Mot(s) clef: Lise
Une lettre à Macron, le Président, de la République Française
Je viens d'expédier un RAR pour EDM, Ministre de la justice, le parquet, ce « bienfaiteur », qui n'en fera rien, ou cherchera à me faire poursuivre et condamner ? A défaut, il me tombera dessus, encore très lourdement, à la première opportunité.
J'envoie un e-RAR à Macron également, à l'Elysée. Pour voir. L'effet que ça va produire. Par le passé, ces sphères me renvoyaient systématiquement vers les tribunaux, particulièrement Nanterre, pour m'y débrouiller tout seul. « Gnagnana et blabla usuel, indépendance, affaire en cours, d'ordre privé », tout cela, « débrouillez vous, avec nos fabuleux tribunaux ! »
Enfin, j'essaye d'envoyer, ce que propose la Poste à ces fins me semble être un peu limité, poussif dès qu'on y ajoute plus de quelques pages, ça coince. Dans les prochains jours, les services à Macron pourraient avoir à lire ce qui suit.
La même lettre, au format PDF, pour l'enregistrer ou pour l'imprimer, est ici, 4 pages. Je proteste, tout le monde protesterait ? Protesterait encore après 6 mois de tels traitements ? Passées 10 années de tels traitements ? J'ai protesté, durant des années, une offense, pour les juges de Nanterre et de Versailles... Les gens vont juste faire « oups » et « c'est pas du tout possible, la gamine avait un #avocat et des #educspé pour s'assurer du meilleur pour elle ! »
Ah, sinon, pardon, désolé ou presque, pour les quelques outrances et railleries, ici, comme dans ma lettre à Macron
Bruno KANT
94260 FRENES
http://justice.cloppy.net
Palais de l'Elysée
55 Rue du Faubourg Saint-Honoré
75008 Paris
Monsieur le Président, de la République Française,
Récemment, vous dénonciez les "meurtres d'Etat" commis par les pays appliquant toujours la peine capitale, une peine qui est "l'apanage des dictatures", selon Monsieur Robert Badinter, qui était à vos côtés.
"Il faudrait continuer à avoir un rayonnement international pour que cet assassinat légal, qui est source d'erreurs judiciaires qui sont irréversibles, puisse disparaître de notre monde", ajoutait par ailleurs Maître Georges Catala.
Par le passé, je me suis fréquemment manifesté, y compris en écrivant à vos prédécesseurs, Messieurs Jacques Chirac, puis Nicolas Sarkozy, me plaignant beaucoup de la situation de ma fille ainée, née en 1993, "placée", et du traitement infligé à ma famille, notamment dans des tribunaux, toujours et systématiquement à huis-clos, dans l'ombre et sous les ors de la justice. Ou encore du traitement infligé à ma fille ainée lorsqu'elle était "placée" dans une MECS de l'Oeuvre de Secours aux Enfants, à Taverny (95), de fin 2003 jusqu'à l'automne ou l'hiver 2005.
Il se serait agi d'une "mesure d'assistance éducative" dont mon ainée aurait "bénéficié". Mais dès 2004, après des menaces orales, fin 2002, menaces suivies d'intrusions dans notre vie familiale et privée, en 2003, je commençais à parler d'une tentative de rapt. Dès fin 2004, il y a eu inscription de mon ainée au fichier des mineurs disparus, des recherches de mon ainée avaient dû être faites par les autorités. Puis en 2005, je parlais d'un rapt de mineur, ce dont je n'hésite pas à parler encore aujourd'hui. Le cabinet du juge pour enfant, à Nanterre (92), en charge de cette affaire fonctionnait d'une façon pour le moins curieuse, et l'appel, réputé illusoire lorsque les décisions sont assorties de l'exécution provisoire, ne fonctionnait pas davantage ou mieux, ce que m'a confirmé la cour de cassation, fin 2010 (arrêt civ. 1, 20 octobre 2010, 09-68.141, puis dans une autre affaire, mais encore la cour d'appel de Versailles (78), arrêt civ. 1, 28 mars 2013, 11-28.301). Elle aurait été "aidée" ou "sauvée", mais ma fille ainée a ainsi été "prélevée" dans ma famille, "offerte" à des tiers, avec l’aveuglement, le concours ou la bénédiction des autorités...
Ma fille ainée avait perdu sa mère en 1999, décédée dans des conditions suspectes, aux urgences, à Saint-Avold (57). Souffrant d'intenses douleurs, puis même d’une rectorragie, sa mère y avait été admise en fin de journée, puis simplement placée sous antalgiques. Elle est y morte le lendemain, au petit matin; ses examens médicaux y avaient été reportés. Une ordonnance de non-lieu du 28 février 2002 rendue à Sarreguemines (57) tend à renseigner, dont sur d'éventuelles insuffisances ou carences lors de cette hospitalisation. J'avais ensuite engagé un recours contre l'Etat, pour un peu plus de lumière, voire même pour apporter des éléments nouveaux au pénal, après analyses et expertises supplémentaires. Mais à l'été 2008, j'apprenais que la justice avait perdu ou détruit ce dossier médical; l'affaire s'est ensuite évidemment éteinte.
Je ne m'étend pas sur les difficultés que j'avais très longuement rencontré, sur des années également, dans le cadre de successions, de la mère ainsi que du grand-père maternel de mon ainée. Des difficultés avec une étude de notaire, en Moselle (57), celle de Maître Charles Halter, des difficultés également avec une banque, la Caisse d'Epargne de lorraine (57), et ce malgré le concours du juge des tutelles, mais sans le soutien du parquet, tandis que je restais pourtant administrateur légal des biens de mon ainée.
Par les effets de la "mesure de protection" telle que infligée par le tribunal de Nanterre et approuvée par la cour d'appel de Versailles, ma fille ainée a finalement perdu son père, sa petite soeur (demie soeur, née en 2003), en tous cas, mon ainée a perdu toutes relations avec ce qu'était sa famille naturelle. Ce même si, en 2005, la cour d'appel de Versailles estimait elle-même que pour son équilibre, mon ainée devait conserver des relations aussi bien avec sa famille maternelle que paternelle. Et même si en 2006, cette cour d'appel estimait encore que ma famille (je suis ingénieur) pouvait être "suffisante" pour l'épanouissement de mon ainée, notamment du fait de la présence de sa belle-mère (auteure et metteur en scène) ainsi que de ma cadette (sa demie-soeur). Mon ainée avait ensuite également été "orientée" puis déscolarisée vers ses 17 ans, comme nombre d'enfants "sous protection"... un échec encore.
Les conséquences pour ma cadette avait été purement et simplement ignorées par les juges. Elle s'était elle-même fréquemment plainte de la disparition, de l'absence de sa grande soeur, que ces "professionnels", quel dur métier, prétendaient "sauver".
Pendant toute la période de "placement" de mon ainée, il m'était régulièrement reproché de m'exprimer publiquement (forum du Monde, blog, articles de presse, reportages à la télévision). Il m'était également systématiquement reproché d'utiliser des voies nécessaires autant que parfaitement légales (appel, sommations de juger, référé, ...) pour tenter de m'opposer au rapt et à la séquestration, à la disparition forcée de mon ainée. Je n'ai jamais été condamné, ni pour le moindre de mes écrits, discours et publications, jamais non plus on ne m'a reproché un abus de droit, en tous cas, pas ailleurs qu'à l'ombre ou dans la pénombre, dans le noir total du cabinet du juge pour enfant de Nanterre et en chambre du conseil, à Versailles...
Au printemps 2013, sous la présidence de Monsieur François hollande, c’est-à-dire bien après la majorité de mon ainée, me plaignant encore de ce qui nous avait été infligé, à mon ainée, ainsi que à ma famille, probablement au prétexte que j'aurais alors troublé l'ordre public, ou encore trop dérogé à la loi du silence, j'ai fini longuement enfermé, en service psychiatrique. J'y ai subi des pressions durant 5 semaines de détention arbitraire, une séquestration, les psychiatres souhaitant alors tous m'imposer un traitement pour que je me taise. L'accès au juge des libertés et de la détention ainsi que à la cour d'appel de Paris pour m'en extraire était inopérant; j'ai fini libéré, mais dans les faits, à la simple discrétion, non des juges, mais des psychiatres!
Avez-vous une opinion sur ce genre de pratiques et de séquestrations, séquestrations qui sont au chapitre des atteintes aux libertés de la personne (articles 224-1 à 224-5-2 du code pénal), pratiques prétendument légales et morales, mais sans jamais le moindre recours effectif, pratiques usant aussi de pressions et de menaces, sur des années, 10 ans, pour faire plier et taire? Ou encore, avez-vous un avis sur la Convention internationale pour la protection de toutes les personnes contre les disparitions forcées, New York, 20 décembre 2006, transposée dans le droit interne en 2013, au chapitre des atteintes à la personne (articles 221-12 à 221-17 du code pénal)?
Je vous prie de croire, Monsieur le Président, de la République Française, en mes cordiales salutations.
PJ:
1/ une correspondance de Monsieur Robert Badinter, du 5 décembre 2005
2/ une correspondance, un extrait, d'un expert missionné par le tribunal administratif de Strasbourg (67), de juin 2008, avait suivi une décision du tribunal, vers aout 2008
3/ une copie grossière de mon blog, http://justice.cloppy.net, à la date du 10 courant; pour une meilleure lisibilité, plus de détails, des images, textes et des liens, simplement visiter mon blog
PS1 : je suppose que par les effets de la loi du 27 février 2017 qui venait allonger les délais en matière délictuelle et criminelle, le rapt suivi de la séquestration de mon ainée, puis ma séquestration au printemps 2013, en psychiatrie, ne seront pas prescrits avant plusieurs années.
