Archives pour: Mai 2013
Droit de garde : huit pères en haut de la cathédrale d'Orléans
NDLR : « Et que se passera-t-il après ces rendez-vous à la pelle ? L'histoire ne le dit pas... » Probablement du travail à n'en plus finir pour le parquet, quelques « femmes de ménage » et nos services de psychiatrie ? Je devrais peut-être téléphoner à l'Express ou à l'AFP, pour leur expliquer comment Paris traiterait ces « protestataires ».
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ORLEANS
Droit de garde: huit pères en haut de la cathédrale d'Orléans
Par LEXPRESS.fr, publié le 09/05/2013 à 17:22, mis à jour à 17:22
Après les grues, les cathédrales: huit père et une mère se sont réfugiés sur une terrasse de celle d'Orléans, d'où ils entendent protester contre des problèmes de garde d'enfant.
Huit pères et une mère se sont retranchés ce jeudi après-midi sur une terrasse de la cathédrale d'Orléans pour dénoncer des problèmes de garde d'enfants et réclamer le respect de la loi.
Le groupe, venu de plusieurs endroits de France, dont la Bretagne ou la ville de Caen, a investi la cathédrale à l'occasion d'une visite de l'édifice qu'il a lui-même organisée, a expliqué l'un de ses membres, Jean Le Bail.
Les neuf personnes ont ensuite décidé de rester sur la terrasse, située au-dessus de la façade principale, au pied de la tour sud.
Ils ont déployé des banderoles, peu visibles depuis le bas de la cathédrale. Selon Jean Le Bail, y est notamment inscrit "Pères bafoués, enfants volés, ça suffit".
"Nous sommes installés en haut de la cathédrale afin de réclamer que le droit des enfants à leurs deux parents soit respecté par la justice", a déclaré ce papa qui prétend "ne plus avoir de nouvelles de sa fille depuis 2008".
"Un an après la séparation des parents, il y a 30% des enfants qui ne voient plus le parent à qui ils n'ont pas été confiés, accuse-t-il. Et dans 80% des cas, c'est le père qui est exclu de la vie des enfants. C'est une violation de la convention internationale des droits de l'enfant dont la France est signataire".
"Ce qu'on demande, c'est le respect de la loi", défend-il, affirmant que certains membres du groupe "resteront jusqu'à ce que la justice se bouge".
Avec AFP
Un duo mère-fille en son labyrinthe de folie haineuse
NDLR : « #lesgens qui font passer les pauvres papas pour les victimes des méchantes mamans », vient-on de me lancer sur Twitter... En France, nous ne connaissons bien sûr que des femmes victimes de méchants « masculinistes » ! Alors que je foutais le bordel, au cours de ce printemps, j'envisageais de perturber un procès d'assises ; j'attendais de connaitre la date de celui de Chantal Clos, j'aurais pu l'interrompre, et demander à parler. Le procès de Chantal Clos et de sa fille n'a finalement fait que très peu de vagues ; il aurait pu être le procès des militantes et de courants les plus radicaux qui se sont habituellement exprimés au cours des dix années passées. « C’était quelques jours avant Noël 2009... » je m'en souviens assez bien, j'étais quasi aux premières loges.
Société
Un duo mère-fille en son labyrinthe de folie haineuse
12 avril 2013 à 22:16, Libé
Chantal Clos et la jeune Anouk, en 2009, avaient sequestré une avocate qui avait défendu l’ex-mari et père, puis l’avait laissée ligotée dans une forêt enneigée. Verdict : quinze ans ferme et cinq ans avec sursis.
Par SONYA FAURE
Il y a des photocopies étalées partout sur le sol, des meubles et des objets récupérés qui s’entassent contre les murs, cachent les fenêtres, rendent l’accès à la salle de bain difficile. C’est étouffant, un huissier en témoignera. Devant les assises de Paris, des témoignages ont fait revivre l’appartement où vivaient les deux femmes. A l’image du huis clos psychologique dans lequel la mère a enfermé sa fille.
