Catégorie: Non catégorisé
Quelques ballons
L'an dernier, j'étais aux champs de Mars avec des journalistes qui allaient ensuite m'accompagner jusqu'au tribunal pour enfant, pour l'audience de fin mai 2008, à Nanterre. Comme je l'avais prévu, cette année je suis retourné au champ de Mars. Ce n'est pas l'arrêt rendu ce vendredi, par Versailles, qui allait m'en dissuader, bien au contraire.
Une personne a pris la parole pour nous parler de la disparition de son fils, il me semble ; mais elle s'est très rapidement effondrée, les pompiers sont intervenus. Une autre femme nous a ensuite parlé des difficultés auxquelles elle est confrontée depuis la disparition de son mari, elle le suppose éventuellement à la rue, SDF. Divers témoignages et discours dont ceux de responsables associatifs se sont succédés.
Je suis resté discret pour épargner ces gens là, certains ne supporteraient que très mal ce que je pourrais raconter. Mais j'ai rempli un bulletin d'adhésion. Plusieurs personnes me reconnaitront encore l'année prochaine.
Depuis hier, je réfléchis à un prochain billet : « peut-on éduquer un magistrat professionnel ? »
Journée internationale des enfants disparus, au champ de Mars, à Paris
Vie quotidienne
15.05.09 - n° 3324
Eduquer, c'est frustrer
par Dominique Fonlupt, La Vie, extrait
Nous avons tous été témoins de la scène suivante : un enfant de 5 ans harcèle sa mère à la caisse du supermarché pour obtenir les bonbons en évidence sur le présentoir. Selon l’état de fatigue de la mère, la longueur de la file d’attente, la mère cède ou tient bon, tout en maudissant le cynisme des spécialistes du marketing. Mais, si elle cède, nous sentons tous confusément que la pauvre maman se prépare à affronter une éducation difficile. Que le premier qui n’a jamais eu la tentation de battre en retraite face au désir déterminé de son rejeton lui jette la première pierre ! Les cabinets de psychologues sont pleins de parents épuisés par de petits tyrans domestiques incapables de supporter le moindre refus.
La Cour : « les résultats d'une psychothérapie se font attendre »
Je suis allé prendre connaissance du délibéré de la cour d'appel de Versailles. La Cour « RECOIT l'appel » et « CONFIRME le jugement déféré en toutes ses dispositions » ; le pasteur qui a juste un peu prêché en mars dernier va être content. L'arrêt devrait m'être notifié ces prochains jours, par la poste. Cette ultime décision ne me surprend absolument pas ; j'ai depuis longtemps l'habitude d'être systématiquement débouté là bas.
Un extrait de l'arrêt
En attendant de recevoir copie papier de cet nième arrêt, entre la Croix, Libé, le Figaro, France Soir du jour et ce qui paraitra encore demain, j'ai bien assez de lectures et de distractions. Je note qu'en page 16, la Croix du jour se réfère à la revue ADSP n° 31 de juin 2000 ; méfiance, il pourrait y avoir des malades mentaux dans cette rédaction, ce numéro de ADSP figure parmi mes propres références...
Je pense que Justine et ma cadette vont toutes les deux être vivement déçues, la mascarade continue. Mais pour ce que j'ai pu lire, l'arrêt aura le mérite de matérialiser encore l'obstination et le franc parti pris de cette « justice ».
Délibéré dans deux jours
Je me demande encore pour quelles raisons la cour d'appel aura cette fois-ci mis autant de temps à préparer puis à rendre son délibéré : plus de deux mois. Probablement du fait de l'encombrement des rôles ou de vacances.
J'ai eu de très grandes difficultés pour avoir d'abord une audience chez le juge pour enfant de Nanterre puis ensuite, une audience à la cour d'appel où j'ai exigé que Justine puisse être entendue en personne.
