Catégorie: La justice de qualité
Laetitia : la LDH accable Sarkozy
Le réseau informatique du Nasdaq infiltré
AFP, 05/02/2011 | Mise à jour : 22:53, extrait
La Bourse électronique américaine Nasdaq a reconnu aujourd'hui que son système informatique avait été infiltré et que cette intrusion faisait l'objet d'une enquête des autorités américaines.
"Dans le cadre de nos contrôles de sécurité routiniers, nous avons détecté des fichiers suspects sur nos serveurs aux Etats-Unis [...] et nous avons conclu que notre logiciel en ligne Directors Desk avait été potentiellement touché", indique la société Nasdaq OMX dans un communiqué.
Laetitia: la LDH accable Sarkozy
AFP, 05/02/2011 | Mise à jour : 16:03
La Ligue des droits de l'homme, indignée par les récentes déclarations du président Nicolas Sarkozy violant le principe de la présomption d'innocence dans l'affaire Laetitia, demande dans un communiqué que soit mis fin à "l'impunité présidentielle en la matière".
"Quand on laisse sortir de prison un individu comme le présumé coupable sans s'assurer qu'il sera suivi par un conseiller d'insertion, c'est une faute", avait déclaré jeudi Nicolas Sarkozy à Orléans.
"Il vient de qualifier la personne arrêtée dans l'affaire du meurtre de la jeune Laetitia de 'présumé coupable', en répétant volontairement cette qualification qui annule toute différence entre interrogatoire policier et condamnation judiciaire", relève la LDH. Le président de la République "viole délibérément l'article 8 de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen qui garantit constitutionnellement la présomption d'innocence, c'est-à-dire le droit à être jugé dans des conditions conformes à l'état de droit et non désigné publiquement à la vindicte populaire", écrit la LDH.
"Dans toute autre démocratie, un tel comportement serait considéré comme incompatible avec l'exercice de responsabilités politiques au plus haut niveau de l'Etat", poursuit la LDH dans ce communiqué intitué "un délinquant constitutionnel récidiviste", en référence notamment aux affaires Colonna/Erignac et Villepin/Clearstream.
Laëtitia : l'USM appelle à un report des audiences dans toute la France
Editorial du "Monde"
La récidive : émotion, urgence, impuissance
LEMONDE | 02.02.11 | 13h32, extrait
Les faits divers dramatiques marquent l'opinion et soulèvent l'indignation, surtout quand ils sont commis par des récidivistes dont la société n'a pas su se protéger. La mort de Laetitia Perrais, 18 ans, disparue à Pornic (Loire-Atlantique) le 18 janvier et dont le corps démembré a été retrouvé le 1er février l'a, une nouvelle fois, confirmé.
L'émotion est d'autant plus vive que le chef de l'Etat a fait de ces affaires criminelles une affaire personnelle. Au ministère de l'intérieur, à partir de 2002, et plus encore à l'Elysée, depuis 2007, Nicolas Sarkozy n'a pas eu de gestes assez forts pour exprimer sa compassion envers les victimes et leurs familles, ni de mots assez durs ("des monstres en liberté") pour dénoncer ces criminels et promettre qu'il ferait tout pour les empêcher de nuire.
Laëtitia : l'USM appelle à un report des audiences dans toute la France
LEMONDE.FR avec AFP | 03.02.11 | 16h27 • Mis à jour le 04.02.11 | 14h45, extrait
La colère des magistrats prend de l'ampleur. Alors qu'un mouvement de grève s'est lancé à Nantes, l'Union syndicale des magistrats (USM), syndicat majoritaire, appelle vendredi 4 février à un report de toutes les audiences en France jusqu'au 10 février, après les déclarations de Nicolas Sarkozy sur l'affaire Laëtitia, a indiqué à la presse Nicolas Léger, son secrétaire national.
Leur grief : les nouvelles mises en cause des magistrats et policiers formulées, jeudi, par Nicolas Sarkozy, qui a demandé des sanctions contre ceux qui avaient géré le dossier de Tony Meilhon, suspecté d'avoir tué cette jeune fille, retrouvée morte mardi.
Dieudonné jugé pour antisémitisme
Dieudonné jugé pour antisémitisme
AFP, 03/02/2011 | Mise à jour : 21:31
"C'était une excellente soirée. C'était très drôle. Les gens ont ri." C'est ainsi que Dieudonné s'est défendu aujourd'hui devant la cour d'appel de Paris qui le juge pour des propos tenus lors d'un spectacle où il avait convié sur scène le négationniste Robert Faurisson.
Le parquet général n'a pas été sensible à l'humour de Dieudonné et a requis contre lui six mois de prison avec sursis et 10.000 euros d'amende.
Une actrice russe écrouée en France
NDLR : Tiens, des nouvelles de Natalia Zakharova... Mais que devient Florence Cassez ?
Monde
Moscou demande l'extradition d'une actrice russe écrouée en France
21:16 27/01/2011
PARIS, 27 janvier - RIA Novosti - Extrait
L'ambassade de Russie à Paris cherche à obtenir que l'actrice Natalia Zakharova, incarcérée en France, puisse purger sa peine dans une prison russe, a annoncé jeudi à RIA Novosti Andreï Kouznetsov, porte-parole de l'ambassade.
