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Villeparisis : des salariés de l’Armée du Salut soupçonnés de maltraitance
NDLR : C'est ce genre d'embarras, de soucis ou de très mauvaise publicité que le TGI de Nanterre, le Conseil général du Val d'Oise et la cour d'appel de Versailles ont souhaité épargner à l'OSE France, aux alentours de 2005 ? Solution radicale retenue alors par les autorités, pour éviter un scandale de plus : me faire passer pour un débile, notament avec une expertise de Magalie Bodon-Bruzel, et confier ma fille ainée au pasteur d'Uhrwiller
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Info le Parisien
Villeparisis : quatre salariés de l’Armée du Salut soupçonnés de maltraitance
Le Parisien | Faustine Leo | Publié le 28.05.2013, 17h00
Le directeur du Domaine de Morfondé, un établissement de l’Armée du Salut accueillant près de 90 jeunes au titre de leur protection physique et morale, a été mis à pied il y a plusieurs jours, confirment aujourd’hui l’association humanitaire et le conseil général de Seine-et-Marne. Un chef de service et deux éducateurs ont été éloignés de l’établissement.
Ceux-ci sont soupçonnés de « maltraitance » à l’égard d’adolescents qui y sont placés par le conseil général ou la justice.
Les victimes de ces mauvais traitements, trois jeunes pensionnaires, ont été retirées de ce centre d’éducation et de formation professionnelle.
« Il s’agit d’une situation délicate », reconnaît un responsable de l’Armée du Salut qui assure « que ces mesures ont été prises dès le lendemain où nous avons eu connaissances des soupçons qui pesaient sur ces personnes ».
Ces mesures disciplinaires ont été prises à la suite d’une enquête menée de façon inopinée les 15 et 16 mai derniers au domaine de Morfondé par des agents de l’Aide sociale à l’enfance, un service du conseil général de Seine-et-Marne.
« Si le Département constatait un défaut d’exécution ou des insuffisances dans les propositions faites par la Fondation de l’Armée du Salut vis-à-vis des injonctions du Département, celui-ci se réserverait le droit de nommer un administrateur provisoire ou de procéder à la fermeture de l’établissement », avertit par voie de communiqué le conseil général de Seine-et-Marne.
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Les juges de l'affaire Bettencourt fatigués des attaques
NDLR : « Quand on a affaire avec des personnalités comme celles-là, on fait preuve d'une particulière attention dans tous nos actes », assure Cécile Ramonatxo. Quelle autre juge ou voix nous assurera maintenant que la justice est la même pour ceux d'en haut et pour ceux d'en bas ? La justice de Bordeaux n'a-t-elle pas prévu de foutre en l'air bientôt le dossier Bettencourt ? Ca arrangerait très certainement Nicolas Sarkozy et ses amis
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Les juges de l'affaire Bettencourt fatigués des attaques
Créé le 31-05-2013 à 11h00 - Mis à jour à 11h00, NouvelObs
Mots-clés : Justice, France, Tapie, OFRTP, 20130531
par Claude Canellas
BORDEAUX (Reuters) - Les trois juges d'instruction qui ont mis en examen Nicolas Sarkozy pour abus de faiblesse de la milliardaire Liliane Bettencourt expriment, fait rarissime, leur exaspération devant le feu roulant d'attaques qu'ils subissent depuis des mois.
La révélation, jeudi, d'un lien entre le juge Jean-Michel Gentil et l'une des expertes ayant conclu à l'état de faiblesse de l'héritière de L'Oréal constitue la goutte d'eau qui a incité deux d'entre eux à sortir de leur silence médiatique.
Le Parisien a révélé jeudi que Sophie Gromb, un des cinq médecins ayant participé à l'expertise qui, en 2011, a décrété que Liliane Bettencourt était en état de démence sénile, avait été témoin lors du mariage du juge d'instruction.
Les avocats de la défense des 12 personnes mises en examen, dont Nicolas Sarkozy, soupçonné d'avoir profité de la faiblesse de l'héritière de L'Oréal pour lui soutirer de l'argent en 2007, se sont immédiatement engouffrés dans la brèche.
Ils mettent en cause l'impartialité du juge et la validité de l'expertise, clé de voûte du volet sur l'abus de faiblesse.
Ils s'en sont remis au procureur de la République de Bordeaux, attendant de lui qu'il tire "toutes les conséquences de ces atteintes aux droits de la défense et au droit au procès équitable, qui ont entravé la manifestation de la vérité".
