Archives pour: Novembre 2015
« Penchons-nous sur l'origine de cette violence polique »
J'attends encore le Monde qui paraitra dans l'après midi. J'ai déjà quelques collectors #ParisAttacks du jour, dont l'Humanité et cet excellent entretien de Laurence Blisson, Secrétaire générale du Syndicat #FdG de la magistrature.
Nous sommes quelques uns à avoir déjà beaucoup rit à ces sujets, ou à avoir proposé des mesures d'exception et radicales pour étouffer jusqu'aux apprentis et graines de djihadistes. La « résistance » qui veille au respect des droits de l'Homme du terroriste s'organisait, elle aussi
ACTUALITE > Flash Actu
Attentats: l'un des terroristes du Bataclan faisait l'objet d'un mandat d'arrêt international
Par Lefigaro.fr avec Reuters
Mis à jour le 16/11/2015 à 10:39
Publié le 16/11/2015 à 10:10
L'un des assaillants du Bataclan, né à Paris en 1987, faisait l'objet d'un mandat d'arrêt international après violation de son contrôle judiciaire en 2013, a annoncé le procureur de Paris.
Il s'agit de Samy Amimour, originaire de Drancy (Seine-Saint-Denis). "Il est connu de la justice anti-terroriste pour avoir été mis en examen le 19 octobre 2012 pour association de malfaiteurs terroriste (projet de départ avorté vers le Yémen) et placé sous contrôle judiciaire", indique le parquet.
L'Humanité n° 21798 du lundi 16 novembre
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#fusillades à Paris
#fusillade Attentats à Paris: une centaine de morts au Bataclan (sources policières) #AFP
— Agence France-Presse (@afpfr) 14 Novembre 2015
On a bien fait de défiler avec des crayons en janvier.
Ils font moins les malins les terroristes maintenant, hein ?
#Fusillade
— centurion Plindastنs (@Mad_______Max) 13 Novembre 2015
Les 7 pts d'attaque selon #AFP: SDF, bataclan, bd Voltaire, coin rue Bichat/rue Alibert, av. de la République, bd Beaumarchais; rue Charonne
— Jeremy Marot (@JeremyMarot) 13 Novembre 2015
Scellés détruits dans l'affaire Borrel : la même justice pour tous ?
On m'avait dit que c'était normal, fréquent, habituel, que passé un certain temps, les tribunaux finissaient par égarer ou même par détruire ces affaires, les scellés... « C'est une tentative d'assassinat du dossier qui pourrait compromettre la condamnation des auteurs », a estimé la veuve du magistrat ? Puis qu'il fallait alors engager un recours contre l'Etat ou s'en accomomder. La « justice » étant la même pour tous en France, elle finira un jour par tenter d'infliger un « traitement psychiatrique » à la veuve Borrel également, dans le but de la faire taire, ou pour l'aider, pour l'aider à tourner la page ? Ces « soins », je les refusais, et libre depuis, je proteste ou rigole encore.
Dans l'affaire Borrel, nous retiendrons qu'il a pu s'agir d'un suicide. Le magistrat s'était-il immolé tout seul en contrebas de sa voiture ? Dans l'une de mes diverses affaires, mi 2008, la justice semblait avoir détruit un dossier médical, l'essentiel du dossier, suite à un décès suspect, en milieu hospitalier. Plus de scellés, fin des procédures
Scellés détruits dans l'affaire Borrel: Taubira ordonne une enquête
Par Lefigaro.fr avec AFP
Mis à jour le 12/11/2015 à 13:12 Publié le 12/11/2015 à 13:02
La garde des Sceaux Christiane Taubira a ordonné aujourd'hui qu'"une inspection" soit diligentée après la destruction de scellés dans l'enquête sur l'assassinat du magistrat français Bernard Borrel, retrouvé mort près de Djibouti en 1995. La ministre de la Justice "a immédiatement saisi l'Inspection générale des services judiciaires" et "prendra les décisions qui s'imposent au vu des conclusions de cette inspection", selon le communiqué de la Chancellerie.
