Catégorie: Non catégorisé
Ohé, du château, ta France n'y comprend rien !
Message perso à l'attention de M. Nicolas Sarkozy, Président de cette République... Il ressort de mes différentes publications et échanges sur Internet que ta France n'y comprend rien. Veux-tu bien leurs expliquer que ce n'est pas moi qu'il faut convoquer dans tes tribunaux, mais les autres, ceux qui s'y défilent ? Par avance, merci !
« J'comprends rien »
Je constate que sur Internet, plus grand monde ne s'aventure à une réponse ou à un commentaire. Depuis hier, j'ai eu droit à de la censure, à un « j'comprends rien », à un « faites donc une pétition, on sait bien que la justice est défaillante » et enfin à « on envoie pas des poussins crevés à Dati ».
Dans le forum actualités de Doctissimo, quelques intervenants et modérateurs ne manquent pas d'humour. J'en retiens que le « pauv' poussin, nous aurions pu le laisser grandir, puis le bouffer ». J'en retiens encore que les actualités d'il y a 4 ans n'intéressent plus personne mais on m'a rassuré, les six chiens iraient aujourd'hui très bien bien. A l'époque, dans le forum du Monde, quelqu'un s'était apitoyé sur le sort de « ces pauv' bêtes que la faim avait contrainte à bouffer un gosse ». Les actus de fin décembre dernier, ça ne les intéresse pas. Je me suis dit qu'il était inutile de leurs reparler des actus de janvier, même si nous attendons un délibéré pour la fin mars.
C'est dans ce contexte que je me plains depuis 6 ans d'anomalies diverses et que je me plains depuis la mi-2005 du « rapt » puis de la « disparition » de ma fille ainée. Je crois que je vais bientôt jeter l'éponge, tout le monde se défile, que je les interpelle en public ou que je les invite dans les tribunaux, ce que me suggérait très vivement la chancellerie. Dans le Monde du jour on peut encore lire que « la société serait régie par des lois » ; laissez moi rire.
Manifestation de la justice, à Paris, le 29 novembre 2007
----- Original Message -----
From: Bruno KANT
To: communication@fondationbrigittebardot.fr
Cc: communication@ose-france.org ; accueil.dg@arsea.fr ; cyberjustice@justice.gouv.fr
Sent: Saturday, February 07, 2009 2:10 PM
Subject: J'assume
Catherine Martin : "Mes fils ont vécu dans la peur du gendarme"
LE MONDE | 07.02.09 | 15h16 • Mis à jour le 08.02.09 | 10h44, extrait
L'arrestation de leur père a-t-elle fait prendre conscience à Shahi'yena et Okwari que la société est régie par des lois ? "Eux seuls pourraient répondre", dit prudemment leur mère.
Evêque négationniste : pas d'excuses
AFP, 07/02/2009 | Mise à jour : 11:50, extrait
"Si je trouve des preuves alors je rectifierais" les propos tenus, a affirmé l'évêque.
Quand le bichon de Chirac agace les auditeurs
France Info - 09:55, Chroniques, Ecouter les explications de Pascal Delannoy avec Jean Leymarie (4'15")
Je ne pensais pas si bien écrire
Voilà bien le burlesque, je ne pensais pas si bien écrire le mois dernier. Pourquoi Xavier Fortin a-t-il été arrêté et écroué par le procureur de la République de Foix, Antoine Leroy, dans quoi va-t-il s'immiscer ? Shahi’yena et Okwari n'ont-ils pas très bien grandit dans leur « univers fermé », auprès de leur père, à la campagne ?
Depuis plusieurs années, les travailleurs sociaux de l'ASE, de l'OSE France et maintenant ceux de l'ARSEA échappent aux contrôles et « gagnent » à tous les coups, même en ne se présentant plus auprès de la Cour. La famille maternelle de Justine, c'est à l'identique, le corbeau n'a jamais eu à se présenter devant des juges et le pasteur d'Uhrwiller se défile encore devant la cour d'appel. Même l'avocate « de Justine » se fait maintenant porter pâle à Versailles, où ils « gagnent » à tous les coups, comme à Nanterre. Tout cela va renforcer les certitudes de Maître Eolas selon qui j'ai « perdu » ce procès...