Une actrice russe écrouée en France
AFP, 26/01/2011 | Mise à jour : 20:12
La comédienne russe Natalia Zakharova, objet d'un mandat d'arrêt en France, y a été écrouée après son interpellation au tribunal de Paris où elle assistait à une audience sur la garde de sa fille, selon des sources concordantes.
En 2006, Natalia Zakharova avait été condamnée à 3 ans d'emprisonnement en France pour une affaire de "dégradations de biens", a-t-on appris de source proche du dossier. Elle a été condamnée pour avoir tenté d'incendier l'appartement de son ex-mari, le père de sa fille, avec qui elle était en conflit. Mme Zakharova a toujours nié les faits.
Rentrée en Russie, elle faisait depuis l'objet d'un mandat d'arrêt en France. Mais la comédienne s'est rendue mardi à Paris au Tribunal de Grande Instance pour assister à une audience concernant le droit de visite de sa fille qui vit en France, a-t-on appris auprès de son avocat, Me Benoît Desclozeaux.
Pages: 1 · 2
« Mademoiselle Dati », Alexandre A., et les courriels salaces
NDLR : Il aurait donc pu suffir de harceller Dati pour être défendu, « gracieusement » même, y compris par un article dans le Monde... J'ai été idiot fin 2008, je lui ai fait parvenir des chaussettes, une boite de six, pour sa fille Zohra. J'ai été débile, je réclamais un contrôle, depuis des années, or il suffisait manifestement de demander une « inflation ».
A la Une > Société
"Mademoiselle Dati", Alexandre A., et les courriels salaces
LEMONDE pour Le Monde.fr | 27.11.10 | 08h42, extraits
Lors de sa garde à vue de 29 heures, du 21 au 22 octobre, Alexandre A. a critiqué une "justice à deux vitesses", plus diligente pour les puissants quand ses propres plaintes pour dégradation de véhicule et violences de la part d'un voisin – dont le parquet n'a pas trouvé trace – sont restées sans suite. Conscient du trouble causé à Mme Dati, il a précisé qu'il aurait quand même trouvé "très drôle" de recevoir une fellation avec la première dame de France pour témoin. Sa logorrhée a interpellé les policiers et un examen psychiatrique – sans valeur d'expertise – a été diligentée. Le rapport, livré le 22 septembre en fin de matinée par le médecin de l'unité psychiatrique du CH de Valence l'ayant effectué, recommandait "un suivi au long cours". Alexandre A. lui avait expliqué avoir physiquement agressé sa mère. Le médecin précisait que le gardé-à-vue pouvait être à nouveau conduit à des actes "excessifs". Un autre psychiatre rencontré ensuite deux fois par Alexandre A., dans le cadre de son contrôle judiciaire a, de son côté, recommandé dans un courrier daté du 9 novembre "une expertise psychiatrique et une obligation de soins".
SEPT AVOCATS POUR LA DÉFENSE
Le 3 décembre, le parquet pourrait donc réclamer ladite expertise afin de prendre des réquisitions adéquates, renvoyant ainsi le procès à une date ultérieure. Représentée par le ténor parisien Me Olivier Metzner, Rachida Dati n'a pas l'intention de se déplacer à Valence. Sur le banc de la défense, Me Ivan Flaud, assure qu'il ne craint rien ni personne. A la cause d'Alexandre A. il a rallié six confrères du barreau de Valence. "A procédure exceptionnelle, défense exceptionnelle", lâche-t-il pour expliquer le renfort – "gracieux", précise-t-il – des pénalistes Maîtres Isabelle Ceyte, Philippe Chardon, Christophe Joset, Anne Jung, Isadora Vernet et Giacomino Vitale. "Mon client n'est pas fou, continue Me Flaud. Il reconnaît qu'il n'a pas agi très intelligemment, mais il est surpris par l'ampleur qu'a pris cette histoire. S'il avait envoyé les mêmes mails à sa voisine, on n'en parlerait pas. Nous serons donc sept pour dénoncer ce dysfonctionnement manifeste de l'institution judiciaire."
[...] Le 3 décembre, lors d'une audience qui promet d'être médiatisée, le tribunal correctionnel de Valence devra également examiner la recevabilité de la constitution de partie civile de deux "chevaliers servants" de Mme Dati au profil inattendu : Alfredo Stranieri, 54 ans, condamné en mars 2004 à la réclusion criminelle à perpétuité avec 22 ans de sûreté pour deux double assassinats et une tentative d'assassinat ; et Germain Gaiffe, 43 ans, condamné en 2003 à 30 ans de réclusion assortis de 20 ans de sûreté pour meurtre. Ces hommes, qui purgent leur peine en Ile-de-France, revendiquent en effet tous deux la paternité de Zohra, la fille de Mme Dati née en janvier 2009. Pour étayer leur requête, ils ont joint à leur courrier au parquet de Valence la copie de déclarations prétendument adressées en juin 2009 à un officier d'état civil du 16e arrondissement de Paris où l'enfant a vu le jour. Et ils comptent faire reconnaître… le préjudice qu'ils ont subi dans l'affaire des mails.
Patricia Jolly
Infos > Faits divers
Le père en boîte, sa fillette dans l’auto
Par Europe1.fr avec AFP
Publié le 27 novembre 2010 à 22h05
Mis à jour le 27 novembre 2010 à 22h11
Un homme a laissé sa fille de cinq ans dans sa voiture, pendant qu’il était en discothèque.
