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Estelle Mouzin : un homme en garde à vue
Estelle Mouzin: un homme en garde à vue
Lefigaro.fr Mis à jour le 09/11/2011 à 17:16 | publié le 09/11/2011 à 16:25
Un détenu de la prison de la Santé, âgé d'une soixantaine d'années, a été interpellé aujourd'hui et placé en garde à vue à Versailles sur dénonciation d'un de ses codétenus, dans le cadre de la disparition d'Estelle Mouzin en janvier 2003, a-t-on appris de source proche du dossier.
Marche silencieuse samedi pour Estelle Mouzin
Mis à jour 02-01-2012 17:41, Metro
Marche silencieuse samedi pour Estelle Mouzin
Disparue depuis le 9 janvier 2003, la fillette de neuf ans n'a jamais été revue depuis. Guermantes, sa ville de Seine-et-Marne, se mobilise une nouvelle fois cette année.
HOMMAGE - L'association Estelle organise samedi 7 janvier à 15 heures, neuf ans presque jour pour jour après la disparition d'Estelle Mouzin, une marche silencieuse dans la ville de Guermantes (Seine-et-Marne). Comme chaque année, une centaine de personnes est attendue dans la commune, à l'occasion du neuvième anniversaire de la disparition le 9 janvier 2003 de l'enfant alors âgée de 9 ans. Le cortège défilera comme chaque année dans la ville avant de se recueillir à l'endroit où a été planté en 2005 "l'arbre du souvenir", près du lieu de la disparition de la fillette.
Des difficultés récurrentes...
Alors qu'une conférence de presse est organisée mardi au cabinet de Maître Didier Seban, avocat de la famille, Eric Mouzin devrait critiquer une nouvelle fois les problèmes de coordination manifestes entre la police, la justice et l'association. L'année dernière, il avait déploré que "huit ans après la disparition d'Estelle, les choses se compliquent chaque année un petit peu plus" évoquant notamment "la disparition des éléments de preuve".
Disparition d'Estelle Mouzin : le coup de colère de la famille
NDLR : Ca me fait rigoler. En mai 2010, Eric Mouzin s'était un peu moqué de moi, je me plaignais du fonctionnement des prétoires de mon coin, Nanterre, Antony et la cour d'appel de Versailles... Et voilà donc qu'à son tour, Monsieur Mouzin réclame un « contrôle », voire même un « changement de juge »
Disparition d'Estelle Mouzin : le coup de colère de la famille
TF1/LCI, le 03 janvier 2012 à 13h51 , mis à jour le 03 janvier 2012 à 13h54
Près de neuf ans après la disparition de la fillette, l'avocat de la famille demande le dessaisissement du tribunal de Meaux, qu'il estime "pas en mesure de traiter normalement un dossier aussi grave". Et il dénonce : "On a le sentiment que les enquêteurs sont livrés à eux-mêmes".
Voilà neuf ans, pratiquement jour pour jour, qu'Estelle Mouzin a disparu. C'était le 9 janvier 2003, en Seine-et-Marne ; depuis, aucune nouvelle de la fillette. Ce mardi, à moins d'une semaine de la date anniversaire de sa disparition, l'avocat de la famille a demandé le dessaisissement du tribunal de Meaux dans l'enquête, estimant qu'il n'est "pas en mesure de traiter normalement un dossier aussi grave".
"Les dossiers s'entassent dans le bureau du juge d'instruction (à Meaux) sans être classés. Aucune pièce, aucune cote n'est aujourd'hui lisible et donc on se demande si la justice est en mesure d'orienter l'enquête. On a le sentiment que les enquêteurs sont livrés à eux-mêmes, sans aucun contrôle judiciaire", a dénoncé Me Didier Seban, lors d'une conférence de presse à son cabinet parisien.
Quid de la piste Fourniret ?