Quelle justice, un travail de professionnels, une « expérience difficile », me dit-on, il s'agirait d'un « placement » dans l'intérêt de Justine. Ne parlons plus d'un « rapt » de mineur ni de « corruption » ou de jugements viciés, ça indispose l'institution judiciaire, à tel point que le château et ses dépendances semblent me bouder depuis des lustres.
06 février 2009, Libé Marseilles, extrait
Sur les traces de Xavier Fortin, père clandestin
RÉCIT. Depuis décembre 1997, Xavier Fortin et ses fils en fuite ont évité plusieurs fois les forces de l’ordre lancées à leur poursuite. Jusqu’à l’arrestation du père, vendredi 30 janvier. Xavier Fortin ? « Un homme très correct, très cultivé », assure Jean-François, 64 ans.
Faits divers
La mère des enfants enlevés pendant onze ans témoigne
Le Parisien | 07.02.2009, 07h00
Catherine Martin, la maman des deux garçons enlevés par leur père onze ans durant, nous a confié ses sentiments et ses espoirs après les retrouvailles avec ses fils.
C’est une femme heureuse. Catherine Martin, 45 ans, vient de retrouver ses deux fils, Shahi’yena, 18 ans, et Okwari, 17 ans, enlevés par leur père il y a onze ans . Ils ont vécu clandestinement sous les identités de Théo et Manu pendant toutes ces années dans le sud de la France et séjournaient depuis cinq ans en Ariège. Ils étaient installés depuis deux ans au village d’Esplas-de-Serou et, plus récemment, dans une vallée perdue au-dessus du village de Massat (Ariège) lorsqu’ils ont été reconnus sur une affichette d’enfants disparus.
Un colis ?
Ces jours-ci, la chancellerie doit en effet avoir reçu un colis. Je le destinais au Garde des Sceaux mais il n'est pas du tout certain qu'il lui parvienne. J'attends de découvrir s'il y aura une quelconque réaction ou si, en mars prochain, l'institution judiciaire préférera encore reporter voire, tout simplement, étouffer les différends en chambre du conseil.
J'assume, ce qui ne semble pas être le cas de certains « professionnels » de la protection de l'enfance.
Un poussin et une carte de visite
Ce matin, quelque chose m'a choqué
Ce matin, quelqu'un a dit que j'avais vécu une « expérience difficile ». Probablement parce que je pourrais passer pour un individu qui n'a plus du tout confiance en la justice de ce pays ?
Personne n'a imaginé que mes filles ont elles-même eu à subir de véritables épreuves ? Je crois que les travailleurs sociaux et la famille maternelle de Justine ne vont pas vouloir s'étendre sur cette question. Maître Roughol, avocat d'enfant, serait probablement aussi en difficulté si elle devait développer ce sujet.
En attendant la suite, écoutons le château, ce soir, il va tenter de nous rassurer.
Du programme des prochaines
Assises Nationales de la Protection de l'Enfance
Publié le 05/02/2009 à 13:43 - Modifié le 05/02/2009 à 13:48 AFP
Dati à l'école de la magistrature: "l'indépendance n'est pas un dogme"
La ministre de la Justice Rachida Dati a estimé jeudi à Bordeaux, devant des auditeurs de justice de la promotion 2009, que "l'indépendance" des magistrats n'était "pas un dogme" qu'il suffirait de "proclamer" mais qu'elle se méritait.
"L'indépendance n'est pas un dogme. Il ne suffit pas de la proclamer. Elle se mérite par la qualité de son travail. Elle se mérite par la légitimité de ses décisions", a souligné la garde des Sceaux en relevant que "la magistrature est inquiète" devant les élèves de l'Ecole nationale de la magistrature (ENM).
