Catégorie: Non catégorisé
Un appel du Ministère de l'ordre public #StopDjihadisme
« Dénoncer son voisin », 1 2 3... « un geste simple utile civique » ! J'ai vu de premières réactions, sur Twitter, dont celle de @Alkanz qui s'adresse à @HaimKorsia, et je me marre. Ca fait bien plus de 20 ans que la protection de l'enfance se cherche, erre, s'égare, fait souvent naufrage tout en cherchant à mieux traiter et gérer les « signalements » qui lui parviennent ! Récemment, nous avons appris que le renseignement n'est pas ou plus davantage efficace... l'éducation nationale ainsi que d'autres secteurs ou services tels que ceux de la justice et de la psychiatrie probablement pas beaucoup plus ! Au passage, bravo à la comm' gouvernementale ou à ceux qui s'en sont fait le relais, certains semblent avoir perçu qu'avec ce tout nouveau portail #StopDjihadisme il allait s'agir d'abord ou surtout « d'aider » des familles et des mineurs ! Ce nouveau numéro vert pourra cependant occasionnellement aider des plus fragiles parmi ceux qui téléphoneront ? Seul des plus naïf voudront bien croire que ce sera utile, efficace, quoi qu'il y ait au delà de la façade de ces nouveaux numéro et portail ? Je vais rester offline ce soir, ou je ne vais plus tweeter que des conneries
De source INA, 16 sept. 1984, politique intérieure, parodie
Bonsoir @HaimKorsia le gouvernement appelle à dénoncer nos concitoyens Loubavitch en pointant leur "rigorisme" pic.twitter.com/coKnDN6V62
— Al Kanz (@Alkanz) 28 Janvier 2015
D'une petite lettre au JAF de Metz
Ce qui suit, d'une correspondance, est déjà parvenu à ses divers destinataires, dont le juge aux affaires familiales de Metz, un ministre, le parquet... Je m'en fous, moi, du qu'en dira-t-on. Je n'ai ni carrière ni boutique dans ces milieux
Pages: 1 · 2
« Si la nouvelle est fausse sur internet, c'est la faute aux médias »
Je n'irais pas vérifier l'information telle que rapportée par AFP, plus bas, au sujet des médias des USA. J'ai déjà suffisamment d'occupations avec d'autres bruits, ragots, rumeurs et informations propagées par les français, sur les réseaux, ainsi que par leurs journaux, leurs médias des plus officiels et traditionnels.
J'attends toujours qu'on nous en dise un plus après la « garde à vue » de Ulcan, en octobre dernier. J'attends aussi de découvrir quelle suite a été donnée à une plainte déposée en mai 2013, au TGI de Nanterre ; je suis persuadé que je pourrais encore bien en rire. Je rigole très fréquemment. Je doute que le Parisien ait publié un petit errata suite à la parution d'un article sur les enfants placés, en octobre dernier... Je rigolerais longtemps encore de la façon dont une « source policière » ainsi que d'autres ont enfumé les réseaux, AFP, puis toute la presse, en mars 2013 ; à l'époque, au printemps 2013, j'avais insisté et essayé de faire paraitre un démenti de la rumeur, en vain
Depuis mai 2014, je reste également souvent assez occupé par une ultime petite affaire, à Metz, ainsi que par un « avocat » de là bas, Cédric Giancecchi. Après beaucoup d'insistance, j'ai pu enfin en discuter avec un journaliste, un vrai, ayant une expérience ou d'assez bonnes connaissances dans le domaine judiciaire. Ce journaliste a fini par me demander ce qu'il pourrait m'apporter ; je lui ai répondu « rien », que je me débrouille, que j'ai mes propres moyens, un blog, Twitter, les réseaux... Il semblait surtout réticent et pourrait maintenant attendre que le TGI de Metz rende un jugement, tranche, ce qui devra suivre après mars prochain. La « diffamation » dans ce que j'expose semble l'inquiéter ; évidemment, si ce journaliste publiait un papier trop peu ou mal fouillé, ou pire, très déséquilibré, lui et son canard s'exposeraient à des risques de poursuites ; je lui ai répondu que c'est un risque que j'encours moi-même et que j'assume déjà ; depuis quelques temps, je surveille d'ailleurs à nouveau assez bien ma boite aux lettres ; depuis le printemps dernier, il ne m'est parvenu aucune lettre concernant mes publications, elles semblent être toutes acceptées, en l'état. La dernière fois qu'il m'est parvenu un appel ou un mail puis un petit papier, il me semble que c'était pour un billet d'août 2011.
