Catégorie: La protection de l'enfance
Obsèques d'Agnès samedi à Paris
Obsèques d'Agnès samedi à Paris
AFP Publié le 24/11/2011 à 12:24
Les obsèques d'Agnès auront lieu à Paris samedi 26 novembre, le jour où l'adolescente, tuée la semaine dernière en Haute-Loire par un lycéen de son internat, aurait fêté son 14e anniversaire. La famille, qui demande à la presse la plus grande retenue, n'a pas souhaité communiquer le lieu de la cérémonie.
Agnès : les élèves du collège Cévenol « sont suivis » (E1)
NDLR : La maison Elie Wiesel ou Richard Josefsberg et la Direction de l'OSE France vont-ils nous assurer que eux aussi suivaient ce qui se passait dans leur cloaque ? J'en doute, ils ont déjà communiqué tout l'inverse à Nanterre.
Infos > Faits divers
Agnès : les élèves du collège Cévenol "sont suivis" (E1)
Par Europe1.fr
Publié le 21 novembre 2011 à 07h53
Mis à jour le 21 novembre 2011 à 08h02
Alors que la mère d'un élève du collège Cévenol du Chambon-sur-Lignon accusait l'établissement de "laxisme" après le meurtre d'Agnès, Jean-Michel Hieaux, vice-président du conseil d'administration, a répondu au micro d'Europe 1 lundi matin : "On a système extrêmement organisé. Quand Agnès a disparu, très rapidement la gendarmerie a été au courant. On suit nos élèves. Alors bien sûr, on est sur un parc de 15 hectares. Il y a des libertés parce que les élèves ne sont pas en prison mais il y a un système de suivi de chacun des élèves qui pourrait être en difficulté qui fait qu'à chaque moment on sait ce qui se passe", a certifié Jean-Michel Hieaux.
Le vice-président du conseil d'administration du collège est également revenu sur le déroulé des faits : "Une demi-heure après la disparition [d'Agnès, NDLR], le directeur de l'établissement qui était à l'hôpital a été mis au courant. Pendant une heure et demie, le personnel a fouillé dans la forêt. Et au bout de deux heures, la gendarmerie était au courant".
Les parents du petit Adolf Hitler perdent la garde de leur nouveau-né
International > Ailleurs sur le web
Publié le 21 novembre 2011 à 11h12 | Mis à jour le 21 novembre 2011 à 11h12, cyberpresse.ca
Les parents du petit Hitler perdent la garde de leur nouveau-né
La Presse
Ils ont nommé leurs trois premiers enfants en l'honneur du 3e Reich, dont un petit garçon baptisé Adolf Hitler. Ils se disent fans de l'époque nazie, mais non-racistes. Ils ne croient pas à l'Holocauste et sont farouchement opposés au métissage racial. Heath et Deborrah Campbell, ce couple du New Jersey devenu «célèbre» pour les prénoms controversés qu'ils donnent à leurs enfants, ont vu les autorités américaines leur retirer la garde de leur dernier bambin, né la semaine dernière.
À couteaux tirés avec le service de protection de l'enfance du New Jersey depuis deux ans...
Agnès : un juge « ne prend pas de risque », selon Jean-Pierre Rosenczveig
NDLR : Voilà pourquoi personne de la Dass ne me répond, ces pros ne prennent jamais aucun risque
Agnès: un juge "ne prend pas de risque"
AFP Publié le 20/11/2011 à 13:54
Le président du tribunal pour enfants de Bobigny, Jean-Pierre Rosenczveig, a déclaré aujourd'hui qu'"un juge ne prend jamais de risque" et que celui qui avait eu à se prononcer précédemment sur le meurtrier présumé d'Agnès "était convaincu qu'il n'y avait pas de danger".
Selon le directeur du collège-lycée du Chambon-sur-Lignon en Haute-Loire, où était scolarisée Agnès, cette collégienne de 13 ans qu'un lycéen du même établissement a avoué avoir tuée et violée, l'établissement n'avait pas été informé du casier de violeur de l'adolescent.
Dans cette affaire "extrêmement grave", "on a un juge qui, avec la caution du parquet, des psychiatres, des éducateurs, prend une décision, dans le cadre du contrôle judiciaire, qui est de bon sens, avec la décision de le faire partir de Nîmes --pour ne pas qu'il rencontre sa précédente victime-- et l'obligation de l'internat", a expliqué M. Rosenczveig. Ce juge "était convaincu qu'il n'y avait pas de danger", a-t-il plaidé.