A la barre, cette semaine, il y avait la mère donc, Chantal Clos, cheveux gris et beau visage, qui, dans son box, parle, parle, parle. Et la fille, la maigre Anouk, qui se gratte nerveusement les joues où des taches rouges et blanches apparaissent comme des piqûres d’orties. Toutes deux comparaissaient pour enlèvement, séquestration, violences, extorsion et vol avec arme. Lors de l’enlèvement, la mère répétait à l’avocate qu’elle avait kidnappée qu’elle était le «premier maillon» d’une «institution criminelle». Et aussi : «Quand les hommes deviennent pères, ils ont des pulsions sexuelles.»
C’était quelques jours avant Noël 2009... La suite, sur Libé
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Le poète escaladeur interné d'office à Toulouse
NDLR : #Mouhahaha la réplique de la République, « enfermez ce fou qui défie nos surveillances » ! Le poète n'a plus qu'à gigoter à son tour pour s'extraire de là. Mais avec RSF, suivons plutôt les actualités Russes
Publié le 06/05/2013 à 09h34, Sud-Ouest
Le poète escaladeur interné d'office à Toulouse
Hervé Couasnon doit subir des examens psychologiques. Vendredi, il a pénétré sur le tarmac de l'aéroport de Blagnac
Hervé Couasnon, l’autoproclamé « poète escaladeur » de Périgueux, a été interné d’office à l’hôpital Purpan de Toulouse à la demande du préfet de Haute-Garonne et du procureur de la République de Toulouse. Il doit subir ce lundi des examens psychologiques.
Vendredi, ce coutumier d’actions spectaculaires avait été interpellé après avoir réussi à déjouer les contrôles de sécurité de l’aéroport de Toulouse-Blagnac et à rester plus d’une heure sur le tarmac.
Hervé Couasnon a annoncé, le 1er avril dernier, sa candidature aux élections municipales de 2014 à Périgueux.
Périgueux · Bergerac · insolite · Faits divers
Les doigts d'honneur de Poutine, el-Assad et Ahmadinejad, par RSF
Je crois reconnaitre les structures de la façade de Beaubourg sur cette photo publiée par le JDD... Depuis que j'ai été enfermé cinq longues semaines pour avoir osé escalader le musée National d'art moderne et pour y avoir suspendu une banderole « je veux parler », peut-être même enfermé pour avoir effectivement beaucoup parlé encore à des journalistes, de la fin février à début mars, j'ai vraiment du mal à lire et à adhérer aux campagnes de RSF.
Le parquet de Paris m'en voudrait-il beaucoup si je détournais cette image en substituant Nicolas Sarkozy à Vladimir Poutine et François Hollande à Xi Jinping ? « Casse toi pauv'con », pourrait encore reprendre le premier ; « il faut faire confiance à la justice », reprendront en coeur Sarkozy, Hollande et le parquet ? « Le changement d'individu ne remet en rien en cause le système liberticide », je ne peux qu’acquiescer.
De source le JDD
Bettencourt : 105 députés UMP derrière Guaino
Politique | 11/05/2013 - 07:58, le JDD
Bettencourt: 105 députés UMP derrière Guaino
Poursuivi par l'Union syndicale des magistrats (USM) après ses propos contre le juge bordelais Jean-Michel Gentil, qui a mis en examen Nicolas Sarkozy dans le cadre de l'affaire Bettencourt, Henri Guaino (UMP) a reçu le soutien d'une centaine de parlementaires UMP, indique Le Figaro samedi. "Dans une lettre ouverte au procureur de Paris, ils s'étonnent de la décision du parquet d'ouvrir une enquête préliminaire sur les propos de Guaino", écrit le quotidien qui souligne qu'ils reprennent à leur compte les attaques de leur collègue député: "Comme lui, nous affirmons que le juge (...) a déshonoré un homme, a déshonoré les institutions et a déshonoré la justice+ en plaçant Nicolas Sarkozy en examen".