PS2: et car ce pourrait encore être d'usage lorsqu'on vous écrit, il est inutile de solliciter un préfet pour qu'on m'envoie une assistante ou travailleuse sociale. Ma porte restera close. Mes deux filles étant majeures, il ne sera pas utile non plus que quiconque s'inquiète pour elles, ni envisage une" mesure de protection" à leur "profit", puis de me répondre ensuite lapidairement à huis-clos ou dans un bureau, comme par ces années passées, de 2003 à 2013.
PJ 1
PJ 2
N'importe quoi, la e-Poste, mais il est possible que ça arrive à destination
« Comprenant cependant bien vos inquiétudes, et vos interrogations, nous sommes au regret »
« Le village des enfants placés », encore de la #propagande
Depuis quelques semaines maintenant, je réfléchis à déposer une plainte au pénal. Ma fille ainée avait été « sauvée », « placé », prélevée dans ma famille, donnée à des tiers qui réclamaient sa garde – mais aussi plus que cela. Nous avions deux enfants, ma cadette a perdu sa grande soeur... Des travailleurs sociaux ainsi qu'un magistrat avec le soutien du parquet s'étaient obstinés, avaient bricolé pour que mon ainée disparaisse.
Dès l’été 2005, je parlais d’un rapt de mineur, d’un enlèvement ; ma démarche était alors peut être maladroite, mais mon exposé d'alors ainsi que les faits étaient déjà explicites. Je ne pourrais malheureusement pas porter plainte au motif de disparition forcée, l’article 221-12 du code pénal, ce texte n’ayant été créée que en août 2013 ; mais peu importe. « Elèvement et séquestration de mineur, par ruse et avec usage de violences » devrait faire l’affaire. Cependant, et tandis que j'ai tout mon temps, à l'occasion, je lirais ce qu'il s'est dit aux alentours de New York, en 2006 :
Après le documentaire sur Vercheny, dès les premières minutes, la propagande en faveur de la fondation Action Enfance et de leur village à bar-le-Duc, ainsi qu'en faveur de nos autorités me fait encore bondir :
Le village des enfants placés
De source My TF1, le 03 octobre 2021, avec un replay disponible 30 jours
Ils ont entre six et onze ans et des parents qui ne peuvent plus les prendre en charge. Un juge a décidé de les placer dans un pavillon d'accueil où ils vivent tous ensemble un peu comme une famille. Quatre éducateurs se relaient 24 heures sur 24. Tous habitent l'une des neuf maisons du village de la fondation Action Enfance, financée à 80% par le Conseil départemental et à 20% par des dons privés. Cette structure a été créée pour qu'à la douleur du placement ne s'ajoute pas la séparation avec un frère ou une sœur. Là-bas, on essaie de reconstruire ces enfants cabossés par la vie et de retisser le lien avec leurs parents quand c'est encore possible. À la sortie des classes, ce sont donc les éducateurs qui viennent chercher les enfants à l'école publique de Bar-le-Duc. Arrivés il y a un an et demi, Mathis et son grand frère Cameron peinent encore à s'acclimater. Leurs parents, marginaux et sans ressources, n'ont plus qu'un droit de visite très limité. Maëlys, elle, est orpheline. Elle vit au village depuis ses quatre ans et n'en partira qu'une fois majeure. Charlène, Timéo et la petite Maëlys, eux, sont arrivés il y a trois ans. Leurs parents ont été jugés inaptes à s'occuper d'eux, mais aujourd'hui, ils affirment avoir changé.
Cet extrait vidéo est issu du replay de Sept à Huit life, émission d’information et de reportages hebdomadaire diffusée sur TF1 et présentée par Harry Roselmack. 7 à 8 propose 3 à 4 reportages sur l’actualité du moment&nbp;: politique, faits divers, société ou encore évènements internationaux.
« Placés pour une durée indéterminée, privés de leurs parents, ils ont dû quitter leur maison, leur école, pour venir au village… » « A midi, il était déjà énervé… il a régulièrement des problèmes de comportements… à six ans, T. a des troubles de l’attention, et du mal à s’exprimer… sa sœur jumelle M. accuse elle aussi d’importants retards de langage… retirés de leur famille à l’âge de deux ans, ils ont d’abord été placés à la pouponnière… avant d’arriver au village, un an plus tard… quand Nora a accueilli les jumeaux, ils étaient incapables, à trois ans, de prononcer le moindre mot… » Des enfants brisés, même pas propres, arrivés donc de la pouponnière, en couches ? « Avec ses collègues, elle a dû s’armer de patience, et tout reprendre à zéro ». Formidables métiers, que ceux de torcheurs, d'atèles et de remodeleurs d'enfants.
Des parents par contre cassés, décrétés défaillants ou débiles par un juge, un employé de bureau, des parents beaucoup trop cabossés, définitivement très carencés ou extrêmement indignes. Mais les marginaux et sans ressources pourraient donc toujours espérer quelques points rencontres. Fourniret et Monique avaient été déchus de leurs droits sur leur fils. Au printemps 2010, j'avais suggéré au juge des enfants de Nanterre de me déchoir enfin, moi également : « A l'occasion, vous pourriez envisager de me déchoir pour ne plus m'accorder qu'un simple droit très occasionnel et approximatif de surveillance sur ma fille aînée, ce serait plus conforme à ce que je peux encore exercer - car j'apprécierais aussi, parfois, un peu plus de franchise, d'honnêteté et de sincérité de la part de la magistrature de ce pays. »
Dans les faits, passé l'été 2005, je n'allais plus jamais être informé autrement que de façon tardive, approximative et parcellaire aux audiences, aux audiences lorsque j'en provoquais. J'étais déchu dans les faits de l'autorité parentale, dès 2004 même, plus jamais je n'allais être consulté ni d'ailleurs être informé décemment lorsque je ne sais qui dont Richard Josefsberg, directeur d'une MECS à Taverny, et puis le pasteur d'Uhrwiller prenaient des décisions importantes pour l'éducation ou la vie et l'avenir de mon ainée. Je finissais déchu, comme un Fourniret et une Monique, tandis que certains avec qui j'en discutait pouvaient considérer que « c'était ainsi normal, légitime ; il n'y a pas de fumée sans feu. » Les apparences étaient évidentes pour tous, et ça pouvait suffire : mon ainée était « placée, sur décision de justice. » « Oui, c'était effectivement cruel, mais absolument nécessaire », pourrait ici ajouter tout un troupeau de magistrats et le parquet.
Pour moi, la réalité était différente. Il fallait protéger l'OSE France et leur MECS, puis même des magistrats, dont Anne Valentini, partiale, puis de façon plus limpide encore Xavier Serrier, franchement surpris à partie, en 2008... il fallait aussi soutenir et réconforter le pasteur d'Hurwiller ou les époux Clementz, ces prétendus « garants de la relation père-enfant » et « tiers dignes de confiance », les pauvres, je troublais de trop comme trop fréquemment leur tranquillité, même après une interdiction stricte infligée par Nanterre puis validée par la cour d'appel de Versailles. Peu allait importer pour ces gens les conséquences et préjudices pour les membres de ma famille, et même les préjudices pour mon ainée qu'ils prétendaient ainsi « assister, aider, sauver, préserver » de ma personne, son père, alors que cette gamine avait déjà perdu sa mère, en 1999, dans des conditions suspectes et qui relevaient déjà de la non assistance à personne en danger.
Je profite de ce billet pour noter ce qu'est le secret professionnel ou le sacrement de pénitence, pour l'Eglise :
Edit... pour ajouter et noter, garder trace d'un petit mot du Vatican : « Je désire exprimer aux victimes ma tristesse, ma douleur pour les traumatismes subis, et aussi ma honte, notre honte, ma honte pour une trop longue incapacité de l’Eglise à les mettre au centre de ses préoccupations. Je prie, et prions tous ensemble, à toi Seigneur, la gloire, à nous, la honte. C’est le moment de la honte. »
Ce soir à la télé, encore le merveilleux de l'assistance éducative
Après le documentaire sur Vercheny, où le placement est toujours « transitoire », jamais provisoire, on nous annonce un ultime beau reportage sur un nouveau village, à Bar-le-Duc. « Ne loupez pas l’immersion de @7a8 ». Je continue à suivre un peu ces actualités, et souvent, j'en ris, surtout lorsque des histoires d'il y a 15 à 20 ans paraissent se répéter.
Voir aussi Une main courante, un document « confidentiel »... Qui va éclairer, sur ce qu'était le prétendu « harcèlement » de la MECS du chateau de Vaucelles, un des motifs retenu par les magistrats, pour « sauver » ma fille ainée. Extrait de mon vieux billet #DoublePeine : « Par le passé, la plupart du temps, on me refusait des dépôts de plaintes. Occasionnellement, la police ou la gendarmerie acceptait que je puisse déposer des mains courantes. Au commissariat de Taverny, c'était un peu moins vrai. En effet, au fil du temps, mes relations avec ces équipes là ont été de plus en plus tendues. Je suppose que ce poste là était un peu trop proche du château de Vaucelles, je l'avais bien perçu, fin décembre 2004. Mais à Taverny, un jour, tout en me chassant, on m'avait quand même suggéré d'aller déposer ma main courante dans la ville d'à côté. » Des travailleurs sociaux protégées par leurs propres rapports, par les flics, par les juges également, durablement, une protection systémique, institutionnalisée, « dans l’intérêt de l'enfant », prétendront-ils en coeur
Pour en rire plus, lire également l'arrêt CEDH de février 2002 Kutzner contre Allemagne (Requête no 46544/99), extraits : « les deux filles furent à plusieurs reprises examinées par des médecins ; sur les conseils de l’un d’entre eux et à l’initiative des requérants, les deux filles bénéficiaient de mesures d’assistance et de soutien pédagogiques dès leur plus jeune âge. [...] En effet, il apparaît que les enfants ont bénéficié, dès leur plus jeune âge, à la demande d’ailleurs des requérants, de mesures de soutien pédagogiques, et que la situation s’est envenimée en raison notamment de relations conflictuelles entre les requérants et une assistante sociale qui fit un rapport très négatif auprès de l’Office pour la jeunesse d’Osnabrück. [...] il y a eu violation de l’article 8 de la Convention. » Un arrêt de très bientôt 20 ans.
