Catégorie: Non catégorisé
Délibéré le 29 mai
La « diffamation », ce piège à cons, pourrait donc poser problème à quelques journalistes. Je commence ce billet en notant qu'un avocat du milieu des « pères grues » a été mis en cause par ce dernier, via les ondes de Europe 1. L'information a pu être prise très au sérieux par les journalistes comme par l'Ordre des avocats de Paris. Dans le cadre du contradictoire, cet avocat avait pu réagir pour Europe 1 ; il dénonçait « un complot antisémite, puis un complot orchestré par des ténors du barreau. » Il avait aussi réagit sur Twitter ; depuis ce week-end, son compte semble avoir été suspendu, fermé ; il y réclamait un droit de réponse, semblait exiger deux heures d'antenne sans nous préciser de quoi il souhaitait encore nous parler, dommage...
Je viens d'acquérir « Faire justice soi-même, Etude sur la vengeance », un collectif paru aux PUR, en 2010. Dès la quatrième, on peut être tenté d'en offrir un exemplaire à notre ex-première dame : « le citoyen voit son désir de vengeance condamné comme une réaction affective privée prohibée. » En se penchant sur le droit en vigueur ainsi que sur la jurisprudence des gifles, on comprend que Valérie Trierweiller finira désapprouvée, condamnée. En s'y penchant mieux, on y lira que l'excuse de provocation figure encore dans l'article 33 de la loi du 29 juillet 1881 de la liberté de la presse. Plutôt que de baffer Mohamed Rizki, qui s'est senti humilié, blessé au plus profond de son fragile et petit être, Valérie Trieweiller aurait du se contenter de lui répondre, voir de l'injurier. En terrasse d'un café Parisien, pour Rizki, l'effet d'une bonne et courte réplique en retour pouvait être similaire à celui d'une gifle bien mérité.
J'avais trouvé « Faire justice soi-même » suite à des échanges récents, sur Facebook. Le sujet traité sous cet angle particulier de la « vengeance » m'avait intéressé. Dans notre société, « se faire justice » comme « faire justice » est prohibé ; « se venger », n'en parlons même pas. Ecrire, s'exprimer et publier n'est pas encore interdit, même si l'avenir s'annonce assez incertain... « Faire sans la justice ? », c'est l'idée de pas mal de pères, de quelques uns de leurs chantres ou qui traverse leur nébuleuse ; ce n'était pas la voie que j'avais choisie, je fréquente d'ailleurs des tribunaux, depuis des années. La contribution de Aurélie Fillod-Chabaud pour ce collectif aux PUR s'étend justement sur des théories d'une association « de défense des droits des pères » pour laquelle aurait probablement pu parler ou plaider Me Axel Metzker ; en tous cas, Aurélie Fillod-Chabaud nous parle bien de théories d'un complot #genre qui serait « matricenté »...
J’oublie « Faire justice soi-même », ou ces théories farfelues et les développements sur la « vengeance » pour en revenir à mes propres crimes, théorisés il y a longtemps, par Sade, par Sartre... J'oublie à nouveau ces « pères grues » ou leurs milieux et soutiens pour noter également que l'avocat Hubert Delarue a été mis en examen pour « usage de faux ». « C’est une offense à la justice ! », s’est-il emporté. Un faux, donc ; « Mais comment pouvais-je le savoir ? », s'est indigné cet avocat. Il a reçu le soutien de l’association des pénalistes, qui ont communiqué : « L’avocat auquel des pièces sont remises ne peut être tenu personnellement responsable de leur authenticité ». Ils devraient encore s'exprimer, ce lundi ; je suppose qu'ils vont « résister », « se défendre ». C'est à l'aide juridictionnelle que les #avocats n'ont jamais le temps, ou c'est toujours ? Puis-je en conclure déjà que les #avocats ne font que brasser du vent autour de pièces qui leurs sont communiquées ? Et que font les juges de ces pièces et argumentaires ?
