Catégorie: Le 3919
La sœur de la victime met en cause la justice
La sœur de la victime met en cause la justice
Poitiers, Nouvelle République, sur www.poitiers.maville.com, jeudi 09 octobre 2008
Hier matin a eu lieu devant la première chambre civile du tribunal de grande instance de Paris la première étape de ce qui s’annonce comme un long feuilleton judiciaire, visant à mettre en cause l’État dans l’assassinat d’une Poitevine.
Le 19 juin 2007, Mireille Guilbault, enseignante au lycée du Dolmen de Poitiers, était abattue de onze coups de feu par son mari, sur le parking d’un hôtel de Vannes où elle était en stage. Pascal Guilbault, salarié de l’Université de Poitiers, se donnait ensuite la mort.
Cette triste affaire aurait dû s’arrêter là sur le plan judiciaire, sans la volonté de la sœur de Mireille de faire reconnaître la faute de la justice dans la mort de la jeune femme.
Des chances de succès extrêmement faibles
A la suite d’une plainte de Mireille, Pascal avait été mis en examen pour viols avec actes de tortures et de barbarie sur la personne de son épouse. Mais, contre l’avis du parquet, la juge des libertés et de la détention de Poitiers s’était contentée de placer Pascal Guilbault sous contrôle judiciaire, sans l’envoyer en maison d’arrêt. Ce fatal 19 juin 2007, la cour d’appel devait précisément examiner l’appel interjeté par le parquet.
Véronique Bernard, la sœur de Mireille, demande aujourd’hui à la justice de reconnaître qu’une faute lourde a été commise en laissant libre le futur meurtrier. Hier, au Palais de justice de Paris, son avocate a expliqué que Véronique Bernard s’inscrit « dans une démarche de reconnaissance et non d’indemnisation ». Me Sophie Dechaumet se dit déterminée à poursuivre la procédure jusqu’au bout même si elle reconnaît que les chances de succès de cette démarche sont « relativement faibles ».
L’audience de procédure qui s’est tenue hier n’est que la première étape d’un long parcours juridique qui pourrait ne pas aboutir à un procès avant au moins un an.

Un article de la Nouvelle République du 2/10/2008
Carrière : les adolescentes se rêvent... femmes au foyer
Les adolescentes se rêvent... femmes au foyer
7sur7.be, 06/10/08 12h47
Les féministes vont crier au scandale mais le fait est là: les jeunes filles ne veulent plus devenir ingénieur, au contraire elles préfèreraient devenir femme au foyer.
C'est ce qu'a dévoilé une enquête britannique à laquelle 500 adolescentes âgées entre 13 et 18 ans ont participé et qui leur demandait leur préférence concernant leur futur. Une carrière d'ingénieur n'est définitivement pas assez glamour à leurs yeux et convient bien mieux aux hommes.
Les jeunes filles d'aujourd'hui rêvent de devenir les actrices, les mannequins et les institutrices de demain. Viennent ensuite les carrières d'avocate ou de journaliste. D'après les chercheurs, ces tendances ont un lien direct avec les célébrités comme Kate Middleton ou Paris Hilton qui donnent un "mauvais" exemple à ces adolescentes.
Les jeunes s'inspirent de leurs modes de vie et les célébrités renvoient une image qui n'inclut pas l'importance de trouver un emploi, elles sont les princesses modernes qui ne doivent se préoccuper de rien, si ce n'est d'acheter des vêtements ou s'amuser. Une vision bien loin des réalités qui attendant ces jeunes filles.
Vous 8 oct. 6h51, Libé
Les revers du double foyer
Famille. Parution d’une enquête sur la garde alternée vue par les mères.
Une semaine chez lui, une autre chez elle… La garde alternée, officialisée par Ségolène Royal en 2002, quand elle était ministre de la Famille, a réveillé des débats purement idéologiques. Campagne terrifiante de pédopsy contre une «situation à haut risque psychique», hostilité des féministes craignant une dépossession des mères par leurs anciens conjoints, etc.