Une fillette seule, en larmes, aux alentours d'une boîte de nuit de Ribeauvillé dans le Haut-Rhin, à 3h30 du matin et dans un froid glacial... La scène n'a pas manqué d'alerter des passants samedi soir.
Flammarion réplique aux sites qui diffusent le Goncourt
A la Une > Livres
Flammarion réplique aux sites qui diffusent le Goncourt
LEMONDE | 27.11.10 | 14h40 • Mis à jour le 27.11.10 | 14h40, extrait
Les éditions Flammarion ont annoncé, vendredi 26 novembre, qu'elles allaient engager des démarches juridiques contre les sites qui proposent en libre accès La Carte et le territoire, de Michel Houellebecq. L'éditeur a précisé qu'il commencerait "par une mise en demeure". Cette action vise en particulier le blogueur Florent Gallaire, qui offre le livre en PDF. Teresa Cremisi, PDG de Flammarion, explique que "cette version est en ligne depuis un mois, mais, récemment, il a fait de la publicité sur son blog".
Redevance TV: ordinateurs et tablettes numériques finalement épargnées
Le 26 novembre 2010 à 11:27, Silicon.fr, extrait
Faute de préparations abouties, l'amendement de Philippe Marini visant à taxer les ordinateurs et tablettes capables de capter les programmes de télévision n'a pas été retenu. Pour le moment.
Google s'offre un spot de publicité sur TF1
Mots clés : google, bienvenue chez les chtis, publicité, FRANCE
Par Paule Gonzales
Le Figaro, 26/11/2010 | Mise à jour : 22:32, extrait
Le moteur de recherche a dépensé 300.000 euros pour être présent avant la diffusion des «Ch'tis» dimanche soir.
Votre semaine d'actu: Sarkozy off, Pulvar out et préservatif pour le pape
Par LEXPRESS.fr, publié le 27/11/2010 à 09:00, extrait
Trois sujets d'actualité en trois commentaires: le président s'agace, Audrey Pulvar quitte son émission parce qu'elle est la compagne d'Arnaud Montebourg et Benoît XVI parle préservatif.
Pirate Bay : peines réduites en appel
Pirate Bay: peines réduites en appel
AFP, 26/11/2010 | Mise à jour : 17:57, extrait
La justice suédoise a réduit en appel les peines de prison ferme infligées à deux jeunes fondateurs et au financier du site de téléchargement illégal Pirate Bay, a annoncé la cour d'appel.
Société
Publié le 26/11/2010 à 19:07 | Le Point.fr, extrait
CRASH
AF 447 RIO-PARIS - Un avocat demande la mise en examen d'Air France
Par Jean-Michel Décugis et Christophe Labbé
C'est l'histoire de l'arroseur arrosé. Fin septembre, l'avocat d'Air France remettait à la justice un mémorandum censé disculper la compagnie dans le crash du vol A 447 Rio-Paris qui a fait 228 morts le 1er juin 2009. Le document que Le Point s'est procuré et que Libération a révélé pointe la responsabilité d'Airbus et de Thales, le fabriquant des fameuses sondes Pitot, dont la défaillance aurait pu provoquer le drame. En effet, le givrage de ces sondes avait déjà été répertorié comme étant à l'origine de plusieurs incidents de vol.
Le mémorandum a mis en colère les familles des victimes. Dans ce document, Air France indique avoir alerté, à plusieurs reprises dès le 10 mai 2008, Airbus et Thales sur les dysfonctionnements des sondes de vitesse qui équipaient ses A330 et A340. "Cela signifie qu'Air France savait un an avant le crash du Rio-Paris que les sondes Pitot représentaient un risque pour les passagers", constate Yassine Bouzrou, l'avocat de quatre parties civiles.
Bettencourt: mise en garde du bâtonnier
AFP, 26/11/2010 | Mise à jour : 17:47
Le bâtonnier de l'Ordre des avocats de Paris Jean Castelain, évoquant des "propos peu amènes" tenus par certains avocats dans l'affaire Bettencourt, a menacé de suites disciplinaires "toute nouvelle incartade, quelle que soit la notoriété" des avocats concernés. "Des propos lâchés dans la presse sont devenus un élément de la stratégie judiciaire", a regretté Me Castelain lors de la séance solennelle de rentrée du barreau de Paris, organisée à la cour d'appel de Paris.
"Certains avocats croient opportun de tenir des propos qui ne correspondent pas à ce qu'imposent les règles de délicatesse et de confraternité", a-t-il ajouté, déplorant aussi "qu'ils s'égarent à des propos peu amènes sur les magistrats". "Cela fait peut-être vendre du papier journal et grimper l'audimat, mais (...) ces méthodes ne sont à la gloire ni de notre justice, ni de notre profession", a poursuivi Me Castelain.
Nicolas Sarkozy en appelle au jugement des Français
A la Une > Planète
Neuf cents accidents médicaux par jour dans les hôpitaux français
LEMONDE.FR avec AFP | 26.11.10 | 07h38 • Mis à jour le 26.11.10 | 08h13, extraits
Neuf cents accidents médicaux, en moyenne, surviennent chaque jour dans les hôpitaux et cliniques français, révèle la deuxième enquête nationale sur les événements indésirables graves liés aux soins (Eneis), publiée par le ministère du travail et de la santé. Sur ce total, quatre cents seraient "évitables" estime le rapport. Ce résultat élevé est proche de celui de 2004.