LES JUGES CONTRE-ATTAQUENT
Anne-Marie Pauly, une « mère à abattre »
NDLR : On trouve et lit de tout, sur les réseaux sociaux... Dès qu'on l'ouvre, qu'on proteste et qu'on s'accroche, on est « à abattre » ! « Et à 16 ans, le fis de Anne-Marie Pauly, fait 33kg. Vous trouvez ça normal ? » Ca ne me surprend pas du tout, à 15 ans, le petit-fils de Mireille Millet, également placé, « sauvé » ou caché par l'OSE France et Nanterre, ne pesait que 30kg ; « c'est pas Auschwitz », nous lançait la cour d'appel de Metz, en juin 2010 ! Anne-Marie affirme que sa fille s'est retrouvée en psychiatrie, « shootée de médicaments » ? Ca ne me surprend pas non plus. Voir également « La santé des enfants accueillis au titre de la Protection de l’enfance ».
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Cahuzac : un avertissement annulé
Politique | 02/06/2013 - 15:48, le JDD
Cahuzac : un avertissement annulé
Un avertissement reçu en 2008 par l'inspecteur du fisc du Lot-et-Garonne Rémy Garnier, pour avoir consulté le dossier fiscal de Jérôme Cahuzac et d'autres, a été annulé vendredi par la Cour administrative d'appel de Bordeaux, a révélé dimanche Sud Ouest. "En procédant de sa propre initiative, dans le cadre des fonctions de programmation du contrôle fiscal pour lesquelles il avait reçu l'habilitation, à la consultation de dossiers fiscaux de particuliers dans son ressort géographique afin de vérifier la pertinence d'informations dont il avait pu avoir connaissance, M. Garnier ne peut être regardé comme ayant commis un abus de fonction", écrit ainsi la Cour.
Rémy Garnier, aujourd'hui en retraite, agent connu de sa hiérarchie pour dénoncer régulièrement ce qu'il estimait être des passe-droits dans le domaine fiscal, avait opéré ces consultations informatiques alors qu'il était sans mission particulière dans un bureau à Agen. Elles concernaient ses supérieurs et Jérôme Cahuzac, dont il avait eu vent du compte en Suisse. Ces consultations avaient été repérées, et il avait reçu du ministre du Budget de l'époque, Eric Woerth, l'avertissement qu'a donc annulé la Cour.
Interné d'office, le « poète escaladeur » s'évade et regagne Périgueux
NDLR : « Contacté par l'AFP, son avocat, Me Pierre-Daniel Lamazière a indiqué ne pas être au courant de cette évasion. M. Couasnon avait contesté en justice son internement mais avait été récemment débouté, a-t-il dit. » Non, sortir de là libre, sans contraintes ni grand chose à redouter, c'est pas très facile - sauf en défonçant les portes ouvertes d'un « milieu ouvert », en « fuguant », mais en encourant en ce cas le risque d'y retourner direct, à l'isolement. Voir également mes archives d'avril 2013 pour un bon aperçu de ces milieux et procédures, ou mon billet Libre !
Actualité > Bordeaux
Interné d'office à Toulouse, le "poète escaladeur" s'évade et regagne Périgueux
Le Parisien |Publié le 02.06.2013, 18h44
Le "poète escaladeur" Hervé Couasnon, coutumier d'actions d'éclat, s'est évadé samedi de l'hôpital psychiatrique de Toulouse où il avait été interné après avoir pénétré sur le tarmac de l'aéroport de Blagnac et a regagné Périgueux, d'où il est originaire, a-t-on appris auprès de l'intéressé et de source hospitalière.
Il avait pénétré le 3 mai sur le tarmac de l'aéroport de Toulouse-Blagnac afin, avait-il expliqué, "de déjouer la sécurité sans se faire repérer".
Sans gêne, le collectif de la grue jaune
Ce week-end, lisant sur la toile, je me suis aperçu que le collectif de la grue jaune avait fait figurer à son propre agenda mon passage sur Beaubourg, ce 8 mars dernier, on peut encore le lire dans le cache de Google. Après quelques échanges de mails avec des contacts de ce collectif, l'information a fini retirée de sa liste d'actions. La mienne, sur Beaubourg, avait été préparée hors collectif ou cadre associatif, avec mes propres moyens et discours, encore dans une grande indifférence. Perché ensuite, tout en haut du musée national d'art moderne, je déployais une banderole sur laquelle était écrit « je veux parler » ; ce n'était pas pour que ce j'avais à exposer à la presse et aux autorités soit ensuite couvert par quelques individus et groupuscules aux expériences, motivations et discours si différents des miens !