Le préfet de police de Paris sur la sellette
NDLR : Pauv'préfet, aujourd'hui, sous le feu des critiques... Le Figaro a zappé que les services de la préfecture de Paris m'ont fait enfermer pour avoir déployé très pacifiquement une petite banderole, le 8 mars dernier, sur Beaubourg. « Y aurait-il deux poids, deux mesures, dans la gestion de l'ordre public à Paris ? » Contrôler et maitriser ou faire enfermer des casseurs, c'est un peu plus délicat. « L'ordre public n'est pas une science exacte », a plaidé le ministre de l'Intérieur, relevant que des foules noyautées par des éléments « venus avec l'intention de nuire et de détruire » ne peuvent être traitées « comme un petit groupuscule dans une place isolée »
Le préfet de police de Paris sur la sellette
Par Jean-Marc Leclerc
Mis à jour le 14/05/2013 à 17:46
Publié le 14/05/2013 à 13:07, le Figaro
Imposé par l'Élysée à la «PP», Bernard Boucault est mis en cause après les graves dérapages de lundi soir. Le 24 mars, il avait déjà été critiqué pour les violences exercées par les forces de l'ordre à l'encontre des participants à la Manif pour Tous.
Fallait-il nommer le préfet Bernard Boucault à la tête de la préfecture de police de Paris? Les dérapages des casseurs à l'occasion de la célébration du PSG dans la capitale, dimanche puis lundi, et ses explications embarrassées en direct à la télévision, le soir même des échauffourées les plus graves, le placent, en tout cas, en situation très délicate.
Car le même préfet qui, deux jours durant, a donné le sentiment de flotter face à la violence des casseurs, n'a pas eu la même aménité avec les protestataires pourtant bien inoffensifs de la Manif pour tous. Le 24 mars, sur l'avenue de la Grande Armée, les policiers ont fait usage de lacrymogène en présence d'enfants et interpellés 98 personnes en quelques minutes. Et le mois dernier, 68 jeunes «veilleurs», qui voulaient planter paisiblement des tentes devant l'Assemblée Nationale, pour protester contre le mariage gay, ont été placés en garde à vue.
Lundi soir pourtant, parmi des centaines d'authentiques casseurs de banlieue - «des milliers» a même dit le préfet, vingt-et-un seulement ont été interpellés à chaud au Trocadéro et une poignée d'autres dans la nuit. Y aurait-il deux poids, deux mesures, dans la gestion de l'ordre public à Paris?
Abrogation à l'Assemblée du délit d'offense au chef de l'Etat
NDLR : En janvier 2010, une offense au chef de l'Etat commise fin 2009, à Paris, pour les 20 ans de la CIDE, m'avait valu un très discret rappel à la loi. Je suis ravis de lire que les temps ont définitivement changés ; la France est à présent une démocratie chinoise moderne... La CEDH « a jugé disproportionné le recours à une sanction pénale qui risquait même à l'avenir d'avoir un effet `'dissuasif sur des interventions satiriques" nécessaires au débat démocratique », nous a précisé la Dépêche ? Voir également Le net, c'est du chinois
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Abrogation à l'Assemblée du délit d'offense au chef de l'Etat
Le Parisien | Publié le 15.05.2013, 20h46
Les députés ont supprimé mercredi le délit d'offense au chef de l'Etat mis à mal par la condamnation de la France dans l'affaire de l'affichette "casse-toi pov'con" à destination de Nicolas Sarkozy.
Cette suppression a été actée à l'Assemblée au cours de l'examen d'un texte transposant plusieurs directives européennes et d'adaptation du droit français à des conventions internationales comme la Convention d'Istanbul contre les violences faites aux femmes.
Un amendement PS avait été adopté à l'unanimité en commission des lois au motif que ce délit n'était "plus justifié dans une démocratie moderne".
La Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH) a jugé le 14 mars que la France avait violé la liberté d'expression en condamnant pour "offense au chef de l'Etat" un homme qui avait brandi en 2008 l'affichette "casse-toi pov con" lors d'une visite de Nicolas Sarkozy. Et ce, bien que la peine ait été symbolique (30 euros d'amende avec sursis).
Le délit d'offense au chef de l'Etat, utilisé à six reprises sous le général De Gaulle, était ensuite tombé en désuétude, avant de ressurgir dans le dernier quinquennat. Inscrit dans la loi de 1881 sur la liberté de la presse, il prévoit pour ses auteurs une amende pouvant aller jusqu'à 45.000 euros.