Ecrire et publier tout en agissant ou en me défendant dans les tribunaux est un jeu que j'ai appris à maitriser il y a très longtemps déjà. Giancecchi affabulait, calomniait dans des écritures qu'il a envoyé au JAF de Metz ; j'aurais très bien pu me contenter de lui répondre en n'écrivant moi-même qu'au JAF de Metz ; il m'avait semblé plus intéressant et opportun de répondre à Giancecchi par des correspondances envoyées ici et là, dont au JAF de Metz, puis d'en publier des pans entiers, sur Internet. Le journaliste avec lequel j'ai pu discuter assez sérieusement n'a donc pas souhaité traiter le sujet, pas pour le moment en tout cas ; tant pis ; il aurait pu nous rapporter le point de vue de Cédric Giancecchi ; nous aurions surtout pu reparler beaucoup d'« assistance éducative », sur près de 10 ans, de suites également. Et si dans ce que je publie, dévoile, exprime, des informations paraissent erronées, inexactes ou insuffisantes, ce ne sera pas de mon fait, mais du fait des médias, qui n'auront pour une ultime fois donné aucune suite à mes nombreux appels
Médias, internet, USA
Si la nouvelle est fausse sur internet, c'est la faute aux médias
15 fév 2015, Mise à jour 15.02.2015 à 08:30, TV5 Monde
Par Rob Lever, AFP, dans Accueil, Média
C'est la vérité. Il ne faut pas croire tout ce qu'on lit sur internet et de nombreux organes de presse en ligne manquent souvent de rigueur, contribuant, selon une étude américaine, à répandre des rumeurs.
"Plutôt que de jouer le rôle de source d'une information exacte, de nombreux médias en ligne contribuent à la désinformation pour générer plus de passages et d'intérêt", indique l'étude "Lies, Damn Lies and Viral Content" (Mensonges, satanés mensonges et contenu viral).
Les organes de presse ont toujours dû s'attaquer à des informations non vérifiées mais certains sites accélèrent la diffusion d'informations fausses, ajoute l'étude dirigée par Craig Silverman au Tow Center for Digital Journalism de l'université Columbia.
"De nombreux sites ne vérifient pas ou très peu les informations qu'ils répandent. A la place, ils relient leur article à un autre média qui lui-même cite d'autres médias", indique l'étude.
Encore un ?
Je parcoure toujours occasionnellement #Puteaux, comme d'autres hastags. Je viens d'y lire que Christophe Grébert est à nouveau convoqué pour un petit délit de presse, d'opinion ou d'opposition. Enfin, c'est ce qu'il est possible d'y saisir. Depuis le temps qu'on nous dit qu'on ne devrait ni bloguer, ni tweeter... ou que c'est parfois risqué
Publié sur Google drive, on trouve ce qui semble être des « conclusions participatives » pour l'audience à suivre, auprès de la 17ième du Palais de justice de Paris : « Cette plainte », voir l'extrait d'un document à la suite, « détourne par ailleurs de son objectif la loi sur la Presse, car au lieu de défendre la liberté d’expression, il s’agit ici de faire taire un opposant », Christophe Grébert, donc, « et de produire de la censure sur internet. » On dirait que certains n'ont toujours pas assimilé que la liberté d'expression a des limites, et qu'il vaut mieux ne pas s'aventurer trop autour des lignes jaunes... Selon l'un de ses tweets, il envisagerait même un « procès collaboratif ». Selon monputeaux.com, il envisagerait également de se défendre en personne. Bon courage ; et surtout, bonne chance, j'ai le sentiment qu'il lui en faudra.