Que demandent les proches de la jeune disparue dans cette affaire ? "A la fois une enquête par le président de la chambre de l'instruction sur les conditions dans lesquelles cette enquête est menée par le juge d'instruction à Meaux et également au procureur général près de la cour d'appel de Paris que le dossier soit soumis à la cour de cassation pour être transféré à une autre juridiction", a insisté Me Seban.
Un exemple des lenteurs dans cette affaire : en mai 2010, l'avocat avait demandé à la justice d'expertiser trois scellés provenant du dossier du tueur en série Michel Fourniret, condamné en mai 2008 à perpétuité pour sept meurtres de jeunes filles entre 1987 et 2001. "Plus d'un an et demi après cette demande, nous ne sommes pas en mesure de dire si les scellés ont été examinés et si ça a donné quoi que ce soit", a-t-il poursuivi, martelant que c'est "scandaleux qu'on fasse attendre M. Mouzin et la famille sans que des orientations d'enquête ne soient menées". Et d'insister : "La première manière d'écarter la piste éventuelle de Fourniret, c'est d'examiner les milliers de cheveux qui ont été retrouvés dans sa camionnette et qui peuvent nous donner peut-être une vérité".
De son côté, Eric Mouzin, le père d'Estelle, a estimé que "soit le juge décide de clôturer le dossier, soit on continue et si c'est le cas, on se donne les moyens de le faire".
le 03 janvier 2012 à 13:51
Affaire Estelle Mouzin : le militaire n'a rien à voir avec l'affaire
NDLR : Ouf, je l'ai échappée belle. J'ai plein de notes dans mon blog
Info Franche-Comté - Affaire Estelle Mouzin
Le militaire n'a rien à voir avec l'affaire
Par Sarah Rebouh et Catherine EME-ZIRI, France 3, extrait
Au moment de l'enlèvement d'Estelle, il était âgé de 11 ans, donc trop jeune pour être considéré comme suspect. A priori, ces notes manuscrites ne semblaient pas révéler de nouveaux éléments qui seraient, jusqu'à maintenant, inconnus ou non publiés par les médias. Le jeune militaire est revenu à l'hotel. Apparemment, il n'était pas au courant qu'il était recherché par la gendarmerie.
Dernièrement, il s'est présenté pour louer à nouveau une chambre, dans l'Etap Hôtel de Besançon où il semble avoir ses habitudes. Interrogé par les gendarmes, il a déclaré n'avoir aucun lien avec la disparition d'Estelle. Il aurait tout simplement pris des notes à la suite du visionnage d'une émission télé retraçant l'histoire de la jeune fille. Pour ce qui est de la valise, il dit l'avoir laissé à l'hôtel précipitemment pour réussir à avoir son train. D'après une source proche de l'enquête, il n'aurait effectivement rien à voir dans l'affaire Estelle Mouzin.
Coup de filet islamiste : « une bavure »
NDLR : Une vraie bavure, une op' de comm' ? C'est pas possible
LE FLASH > Actualité
Coup de filet islamiste : "une bavure"
AFP Publié le 07/04/2012 à 20:41
L'un des avocats de deux frères, interpellés mercredi à leur domicile dans le cadre du coup de filet mené dans plusieurs villes, puis relâchés jeudi soir au terme de 37 heures de garde à vue, a dénoncé aujourd'hui à Pau une "bavure" et a annoncé son intention de demander réparation au civil.
"Nous allons assigner l'agent judiciaire du Trésor", représentant légal de l'Etat, "pour obtenir une indemnisation de tous les préjudices subis à la suite de cette désastreuse bavure", a indiqué Me Thierry Sagardoytho, qui défend ces deux frères de 23 et 28 ans.