"La question à se poser est la suivante: où est l'erreur"?, s'est interrogé le président du tribunal pour enfants. "Est-ce lié à l'incompétence de ceux qui ont évalué la situation? Est-ce lié au fait que la dangerosité de ce jeune homme n'était pas visible?", a-t-il insisté. "Si cette dangerosité était visible, il y a erreur, si elle ne l'était pas, on peut difficilement condamner ces personnes", a-t-il poursuivi.
Haute-Loire: le corps calciné est celui d'Agnès, marche blanche dimanche
NDLR : C'est encore une affaire pour le Nouveau Détective, pour l'IPJ et pour de plus radicaux aussi. Le compteur du Pacte 2012 pour la justice ou de cet institut, une association loi 1901, déjà comme affolé, est maintenant susceptible de dérailler pour de bon, de déborder, et leur serveur pourrait sous peu s'effondrer, crouler sous les requêtes. Actuellement, ce pacte et l'IPJ comptent déjà 979677 signataires. Contrairement à ce qui a été affirmé sur Twitter, le compteur de l'IPJ ne s'incrémente pas pour chaque rafraichissement de la page, on peut le vérifier durant la nuit, lorsque les français dorment. Nous devrions donc bientôt reparler de la justice de ce pays, de choses et de discours plus ou moins sérieux.
Société
AFP - Publié le 19/11/2011 à 11:44 - Modifié le 19/11/2011 à 11:45, extrait
Haute-Loire: le corps calciné est celui d'Agnès, marche blanche dimanche
Le corps calciné retrouvé en Haute-Loire a été identifié samedi comme étant celui d'Agnès, la collégienne disparue après une promenade avec un lycéen scolarisé comme elle au Chambon-sur-Lignon, petite ville sous le choc où une marche blanche est prévue dimanche.
Les explications du lycéen, déjà condamné pour agression sexuelle et qui a avoué l'avoir "bousculée", restaient inconnues samedi matin, alors que sa garde à vue expire à la mi-journée. Les enquêteurs ont seulement évoqué le fait qu'il était "assez agité".
Le corps retrouvé est bien celui d'Agnès
AFP Mis à jour le 19/11/2011 à 10:05 | publié le 19/11/2011 à 09:44
Le corps calciné retrouvé ce soir en Haute-Loire est bien celui d'Agnès, la collégienne disparue. "C'est son corps. Tout concorde. Nous l'avons annoncé aux parents", a annoncé un enquêteur. Les recherches s'étaient concentrées en début de soirée dans la forêt située près du collège où était scolarisée la jeune Agnès, sur les indications d'un lycéen placé en garde à vue dans cette affaire.
Un père soupçonné d'avoir tué sa fille
Un père soupçonné d'avoir tué sa fille
AFP Publié le 18/11/2011 à 11:40
Une petite fille de cinq semaines est décédée hier dans un hôpital lillois des suites de blessures que son père, mis en examen et écroué, est soupçonné de lui avoir infligées, selon une source judiciaire.
1 000 enfants haïtiens ne sont pas officiellement adoptés
ACTUALITÉ > Société
1 000 enfants haïtiens ne sont pas officiellement adoptés
Mots clés : adoption, séisme, FRANCE, HAÏTI
Par Delphine de Mallevoüe Publié le 17/11/2011 à 07:10, le Figaro, extrait
«Nous sommes scandalisés et inquiets. Après avoir vécu l'abandon et la misère, il faut encore leur infliger ce flou identitaire et cette instabilité psychologique? s'indigne Olivier Janne, président d'EEA, le collectif. C'est ça, l'intérêt supérieur de l'enfant? Nous combattrons donc pour l'intégration pleine et entière de nos enfants, pour leur sécurité juridique et la reconnaissance de leurs droits. »
Encadrement militaire des mineurs délinquants : députés favorables
Encadrement mineurs: députés pour
AFP Publié le 16/11/2011 à 19:40
Après son rejet par le Sénat, la proposition de loi du député UMP Eric Ciotti visant à instaurer un encadrement de type militaire des mineurs délinquants, a été adoptée par les députés lors d'une nouvelle lecture. Cette proposition de loi va maintenant repartir en examen au Sénat, et en cas fort probable de nouveau rejet, elle reviendra une ultime, et troisième, fois à l'Assemblée qui aura le dernier mot sur ce texte comme le prévoit la Constitution.
Un juge bat sa fille dans une vidéo : Grand déballage sur le Net
NDLR : C'est probablement le genre de juge qui soutiendra que ces traitements sont parfois des « maux nécessaires ». Puisque c'est un juge, un JAF, qui infligeait la rouste, c'était obligatoirement « juste » et « éducatif »...