Repéré via Twitter
Colère à la rédaction de @Midilibre
« Possible risque de poursuites en diffamation... » #Mouahaha quelle #presse ! J'ai souvent eu le sentiment que jamais aucun journaliste ne « dévoilera » plus quoi que ce soit de ce que j'ai exposé dans ce blog. Ce qui m'a été dit récemment, au téléphone, alors que je reparlais de #Metz et beaucoup du passé n'a fait que renforcer cette impression
Extrait de source le Monde avec AFP, mis à jour le 20.02.2015 à 23h26
Les cahiers de l'EFPP n° 20... Ethique et travail social
NDLR : C'est pour mes diverses références... Je constate que Richard Josefsberg, Directeur de la Maison d'enfant de l'OSE France, ce spécialiste, était au conseil d'administration pour cette revue ou numéro de l'automne dernier. Je découvre ce numéro de l’école de formation psycho pédagogique ou EFPP qui pourra inspirer plus d'un travailleur social : « balayez la loi, ignorez la morale, élaborez une certaine éthique... », avec un exemple concret. Tout balayer, ou en quelque sorte, porte grande ouverte à toutes les dérives imaginables ! La loi et la morale, c'est déjà pas très clair ; la première s’interprète, la seconde est culturelle ; l'éthique, c'est encore plus sioux
De source efpp.info
Des expertises d'un « niveau cours préparatoire »
NDLR : J'avais failli louper cet article sur les « travaux » de Régine Labeur, ou sur ce qui peut faire durablement autorité dans pas mal de prétoires de ce pays, les opinions de « psychologues » ainsi que celles de vrais charlatans... En juin 2013, j'étais occupé par d'autres choses que ces lectures là ; figurant au mois de février 2015, le court paragraphe, à la suite, complètera très bien mon billet récent sur Les cahiers de l'EFPP n° 20... Ethique et travail social. Ce que j'ai publié au cours de ce mois de février 2015 constitue encore un ensemble bien chargé ; et comme le plus souvent, je ne remarque aucun commentaire, pas la moindre réaction, ni ici, ni ailleurs ; ou alors, les bruits et leurs échos ne me parviennent plus jamais...
La fausse psy avait signé 400 expertises : son procès en appel tourne court à Toulouse
ACTUALITE Société
Par Stéphane Durand-Souffland
Mis à jour le 24/06/2013 à 15:09
Publié le 24/06/2013 à 13:37, le Figaro, l'essentiel
Selon ses détracteurs, les travaux de Régine Labeur étaient de très piètre qualité, truffés de fautes d'orthographe. Le Syndicat des psychologues en exercice libéral (Spel), partie civile, parle même d'un «niveau cours préparatoire». Pourquoi, dans ce cas, a-t-il fallu attendre que l'intéressée soit dénoncée par son troisième mari, dans le cadre de leur divorce conflictuel, pour qu'il soit mis un terme à ses agissements lourds de conséquences pour les justiciables? Peut-être la disponibilité de Régine Labeur faisait-elle l'affaire des magistrats qui la désignaient, tandis que la médiocrité de ses prestations arrangeait les avocats, qui pouvaient aisément les contester…
Départ de Lili : « en une heure tout était fini »
Ils sont bizarres, ces journalistes, la télévision aussi. Depuis des années, la presse et les journaux sont truffés d'allégations susceptibles d'embarrasser des rédactions, susceptibles de leurs valoir des procès. Qu'est-ce que j'expose de si particulier pour qu'ils soient toujours à ce point frileux et réticents lorsque je m'adresse à eux ?
Récemment et après avoir longuement discuté avec lui, un journaliste m'avait suggéré de lui faire parvenir la décision que rendra le JAF de #Metz, après mi-mars. J'en suis à me dire que je ne la lui communiquerais probablement pas. A quoi bon faire un tel effort et gaspiller encore le coût d'un affranchissement ? Je venais de lui faire parvenir un ensemble d'éléments, des développements sur plus de 15 ans, avec de très nombreuses références à des décisions rendus par des tribunaux, par des cours d'appel ainsi que par la cour de cassation. Lui faudrait-il encore du papier...