La sociologue Sylvie Cadolle, elle, a laissé la morale au vestiaire. Elle ne se penche pas non plus sur le bien-être des pauvres petits, cobayes de la garde alternée. L’originalité de son enquête qualitative, dont une partie paraît ce mois-ci (1), réside dans l’analyse du discours des parents, et en particulier des femmes. On sait qu’elles ont appris à profiter de leur semaine sans enfant : elles affichent volontiers comment elles prennent soin d’elles, dînent entre copines, sortent et draguent. Mais les aspects les plus sérieux de la résidence alternée (le suivi éducatif, l’argent) demeurent douloureux. Et les résistances à peine voilées. «Les pères sont souvent soupçonnés par les mères de masquer derrière l’intérêt de l’enfant leurs intérêts financiers», note ainsi Sylvie Cadolle.
Femmes autochtones : Manifestation à Ottawa

OTTAWA-GATINEAU (RC) - Une manifestation organisée par l'Association des femmes autochtones du Canada, ainsi que par Amnistie internationale, a eu lieu samedi matin sur la colline parlementaire à Ottawa.
Les participants qui ont pris la parole voulaient d'abord et avant tout sensibiliser la population canadienne au sort des femmes autochtones assassinées ou disparues.
On évalue à environ 500 le nombre de femmes autochtones qui ont disparu ou qui ont été assassinées, depuis 30 ans, sur les réserves du Canada.
On déplore que la grande majorité de ces cas de disparition soient des enquêtes qui n'ont pas encore été résolues, c'est-à-dire qu'on n'a pas encore retrouvé ces femmes.
Une femme et son bébé trouvés morts à Marseille
Une femme et son bébé morts à Marseille
Source : AFP, 03/10/2008 | Mise à jour : 21:46
Une femme d'une trentaine d'années et son bébé de six mois ont été trouvés morts dans leur appartement d'une cité du 11e arrondissement de Marseille, dans des circonstances non élucidées, a-t-on appris auprès des pompiers et de source policière.
C'est le père de famille, en rentrant chez lui vers 18H00, qui a fait la macabre découverte et a averti les secours.
La piste d'une fuite de monoxyde de carbone a été écartée, les prélèvements effectués n'ayant révélé aucune trace de ce gaz, selon les pompiers. En outre, le chat de la famille était toujours vivant à l'arrivée des pompiers.
Les policiers de la sécurité publique qui ont effectué les premières constatations n'écartaient aucune piste. Le parquet devait ouvrir une information judiciaire pour recherche des causes de la mort.
Faits divers
Il abat ses deux enfants et retourne l'arme contre lui
leparisien.fr | 04.10.2008, 12h17 | Mise à jour : 12h19, extrait
Un père de 45 ans a abattu ses deux fils de 11 et 14 ans dans la nuit de jeudi à vendredi à Toul (Meurthe-et-Moselle) avant de retourner l'arme contre lui, a-t-on appris samedi de sources concordantes. Transporté puis opéré à l'hôpital de Nancy, son pronostic vital n'était plus engagé. Il devait être interrogé rapidement par les enquêteurs. Selon l'Est Républicain, l'homme avait semble-t-il prémédité son geste, expliquant les raisons dans une lettre destinée à sa femme et aux enquêteurs.
Un père de famille tue ses deux enfants
Un père de famille tue ses deux enfants
Source : AFP, 03/10/2008 | Mise à jour : 20:31
Un père de famille de 45 ans a abattu ses deux enfants âgés de 11 et 14 ans sous les yeux de leur mère dans le pavillon familial de Toul (Meurthe-et-Moselle), a-t-on appris de source policière. Le double meurtrier a tenté ensuite de se suicider en retournant son fusil de chasse contre la poitrine. Hospitalisé, ses jours ne sont pas en danger. Son épouse a été volontairement épargnée.
Selon les premiers éléments de l'enquête, il aurait voulu ainsi se venger de sa femme alors que son couple, jusque là sans histoires, traversait des difficultés. L'épouse, traumatisée, a été confiée à une association d'aide aux victimes.
Combien d'armes à feu circulent en France ?
LEMONDE.FR | 01.10.08 | Extrait
Le sujet reste une question "sensible", comme on le reconnaît au ministère de l'intérieur. ...