"C'est parce que l'on est au-delà de tout reproche et de toute suspicion que l'on est indépendant", a-t-elle ajouté.
La Poste est en panne ?
Je me disais bien qu'il y avait un truc anormal avec la Poste. D'après son site Internet, les services de la chancellerie étaient absents ce 2 février, personne n'était là pour recevoir un colis.
Ce matin, il n'y avait pas grand monde. Le pasteur n'était pas là, comme d'habitude, et Maître Roughol s'est fait porter pâle, elle n'a pas pu être présente (voir sa correspondance à la suite). Un autre avocat était là pour négocier un ultime renvoi, il m'a montré une correspondance de Maître Rougol qui aurait du me parvenir par la poste...
J'aurai souhaité plaider. Les renvois et ces illusoires voies de recours, ça suffit et je l'ai bien fait comprendre à la Cour. J'ai encore mis en doute la prestation de Maître Roughol. J'ai sommairement expliqué tout ce qui s'est déjà passé.
Les juges ont dit que la situation semblait évoluer, que Justine demande même à me rencontrer. J'ai souligné que, pour le moment, je n'ai aucune autorisation ni garantie pour cette rencontre du 11 février, que tout dépend encore de Nanterre et que ce dossier n'a évolué que suite à des procédures et après des actions en justice tout à fait extraordinaires.
Le ministère public a donné son avis. Je l'ai coupé et je lui ai demandé pourquoi il défendait Maître Roughol. Cet avocat sait que ce dossier est sensible et aurait pu faire l'effort.
Les juges souhaitent entendre Justine. J'ai expliqué que je ne demande pas mieux, son avocat me semble bizarre. A mon avis, j'aurai pu plaider et la République pouvait se débrouiller pour que Justine soit entendue en milieu neutre, en cours de délibéré. Mais les juges - ce sont eux qui décident - ont préféré renvoyer, au 13 mars. Il semblerait qu'ils vont exiger que Justine soit présente à l'audience, il serait bien qu'elle soit là.
L'audience du 13 mars ne sera pas collégiale ; c'était accepter cela ou reporter aux calendes grecques. J'ai cru comprendre que le juge qui siègera rapportera au collège... mais après tout, peu m'importent tous ces détails, l'ensemble de l'affaire évolue effectivement plutôt bien. Même Maître Roughol fini par admettre auprès de la Cour que Justine souhaite renouer avec moi.
L'avocat qui s'est déplacé pour Maître Roughol a pu être surpris par les débats mais ceux-ci se sont plutôt bien déroulés, en public. Ce 13 mars, en chambre du conseil, les débats pourraient être relativement sereins ?
Demain, audience
Je pense que mes conclusions sont prêtes, je n'ai quasi plus qu'à les imprimer.
Beaucoup d'eau a encore coulé sous les ponts depuis le 8 janvier et la chancellerie a reçu un colis.
Faits divers
Une nourrice soupçonnée de violences mortelles
Le Parisien | 04.02.2009, 09h10 | Mise à jour : 09h27
La radio RTL révèle ce mercredi qu'une nourrice de 42 ans a été mise en examen jeudi dernier à Paris après la mort de Victor, un bébé de moins d'un an dont elle s'occupait. En octobre dernier, dans le XXème arrondissement, elle aurait jeté à deux reprises le nourrisson contre un lit, «énervée parce qu'il pleurait trop fort».
Elle «voulait le faire taire».
Un complot ?
Soyons sérieux et ne parlons plus de complots ni de paranoïa, parlons plutôt de dérives et de psychiatrie.
24 violations des droits de l'homme en France
NOUVELOBS.COM | 02.02.2009 | 17:17
Un appel contre "la régression de la justice des mineurs"
NOUVELOBS.COM | 02.02.2009 | 17:50
Droits des enfants : "la France marque le pas"
NOUVELOBS.COM | 02.02.2009 | 17:50
Voir aussi l'autodafé du 10 décembre 2008, en contrebas de la BNF, à Paris.