International
Publié le 4 novembre 2011 à 14h20, France Soir, extrait
Un juge bat sa fille dans une vidéo : Grand déballage sur le Net
Une jeune femme a diffusé une vidéo de son père dans laquelle il la bat à coups de ceinturon. Les images ont été vues par plus de trois millions de personnes suscitant un véritable tollé aux Etats-Unis.
Un père qui bat sa fille à coups de ceinturon. Jusque-là, malheureusement rien de bien nouveau. Ça le devient lorsque les faits qui remontent à 2004 sont dévoilés et mis en ligne sur la place publique avec une vidéo enregistrée à l'époque. Hillary Adams, aujourd'hui âgée de 23 ans a posté la semaine dernière sur YouTube, la vidéo de son père qui lui assène une vingtaine de coups pour avoir téléchargé des jeux et de la musique illégalement. On entend un homme demander à une femme d'aller chercher sa ceinture, « la grosse » pour aller la fesser, puis il entre rejoint peu après par la mère d'Hillary Williams qui la frappe également.
« C'est arrivé souvent pendant quelque temps, et je sentais que ça allait de pire en pire a affirmé la jeune femme sur le plateau de l'émission Today de NBC où elle était invitée. J'ai caché ma caméra sur une commode, mis un foulard sur la lumière rouge et une demi-heure après, ça s'est passé ». Les images, dures ont été regardées par plus de 3,7 millions de personne (vendredi à 14 heures). Des milliers de commentaires indignés accompagnent la vidéo et l'affaire prend une envergure nationale, puis internationale.
Suspendu de ses fonctions
Car l'auteur des faits, le père de la jeune fille, William Adams n'est pas n'importe qui. Il est juge en charge des affaires familiales et aurait rendu des jugements contestés ces dernières années dans des affaires de maltraitancece d'enfants. La suite, sur France Soir...
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Comment venir à bout des poux
Voir aussi « Quand aux lentes mortes, elles s'en iront naturellement »
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Comment venir à bout des poux
LEMONDE | 28.10.11 | 15h44 • Mis à jour le 28.10.11 | 18h27, extrait
"La pédiculose est favorisée par la promiscuité, le manque de surveillance parentale et parfois la pauvreté. En effet, les produits antipoux coûtent assez cher et ne sont pas à la portée de toutes les familles. De plus, la résistance des poux aux insecticides oblige à répéter les traitements", explique le docteur Izri. A raison de 15 à 20 euros par produit, le traitement d'une famille de 4 personnes renouvelé une fois coûte environ 60 à 80 euros !
Le sort des aborigènes se dégrade
NDLR : Voir aussi L'Australie présente ses excuses. D'après quelques coupons de presse précédemment diffusés depuis l'Australie, jusque dans la francophonie, « l'assimilation » de ce peuple aborigènes ou de leurs enfants a pu être menée aussi efficacement que « l'intégration » de la population autochtone, au Canada. L'Australie pourrait envisager de s'inspirer des pratiques françaises, fabuleuses : faire taire, dissuader ou discréditer la critique. Ils n'ont pas de bons psychiatres ? La France pourrait proposer quelques formations aux pros de la Dass et de la justice australienne, tout finirait par s'arranger, rapidement. MAM avait bien proposé une aide au « maintien de l'ordre » au régime de Ben Ali, peu avant son effondrement...
Le sort des aborigènes se dégrade
AFP Publié le 25/08/2011 à 09:01
La situation des aborigènes d'Australie s'est encore détériorée en matière de santé, de taux d'incarcération et de maltraitance des enfants, a révélé une enquête du gouvernement, qui évoque des failles "considérables" dans leur qualité de vie. Selon le rapport annuel de la commission gouvernementale sur les inégalités chez les aborigènes, des progrès ont été réalisés dans seulement dix des 45 indicateurs clés étudiés. 17 autres (dont le taux d'incarcération et les maladies) n'ont montré aucune avancée ou ont empiré.
Les enfants aborigènes ont sept fois plus de risques que ceux du reste de la population d'être victimes d'abus ou de négligence. Ils étaient 15 sur 1.000 à être maltraités en 2000 et 37 pour 1.000 en 2010. Le taux d'incarcération chez les femmes aborigènes a grimpé de 59% lors des dix dernières années et de 35% chez les hommes. Le taux d'incarcération au sein de cette population est de 14 fois supérieur à celui du reste des Australiens, contre 10 fois plus en 2000.
Les jeunes aborigènes ont 23 fois plus de chance d'être emprisonnés, comparé aux autres jeunes, mais leur taux d'incarcération a fortement diminué, selon cette étude.