Olivier Besancenot dénonce la réincarcération de Jean-Marc Rouillan
LEMONDE.FR avec AFP | 03.10.08 | Extraits
Le porte-parole de la LCR Olivier Besancenot a dénoncé, vendredi 3 octobre, la réincarcération du cofondateur d'Action directe Jean-Marc Rouillan, et appelé à une "mobilisation unitaire" contre cette "double peine". "Jean-Marc Rouillan est incarcéré de nouveau, ce qui est absolument révoltant, puisqu'il a purgé sa peine", a-t-il déclaré à l'AFP. "Légalement, il a le droit de sortir et il n'y a rien qui justifie le fait qu'il retourne en prison, si ce n'est un acharnement judiciaire de la part de l'Etat" qui invoque "non pas ce qu'il a fait, mais ce qu'il a dit et même sous-entendu", ajoute-t-il. [...] "La LCR a toujours dénoncé les méthodes d'Action directe", et "le NPA ne se bat pas pour la lutte armée", ajoute M. Besancenot. Il dénonce "une campagne politique qui tente de criminaliser le NPA", mais ajoute : "je persiste et je signe : quelqu'un qui a purgé sa peine a droit à une réinsertion et un engagement militant".
Battue et séquestrée, contrainte de se prostituer
Poursuivie pour avoir violenté son bébé
par La Rédaction du DL | le 01/10/08 à 21h30
« Je vais vous demander de requalifier les faits en violences volontaires ou alors de relaxer la prévenue car si on condamnait tous les parents qui se tiennent à plus d'un mètre de la table à langer, il faudrait faire des audiences spéciales » a tempêté Paul Baudoin, vice-procureur hier au début de son réquisitoire. Il a ensuite tenté de démontrer que la jeune femme de 22 ans avait volontairement frappé Noa, son petit garçon alors âgé de huit mois. C'était en avril 2006. Cette employée dans la restauration rapide, défendue par Me Collion, est poursuivie pour violences involontaires, a expliqué : « je ne sais pas d'où viennent ses fractures. » Simpement. En larmes parfois. Le représentant du ministère public a requis un an de prison avec sursis mise à l'épreuve. Le tribunal se prononcera le 29 octobre, à 14 heures.
Paru dans l'édition 84A du 02/10/2008 (81771)
GRENOBLE
Battue et séquestrée par son proxénète
par La Rédaction du DL | le 02/10/08 à 07h30
Depuis un an, la vie de Mylène (¹) était un enfer. Contrainte par son "ami" de se prostituer, cette Grenobloise de 21 ans était sans cesse harcelée et frappée, séquestrée entre deux passes par le jeune homme.
Mylène l'avait rencontré en 2007 et était tombée amoureuse de ce garçon...
Le gouvernement refuse de parler de « récession »
Le gouvernement refuse de parler de "récession"
LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 03.10.08
En une du monde.fr... "Très faible croissance", "perte de croissance", "croissance molle", "négative"... les responsables français ont multiplié les expressions pour démentir le spectre d'une récession dans l'Hexagone.
"Il ne faut pas jouer sur les mots, je trouve tout cela ridicule, a réagi le ministre du budget, Eric Woerth. Par nature, la France n'est pas en récession." "Il y a une définition technique et statistique de la récession et puis, il y a la réalité des choses. On ne va pas se battre sur les chiffres. Le ralentissement est fort et la crise est évidemment très importante", a-t-il concédé, tout en expliquant que le 1 % de croissance totale recensé pendant l'année 2008 constitue "une très faible croissance, pas une récession".
Il mange le passeport de son ex-femme
Source : lefigaro.fr, 03/10/2008 | Mise à jour : 10:39 | Commentaires 5
Un Russe, fou de rage, a mangé une page du passeport de son ex-femme et risque désormais un an de prison, a rapporté le quotidien russe Vremia Novosteï dans son édition de aujourd'hui.
"L'ex-mari a arraché la page et l'a mangée" sous les yeux de la police appelée sur les lieux pour mettre fin à une dispute, a expliqué un procureur de la ville de Nijni Novgorod (Volga) où l'incident a eu lieu.