AFP
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« La santé des enfants accueillis au titre de la Protection de l’enfance »
NDLR : Je vais saisir cette opportunité pour discuter encore du fabuleux travail de l'OSE France et de leur maison d'enfants de Taverny, puis de la bien-traitance, par l'ARSEA Alsace, ou de ce qu'ont cautionné les juges pour enfants de Nanterre et de la cour d'appel de Versailles, de 2003 à 2012 ; c'était hier. « Les analyses tant quantitatives que qualitatives montrent des problèmes nombreux et massifs affectant la santé des jeunes confiés au titre de la protection de l’enfance, affectant également leur développement et leur qualité de vie. ... Lors du bilan médical, globalement peu de pathologies sont dépistées mais de nombreux suivis sont relancés, voire initiés pour des problèmes déjà connus mais non pris en charge. », peut-on lire dans un document de synthèse déjà publiée par l'ONED. Ces professionnels devraient pouvoir me comprendre mieux que le parquet, mieux que des psychiatres ou que des travailleurs sociaux, sûrement mieux que des magistrats aussi. Selon l'agenda de l'ARS Ile-de-France, cette journée se déroulera au Musée social/CEDIAS, 5 rue Las Cases, 75007 Paris. On m'y confirmera très probablement que les négligences et les privations de soins dont a du souffrir ma fille ainée pendant des années sont tout à fait habituelles, normales et courantes lorsqu'un juge pour enfant est saisi. En janvier 2005, Richard Josefsberg, de l'OSE France, avait assuré que ses services prendraient toujours soin de mon ainée comme ils le feraient pour leurs propres enfants ; j'en rigolerais pendant longtemps encore. Passé l'été 2005, les tiers « dignes de confiance » ou la famille d’accueil à qui ma fille ainée a été confiée étaient cependant beaucoup moins communs : Madame est pasteur, Monsieur est médecin généraliste ! Quel travail, « protection » ou « aide »...
L'ONED organise le 19 juin 2013 une journée d'étude consacrée à la thématique retenue pour l'appel d'offres 2010: la santé des enfants accueillis au titre de la protection de l'enfance.
Pour mener à bien sa mission d’améliorer la connaissance et la construction des savoirs sur les questions de mise en danger et de protection des enfants, l’ONED propose régulièrement de rapprocher acteurs de la recherche et de la pratique en organisant des journées d’étude. Dans cette optique, et afin de faire connaître les résultats des recherches retenues dans le cadre de l’Appel d’offres 2010 autour du thème « La santé des enfants accueillis au titre de la protection de l’enfance », qui sont actuellement en cours de finalisation, nous vous invitons à retenir dans vos agendas la date du
Journée 2013 de l’ONED :
« La santé des enfants accueillis au titre de la Protection de l’enfance »
Journée d’étude à Paris présentant notamment les conclusions de... plus d'infos sur www.oned.gouv.fr
Un « mur des homophobes » à Paris
Je note, après RSF, ActUp a à son tour manifesté au voisinage de Beaubourg. Je note surtout la complaisance de Paris. Des groupuscules tels que les FEMEN, ActUp ou RSF y sont tolérés, voire même encouragés ; mais quand je me rends à Paris pour protester, les autorités me cherchent des poux ou des maladies mentales !
Ma propre santé ou ce que martèle l'Etat français, qui souhaite manifestement encore me faire passer pour un dérangé, je l'évoquerais à nouveau en juin prochain, au cours de la journée d'étude de l'ONED sur le thème de « La santé des enfants accueillis au titre de la Protection de l’enfance ». En octobre 2010, à Blois, pour les rendez-vous de l'histoire, un modérateur m'avait fait une réponse assez censée, me lâchant qu'un peu partout, les opposants sont souvent traités de fous. En novembre 2012, j'ai répondu à Marie Derain, Défenseur des droits ; elle n'a pas réagit. En février dernier, j'ai écrit à la préfecture du Val-de-Marne ; je n'ai pas obtenu de réponse. En février dernier, j'avais aussi écrit à l'Elysée ; ma correspondance y est toujours à l'étude. Cet hiver, j'avais également écrit à France 2, qui ne m'a pas répondu non plus. J'en passe, des meilleures. Que me lâchera l'ONED, en juin prochain, un grand silence ?