Chaque année, ce sont donc entre 275 000 et 395 000 "événements indésirables graves" (EIG) qui surviendraient dans les établissements hospitaliers français, estime l'étude. "Globalement, ça n'est pas brillant", convient Philippe Michel, directeur du Comité de coordination de l'évaluation clinique et de la qualité en Aquitaine (CCECQA), coauteur de l'étude réalisée avec la Drees (évaluation et statistique). "Mais cela ne doit pas masquer les progrès qui ont été faits, par exemple en anesthésie-réanimation ou contre les infections nosocomiales, c'est-à-dire contractées à l'hôpital", tempère-t-il.
Les EIG évitables (de 160 000 à 290 000 par an) sont ceux "qui n'auraient pas eu lieu si les soins avaient été conformes à la prise en charge considérée comme satisfaisante au moment de leur survenue". "Vingt pour cent des EIG évitables survenus à l'hôpital ou en clinique sont associés à des médicaments (...). Ils sont en cause dans quasiment la moitié des cas d'EIG ayant entraîné une hospitalisation", ajoute Philippe Michel.
[...] Comme en 2004, l'étude pointe des "défaillances humaines des professionnels", moins souvent en lien avec des défauts de connaissances qu'avec des conditions de travail dégradées, "une supervision insuffisante des collaborateurs" ou encore une "mauvaise organisation" ou un "déficit de communication entre professionnels", note le Dr Michel.
[...] Le plus souvent, l'événement indésirable entraîne un prolongement d'hospitalisation, mais le pronostic vital ou une incapacité à la sortie de l'hôpital peuvent être en jeu, voire, plus rarement, la mort.
Orléans (45000)
Loiret
Cinq trafiquants présumés remis en liberté par erreur
Le Parisien | 25.11.2010, 21h15 | Mise à jour : 23h44, extrait
Une simple erreur de date leur a ouvert les portes de la prison. Cinq trafiquants de stupéfiants présumés ont été remis en liberté par le juge des libertés et de la détention du tribunal de grande instance d'Orléans (Loiret). Tous ont bénéficié d'une erreur de date lors de la convocation de leurs avocats, révèle le quotidien la République du Centre, dans son édition de vendredi.
Le Garde des Sceaux, Michel Mercier, « a immédiatement diligenté l'Inspection générale des services judiciaires afin de faire toute la lumière sur cette affaire», selon un communiqué.
Les cinq prévenus, impliqués dans trois trafics distincts d'héroïne et de cocaïne sur la région d'Orléans - et suivis par trois juges d'instruction différents - avaient déjà effectué un an de détention préventive.
Le juge des libertés devait décider le 16 novembre dernier de leur maintien en prison, mais le courrier, adressé le 10 novembre à leurs avocats ne respectait pas le délai obligatoire de cinq jours ouvrables avant la date de l'audience. En cause : le 11 novembre, jour férié, n'avait pas été pris en compte par le magistrat.
Nicolas Sarkozy en appelle au jugement des Français
Reuters, Emmanuel Jarry, édité par Patrick Vignal, Hier, 15h51, extraits
Au plus bas dans les sondages, Nicolas Sarkozy a fait appel jeudi au jugement des Français contre les commentateurs et la presse, à moins de 18 mois de l'élection présidentielle.
Confronté à des polémiques à répétition et aux remous provoqués dans sa majorité par un remaniement gouvernemental qui a fait la part belle au noyau dur néo-gaulliste, le président français effectuait son septième déplacement en province sur le thème de la ruralité et de l'agriculture en huit mois.
A l'issue d'une table ronde sur les dossiers agricoles, qui a pris rapidement une allure de meeting électoral, il s'en est pris à ses détracteurs, qui l'accusent d'être allé trop vite pour la réforme des retraites, votée cet automne, et pas assez pour celle de l'aide aux personnes âgées dépendantes.
"Le matin, quand je me lève, il me faut un moral fantastique parce que, franchement, quand je lis les journaux, à la première page je vais trop vite et à la seconde je vais trop lentement", a-t-il dit devant un millier de personnes réunies dans le gymnase d'une bourgade de l'Allier, Le Mayet-de-Montagne.
"Moi je vais vous dire ce qui m'intéresse", a poursuivi le chef de l'Etat en s'adressant à l'assistance: "C'est votre jugement à vous parce que les Français sont des gens de bon sens et, en définitive, ils savent qui est au travail et qui parle."
Parler est un "sport national" dans lequel les Français sont "sans doute champions du monde" alors que "faire, c'est un poil plus compliqué", a-t-il poursuivi.
Salariés licenciés : « un mur Facebook est un espace public »
NDLR : Voir aussi sur l'Express, un dossier Internet et vie privée. « Facebook, ça sert vraiment à rien » ?
A la Une > Technologies
Un smiley n'est pas une preuve d'humour
LEMONDE.FR | 22.11.10 | 19h35 • Mis à jour le 22.11.10 | 19h48, extraits
Les propos qui ont valu à trois salariés un licenciement ont été publiés sur la page de l'un d'entre eux, qui était accessible aux "amis de ses amis" ; dans sa décision, le conseil des prud'hommes a estimé que cette page ne pouvait donc pas être considérée comme privée.