En mai 2014, il me parvenait donc copie d'une requête de Cedric Giancecchi, un généraliste bien implanté dans le secteur de Metz. En le lisant, j'ai rapidement compris que le juge aux affaires familiales ou le JAF de #Metz allait être extrêmement tolérant, qu'il accepterait toutes sortes d'insanités et d'outrances à ce dossier, une demande de pension alimentaire que lui présentait ma fille aînée, une majeure. Par deux fois, le JAF de Metz me l'a depuis confirmé ; ce JAF ne souhaite ou ne peut pas appliquer les textes relatifs à la liberté d'expression dans les prétoires, manifestement celui relatif à la suppression d'écritures non plus ; le JAF envisage de se déclarer incompétent, c'est ce qu'il m'a dit, ce 13 mars, et de considérer simplement que la contestation des écritures de Cédric Giancecchi relèverait exclusivement du pénal ; je note bien cette opinion ou position, pour une éventuelle suite de cette procédure, tel que l'appel... Interrompre le cours de la procédure civile pour agir préalablement au pénal était une stratégie qui ne m'intéressait pas ; trop long, trop coûteux, et surtout, tellement trop hasardeux, sinon susceptible de me renvoyer tout simplement vers le JAF et au civil, déjà saisi.
Dès juin, je répondais à Giancecchi, en communiquant des observations. En août, il me parvenait une « courte réplique » qui m'a permis de mieux cerner ce qu'il avait dans le ventre et dans son encrier. Dès l'été 2014, je choisissais de traîner Giancecchi sur d'autres terrains ou la voie qu'il avait retenue, celle de la diffamation non publique, auprès du JAF. J'ai donc rédigé des écrits et rassemblé des pièces que je versais au dossier du JAF tout en faisant parvenir copie de tout ou partie à d'autres destinataires. De la diffamation non publique auprès du JAF, nous glissions dans le champ plus confus et vaste de la diffamation publique et non publique. C'était une bonne idée ou stratégie, qui semble avoir porté des fruits ; ce 13 mars, à l'audience, j'apprenais en tout cas que Giancecchi a déposé son mandat car je l'avais « personnellement mis en cause » ; après mes écrits, discours et publications, donc. Je vais le laisser se dépatouiller avec l'Ordre des avocats et le parquet général de Metz, avec le Ministre de la justice et le Républicain Lorrain aussi ; il pourra leurs expliquer que mes critiques étaient assez sérieuses pour qu'il se retire, mais trop peu pour qu'ils s'y penchent ? Il s'est retiré de l'affaire, mais il restent les écritures de Giancecchi, des affabulations, palabres, grossièretés et calomnies, toujours au dossier du JAF ; je vais me concentrer au fond, sur la « demande » de ma fille aînée, qu'elle a maintenue.
Ce 13 mars, pour l'audience, je pensais arriver seul ; la procédure aurait pu s’éteindre. Lorsque le JAF a appelé l'affaire, une avocate est apparue et s'est constituée pour la requérante, ma fille aînée. Ca m'arrange ; j'aurais été ennuyé si la requérante s'était représentée en personne, je préfère qu'elle soit assistée par des « professionnels » ; quelle que soit l'issue de cette affaire, personne ne pourra me lancer que la requérante était ou finissait dépourvue. La suite pourrait maintenant se révéler assez simple. Ce 13 mars, à l'audience, la requérante a reformulé une « demande » très légère, de 600€ de pension alimentaire, mais sans rien exposer de sa situation personnelle actuelle et récente, ou ce qui contribuerait aux motivations d'un jugement qui lui serait favorable. Dans une correspondance de fin janvier, je parlais déjà d'un abus de droit... De surcroît, il y a eu adoption simple, de fait, par les époux Clementz ; j'estime que si une telle « demande » de 600€ pouvait être justifiée, elle serait à soumettre en premier à sa famille maternelle, à ces époux... Je vais attendre maintenant le délibéré du JAF, qui doit être rendu le 29 mai prochain.
Au sortir du prétoire, j'avais très soif. J'ai d'abord déambulé dans Metz, à la recherche d'un distributeur. J'ai trouvé un DAB rue Serpenoise, où je me suis installé en terrasse d'un café... face au Républicain Lorrain ! Je n'avais pas prévu de reparler à des journalistes ; ils ont toujours d'autres choses à nous exposer. J'en ai finalement rappelé un, puis j'en ai profité pour visiter et pour discuter également avec un journaliste de la rédaction de la rue Serpenoise. Le Républicain Lorrain est Charlie, mais sa rédaction ne jouit pas des mêmes protections, on y entre comme dans un moulin...