Je vais utiliser mes enveloppes et mes timbres pour d'autres choses. Il faut que j'écrive à nouveau au JAF de #Metz. En novembre dernier, il m'a demandé quelques documents pour son dossier. Je veux l'informer que ça ne suivra pas.
« Lili revera sa maman dans 15 ans où au bon vouloir du papa », peut-on lire sur Facebook... Patience. 15 ans, ça va finir par passer ; vite. C'est à peu près ce qu'on m'avait lâché, vers 2005. « Et alors ? Vous la retrouverez plus tard. Elle est avec sa famille maternelle, c'est bien. Elle reviendra vers vous lorsqu'elle sera majeure. »
De source Facebook, la page ou communauté Protégeons la petite LILI
De source Facebook, la page ou communauté Protégeons la petite LILI
#Mouahaha les « célébrités Parisiennes » s'y collent !
J'adore la courte note (1) ou chute à la suite de l'article paru ce jour, sur le site de la Dépêche. Ca me rappelle Faits divers, le mag, diffusé en juin 2008, par France 2 : « En 2003, Bruno est soupçonné par les services sociaux de maltraitance envers sa fille. Mais Bruno a-t-il vraiment maltraité Justine ? Pour le savoir, nous avons posé la question aux services sociaux et à la famille d'accueil de la jeune fille. Ils ont refusé de nous répondre. Le tribunal pour enfant saisit du dossier a refusé lui aussi de nous répondre. Personne ne nous a permis d'approcher Justine qui a aujourd'hui 15 ans. »
C'est pas moi qui passerais pour un gros con à la fin de l'histoire. Ca fait plus de 10 ans que je parle de ces « difficultés familiales », posées par les « pros », et que tous me crachent à la gueule... « Espoir », une association de la « protection de l'enfance », qui n'aurait rien fait hormis alléguer auprès du JPE, du proc' et/ou du JAF ?
>Actualité > Grand Sud > Lot > Vers
Une mère, au bout du rouleau, veut revoir son fils de 5 ans
Publié le 26/02/2015 à 03:56, Mis à jour le 26/02/2015 à 07:57
Justice - Vers (46), la Dépêche
C'est une mère de famille au bout du rouleau qui a poussé les portes de La Dépêche. Mathilde X, 40 ans, médecin de profession, dont la famille est originaire de Vers, près de Cahors, ne voit presque plus son fils, âgé de 5 ans : «J'ai calculé, je l'ai rencontré moins de trois jours en presque trois ans. La dernière fois, c'était le 24 janvier. Au nom de quoi, je ne peux plus voir mon fils dont l'état de santé dépérit à vue d'œil. Depuis avril 2012, j'ai subi quatorze non-représentations d'enfant dont la dernière juste avant Noël».
Et Mathilde X de montrer des photos de son enfant, visiblement très maigre, que nous avons choisi de ne pas diffuser. L'enfant est au centre d'un grave conflit entre la mère et le père aujourd'hui divorcés. Alors qu'elle en avait la garde, la justice a retiré ce droit à Mathilde X, le confiant à son père. Pour justifier cette décision, une association Espoir1 a diagnostiqué un syndrome de Munchausen, vivement contesté par la mère qui produit des certificats médicaux en sa faveur : «Je suis traitée comme une grande criminelle alors que je veux juste voir mon fils, participer à son éducation. Je pense être victime d'une machination judiciaire, dans laquelle mes droits sont bafoués. Et pendant ce temps la santé psychique et physique de mon fils se détériore».
Mathilde X produit, dans un dossier qui s'épaissit au fil des mois et que traitent désormais les célèbres avocats parisiens, Mes Maisonneuve et Dupont-Moretti, les propos du Dr Bornstein pour lequel «toute séparation d'un jeune enfant d'avec sa maman, pendant plus de deux ans, sera à l'origine de traumatismes et séquelles psychiques graves pour cet enfant». Le cri du cœur de Mathilde X n'en est que plus urgent. Et vibrant.