Mais au-delà des débats sur les limites du domaine privé en ligne et de la liberté d'expression des salariés, la décision des prud'hommes fixe une autre limite : une émoticône, ou smiley, n'apporte pas la preuve qu'un propos a un caractère humoristique.
[...] Dès lors, où se situe la limite entre l'humour et les propos abusifs ? En dernier recours, c'est toujours le tribunal qui tranche, en appréciant un contexte dont l'émoticône n'est qu'un élément. "Les salariés doivent faire extrêmement attention à ce qu'ils disent de manière humoristique ou pas", résumait vendredi Me Grégory Saint-Michel, l'avocat des deux salariées.
Le ministre japonais de la Justice démissionne suite à une gaffe
2010-11-22 10:40:29 cri
Japon: le ministre de la Justice démissionne après une gaffe
NouvelObs, 22/11/10, 10:07
TOKYO (AP) — Le ministre de la Justice japonais Minoru Yanagida a démissionné lundi après avoir plaisanté sur son devoir de réponse au parlement.
Lors d'une session parlementaire le 14 novembre dernier, il a expliqué qu'en tant que ministre de la Justice, il n'avait à se souvenir que de deux réponses pour les députés: "Je ne commente pas les cas particuliers", et "Nous traitons cette affaire en conformité avec la loi et en fonction des preuves à notre disposition".
"C'est de ma faute, j'ai fait des commentaires moqueurs et imprudents, je m'en excuse profondément", a déclaré Minoru Yanagida lors de la conférence de presse annonçant sa démission.
Ces commentaires ont déclenché un déluge de critiques des députés, qui réclamaient sa démission. Cette gaffe constitue un nouveau revers pour le Premier ministre Naoto Kan, dont la cote de popularité en baisse a renforcé l'opposition, le Parti Libéral-Démocrate (PLD, conservateur).
Ce dernier a alors annoncé son intention de déposer une motion de censure lundi à la Chambre basse et de bloquer les débats au Sénat sur une rallonge budgétaire, destinée à financer un plan de soutien à l'économie nippone. AP
Salariés licenciés: "un mur Facebook est un espace public"
Par Caroline Politi, publié le 22/11/2010 à 16:30, l'Express, extrait
Eric Rocheblave, avocat en droit du travail répond aux questions des Internautes de l'EXPRESS.fr sur le licenciement de trois salariés après des propos sur Facebook.
Alankin: "Je ne comprends pas l'affaire: seule la communauté des 'amis' des licenciés pouvaient avoir accès à l'information, donc ce sont des propos privés non? Donc ce licenciement aurait pu être décrété à l'issue d'une conversation entre 'amis' au restaurant".
Karachi : « Les déclarations de Sarkozy sonnent comme un aveu »
Karachi : procédures judiciaires (Juppé)
AP, 21/11/2010 | Mise à jour : 14:25, extrait
Le ministre de la Défense, Alain Juppé, a affirmé sur Canal+ qu'"aucune preuve n'existe" attestant de l'existence d'un lien entre l'attentat de Karachi et "l'interruption décidée par le président de la République de l'époque, Jacques Chirac, du versement de commissions", en marge de la vente de trois sous-marins au Pakistan. Il a souligné qu'à Karachi, "il y avait des attentats contre les intérêts européens pratiquement tous les jours, parce que les extrémistes islamistes avaient décidé de mener cette politique terroriste".
Concernant le versement éventuel de rétro-commissions dans cette affaire, il a dit n'avoir "aucune preuve qui permette de le penser". Il a souligné que pour faire de telles allégations, il fallait "des preuves, et pour cela il y a des procédures judiciaires". "Il y a quatre juges d'instruction, c'est à eux de faire le travail", a-t-il ajouté.
Vendredi, le secrétaire général de l'Elysée Claude Guéant a déploré une "succession d'insinuations" et des "allégations calomnieuses" à l'encontre de Nicolas Sarkozy dans l'affaire liée à l'attentat de Karachi. Dans un communiqué, après l'intervention télévisée de l'ancien Premier ministre et secrétaire général de l'Elysée Dominique de Villepin, Claude Guéant a affirmé que l'affaire liée à l'attentat de Karachi "ne concerne en rien" le chef de l'Etat. "Le devoir de vérité auquel chacun doit contribuer dans cette affaire douloureuse ne doit pas favoriser pour autant les interprétations les plus fantaisistes", a ajouté Claude Guéant.
Faits divers
ENQUETE SUR LES RETROCOMMISSIONS
Karachi : «Les déclarations de Sarkozy sonnent comme un aveu»
Le Parisien | Propos recueillis par Nicolas Jacquard | 21.11.2010, 07h00, extraits
[...] Dans un livre qui vient de paraître*, deux filles de salariés décédés le 8 mai 2002, Magali Drouet et Sandrine Leclerc, racontent la pression incessante des autorités, et ces petites mesquineries ou ces gros mensonges qui n’ont fait que renforcer leur détermination au fil de huit ans de combat pour la vérité. Entretien avec Magali Drouet.