Le premier journaliste est susceptible de publier un papier sur « les difficultés des pères », vers fin mai ; je lui ai rappelé l'article récent de Causette #52, « les pères ont les boules », à quoi j'ajoutais « et la bourse ». Au second, j'ai également exposé toutes les difficultés auxquelles les membres de ma famille et moi-même avons été confronté au cours des années passées ; il a été surpris ou déçu car je ne recherche pas à renouer avec ma fille aînée ; il s'attendait peut-être à recevoir un papa en larmes et désespéré, sujet certainement vendeur... Si des journalistes souhaitent produire des papiers pour faire bien chialer dans les chaumières, je leurs suggérerais de contacter plutôt Valérie Dubois ou Mathilde X - qui ne m'a pas répondu. Je n'entretiens pas de relations avec des primitifs, des obscurantistes, des affabulateurs, des déséquilibrés, des fragiles, des réacs, et je n'envisage pas de rétablir une relation avec ma fille aînée, si mal éduquée, très mal élevée par des magistrats, des travailleurs sociaux, sa famille maternelle, et de surcroît, vraiment mal représentée ou défendue par des avocats. Par le passé, tout en m'intimant de tourner la page, d'en faire le deuil, ces derniers se sont obstinés, acharnés, et ont rompu, anéanti cette relation ; aujourd'hui et pour longtemps encore, j'ai mieux à faire que de « réparer » ou rétablir une relation sur fond d'un tel et lourd passif ; s'y est ajouté cette « demande » de pension alimentaire, peut-être une sorte de « peine complémentaire » après des années « d'assistance éducative »...
Je pense avoir vraiment mieux à faire de mon temps libre. Au café, rue Serpenoise, le hasard m'a fait discuter un long moment aussi avec Joseph - Jo pour les intimes. Il se plaignait de la psychiatrie, m'expliquait que depuis 35 ans, il subissait le tourniquet ou les tourments des permissions, fugues, périodes de libertés et d'enfermement, qu'il en a marre. Il m'a parlé de son traitement, trop lourd, disait-il, qui lui est injecté s'il le refuse. Il contestait le diagnostic des psychiatres, qu'il estimait de plus en plus et anormalement chargé après toutes ces années. Il a ajouté qu'il finirait par réagir violemment, même si ce n'est pas du tout ce qu'il souhaite ; puis nous avons parlé de l'UMD, ce trou du cul ou le bout du monde de l'univers carcéral, de ce qu'il encourt s'il dérape. J'ai suggéré à Jo de se rapprocher d'une association, il en existe de sérieuses, mais il n'a pas Internet, pour des recherches ou lectures... Je lui ai expliqué qu'une fois enfermé, il pourrait saisir le juge des libertés, et avec un avocat, pour commencer, demander une contre expertise psychiatrique. Le juge des libertés, il en avait entendu parler ; « c'est nouveau », disait Jo.
Chez le JAF, à Metz, pour l'audience de ce 13 mars, il ne s'agissait que de tourisme. J'y passais les mains dans les poches, équipé pour la route, rien dans mon sac (sauf savon, rasoir - électrique - et graisse à chaine), principalement pour soutenir mes propres écrits, pour écouter ainsi que pour discuter, ou pour réagir aussi, lorsque nécessaire. J'ai surtout profité de deux beaux jours à moto ; à l'aller, via la Lorraine, puis au retour, via les Ardennes ; le soleil et quelques gros moucherons était de la promenade ; mais vivement qu'arrive le printemps, pour des températures moins mordantes.
Une petite pause, et ça continue. Par ici, on respire mieux qu'au TGI de #Metz :-) pic.twitter.com/8FzjiL1fLK
— Bruno Kant (@bkant) 13 Mars 2015
A gauche, opération « rangs serrés » et « secrets » avant le second tour
Zut... Je viens de lire que Taubira, la garde des sceaux ou ministre de la justice, passe pas loin de chez moi, mais que c'est secret ! Je lui aurais volontiers serré la paluche, pour lui glisser une carte de visite et lui dire que #Metz ou ces #avocats et cette ultime procédure auprès d'un JAF m'amusent beaucoup. « Il faut être là où on ne vous attend pas, être présent et ne pas se laisser intimider », commenterait Valls, après volte-face ?