Au foyer le Moulin Vert de Jambville (78), « Violences permanentes au vu et au su de tout le monde » ai-je lu, ce mois d’août, sur actu.fr… « Le juge des enfants, bien que l’enquête initiale n’a rien révélé d’inquiétant, décide de maintenir le placement de la fratrie. « Une simple assistance éducative aurait suffi », estime maître Claude Deboosere Lepidi, l’avocat des parents. Depuis le placement, les parents bénéficient d’un droit de visite régulier. C’est en l’exerçant que naîtront les premiers soupçons de maltraitance au sein du foyer. […] « Selon les révélations de l’assistante sociale, les enfants faisaient l’objet de violences permanentes dans ce foyer d’accueil au vu et au su de tout le monde et lorsque les parents adressaient des photos des bleus et marques de violences qu’ils constataient sur les enfants, des rapports étaient immédiatement établis par les responsables du foyer pour stigmatiser le comportement des parents qui comble de cynisme, n’auraient pas pris la bonne mesure de la nécessité du placement », assène l’avocat… » Des enfants de 10, 7, 5 et 4 ans ; connaissant maintenant bien ces moeurs, je suis sûr que cette fratrie pourrait prochainement « bénéficier » d’un placement « durable », d'une « mesure de protection », dans une fabuleuse structure, telle que celles de Vercheny (26) ou de Bar-le-Duc (55) ; et nous verrons donc encore ce soir à la télé que ce serait sûrement idéal.
Le Conseil d'Etat valide la dissolution du CCIF et de BarakaCity
On a perdu Plenel ? Deux associations d'injustement opprimés ont été définitivement dissoutes et il ne nous en dit rien ? Il a choppé le covid, il est en réa ? Quelqu'un pour aller lui prendre sa température, ou en tous cas, s'assurer que tout va bien ? A l'évidence, mon Twitter est encore en panne, et il m'affichera quelques nouveaux résultats ces prochains jours.
Edit du 26 courant... Barakacity, je peux comprendre, il me semble que leurs avoirs, une somme, étaient et sont toujours gelés. Mais pourquoi le CCIF qui a fait ses valises pour la Belgique, je crois, a-t-il contesté son auto dissolution ? D'où sont ces derniers, j'imagine qu'ils pourront encore faire quasi la même chose, même tenter d'interpeller Gérald.
I Care a Lot
Une comédie/dramatique, de J Blakeson, de 2020 #Netflix « Marla Grayson est une tutrice renommée, spécialisée dans les personnes âgées fortunées. À leurs dépens, elle mène une vie de luxe. Mais sa prochaine victime s'avère avoir de dangereux secrets. Marla devra faire preuve d'intelligence et de ruse si elle veut rester en vie. »
Ca nous change de romans et docu-fictions consensuels. J'ai adoré le plongeon de Marla, puis la chute #NoSpoiler La contribution du magistrat ayant été parfaite : « vous dites, mais n'en apportez aucune preuve, repassez à l'occasion. »
Négligences, abus, escroqueries : les dérives des tutelles en France
Publié le 15/12/2017 19:29
Mis à jour le 18/12/2017 13:11, France Info, extrait
Selon le juge des tutelles à la retraite précédemment cité, il est facile pour un tuteur indélicat de détourner des biens : "Il suffit de ne pas les déclarer dans l’inventaire, explique le magistrat. Un jour, j'ai appris au bout de quinze mois qu'une personne sous tutelle avait des tableaux de maîtres. Le tuteur m'a expliqué qu'il ignorait leur existence. Imaginons qu'il ait vu ces Renoir et ces Picasso, c'était très tentant de ne pas les mettre dans l'inventaire." Les personnes sous tutelle n'ayant souvent pas de famille ou ne pouvant pas s'exprimer clairement, personne ne peut attester de la disparition de ces biens.
J'enchaine avec « SAS: Rise of the Black Swan ». Dès les premières secondes, ça nous cause de « psychopathes ». Encore des professionnels, du soin, du social, du soucis des autres ou de la justice ? « Tom Buckingham, tente de sauver 400 otages retenus par des criminels de guerre dans le tunnel sous la Manche » ? Des fictions, et de belles images.
Des nouvelles de l'ARSEA Alsace
Edit.... J'en arrive à me dire, comme plusieurs fois ces années passés, que la justice, dans ce pays, c'est un concept flou, tout à fait mou, une plaisanterie, une vrai fumisterie... Tu as les faveurs des autorités ou quelques bonnes relations ? Tu vas téléphoner et gagner à tous les coups, au pire, les magistrats te les arrangeront. En tous cas, Oswald Baudot nous expliquerait que tout n'est qu'une question de motivations, et que la loi dira ce que vous voudrez. « C'est excessif », diront les juges, tout un troupeau de JDE/JLD et de présidents de cours d'appels pourrait nous le lancer, « on ne se permet jamais cela ! » ; les magistrats du parquet ne seront pas loin pour nous menacer des pires sanctions pour avoir osé ce genre de discours ; ce serait à discuter également avec le doyen Carbonnier.
Vers 2004 à 2006, j'en étais arrivé à une conclusion : laisser pisser, et faire gesticuler les juges, en le documentant. Si les juges n'ont pas envie - arbitraire, comme au bas moyen âge, avec alors une « justice » rendue par un seigneur et son baron - on fini puni - « juste une carrière de bourreau », en disait Laurent Lèguevaque - et on fait avec. Je crois qu'il faut que j'ajoute qu'à l'époque, Charles Halter, notaire, allait vers la retraite. Vieillir, c'est déjà faire naufrage... Par contre, l'avocate du Parisien qui m'avait fait chier, ou encore les avocats de Metz, j'ai pas trop d'explications, ils étaient encore assez jeunes, ces trois là. A moins que certains grands talents ne vieillissent plus prématurément que d'autres.
Et pour ceux qui ne se douteraient de rien, ouais, j'ai des années d'expériences diverses derrière moi... avec même une petite de la courtoisie de hautes sphères, qui vous lâcheront tranquillement : « allez vous faire mieux conseiller. »
J'attends que le parquet de Chalons-sur Saône nous expose un jour mieux ce qu'il a à reprocher au LVA des Bruyères, à Frontenaud, ainsi que à X, maintenant également mis en cause. Pour des faits de maltraitance suffisamment graves pour boucler un lieu de vie, un centre équestre avec piscine. Mais je suppose que ça va suivre, d'ici quelques années. J'attendrais alors non de savoir ce qu'aura enfin trouvé Damien Savarzeix après des années d'investigations supplémentaires, mais de savoir plus exactement ce qu'il savait en octobre 2019, et qui motivait la rafle au LVA.
Par SudOuest.fr avec AFP
Publié le 15/02/2021 à 16h44, extrait
« Après examen des éléments de l'enquête préliminaire, le parquet du tribunal judiciaire de Chalon-sur-Saône a décidé, ce lundi, d'ouvrir une information judiciaire contre le directeur du centre Les Bruyères à Frontenaud (Jean-Claude Rossi, ndlr), et contre X, pour les chefs de violence sur mineurs et violence par personne ayant autorité », a indiqué Damien Savarzeix, procureur de la République. « L'enquête préliminaire s'est intéressée à toute la vie du centre sur une longue période », est-il précisé.
En fouillant cinq minutes pour voir ce qui avait encore pu paraitre au sujet d'autres foyers de la Ddass, j'ai trouvé des nouvelles « inattendues » de l'ARSEA Alsace. Selon de belles présentations et plaquettes de ces derniers, ainsi que pour les juges de Nanterre, de Strasbourg et de la cour d'appel de Versailles, il s'agissait de professionnels extrêmement bienveillants et bien traitants, on ne pouvait en douter - c'était interdit. Ceux là ainsi que avec le pasteur d'Uhrwiller s'étaient occupés de la « protection », du suivi, des relations familiales, de la santé ainsi que de la scolarité ou plutôt de « l'orientation » pour pas grand chose de ma fille ainée ; ils ont tout foiré. En mars 2011, à la cour d'appel de Versailles, je ne faisais plus que réclamer un constat d'échec de la part des juges, il a suivi ; j'avais alors fait grimacer le président, notamment en détaillant un peu ce que les travailleurs sociaux de l'OSE France comme ceux de l'ARSEA avaient ignoré de l'état de santé de ma fille... Je finissais par avoir des mots très durs, parlant de « gorets de l'ARSEA ou du social ». Le prétexte du COVID, du confinement, du télétravail et tout ce bazar n'allait arriver que des années plus tard :
Sur le front de l’aide à l’enfance
26 mars 2021 Par YVES FAUCOUP Blog : Social en question, extraits
Rue 89 Strasbourg qui en rend compte indique que l’éducateur, âgé d’une soixantaine d’années, aurait laissé, avant son passage à l’acte, un courriel adressé « à ses collègues et à sa hiérarchie en mettant en cause son travail ». La direction aurait incité les salariés à ne pas ébruiter ce drame. Le Président de l’ARSEA précise que l’éducateur évoque dans son texte la question « du confinement, explique que c’est compliqué de travailler à la maison. Il parle aussi de ses supérieurs hiérarchiques et il y a des critiques qui sont formulées. C’est ensuite à l’inspecteur du travail, ainsi qu’à nous, en interne, de faire la part des choses. C’est un service qui n’avait jamais fait parler de lui et nous n’étions au courant d’aucun dysfonctionnement particulier ».