J'avais préparé des conclusions pour janvier dernier... puis de nouvelles, pour février ; il y a eu renvois. Arrivé début mars, j'ai déposé les conclusions de février que je n'ai pas reprises ; j'ai simplement ajouté la mention suivante, ce qui change un peu de l'usuel « plaise à la Cour ». A présent, suspens, puis bientôt, la surprise.
Des conclusions déposées le 13 mars
Des journalistes au procès de Suu Kyi
AFP, 20/05/2009 | Mise à jour : 07:16, extrait
La junte birmane, qui exerce généralement un contrôle très strict sur les médias, va autoriser quelques journalistes représentant des organes d'information étrangers et locaux à couvrir le procès de l'opposante Aung San Suu Kyi, selon un responsable du régime.
Cette annonce a été faite après deux jours d'audiences au procès de Mme Suu Kyi qui se déroulait jusqu'ici à huis clos dans une prison au nord de Rangoun.
Ce procès a suscité une vive indignation internationale et ce serait la première fois que le régime du généralissime Than Shwe permet à des médias de couvrir des audiences liées à un militant politique de premier plan.
«Dix journalistes iront cet après-midi collecter des informations liées au procès» de Mme Suu Kyi, a déclaré à l'AFP un responsable birman avant la troisième journée d'audience. Il n'a pas précisé les raisons ayant motivé cet assouplissement de la censure.
Ohé, du château !
Un (e)message à l'attention du château, cette méthode de communication semble être efficace. Lorsque ceux qui l'occupent feront montre d'un peu de sérieux, je pourrais l'être moi aussi.
Merci de votre message,
Celui-ci a bien été envoyé à la Présidence de la République.
Présidence de la République,
Le 17 mai 2009
Madame, Monsieur,
Auriez vous l'extrême amabilité de prier votre chancellerie de commenter bientôt l'arrêt n° 1286 F-D rendu le 17 décembre 2008 par la première chambre civile de la cour de cassation ? Je pense que des pitres, de très talentueux bouffons ainsi que les humoristes de tout bords apprécieront qu'elle s'exprime avant le départ pour Strasbourg de Madame Rachida Dati, actuelle Garde des sceaux et Ministre de la justice.
Votre chancellerie recevait copie de cet arrêt par (e)RAR, début janvier dernier.
Vous même receviez une correspondance et quelques compléments d'informations par (e)RAR, fin janvier dernier. Vous pourrez remarquer que je posais une question. Cette lettre semble être restée morte.
Dans l'attente, je vous prie de croire en mes plus respectueuses salutations.
Un drôle de système
Je suis de plus en plus surpris par tout ce qu'il est possible de lire sur le net et dans les journaux ou les revues que j'accumule d'avantage depuis quelques jours. Aurait-il peut être suffit, fin 2002 ou tout début 2003, d'avoir les « bonnes » relations pour ne pas avoir tous ces ennuis, d'abords avec l'ASE des Hauts de Seine, ensuite avec la « justice » ? Je crois qu'il faut surtout beaucoup se méfier de certaines déclarations et de coupons de presse, de nombreux sont susceptibles d'induire gravement en erreur. Et je suis curieux de lire le prochain Canard.
L'Express n° 3019 du 14 mai
Une annonce destinée à « terroriser » ?
Le Canard du jour m'inspire, on m'avait « terrorisé » moi aussi, à plusieurs occasions. Je n'ai pas de raisons de m'inquiéter. En effet, fin mai 2008, à l'audience, le substitut Felici m'avait bien dit qu'il n'y avait aucun problème... Cela s'avère exact, on ne m'a plus demandé la moindre explication depuis l'été 2006. Comme je raconte toujours la même chose, depuis plusieurs années, je reste serein comme un ragondin parmi les canards.
Un certain Pierre a par contre eu des ennuis. Il a distribué des tracts à Marseille, un peu comme moi, par le passé, à Paris. D'après ce que j'ai pu lire sur le net, Pierre se serait fait gronder et condamner en toute discrétion.