#Mouahaha Taubira vient dans le secteur #LHayLesRoses #Fresnes
@AdrienJolly @VincentJEANBRUN Mais c'est secret :-) pic.twitter.com/rtIazae2Tk
— Bruno Kant (@bkant) 26 Mars 2015
Procès Moog : « tous les clignotants étaient au rouge »
NDLR : C'est encore une actualité qui me fait repenser à la disparition subite de la mère de ma fille aînée, en 1999, aux urgences, puis à la disparition ou la destruction de son dossier médical, vers 2008, alors que les procédures dans les tribunaux étaient encore assez loin d'un terme... Manifestement, lorsque le personnel d'astreinte a décidé de ne pas se déplacer jusqu'à la clinique ou au CHU, il peut parfois bien suivre un petit procès. Et manifestement également, que les pathologies soient assez rares, difficiles à cerner, mais graves, ou beaucoup plus banales et diagnostiquées, les chances de survie dans ces services démunis sont occasionnellement assez faibles. Méfiez vous des services d'urgences, autant que des tribunaux de ce même pays, surtout lorsque tout clignote
Procès Moog « Tous les clignotants étaient au rouge »
Aujourd'hui, 14:03, l'Alsace, par Geneviève Daune-Anglard Vu 280 fois
Alsace, Justice, A la Une, Strasbourg
Le début du procès du Dr Raphaël Moog qui comparaît devant le tribunal correctionnel de Strasbourg pour avoir involontairement causé la mort de Maxime Walter, 15 ans, en septembre 2008 a été consacré au rappel des faits et à l'interrogatoire du prévenu.
Il en ressort que le médecin d'astreinte aux urgences pédiatriques du CHU de Strasbourg Hautepierre le 21 septembre 2008 n'a pas pris les bonnes décisions au regard du tableau clinique présenté par Maxime Walter, qui est mort deux jours plus tard après avoir vécu un véritable calvaire. Au centre des débats, les décisions prises par le chirurgien, à distance et par téléphone, de ne pas opérer l'adolescent. Comme l'a résumé la présidente Sophie Thomann « la prise en charge par les pompiers et le Samu a été correcte et efficace. Le diagnostic a été porté très rapidement y compris dans sa gravité à l'arrivée aux urgence pédiatriques ». Ce diagnostic étant une fracture de la rate avec une forte hémorragie intra-abdominale. « Le traitement non opératoire privilégié par le Dr Moog pouvait être envisagé au début, reprend la présidente, même si deux collèges d'experts ont estimé qu'il n'y avait que 17% de réussite vu la gravité de l'hémorragie, le Dr Moog aurait dû se déplacer selon tous les experts, pour évaluer la situation, prendre une décision collégiale et mettre une surveillance étroite en place. Tous les clignotants étaient au rouge ».
Mais le médecin, pourtant d'astreinte, ne s'est pas déplacé avant la fin de l'après-midi...
Norbert de Top chef condamné pour avoir diffamé son père
NDLR : Etranges, ces #journalistes, qui s'imaginent qu'on renouerait à l'occasion de tels procès, dans les couloirs des tribunaux... après ce genre d'histoire, un passé pareil, dépeint par Norbert, au gré de ses déclarations et multiples imprudences, pour M6, la presse people, des médias. « On ne choisit pas sa famille... » Ces affaires auraient plutôt pour réputation de finir de distendre et de rompre tous liens, lorsqu'il en subsistait. « C’est un rêve d’enfant. Je voudrais bien partager des moments avec lui. Se parler d’homme à homme, de père à père. C’est la plus grande carence de ma vie. » Après 20 ans, « vingt ans de silence », Norbert n'a toujours pas tourné la page ? J'ai le sentiment que ces ensembles de textes sur la vie privée, sur « la diffamation », ainsi que les limites ou restrictions qui s'appliquent à chacun ainsi qu'à la presse, aux médias, en général, doivent en emmerder plus d'un.
Pontoise (95300)
Ma ville, Val-d'Oise, Actualités
Norbert de Top chef condamné pour avoir diffamé son père
Frédéric Naizot | 16 Avril 2015, 18h00 | MAJ : 16 Avril 2015, 20h31, le Parisien
Norbert le cuisinier de Top chef avait évoqué dans une interview à « Voici » les circonstances dans lesquelles son père avait choisi son prénom qu’il n’aime pas. Il y raconte que celui-ci, sous l’emprise de l’alcool, aurait oublié celui initialement par sa mère en arrivant à l’état civil.