1. Que nous avons essayé de joindre sans succès tout comme l'avocat du père qui ne souhaite pas s'exprimer.
Espoir, c'est ça! Qui nous parle d'éthique et de déontologie #LOL
http://t.co/em4S0Smzzc #ASE #éducspé #avocats pic.twitter.com/racuk3O4oG
— Bruno Kant (@bkant) 26 Février 2015
Pages: 1 · 2
Deux choses, donc, qui ont échappées à nos #journalistes
Deux choses, donc, qui ont échappées à nos #journalistes. Demain?
http://t.co/PwFRrMX8vG
http://t.co/7WqyzaCSep
#ASE #éducspé #avocats
— Bruno Kant (@bkant) 27 Février 2015
« Les méchants font la loi... des séries »
On lit de tout, sur les réseaux comme dans les journaux, et fréquemment n'importe quoi aussi, entre deux lolcats. Ce n'est plus AFP qui soutiendra le contraire, cette agence qui vient de nous annoncer la mort de Martin Bouygues...
Du supplément au Parisien n° 21919, 27/5/2015 | Sur un fake du jour, j'ai repéré le Parisien magazine du week-end : « Ripoux, trash et méchants ; Les salauds triomphent dans les séries télé ». « Avocats louches, flics criminels, infirmières droguées... Les scénaristes de télé créent de plus en plus de personnages sans foi ni loi. [...] Ce sont simplement des sales types, des anti-héros chez qui le vice prend le pas sur la vertu. » Je ne veux pas savoir où ces auteurs vont puiser leur inspiration ; j'en lis, j'en grince, j'en ris et j'en étudie moi-même déjà bien assez. Selon le Parisien, dans un essai paru chez Payot, Vincent Colonna, ancien élève à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (ça ne s'invente pas), nous explique que « la loi et le droit sont omniprésents », que nous n'avons donc plus à nous embarrasser de la morale. Je suppose que cet essayiste n'a jamais mis les pieds dans un prétoire, et qu'il n'a jamais lu ou écouté non plus des travailleurs sociaux, des psys, des éducateurs... |
Hier, après avoir découvert deux coupons de presse, de la Dépêche, puis de France Dimanche, j'ai envoyé quelques bouteilles à la mer, des mails, des tweets, afin d'entrer en relation avec Mathilde X. Si mes bouteilles lui parviennent, elle me contactera peut-être. Son affaire ou ses propres « difficultés familiales » m'inspirent, m'intéressent beaucoup ; ceux qui me suivent sur Twitter ont pu s'en apercevoir. Après de premières recherches, j'ai constaté que l'association Espoir CFDJ à laquelle elle s'oppose était pendant un certain temps présidée par le fameux juge de Bobigny, Jean-Pierre Rosenczceig, personnage que je connais bien pour l'avoir souvent lu et croisé, par le passé.
Ce magistrat - aujourd'hui honoraire, à la retraite - aura-t-il à faire face bientôt à de nouvelles difficultés ? Selon son CV, il était au conseil d'administration avant de présider Espoir CFDJ... Je lui avais moi-même déjà posé quelques difficultés, elles sont sommairement exposées dans mon blog, ici et là. JPR en avait surtout essuyé d'assez conséquentes avec le scandale Cheval pour tous. J'en discuterais volontiers avec Mathilde X ; elle-même pourrait m'exposer un peu mieux les siennes, autrement en tous cas qu'au travers du filtre sibyllin et souvent approximatif des journaux.