Pour ce billet, je note également que l'engagement 31 (mariage pour tous), c'est fait. 50 (le droit de vote des étrangers), ça suit. Beaucoup (des minorités et des étrangers) auront ensuite enfin plus de droits - à faire valoir dans des tribunaux réputés défaillants. Pendant ce temps, en France, les classes moyennes empruntent le « descenseur social ».
Il doit s'agir du « rêve » ou des idéaux dont les socialistes et Hollande nous parlaient au cours du printemps 2012.
Société | 17/05/2013 - 20:47
Un "mur des homophobes" à Paris, le JDD
Personnalités politiques, animateurs de la Manif pour tous, chefs d'Etats étrangers, responsables religieux : Act Up-Paris a dévoilé vendredi à Paris un "mur des homophobes" à l'occasion de la journée internationale contre l'homophobie.
Une cinquantaine de militants de l'association se sont rassemblés près du Centre Pompidou devant une trentaine de portraits barrés du slogan "L'homophobie tue". Parmi les personnalités brocardées par l'association figurent plusieurs responsables religieux : le pape François, l'archevêque de Paris André Vingt-Trois, l'ex-grand rabbin Gilles Bernheim, ou le président du Conseil français du culte musulman (CFCM) Mohammed Moussaoui. Sur un autre panneau, la députée Christine Boutin et la chef de file de la Manif pour tous Frigide Bardot côtoyaient les présidents Mahmoud Ahmadinejab, Vladimir Poutine et Robert Mugabe. L'ancien leader socialiste Lionel Jospin, la députée FN Marion Maréchal-Le Pen, ou le président camerounais Paul Biya sont également représentés.
Après le mur des cons,on affiche publiquement le mur des #homophobes . #ACTUP #IDAHO #sida #aids… instagram.com/p/Za42h1Kg0_/
— Julien Danjoux (@Bitchy_Boys) 17 mai 2013
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Drame à l'école : « Je viens en tant que père »
NDLR : Certains drames nous touchent évidemment un plus que d'autres... Voir également Chambon ?
Actualité > Société
Drame à l'école : "Je viens en tant que père"
Le Point.fr - Publié le 17/05/2013 à 21:10 - Modifié le 17/05/2013 à 21:21
François Fillon s'est rendu dans l'école primaire privée parisienne où un homme s'est suicidé, jeudi matin. L'un de ses fils y est scolarisé.
Source Sipa Media
Ils étaient plusieurs hommes et femmes politiques à se déplacer après le suicide d'un homme dans une école primaire privée du 7e établissement de Paris, jeudi matin. Parmi eux, les élus parisiens Bertrand Delanoë, Anne Hidalgo, Rachida Dati, ainsi que le ministre de l'Education, Vincent Peillon.
Mais l'un d'eux est personnellement concerné par le drame : François Fillon. "Je suis à la fois élu de cet arrondissement mais je suis aussi père d'un enfant dans le même établissement", explique devant les caméras le député de Paris. A un journaliste qui lui demande si "c'est le père d'abord qui vient", il répond : "C'est les deux. Je viens soutenir les enseignants, les parents d'élèves. Voila."
Il était très bien, mon mail à l'Elysée
Il était très bien, mon mail à l'Elysée de février dernier, ou cette correspondance à l'attention du Président de la République, qui y est toujours « à l'étude ». J'y ai écrit, j'ai agit, j'ai pu entrer en relation avec des journalistes... et puis paf, j'ai été enfermé durant 5 semaines durant lesquelles j'ai essuyé des pressions pour que je ferme ma gueule. Extrait :
Au cours des presque dix années passées, je me suis longtemps et souvent plaint de dysfonctionnements, du travail de professionnels, particulièrement du travail accompli par des professionnels de la protection de l'enfance, avec le juge pour enfant de Nanterre et l'approbation de la cour d'appel de Versailles. Dans ce cadre, je suis allé jusqu'à trois fois en cassation, démarches et résultats qui ont été ignorés par Nanterre comme par Versailles... je reste ici bref.