[...] Évidemment, on ne sait ce qui peut conduite un tel professionnel à se résoudre à un tel geste, sur son lieu de travail (une enquête judiciaire et une autre de l’Inspection du travail ont été ordonnées). Ce que l’on sait pour le moment c’est qu’une centaine d’employés de l’association avait manifesté le 21 janvier pour dénoncer des conditions de travail insatisfaisantes.
J'ai découvert des articles de Marie Vaton, une journaliste du Nouvel Obs avec qui j'avais tenté d'entrer en contact par le passé, en vain. Quand quelque chose merde un peu dans un foyer, ou dans le cadre d'un suivi supposé « irréprochable », je crois qu'on s'en rend assez aisément compte. En tous cas, pour ce qui concerne l'ARSEA, ça semble avoir pas mal débordé, même par une fenêtre. Je ne peux pas tout lire, je ne suis pas abonné, et je ne vais pas approfondir :
Par Marie Vaton
Publié le 19 mars 2021 à 10h58 Mis à jour le 19 mars 2021 à 15h11, Nouvel Obs, extrait
Rue89 Strasbourg vient de révéler qu’un éducateur s’est défenestré sur son lieu de travail à Strasbourg le 8 mars. Il travaillait dans un service d’investigation éducative de l’ARSEA, une association qui gère des structures et des établissements dans la protection de l’enfance. Il y a un an, « L’Obs » révélait des maltraitances graves perpétrées par plusieurs éducateurs de cette même association envers des mineurs en grandes difficultés, accueillis dans deux centres éducatifs renforcés, dans un climat général de harcèlement et de brimades. A la suite de nos révélations, une information judiciaire avait été ouverte par le parquet de Colmar.
Publié le 18/03/2021 à 06h00, Article actualisé le 22/03/2021 à 16h01, Rue89, extrait
Un éducateur du service d'investigation éducative de l'association d'aide à l'enfance Arsea s'est défenestré de son lieu de travail dans la soirée du lundi 8 mars. La direction de l'Arsea a reçu une lettre avant l'acte tragique .
Par Marie Vaton
Publié le 06 mars 2020 à 15h10 Mis à jour le 09 mars 2020 à 11h12, Nouvel Obs, extrait
C’est ici que résident sept jeunes garçons, sept mineurs âgés de 13 à 17 ans, placés là par la justice pendant cinq mois en raison de leurs « grandes difficultés sociales et familiales » selon le site internet de l’association Arsea (1), habilitée à les prendre en charge. Certains sont des « incasables » comme on appelle souvent les jeunes « en rupture », si souvent placés et déplacés par l’Aide sociale à l’Enfance qu’ils ne parviennent plus à s’adapter aux foyers classiques. D’autres ont commis des infractions et des délits : violences, vols ou trafic de stups.
Il y a trente ans, on les aurait envoyés en « maison de redressement » ou en « maison de correction ». Mais les temps ont changé. Le projet du CER, lit-on sur le site, vise à leur donner « les moyens de se rencontrer pour retrouver du sens à leur vie, apprendre à se valoriser en dehors des comportements répréhensibles, intégrer des comportements sociau...
Par Marie Vaton
Publié le 29 avril 2020 à 12h02 Mis à jour le 11 mai 2020 à 10h17, Nouvel Obs, extrait
Depuis le confinement, personne n’est jamais venu sonner à la porte de Christelle et son mari, qui vivent dans le petit village du Hohwald. En plein cœur de la forêt vosgienne, à mille mètres d’altitude, il n’y a pas foule de livreurs. Surtout en fin d’après-midi, lorsque la nuit commence à tomber. Alors, quand Christelle a entendu le gong et qu’elle a vu, à sa porte, un jeune garçon, sac au dos et capuche sur la tête, elle a vite compris d’où il venait. A une centaine de mètres de là, une vaste bâtisse au toit rouge, le centre éducatif renforcé (CER) du Kreuzweg, héberge sept mineurs âgés de 13 à 17 ans, placés là par la justice pendant cinq mois pour des infractions et des délits, l’un des deux foyers dans lesquels « l’Obs » révélait, le 6 mars, de graves sévices et humiliations de la part de certains membres de l’équipe éducative.
Christelle, infirmière scolaire depuis douze ans, a l’habitude des « gamins placés ». Elle a tout de suite su qu’il venait d’en fuguer. Au téléphone, elle nous raconte qu’elle l’a fait rentrer : « Il nous a demandé qu’on le dépanne d’une cigarette, ou d’un peu de tabac à rouler mais nous ne fumons pas. » ...
Par ici, des nouvelles des Yvelines, datées du 9 Août. En théorie, par usage, et si les poulets ou le procureur acceptent la plainte, les magistrats de Versailles classent absolument tout et coupent les liens parents-enfants, pour mettre un terme :
Yvelines.
Jambville : ils dénoncent les maltraitances subies par leurs enfants, placés en foyer
Par Renaud Vilafranca
Publié le 9 Août 21 à 18:22, actu.fr, extrait
Depuis le placement, les parents bénéficient d’un droit de visite régulier. C’est en l’exerçant que naîtront les premiers soupçons de maltraitance au sein du foyer. Des marques suspectes sur le visage des enfants, « quasiment à chaque fois », les alerteront.
« Ils étaient couverts de poux. Des fois, leurs vêtements étaient déchirés, explique, horrifié, ce papa au comble du désespoir. En juillet 2020, un des jumeaux a eu la jambe cassée. Une autre fois, on l’a trouvé avec un œil au beurre noir, le nez tuméfié. Le personnel du foyer disait que les enfants étaient tombés ou qu’ils s’étaient fait mal en jouant et que de toute façon, cela ne nous regardait pas. » Des propos étayés par des photos et des vidéos, prises par les parents lors de visites.
Dans mes affaires à moi, je crois que tout était très clair, limpide, les relations finissaient toutes interdites, même lorsque plus tard réclamées par l'enfant, car ça avait trop fait chier déjà les travailleurs sociaux de l'OSE France. De l'arrêt du 20 octobre 2010, 09-68.141, publié au bulletin ; vers ces mêmes périodes, j'ajoutais ici un billet titré « Seig Versailles ! » :
ALORS QU'en refusant de prendre en considération le fait que Y... X... était en demande de voir rétablir des liens avec son père au prétexte qu'il s'agissait d'éléments postérieurs à la décision attaquée, la cour d'appel n'a pas tiré les conséquences légales de ses constatations et a ainsi violé les articles 561, 563 et 565 du code de procédure civile ;
ALORS QU'en ne prenant pas en considération le souhait de l'enfant de retourner vivre chez son père, la cour d'appel n'a pas tiré les conséquences légales de ses constatations et a ainsi violé les articles 561, 563 et 565 du code de procédure civile.
[...] ALORS QU'en statuant comme elle l'a fait sans caractériser, au jour où elle statuait, le danger qu'encourait Y... X... à retourner vivre dans sa famille naturelle, la Cour d'appel a privé sa décision de toute base légale au regard des articles 375 et 375-2 du code civil ;
[...] S'agissant de la suspension de tout droit d'hébergement, de visite, de sortie, de correspondance de quelque nature que ce soit, cette mesure rigoureuse était le seul moyen d'éviter que Y... et sa tante [NDLR: le pasteur d'Uhrwiller] ne soit déstabilisées et le placement de la mineure chez celle-ci mis à mal par le harcèlement dont M. X... a accablé la MECS du Château de Vaucelles ainsi que d'empêcher les pressions sur sa fille.
Les poux, les traces, et tout le reste ainsi que l'enfant lui même, c'est pas un soucis, l'intégralité fini par disparaitre. Les plus radicaux finiront par vous expliquer que rien n'a jamais existé, l'enfant qui était pourtant de votre famille non plus :
De cette autre époque encore, et de l'autre côté de la haie. On m'a assuré que les six chiens ont depuis été nourrit :
Septembre 2005, un coupon de presse du Parisien (qui savait donc),
« voisins (dont l'OSE France), services sociaux, justice (donc, les juges), tout le monde savait »
Des nouvelles de Me Michel Amas
Je ne suis plus ces histoires que de très loin. J'ai bien évidemment remarqué qu'une mère et quelques uns de ses « complices » ont été mis en cause pour l'exfiltration d'un enfant ; il y a 20 à 25 ans, c'était encore envisageable. Et que plus récemment, un père a été ennuyé après avoir pris l'initiative de disparaitre avec son enfant dont il n'a plus la garde.
« Il faut collaborer avec les services ! » Ne jamais contrarier personne, surtout pas la magistrature. Rien n'a changé ?
En tous cas, je constate que Me Michel Amas n'a pas progressé d'un iota depuis 2019 :
France - Monde / Justice
Ariège. Placements "abusifs": plainte déposée
Publié le 17/06/2021 à 10:45 , mis à jour à 13:18
La Dépêche, extrait
De leur côté, les deux parents ne demandent qu’une chose, pouvoir retrouver leurs enfants. Ils espèrent les accueillir durant les vacances scolaires qui approchent. Me Amas explique avoir sollicité, à plusieurs reprises, le juge des enfants de Foix, à l’origine du placement. "Je fais une demande tous les quinze jours. Je n’ai aucune réponse, même pas un courrier disant que ma requête est en cours de traitement", conclut l’avocat. Un silence pesant, difficile à comprendre pour les parents de ces deux jeunes garçons.