Mathilde X se dit médecin. Des mots tels que éthique et déontologie devraient donc avoir un sens pour elle, des serments tels que celui d’Hippocrate également. Je me ferais un plaisir de lui décrire de quelle façon les juges de Nanterre ainsi que de la cour d'appel de Versailles ont « protégé » ma fille ainée, comment ils ont « protégé » Sébatien, le petit fils de mémé Mireille. Je pourrais lui parler de l'OSE France et de l'ARSEA Alsace, de quantité d'autres choses encore, de psychiatrie, par exemple, ou de sujets plus méconnus. Je pourrais même lui parler de Valentine et d'Arthur, des « difficultés personnelles » ou du « divorce » de Valérie Dubois, de nombreuses autres affaires encore. Pourvu que mes bouteilles parviennent à Mathilde X, puis qu'elle me contacte, et enfin, qu'une discussion avec elle soit possible... Elle même, présumée criminelle et très dangereuse, pourrait ne pas avoir envie du tout de me parler ; d'abord parce que je suis un homme, potentiellement autant suspect et dangereux sinon pire coupable qu'elle
Quoi que décide Mathilde X, je suivrais son affaire et ce que nous rapporteront encore les journaux. Selon la Dépêche, elle serait aujourd'hui représentée par Mes Maisonneuve et Dupont-Moretti, talents qu'il est inutile de présenter. Ces derniers pourraient avoir des surprises s'ils n'ont qu'une expérience de pénalistes ; chez les JAF et le JPE, c'est du « civil », un espace d'infra-droit qui peut s'avérer jusqu'à profondément inique, très éloigné des divers idéaux que les « professionnels » de ces milieux ont pour coutume de nous dépeindre, de nous rabâcher. Pour Mes Maisonneuve et Dupont-Moretti, la première des difficultés pourrait consister à saisir le juge, le JAF ou le JPE ; que feront-ils si le juge n'a pas envie de les recevoir ? L'autorité de choses jugées ou viciées pourrait leurs valoir de sérieuses difficultés également ; la France est réputée ne jamais accorder de révisions, ce qu'on perçoit très bien au « civil ».
« Il n’y a point de plus cruelle tyrannie que celle que l’on exerce à l’ombre des lois et avec les couleurs de la justice, lorsqu’on va, pour ainsi dire, noyer des malheureux sur la planche même sur laquelle ils s’étaient sauvés. » • Considérations sur les causes de la grandeur des Romains et de leur décadence, Montesquieu, 1721
« Quand les situations n'entrent pas dans le cadre des nouveaux modèles de réussite, quand les enfants ont des réactions et des attitudes qui ne ressemblent pas aux images de `'l'enfant du divorce" forgée par notre société, ceux qui se tournent vers la justice pour qu'elle dise la norme et tranche un conflit de droit ne rencontrent qu'une institution désemparée. Faute de savoir répondre à leur demande, la justice ne peut que mettre en oeuvre tous les moyens possibles pour étouffer les différends. » • Le démariage. Justice et vie privée, Irène Théry, Odile Jacob, 1993
« Outreau, l'autre vérité » : malaise autour d'un documentaire
Comme souvent, souffler d'abord | Ces médias, journaux et réseaux dits sociaux sont consternants. Pour ce 3 mars 2015, les journalistes du Figaro nous resservent des exposés sur les fragilités de bon nombre, exposés qui ne feront qu'alimenter encore les rumeurs des plus débiles. « La faute à Internet, la faute aux ados, qui relayent et croient tout ! » En juin 2011, au Grand Journal de Canal+, Luc Ferry accusait un ex ministre après avoir lu un article du Figaro magazine : « vous avez un épisode qui est raconté d'un ancien ministre qui s'est fait poisser [attraper] à Marrakech dans une partouze avec des petits garçons » ! Jean-Pierre Rosenczveig compte parmi ceux qui ne sont pas épargnés. Lui-même a été agressé - verbalement - en septembre dernier, par un groupuscule bien imprégné par ce qui bruisse sur la toile. Les faits ont été rapportés par le Parisien, ce journal et la victime donnant par la même occasion corps à la rumeur. « C'est la première fois que je me fais agresser, souffle Jean-Pierre Rosenczveig, c'est tout à fait désagréable. Mais au moins, ça me permet de coincer ceux qui me diffament », disait-il... |