Toujours sans le moindre échange ou concertation préalable, le collectif la grue jaune a communiqué, le 10 mars dernier, en évoquant mon passage sur le centre Pompidou, pour s'adresser à la presse, au Premier Ministre, au Garde des Sceaux ainsi qu'à la Ministre déléguée à la famille ? J'envisage d'écrire à nouveau, moi-même, prochainement, au Garde des Sceaux ; comment serais-je reçu alors que ce collectif d'associations s'est emparé de mon action du 8 mars, la récupérant, pour lui présenter ses propres discours et argumentations ?
D'une photo plusieurs fois tweetée par @quotidiennedele, ce 8 mars dernier
Oui, je grimpais seul sur Beaubourg ; l'Etat, qui s'est longuement penché sur le fait, devrait pouvoir confirmer. C'est aussi seul que j'interrompais une messe à Saint-Cyr-l'Ecole. Et c'est encore seul que j'ai été interdit de conseil municipal, je souhaitais le perturber également, pour parler à des élus, dont un député-maire socialiste. Etc. Tout cela, dans le but de parler, de parler à la presse, qui ne réagit plus à rien d'autres que d'assez sérieux troubles. Puis c'est encore seul que j'envisage de grimper également sur la BNF. J'ai le plus souvent été seul au cours des 10 années passées, et cela n'a pas été faute d'avoir échangé régulièrement avec de nombreux courants associatifs et professionnels... une distance que j'ai fini par apprécier, même lorsqu'il s'agissait plutôt d'ostracisme.
USA : un père au tribunal en uniforme nazi, pour essayer de revoir son fils
NDLR : Je finis ma bière et je vais me coucher. La nuit porterait conseil
Mise à jour : mardi 04 juin 2013 01h50, l'avenir.net, extrait
USA: un père au tribunal en uniforme nazi, pour essayer de revoir son fils
(Belga) Un Américain qui avait donné à ses enfants des prénoms inspirés du nazisme et en a perdu la garde, s'est rendu lundi devant un juge aux affaires familiales portant un uniforme nazi, espérant obtenir le droit de voir le plus jeune, âgé de 18 mois.
Ses trois aînés s'appellent respectivement Adolf Hitler Campbell, 7 ans, JoyceLynn Aryan Nation Campbell, 6 ans, et Honzlynn Jeannie Campbell, 5 ans. Ils ont été retirés à leurs parents en 2009, et Heath Campbell, 40 ans, affirme ne pas les avoir revus depuis 2 ans. Le quatrième enfant, Heinrich Hons Campbell, a été retiré au couple par les services sociaux quelques heures après sa naissance en novembre 2011, les autorités invoquant un passé de violences familiales. "J'aime mes enfants, je veux être leur père", a déclaré Heath Campbell, avant l'audience au tribunal de Flemington (New Jersey, Est), à la chaine locale NBC 10. Le couple, depuis séparé... la suite sur l'avenir.net
Psychiatrie : « un bond des hospitalisations sous contrainte »
NDLR : Je ne regrette absolument pas mon séjour ou cette expérience récente en psychiatrie, à la demande de la préfecture de police de Paris, pour avoir escaladé Beaubourg, voir pour avoir encore trop parlé à des journalistes, en février et mars dernier. Je ne saisis maintenant que mieux ce que nous exposent la presse et des spécialistes de ces milieux. Bon courage à ceux qui ont ou auront encore à s'en extraire, surtout courage aux plus engagés ! On apprend qu'il ne suffit plus d'être préparé pour une GAV de 24 à 96h lorsqu'une action a déplue, qu'il faut plutôt envisager l'éventualité d'une SDRE, 5 semaines ou plus en psychiatrie, puis un « suivi »... sur des mois. Alors forcément, #lesgens vont finir par protester et par rouspéter beaucoup moins, moins fort, moins souvent
Société
Psychiatrie : «Un bond des hospitalisations sous contrainte»
2 juin 2013 à 20:56 (Mis à jour: 3 juin 2013 à 14:29), Libé
Interview. Rapporteur de la mission parlementaire sur la santé mentale, le député PS Denys Robiliard commente une hausse de près de 50% des internements sans le consentement du patient.
Par ERIC FAVEREAU
De l’aveu même du rapporteur de la mission parlementaire sur la santé mentale, le député socialiste Denys Robiliard, «c’est une hausse énorme». En cinq ans, le nombre d’hospitalisations en psychiatrie sans le consentement de la personne a augmenté de près de 50%. Ce chiffre impressionnant, inédit, a été révélé vendredi par la mission sur la santé mentale dans son pré-rapport. On peut se demander si les hôpitaux psychiatriques ne sont pas en train de redevenir des lieux fermés et de contrainte, quand on sait que jamais une telle hausse n’avait été observée en France.