Je me plains donc encore de ces dysfonctionnements et d'anomalies, même si ces affaires sont aujourd'hui baclées (l'essentiel des décisions est depuis quelques temps définitif, ou ne sont plus susceptibles d'aucun recours). J'ai eu des avocats, plusieurs, souvent de bons, et j'ai donc usé et épuisé l'essentiel des voies de recours, des voies illusoires lorsque les décisions contestées sont assorties de l'exécution provisoire (des voies illusoires aussi lorsque la justice égare ou déchire ses papiers!).
J'entends aujourd'hui médiatiser encore ce qui s'est passé au cours de ces années et alors que des médias m'avaient déjà ponctuellement suivis, début 2008 (notamment des caméras pour France 2 et Faits divers le mag, du 7 juin 2008, après la parution d'un double page dans le magazine Maxi, au printemps 2008).
Dans ce nouveau contexte, agité récemment par une manifestation sur des grues de Nantes, et car la presse ne semble s'intéresser à rien s'il n'y a pas de coup d'éclat ni aucun téton racoleur, j'ai décidé que... L'intégralité de ce mail
Lyon : le père soupçonné d'avoir égorgé ses deux enfants en garde à vue
NDLR : « La première fois que le père divorcé gardait ses enfants ». Un #JoyeuxDivorce qui devrait encore donner du grain à moudre à nos « féministes », ou contre tout ces pères qui se juchent sur des #grues
Actualité > Faits divers
Lyon : le père soupçonné d'avoir égorgé ses deux enfants en garde à vue
Le Parisien | Publié le 19.05.2013, 11h34 | Mise à jour : 12h24
L'homme de 48 ans soupçonné d'avoir égorgé ses deux enfants de 5 et 10 ans près de Lyon après un divorce difficile était toujours en garde à vue dimanche en fin de matinée.
Les corps de la fillette de cinq ans et de son frère de dix ans avaient été découverts samedi en fin d'après-midi dans l'appartement du père, à Saint-Priest, dans la banlieue sud-est de Lyon.
Selon plusieurs témoignages, cet homme d'origine britannique avait pris la fuite à rollers...
Femen : la militante tunisienne Amina arrêtée à Kairouan
NDLR : Nous sommes nombreux à souhaiter poursuivre nos « actions ». J'ai moi-même le projet d'escalader bientôt la BNF, et je me doute que la préfecture de police et le parquet de Paris souhaiteront à nouveau me faire enfermer pendant quelques longues semaines... comme après mon escapade « hors-cadre », le 8 mars dernier, sur Beaubourg. « En Tunisie, même pas besoin de soulever son T-Shirt » pour s'y faire enfermer, il suffirait d'y graffer sur un mur ? A Fresnes, dans le Val-de-Marne, même pas besoin de sortir sa banderole de sa poche, le commissaire de police de l'Hay-les-Roses vous en fait conduire manu-militari au poste ! A Paris, le climat est à peine différent ; en juillet 2010, la police m'y avait également emporté au poste « pour prévenir des troubles » ! En France, comme en Tunisie, « nous [NDLR : nos élus et autorités] devons éviter tout trouble à l'ordre public », Jean-Jacques Bridey, député-maire, et le Parisien confirmeront. Je pense que Almamy Kanouté, un élu du coin, confirmera lui aussi ; ce 10 mai, journée de l'abolition de l'esclavage, à Paris, il a lui-même été embarqué au poste « pour port de T-shirts ».