Piste, 33 ans après une disparition
NDLR : Un message d'espoir ? Dans 25 ans, nous rechercherons peut-être encore Estelle Mouzin #courage
LE FLASH > Actualité
Piste, 33 ans après une disparition
AFP Publié le 19/04/2012 à 21:20
La police de New York et le FBI ont entamé des recherches dans une cave du sud de Manhattan, 33 ans après la mystérieuse disparition d'un enfant de 6 ans, Etan Patz, qui avait à l'époque traumatisé la ville. "Nous sommes en train d'abattre une cloison de plâtre, pour examiner le mur original", a précisé sur place, sur Prince Street, le porte-parole de la police Paul Browne à des journalistes.La police va également "casser le béton qui recouvre le sol, et creuser la terre en dessous pour essayer de retrouver des restes humains et des vêtements", a-t-il ajouté.
Etan Patz, 6 ans, avait disparu sans laisser de trace le 25 mai 1979, sur le chemin de l'école. C'était la première fois que ses parents le laissaient aller seul jusqu'à l'arrêt de bus à deux pâtés de maison de son appartement, et sa disparition avait fait grand bruit.
Les recherches avaient impliqué de très nombreux policiers pendant plusieurs semaines, dépassant très largement la ville de New York. Etan avait été le premier enfant disparu dont la photo était apparue sur les briques de lait, pour essayer d'obtenir des renseignements.
Le président Ronald Reagan avait ensuite fait du 25 mai la journée nationale des enfants disparus. Le petit garçon n'a jamais été retrouvé, et il a été déclaré mort en juin 2001 par un tribunal de Manhattan. Un homme, ami de son ancienne baby sitter a été soupçonné de sa disparition, mais Jose Antonio Ramos, actuellement emprisonné pour une autre agression sur un enfant, n'a jamais été condamné au pénal.
Retour au réel et aux heures les plus noires de l'Histoire
Je n'ai plus que peu de temps à consacrer à ce blog, à ces histoires, à ce qui serait de « l'assistance éducative ». Pour beaucoup, cette affaire de « placement » de ma fille ainée serait bouclée ou bâclée depuis septembre 2011, elle est depuis majeure. Cependant, comme nous l'exposait John Galsworthy, en 1910, « La justice est une machine qui, ayant reçu une poussée de quelqu'un, continue à rouler d'elle-même. » J'avais déclaré un pourvoi contre un arrêt de la cour d'appel de Versailles, rendu en avril 2011. Prochainement, la cour de cassation devra prendre une décision, d'admission ou de rejet. Cette décision devrait tomber en mai, alors que suivra encore une journée internationale des enfants disparus ou plus là. Dans ce contexte, une petite publication, quelques critiques et des railleries de plus sont à mon avis nécessaires.
Dans le cadre ou en marge de cette procédure « d'assistance éducative », j'ai déjà deux arrêts de cassation, motivés, de décembre 2008 et d'octobre 2010 ; les deux arrêts me sont favorables. Jamais deux sans trois, dit-on ; suivra-t-il un arrêt motivé de plus ? Ce n'est pas certain. Avec la majorité de mon aînée, tout pourrait s'être éteint, y compris mon pourvoi ou recours contre cette décision d'avril 2011 de Versailles, un arrêt rendu quelques mois seulement avant la majorité de mon ainée. J'ai déjà amplement démontré qu'écrire ou parler aux petits juges est le plus souvent inutile. J'ai aussi suffisamment montré et démontré que faire appel d'une décision du juge pour enfant, c'est vain. La cassation, rare en matière « d'assistance éducative », c'est tout autant inutile, elle n'intervient que trop tard, ou les petits juges et la cour d'appel tendent à l'ignorer. Quand un juge pour enfant est saisi, il faut juste acquiéscer, plier et se soumettre, renoncer surtout aux voies de recours, des voies illusoires, comme cela avait déjà été assez bien décrit par Jacques Donzelot, en 1977, dans La police des familles. Qui peut faire appel ? « Les spécialistes ! Eux seuls peuvent arguer... » Dans mes affaires, personne hormis moi-même n'a jamais fait appel ni déclaré aucun pourvoi - mais je suis l'imbécile de cette histoire.
