Ilan Halimi : l’« appât » au bout de sa peine ?
NDLR : A mon avis, Libé n'est pas crédible, Emma n'est pas au bout de sa peine maintenant que son portrait a été diffusé par le Parisien et par Paris-Match. Je suis content d'avoir insisté, cet après midi, à la cour d'appel de Versailles, content de ne pas pas m'être désisté. Après quelques échanges avec la Présidente, j'y ai déposé mes conclusions dans lequelles j'évoquais, entre autres, le sujet de la réinsertion (de Jean-Luc Delarue). Mais il y a plus intéressant que toutes ces histoires là, par exemple, une nouvelle émission de France Inter : A votre écoute coûte que coûte.
Actu-Match | vendredi 20 janvier 2012
Ilan Halimi. L’"appât" libre
Emma, condamnée en 2009 à neuf ans de réclusion pour avoir été l’appât d’Ilan Halimi, ce jeune juif torturé à mort en 2006 par le «Gang des barbares», a bénéficié d’une libération conditionnelle.
Lucie Dancoing - Parismatch.com
Elle était le personnage sulfureux du «Gang des barbares». Une jeune femme qui sort littéralement de l’ombre aujourd’hui. Accusée de complicité dans l’assassinat précédé de tortures d’Ilan Halimi, Emma, 23 ans, a été condamnée en appel à neuf ans de réclusion criminelle en décembre 2010. Selon les informations du «Parisien», la jeune femme a bénéficié d’une libération conditionnelle.
«Elle est même allée au-delà de la date à laquelle elle pouvait prétendre à une sortie», a déclaré son avocate, réfutant tout «traitement de faveur». Contactée par ParisMatch.com, Me Dominique Attias, a confirmé la libération de sa cliente mais refusé de s’exprimer davantage. «Il faut laisser cette jeune femme tranquille, qu’elle se reconstruise. Je crois en une chose qui est devenue négative aujourd’hui: la réinsertion.»
Autiste disparu dans l'Ariège recherché
Voir aussi « Merci d'évacuer la rame »
Autiste disparu dans l'Ariège recherché
AFP Publié le 20/01/2012 à 10:41
Une quarantaine de secouristes ont repris, ce matin, les recherches pour tenter de retrouver un autiste de 17 ans disparu mercredi sur le plateau de Beille, dans les Pyrénées ariégeoises, en se concentrant sur une zone escarpée au bord du plateau, a indiqué la gendarmerie. "Nos hommes sont tous équipés pour reconnaître une zone escarpée en contrebas du lieu où on a trouvé jeudi des habits du garçon", a indiqué le capitaine de gendarmerie Bruno Combes, responsable des secours.
Sébastien se serait débarrassé d'une partie de ses vêtements parce qu'il déteste l'humidité. Il participait à une randonnée avec un groupe de l'Institut médico-éducatif de Toulouse qui l'accueille quand il a échappé à la surveillance des accompagnateurs, mercredi, vers 13H00.
"Nous avons trouvé une paire de baskets, quelques mètres plus bas des chaussettes enroulées, puis un jean. Les chiens nous ont menés vers la pente jusqu'à une zone abrupte", explique le capitaine Combes, interrogé par téléphone. L'hélicoptère, équipé d'une caméra thermique, n'a rien repéré.
Le jeune homme est sans doute pieds nus et une chute est à craindre dans cette zone à l'ouest du plateau, mais les secours ne désespèrent pas car il ne fait pas très froid en ce moment sur le plateau, pourtant perché à près de 2.000 mètres d'altitude, indique le capitaine Combes. "Nous voulons tout vérifier sur le terrain", ajoute le responsable des secours, dont les hommes ont visité en vain les cabanes et refuges possibles alentour.
Outre une trentaine de gendarmes, plusieurs pompiers spécialisés dans les interventions en milieu dangereux sont mobilisés, en particulier trois hommes formés au canyoning qui doivent explorer un ruisseau en contrebas de la zone escarpée. La zone est accidentée et boisée. La neige est verglacée, des conditions qui ont causé plusieurs chutes mortelles dans le massif depuis le début de l'année.
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Le monde du piratage perd Megaupload
Si ce dessin vous plait, nous - clubic.com - serons ravi que vous le diffusiez.
Faites le de préférence sans le modifier et en précisant la source, merci !
DSK : Marcel Campion maintient
DSK : Marcel Campion maintient
AFP Publié le 19/01/2012 à 18:42
L'entrepreneur forain Marcel Campion a maintenu aujourd'hui ses propos repris dans VSD, accusant Dominique Strauss-Kahn de lui avoir demandé un pot de vin en 1990, qui pourraient lui valoir des poursuites en diffamation de l'ex-patron du FMI.