Le net est depuis toujours prolixe. J'ai pu bien approfondir à nouveau les sujets précédents, notamment sur Queиel+ et chez Alain Soral, chez Mediapart aussi, dans leurs blogs ; mais je ne m'étends pas plus dessus. Je ne m'étends pas davantage non plus sur la crédibilité de nos médias traditionnels. J'ai vraiment mieux à faire que de me distraire avec pareilles salades et les milieux qui les cultivent, je laisse le soin aux journalistes de les traiter mieux
Le fameux documentaire de Serge Garde sur Outreau, ou « l'autre vérité », est à nouveau d'actualité. Je ne sais pas s'il a été diffusé à la télévision ; il parait au format DVD, ce 3 mars 2015. Il avait fait crier très fort Karine Duchochois, fait réagir Eric Dupond-Moretti également. J'ai évidemment passé commande, et j'ai très hâte d'en rire plus. Puis il devrait bientôt suivre un ultime petit procès, à Rennes, ou l'opportunité d'en pleurer et de se tordre, de rire, encore
Visiter http://thebobs.com | Sur Twitter, j'ai remarqué que quelques uns ont inscrits leurs sites ou blogs aux BOBS 2015, un « concours international de renom organisé depuis 2004 par la Deutsche Welle pour soutenir des blogueurs, militants et journalistes qui s’engagent par le biais d’internet en faveur de la liberté d’expression et des droits de l’Homme ». Par curiosité, j'y ai également inscrit mon propre site, http://justice.cloppy.net. Là bas, pour ce concours, je n'ai pas su faire le choix entre « Changement social », « Arts et médias » ou « Favori du public » de langue française... « Une attention particulière est accordée aux sites qui apportent leur contribution au débat public en analysant et commentant les événements contemporains », peut-on y lire. « En plus de ces 17 catégories du concours, la Deutsche Welle décerne un Prix de la Liberté d’expression. Ce prix distingue une personne ou une initiative qui, dans le monde numérique, s’engage de façon particulière en faveur du droit fondamental à l’expression libre. » « L’expression libre », c'est à dire, le droit de publier, de raconter vraiment tout et jusqu'à tout à fait n'importe quoi, comme c'est assez l'usage à Puteaux ou ces alentours, dans les journaux ou sur Internet aussi, ou comme de coutume également, dans beaucoup de tribunaux français ? D'une façon ou d'une autre, ce que j'ai produit et publié au cours des 10 ou 15 années passées doit aussi avoir sa place à ce concours. Il est inutile de me lancer que mon blog n'a aucune chance à ces BOBS 2015, ou que ce que j'exprime n'est que très impopulaire. Je sais bien que pareils contenus et idées agacent ou froissent énormément de monde Non, je ne me fais pas d'illusions, et je devrais plutôt dire que le vote, les avis de #lesgens ou du public, de tout ce qui grouille et clique, je m'en cogne, ainsi que du vote du jury. Lorsque je lis certains ragots ou commentateurs, sur le net, au sujet d'affaires dites « de familles » ou concernant des enfants, franchement... Quant aux avis, opinions et les « papiers » de certains « professionnels » sur le thème de ces mêmes histoires ou « difficultés d'ordre privé », n'en parlons surtout pas. |
Cinéma
«Outreau, l'autre vérité»: Malaise autour d'un documentaire
Publié le 06.03.2013 à 00:00
Mis à jour le 06.03.2013 à 11:00
20 minutes, par Caroline Vié, l'essentiel
Serge Garde dérange avec son documentaire Outreau, l'autre vérité. Cette affaire d'abus sexuels sur mineurs est considérée comme un fiasco judiciaire qui s'est conclu en 2005 par l'acquittement de treize accusés, déclarés innocents au terme de longs mois de détention provisoire.
[...] On aurait aimé que son argumentation soit plus solide quand il remet en doute l'innocence d'anciens prévenus qui ont déjà beaucoup souffert. Certains parlent de révisionnisme devant ce documentaire offrant davantage de questions que de réponses et laissant une impression de malaise généralisé.
M Culture
"Outreau, l'autre vérité" : un avocat de l'affaire dénonce un documentaire "malhonnête"
Le Monde.fr avec AFP | 05.03.2013 à 17h54 • Mis à jour le 05.03.2013 à 19h38
Le célèbre avocat pénaliste Eric Dupond-Moretti s'est insurgé, mardi 5 mars sur Europe 1, contre un documentaire sur l'affaire d'Outreau qui sort mercredi 6 mars dans les salles, le qualifiant d'"absolue malhonnêteté".