Un simple arrêt de rejet pourrait me convenir ; aujourd'hui, cela me suffirait pour compléter mes démonstrations. Mais je préfèrerais tout de même que ce pourvoi, déclaré mi 2011, soit admis, puis un jour jugé ; le pasteur d'Uhrwiller ou le couple clémentz pourrait ensuite, éventuellement, être condamné une seconde fois, et la cour d'appel de Versailles être mouchée ou douchée une n-ième fois ; je suis par ailleurs assez certain que Lise, magistrate que j'ai perçue très procédurière, très liée par le droit, très embarrassée aussi par ce que je lui exposais, apprécierait beaucoup de savoir l'un de ses arrêts cassé... Les juges de la cour de cassation décideront donc maintenant de la suite, en mai prochain ; dans ces histoires, ce sont les juges qui décident ou choisissent le destin, ce que MAM devrait pouvoir confirmer.
Rappelant des textes organiques et le statut de la magistrature, l'arrêt de décembre 2008 remettait les points sur les i de la première présidence ; l'été 2008, à l'issue d'une audience et après avoir été débouté, elle m'avait lancé d'aller me faire « mieux conseiller », je percevais alors une méchante grossièreté... L'arrêt de fin 2010 cassait et annulait ensuite un arrêt de Olivier Echappe, mythographe, spécialiste en droit canon, spécialiste aussi en Constitution de la cinquième et son islamisation. Entre 2010 et 2011, je finissais aussi par infliger un bon blâme à une étude de notaire, après 5 ou 6 ans de procédure. Dans ce prolongement et alors que plus personne n'y voyait plus rien de sérieux à juger ou à rejuger, j'apprécierais beaucoup d'obtenir, un jour, un arrêt qui casserait la décision rendue en avril 2011, par Lise. Je préfèrerais donc qu'en mai prochain, mon pourvoi soit admis et non simplement rejeté, en raison de la majorité de mon ainée.
Est-ce que « faire appel » autant de fois était « excessif » ? C'est possible, car au cours de ces dernières années, la chambre des mineurs ou des créatures inférieures de la cour de confirmation de Versailles m'a systématiquement débouté, comme si j'avais eu tort de protester, de faire appel, elle m'a à chaque fois débouté, comme conformément à des usages d'un autre temps, médiéval peut-être. Versailles m'aura donc même débouté alors que la cour de cassation m'y renvoyait. Je souhaiterai donc vraiment que la cour de cassation statue une fois de plus, pour que je puisse ensuite étudier ce qu'elle aura encore rendu. Lorsque le juge pour enfant est saisi, les contrôles, les voies de recours sont illusoires, inopérants ; il ne manquait plus qu'elles soient également inaccessibles... Mai, c'est bientôt.
A suivre... comme d'habitude, ici, ce sera acerbe après relectures et corrections.
100 ans avec la crim' de Versailles ou ces « clous dans le coeur »
NDLR : Ce vendredi soir, je cherchais Rivarol, le journal. Je pensais qu'après la promo de Minute par #UMP-FN, on trouverait aisément Rivarol, que ses feuilles sont aujourd’hui déjà largement diffusées, dans toutes bonnes librairies et les bars de quartiers. On me répondra que les librairies ne manquent pas de lectures ? Oui, je suis assez d'accord. Le voyant en vitrine et connaissant un peu son contenu, il a été présenté par divers médias, j'ai ramassé le pavé de Danielle Thiéry et de Alain Tourre, Police judiciaire, 100 ans avec la crim' de Versailles, ed. Jacob-Duvernet, 2012, préfacé par Christian Lothion, Directeur central de la police judiciaire. Je suis allé tout droit aux pages qui pouvaient m'amuser, les affaires « non résolues », les « cold case » ; bingo. J'ai lu ce que je savais déjà, « l'échec » n'existe pas, et que « on fait tout pour ne pas être surpris par les délais de prescription et pour donner à l'affaire, quelle qu'en soit la victime, des chances... » A la fin de ce mois de mai, à l'occasion de la journée internationale des enfants disparus, j'aurais peut-être l'opportunité d'en rediscuter avec le père d'Estelle Mouzin, il sait que la justice, ça ne fonctionne pas toujours, ou parfois mal, à moins que je n'en discute encore avec d'autres parents ou proches de « personnes pas retrouvées ou plus là ». Oui, je sais, inutile de me le lancer, ni de me le répéter, la vie, la famille, les enfants, tout ça, c'est « sacré ». Qui n'a pas maintenant très bien entendu les palabres de Nicolas Sarkozy ?