Enlèvement à Lannion. La garde à vue du père de Dewi est prolongée
Société / Faits divers / Alerte enlèvement
Ouest-France, Modifié le 01/08/2021 à 17h41, extrait
L’enfant, orphelin de mère, souffre de surdité et de difficultés de langage. Il était placé en famille d’accueil depuis le 17 juin, une situation que supportait difficilement son père. Cette mesure avait été décidée car « il avait mis en échec des tentatives d’accompagnement antérieures, ne collaborant pas à la mesure éducative et disparaissant sur de longues périodes avec le mineur, ainsi privé de soins adaptés et non scolarisé ».
Enlèvement de Mia : arrêtée en Suisse, la mère bientôt extradée
Le Point, source AFP, modifié le 22/04/2021 à 12h26, extrait
Arrêtée en Suisse dimanche, la mère de Mia, la fillette qui avait été enlevée en France, sera extradée ces prochains jours, ainsi qu'un autre ressortissant français qui l'a aidée, ont indiqué jeudi les autorités judiciaires suisses. « L'Office fédéral de la justice (OFJ) a autorisé ce jour l'extradition à la France des deux individus sur la base de leur consentement. Leur remise sera effectuée dans les prochains jours », a-t-il indiqué à l'Agence France-Presse.
« Les intéressés ont consenti le 21 avril 2021 à une extradition simplifiée lors d'une audition effectuée par le procureur du canton de Fribourg », a-t-il détaillé. La petite Mia, âgée de 8 ans, avait été enlevée le 13 avril, à la demande de sa mère, Lola Montemaggi, par plusieurs hommes alors qu'elle était hébergée chez sa grand-mère maternelle dans un village de l'est de la France. Sa mère n'avait plus le droit de la voir seule ni de lui parler au téléphone.
Du côté de nos brillantes lumières qui éclairent les magistrats, ces talents, les psychiatres, rien n'a changé non plus, aucun n'a relevé ni signalé le moindre risque ou l'éventuelle dangerosité de Emmanuel Abayisenga ? Des années se sont écoulées, ce sont nos boussoles, parfois un peu folles mais jamais responsables de rien, et on se marre toujours autant.
Opinions, Politique, edito
Meurtre d’un prêtre : la douleur et la colère
Le monde, à 12h20, mis à jour à 12h35, extrait
Depuis son arrivée à Nantes, en 2012, Emmanuel Abayisenga, catholique fervent, avait d’ailleurs bénéficié de la protection de toutes les structures de l’Eglise, sans que personne ne leur reproche d’enfreindre la loi. Les arrêtés de reconduite à la frontière qui l’avaient visé, annulés par le tribunal administratif ou faisant l’objet d’un recours en instance, ne permettaient pas son expulsion. A fortiori depuis qu’il était impliqué dans l’incendie de la cathédrale et attendait d’être jugé. Si faille il y a, c’est sans doute dans le suivi psychiatrique d’une personne manifestement gravement déséquilibrée.
Religion
Le pape François fait part de sa « douleur » après la mort du père Olivier Maire
Les faits, La Croix, le 11/08/2021 à 09:50 Modifié le 11/08/2021 à 12:12, extrait
Le pape François est revenu sur la mort du père Olivier Maire, provincial des montfortains assassiné lundi 9 août, lors de l’audience générale du mercredi 11 août au Vatican. Il a fait part de sa « douleur » et a assuré de sa « proximité spirituelle ».
Prêtre tué en Vendée : entretien avec Quentin Chabert, l'avocat de l'incendiaire de la cathédrale de Nantes
France 3, mis à jour le 11/08/2021 à 11h04, extrait
"Le profil psychiatrique est jaugé par des médecins, par des professionnels du droit, et les décisions sont prises dans le respect du droit et de la santé. Mon client a pu bénéficier de soins dans le cadre de son contrôle judiciaire et à l'issue de ce mois de soins les psychiatres ont estimé qu'il pouvait sortir. Il y a toujours une prise de risque dans ces situations-là".
Actualité, Société
Emmanuel Abayisenga, débouté de l’asile, pyromane et tueur de prêtre
Par Christophe Cornevin et Agnès Leclair
Publié hier à 20:20, Mis à jour il y a 8 heures, Le Figaro
DÉCRYPTAGE - Abayisenga, impliqué dans l’incendie de la cathédrale de Nantes et le meurtre du père Olivier, a usé de tous les recours pour rester en France.
Prêtre tué en Vendée : qui est Emmanuel Abayisenga, d'abord suspect dans l'incendie de la cathédrale de Nantes
France 3, mis à jour le 11/08/2021 à 12h48, extrait
« C’est un homme hyper droit. Parmi les personnes en difficulté, il faisait la différence », se souvient Odile, qui a animé un atelier d’insertion sociale auquel Emmanuel a participé. «Il cherchait vraiment à s’intégrer, abonde Cécile, la nièce d’Odile. Je me souviens pendant les cours de français que je donnais, il était irrité quand les autres arrivaient en retard, il ne comprenait pas qu’on puisse prendre ça à la légère".
Cyberharcèlement contre Zineb El Rhazoui : relaxe d'Idriss Sihamedi
Idriss Sihamedi relaxé, logique. Ce qui l'est moins est que l'audience aurait duré des heures ?
Zineb El Rhazou ne tweete pas, Thibault de Montbrial, son avocat, en reste simplement « songeur »...
Cyberharcèlement contre Zineb El Rhazoui : la Justice prononce la relaxe d'Idriss Sihamedi
Par Magazine Marianne, publié le 15/01/2021 à 15:41, extraits... « M. Driss a proféré des paroles qui étaient éventuellement constituées d’injures, quelques jours avant de publier les messages en questions », a d’abord avancé le tribunal dans la motivation de son jugement. Pour justifier cette salve de messages [NDLR : 80 tweets], Idriss Sihamedi s’était prévalu d’une qualité de journaliste, que lui dénie le tribunal [...] Toutefois le harcèlement en ligne doit, selon le Code pénal, avoir pour effet d'altérer la santé d’autrui pour être qualifié comme tel. Or le tribunal a estimé qu’il « n’a été apporté aucune preuve de la dégradation effective des conditions de vie de Zineb El Rhazoui », convoquant notamment un mail, envoyé par la plaignante, « dans lequel elle disait qu'elle n’était pas du tout déstabilisée par les insultes et invectives qui lui étaient adressées et était signé ‘votre amie Zineb’ », conclut le président.
Revue de tweets
Richard Malka est pas content, pourrit la LDH, elle est aux côtés du CCIF. Ce dimanche, Clémentine Autain utilise son Twitter en mode taqiya. Maître Arié Alimi, du bureau national de la LDH, agite l'efficace et bien connu par tous chiffon rouge de l’extrême droite #islamophobie identitaire. D'un flyer de 2014, on ne retient plus que quelques thèmes, en les tordant ; les autres sujets si chers également à cette ligue, on aura la possibilité d'en débattre encore à d'autres occasions.
NB : Les compteurs de RT/FAV/commentaires ne sont pas significatifs, les tweets ont été copiés entre 14h00 et 19h30.
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« La tromper est acceptable », critiquait Idriss Sihamedi
L'audience du jour m'a fait regarder vite fait ce qu'il subsiste du passé. Idriss n'a jamais envisagé que des femmes aient pu être intriguées par les pubs et campagnes tel que de Gleeden ? Mais c'est bien connu, seul les hommes « fantasment ».
Les tweets de la Confédération Nationale des Associations Familiales Catholiques ont moins la cote que ceux de Idriss ?
Il الله dit : « Et n'approchez point la fornication. En vérité, c'est une turpitude et quel mauvais chemin ! » [S17 V32]
Catéchisme de l'Église Catholique, de source www.vatican.va... Les offenses à la chasteté 2351 « La luxure est un désir désordonné ou une jouissance déréglée du plaisir vénérien. Le plaisir sexuel est moralement désordonnée, quand il est recherché pour lui-même, isolé des finalités de procréation et d’union. »
Septième parole : ''Tu ne commettras pas d'adultère''
Société
Le site qui pousse à l'adultère
Le 30 septembre 2009 à 07h00, le Parisien, extrait...
« L'adultère technologiquement assisté et revendiqué lève l'hypocrisie des sites qui vendent de la romance. Il consacre les pratiques des réseaux sociaux comme Facebook, où les membres se livrent à l'infidélité, observe Pascal Lardellier, sociologue spécialiste du couple. Le site confirme une vie de couple plus flexible. On passe de la monogamie au polygaming... »
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« Allah akbar, kouffar, vous moquez pas ! »
Edit du 15, après un petit clash, encore, qui m'a fait aller lire une page Facebook d'une militante... J'y ai découvert que le NPA et les Antifa de Lyon, peut être même la gauche de Autain, pourraient avoir boudé la manif contre la loi séparatisme de ce 12 décembre. En tous cas, dans un billet en rubrique Racismes/Colonialismes de ce 14 décembre sur rebellyon.info, je lis : « À 14h place Bellecour, c’était contre la loi « séparatisme » et l’islamophobie. À 15h à Foch, contre la loi « sécurité globale » avec ensuite départ en manif vers Bellecour. Si cette dernière a encore attirée plusieurs milliers de manifestant-e-s déterminé-e-s, la première a été boudée par une grande partie des militant-e-s des différents groupes/collectifs/syndicats/asso locaux de gauche/antiautoritaires/antiractistes. C’est écœurant. [...] Certainement pas pour des raisons pratiques : Bellecour-Foch, c’est 5min de métro, 15min à pied. [...] Ce samedi, plusieurs militant-e-s contre l’islamophobie à Bellecour ont pris la parole pour dénoncer ce désintérêt honteux voire complice des groupes gauchistes. [...] Au micro, les organisateur-rices ont appelé toutes les personnes présentes à mobiliser contre l’islamophobie. » Il faut en parler également à Jean-Luc Mélenchon, qu'il remue un peu ses troupes.