La page dévorée portait le tampon d'enregistrement de son ex-épouse dans leur appartement commun, confirmant son droit d'y vivre malgré la séparation du couple. L'homme risque désormais un an de prison pour "destruction de document officiel".
Violences à Paris : les policiers contre le laxisme des juges

Une campagne au ton grinçant contre les violences conjugales
lefigaro.fr, 02/10/2008 | Mise à jour : 15:05
A la place de photos, l’agence de publicité DDB a opté pour une accroche au second degré avec un dessin et une typographie faussement innocents, qui rappellent les livres pour enfant.
Violences à Paris : les policiers contre le laxisme des juges
lefigaro, 01/10/2008, extrait
Après les incidents du XIXe arrondissement, la police a relevé une cinquantaine d'affaires où elle estime ne pas avoir été aidée par la justice.
Le torchon brûlerait-il entre la police et la justice dans la capitale ? Alors que le procureur de la République de Paris, Jean-Claude Marin, annonçait en début de semaine la création d'un groupe local de traitement de la délinquance (GLTD) dans le XIXe arrondissement, pour traiter notamment «les causes» de la violence qui s'y est déchaînée ces derniers mois, des voix s'élèvent sur le terrain pour protester contre un certain «laxisme judiciaire».
Les griefs formulés sont ainsi résumés par Mohamed Douhane, membre du bureau national du syndicat Synergie Officiers, en contact régulier avec ses collègues des commissariats : «Au lieu de communiquer, la justice ferait mieux d'agir, en sanctionnant les fauteurs de troubles que la police arrête.»
PARIS, 2 oct 2008 (AFP) - Le procès d'Antonio Ferrara et des complices présumés de sa spectaculaire évasion de la maison d'arrêt de Fresnes (Val-de-Marne), en mars 2003, s'est ouvert jeudi matin pour près de deux mois devant la cour d'assises de Paris.
Violences conjugales : le PCF veut une loi
Source : AFP
02/10/2008 | Mise à jour : 15:43 | .
Le PCF a "exigé" aujourd'hui le vote d'une "loi cadre" pour lutter contre les violences conjugales, "plus que des conseils", alors qu'une campagne nationale d'information contre cette violence faite aux femmes est lancée par le gouvernement.
L'Irlande sème la panique en jouant "perso" dans la crise
LE MONDE | 02.10.08
RTL | On en parle | 02 oct. 2008 | Màj 09h51
Femmes battues et femme à gaffes chez Pascale Clark
A la "une" de la presse et du Net ce jeudi : le témoignage de Valérie Damidot, victime de violences conjugales ; Sarah Palin et ses "palinades" ; un actionnaire encombrant au "Figaro" ; et toujours la crise économique.
Violence conjugale, une nouvelle injonction : « Réagissez ! »
VIOLENCES CONJUGALES
Lancement d'une campagne contre les femmes battues
NOUVELOBS.COM | 02.10.2008 | 11:17
La secrétaire d'Etat à la Solidarité Valérie Létard devait présenter à la presse jeudi une série de fiches pratiques permettant de rappeler la loi sur chacun des quatre fronts (violences au travail, violences conjugales, mutilations sexuelles, viols et agressions sexuelles). Le plan triennal de lutte contre la violence faites aux femmes, qui avait mis en avant en 2007 le service d'assistance téléphonique gratuit 3919, sera approfondi au cours du premier semestre 2009, pour renforcer la protection juridique des femmes victimes de violences.
De source Europe 1... Un nouveau site internet est aussi lancé www.stop-violences-femmes.gouv.fr. Et les concepteurs du site ont pensé à des détails importants : des signets en haut de l’écran à droite permettant de quitter le site rapidement ou d’effacer les traces de votre passage. En 2007, un service d'assistance téléphonique, le 3919, a été mis en place.