Une institutrice de Ginestas accusée de maltraitance en cour de récré
NDLR : La chute par l'auteure, Prisca Borrel, pour l'Indépendant, est terrible... « Si les faits cités sont graves, il ne faut pas oublier que les fausses accusations, issues d'imaginaires enfantins, sont devenues monnaie courante. » Je vais devoir approfondir à nouveau mes études et les palabres sur les fausses allégations des enfants. Les féministes ont fait un si bon travail, la parole des femmes ne peut plus être mise en doute, et lorsque les propos d'un vilain marmot accusent une instit (ou même un travailleur social), leur imaginaire comme les « certificats médicaux » émis par des « psychologues » mentent ou trompent maintenant toujours ? Affaire et débats à suivre
Une institutrice de Ginestas accusée de maltraitance en cour de récré
Le 04 juin à 6h00 par Prisca Borrel | Mis à jour il y a 18 heures, l'Indépendant
L'histoire l'a prouvé à maintes reprises : les mots d'enfants peuvent susciter bien des débats lorsqu'il s'agit de démêler le vrai du faux. Aujourd'hui, c'est à l'école de Ginestas d'en faire les frais. Virginie Beauguitte, institutrice de la classe de CM1/CM2, est à bout de nerfs. Depuis le vendredi 24 mai un élève l'accuse de maltraitance. "Je l'ai juste réprimandé. Il grimpait sur les grilles qui donnent sur la rue. C'est interdit et surtout, c'est dangereux ! Comme il continuait, je l'ai puni. Je lui ai dit de venir s'asseoir à côté de nous... Ce sont des choses qui arrivent 50 fois par jour". Pourtant, une fois à la maison, la version de l'élève diffère. "Il a raconté à sa mère que j'avais traversé la cour, que je l'avais attrapé par les cheveux et lui avait cogné la tête contre un pilier en pierre". Le samedi, la mère et son fils âgé de 10 ans consultent un psychologue qui produit un certificat médical. "Ce certificat est au conditionnel, mais il stipule que j'aurais traumatisé l'enfant", peste l'enseignante.
Une source policière aurait-elle enfumé l'AFP ?
Je viens de trouver un tweet du 11 mars, publié par la mère de ma cadette : « bon et bien c'est officiel, mon ex est fou. et probablement interné depuis vendredi. http://www.lexpress.fr/actualite/soci... ». Mon ex ne manque pas d'humour. J'ai ensuite encore beaucoup rit en suivant son lien et en découvrant un article publié sur l'Express, ce 8 mars, une brève rédigée avec des informations communiquées par l'AFP et illustrée par une vidéo BFMTV, de Serge Charnay, l'une des figures - controversée - du collectif des grues jaunes. Je garde une copie écran de l'Express, page 2, pour mes archives personnelles. Avant de me lancer dans mes actions, en février et mars dernier, j'avais bien informé mon ex, lui assurant que je ne réclamais pas la garde de la petite, et qu'elle ne devrait pas faire grand cas de ce qui allait paraitre dans les journaux ; la brève du 8 mars, sur l'Express, a pu la surprendre. Je grimpais bien pour parler surtout de protection de l'enfance, de justice aussi, ou de toute « l'aide » dont aurait bénéficié ma fille ainée, au cours des années passées, jusqu'à sa majorité ; lire Un ultime résumé, billet tel qu'il était en ligne, ce 8 mars 2013.
Je grimpais seul, début mars, à l'occasion de la journée de la femme ; il n'y avait d'ailleurs aucune association ni le moindre communiquant des grues jaunes au pied de Beaubourg. Je grimpais sur le centre Pompidou pour y étendre une banderole sur laquelle était écrit « je veux parler », ce n'était pas pour que des médias offrent à cette occcasion une ultime tribune à Serge Charnay, ni pour que mon action soit alors ainsi confondue dans des médias avec celles du collectif des grues jaunes... et je pense avoir été suffisamment explicite dans mon billet du 4 courant, le collectif des grues jaunes ne s'est pas gêné pour récupérer très vite mon action, sur Beaubourg, pour communiquer, et pour la faire figurer à son propre agenda, laissant ainsi facilement supposer que cette escalade avait été réalisée avec eux, voire même par eux !