ELLE / Societe / News
Femen : la militante tunisienne Amina arrêtée à Kairouan
Par Hélène Guinhut - Le 20/05/2013, extraits
Comme elle l’avait annoncé après s’être enfuie de chez elle, Amina Tyler poursuit ses actions. Dimanche, la première Femen tunisienne a tagué le nom du mouvement féministe ukrainien sur un muret de pierre, à proximité de la mosquée Oqba-Ibn-Nafaâ, dans la ville de Kairouan. Un acte militant qui a conduit à son arrestation. Aussitôt après avoir inscrit « Femen » en lettres noires, la jeune femme a été escortée par les forces de l’ordre vers un fourgon de la police. Une arrestation accompagnée d’une pluie d’insultes...
Dimanche, Caroline Fourest, qui soutient Amina depuis que la jeune femme a posté des photos d’elle topless sur Internet, a dénoncé cette arrestation. « En Tunisie, même pas besoin de soulever son T-Shirt. Taguer "FEMEN" sur un mur semble déjà considéré comme un attentat à la pudeur ! », a écrit l’essayiste sur sa page Facebook. Caroline Fourest a également publié une photo d’Amina durant son action. Après avoir fui sa famille en avril dernier, la jeune militante avait teint ses cheveux en blond platine pour ne pas être reconnue. Le 1er mai, elle avait tenté une action lors d’un meeting du Congrès pour la République, (le parti politique du président provisoire Moncef Marzouki) à Tunis. « Pas question de me dévêtir car les policiers se sont immédiatement jetés sur moi! », avait alors raconté Amina au magazine « Marianne ».
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Fleury : un père menaçait de s’immoler par le feu près d’une école
NDLR : Ce papa n'aurait-il pas pu grimper sur une grue ou une cathédrale, d'où nos élus et autorités auraient eu la possibilité de le renvoyer, comme tout le monde, vers la psychiatrie, ou vers des prétoires, et à des procédures hasardeuses, aux issues incertaines, ainsi qu'à des voies de recours réputées illusoires ?
Actualité > Essonne
Fleury : un père menaçait de s’immoler par le feu près d’une école
Le Parisien | Hervé Rachynski et Florian Loisy | Publié le 21.05.2013, 18h52 | Mise à jour : 22h19
Un homme d’une quarantaine d’années, qui s’était visiblement aspergé d’essence, a menacé pendant plusieurs heures de s'immoler par le feu devant une école de Fleury-Mérogis (Essonne). Un différend familial, portant vraisemblablement sur la garde de ses enfants, serait à l’origine de cet acte qui a mobilisé une quinzaine de pompiers et une vingtaine de gendarmes.
Le forcené s'était retranché dans sa voiture garée à quelques mètres de l'école Langevin, à proximité de son ancien appartement où vit son ex-compagne. Vers 15h, ce père de famille a appelé la brigade de gendarmerie de Fleury-Mérogis en l'informant qu'il menaçait de «faire une bêtise», menaçant de s'immoler par le feu.
Acte d'un père désespéré
«A l'arrivée des gendarmes, l'homme s'est aspergé d'un liquide, et a déclaré qu'il voulait récupérer son appartement, voir ses enfants, être entendu et rétabli dans ses droits par le juge, et ne pas être poursuivi pour ce qu'il était en train de faire», a précisé la chef d'escadron de gendarmerie Olivia Poupot.
Paris : une mère se suicide après le meurtre de son enfant
NDLR : Encore un couac à Paul Giraud ? Comment n'ont-ils rien pu soigner, prévenir, ou anticiper ?
Actualité > Faits divers
Info le Parisien
Paris : une mère se suicide après le meurtre de son enfant
Le Parisien | St.S. | Publié le 21.05.2013, 22h38 | Mise à jour : 23h06
Une mère de famille, auteure présumée du meurtre de son enfant, le 15 mai, dans l’appartement familial, situé dans un immeuble du XVIIIe s’est suicidée, ce mardi 21 mai, alors qu’elle était soignée dans une unité psychiatrique d’un hôpital de Villejuif (Val-de-Marne). Selon nos informations, la mère serait parvenue à s’étouffer avant d’être secourue par le personnel médical. Elle est décédée quelques minutes après son admission à l’hôpital Henri-Mondor à Créteil. Mercredi 15 mai, la mère s’en était pris, pour une raison inexpliquée, à coups de marteau, à son petit garçon, âgé de 5 ans.
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