Sur ce même profil Facebook, j'ai également remarqué que nous pourrions aussi discuter de justice et d'enlèvements internationaux ? Un homme aurait arraché quatre enfants de leur maman il y a deux ans déjà... Passons.
Sinon, en lisant Marwan Muhammad et en écoutant des lives récents de Idriss, j'ai cru remarquer un intérêt pour les Ouïghours et le sort qui leurs est infligé en Chine. Marwan nous recommandait Libé n°12290, « La servitude des camps de coton »... « Une enquête majeure », selon Marwan. On va rediscuter prochainement d’assignation à résidence ? Ou s'agissait-ils de tweets et discours pour nous dire que en France, finalement, la situation n'est pas du tout similaire à celle des noirs dans les USA des années 60, ni à celle des juifs dans les années 20 à 40, et que le futur pourrait être moins catastrophique que ces camps ainsi que le travail forcé pour les plus récalcitrants ?
C politique
L’enquête - Ouïghours : les camps de la honte
France 5, diffusé le dim. 01.12.19 à 19h28, politique, 24 min, tous publics
International
Prisonniers ouïghours en Chine : que sait-on de la vidéo qui refait surface sur internet ?
Publié le 22/07/2020 à 16:47, La Dépêche
Chine #educspé les Ouïghours enfermés dès l’école https://t.co/LEiR5HwTFw via @libe
— Bruno Kant (@bkant) October 5, 2019
Sur Twitter, un soutien de Idriss Sihamedi, de Baraka City, ou un opposant à « Darmanin » s'est plaint, affirmant que le tweet screené par Fallait Pas Supprimer avait été extrait de son contexte. J'ai insisté, on ne m'a pas proposé d'autre contexte que ce qui suit. Il ne faut donc pas lire « Allah akbar, kouffar, vous moquez pas ! », mais plutôt : « Allah akbar, kouffar, vous moquez pas, et vos lois ou cette logique coloniale visant à soumettre une foi ne nous concernent pas. »
C'est la limite, lorsqu'on ne capture qu'un tweet ou deux. Pour à peine plus grand et lisible, afficher l'image :
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Deux poids, deux mesures, demain, tous à Chatelet !
Demain, donc, manif de gauche, avec le NPA, les Antifas, des GJ et autres habitués, tous contre Charlie et ses dessins, contre le blasphème, la laïcité, Fourest, les laïcards, contre l'islamophobie, pour le voile, porté librement, ou jusqu'à temps qu'elles le portent enfin volontiers, contre divers projets de loi dont #SécuritéGlobale #ConvergenceDesLuttes Je suis curieux d'en voir les photos et les vidéos pour constater qui participait, ils devraient être nombreux, ainsi que pour en lire et entendre les slogans policés. Il ne s'agira plus maintenant d'un simple rassemblement, mais d'une marche dans Paris.
Pourquoi la vidéo, plus bas, de Hors-Zone Press #laïcité est-elle réservée à un public adulte ? Trop de nichons ? Edit... Ces vidéos des FEMEN semblent pour la plupart être censurées. Celles de ce genre sont donc à visionner sur Youtube. En tous cas, Valentine Faure, du Monde, est d’accord, une certaine lutte a ses racines au début des années 70…
Iran 8 mars 1979 - Femmes contre hejab • 17 juin 2010 • azadeh sal, 337 abonnés
« Islamo-gauchisme » : histoire tortueuse d’une expression devenue une invective
Par Valentine Faure, publié aujourd’hui à 10h17, le Monde, extraits
Enquête. Apparu dans les années 2000, le terme, qui évoquait une convergence entre islamistes et extrême gauche, symbolise aujourd’hui une ligne de fracture politique sur les causes du djihadisme. Il trouve ses racines dans le débat sur la défense des travailleurs immigrés prônée par la gauche à partir de Mai 68. [...] C’est le sociologue Pierre-André Taguieff qui, le premier, aurait utilisé le terme en 2002, dans La Nouvelle Judéophobie (Mille et une nuits, 2002). Celui-ci a alors, selon l’auteur, une valeur descriptive, et désigne une convergence entre intégristes musulmans et groupes d’extrême gauche, à la faveur d’ennemis communs. « Que, mise à toutes les sauces, l’expression ait eu par la suite la fortune que l’on sait, je n’en suis pas responsable », écrivait-il dans Libération le 26 octobre. Car le mot, devenu une invective, a continué son chemin dans le débat public jusqu’à arriver dans la bouche d’un ministre, Jean-Michel Blanquer, qui lui a donné une résonance inédite. Le 22 octobre, sur Europe 1, une semaine après la mort de Samuel Paty, il s’en prenait à « une idéologie qui, ensuite, de loin en loin, mène au pire ».
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Aucune preuve
Sur Twitter, j'ai appris qu'il n'existe aucune preuve d'une quelconque faute du CCIF ni de ses membres. Que MEMRI est une source Israélienne, pas crédible, donc, mais que Mediapart est autorisé. Le CCIF avait publié des caricatures de Latuff, on m'a fait comprendre que ça ne prouve rien du tout ; et puis de toute façon, le CCIF a effacé tout ou quasi de son site Internet, il n'en reste plus que trois fois rien et essentiellement le contenu du cache Google, qui finira de s'évaporer.
Latuff 2012 circule : une famille, avec un enfant, menacés par un gros chien baveux nommé Islamophobia, que l'Europe retient en assurant : « don't be affraid, I call it freedom of speech »... un article de décembre 2019 proposant un Kaf Conç, du fun, par des lutteurs de gauche qui introduisait : « En progression constante, l’islamophobie est un racisme qui touche majoritairement les femmes musulmanes. Sur le plan national comme international, l’année 2019 a été marquée par de nombreux attentats et agressions islamophobes qui sont les conséquences d’un climat politique délétère contre les personnes musulmanes ou considérées comme telles. » Plus loin, chez eux, on lit que « l'islamophobie est partout ».
Les dérives de la lutte anti-terroriste
By Ccif Articles Wednesday June 4th, 2014, du cache Google, extrait... Car ces gens s’affranchissent totalement de la vérité ou de l’étude raisonnée du fait terroriste en Europe. L’analyse rationnelle ne les intéresse pas et, plus que la sécurité, c’est l’incertitude et la peur qui nourrissent leur commerce. Les rapports annuels d’Europol, le regroupement des polices européennes, viennent chaque année démentir ce discours ignorant, analyses et statistiques à l’appui. Pour l’année 2013, Europol recense ainsi, à travers l’Europe, 152 actes de terrorisme. Sur ces actes, seuls deux sont rattachables à des mouvements d’inspiration religieuse, soit 1.3% des actes. Le « terrorisme islamique » est donc un fait totalement marginal au sens statistique, même s’il occupe nos écrans et qu’il est invariablement mis en avant dans la production d’une menace musulmane. L’essentiel des actes terroristes est perpétré par des mouvements d’extrême droite ou des groupes séparatistes. Même choses pour les victimes : sur les sept personnes mortes en 2013 dans des actes terroristes, une seule a été ciblée dans un acte rattachable à un mouvement religieux : il s’agit du soldat britannique assassiné à Woolwich par deux jeunes se réclamant d’un mouvement radical. Cela n’enlève rien à la gravité des actes, mais replace les choses dans une plus rationnelle proportion. Dans le même temps, l’Association Française des Victimes du Terrorisme relève que 90% des victimes du terrorisme, à travers le monde, sont des Musulmans. Pour autant, les médias et la quasi totalité des commentateurs politiques continuent à agiter la menace d’un terrorisme islamique qui viendrait mettre en danger l’Europe. […] La seconde question est celle de l’engagement armé, en Syrie et ailleurs. [...] Marwan Muhammad, membre du CCIF
Question d'Europe n°386
L'Union européenne et la lutte contre le terrorisme
29/03/2016, www.robert-schuman.eu, par Philippe Delivet, extrait
Le terrorisme constitue aujourd'hui une menace permanente et diffuse pour l'Union européenne. Entre 2009 et 2013, 1 010 attentats – avortés, déjoués ou réussis – ont été recensés dans les États membres. Ils ont causé la mort de 38 personnes. En 2013, selon l'Office européen de police Europol (European Police Office), 152 attaques terroristes ont eu lieu dans cinq États membres, la majorité en France (63), en Espagne (33) et au Royaume-Uni (35). Depuis 2011, on observe une augmentation continue des arrestations pour des faits de terrorisme ayant une motivation religieuse.
La radicalisation religieuse a joué un rôle évident dans au moins deux attaques, en 2013, au Royaume-Uni et en France [3]. Plusieurs affaires ont mis en évidence la menace venant d'individus auto-radicalisés, auto-organisés et auto-financés. La menace liée à la radicalisation religieuse s'est malheureusement concrétisée au début 2015 dans les attaques commises à Paris et à Copenhague, ainsi que dans les attentats déjoués en Belgique.