Entre février et mars, j'avais pu discuter avec quelques journalistes du Parisien. Ce journal est sectorisé. Comme mes actions se sont réparties sur les Yvelines, le Val de Marme, puis Paris, à chaque fois, j'ai été en relation avec un autre journaliste, et les échanges n'ont toujours été qu'assez limités, pour des articles très courts. Philippe Baverel devait me retrouver pour Beaubourg, il était informé que j'allais grimper ; lui et moi n'avions pu discuter que quelques instants, dans le véhicule de police qui m'ammenait de Beaubourg à la mairie de Paris 4ième ; après mon entretien avec le maire, Christophe Girard, je devais reprendre contact avec le Parisien, pour poursuivre un interview, mais l'administration m'avait donc retenu, me privant radicalement et trop longtemps de tous moyens de communication. Un journaliste RMC aurait également souhaité m'interviewer ; mais j'étais déjà encadré par la police de Paris ; RMC n'a pu noter d'avantage que mon numéro de téléphone. Quelles ont alors été les sources de l'AFP, pour mon passage sur Beaubourg, uniquement la police ? Selon la brève publiée par l'Express, ce 8 mars, la source de l'AFP a pu rester très sybilline : « Ce vendredi vers 11h00 [NDLR : le 8 mars 2013], un père de famille a escaladé le centre Georges-Pompidou à Paris et s'est installé sur une poutre de la structure au 5ème étage. Une façon de médiatiser son combat pour récupérer la garde d'une de ses filles, a-t-on appris de source policière. » De telles déclarations, par la police, pourraient expliquer que l'AFP liait rapidement mon action à celles du collectif des grues jaunes, ou de pères. En tous cas, avec ces déclarations de la police, de l'enfumage, avec mes moyens de communication coupés par la préfecture de police de Paris, ainsi qu'avec mon action si vite récupérée par le collectif des grues jaunes, je n'avais aucune chance de pouvoir parler des sujets qui m'avaient poussés à grimper. Cependant, dans un article du 9 mars, le Parisien avait un peu mieux présenté mes motivations.
J'ai recontacté Philippe Baverele, mais il n'a plus de temps à consacrer à ces histoires, d'avantage que des histoires de garde d'enfants. Ce dimanche, le collectif des grues jaunes organise un rassemblement et une manifestation, à Paris. Si je m'y rendais, j'aurais peut-être l'opportunité d'échanger encore avec la presse ? D'ici là, je vais essayer de contacter l'Express et l'AFP, et tenter de leurs présenter ce qui motivait réellement mon action, ce 8 mars dernier, à Paris.
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Coup de peinture sur la grue jaune à Nantes
Nantes
Coup de peinture sur la grue jaune à Nantes
Patrimoine, mardi 04 juin 2013, Ouest-France
Depuis ce mardi matin, Marc Kani monte régulièrement en haut de la grue jaune amarrée à deux pas du quai des Antilles, à Nantes. La grue Titan, d’une hauteur de 43 m, a été taggée en février par un père séparé, désespéré de ne plus voir son fils. La délicate mission de Marc Kani, peintre en bâtiment et cordiste, consiste à recouvrir les inscriptions situées en haut de la grue.
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Ais-je grimpé trop tôt sur Beaubourg ?
Je découvre la polémique suscitée par André Vallini et son interview pour le mensuel du Conseil général de l'Isère. J'apprends surtout que, avec les socialistes ou Vallini, la lutte contre la maltraitance des enfants pourrait être déclarée « grande cause nationale 2014 ». Récemment, l'Administration m'a enfermé 5 semaines parce que j'ai escaladé Beaubourg, ce 8 mars ; je souhaitais alors parler de protection de l'enfance, ça a manifestement beaucoup déplu.
Je vais donc peut-être attendre l'an prochain avant de grimper sur la BNF... il sera alors plus opportun d'évoquer, à nouveau, une ancienne circulaire d'il y a plus de 10 ans, la NOR MESA0230297C, ou Circulaire DGA 5/SD 2 n° 2002-265 du 30 avril 2002, « relative au renforcement des procédures de traitement des signalements de maltraitance et d'abus sexuels envers les enfants et les adultes vulnérables accueillis dans les structures sociales et médico-sociales », quelques pratiques, le fonctionnement de certains prétoires, j'en ai éprouvé plus d'un au cours des années passées, et des sujets qui tendent à s'y rapporter ?
Dans l'interview de Vallini, je lis encore que « les violences faites aux enfants sont trop souvent un angle mort de la politique, peut-être parce qu'ils ne votent pas et n'ont pas de lobby pour les défendre. » Il a pu faire bondir également tous les militants et associations qui agissent ou sévissent dans les vastes domaines de l'enfance et de la famille
Isère magazine n° 136 est aussi consacré au recrutement d'assistants familiaux. Il y en aurait long à dire.