Outreau, l'autre vérité, donne la parole à une vingtaine d'acteurs ou témoins de l'affaire, parmi lesquels deux enfants victimes, des avocats ainsi que Fabrice Burgaud, qui défend son travail controversé de juge d'instruction dans ce dossier. Le réalisateur Serge Garde affirme apporter "un autre regard" dans ce film, qui se veut "un décryptage d'une manipulation de l'opinion publique", outre une dénonciation du rôle des médias. Il estime que l'affaire a fait l'objet d'une "instrumentalisation par le pouvoir politique dans le but de supprimer la fonction de juge d'instruction".
La suite, sur le Monde...
Affaire Fiona : la mère en grève de la faim
Très intéressant, ce que la presse relaye là. Aussi passionnant que ces détournements d'une photo d'un bébé belette sur le dos d'un pivert. Ca doit générer du clic et de très nombreux commentaires, comme cette étude sur la taille moyenne du pénis, chez l'homme. Du clic, des cris, des ragots ou du buzz autour de quelques coupons de presse, du grand journalisme, sans risques de poursuites au motif de diffamation, ou alors vraiment minimes.
« Cécile Bourgeon, suspectée d'être impliquée dans la mort de sa petite fille de cinq ans, Fiona, en mai 2013, a décidé d'entamer une grève de la faim après le rejet d'une nouvelle demande de remise en liberté », lit-on sur le Figaro, « "Je souffre, je deviens folle. J'ai besoin de retrouver ma liberté", explique la femme de 28 ans. Incarcérée à la maison d'arrêt de Lyon-Corbas, au moins jusqu'à son procès devant les assises, annoncé pour le premier semestre 2016, elle envisage à présent de se pourvoir en cassation. »
Il me semble qu'il y a des limites à la détention provisoire. Et qu'en tous cas, les voies dites de justice ou de recours peuvent être utiles à ces personnages ; il faut bien qu'elles soient parfois utiles à quelques uns, ou nous n'y croirions plus, nos avocats non plus ! Puis qu'en dire ou qu'ajouter encore, sinon bon courage à Cécile Bourgeon ?
De source Google, les news
Enfants placés (en Suisse) : un site internet pour raconter leur histoire
NDLR : A chacun sa Mémoire, ses histoires ou difficultés, ses témoins... « Ob du 30 Jahre alt bist oder 90 Jahre ».
Enfants placés: un site internet pour raconter leur histoire
02.03.2015, 15:20 - Suisse Actualiser
Actualisé le 02.03.15, 16:33, Le Nouvelliste(.ch)
Mémoire
L'Université de Zurich a créé un site un internet - www.meet-my-life.net - pour permettre aux anciens enfants placés de raconter leurs récits de vie.
Les anciens enfants placés de force pourront désormais publier leurs récits de vie sur Internet. Une plate-forme a été créée par l'Université de Zurich à l'attention de ceux qui désirent faire part de leurs expériences. Des étudiants aideront les personnes qui ne se sentent pas à l'aise avec les ordinateurs.
Le nouveau canal de diffusion doit permettre de consigner par écrit le plus grand nombre possible de ces histoires qui se transmettent oralement, afin que le public puisse en prendre connaissance. Il vise également à soutenir la recherche scientifique.
Ce projet à but non lucratif entend empêcher que de nombreux souvenirs ne sombrent dans l'oubli. Beaucoup ne figurent en effet que sur des ordinateurs privés ou n'ont même pas été transcrits, lit-on dans un communiqué publié lundi.
La plate-forme ne nécessite que des connaissances rudimentaires de l'informatique. Les anciens enfants placés qui rencontreraient malgré tout des difficultés recevront de l'aide d'étudiants de l'Institut d'anthropologie sociale et de science de la culture empirique (ISEK).
Le site Internet prévoit d'assister la mémoire de ses utilisateurs via une liste de questions. Celles-ci doivent contribuer à ramener à la surface des événements oubliés.
Source : ATS
Pages: 1 · 2