Suisse : « Christine Bussat a des fourmis dans les jambes »
Je n'avais pas connaissance de cet article du Temps, daté du 6 courant. Je n'avais remarqué que quelques cris, le week-en passé, sur Twitter, ainsi qu'une communication du PBD (Suisse). Il semblerait donc que le Parti Bourgeois et Démocratique ou le PBD avait déjà pris du plomb dans une aile. Plus loin, sur la toile, dans un billet de ce 11 novembre, nous lisons maintenant : « Christine Bussat et le PBD savent-ils où ils mettent les pieds ? » Au cours de ce week-end, j'avais eu un sentiment assez similaire. La Suisse aurait-elle découvert récemment seulement les anti-#masculinistes, tout de leurs discours et de leurs procédés, ainsi que les effets de leurs pressions ?
Conflits familiaux
Christine Bussat cherche une nouvelle raison de marcher
Laure Lugon Zugravu, le Temps
Publié vendredi 6 novembre 2015 à 16:24, modifié vendredi 6 novembre 2015 à 17:09.
La fondatrice de Marche blanche défend maintenant l’égalité parentale. Attaquée par les mouvements féministes et accueillie diversement par les associations de pères, elle recule sous la pression
Christine Bussat a des fourmis dans les jambes. La passionaria de Marche Blanche, qui a remporté l’initiative contre les pédophiles mais vient d’échouer au Conseil national, n’apprécie pas l’immobilité. Restait à trouver une nouvelle cause à défendre. La Vaudoise, qualifiée par le journal alémanique Blick de «femme de conviction», n’en manque pas. Aussi vient-elle d’opter pour une Marche nationale pour l’égalité parentale. Au motif personnel d’avoir souffert, enfant, de l’absence de son père suite au divorce de ses parents.
Elle a donc approché les associations de défense des papas qui font de ce thème leur combat. Puis elle a pris les devants en annonçant à Nyon Région Télévision sa décision d’organiser cette marche. Pétition à l’appui, celle-ci réclamerait la garde partagée par défaut, la médiation ordonnée en cas de divorce, la refonte des questions fiscales sur la pension alimentaire et des sanctions à l’égard du parent non respectueux du droit de garde de l’ex conjoint.
Quelques jours plus tard, pourtant, le bel enthousiasme a cédé la place au découragement. La suite sur le Temps...
Le cas Dieudonné arrive devant la justice européenne
J'apprends qu'il pourrait suivre encore quelques décisions relatives à la liberté d'expression. Et que nous reparlerons encore de Faurisson (l'authentique). Pour le moment, je n'ai pas reçu de réponse de la part de l'ordre des avocats de Metz, je leurs ai fait parvenir trois questions, le mois dernier, par l'intermédiaire d'une lettre ouverte à Taubira et à Macron. Je vais encore attendre quelques temps, puis s'il ne me parvient aucune réponse de la part de Metz, j'y écrirais à nouveau.
Un recours tout là haut, contre ce pays, j'y avais moi-même bien songé. Dans cet objectif, j'avais d'ailleurs fréquemment épuisé les voies de recours. Dans mes affaires, il me semble que la France a violé, sodomisé et déchiqueté plus d'un article de la Convention Européenne des Droits de l'Homme, de la CIDE aussi. Dès mi 2005, je remarquais que la cour d'appel de Versailles plagiait un arrêt de la CEDH, Kutzner contre Allemagne (Allemagne condamnée)... J'écris ceci alors que je dispose, entre autres, de nombreux papiers que m'ont rendu des prétoires français au cours des années passées. En 2010, et alors que je n'en avais pas encore fini avec toutes ces procédures et leurs suites, je publiais La Moldavie française, ébauche de définition. La procédure récente, à Metz, sur près d'un an, s'inscrivait en prolongement.
« On a besoin de preuves quand on affirme des trucs pareils, et puis des preuves, ça s’interprète ! », rétorquerait Faurisson (l'authentique, comme d'autres). En général, quand je présente mes papiers truffés de noms, dont des noms de notables et de hauts magistrats, « car s'il est une tradition que nous enseigne la Bible, c'est celle de nommer », les gens qui y comprennent quelque chose finissent tous par se taire. « Vous êtes beaucoup trop dur et trop sûr de vous, on attend de lire le prochain jugement et ce qu'en aura pensé le tribunal ! », m'ont parfois répondu des journalistes. Parmi mes papiers les plus affligeants, figurent deux arrêts de la cour de cassation ; au final, tout d'un travail sur plus de quinze ans a été ignoré ou a quasi toujours trop fichu la trouille. Le délibéré que m'a rendu Metz, récemment, je ne l'ai même plus présenté à des journalistes ; à quoi bon perdre encore du temps à présenter des développements qui font paniquer ?