Ce qui lui a valu d’être condamné ce jeudi par le tribunal correctionnel de Pontoise. Les poursuites avaient été engagées par son père qu’il ne voit plus depuis vingt ans et qui a réclamé 30 000 € de dommage et intérêt lors de l’audience de février dernier.
Le tribunal a estimé que le jeune chef médiatique de 34 ans s’était bien rendu coupable de diffamation, tout comme l’hebdomadaire people. Les deux prévenus ont été condamnés à une peine d’amende délictuelle de 1 200 €. Les magistrats ont toutefois revu assez largement à la baisse les dommages et intérêts réclamés par le plaignant. « Voici » et Norbert Tarayre sont condamnés à verser solidairement la somme de 2 500 € au titre du préjudice moral. Les deux prévenus devront aussi verser chacun 1 250 € pour les frais de justice.
« Faites un don en confiance ! »
Vu sur le site de l'OSE France : « Don en confance », « Respect zone ». Il doit s'agir d'une blague
Faites un don en confiance! http://t.co/PbFhYNxeBr #ASE #éducspé #shoah
@gouvernementFR @DILCRA c'est une blague? pic.twitter.com/Fk4PKFnqJU
— Bruno Kant (@bkant) 21 Avril 2015
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« Bloqué », par SOS les Mamans, une faveur
Il est facile d'injurier et de bloquer des gens, de crier « don't feed the troll » ou « attention au méchant », plutôt que de discuter sereinement avec eux, de choses embarrassantes, sinon compromettantes. Un certain @Euterpeaventure, parfait anonyme, recherchait des « témoignages » à défaut d'éléments de preuves ou suffisamment concrets (c'est en dire long, vu le milieu), manifestement dans le but de me nuire, de me noircir au moins, aux yeux de quelques uns... dont une bonne part de fange qui soutient les enfants des Delay - tant pis pour ces derniers.
@SOS_les_Mamans a réagit. Cette association ou ce compte m'a bloqué il y un très long moment déjà. Je doute que cette association accepterait un jour de discuter de l'intégralité des productions de l'un de leurs chantres, Maurice Berger, « pédo-psy », ou encore d'ouvrages ou conférences auxquels cet « expert » a pu contribuer. Et je suppose qu'il parait à @SOS_les_Mamans comme à @Euterpeaventure plus facile de me taxer lapidairement de « masculiniste », repoussoir, de calomnier, de m'injurier, plutôt que de reconnaitre des vérités évidentes pour beaucoup... par exemple, que l'un des « professionnels » du fiasco d'Outreau, Jean-Luc Viaux, « psychologue », s'est magistralement vautré, y compris lorsqu'il qualifiait lui-même ses propres travaux d'« expertises de femme de ménage ». Maurice Berger, pour pas mal, « un réac très à droite » ; je pense qu'à cet « expert » là, il ne fallait jamais toucher non plus, d'autant moins qu'il vient de publier une tribune sur le HuffPost, « Outreau : ma réponse de "pseudo-sachant" aux vrais "méprisants" ». Petit monde
C'est juste normal, courant sur Twitter : tweetez de travers du point de vue de quelques uns, puis vous finissez injurié/bloqué. J'en profite pour noter ici que l'affaire des viols dans des foyers de la Dass d'Anger est au point mort, qu'un avocat y frétille, viendrait même de saisir un juge d'instruction... et qu'à Nantes, il pouvait ne s'agir de vent.
Mes relations avec les « masculinistes » ou les « pères grues » ? Ces voleurs ont revendiqué mon action de mars 2013 sur Beaubourg, ce que @AFP et @prefpolice devraient pouvoir confirmer
Le délibéré de Metz ? Les juges de là bas ont pu s'octroyer un temps de réflexion.
De quelques echanges du week-end, sur Twitter, un espace publique
« Un pro-prostitution très actif sur internet » ?
La dame, « franco-allemande et féministe qui fait beaucoup de bruit avec sa double flûte », me rappelle des délinquants de #Puteaux, qui m'avaient « signalé » à @pnationale et croyaient avoir vu des explosifs chez moi. Et comme le faisaient ces délinquants de #Puteaux, après ses saloperies, @Euterpeaventure tweete maintenant tranquille à d'autres sujets...