Montebourg assigné pour « injure »
Voir également Aubry dénonce « l'ego » de Montebourg
Montebourg assigné pour "injure"
AFP Publié le 19/01/2012 à 14:18
Le député PS de Saône-et-Loire, Arnaud Montebourg est assigné en justice par les membres de la direction de la société SeaFrance, liquidée au début du mois, qu'il avait soupçonnés d'être des "escrocs" et des "patrons voyous" dans des propos rapportés par la presse.
"Il est à l'évidence très gravement injurieux, à l'égard des dirigeants de SeaFrance de qualifier de 'patrons voyous' et 'd'escrocs' et d'affirmer qu'ils ont été nommés par un actionnaire 'incapable'", déplore l'assignation.
Les cinq membres du directoire de SeaFrance à l'origine de l'action en justice, dont son président Pierre Fa, estiment le préjudice d'autant plus important que les propos du député intervenaient dans un climat social "particulièrement tendu". Ils demandent également la condamnation de La Voix du Nord et réclament chacun 10.000 euros de dommages et intérêts.
La liquidation définitive de la dernière compagnie française à relier Calais et Douvres a été prononcée le 9 janvier, après plusieurs semaines d'incertitude sur son avenir ayant pris une tournure très politique.
WikiLeaks : la photocopieuse vers un procès en cour martiale
Monde
WikiLeaks: Le soldat Manning vers un procès en cour martiale
Mis à jour le 13.01.12 à 08h22, 20 Minutes
L'officier chargé de l'enquête sur Bradley Manning, un soldat américain accusé d'être à l'origine de la diffusion de milliers de documents confidentiels sur le site WikiLeaks, a recommandé jeudi que ce dernier soit traduit devant une cour martiale.
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Le Canard Enchaîné, assigné par Bouygues, défend son enquête
NDLR : J'attends avec impatience qu'un bavard ou qu'un imprudent critique mes sources
Accueil > Société
"Pentagone français": Le Canard Enchaîné, assigné par Bouygues, défend son enquête
LEMONDE.FR | 18.01.12 | 14h14 • Mis à jour le 18.01.12 | 22h35, extrait
"Pentagone français", volet délit de presse. Mercredi 18 janvier se tenait à la 17e chambre du tribunal de grande instance de Paris l'audience opposant le groupe Bouygues au Canard enchaîné. Le géant du BTP a assigné l'hebdomadaire satirique en diffamation et lui réclame la somme de 9 millions d'euros pour un article l'impliquant dans d'éventuels faits de corruption dans le cadre du contrat de construction et de gestion du futur ministère de la défense.
En décembre, Le Canard enchaîné avait révélé qu'une information judiciaire avait été ouverte par le parquet de Paris pour "corruption active et passive", "trafic d'influence" et "atteinte à la liberté d'accès et à l'égalité des candidats dans les marchés publics". Le 14 décembre, le PDG du groupe, Martin Bouygues, avait affirmé aux Echos que le géant du BTP allait saisir la justice "afin de défendre son image et sa réputation" face à de "fausses accusations gravement diffamatoires qui lui portent considérablement préjudice tant en France qu'à l'international".
"HUIT SOURCES DIFFÉRENTES"
Les auteurs de l'article ont défendu mercredi la rigueur de leur enquête. Trois journalistes du Canard se sont succédés à la barre pour décrire les étapes de leurs investigations depuis la première information obtenue par l'un deux, recoupée par ses collègues, jusqu'à la parution finale, après plusieurs semaines d'enquête. "Nous ne nous communiquons pas nos sources entre nous, nous en faisons part au rédacteur en chef qui vérifie que ce ne sont pas les mêmes", a développé Christophe Nobili, l'un des auteurs de l'article. Avec un total de "huit sources différentes", il a estimé que l'hebdomadaire satirique avait pris "toutes les précautions s'imposant".
L'avocat du groupe Bouygues, Me Olivier Metzner a fait feu de tout bois pour montrer que cette affaire est "le procès du ragot, de la rumeur, de tout ce qui est anonyme". "On vous affirme des choses que tout le monde dit […], on va comme ça à l'aventure, on se contente de bruits qui n'ont pas l'autorité de la chose jugée", a ajouté Me Olivier Metzner, s'interrogeant sur l'identité des "sources" : "celui qui fait les photocopies ? Celui qui fait le café ?".
"UNE SOMME TOTALEMENT DÉLIRANTE"
Pour attester de sa crédibilité, Le Canard avait fait citer deux journalistes de l'AFP et de Reuters qui avaient eu, de source judiciaire, confirmation de l'information de l'hebdomadaire sur l'ouverture d'une instruction confiée à deux juges parisiens sur les conditions d'attribution de ce marché de grande envergure.