Les contre-pouvoirs, « utiles et légitimes » ?
Bientôt, peut-être, une rencontre avec Justine, si Nanterre le veut bien. Mais si le procureur s'y oppose ?
L'edito du Marianne n° 615 : « En période de crise, face à un monarque »
Que celui qui veut fonder une république l'établisse donc là où règne ou peut régner une grande égalité, qu'il fonde, au contraire, une principauté là où l'inégalité existe, autrement il donnera naissance à un État sans proportions dans son ensemble, et qui ne pourra subsister longtemps. • Le prince, Nicolas Machiavel, 1515
MACHIAVEL. Ici, je vous arrête ; vous faites une part à l'intérêt, cela suffit pour justifier toutes les nécessités politiques qui ne sont pas d'accord avec le droit.
MONTESQUIEU. C'est la raison d'État que vous invoquez. Remarquez donc que je ne puis pas donner pour base aux sociétés précisément ce qui les détruit. Au nom de l'intérêt, les princes et les peuples, comme les citoyens, ne commettront que des crimes. L'intérêt de l'État, dites-vous ! Mais comment reconnaîtrai-je s'il lui est réellement profitable de commettre telle ou telle iniquité ? Ne savons-nous pas que l'intérêt de l'État, c'est le plus souvent l'intérêt du prince en particulier, ou celui des favoris corrompus qui l'entourent ? Je ne suis pas exposé à des conséquences pareilles en donnant le droit pour base à l'existence des sociétés, parce que la notion du droit trace des limites que l'intérêt ne doit pas franchir.
Dialogue aux enfers entre Machiavel et Montesquieu
Du deuxième dialogue, Maurice Joly, 1864
Voici venu le temps des rires et des chants... ou « à la vie ! »
Aujourd’hui, je ne comprend que mieux pourquoi le procureur et le juge pour enfant de Nanterre m’intiment très fortement de me tourner vers l’avenir et de ne plus parler de mes dossier. Je ne comprend aussi que beaucoup mieux le malaise de Maître Roughol, ce 8 courant. Mes discours interfèrent trop avec d’autres, plus officiels.
De temps en temps, je vais visiter le site Internet de l’OSE France. Cette semaine, en lisant Osmose d'octobre-décembre 2008, j’ai constaté que cette association a tourné une page de plus. Leur établissement de Taverny est aujourd’hui la « maison Elie Wiesel », le « château de Vaucelles » et tout un pan de son histoire sont probablement relégués au passé, aux oubliettes et aux broyeuses.
Osmose n° 18
Dans l'édito d'Osmose, nous apprenons que Elie Wiesel a évoqué ses combats pour les droits de l'homme au Darfour... ce qui fait comme un écho bizarre à l'affaire de l'Arche de Zoé et diverses réactions nationales et internationales rapportées par les médias.
Hier soir, le dossier du 20h de France 2 m'a amusé. Il pourrait irriter Nanterre ainsi que quelques charlatans et sociaux respectueux. Je constate qu'après l’ère de l’astronavigation, même selon l'ORTS, certains pans de la psychiatrie n’en sont toujours qu’à leurs balbutiements et babillages, comme je l'affirme depuis des lustres. Ce dossier était précédé d'un reportage sur le fléau des enfants soldats et sur le procès en cours à la CPI de la Haye.
Point de vue
Effacez le nom de mon grand-père à Yad Vashem, par Jean-Moïse Braitberg
LE MONDE | 28.01.09 | 14h23 • Mis à jour le 29.01.09 | 09h15, extrait
Monsieur le Président de l'Etat d'Israël, je vous écris pour que vous interveniez auprès de qui de droit afin que l'on retire du Mémorial de Yad Vashem dédié à la mémoire des victimes juives du nazisme, le nom de mon grand-père, Moshe Brajtberg, gazé à Treblinka en 1943, ainsi que ceux des autres membres de ma famille morts en déportation dans différents camps nazis durant la seconde guerre mondiale. Je vous demande d'accéder à ma demande, monsieur le président, parce que ce qui s'est passé à Gaza, et plus généralement, le sort fait au peuple arabe de Palestine depuis soixante ans, disqualifie à mes yeux Israël comme centre de la mémoire du mal fait aux juifs, et donc à l'humanité tout entière.