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Société
Femmes battues: Valérie Damidot témoigne
Valérie Damidot, animatrice de l’émission télévisée « D&co »
leparisien.fr | 02.10.2008, extrait
« Il y a une vingtaine d’années, j’ai été battue par mon compagnon. Il m’a fallu deux ans pour le quitter. Et pourtant, j’avais autant de caractère qu’aujourd’hui. » Qui aurait pu croire que Valérie Damidot, la truculente Madame Déco de M 6, une femme de tête qui ne semble pas être du genre à s’en laisser conter, avait vécu un tel cauchemar ? « Les femmes battues ne sont pas des femmes faibles. Souvent, elles sauvent les apparences pour cacher aux autres le drame qu’elles vivent », analyse l’animatrice. Pour Valérie, cette façade a duré près de deux années, marquées par plusieurs séjours à l’hôpital.
Apprendre à être mère malgré la détresse
Apprendre à être mère malgré la détresse
LT - 02.10.2008
SOUTIEN. L'Action éducative mères-enfants reçoit depuis dix ans les femmes en difficulté, enceintes ou avec un bébé.
Comment établir un lien avec un nouveau-né lorsque tout va mal dans la vie de sa maman? Le Service de protection de la jeunesse du canton de Vaud a essayé de répondre à cette problématique cruciale en créant, avec des institutions privées d'utilité publique, des lieux de prise en charge mère-enfant: «L'Action éducative mères-enfants». Ils se répartissent sur quatre sites, dont Yverdon et Lausanne. Des endroits où ces femmes en difficulté vont trouver un soutien socio-éducatif global, mais qui ont pour fil rouge le lien mère-enfant. L'AEME fête ses dix ans avec une journée d'étude qui se déroule ce jeudi au CHUV. Le point sur cette expérience avec Marc Berger, directeur de la Fondation Petitmaître à Yverdon qui participe au projet.
Le Temps: Qui sont les mères qui s'adressent à vous?
Marc Berger: Il s'agit de mamans en situation précaire, qui ont des carences affectives, relationnelles, des problèmes de conflit avec leur famille et sont isolées de ce fait. Il y a beaucoup de cas d'abus sexuels, de violence dans la famille ou dans le couple. Ces personnes ont souvent un passé institutionnel.
- Est-ce que le profil de ces femmes a changé en dix ans?
- Nous n'avons pas de statistiques sur ce point. Cela dépend des lieux d'accueil. A Yverdon, nous sommes proches d'un hôpital psychiatrique et nous recevons, plus que les autres centres, des femmes qui sont passées par ce service. A Lausanne, on remarque une augmentation des mères mineures, un phénomène peut-être plus citadin. ...
- Ces femmes ou leur famille peuvent-elles s'adresser directement à l'AEME?
- Non, elles nous sont adressées par les services sociaux, le service du Tuteur général, éventuellement les maternités voire le médecin traitant. ...
Jugées trop vulgaires !
belles des champs
Jugées trop vulgaires!
Le calendrier 2009 des paysannes suisses en petite tenue excite les uns, énerve les autres. Dernière édition? Dans les campagnes, la polémique fait rage.
Le Matin Bleu - le 29 septembre 2008, 21h42
Attention, collector! L’édition 2009 du calendrier des paysannes suisses sera peut-être la dernière. Car la polémique fait rage, y compris dans les campagnes.
What caused the crunch ? Men and testosterone
From The Times
September 30, 2008
http://women.timesonline.co.uk/tol/life_and_style
What caused the crunch? Men and testosterone
Never mind mortgage-backed securities - the reason why confidence in the banking system collapsed was too much testosterone. With more women on the trading floor, risk-taking would be a saner business
True to form, economists have offered a range of explanations for the financial crisis that threatens the world and which so few of them managed to predict. Some blame something called collateralisation, others easy money, still others lax regulation.
But, by focusing on the technicalities, have they overlooked a more obvious culprit - men?
After all, it is men who dominate the financial system that got us into this mess; it is men, by and large, whose trading inflated the profits of banks to levels that now seem like the stuff of testosterone-fuelled fantasy; and it is men who pocketed most of the bulging bonuses that even Gordon Brown reckons were a key cause of the crisis. All of which raises an important and deliciously controversial question: what would have happened if global financial institutions had been run by women?
Would they have been more focused on the human consequences and less on the next pay cheque? Would they have been more empathetic and less cut-throat? Would financial districts have had a few more crèches and a few less of those godawful bars where traders hang out to brag about their latest deal? In short, would we have avoided this calamity if markets had been doused with sufficient quantities of oestrogen?