Extrait de Isère magazine n° 136
Meurtre d'Agnès : « si l'accusé n'avait pas été libéré, elle serait vivante »
NDLR : On va nous reparler de Chambon... sujet qui avait ému jusqu'à gauche. « Toutes les instances qui sont en charge des différentes étapes qui ont mené à cette atrocité ont déclaré que finalement, tout s'était passé dans des conditions normales ». Comme pour Marina, je suppose, et comme aux Pavillons sous bois, etc
Actualité > Faits divers
Meurtre d'Agnès : «Si l'accusé n'avait pas été libéré, elle serait vivante»
Le Parisien | Publié le 08.06.2013, 19h17 | Mise à jour : 20h01
Alors que le procès du meurtrier présumé d'Agnès, la collégienne violée et tuée en 2011 au Chambon-sur-Lignon (Haute-Loire), s'ouvre le 18 juin prochain, la famille de la victime et son avocat dénoncent «un dysfonctionnement de l'institution judiciaire» qui ont mené au drame.
Lors d'une conférence de presse samedi, Me Francis Szpiner, l'avocat de la famille, a estimé que «si la justice n'avait pas libéré une première fois l'accusé, il serait en prison et leur fille serait vivante». En effet, un an plus tôt, les parents du meurtrier présumé, Mathieu, âgé de 17 ans au moment des faits, avaient convaincu le collège-lycée Cévenol d'accepter leur fils comme élève. Or, ce dernier venait d'effectuer quatre mois de détention provisoire pour un viol sur une mineure dans le Gard. Un fait pour lequel il sera également jugé le 18 juin.
«Toutes les instances qui sont en charge des différentes étapes qui ont mené à cette atrocité ont déclaré que finalement, tout s'était passé dans des conditions normales», a dénoncé devant la presse le père d'Agnès, Frédéric Marin, entouré des grands-parents de l'adolescente, Armel et Solange Marin.
Guéant : l'affaire des primes de police s'éclaircit
NDLR : Qu'est ce qui m'a pris, vers 2005 et en 2006, d'écrire place Beauvau, lorsque je rencontrais de gros problèmes avec des poulets, une banque, un notaire, avec Nanterre et des travailleurs sociaux ? Ce cabinet pouvait effectivement s'appliquer, s'impliquer directement dans des affaires ? C'est bien ce qu'il m'a un jour répondu ; puis qu'il devait suivre un « examen approprié » ; et enfin, tout ce dont je me plaignais a été plus ou moins soigneusement étouffé, par Nanterre, par Antony et par la cour d'appel de Versailles. Attention, sans primes donc ; le Figaro nous précise bien que passé 2004, les gratifications ne suivaient plus ! Dans l'article de Jean-Marc Leclerc, je lis surtout que nous devons maintenant parler de « l'implication hors norme des équipes du cabinet du suractif Nicolas Sarkozy ». En mai 2010, alors que nous critiquions toujours beaucoup l'indépendance du parquet, il m'en parvenait une très belle encore, de la place Vendôme, avec une pièce jointe. J'ai beaucoup écrit, et parfois reçu des réponses officielles. Ces réponses sont presque toujours des correspondances type ; « en raison du principe constitutionnel de l'indépendance de l'autorité judiciaire, blablah » ; on a cependant parfois le sentiment d'avoir été très bien lu
Guéant : l'affaire des primes de police s'éclaircit
Par Jean-Marc Leclerc
Mis à jour le 10/06/2013 à 19:51
Publié le 10/06/2013 à 18:00, le Figaro, extraits
Selon les services d'inspection de la Place Beauvau, l'ancien ministre a bien perçu 10.000 euros par mois en liquide pour lui et ses collaborateurs entre 2002 et 2004 provenant de frais d'enquête et de surveillance. Le cabinet n'avait pas l'impression de franchir la ligne jaune.
[...] «Il faut se souvenir qu'à l'époque la traque d'un Ferrara et plus encore d'un Colonna, le tueur du préfet Érignac, était coordonnée directement depuis l'échelon du cabinet», se souvient un haut fonctionnaire de police. Cette implication directe du politique dans la gestion technique des affaires les plus médiatiques surprenait d'ailleurs beaucoup ceux qui avaient une vision plus classique du fonctionnement de la Place Beauvau.