Voyez-vous, depuis mon enfance, j'ai vécu dans l'entourage de survivants des camps de la mort. J'ai vu les numéros tatoués sur les bras, j'ai entendu le récit des tortures ; j'ai su les deuils impossibles et j'ai partagé leurs cauchemars.
Il fallait, m'a-t-on appris, que ces crimes plus jamais ne recommencent ; que plus jamais un homme, fort de son appartenance à une ethnie ou à une religion n'en méprise un autre, ne le bafoue dans ses droits les plus élémentaires qui sont une vie digne dans la sûreté, l'absence d'entraves, et la lumière, si lointaine soit-elle, d'un avenir de sérénité et de prospérité.
Val d'Oise (95)
TAVERNY
Elie Wiesel a retrouvé sa « maison du bonheur »
Le Parisien | 14.11.2008, 07h00
Le Prix Nobel de la paix 1986, rescapé des camps de concentration, est revenu hier au château de Vaucelles, où il a séjourné après la guerre.
UN MOMENT chargé d’émotion et rempli d’histoire. Elie Wiesel, rescapé de la Shoah, Prix Nobel de la paix en 1986, a dévoilé hier après-midi deux plaques apposées sur la maison d’enfants de l’OSE (Œuvre de secours aux enfants), au château de Vaucelles, à Taverny. Cette maison, qui l’a lui-même accueilli au sortir de la guerre, porte désormais son nom.
« C’est un symbole fort pour les enfants, commente Richard Josefsberg, le directeur de la maison de Taverny. Cela leur rappellera toujours que, malgré les difficultés qu’ils rencontrent, rien ne peut les empêcher de continuer à vivre et à réussir. »
Un petit paquet ?
La chancellerie reçoit occasionnellement de petits paquets, j’en poste un. J’attends ensuite avec impatience sa réaction ainsi qu’éventuellement, celle de PETA et celle de la Fondation Brigitte Bardot.
En octobre dernier, je recevais un boulet rouge alors que je venais de publier un article dans mes références. Je l'ai remis en ligne à l'identique et, là encore, j’attends de constater quelles seront les réactions, potentiellement très vives.
Pour tuer le temps, souvent très long lorsque la justice est saisie, je propose un exercice de karaoké.
Dati, déchue ?
Dati, déchue, c'est ce qu'on peut lire ici et la, dans la presse et selon certains sondages sur le net. Pour le moment, elle resterait encore à la chancellerie pour quelques mois. C'est parfait ainsi, je n'aime pas trop la valse des juges et personnalités, naïfs, incrédules, pouvoirs, décideurs et autres étouffeurs.
Je rentre de Thionville où j'étais allé écouter la plaidoirie de l'Agent Judiciaire du Trésor (AJT) qui se défendait encore une fois contre Mme Millet, la grand-mère de Sébastien. Je synthétise : « c'est pas nous, tout est de la faute à la grand-mère. » C'est un peu comme pour le cas de Justine : « c'est pas nous, tout est de la faute à son débile de père. » Ca me rappelle également la Dass : « c'est pas nous, c'est le Val d'Oise. » Ca me rappelle encore Strasbourg : « c'est pas nous, c'est Nanterre. » Etc, jusqu'à Versailles qui carbure ensuite aux renvois.
J'ai le sentiment que Michel Giraud a vu assez juste mais que l'Etat, détaché de la réalité et en rupture avec le savoir contemporain, pourrait avoir beaucoup de mal à le reconnaitre. Quoi répondre à une institution lorsque les professionnels s'empêtrent puis persistent ensuite, des années durant, dans le fallacieux voire dans la mauvaise foi ? Mais faut-il encore que des juges daignent en recevoir la « preuve », nous dira-t-on.