On ne doit pas écrire ou dire n'importe quoi, on nous le rappelle très régulièrement. La précédente invitation à enquêter émanait de Pékin ; c'est drôle, ça m'avait fait penser à Royal qui flattait cette justice pour sa célérité.
En une du Canard n° 4620
Lu chez Me Eolas, sous le billet Pétage de plomb à la chancellerie... Pardon ? Ubu ? Des bouffons ?
J'en vois qui déjà vont me répondre "çà change de la langue de bois". Mais merdre père Ubu ! [...] rappeler les niveaux de langue, les exigences de politesse dans certaines formes de communication, c'est maintenir une civilité qui est l'expression d'une civilisation... Sinon, pourquoi je devrais m'offusquer que le prévenu au Tribunal en audience apostrophe d'un "je réponds pas à des bouffons en robe".
La trouille
Je pense avoir vu juste, dans mon secteur, la magistrature a la trouille, depuis plusieurs années. Je l'avais bien lu dans les attitudes, les propos et le regard du juge Anne Valentini, plus particulièrement au cours de l'audience de juillet 2005. Peu après celle-ci, le juge pour enfant de Nanterre a fait « disparaitre » Justine ainsi qu'un certain nombre d'éléments qui pouvait éventuellement me permettre de me retourner un jour contre les travailleurs sociaux de l'OSE France, le corbeau de l'histoire, jamais inquiété, ainsi que sa soeur, le pasteur d'Uhrwiller, qui a depuis « la garde » de Justine. « Faites appel, usez des voies de recours usuelles », pfff, n'importe quoi.
« J'comprends rien », affirmeront la plupart. Je n'ai plus grand chose à ajouter pour le moment. A mon avis, aujourd'hui, ce serait plutôt à d'autres de s'exprimer et d'avancer quelques explications, des accusations voire des propos diffamatoires auxquels je répondrais très volontiers, en public. Je sors acheter un exemplaire du Parisien.
Faits divers, le mag, juin 2008, du reportage : « En 2003, Bruno est soupçonné par les services sociaux de maltraitance envers sa fille. Mais Bruno a-t-il vraiment maltraité Justine ? Pour le savoir, nous avons posé la question aux services sociaux et à la famille d'accueil de la jeune fille. Ils ont refusé de nous répondre. Le tribunal pour enfant saisit du dossier a refusé lui aussi de nous répondre. Personne ne nous a permis d'approcher Justine qui a aujourd'hui 15 ans. »
PARIS (AFP), extrait - "Je déjeune et je dîne avec qui je veux. Je ne suis pas obligé de ne rencontrer que des magistrats", s'explique le magistrat dans une interview publiée samedi dans Le Parisien. Au cours d'une conversation téléphonique avec l'AFP, samedi matin, il reconnaît s'être expliqué par téléphone avec son supérieur hiérarchique Jean-Amédée Lathoud, mais dément "avoir été interrogé ou convoqué", comme l'écrit le Parisien. M. Lathoud a d'ailleurs tenu à préciser lui-même à l'AFP avoir "demandé des explications verbales par téléphone, confirmées par écrit", à M. Courroye, "dans le cadre de relations hiérarchiques quotidiennes, et non d'une procédure". "Je ne l'ai jamais interrogé ni convoqué", a-t-il ajouté.
« Avis aux bavards »,
une affiche de la période coloniale
Un bilan ?
Au cours de ces dernières années, j'ai souvent fait des résumés et des synthèses. Ils n'ont jamais servis à grand chose, bien au contraire. L'heure serait à présent au bilan ou aux analyses, c'est assez aisé : toujours de l'avant, sans jamais regarder ni derrière ni même autour de soi, dans l'intérêt de l'enfant, bien sûr.
L'arrêt rendu par la cour de cassation en décembre dernier a été mortel. J'attends maintenant de découvrir celui que rendra très prochainement la chambre des mineurs. Je devrais être optimiste, tout semble évoluer dans le bon sens.
Un petit ajout, après la lecture des actus du jour : joyeux anniversaire et bonnes européenneuh !