[...] Avez-vous encore confiance dans les autorités françaises ? Non. Le divorce est consommé. Si nos dirigeants avaient été plus malins et plus respectueux, nous n’aurions pas développé le caractère que nous avons aujourd’hui. Ils nous ont méprisées, et ils sont tombés sur deux petites pestes qui ne lâcheront rien. Karachi a été pour nous comme une école de la vie. Ce combat, c’est le dernier cadeau que l’on puisse faire à nos pères et à nos mères.
[...] Le livre que vous venez de publier a des allures de réquisitoire contre la DCN ? Non, c’est juste un constat. Je raconte par exemple que c’est moi qui ai dû annoncer la mort de mon père à ma mère, ou comment la DCN a poussé pour la faire interner, et nous faire placer mes sœurs et moi.
* On nous appelle « les Karachi », de Magali Drouet et Sandrine Leclerc, Fleuve Noir, 250 p., 17,5 €
Chronique, le 30/06/2009, par Daniel Schneidermann, sur @SI
Magali Drouet, victime de deuxième zone
Dans n'importe quel pays, le visage de Magali Drouet vous serait familier. Vous auriez suivi dans les journaux télévisés, au jour le jour, son combat pour connaître la vérité sur la mort de son père, Claude Drouet, chef d'équipe, mort en 2002 dans l'attentat de Karachi. Mais nous sommes en France, et depuis 2002, les médias, pourtant si friands de victimes de toutes sortes, se sont soigneusement tenus à l'écart de ces hommes et de ces femmes-là. Comme si les victimes de Karachi n'...
Mots-clés : attentat, Birenbaum, Drouet, Karachi, Le Point, Ligne J@une, Mediapart, Sarkozy, secret d'état
Religion | 20 Novembre 2010 | Mise à jour le 21 Novembre 2010, le JDD
Préservatif: Le premier pas du pape
C'est une première dans l'histoire de l'Église catholique. Le pape Benoit XVI admet l'utilisation du préservatif "dans des cas particuliers", "pour réduire les risques de contamination" du virus du sida. C'est ce qu'on peut lire dans un livre d'entretiens à paraître mardi, dont les bonnes feuilles ont été publiées samedi. Jusqu'à présent, le Vatican s'était toujours fermement opposé à toute forme de contraception autre que l'abstinence.
Salarié [bavard] sur Facebook : licenciement fondé
Salarié sur Facebook: licenciement fondé
AFP, 19/11/2010 | Mise à jour : 09:36
Le licenciement de trois salariés d'une entreprise d'ingénierie de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) pour dénigrement de leur hiérarchie sur Facebook, a été jugé fondé vendredi par le conseil des prud'hommes, a-t-on appris auprès des avocats des parties.
19/11/10 | 07:00 | Les Echos, extrait
Michel Mercier fait ses premiers pas face aux magistrats
Le nouveau ministre de la Justice se rend aujourd'hui au congrès annuel de l'Union syndicale des magistrats, à Rennes. L'occasion notamment d'aborder la réforme des jurys populaires que lui a confiée le chef de l'Etat.
La nomination de Michel Mercier a été l'une des surprises du remaniement du week-end dernier. Le nouveau garde des Sceaux a, certes, été professeur de droit, mais n'a jamais été en première ligne sur les questions judiciaires. Sa présence aujourd'hui au congrès annuel de l'Union syndicale des magistrats (USM), classée plutôt à droite, est l'occasion pour le ministre de prendre le pouls des professionnels de la justice et de donner des indications sur sa feuille de route pour les dix-huit mois à venir. « Le président de la République n'a parlé que d'une chose avec Michel Mercier : l'introduction de jurys populaires en correctionnelle », indique un élu proche du nouveau ministre. Il n'aurait pas été question de la suppression du juge d'instruction, dont le chef de l'Etat n'a d'ailleurs pas dit un mot lors de son intervention télévisée mardi soir.
Après le quasi-abandon de la réforme de la collégialité - repoussée en 2014 par la loi de Finances -, et l'enterrement probable du texte sur le juge d'instruction (actuellement en interministériel), on pourrait douter du devenir de cette nouvelle réforme de la justice. Il y a toutefois quelques raisons qu'elle se fasse.
Interné de force pendant 27 ans, il fait condamner la France
Dépaysement
Bettencourt: les mystères du transfert à Bordeaux
Par François Koch, publié le 18/11/2010 à 19:03, l'Express, extraits
Beaucoup d'observateurs se demandent à la fois pourquoi le tribunal de Bordeaux a été choisi et pourquoi celui de Paris n'a pas été retenu, malgré les réquisitions du parquet général de la Cour de Cassation.
[...] Bertrand Louvel, président de la Chambre criminelle de la Cour de cassation, a une réputation d'indépendance. Certains disent que le ressort de Paris a été évité pour ne pas mettre l'affaire entre les mains de parquets perçus comme trop proches du pouvoir: Jean-Claude Marin, le procureur de Paris, et surtout François Faletti, procureur général de la Cour d'appel de Paris. D'autres affirment au contraire, qu'une fleur a été faite à Philippe Courroye, le procureur de Nanterre: si les affaires avaient été renvoyées au tribunal de Paris, il ne pouvait plus être promu dans cette juridiction.