Je ne suis pas arrivé seul au tribunal, Ach Goood m'a accompagné et n'est pas déçu du voyage. On le voit bien sur la photo ci-dessous, au fond de mon sac, l'oeil vif, toute ouïe... et son sourire jusqu'aux oreilles. On m'a dit que j'allais passer pour un dérangé, ça ne m'ennuie pas, d'autres adorent le cynisme.
Ach Goood à Thionville
Au rôle, précédait une banale affaire d'expulsion d'un logement. Le Président a renvoyé les plaignants vers le législateur ainsi qu'à suivre les bonnes procédures. Ach Goood et moi avons songé à Versailles, l'été dernier, qui me recommandait de me faire « mieux » conseiller... puis a suivi ce fabuleux arrêt en cassation.
A suivi une affaire d'impayé de loyer et charges. Le Président a constaté que le principal était réglé puis les parties ont rapidement convenu d'un accord à l'amiable pour les dépens et les frais d'huissiers. Le Président a mis son jugement en délibéré après quoi une partie aurait encore souhaité lui soumettre de nouveaux éléments. Le Président est resté ferme : « vous vous arrangez entre vous... vous rentrez chez vous, le délibéré suivra. »
Avec l'affaire Millet/AJT, j'ai pensé que nous allions droit au renvoi voire à un quelconque vice de procédure lorsque l'AJT a commencé par s'assurer qu'une jonction avait bien été ordonnée et que toutes les écritures avaient bien été versées au dossier.
Dans sa plaidoirie, l'AJT a affirmé que Mme Millet aurait cherché à masquer de nombreux éléments... C'est étrange, car de mon point de vue, il semblerait que ce soit plutôt le secteur de Nanterre qui balaye sous le tapis.
Ach Goood a été baptisé.
Un extrait du 19-20 du France 3 région Lorraine du jour
Attendu que dans toutes les décisions qui concernent les enfants, l'intérêt supérieur de l'enfant doit être une considération primordiale ; que lorsque le mineur capable de discernement demande à être entendu, il peut présenter sa demande au juge en tout état de la procédure et même, pour la première fois, en cause d'appel ; que son audition ne peut être écartée que par une décision spécialement motivée ; • Arrêt n° 891 du 18 mai 2005, Cour de cassation, Première chambre civile
Le gouvernement des juges est une expression désignant le fait, pour un juge, d'écarter la loi (votée par les représentants du peuple) au profit d'une interprétation personnelle, ceci dans un but politique. (...) l'expression "gouvernement des juges" est un spectre négatif, un repoussoir absolu.
Courrier n° 1E00055325080 : Arrivé au bureau distributeur de PARIS (75008) le 26/01/2009.
Une lettre ouverte d'août 2007.
Pardon !
Il me fallait un titre pour ce billet. « Pardon ! » sera parfait pour tout ce qu'il peut susciter chez le lecteur. Je ne suis pas naïf. J'attends tranquillement l'audience du 5 février, à la cour d'appel de Versailles, ainsi qu'une réponse du château. L'Opération Poisson d'Assises, à Lyon, fin mars prochain, est évidement maintenue.
L'USM appelle à son tour à « une action nationale », « s’inscrivant dans la durée ». Si vous envisagiez une quelconque action en justice, patientez encore ou faites renvoyer votre affaire ? « L’USM invite les magistrats à compter de cette date [probablement ce 30 mars 2009] à appliquer la Loi dans toutes ses dimensions et à cesser d’utiliser, en marge de celle-ci, artifices et expédients pour rendre des décisions certes toujours plus nombreuses et rapides, mais de moindre qualité et qui souvent ne permettent pas aux justiciables de faire valoir pleinement leurs droits. » Pour les détails, lire le communiqué de l'USM.
Mais pour tout « signalement », c'est le moment, composez le 119 et dénoncez votre voisin « révolutionnaire ».