D'après les #FEMEN, que nous avons très souvent vu s'agiter en France et en Europe, les voix des #feministes ne portent plus assez. Si ces dernières sont toutes à ce point con, restaient les tétons
Quelques réactions, à un tweet de @Euterpeaventure
Case# 17727718: Receiving non-violent threats - Euterpeaventure
J'avais evidemment ouvert deux cases aupres de Twitter, en signalant deux tweets precis. Mais en me plaignant plus globalement et tres serieusement de tout ce que m'avait balance @Euterpeaventure. La dame, joueuse de pipeau (double), pouvait s'imaginer qu'apres m'avoir fait chier pendant plusieurs jours, il ne se passerait rien du tout.
Il y a quelques temps, Dick Costolo, PDG de #Twitter expliquait bien : « on est nuls concernant la question des abus sur notre plateforme.. depuis des années » - a lire chez Arret sur images, Tweets injurieux et harcèlement : twitter veut agir. Une reaction a mon premier signalement aura cependant suivie en a peine plus de 48h. Je pense que ca n'a ete que ponctuel, interruption de service, puis qu'elle a pu reactiver son compte. Rappel aux regles :
.@lpenou @epelboin @AndracaRobin Un signalement unique (mais serieux): un blocage? @Euterpeaventure #Outreau pic.twitter.com/J5TcP3FK10
— Bruno Kant (@bkant) 18 Juin 2015
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Faurisson : délibéré le 15 septembre
Faurisson, l'authentique, je ne suis pas sûr qu'il soit très connu... voir plus bas, l'article du Monde.fr avec AFP.
En novembre dernier, j'envoyais une « lettre et un documentaire #LMEF à un avocat qui réclamait l'aide juridictionnelle ». J'invitais alors cet avocat de Metz a lire ou a relire, à mieux lire ce que je lui avais déjà fait parvenir, dans le cadre d'une procédure auprès du JAF, de Metz. Doucement, et alors que Cédric Giancecchi avait déjà pu percevoir une résistance, de franches objections de ma part, je ne lui reconnaissais plus de qualités professionnelles.
Puis passé mi novembre dernier et une audience a Metz, j'écrivais que je n'hésiterais plus à parler d'un faurisson. En janvier, cet « avocat » finissait par déposer son mandat pour la requérante, la partie adverse. A cette période, en janvier, j’enfonçais le clou avec une campagne de publicité #antipub sur Twitter. Plus tard encore, en audience, j’apprenais que cet « avocat » avait déposé son mandat car il avait été « personnellement mis en cause ».
Le JAF de Metz devait rendre un délibéré pour le 29 mai dernier ; donc, en plein procès « Outreau 3 ». Mais renseignement pris auprès du greffe, il y a eu report ; pour des raisons que j'ignore. Un recommandé m'attend au bureau de poste, il doit s'agir du délibéré du JAF de Metz, finalement rendu fin de semaine passée. Pour moi, ce jugement qui me parvient sera en premier une curiosité. Qu'aura décidé le JAF de Metz, et surtout, comment l'aura-t-il motivé ?
Je ne pense pas me rendre à la Poste avant lundi. C'est le week-end - et la nuit du hack.
Police et justice
Six mois de prison avec sursis requis contre Faurisson pour négationnisme
Le Monde.fr avec AFP | 17.06.2015 à 04h25 • Mis à jour le 17.06.2015 à 08h49
Le parquet a requis six mois de prison avec sursis et 10 000 euros d’amende contre Robert Faurisson, mardi 16 juin, pour des propos négationnistes que le prévenu a revendiqué à la barre du tribunal correctionnel de Paris.
M. Faurisson, 86 ans, était poursuivi pour ses propos dans un portrait-entretien intitulé « Un homme, Faurisson », diffusé notamment sur deux sites internet dont les responsables présumés étaient également poursuivis.
« Je continuerai d’enfreindre la loi »
Interrogé sur les propos en cause (« je ne crois pas aux chambres à gaz nazies », « la prétendue chambre à gaz », ou encore « totale bouffonnerie »), M. Faurisson a répété : « Il n’a existé aucun camp d’extermination, il a existé des camps de concentration, des camps de travail, et il n’y a pas eu d’extermination, c’est tout à fait clair. »
Ca vous regarde #Outreau éthique et déontologie
Cette semaine, je me suis beaucoup interrogé sur les condamnés, quatre, et sur les victimes, douze. J'essayais de mieux comprendre quelles avaient pu être les relations entre ceux-ci, comment plus de quatre à six victimes avaient pu glisser entre les pattes des condamnés d'Outreau... J'aurais pu compulser les archives de #Outreau ; la presse, quelques livres dans mes étagères, mes notes ainsi que quelques rapports auraient pu m'éclairer.
