient des anus des enfants ils auraient déjà retourné le 49 http://t.co/2qPaCVDMOB https://t.co/iaZPiMjQnG
— Bruno Kant (@bkant) 23 Juin 2015
Ajout du 12, plus tard. De mes tweets, comme il m'arrive d'en envoyer, depuis des années. Et ça ne plait pas beaucoup, je sais... ma bio Twitter : « D'après un psychiatre et plusieurs vrais magistrats, je n'aurais pas conscience des troubles que je crée autour de moi. Je décline toute responsabilité. » « En 2004 déjà, je prenais de front un magistrat, le juge pour enfant de Nanterre. Mais je manquais d'expérience. C'est puissant 1/2 2/2 C'est puissant, un magistrat qui s'obstine, qui s'entête. Et donc, il a ordonné, ordonné, ordonné, et évidemment gagné. En 2008, il y avait un autre magistrat à Nanterre. Qui ne voulait pas juger. J'ai insisté, fort. Il a du juger. Puis il a du disparaitre. Et donc, ensuite, en 2009, surtout à la cour d'appel de Versailles et chez les travailleurs sociaux, ça s'obstinait. Fort, encore très fort. J'ai fini par ne plus rassembler que du papier, dont un second arrêt de la cour de cassation, quoi redouchait la cour d'appel de Versailles. Problème: quand le train de la cassation arrive enfin, il a déjà coulé beaucoup d'eau sous les ponts. Quant on meurt pas écrasé, c'est noyé. »