La Cour de cassation a sans doute considéré que le tribunal de Paris est surtout trop proche de... Nanterre. Philippe Courroye et Isabelle Prévost-Desprez étaient en poste à Paris. Les magistrats de la plus haute juridiction judiciaire ont-ils aussi souhaité réduire la pression médiatique nationale? Sans doute un peu. Même s'il y a fort à parier que les médias n'hésiteront pas prendre le TGV pour se rendre à Bordeaux pour suivre les principales audiences.
actu-match | Jeudi 18 Novembre 2010
Interné de force pendant 27 ans, il fait condamner la France
Un homme interné d'office en hôpital psychiatrique depuis 27 ans a fait condamner la France pour détention arbitraire devant la Cour européenne des droits de l'homme.
Clément Mathieu - Parismatch.com
Après avoir été placé d'office en hôpital psychiatrique depuis 27 ans, Claude Baudoin s’est fait entendre. Cet ancien détenu de 65 ans a fait condamner la France pour détention arbitraire jeudi devant la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH). Condamné en 1975 pour assassinat Claude Baudoin a été interné d’officie en 1983 dans une unité pour malades difficiles (UMD) et ce quasiment sans interruption jusqu’à ce jour. Depuis, l'ancien détenu n'a eu de cesse de contester tant la légalité que le bien fondé de la mesure dont il fait l'objet.
MAM rechigne à témoigner au procès du « gang des barbares »
MAM rechigne à témoigner au procès du "gang des barbares"
LEMONDE.FR | 18.11.10 | 20h34 • Mis à jour le 18.11.10 | 20h42, extrait
Lundi 15 novembre, jour de sa passation de pouvoir au nouveau garde des sceaux, Michel Mercier, et de sa prise de fonction au quai d'Orsay comme ministre des affaires étrangères, Mme Alliot-Marie a adressé au président de la Cour d'assises du Val-de-Marne, Olivier Leurent, un courrier dans lequel elle prend ses distances avec cet épineux dossier. "Il ne m'appartient pas de me prononcer devant une juridiction sur la légitimité d'un pouvoir qui m'est attribué par le législateur, sauf à méconnaître le principe de séparation des pouvoirs", écrit-elle dans cette missive qui a été distribuée, jeudi 18 novembre, à tous les avocats. "À LA DISPOSITION DE LA COUR D'ASSISE". Son cabinet avait pourtant indiqué avant le début de ce deuxième procès entamé le 25 octobre que Mme Alliot-Marie se tenait "à la disposition de la cour d'assises" si celle-ci jugeait "utile d'entendre son témoignage". Sur France Inter, le 27 octobre, la ministre avait encore affirmé qu'elle était "bien entendu" prête à venir témoigner à Créteil si la cour l'estimait "nécessaire".
Une tuerie fait quatre morts et cinq orphelins
Mots clés : meurtre, tuerie, EURE-ET-LOIR
Par Audrey Pelé
Le Figaro, 18/11/2010 | Mise à jour : 22:17, extrait
Une tuerie. Dans la nuit de mercredi à jeudi, un homme d'une trentaine d'années a commis l'irréparable : après avoir tué par balles un couple d'enseignants, il a abattu sa propre femme. Ses deux enfants ont été épargnés.
Faits divers
Incendie de Dijon : les deux suspects mis en examen
Le Parisien | 18.11.2010, 10h47 | Mise à jour : 18h49, extrait
L'incendie qui a fait sept morts dans un foyer de travailleurs immigrés à Dijon le week-end dernier serait donc volontaire. Les deux personnes interpellées dans ce drame ont été mis en examen jeudi notamment pour «destruction volontaire». Elles ont reconnu les faits. Il s'agit de deux cousins de 18 et 19 ans, qui avaient déjà provoqué des incendies l'été dernier. L'un des deux a été interpellé dans un hôpital psychiatrique. La société Adoma (ex-Sonacotra) a porté plainte pour dégradation volontaire et mise en danger de la vie d'autrui jeudi. «L'entreprise continue de travailler en étroite collaboration avec la justice et les experts afin de comprendre la rapidité de propagation du feu, en ayant réuni tous les éléments techniques et les autorisations ayant trait à la façade de l'immeuble et au local poubelles», a précisé Adoma.
France
Seine-Maritime. Soupçonnée d'avoir tué son mari, elle reste cinq jours à ses côtés
17 novembre 2010 à 18h08 - Le Télégramme, extrait
Le drame remonterait au 10 novembre, selon une source proche de l'enquête citée par l'AFP. Ce jour-là, un chauffeur routier de 58 ans a été tué par balles à son domicile. Qui a commis le crime ? Sa femme, âgée de 56 ans, est la principale suspecte. Selon les premiers éléments de l'enquête, elle aurait commis ce meurtre par jalousie. Incapable de réagir après la mort de son mari, elle est restée près du corps pendant cinq jours. Elle n'a prévenu son frère que lundi soir. Ce dernier a alors alerté la gendarmerie en affirmant que sa soeur lui avait demandé de venir l'aider à déplacer le corps du mari décédé.
Paris
Criblé de balles dans un hôtel parisien : un drame de la jalousie
Le Parisien | 11.11.2010, 00h36 | Mise à jour : 17h48, extrait
Un confortable hôtel parisien du XIVe arrondissement a été le théâtre d'un crime, mercredi soir. Le réceptionniste de cet établissement a été tué de plusieurs balles par un homme jaloux qui venait d'être quitté par son amie. Le crime, révélé mercredi soir par Europe 1, a été confirmé par une source judiciaire.