Pour faire bref, n'y consacrer qu'un minimum d'énergie et de temps, j'ai téléphoné au Figaro, et j'ai discuté un peu avec Durand-Souffland. Il a manifestement remarqué quelques uns de mes tweets, ces jours-ci, et se demandait pourquoi ce sujet #Outreau m'intéressait tant ; je ne lui ai fait qu'une réponse sibylline. Ce que lui et moi avons échangé sur les douze victimes, ce gros abcès du dossier Outreau ? C'est du off, une conversation privée #HackInParis Ce que ou qui je suis ? Certains pourraient insister. Je suis juste spectateur, je vois passer tout ça comme les vaches voient passer les TGV...
Oui, je tweete, je publie, je me documente, je me suis souvent déplacé, et il m'arrive donc effectivement de téléphoner aussi, de temps en temps, comme le font/feraient/faisaient des journalistes... D'Outreau, je garde mes nombreuses notes, dont mes tweets. Dans l'actu, les faits du moment, je remarque que la psychologue Marie-Christine Gryson ainsi que d'autres, pas mal de militantEs, n'acceptent pas le verdict Outreau 3. Mais je retiens en premier ce débat pour LCP :
Ça Vous Regarde - Le débat : Outreau III : le... par LCP
Pour LCP, FO magistrats expliquait que le récent procès #Outreau devait être audiencé pour protéger des magistrats, leurs épargner des sanctions (sic) (vers 9'30"). Le syndicat, d'abord soucieux de la procédure et du droit, se plaint d'avoir été associé aux « révisionnistes » mais semble peut-être surtout s'indigner car « on va demander à des gens de se souvenir 15 ans plus tard » - coupable, une lenteur coupable, qui ne le savait pas déjà ?
Jean-yves Le Bouillonnec, député PS du Val-de-Marne et avocat, un ancien de la commission Outreau, contribue à ce débat, pour LPC. Il ne s'exprime pas sur le fond, intervient pour le législateur et parle de « dysfonctionnements de l'intégralité des institutions du corps social, sans exceptions » (journalistes aussi, 35'40"). « On n'a pas été capable de surmonter cet échec », lâche-t-il. « Ca bug ? », réagit la modération. « Ils disent tous : on nous écoutait pas ». A la fin des échanges, il me semble que le député conclue, qu'après Outreau 3, « il faut un rapport », « faisons un audit » !
Pour LCP, un simple citoyen retenu sur on ne sait trop quels critères explique qu'il n'a rien compris du film.
Crapouille a la parole... nous parle un peu, entre autres, d'un « zizi » précis. L'avocat de Duchochois est assez limpide pour qui a un peu approfondi le sujet d'Outreau et de ces procès aux assises, au pénal. Hélène Romano, militante, est sur le plateau, probablement la plus croustillante de tous, surtout lorsqu'elle nous sert une belle leçon d'éthique, de déontologie, attaquant les journalistes - dont Durand-Souffland. Cette dernière maitrise-t-elle seulement quelques bases et l'essentiel du droit de la presse ? Vers 45'00", Marie-Christine Gryson et sa « vérité abusée » entraient également en scène... Ce débat pour LCP est une perle rare, avec crapouille, plus tard douchée par l'Avocat général, et un modérateur qui alimentaient jusqu'aux théories les plus folles, telles que sur les protections et les réseaux pédo-criminels !
De l'actu du moment, je retiens également un beau papier cosigné par Durand-Souffland, sur le CV de Hélène Romano. C'est une feuille qui pourrait valoir son pesant de cacahouètes sur la baie. Sur #Outreau on lisait que l'article est à 100% à charge, ce que je contestais ; il n'est pas qu'à charge, il crible ! Pour qui a suivi le phénomène, il était possible de bien en rire, surtout en voyant le contenu du site web de « l'experte ad'hoc près les tribunaux » évoluer, vaciller.