L'Union européenne est par ailleurs confrontée au phénomène des combattants quittant l'Europe pour mener la guerre sainte (jihad) en différents lieux, en particulier en Syrie. On estime qu'entre 3 500 et 5 000 citoyens de l'Union auraient quitté leur pays pour devenir des combattants étrangers après le déclenchement de la guerre et des violences en Syrie, en Irak et en Libye.
Accueil Monde Terrorisme
CARTE. Le terrorisme islamiste a tué 167 000 personnes en 40 ans
Publié le 13/11/2019 à 18h04, Ouest France
2015–2020 : cinq ans d’attentats islamistes meurtriers en France
Par Cathy Lafon avec AFP et archives de Sud Ouest
Publié le 19/10/2020
Mis à jour le 29/10/2020, Sud Ouest, extrait
CHRONOLOGIE – Un individu a attaqué plusieurs personnes au couteau, faisant au moins trois morts et plusieurs blessés, près de la basilique Notre-Dame à Nice. Depuis janvier 2015, les attentats, attribués ou revendiqués par la mouvance islamiste, ont fait 263 morts dans l’Hexagone.
Carte des opérations policières après les attentats #AFP pic.twitter.com/ehkknNijBv
— Agence France-Presse (@afpfr) November 16, 2015
Pays de l'#UE les plus touchés par le #terrorisme #islamiste
🇫🇷 71 attentats 317 morts
🇬🇧 22 attentats 101 morts
🇪🇸 16 attentats 232 morts
🇩🇪 15attentats 18 morts
🇧🇪 13 attentats 50 morts
🇨🇾 8 attentats 1 mort
🇩🇰 5 attentats 4 morts
➡ L'étude @Fondapol: https://t.co/twtvKotRyV pic.twitter.com/mUc557Ipyo— Fondation pour l’innovation politique (@Fondapol) November 13, 2019
Les discours de Erdogan, qui les a écouté ou lu, qui s'en souvient ? Tout le monde a une mémoire d'huitre, alors... Ce qui s'est dit ces semaines passées en France comme à l'étranger ? Aucune preuve que ça ait eu un quelconque rapport avec le CCIF, surtout quand ça s'est dit entre un dirigeant du Pakistan, France à l'ONU et le Washington Post. Aucune preuve non plus que les manifestations récentes et conséquentes au Pakistan ou en Indonésie aient eu la moindre relation avec le CCIF, BarakaCity ou même CAGE. Au final, nous en retiendrons que tout était de la faute à Charlie et à Mila, ainsi qu'à Macron et à la laïcité, c'est sûr ; en parcourant les archives, on en retiendra juste les articles qui ont accablé la France.
Pourquoi parlons nous tant d'islamophobie depuis quelques semaines ? Parce que les Français sont méchants, mécréants, ils dessinent, boivent, forniquent et sont racistes. Ca me fait repenser d'abord à des luttes que menaient des intellectuels par le passé, qui cherchaient un moment à trouver le raciste à la Goutte d'Or, en vain, il n'existait pas, le racisme était omniprésent ; c'était une autre époque nous dira le CNRS, beaucoup plus virulente que aujourd'hui.
le portiQue, 13-14 | 2004 : Foucault : usages et actualités
Engagement, lutte et travail social
De la « guerre des races » aux luttes de l’immigration, extrait... Foucault ne parle en fait que très rarement de l’immigration. Il s’est pourtant engagé dans ses premières luttes. Ainsi de la grande manifestation de la Goutte d’Or (Paris) en octobre 1971 suite au meurtre du jeune Djillali Ben Ali, première manifestation depuis la fin de la guerre d’Algérie ayant rassemblé plusieurs milliers de personnes contre la violence raciste. Foucault participe aussi avec Sartre et Deleuze à la création d’un « Comité de défense de la vie et des droits des travailleurs immigrés », lequel donne un premier écho public à la situation de hors-droit des travailleurs immigrés.
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Le meurtre de Djiiali Ben Ali (seize ans)
Publié le 17 novembre 1971 à 00h00 - Mis à jour le 17 novembre 1971 à 00h00, Le Monde, extraits... Le mercredi 27 octobre, vers 8 h. 45, un adolescent de nationalité algérienne, Djilali Ben Ali, né le 16 novembre 1956 - il aurait eu seize ans ce mardi, - était tué d'un coup de fusil de chasse à la tête par M. Daniel Pigot, vingt-neuf ans, chauffeur-livreur, qui vivait avec Mme Marchand, mère de cinq enfants, la concierge de l'immeuble situé au numéro 53, rue de la Goutte-d'Or à Paris (18e). [...] Cet enfant difficile avait fait l'objet de quatre poursuites après avoir commis plusieurs délits mineurs pour lesquels il fut condamné à trois mois de prison avec sursis. Djilali Ben Ali était épileptique. Mais cela ne peut excuser le geste criminel dont il a été victime. [...] La veille, l'agence de presse Libération avait consacré un de ses numéros spéciaux au meurtre de Djilali. Il y est écrit notamment : " La série de crimes racistes s'allonge trop, la campagne d'intoxication raciste lancée par des forces politiques couvertes par une fraction du gouvernement devient trop inquiétante pour que continuent à circuler dans la presse de fausses nouvelles ou des silences suspects. "
Excluant les gribouillages de Charlie, des faits et des dérapages, dont sur CNEWS ainsi que de Gérald, qui n'aime pas les rayons hallal, il y en a bien eu, ces semaines passées. Tout a été monté en épingle, porté à la presse étrangère, rapporté aussi à l'ONU, dont nous attendons des nouvelles, qui seront nécessairement mauvaises, sinon, écartés du dossier, pas grave, il y en a pléthore, et on en ajoutera de fraiches. En France, on opprime la minorité de chez nous autant que celle de toute la planète, et ce pire que la Chine traite ses Ouïghours ; ou nous avons déjà fait et prévu de faire encore pire, hier, des lavabos séparés, et même, demain, des wagons à destination d'un nouvel Auschwitz ; pour preuve, l'an passé, au cours d'une manifestation contre les politiques d'ici, quelques uns arboraient déjà un croissant vert.
De temps en temps, des balles, les roues d'un camion, ou des coups de couteaux, c'est « insignifiant », nous a-t-on fait savoir, ce qu'il faut entendre, c'est la minorité qui souffre en silence, et dont beaucoup se sont maintenant proclamés les porte voix, formulant ses complaintes, ses ressentis, ses demandes, dont l'interdiction des dessins et davantage de laïcité, donc ; c'est tout à l'inverse de ce que projettent encore Macron et le gouvernement ! S'y ajoute l'extermination toute prochaine des black blocs ! Et pour être sûr que plus personne ne rapporte à l'étranger ou à l'ONU, on va juste éliminer quiconque s’associerait à ces fins, ce tout en domestiquant à nouveau davantage nos journalistes, les vrais, les autres, on en anticipe le deuil ; pour avancer, Mediapart et Révolution Permanente, tous leurs contributeurs et commentateurs, sous peu, privés d'Internet, les autres d'imprimerie à moins d'une relecture avant diffusion. On perçoit déjà moins AA, Politico, les GJ et le NPA. Ca va mal finir, on avait chassé Soral, Dieudonné, toute une faune, dont celle qui alimente Démocratie Participative, ils vont s'unir et aller se plaindre en coeur car leurs droits fondamentaux ne sont plus respectés.
Si ce n'est pas insignifiant, c'est mérité, parce qu'on dessine, on insiste, parce qu'on opprime, qu'on a opprimé partout, ces années et au cours des siècles passés. Inutile de lever un doigt, juste les charges au dossier, accablant, ce sera suffisant.
Pourquoi parlons nous tant et depuis si longtemps d'islamophobie, en France et, comme depuis peu, autant avec le monde entier ? Je crois qu'un débat a été définitivement clos avec Caroline Fourest, les Décodeurs en 2015, AFP Factuel en 2018, des sociologues et le CCIF. Le mot et le concept existe depuis 1920, il n'a jamais été utilisé à des fins politiques par l'Iran, vers 1979 ; pour le CCIF, il n'y avait qu'à rapporter, et toute critique ne pourrait en ajouter qu'à l'islamophobie ambiante, ce qui n'a maintenant que trop duré. J'aime bien la bio de Marwan Muhammad et l'histoire du CCIF, ça fini par me rappeler aussi des discours de Nadine Morano, des discours de Manuel Valls... des genèses, de petits bruits plus ou moins sérieux en des endroits reculés, puis plus tard, d'énormes, dans les sphères publiques.
Valentin Graff, Rémi Banet, AFP Factuel, Publié le lundi 27 août 2018 à 16:05, extrait... "Mais il est vrai qu’après la révolution islamique de 1979, le régime iranien a joué de cette peur de l’islam, ou de cette prétendue peur de l’islam, de cette thématique de l’islamophobie, comme un outil de propagande, outil politique et géopolitique, mais comme la plupart des grands pays musulmans dont l’Arabie saoudite", précise le chercheur à l'AFP.
Le CCIF a été crée en 2003, pensé parfaitement « apolitique et areligieux », juste très soucieux de l'islamophobie, de ce fléau qui ne cesse de s'abattre, de se rabattre sur la minorité Musulmane, au gré de « faits divers ». Sauf erreur, Marwan en a été porte parole, puis a eu un rôle de « diplomate » en Europe, voire pour l'ONU, pourrais-je oser lobbyiste, ensuite de directeur au CCIF, aujourd'hui, il bavarde en sous-marin ou quasi avec la sphère Révolution Permanente et le Collectif du 10 novembre ? Marwan doit avoir une excellente expérience de l'usage de ce mot, dont pour balayer d'un revers toute critique, y compris lorsqu'elle est dirigé contre de très radicaux, même lorsqu'elle est dirigée contre le CCIF ou encore contre BarakaCity, Idriss Sihamedi et ses prêches. Dommage, le CCIF n'était plus là pour traiter le cas Ummah Charity... ni d'ailleurs là pour faire contester ainsi que pour enregistrer la fermeture d'un collège et lycée, MHS, unique.