Trop dur, trop sûr ? Dès mai 2014, et au vu de sa requête, je m'étais fixé pour objectif de faire souffrir en retour, de faire punir Cédric Giancecchi ; j'avais vite opté encore pour une sorte de défense offensive en rupture, puis plus fine, incisive et modérée, ça paye. Puis je n'ai pas lâché le morceau, Tiffany Franchini qui a brièvement succédé à Cédric Giancecchi a pu le percevoir. Dans le cadre de cette ultime procédure, j'avais l'intention d'épuiser également les voies de recours ; façon pitbull... La requérante a donc été déboutée par le petit juge, le JAF, et je crois que c'est déjà fini. J'aurais pu faire appel, pour mordre encore des avocats, voire des juges aussi ; c'est coriace, les juges, mais ça peut se croquer également. Je n'ai pas fait appel, je n'ai pas souhaité produire plus de jurisprudence - dont tout le monde se fout, de toute façon, ou l'on m'aurait depuis très longtemps déjà demandé des explications, quelques précisions. Tout le monde s'en fout ; mais il est aussi possible que dans mon blog, au contenu explicite, tout est déjà assez bien détaillé pour ceux qui me lisent ?
L'appel, suite à Metz, j'y ai renoncé, et il me semble que la requérante et son conseil y ont renoncé également. Je n'ai pas de nouvelles. Un recours à la CEDH, j'y ai renoncé aussi. La CEDH, ça n'aurait produit qu'encore un peu de papier dont je n'ai pas l'utilité. Plus de papier, ainsi qu'un arrêt CEDH KANT c/France aurait pu être utile aux Français ? Que les Français fassent appel, tout ça, pendant des années, puis qu'ils aillent eux-même à la CEDH ; je me suis assez promené dans ces maisons rendent fou. Qu'ils aillent à la CEDH, c'est facile, c'est tout là haut, après avoir esté, curé, débourré et résisté intelligemment durant des années. S'ils ne savent pas se rendre tout là haut, des avocats pourront les éclairer et les accompagner. Ca m'aurait coûté très cher, je ne bénéficie pas de l'aide juridictionnelle ou de quarante avocats qui viendraient s'époumoner auprès de la Cour et pour les chroniqueurs... Ca m'aurait coûté très cher, ainsi que beaucoup d'énergie et de temps, sur des années encore ; j'ai beaucoup mieux à faire que de gaspiller mes ressources.
La CEDH et les « placements abusifs », on vient de nous en reparler. Selon le progrès du 30 octobre, « la France est pointée du doigt » et un gros bruit va suivre. La feuille, dans son ensemble, repérée via AFPSSU, m'a déjà fait bien rire et repenser à mai 2013, lorsque je revoyais Nanterre dans le Parisien.
France - Société
Le cas Dieudonné arrive devant la justice européenne
Bien Public, actualités, le 09/11/2015 à 08:31
La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) juge à partir d’aujourd’hui Dieudonné, qui a saisi cette juridiction pour contester une condamnation à son encontre : une amende de 10 000 euros pour des injures à caractère raciste.
Habitué des prétoires en France, le cas du polémiste Dieudonné s’invite pour la première fois demain devant la justice européenne.
Les juges de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) devront dire si la condamnation à 10 000 euros d’amende pour des injures à caractère raciste a porté atteinte à la liberté d’expression de Dieudonné M’Bala M’Bala. Le polémiste avait été condamné pour son spectacle du 26 décembre 2008 au Zénith de Paris. Ce soir-là, il avait convié sur scène le négationniste Robert Faurisson, l’avait fait applaudir par le public et lui avait fait remettre un « prix de l’infréquentabilité » par un comparse déguisé en déporté juif.
Devant les tribunaux, Dieudonné s’était défendu en expliquant que « c’était très drôle » et que les spectateurs avaient ri. Mais la justice n’avait pas adhéré à cette analyse.
L’intéressé « a très largement excédé les limites admises du droit à l’humour », avait souligné le tribunal de grande instance de Paris en octobre 2009. « Le droit à l’humour connaît des limites, et spécialement le respect de la dignité de la personne humaine », avait renchéri la cour d’appel, en confirmant la peine en mars 2011. En saisissant la Cour européenne des droits de l’homme, Dieudonné conteste la base légale de la procédure à son encontre : il affirme avoir été condamné pour une mise en scène, ce que ne prévoit pas explicitement la loi de 1881 sur la liberté de la presse, en vertu de laquelle il a été poursuivi. Surtout, le polémiste soutient que sa condamnation a porté atteinte à sa liberté d’expression.