Julia Noakes, a psychologist working with City high-achievers, is in little doubt. “The problem in finance is that there is too much thrusting individualism and not enough femininity,” she says. “A lot of women are deterred from striving for senior management positions because they don't want to deny 50 per cent of their personalities.” Heather McGregor, a City headhunter, echoes this analysis with the arch observation that “the UK bank that has come out of the current crisis strongest is the one that has most aggressively promoted women into positions of senior management: Lloyds TSB”.
But this is dismissed as stereotyped claptrap by other financial leaders. One senior banker summarised the views of several managers and traders to whom I spoke when he said: “If women ran the City it would have made no difference, and it is sexist to suggest otherwise. Sure, mistakes have been made, but are you saying that women would have walked away from the huge profits being dangled in front of us? Get serious.”
So, who is right? ...
La militante de l'émancipation féminine afghane Malalai Kakar assassinée
LEMONDE.FR | 29.09.08 | Extraits
Dimanche 28 septembre, Malalai Kakar a été tuée d'une balle dans la tête devant son domicile alors qu'elle se rendait à son travail. Cette policière qui dirigeait le département des crimes contre les femmes de la police de Kandahar, symbolisait la lutte pour l'émancipation féminine dans l'Afghanistan post-talibans. Peu après l'annonce de sa mort, un porte-parole islamiste s'est publiquement réjoui d'avoir réussi à l'atteindre. "Nous avons tué Malalai Kakar. Elle était notre cible, et nous avons réussi à l'éliminer", a-t-il déclaré à l'AFP. Les talibans ont multiplié les attaques contre les femmes occupant des postes à responsabilité, en particulier dans la police. En juin, Bibi Hoor, une lieutenante âgée de 26 ans, a été abattue par balle dans la province de Heart, après avoir refusé de quitter son emploi. [...] Au yeux des talibans, Malalai Kakar constituait un objectif privilégié. "Son bureau était devenu un refuge pour les femmes menacées ou maltraitées et elle s'opposait régulièrement aux décisions des juges conservateurs qui les renvoyaient dans leurs familles", écrit le quotidien britannique The Independent, qui l'avait rencontrée en 2003.
Rachida Dati convoque 5 procureurs

Rachida Dati convoque 5 procureurs
Source : Aziz Zemouri (Le Figaro Magazine)
26/09/2008 | Mise à jour : 21:07 | Commentaires 1
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La ministre de la justice Rachida Dati a convoqué vendredi cinq procureurs généraux afin de leur faire savoir son mécontement. Elle s'inquiète en effet que le recours aux peines planchers soit le plus faible de France dans le ressort de leur Cour d'appel respective. Ces peines planchers sont réservées aux multirécidivistes majeurs ou bien mineurs de plus de 16 ans qui passent pour la troisième fois devant un juge.
Un artiste de mail art poursuivi pour envoi de cartes postales choquantes
ladepeche.fr, le 26/09/2008
Saint-Ouen
Cinq ados mis en examen pour viol en réunion
leparisien.fr | 27.09.2008
Disparition d'Antoine : l'inquiétude grandit à Issoire
Disparition d'Antoine : l'inquiétude grandit à Issoire
un titre de l'actu en vidéo, sur leparisien.fr
L'enquête sur la disparition du petit Antoine "ne fait que commencer" et "n'exclut aucune hypothèse", y compris le "cercle familial" de l'enfant, a déclaré le procureur de la République de Clermont-Ferrand, Jean-Yves Coquillat.
"On continue à travailler sur toutes les hypothèses et nous allons élargir le cercle des investigations autour des proches d'Antoine", porté disparu le 11 septembre, a déclaré le magistrat lors d'un point presse, avouant être "déçu" par la tournure des événements.
La mère d'Antoine, Alexandrine, 23 ans, placée en garde à vue mercredi après-midi à Clermont-Ferrand, a été remise en liberté hier soir. Il "n'y avait pas de charges suffisantes contre elle", a souligné le procureur, ajoutant: "si garde à vue ne veut pas dire culpabilité, levée de garde à vue ne veut pas dire innocence".