A la suite, quelques tweets ou discussions. Il en manquera juste quelques uns des miens, envoyés plus tard, qui sont encore sur Twitter, ils y resteront : « si on commence à parler de circulations d'idées de sphères confidentielles à publiques, et de l'utilisation qui peut en être faites, tout le monde va encore se taper dessus » ; pourquoi ais-je fini bloqué par Faridou ? « peut-être parce que le CCIF a imposé l'emploi du mot islamophobie dans la sphère publique tout en étant lui-même pas si propre? Et par moment, pour appuyer des luttes ou des djihads, ou qui permettait au moins à d'autres d'en mener plus sereinement, avec du soutien. » « Resterait à ne rien faire et à tous se taire, c'est ce que réclame depuis longtemps un petit noyau tout à gauche, "laissez faire la nature, le reste est trop contraignant." »
Sinon, une définition de djihad, il m'est déjà arrivé d'en discuter un moment avec un Musulman, qui la raccourcissait : « Effort que doivent fournir les musulmans pour rester dans le droit chemin [ et combattre les ennemis de l'islam. ] » Puis je crois avoir trouvé des sourates et des interprétations, des versions, si je les détourne, je vais encore me faire détester... ou passer pour Pakistanisé. « Ceux qui ont mécru disent: "Pourquoi n'a-t-on pas descendu sur lui (Muhammad ou Idriss) un miracle venant de son Seigneur?" Dis: "En vérité, Allah égare qui Il veut [ et Il guide vers Lui celui qui se repent, ] »
A ce stade, je peux préciser tout de même que pour ce billet, comme pour de précédents, je n'ai pas posé de questions à Marwan ni au CCIF (le premier m'a bloqué, les seconds n'existent plus, Feïza ne m'a jamais répondu à rien). Alors qu'il existe des activistes ailleurs sur le globe et qui ont pu beaucoup contribuer aussi à propager le concept. Guantanamo ayant été crée en 2001 est une origine plus probable de l'utilisation première du mot islamophobie ? Sur Wikipedia, en Français, je trouve cependant une première page crée le 6 janvier 2005 et pointant vers le site web du CCIF ; Vincent Geisser, La Nouvelle Islamophobie, est paru en septembre 2003 et pourrait contenir des réponses ; dans sa version anglaise de Wikipedia, une page a été crée le 28 décembre 2002... « Ever since the Muslim expansion in the 8th century islamophobia has been a part of European culture. » Edit... le Petit Robert aurait introduit le mot entre 2005 et 2006, le Grand Robert en 2012. Mais vite lu plus loin, Marwan n'est évidemment pas à l'origine de sa diffusion dans le monde :
Islamophobie : la fabrique d'un nouveau concept. État des lieux de la recherche
Houda Asal
Dans Sociologie 2014/1 (Vol. 5), pages 13 à 29, CAIRN, extraits
Dans un premier temps, nous reviendrons sur l’histoire du mot islamophobie qui remonte au début du XXe siècle, et sa résurgence dans la période contemporaine. Nous présenterons ensuite une synthèse des tentatives de conceptualisation de l’islamophobie dans le champ scientifique. Nous analyserons enfin les travaux en français, moins nombreux, qui reflètent les enjeux d’un débat où se confrontent d’autres producteurs de discours, comme les journalistes et les militants, alors que les recherches empiriques sur cette question gagneraient à se multiplier. [...] Si le mot islamophobie se diffuse à partir de 1997, il devient incontournable après le 11 septembre 2001. Les institutions européennes financent des rapports et organisent des rencontres pour analyser et combattre l’islamophobie en Europe, différentes enquêtes sont menées par des associations, des ONG ou des fondations, et le terme est utilisé dans des discours à l’ONU, lui conférant une légitimité et une diffusion internationales. En 2004, Kofi Annan, alors Secrétaire général de l’ONU, déclare : « Quand le monde est contraint d’inventer un nouveau terme pour constater une intolérance de plus en plus répandue, c’est une évolution triste et perturbante. C’est le cas avec l’islamophobie. »
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Douce France
Ca déchire dans Courrier International. C'est ce que souhaitent importer le NPA et les Antifas ; pour s'occuper plus ? Yeny Akit m'avait échappé, je suivais Fatih Karakaya, puis Idriss, Feïza, Marwan... et sur leurs suggestions, l'agence Anadolu, des Haber, des flux de TRT, Yeni Şafak... Je ne suis pas abonné à Courrier, je ne peux donc pas tout y lire, et s'agissant d'autres sensibilités, ni savoir donc si Yeny Akit est leur équivalent Politis, Minute, Rivarol, l'Huma ou de Edwy Plenel.
Répression. En Turquie, le combat des militants LGBT continue
Ce jour, Castex, Blanquer, Gérald, EDM et Marlène Schiappa présentaient leur projet. Plus tôt, EDM en présentait un autre, pour coincer les Black Blocs. Tout le monde doit encore être en émoi, j'ai pas regardé grand chose depuis.
Mais pour Marwan Muhammad, une page est tournée ou tout un chapitre semble s'être clos. Il a envoyé un tweet, un petit mot appelant à réfléchir déjà à la suite. Après des échecs dans les urnes, en France, depuis 2015, cet ultime échec qui n'aura pas fait plier la France ou Macron non plus, reste à découvrir ce que ce groupuscule imaginera encore pour tenter de mobiliser la nation afin qu'elle renverse tout avec, pour finalité, à minima, l'instauration d'une république laïque Islamique. Une alliance avec des radicaux de gauche comme de droite ainsi que avec des LGBT déjanté.e.s, j'y crois pas trop non plus, même avec le soutien de Amnesty, de HRW, de journaux d'ailleurs, de commités de l'ONU et de la LDH.
La suite, ce sera donc 2022... Mais j'imagine que les Français ne sont pas de ce bord là, que même les Musulmans (de 4 à 6 millions) et les franco-turcs en France n'en sont pas vraiment non plus. J'ai consulté des chiffres, au hasard, des législatives de 2017, pour l'Eure, ceux-là ne penchaient pas trop en faveur de l'AKP ou l'abrogation des textes de 1905 :
• Bruno Le Maire, La République en marche, 21 398 voix, 64,53 %,
• Fabienne Delacour, Front National, 11 761 voix, 35,47 %,
• Michaël DESPRÉS, La France insoumise, 4 621 voix, 11,43 % au premier tour
• Le Parti Egalité et Justice, ou pour certains, l'AK Parti, 291 voix, 0,72 % au premier tour
Législatives : pari perdu pour le Parti Egalité Justice
Par Claire Gandanger publié le 14/06/2017 à 06h00, Rue89 Strasbourg, extrait
Les près de 10 000 voix totalisées en France ne permettront pas au Parti Egalité Justice (PEJ) d’accéder à un financement national. Le pari est donc perdu pour cette formation créée par des personnes issues de la communauté franco-turque, aux accents conservateurs et dont plusieurs membres sont liés aux réseaux conservateurs turcs en France comme la Cojep. La loi du 15 janvier 1990 permet aux partis politiques de toucher de l’argent public pendant cinq ans pour chaque voix gagnée aux élections législatives, à condition qu’ils atteignent 1% des voix dans au moins 50 circonscriptions. Pour ce quinquennat, ce sera 1,42 euros par an.
Voir Des voix Turques : « Islam = mort », « l'Autriche ferme une mosquée »
Le Chemin Des Vertueux, 59,2 k abonnés
Les 115 ans de la laïcité
Samedi, donc, le NPA, la LDH, Amnesty, HRW et les #SoutienCCIF vont aller manifester contre des dissolutions, contre une certaine oppression, contre la laïcité, contre le blasphème #Charlie ou pour sa pénalisation, pour plus de libertés et de justice... Y figureront aussi tous les grands #SoutienBarakaCity ? Les photos, lives et vidéos pourront nous renseigner.
Je n'ai pas remarqué de tweets de l'AGRIF, de Civitas ou de Alliance Vita qui appellerait à se joindre à cette manifestation du NPA et d'Antifas. Ils pourraient avoir choisi un autre quartier et hashtags pour s'y rassembler et protester avec eux.
We are proud to be part of a coalition that pushed for #HRes512
Congressman @RepRaskin championed the bipartisan resolution which calls for a global repeal of blasphemy, heresy, and apostasy laws. Listen to highlights of his House Floor remarks: pic.twitter.com/aGCcjOWF2U— Ex-Muslims of North America (@ExmuslimsOrg) December 8, 2020
Deux faces d’une même pièce. La tenaille anti-laïque. Comme après chaque attentat commis par des fanatiques, on lit que tout est la faute à la laïcité... qui opprimerait le culte musulman et le désir de foi catholique. Misère spirituelle ? Non, misère intellectuelle. pic.twitter.com/smEQBMIVeg
— Caroline Fourest (@CarolineFourest) December 9, 2020
We, along with 8 other international organisations, call on the trial prosecutor to recommend the acquittal of the METU Pride human rights defenders at the hearing in Ankara on 10 December & for relevant authorities in Turkey to ensure the right of everyone to freedom of assembly pic.twitter.com/LxlePRM3id
— ILGA-Europe (@ILGAEurope) December 7, 2020
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