En une du Canard n° 4619
Le cloaque de Taverny : pour qui, pour quoi, comment ?
Je constate que l'OSE France ne manque pas d'humour non plus.
De source ose.saumet.com
Fin des vacances
Ce soir, à la gare de l'Est, j'ai eu le sentiment que la France nous prépare encore une grande fête.
Comment rendre la réalité inacceptable ?
Je me demande si le Canard ne se serait pas inspiré de mes références pour sa une de la semaine. Quoi qu'il en soit, elle me laisse hilare. Le « tract » aurait-il décidé de taquiner le porte parole de l'UMP ? On rigole tout autant avec les unes du Monde, celle de ce jeudi 30 fait également un petit clin d'oeil à Lefebvre.
Darcos en pensera ce qu'il voudra, « tout se perd et tout se vaut »... ces derniers jours j'ai empilé pas mal de journaux, je pense que la plupart me resserviront un jour ou l'autre. Je vais les ranger avec mes livres.
Ces « vacances » se passent on ne peut mieux, mes filles sont toutes les deux ravies.
Quelques unes, une BD du chat et de nouveaux livres
Le juge Burgaud qui cache la magistrature ?
Je viens de parcourir ce qui devrait être la une du Canard de demain, qu'est-ce qu'on va rire ! « Le brave petit juge, il aura servi à tout... » Comme rien ne vaut de bons placets, je vais à nouveau écrire au SCPC.
« La naïveté du haut entraine le drame du bas ! » • Le plan de Nicolas Sarkozy « contre les voyous »
Au palais de justice de nanterre...
Un tribunal en flagrant délire
Nouvel Obs nº 2236, semaine du 13 septembre 2007, extrait
Parquet commercial. « On dort tranquille ». Il suffit de monter deux étages et de pousser la porte du vice-procureur Bruno Bougie pour tomber sur une situation radicalement opposée. « Vous êtes dans un bureau où si un magistrat a envie de dormir, il dormira tranquille », dit Bougie. Lui s'occupe des infractions commerciales. Ici, le téléphone sonne peu, aucune plainte n'est déposée, ou si rarement : « Il faut aller les chercher soi-même, mais je n'ai jamais senti que c'était une priorité politique. Les organismes antifraude servent surtout de vitrines pour ne pas se faire traiter de république bananière aux colloques internationaux. »
Par ces motifs, des vacances
Pour la sortie à Strasbourg du 11 février dernier, j'avais encore du envoyer des fax. Aujourd'hui et alors que, depuis un moment, plus rien ni personne ne semble s'opposer à des « relations père-enfant », je constate que ces prochaines vacances en famille ont pu être organisées sans la moindre haie à sauter ni aucun obstacle à contourner.
Une ordonnance du 20 avril 2009
Que peut-on faire avec une carotte ?
Au cours de ces dernières années et rien qu’avec une carotte, j’ai mis à l’épreuve ou secoué l’Aide Sociale à L’Enfance des Hauts de Seine et la Ddass du Val d'Oise, l’Ecureuil, des professionnels de l’OSE France puis de l’ARSEA, l’étude d’un notaire, l’avocat de l’enfant, deux Conseils généraux, plusieurs juges, la cour d’appel, certaines procédures administratives, la laïcité et la psychiatrie ainsi que la séparation des pouvoirs.
De source revue Quasimodo
Un juge a été détrôné et le parquet est rayé (je n'ai pas trop l'habitude de chausser des patins). Ca jure, mais de l’avis du pasteur d’Uhrwiller, tout baigne. Je suppose que les rumeurs ne portent pas jusqu’à sa mare. On peut aussi ne pas pouvoir ou tout simplement ne pas avoir envie d'y croire.
L'arrêt est sur Legifrance
J'ai encore d'autres projets, toujours avec une carotte en main. Dès 2004 et au plus tard en 2005, Richard Josefsberg, de l'OSE France, le Conseil général du Val d'Oise et le juge Anne Valentini pouvaient se douter que je réagirais un jour. Avec de nouvelles chaussures et un autre PC, je vais encore aller loin.