Le fossé entre les aborigènes et le reste de la population s'accroît également pour la fréquence des maladie circulatoires, rénales ou les diabètes. Quelques secteurs montrent des signes d'amélioration, tels que l'emploi, l'éducation ou la possession d'un bien immobilier, mais la situation s'étant aussi améliorée dans le reste de la population, les aborigènes continuent au final d'être à la traîne.
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Jessica : le père biologique partie civile
NDLR : Le « père biologique » de Jessica aurait-il « des intérêts » dans cette histoire, un « viol présumé » ? C'est étrange. Selon le TGI de Nanterre et sa cour d'appel de Versailles, un père n'aurait qu'un simple et unique intérêt lorsque la Dass et des magistrats s'occupent si bien d'un de ses enfants, juste intérêt à se taire
Jessica: le père biologique partie civile
AFP Mis à jour le 18/08/2011 à 09:49 | publié le 18/08/2011 à 09:49
Franck Perrais, père biologique de Jessica Perrais, soeur jumelle de la jeune Laetitia assassinée en janvier, va se porter partie civile après la mise en examen pour viol du père de la famille d'accueil de ses filles, Gilles Patron, a annoncé son avocat.
"Je vais me constituer partie civile au nom de Franck Perrais afin d'avoir accès au dossier et de défendre au mieux ses intérêts", a déclaré Me Olivier Metzner à l'AFP jeudi
Laetitia : le père soupçonné de viol
NDLR : Voir aussi La famille de Laëtitia reçue longuement à l'Élysée, rubrique Victimes, celles plus émouvantes que d'autres... Il semblerait que le château ou ses résidents se sont vautrés sur ce cas particulier, une « famille d'accueil ».
Laetitia: le père soupçonné de viol
AFP Mis à jour le 17/08/2011 à 12:23 | publié le 17/08/2011 à 12:12
Le père d'accueil de Laetitia Perrais, la jeune fille tuée en janvier près de Pornic (Loire-Atlantique), est soupçonné d'agression sexuelle et viol sur la soeur jumelle de Laetitia, Jessica, a-t-on appris de source judiciaire. Gilles Patron a été présenté aujourd'hui au Parquet de Nantes, qui a requis sa mise en examen pour agression sexuelle et viol, a indiqué cette source.
Actualité > Archives
Laëtitia, une jeune fille polie et calme
Le Parisien | 21.01.2011, extrait
Appuyé sur la barrière de sa grande maison, au bord de la route, à la sortie de la petite station balnéaire de La Bernerie-en-Retz (Loire-Atlantique), Gilles Patron a les yeux remplis de larmes. « C'est trop douloureux pour nous. C'est une enfant charmante », lâche celui qui héberge et éduque depuis six ans Laëtitia Perrais, 18 ans, placée par l'aide sociale à l'enfance dans cette famille d'accueil avec sa sœur jumelle Jessica. Une des quatre familles du village qui consacre son quotidien aux enfants des autres quand leurs propres parents ne peuvent s'occuper d'eux. Jeune adulte décrite volontaire, Laëtitia a pour devise : « Il ne faut jamais baisser les bras et aller tout droit ». Une maxime, affichée sur sa page du site Internet Facebook, qui lui va comme un gant selon Françoise Tavernier, une assistante maternelle du village qui côtoyait régulièrement la jeune apprentie en hôtellerie. Laëtitia travaillait depuis le mois de juillet comme serveuse à l'hôtel de Nantes, un établissement coquet du centre-ville à la façade toute jaune. « Une enfant souriante, adorable, plaisante et devenue une très jolie fille qui fait bien plus jeune que ses 18 printemps », résume Mme Tavernier qui refuse de parler d'elle « au passé ». Mardi, Françoise était chez ses amis, Gilles et Michelle Patron, lorsque Laëtitia a envoyé un SMS pour prévenir qu'elle ne rentrerait pas après son service du midi à l'hôtel pour rester dans le centre-ville. « Elle prévenait toujours quoi qu'elle fasse. Là-dessus, on pouvait compter sur elle », continue Françoise Tavernier. « Même majeure, elle savait qu'il fallait prévenir. Notre rôle, c'est surtout de guider ces enfants, au passé parfois douloureux, vers l'autonomie », précise l'assistance maternelle qui garde le souvenir d'« une enfant polie et calme ».