La jeune femme, qui a passé la journée chez son avocate, vient de se constituer partie civile dans ce dossier, a annoncé à la presse dans l'après-midi son conseil, Me Anne-Laure Lebert.
"Jeudi, on n'a pas eu de chance", a estimé M. Coquillat. "J'espérais que malgré la difficulté, on pourrait sortir de cette affaire rapidement, je pense que ce n'est pas le cas. Ce sera long et difficile", a-t-il dit, soulignant la "volonté farouche" de la justice et des enquêteurs "de retrouver les auteurs".
"S'ils se croient plus malins et plus forts que la justice, on verra à la fin de la partie qui gagnera", a averti le procureur, ajoutant: "Ce n'est pas parce que l'enquête avance lentement qu'elle ne progresse pas".
Antoine : "aucune hypothèse exclue"
Source : AFP
26/09/2008 | Mise à jour : 16:59 | .
Intéractif & Multimédia
Sexe des foetus: Google et Microsoft retirent des publicités en Inde
leparisien.fr | 18.09.2008, extrait
L'avocat, à l'origine de la plainte, Sabu George, estimait que ces produits nuisaient aux efforts entrepris pour lutter contre les avortements pratiqués par des femmes qui ne souhaitent pas donner naissance à une fille.
«Les liens sponsorisés sur Google ont considérablement diminué. Ils ont disparu du moteur de recherche de Microsoft Inde», a indiqué à l'AFP Sabu George.
«En Inde, nous n'autorisons pas de publicités pour des produits permettant de déterminer le sexe avant la naissance. Nous prenons les lois du pays très au sérieux», a indiqué Google dans un communiqué.
Depuis 1994, l'Inde interdit à ses médecins de révéler le sexe des foetus lors des échographies.
Comme en Chine, au Pakistan ou au Népal, des préjugés à l'égard des femmes en Inde et la préférence pour les garçons entraînent depuis des décennies des avortements sélectifs, des infanticides, des abandons de bébés de sexe féminin ou des mauvais traitements.
Il avoue avoir tué sa femme et se suicide
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Le 25/09/2008, ladepeche.fr, extraits
Tombebœuf. Il avoue avoir tué sa femme et se suicide
Les recherches se poursuivaient hier à Tombeboeuf et dans les environs pour retrouver le corps.
Que s'est-il passé dans la nuit de mardi à hier au domicile de Jean-Jacques Santos, 43 ans, demeurant au lieu-dit « Rance » en bordure de la départemental 667 à Tombeboeuf ? Marié à Maryse qui lui a donné deux filles, l'homme était employé au garage Citroën de la commune et avait été conseiller municipal entre 2001 et 2008. Mardi soir, il aurait dû fêter son 33e anniversaire. Mais selon les premiers éléments de l'enquête de gendarmerie, le couple traversait depuis quelque temps une période de turbulences même si une de leurs voisines parle d'un couple sans histoires. Faut-il voir dans les deux faits l'origine du drame ?
Mercredi, en fin de matinée, Jean-Jacques Santos s'est présenté chez son beau-frère pour lui annoncer qu'il avait tué sa femme, âgée de 40 ans et employée à l'école du village. Il le lui répétera à plusieurs reprises. Le beau-frère a alerté les gendarmes de Sainte-Livrade qui se sont aussitôt rendus sur place. Là, ils n'ont pas trouvé de cadavre, ni aucune trace de sang dans la maison ni dans les véhicules des époux. Jean-Jacques Santos n'était pas là.
... Finalement, ils arrivaient à le localiser à 400 mètres de chez lui. Au moment où ils allaient l'interpeller, Jean-Jacques Santos a sorti un couteau de cuisine d'une trentaine de centimètres qu'il s'est planté en plein thorax.
... Les techniciens en investigations criminelles feront des recherches dans la maison pour savoir si une fois son forfait commis, Jean-Jacques Santos n'a pas effacé les traces de sang. Mais tant qu'ils n'auront pas retrouvé le corps, les enquêteurs n'ont pas la certitude qu'il a bien tué sa femme.