Direction Orléans, pour une audience de « divorce »
Récemment, dans la République du Centre, je lisais des professionnels et un TGI nous lancer que « La justice ne se rend pas encore en haut des grues ou des cathédrales ! » Je suis assez d'accord avec cela, et c'est d'ailleurs la raison pour laquelle je me suis moi-même assez souvent rendu dans des prétoires, au cours des années passées. Il m'arrivait même régulièrement d'en redemander, pour les faire cracher encore du papier, à commenter ; ce sont bien ce genre de documents qui me permettaient de publier des billets tels que Retour sur... la procédure de prise à partie. Du papier, de toutes provenances, et après de multiples procédures, sur 10 à 15 ans, j'en ai plein mes cartons ; j'ai déjà assez bien exposé qu'ils me servent à publier ou à bavarder avec d'autres, et lorsque l'opportunité se présente (c'est rare), à bavarder avec des journalistes aussi. Au cours des années passées, j'ai souvent eu le sentiment que la justice n'aimait pas la médiatisation, la presse, surtout la mauvaise, parfois susceptible d'exercer un véritable contre-pouvoir.
Des motivations du délibéré du 30 juin 2008,
« Attendu que M. Kant est bien trop bavard... »
Ce mercredi, je me rends à Orléans, pour suivre une audience correctionnelle, à la cour d'appel. En avril, je découvrais les « difficultés familiales ou personnelles » de Valérie, telles que décrites par la République du Centre, ou encore commentées par l'association CRPA ; depuis, j'ai pu discuter quelques minutes avec cette mère. Valérie a donc été internée, et estime que c'était abusif, ce qu'elle essaye de mettre en lumière, de démontrer. Et il semblerait que depuis son séjour en psychiatrie, ou son « divorce », une séparation conflictuelle, Valérie ne retrouve plus ses enfants ailleurs qu'au point rencontre ; cette mère mène un combat pour récupérer leur garde. Je vais sagement suivre l'audience, et profiter de l'opportunité pour bavarder, dans ces couloirs, avec Valérie et avec l'association CRPA.
De début à fin 2003, ma propre famille avait subit des pressions fortes, par l'ASE, puis par l'OSE France, pour que mon ainée (sa mère est décédée en 1999) soit « durablement » confiée à ses tantes maternelles, pour qu'elle soit « placée » chez elles. Fin 2003, mon ainée a été « placée » à Taverny, un foyer de l'OSE France. Puis c'est avec des palabres de travailleurs sociaux de l'OSE et d'une « psychologue » qu'en 2005, le juge pour enfant de Nanterre (Anne Valentini et Thierry Reveneau) suspendait tous mes droits sur ma fille ainée, nous interdisant même toutes relations et correspondances, de quelques natures que ce soit. Début 2006, plagiant l'arrêt Kutzner c/Allemagne, la cour d'appel de Versailles reconnaissait pourtant que ma famille pouvait offrir un cadre suffisant pour l'épanouissement de mon ainée, notamment du fait de sa relation sa petite soeur (ma cadette n'a jamais été concernée par ces mesures ; la justice n'est que passée « prélever » ma fille ainée). En novembre 2006, s'emparant d'une « expertise » de Magalie Bodon-Bruzel, psychiatre, Nanterre, le juge Thierry Reveneau, maintenait l'interdiction de toutes relations. En foyer, à l'OSE, « ça se passait mal » ; en 2007, à Versailles, mon ainée le confirmait encore. En juin 2008, Nanterre, le juge Xavier Serrier, persistait, insistait, précisant alors que « c’est à Monsieur KANT d’évoluer et de se remettre en cause ; ». C'est ensuite, et alors que j'avais engagé une procédure de prise à partie contre le juge Xavier Serrier, que les choses ont finies par enfin évoluer... soit après l'intervention de la presse, de France 3, de France 2, ainsi que de la cour de cassation, une première fois. Dans mon blog, j'ai déjà décrit dans le détail tout ce qui s'était tramé. Nous avions ensuite pu passer l'été 2009 en famille ; puis à la fin de l'été 2009, mon ainée disparaissait à nouveau chez ses tantes maternelles ; passé l'été 2009, j'ai jeté l'éponge, lassé, ne retournant plus dans des tribunaux que pour mieux faire constater à quel point le « placement » ou le « sauvetage » de mon ainée avait été un échec, un naufrage de la protection de l'enfance.