Medvedev gracie une actrice russe condamnée en France et extradée
NDLR : Natalia Zakharova avait déjà été graciée en juillet dernier... mais c'était alors probablement un couac médiatique. Il fallait encore patienter. Aujourd'hui, l'information qui se propage dans les brèves semble émaner de sources plus officielles. Le site kremlin.ru confirme : « Acting out of humanitarian motives, the President signed an order pardoning Natalia Zakharova ». Sur Facebook, un soutien de Natalia s'émeut encore parce qu'elle n'aurait plus aucune nouvelle de sa fille Macha, depuis deux années. Cette situation me semble pourtant être assez normale, tout à fait banale et courante ; ces prédateurs de la Dass ou du social français ne donnent jamais aucune nouvelle d'un enfant lorsqu'ils prétendent s'en occuper. Wolfgang Priklopil n'a jamais laissé transpirer aucune information non plus ; Priklopil avait séquestré Natascha Kampusch, de mars 1998 à août 2006. On me rétorquera peut-être que Priklopil n'avait rien d'un professionnel de l'Aide Sociale à l'Enfance, ni d'ailleurs rien d'un pasteur protestant, qu'il n'était qu'un vulgaire pédocriminel. Qu'est-ce que ça change, sur la forme comme sur le fond ?
Vosges matin, publié le 06/08/2011
Medvedev gracie une actrice russe condamnée en France et extradée en Russie
Le président russe Dmitri Medvedev a gracié la comédienne russe Natalia Zakharova, condamnée à 3 ans d’emprisonnement en France pour avoir tenté d’incendier l’appartement de son ex-mari français et extradée en Russie, a annoncé hier le Kremlin. « Guidé par des principes d’humanité, j’ordonne de gracier Natalia Zakharova, née en 1955, et de la libérer » de prison, a déclaré M. Medvedev dans un décret. Alors qu’elle était détenue en France, Mme Zakharova a été extradée vers la Russie en mai suite à une demande des autorités russes et placée en détention dans une colonie pénitentiaire dans la région de Kostroma (centre).
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105e « bébé volé » identifié en Argentine
NDLR : Après tout, des vols d'enfants sont des pratiques tout à fait courantes et acceptables, surtout parmi des critiques, des bavards, des débiles ou des comiques qui n'hésitent pas à manifester très tranquillement leur mécontentement. D'ici quelques temps, des employés de bureau auront droit à une médaille de Papon ou d'Eichmann, s'ils ne l'ont pas déjà, puis nous n'en parlerons plus. D'après Google, le magistrat Olivier Echappé pourrait d'ailleurs déjà être bardé, au nom de l'honneur, de l'ordre et du mérite, amen. Je crois me souvenir qu'en juillet ou septembre 2008, le magistrat de la première présidence était déjà bardé, lui aussi ; en janvier 2010, je finissais par publier « Sieg Versailles ! »... « Mais faites appel, ça s'arrangera »
105e "bébé volé" identifié en Argentine
AFP Mis à jour le 08/08/2011 à 21:29 | publié le 08/08/2011 à 21:29
Des tests ADN ont permis d'établir la véritable identité d'une fille d'opposants disparus sous la dictature argentine (1976-1983), portant à 105 le nombre de "bébés volés" ayant ainsi récupéré leur véritable état-civil. Avec cette femme de 33 ans, "nous avons résolu 105 cas", s'est réjoui la présidente de l'organisation des Grands-mères de la Place de mai, Estela de Carlotto.
Il s'agit de Laura Reinhold Siver, fille de Susana Leonor Siver et de Marcelo Reinhold, tous deux disparus. Elle est née en 1978 alors que sa mère était incarcérée à l'Ecole de mécanique de la marine (Esma), symbole de la torture sous la dictature en Argentine. "Laura a pris l'initiative, après avoir eu des doutes sur son identité, de se rapprocher des Grand-mères de la place de mai et a accepté de se soumettre à des tests ADN", a déclaré Mme Carlotto, précisant qu'en 1982, la grand-mère maternelle de Laura déjà avait alerté l'association sur la disparition du couple et de l'enfant.
Les Grands-mères de la Place de mai estiment à 500 le nombre de bébés d'opposants nés en captivité et enlevés à leurs mères avant d'être adoptés par des dignitaires du régime militaire, qui a fait 30.000 morts ou disparus, selon les organisations de défense des droits de l'homme. L'ancien dictateur Jorge Videla, qui a mené le putsch du 24 mars 1976 contre le gouvernement d'Isabel Martinez de Peron, est actuellement jugé avec d'autres anciens dignitaires de la dictature pour le vol de bébés d'opposants. Il a déjà été condamné à la prison à perpétuité en décembre 2010 pour crimes contre l'humanité. a> a> a>