Rama Yade a dû ouvrir sa porte au juge
Actualité > Elections Législatives 2012
LEGISLATIVES. Rama Yade a dû ouvrir sa porte au juge
Le Parisien | O.B. | Publié le 18.01.2012, 14h28
Le tribunal d’instance de Colombes a examiné hier la demande de Rama Yade de s’inscrire sur les listes électorales après le refus de la commission de révision, le 6 janvier. Face à elle et son avocat, Me Pierre Degoul représentait trois électeurs qui réclamaient au contraire qu’elle n’y soit pas inscrite. Selon eux, Rama Yade a menti sur sa domiciliation et n’habite pas la commune.
Pendant une heure, les deux parties se sont affrontées sur les pièces fournies par Rama Yade, par ailleurs candidate aux législatives à Asnières-Colombes, pour justifier sa domiciliation. L’élue d’opposition avait expliqué déménager en achetant un appartement rue Colbert.
« Le fond du problème, c’est cela, martèle Me Degoul. On peut aussi s’étonner qu’un élu de Colombes n’habite la ville que depuis le 7 décembre. » « Tout est fait pour gêner mon engagement politique avec des méthodes qui me déçoivent », riposte l’intéressée. A 15 heures, coup de théâtre. Alors que les plaidoiries viennent de s’achever, la juge frappe un grand coup. « Votre adresse de la rue Colbert est au cœur du problème. On y va tout de suite. Je veux voir votre domicile, on va crever l’abcès! »
Dans la salle d’audience, ce « transport » a l’effet d’un coup de massue.
Le procureur Philippe Courroye fustige les « donneurs de leçon fielleux »
Actualité
15:16 - lundi 16 janvier 2012, Paris, maville.com
Le procureur Philippe Courroye fustige les "donneurs de leçon fielleux"
Le procureur de Nanterre, Philippe Courroye, a fustigé lundi lors de l'audience solennelle de rentrée du tribunal de grande instance de Nanterre les "donneurs de leçon fielleux dépourvus de mémoire et de bilan", valorisant son bon bilan à la tête du troisième parquet de France.
"Aux grandes consciences de tous bords qui brandissent haut l'étendard des grands principes tout en foulant au pied la présomption d'innocence et l'impartialité, aux donneurs de leçons fielleux dépourvus de mémoire et de bilan, aux accusateurs doctrinaires qui eux bafouent la justice en salissant des hommes et des actions sans connaître la moindre ligne du dossier ou du sujet sur lequel ils pérorent, il n'y a rien à répondre", a lancé M. Courroye.
"Le bilan que j'ai dressé, nos actions, notre conscience, notre sens du devoir, sont les seules réponses aux infamies qui déshonorent non ceux qu'elles visent mais ceux qui les profèrent", a-t-il ajouté, mettant en avant les 126.000 affaires pénales reçues en 2011 au parquet.
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Avis de recherche, par la Maison d’enfants Elie Wiesel de Taverny
NDLR : Voir également Enquête « obérée » auprès des parents d'enfants placés. Nanterre, le TGI et la fac, des pourvoyeurs officiels de cautions pour des scientistes et des crevures ? J'ai surtout le sentiment que l'OSE pourrait avoir envie de faire établir que leurs stratagèmes pour « sauver » les enfants « placés » n'ont pu que leurs profiter.
De source www.ose-france.org
Des enquêtes judiciaires sur la police des polices
NDLR : J'ai vu passer l'info sur Twitter, renvoyant à la lecture du Monde de demain 12 janvier... Est-ce que c'est vraiment grave ? La cour d'appel de Versailles et Nanterre peuvent travailler de façon similaire
Des enquêtes judiciaires sur la police des polices
Mots clés : Paris, Yannick Blanc, Michel Gaudin, Bruno Triquenaux, Christian Massard, Nicolas Sarkozy
Par lefigaro.fr Mis à jour le 11/01/2012 à 13:37 | publié le 11/01/2012 à 13:28, extrait
Plusieurs juges d'instruction mènent des investigations sur l'Inspection générale des services, soupçonnée d'avoir truqué une enquête sur des fonctionnaires de police réputés proches du Parti socialiste.
Habituée à mener des enquêtes, la police des polices fait cette fois l'objet d'une enquête. Selon Le Monde, quatre juge d'instruction parisiens mènent six enquêtes distinctes sur l'Inspection générale des services (IGS). Ils la soupçonnent d'avoir «monté de toutes pièces» une enquête en 2007 sur quatre fonctionnaires de police, réputés proches du Parti socialiste.