La mère de mon ainée est donc décédée dans des conditions suspectes, en milieu hospitalier ; puis la justice a bâclé une instruction ainsi qu'un recours contre l'Etat. La succession de sa mère semble s'être quasi vaporisée ; ce n'est qu'après de longs et pénibles échanges avec une banque que quelques fonds ont pu être retrouvés et bloqués. Malgré ou avec le concours de la justice, le traitement de la succession de son grand-père maternel a été bien bâclé également. Mon ainée souhaitait faire des études, elle avait des capacités ; mais elle a été orientée vers une filière professionnelle. Mon ainée avait des problèmes de santé ; certains figuraient bien à son dossier, dès 2005 ; mais ils ont été ignorés par la justice et par les travailleurs sociaux. Pour la justice, la famille maternelle de mon ainée était garante de la relation père-enfant de mon ainée ; cette relation est rompue. Face à tant d'obstination, d'acharnement des professionnels, pour bien faire, « dans l'intérêt de l'enfant », passé l'été 2009, qu'aurais-je pu faire d'autre que de finir de remplir mes cartons avec les papiers qu'ils produisaient pour justifier, motiver un tel travail ?
Ce 14 juin, au Sénat, se tient un colloque national sur les violences faites aux enfants ; nous serions tous insensibles, ou si peu touchés. Je n'ai remarqué ce colloque que trop tard, les inscriptions étaient déjà closes ; tant pis. Il est organisé par André Vallini, Valérie Trierweiler en est la présidente d'honneur. Selon le programme, la « table ronde 3 – Le suivi des enfants pris en charge » aura pour intervenant « Thierry Baranger (président du Tribunal pour Enfants de Paris) : Le suivi et la prise en charge des mineurs placés ». J'aurais pu intervenir au cours des échanges avec la salle, et rappeler que Thierry Baranger siégeait précédemment à Nanterre, où il était saisi de la situation mon ainée, à partir d'octobre 2008...
Je pense que demain, dans les couloirs de la cour d'appel d'Orléans, j'aurais beaucoup de choses à échanger encore avec Valérie, puis avec le représentant de l'association CRPA. Ils pourraient être surpris par ce que la protection de l'enfance peut construire ou cautionner. Mais je leurs expliquerais peut-être simplement qu'en mars 2012, à Caen, je qualifiais publiquement Magalie Bodon-Bruzel de charlatan, puis qu'aucun des nombreux psychiatres et experts que j'ai croisé récemment n'est arrivé à ses conclusions. Ensuite j'irais suivre un colloque de l'ONED.
Ajout du 12 au soir... Deux journalistes, dont l'AFP, étaient présents pour cette audience de « divorce », à Orléans ; un article pourrait paraitre dans la République du Centre. L'avocat du mari a commencé par plaider une nullité ; celui du médecin, plus bref et concis, et celui du mari, dans une démonstration et des explications plutôt longues, ont plaidé l'absence d'intentions coupables. Bienveillant, alors que leurs relations d'alors ont été décrites assez conflictuelles, le mari de Valérie semble effectivement avoir multiplié des « signalements », auprès du procureur, dans un premier temps, puis auprès du JAF et d'un JPE enfin, alimentant ces dossiers avec le soucis d'aider sa femme et de protéger ses enfants... Pendant la période d'hospitalisation d'office de Valérie, plusieurs semaines, les psychiatres ne semblent pas avoir décelé une pathologie précise, ni la moindre dangerosité pour elle même ou pour autrui ; un juge des libertés et de la détention avait alors fini par libérer Valérie (à lire sur laRep.fr). Cependant, donc, depuis, Valérie ne retrouve plus ses enfants qu'en point rencontre ; ces derniers protesteraient beaucoup, et vivraient très mal leur séparation d'avec leur mère, depuis 3 ans maintenant. Un bon « signalements » peut produire des effets terribles, je l'évoquais, ironique ou cynique, dans un billet d'octobre 2008. Les certificats du médecin ont été beaucoup critiqués par la partie civile, la mère, Valérie ; son avocat a également critiqué leur emploi par son mari, et surtout critiqué la période qui a précédé cette hospitalisation d'office. Le ministère public a requis la confirmation des condamnations du mari et du médecin. Délibéré le 11 septembre.
Ajout encore... Récemment, où j'étais longuement enfermé, j'ai donc donné un coup de pouce à une jeune mère, hospitalisée pour « bouffée délirante aiguë », elle n'en était pas à son premier épisode ou crise. Cette jeune femme est rentrée chez elle, depuis un moment déjà, elle y a retrouvé son compagnon et son enfant ; ceux-là s'entendent bien. Je n'ai vraiment pas perdu mon temps dans ce milieu, Paul Giraud, ni cette journée, à Orléans. A Paul Giraud, j'avais aussi discuté longuement avec une autre femme, « hospitalisée » par son mari ; celle-ci a fini écrasée par sa situation et un conflit conjugal, un « divorce » à suivre, puis écrasée d'avantage encore par son « traitement ». Beaucoup pourraient être concernés par de telles histoires.