Dans les mois à venir, la CEDH aura d’autres occasions de se pencher sur le cas Dieudonné : le polémiste a déposé des requêtes contre l’interdiction par les autorités de trois de ses spectacles en janvier 2014, à Nantes, Orléans et Tours.
Le nouveau droit sur l’entretien de l’enfant entrera en vigueur en 2017
Cette petite note autour de ce qui se trame actuellement en Suisse va encore faire bondir... De mi 2014 à début 2015, auprès du JAF, l'un des bavards de Metz, très mal inspiré, avait imaginé qu'il m'infligerait une leçon de morale et de droit, dont sur les obligations d'un parent envers un enfant né hors mariage... La Suisse s'apprête à négocier prochainement un virage que la France avait entamé aux alentours de 1972, puis qu'elle prenait encore en 1993, ainsi qu'aux alentours de 2001. Ces droits et débats sont peut être des sujets nouveaux, méconnus ou inconnus du plus grand nombre.
Comme d'habitude maintenant, ici, je reste bref et concis, sibyllin. De toute façon, dans mon blog, il n'y a jamais eu de réactions intelligentes, ou que de rares. Les détails de mes tweets et notes à ces sujets, un peu d'archéologie juridique et de droit civil comparé, pas mal de #LOL aussi, finiront enfuis ou perdus aux archives de Twitter. Mais c'est courant.
En effet, dans d'autres blogs que le mien, il n'y a souvent qu'aucune ou peu de réactions également. Et il est bien connu que depuis longtemps déjà, les réactions (voire les injures et autres publications indignes) se dispersent et se perdent sur les réseaux dits sociaux. A propos d'injures et de diffamations, j'ai repéré le blog de Serge, un hébergeur anonyme, qui a lui même condensé quelques notes après la condamnation de Batman, le mois dernier.
Extraits utiles et comiques du blog de Serge, où je n'ai pas remarqué de commentaires : « Maitre Eolas est un avocat parisien qui est un acteur célèbre sur la toile, de façon anonyme. Il a un blog (qui contient le billet Blogueurs et Responsabilité Reloaded et le billet Que faire quand on reçoit un courrier d'avocat ?) et un compte twitter [NDLR : espace de « micro-blogging »] qu'il vient de fermer (à priori, il a 30 jours pour changer d'avis). ... La prescription est de 3 mois pour la diffamation ou injure. Les avocats de l'IPJ ont du donc du faire un acte tous les 3 mois pendant 4 ans, pour que les faits ne soient pas jugés prescrits. Dans de nombreuses affaires, les avocats, pas forcément au courant de ce fait, ont laissés passer les délais. Là, les avocats ont bien faits leur travail dans l’intérêt de leur client, ce qui a valu un procès sur le fond et non sur la forme. » Dans un billet de juillet, Serge insistait déjà : « Il est donc important, tant pour la défense (pour détecter les erreurs) que pour la demanderesse, de bien choisir un avocat fin connaisseur du sujet, qui va éviter de perdre toute chance d'entrée de jeu. » Toujours bien réfléchir, choisir et agir, mais qui ne le sait pas déjà ?
Le nouveau droit sur l’entretien de l’enfant entrera en vigueur en janvier 2017
De source Administration fédérale (.ch), news.admin
Berne, 04.11.2015 - En matière d’entretien, les enfants de parents non mariés seront bientôt placés à égalité avec les enfants de parents mariés. Le Conseil fédéral a fixé mercredi au 1er janvier 2017 l’entrée en vigueur des modifications pertinentes du code civil. Les dispositions légales réglant les mesures de garantie de l’avoir de prévoyance en cas de négligence de l’obligation d’entretien et l’ordonnance sur l’aide au recouvrement entreront en vigueur ultérieurement.
Le nouveau droit en matière d'entretien supprime la discrimination des enfants de parents non mariés par rapport aux enfants de parents mariés ou divorcés. Le droit en vigueur désavantage les enfants de parents non mariés. A l'avenir, le coût de la prise en charge de l'enfant sera pris en compte dans le calcul de la contribution d'entretien destinée à l'enfant.
Par ailleurs, l'entretien de l'enfant mineur aura la priorité sur les autres obligations d'entretien prévues par le droit de la famille. Enfin, les tribunaux seront tenus d'examiner la possibilité d'une garde alternée lorsque l'autorité parentale est assumée conjointement et que l'un des parents ou l'enfant le demande.