La procédure de l'IGS lancée avant l'élection présidentielle de 2007 visait Yannick Blanc, alors directeur de la police générale, son adjoint Bruno Triquenaux et Christian Massard, un policier affecté à la sécurité de l'ex-ministre de l'intérieur, Daniel Vaillant, qui étaient accusés de trafic de cartes de séjour au sein du service des affaires réservées. Suspendus à la suite de cette affaire, ces fonctionnaires ont finalement été innocentés par la cour d'appel de Paris en 2011.
«Incroyable série d'anomalies»
Selon le quotidien, pour discréditer ces fonctionnaires «jugés trop éloignés du pouvoir sarkozyste», l'IGS est soupçonnée d'avoir truqué plusieurs procès-verbaux, tronqué des retranscriptions d'écoutes téléphoniques et déformé plusieurs déclarations. Au final, une «incroyable série d'anomalies, d'autant plus choquantes qu'elles émanent du service censé contrôler la légalité des actes des policiers», souligne le quotidien.
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Sophia Aram : « Pas facile d'être plus drôle que nos invités »
Tout et son contraire
Sophia Aram : "Pas facile d'être plus drôle que nos invités"
le Mardi 10 Janvier 2012 à 05:40, France Info, un son de plusieurs...
Mobile : Free lance un forfait et une offre dite « sociale »
AFP, 10/01/2012 à 11:57, Orange actu, extrait
Mobile: Free lance un forfait à 19,99 euros par mois et une offre dite "sociale"
"Le 10 janvier, c'est votre libération, la fin du carcan dans lequel vous avez été enfermés ces quinze dernières années", s'est vanté Xavier Niel, en référence à sa promesse récurrente de diviser par deux la facture mobile des Français. "On vous presse comme des citrons, vous êtes des vaches à lait! On en a marre de se faire embrouiller et ras-le-bol de se faire arnaquer avec les prix les plus élevés d'Europe", a martelé le PDG d'Iliad.
"Nous avons décidé de faire un forfait à un prix accessible à tout le monde. Le forfait à 19,99 euros par mois est 4,3 fois moins cher que ce que propose SFR ou 2,5 fois moins cher que ce que propose Sosh", l'offre low-cost d'Orange, pour des prestations équivalentes, a-t-il affirmé.
Concernant le forfait dit "social", Xavier Niel n'a pas été tendre avec l'Etat ni avec les opérateurs proposant une offre comparable, fondée sur les conditions fixées par le gouvernement et prévoyant un minimum de 40 minutes de communication mobile et 40 SMS pour moins de dix euros, la qualifiant "d'arnaque".
"Ce forfait est destiné aux personnes qui n'ont pas les moyens, qui sont au RSA ou pas, et sur la tête desquels les autres opérateurs ont tapé de manière scandaleuse", a déclaré Xavier Niel.
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Deux élus UMP condamnés pour avoir diffamé Ali Soumaré
14h39, TF1/LCI
Deux élus UMP condamnés pour avoir diffamé Ali Soumaré
Deux élus UMP du Val-d'Oise ont été condamnés mardi par le tribunal correctionnel de Paris pour diffamation, après avoir qualifié en 2010 le candidat PS aux régionales Ali Soumaré de "délinquant multirécidiviste" sur la foi d'éléments partiellement erronés. Francis Delattre, sénateur-maire de Franconville, et Sébastien Meurant, maire de Saint-Leu-La-Forêt, ont été condamnés chacun à une amende de 1.000 euros avec sursis. Ils devront en outre verser un euro de dommages et intérêts à Ali Soumaré et publier le jugement dans trois organes de presse. Le 19 février 2010, en pleine campagne des élections régionales, les deux élus avaient diffusé un communiqué dans lequel ils décrivaient la tête de liste du PS dans le Val-d'Oise comme un "délinquant multirécidiviste chevronné". Dans leurs attaques, relayées le jour même par le député et tête de liste UMP du Val-d'Oise Axel Poniatowski, ils imputaient au jeune candidat d'origine malienne cinq affaires judiciaires sur la base de documents qui se sont révélés partiellement faux. L'une des condamnations concernait un homonyme mineur. Une autre pour rébellion envers la police, datant d'octobre 2009, faisait alors l'objet d'un appel et a depuis été infirmée par la cour d'appel de Versailles, qui a relaxé l'élu début 2011.
L'expresso de l'actu parisienne du 10 janvier
Voir aussi Un fanfaron de l'UMP propose « un après Soumaré » ?
L'expresso de l'actu parisienne du 10 janvier
Mis à jour 10-01-2012 08:36, Metro France, extrait
13h30 : Décision concernant deux élus UMP du Val-d'Oise, (Francis Delattre et Sébastien Meurant), pour avoir qualifié Ali Soumaré, candidat PS aux régionales, de "délinquant multirécidiviste" sur la foi d'éléments partiellement erronés.
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