Re: violence
Envoyé par: Logos (Adresse IP journalisée)
Date: sam 19 août 2006 15:40:54
Franchement, ne lissez pas n'importe quoi ou alors restez "analytique", le S.Paugam dont vous parlez (ainsi que d'autres) racontent de véritables inepties, et leur expertise est affreusement dans le dénigrement des professionnels de terrains.
"Le débat sur le réchauffement climatique est relancé"
Le Figaro, 24/01/2009 | Mise à jour : 23:15, extrait
AUDIO - Regis Crepet, prévisionniste à Metéo Consult souligne que c'est la première fois que deux violentes tempêtes, celle de 1999 et celle-ci, ont lieu avec seulement dix ans d'écart. Une telle tempête survient en moyenne tous les trente à quarante ans. Cette fois-ci, cela fait tout juste dix ans, après celle de 1999. Un rapprochement qui relance le débat sur le réchauffement climatique.
Ohé, du château !
J'espère qu'il me répondra avec une oreillette et non avec ses talonnettes. Sa cour me fait souvent rire mais son chantre a parfois été grossier. Guaino, par exemple, à propos de la poupée qui donne des boutons, c'est un spectacle comme on en redemande. Dati aussi, j'adore, il y a beaucoup de bon sens au delà de ses discours.
J’attends, mais j’ai le sentiment que le château et ses dépendances vont me laisser m'user à épuiser ces voies de justice et de recours illusoires. « Si vous pensez qu’on s’est trompé, faites valoir vos droits dans nos tribunaux »... d'accord, j'y retournerais encore et encore, j'adore empiler le papier et exhiber les collectors.
Jamais je n’aurai imaginé avoir un jour une telle « expérience ». Il y a 6 ans, je pensais encore que nous étions en France, peu après l’an 2000… puis tout a basculé. Mais Alain Finkielkraut l’a bien dit en 2002, « la culture c'est le choix de l'anachronisme, c'est décider que la visée suprême de l'humain ce n'est pas de vivre avec son temps ».
Des motivations du délibéré du 30 juin 2008,
« Attendu que M. Kant est bien trop bavard... »
Aujourd'hui et alors que beaucoup d'eau a coulé sous les ponts, cette justice m'intime plus globalement de brûler mes dossiers, tous mes livres, le JO, l'état civil, Légifrance et j'en passe, de couper Internet, de me faire mieux conseiller, de changer de discours... qu'est-ce que ça signifie ? Qu'est-ce qui pose tant problème et à qui ?
Cette justice veut-elle des éléments anciens ou nouveaux ? J'en ai. Au printemps dernier, j'ai sommé le juge pour enfant de juger... pourquoi est-il encore une fois parti s'éclairer en Alsace/Lorraine ? C'est tout simplement débile.
J'assume aussi
« On a pas à avoir d'état d'âme », on parle d'enfances. Je reviens de l'ePoste, ma missive est partie. Quelle sera la réponse ? Lettre morte ? Lettre type ? « Je n'ai pas tous les éléments » ? Que le château ose et qu'il en réclame.
Des puces savantes affirmeront que tout cela ne prouve rien et se demanderont encore longtemps pourquoi la cassation alors que je savais que j'allais « perdre ». Je leurs répondrais que ce que produit Nanterre ou Versailles ne prouve parfois pas grand chose non plus... Celles qui en douteraient n'ont qu'à questionner un guéridon.
D'ici quelques temps, certains pourraient être dans des états pas possibles. Pas grave, tout se soigne.
Sont libérés de tout devoir de fidélité, de toute dépendance, ceux dont le seigneur est manifestement tombé dans l'hérésie. • Du Manuel des inquisiteurs, coll. Bibliothèque de l'Evolution de l'Humanité, chez Albin Michel
Obama prête serment... une seconde fois
lefigaro.fr avec AFP, 22/01/2009 | Mise à jour : 16:27, extrait
En raison d'un adverbe mal placé, le président américain, investi en grande pompe et devant les yeux du monde entier mardi, a tenu à reprêter serment, de manière extraordinaire mercredi.