En garde à vue après avoir tenté d'immoler ses enfants
Par TF1 News (D'après agence), le 17 novembre 2010 à 15h55, mis à jour le 17 novembre 2010 à 15:58, extrait
Une femme soupçonnée d'avoir voulu tuer par le feu son fils et sa fille lundi, dans une commune de l'Hérault, se trouvait mercredi dans les locaux de la gendarmerie de Lunel.
INFO - FRANCE - Bordeaux - éducation
Publié le 18/11/2010 | 15:08, France 2, extrait
Juppé se rend au lycée Toulouse-Lautrec
Alain Juppé s'est rendu jeudi au lycée Toulouse-Lautrec de Bordeaux où un lycéen a tenté hier de s'immoler par le feu. Le maire de Bordeaux a qualifié ce "drame d'épouvantable" et a dit mesurer "tout le désarroi dans lequel sont plongés à la fois les enseignants et les élèves".
Vaucluse > Avignon
Tentative d’assassinat à la voiture piégée
Le Dauphiné Libéré, le 13/11/2010 à 05:00, extrait
Quand la fiction rattrape la réalité... Hier, aux environs de 15h, un homme de 28 ans a été victime d’une tentative d’assassinat à la voiture piégée. « Tout ce que l’on sait c’est qu’il y a eu une grande détonation et puis on a vu arriver la police quelques minutes après », confiait hier soir une riveraine de la rue Hernandez-De-Heredia, dans le quartier Saint-Véran. Une équipe de démineurs basée à Marseille est venue en renfort des forces de police locale. Les premiers éléments d’enquête indiquent qu’il s’agit d’une grenade placée sous le véhicule. L’engin explosif, de fabrication artisanale selon une de nos sources, était relié à la portière par un fil. Réglé pour exploser au moment où la cible ouvrait la porte.
Faits divers
Avignon : il piège la voiture de son rival avec une grenade
Le Parisien | 18.11.2010, 20h15 | Mise à jour : 20h21, extrait
Touché au plus profond de son orgueil et de sa fierté, un homme de 47 ans a tenté de tuer à coups de grenade, un rival avec lequel il s'était battu au mois d'août dans un commerce d'Avignon (Vaucluse). Présenté cet après-midi à un juge d'instruction, le suspect a été mis en examen pour tentative d'assassinat avant d'être placé en détention provisoire.
Faits divers
Agde : ils avaient torturé un SDF à mort pour lui voler du cannabis
Le Parisien | 18.11.2010, 20h44, extraits
C'est l'issue d'investigations menées tous azimuts, pendant près d'un an, par les enquêteurs du service régional de police judiciaire (SRPJ) de Montpellier (Hérault). Trois hommes, soupçonnés d'avoir torturé un SDF avant de le tuer dans un appartement d'Agde au mois de janvier ont été présentés, hier, à un juge d'instruction de Béziers. [...] Les trois suspects ont fini par avouer être venus trouver Azzedine pour se fournir en cannabis. «Pour une raison indéterminée, ils s'en sont pris physiquement à lui avant de lui asséner de multiples coups, ajoute la même source. Ils semblent avoir voulu lui faire révéler l'endroit où il cachait ses stupéfiants».
Wikileaks : mandat d'arrêt contre Assange
Messagerie Facebook: risques accrus
AFP, 18/11/2010 | Mise à jour : 09:52, extrait
La société de sécurité informatique Sophos a attiré l'attention sur les risques accrus de vols d'éléments d'identité que pose le nouveau système de messagerie lancé par le site communautaire Facebook.
La nouvelle messagerie de Facebook permet de concentrer sur son site toutes les formes de communications, y compris textos et courriels, accroissant encore son emprise sur le web au détriment de concurrents comme Google et Yahoo.
Wikileaks: mandat d'arrêt contre Assange
AFP, 18/11/2010 | Mise à jour : 10:43
Le Parquet suédois a annoncé jeudi avoir lancé un mandat d'arrêt pour viol contre le fondateur du site Wikileaks spécialisé dans la publication de documents confidentiels, Julian Assange.
"J'ai demandé au tribunal de Stockholm d'arrêter M. Assange en son absence en raison de soupçons de viol et d'agression sexuelle", dit la procureur chargée du dossier, Marianne Ny, dans un communiqué.
"La raison de cette décision est que nous devons l'interroger", explique-t-elle.
Promesse de gros lots : une mamie fait payer une société de VPC
MARSEILLE
Promesse de gros lots : une mamie fait payer une société de VPC
Le Parisien | 18.11.2010, 08h14 | Mise à jour : 09h00
A 83 ans, Arlette, une mamie marseillaise n'aime pas être prise pour une imbécile. Au terme d'un long combat judiciaire, l'octogénaire vient d'obtenir qu'une société de vente par correspondance lui verse le jackpot qu'elle lui promettait. A force d'acheter des produits de beauté, la vieille dame avait totalisé un soi-disant gain de près de 200.000 euros. Mais, malgré les promesses sans cesse renouvelées de la société Promondo, elle n'en a jamais vu le moindre centime. La cour d'appel d'Aix-en-Provence vient de lui donner raison, révèle La Provence.