Harmonisation de l'aide au recouvrement et mesures de garantie de l'avoir de prévoyance en cas de négligence de l'obligation d'entretien : il faudra attendre
Dans le domaine du droit du divorce et de l'entretien de l'enfant, le législateur a attribué au Conseil fédéral la compétence de régler au niveau fédéral l'aide au recouvrement, afin de garantir qu'un enfant reçoive effectivement les contributions d'entretien qui lui reviennent. Le Conseil fédéral procédera à l'harmonisation de l'aide au recouvrement dans une ordonnance. Par ailleurs, une modification légale prévoit l'impossibilité d'obtenir le versement du capital de prévoyance tant que l'on n'a pas rempli son obligation d'entretien. Les services de recouvrement pourront signaler aux caisses de pension et aux institutions de libre passage les personnes qui se soustraient à cette obligation. De leur côté, les caisses de pension et les institutions de libre passage devront informer les services de recouvrement de tout versement imminent. L'introduction de ces obligations d'annonces croisées requiert l'élaboration de règles détaillées, qui figureront également dans l'ordonnance sur l'aide au recouvrement. La modification légale et l'ordonnance entreront en vigueur dans un deuxième temps, afin de ne pas retarder l'ensemble de la révision.
Deuxième volet d'une réforme plus vaste du code civil
La révision du droit de l'entretien de l'enfant a été adoptée par le Parlement le 20 mars 2015 ; le délai référendaire, qui courait jusqu'au 9 juillet, n'a pas été mis à profit. La révision constitue le deuxième volet d'une réforme plus vaste du code civil concernant la responsabilité parentale, axée sur le bien de l'enfant. Le premier volet, entré en vigueur le 1er juillet 2014, a modifié les règles de l'autorité parentale.
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Adresse pour l'envoi de questions:
David Rüetschi, Chef de l’unité Droit civil et procédure civile, Office fédéral de la justice, T +41 58 462 44 18
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Auteur:
Conseil fédéral
Internet: https://www.admin.ch/gov/fr/accueil.html
Département fédéral de justice et police
Internet: http://www.ejpd.admin.ch
Office fédéral de la justice
Internet: http://www.bj.admin.ch
Les avocats, le plaideur, et les menaces de mort
NDLR : Le bâtonnier de Melun d'abord déclaré mort par la presse irait maintenant beaucoup mieux. Ce soir, je me demandais ce que devenait Pascaline Saint-Arroman Petroff, une histoire qui avait également marquée la profession. En fouillant, vainement, j'ai repéré le blog de Rafaële Rivais, journaliste au Monde, d'où l'extrait à la suite.
13 janvier 2015, sosconso.blog.lemonde.fr, extrait
Les avocats, le plaideur, et les menaces de mort
L'histoire suivante démarre par un banal conflit de voisinage, lié à l'utilisation d'un vasistas dans les parties communes d'un immeuble de Clermont-Ferrand. Daniel X. veut qu'il soit ouvert, pour aérer. Ses voisins de palier le ferment, car il pleut à l'intérieur. Daniel leur fait donc un procès. Il les accuse au passage d'avoir frappé son père, invalide, et lui-même. Les voisins assurent n'y être pour rien : « Par l'oeilleton, nous l'avons vu se donner un coup dans un mur ».
Pour se défendre, ils font appel à une avocate trouvée dans l'annuaire, Me D., qui les représente avec succès en première instance, mais aussi en appel, où Daniel n'hésite pas à les conduire, et même ... en cassation. Après avoir perdu son procès, Daniel X. attaque d'autres voisins, notamment une vieille dame, qui, pour sa part, se plaint qu'il lui a cassé ses lunettes et qu'il a versé de l'huile devant sa porte afin qu'elle glisse. Le bouche à oreille fonctionnant, tous ces voisins ont recours à la même avocate. Depuis onze ans, Me D. a donc plaidé en défense dans onze procédures. Daniel X lui en veut énormément.
Il assure que ses plaintes contre ses voisins sont classées sans suite « parce que Me D. est derrière » : en effet, « elle a des contacts avec les policiers, le parquet et les juges». Il pense aussi que c'est elle qui l'a fait « saquer » au concours d'entrée de l'école du barreau... La suite sur sosconso.blog.lemonde.fr
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