Ca valait bien des cacahouètes aussi, ou un bon bol de pop corns. La bas, des contenus de pages changeaient, ou des pages devenaient inaccessibles. Récemment, on pouvait encore y lire « Travaux de recherche sur différentes thématiques liées à la question du traumatisme », dont sur « l'éthique et la déontologie [des intervenants auprès des victimes] »... Un truc me rassure, c'est une experte et elle est entourée d'experts du trauma, elle ne va donc pas trop plonger, pouvoir maitriser, aisément surmonter ce qui lui arrivait, ces jours passés
Hélène Romano : « Peu importe, je suis libre, insoumise et engagée »
Par Anne Jouan et Stéphane Durand-Souffland, le Figaro du 18 juin
Oublier #Outreau
Les fâchéEs ou extasiéEs de #Outreau auraient-elles tout mélangé? :-) http://t.co/vZjDq0MdGr pic.twitter.com/HmuhrQmmcp
— Bruno Kant (@bkant) 23 Juin 2015
« En temps normal... »
Par curiosité, une proche m'a demandé : « tu as fait de la prison ? » Puisque des illuminéEs #feministes l'affirment... Il s'agissait bien de curiosité d'une proche, de quelques mots qui se glissaient entre midi et deux, des confidences et des oreillers. Mais non, je n'ai pas eu droit à cette faveur, à ce bonheur de traverser, ni celui de visiter l'univers carcéral.
Comme elles sont nombreuses #féministes à papoter, ragoter, propager de tout et jusqu'à n'importe quoi, puis confirmer, elles doivent supposer qu'elles sont dans le vrai, quelque part au moins. S'il ne s'agit pas simplement de mauvaises fois - qui se voudront toutes innocentes détentrices de la vérité ! Qu'elles et ils fassent du bruit, tous ces bruits, je m'en fous.
Je ne sais pas si la presse a parlé de ces courants, de ces femmes et hommes, quelques uns quand même, souvent de parfaits anonymEs, et de leurs nébuleux alliéEs, qui s'impliquent autant autour et en marge de #Outreau (la pédophilie, les réseaux, la traite, la parole de la victime, les juges ou la justice, la crédibilité des psys, la classifications des discours, j'en passe). Les journalistes se sont plus attachés à pointer Soral, ces milieux, et beaucoup les plus frénétiques qui étaient présents récemment à Rennes, au prétoire, dans les couloirs, sur le trottoir et sur les « réseaux sociaux »... Ces alliances improbables ne me suprennent absolument pas ; ces alliances entre extremes semblent même assez naturelles, évidentes, lorsqu'on a remarqué que quelques unEs brandissent « L'enfance muselée », par Catherine Bonnet.
P.S. : Je vais finir tout à fait favorable au rétablissement de la peine de mort, surtout si on supprime les voies de recours. Pour abréger ; si l'occasion se présente, j'en discuterais avec les acquittés les plus marqués d'Outreau
Une citation retenue par Catherine Bonnet
Un naufrage, ça y ressemble toujours : #Outreau
Quelque réactions, après un tweet de Patrice Reviron, avocat
Fatiguant, #Outreau et ces militantEs
Dans un entretient pour la Tribune, Éric Dupond-Moretti nous parle de « l'hyper moralisation [qui] pourrit notre société ». Je n'en ai pas tout lu, je m'en suis lassé après quelques premières pages de lieux communs.
« Entre l'idéal et la réalité. Tout étudiant en droit imagine en effet que lesdites règles ont été bien pensées, garantissent une équité partout réaffirmée, honorent la présomption d'innocence, assurent que le doute profite toujours à l'accusé. ... Une fois immergé dans la réalité de cette justice, on est frappé par l'écart d'avec ces principes... une nouvelle catégorie sociale : la victime, qui a le monopole du cœur, de la souffrance, de la dignité... Les enfants #Outreau doivent pouvoir s'exprimer", enjoignent les associations ; mais la cour d'assises n'est pas l'hôpital psychiatrique ! ... Royal, "encouragée" par la pression publique et les associations de victimes, n'avait-elle pas suggéré l'inversion de la charge de la preuve... la présomption de culpabilité s'impose à celle d'innocence ? ... une justice qui dicte à l'accusé de faire la preuve de son innocence ? » Beaucoup trop long pour ce format, l'écran et Internet, où ne s'échangent plus que des tweets.
De source Twitter, en réaction à ce qui s'échange autour de #Outreau
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Silence
J'en profite pour glisser que je n'envisage plus de parler du délibéré que #Metz m'a finalement rendu pic.twitter.com/fgA8WIqUwS
— Bruno Kant (@bkant) 27 Juin 2015
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