Mais pour le moment, je songe plus à l'avenir et à ce prochain week-end en famille.
Ca bruisse dans la mare
En septembre 2006 et alors que je menais depuis longtemps mes propres investigations, je m'adressais à la faune de ma mare car je souhaitais mieux comprendre ce qui s'était passé après la fin 1999. Aucune créature n'avait su, pu ou oser me répondre. Pourtant, en 2006, cette mare bruissait, comme depuis longtemps déjà.
A peine plus tard, en novembre 2006, le juge pour enfant de Nanterre prorogeait le « placement » de Justine et nous interdisait encore tous contacts et correspondances pour deux années supplémentaires. Justine et nous n'avions plus la moindre relation depuis octobre 2005, elles étaient interdites, le juge pour enfant avait de grandes inquiétudes.
Une grève de la faim pour se faire entendre de la justice
L'Humanité, 14 décembre 1999
Enquête, l'Humanité, 14 décembre 1999
Des juges sourds à la détresse d’un enfant en souffrance
En allant à la rencontre de gens de toutes horizons, avec des recherches et des lectures de toutes natures, j'ai fini par trouver plus d'informations (fiables). Si je me fie à ce qu'on peut lire aujourd'hui, ici et là, sur la toile ou dans des journaux, il semblerait que, parfois, hormis des discours, pas grand chose n'ait vraiment changé depuis 1999.
En 2008, des juges de Nanterre et de Versailles me priaient de changer moi aussi de discours... de tout brûler, d'oublier le passé. Cette exigence ne me paraissait pas motivée, bien au contraire. Ce week-end, j'ai changé de chaussures, c'était nécessaire. Il faut que je change maintenant un PC, celui que j'utilise le plus depuis la fin 2005 rend l'âme.
Le mois dernier, une tribune de Darcos m'a fait sourire, j'ai repensé à des leçons du collège. Ces derniers jours, j'ai pris un peu plus de journaux et revues qu'à l'habitude. Plusieurs articles ou couvertures ont retenu mon attention.
Point de vue
Esprit français, es-tu là ?, par Xavier Darcos
LE MONDE | 18.03.09 | 14h13, extrait
Parmi les grandes démocraties contemporaines, la France occupe, historiquement, une place particulière, parce qu'elle a toujours accordé au savoir et aux idées une prééminence dans la conduite du débat public et, partant, de l'action politique.
Et lorsque les intellectuels semblent moins s'exprimer, on leur fait reproche de leurs "salves de silence". On y voit une sorte de trahison ou de manquement. Car cette vigilance de l'esprit constitue un utile contre-pouvoir, une force dialectique, un stimulant. Cette singularité est un atout dans une société soumise au rythme de l'information immédiate et éphémère, dans laquelle tout se perd et tout se vaut.
La une de la Croix du week-end ne m'a pas laissé indifférent. Le hors-série de Marianne de mars-avril 2009 développe le thème de la crise du capitalisme : « 300 ans de drames ». En une de l'hebdo Marianne de cette semaine on peut lire que « ils ont eu tout faux et ça continue... » Ces couvertures n'engagent que Marianne. Celle de l'hebdo a ému une journaliste de France info ; ce vendredi, sur les ondes, elle nous a fait part de sa consternation.
Le mois dernier, à la cour d'appel, je me référais moi-même aux périodes les plus sombres des trois siècles passés afin d'éclairer des jugements et arrêts rendus ces dernières années, par Nanterre et Versailles. « Rendez-moi ma fille » peut on lire en une du Journal du Dimanche de ce week-end... Le Wifi et le téléphone, c'est dangereux ?
On nous parle aussi beaucoup d'adoption depuis l'été dernier. La famille reste un sujet sensible ? Les idéologies apparaitraient aujourd'hui plus vivantes que jamais ? J'ai également craqué pour une BD : « L'avenir du chat ».