Police judiciaire, 100 ans avec la crim' de Versailles
ISBN 978-2-84724-380-2, éditions Jacob-Duvernet, p. 383
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Les Farc veulent débattre de l'information pour libérer Langlois
NDLR : Voilà que les FARC et Langlois refont encore parler d'eux. Je les avais oubliés, ce 3 mai ; ils auraient pu attendre l'année prochaine... Comme c'est maintenant un peu de saison, bisous aux FARC et aux journalistes aussi, tant qu'à faire ! Mes procédures dans des prétoires, c'est quasi fini, l'essentiel a été foiré par la justice ou s'éteint depuis la majorité de mon ainée. Et mon ainée est libre comme l'air, depuis septembre dernier. Les magistrats français ne trouveront maintenant plus grand chose pour me faire chier encore, des mois et des années durant ; en théorie. Patience, Langlois, t'es même pas vraiment plus là, on sait ou t'es, chez les FARC, nous n'avons donc pas trop de soucis à nous faire ; tout finira par s'arranger, pour toi aussi
Les Farc veulent débattre de l'information pour libérer Langlois
Reuters, lundi 7 mai 2012 21h36
BOGOTA (Reuters) - Les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) ont réclamé lundi un débat sur la liberté d'informer comme première condition à la libération du journaliste français enlevé il y a neuf jours dans le sud du pays.
Roméo Langlois, correspondant de France 24 en Colombie, accompagnait les militaires colombiens lorsqu'il a été enlevé le 28 avril lors d'un d'un affrontement entre l'armée et les Farc.
"Il faudrait au minimum, avant qu'il ne soit libéré, un vaste débat national et international sur la liberté d'informer", écrit la guérilla marxiste dans un communiqué, sans plus de précisions.
"Les journalistes que les forces armées colombiennes emmènent avec elles (...) ne remplissent pas leur devoir d'informer de manière impartiale sur la réalité, ils manipulent (les faits)".
Les Farc ont diffusé dimanche une vidéo dans laquelle elles confirment avoir enlevé le journaliste français qu'elles qualifient de "prisonnier de guerre".
Luis Jaime Acosta, Marine Pennetier pour le service français, édité par Jean-Philippe Lefief
© Thomson Reuters 2012 Tous droits réservés.
association-estelle.org porté disparu ?
Depuis quelques semaines, je me demande où se rassembleront les officiels, pour la Journée internationale des enfants disparus. C'est à la fin du mois. On va me le cacher ? Je me suis parfois fait remarquer... Pour le moment, je n'ai rien trouvé sur le net. J'enverrais encore quelques tweets, sait-on jamais, quelqu'un finira peut-être par me répondre. Morano n'étant plus là, il ne se passera peut-être rien, il n'est pas certain que les socialistes organiseront quelque chose. En mai 2010, je croisais Morano et son entourage, sur le parvis de l’hôtel de ville de Paris, puis je publiais Vers une théorie des dysfonctionnements acceptés. Oui, à l'époque, le 25 mai 2010, au sortir de la cour d'appel de Versailles, d'une chambre civile, j'avais vociféré sur le parvis, comme sait le faire Nadine, la poissonnière de service, ce jour là. Et alors ?
Où est passé ce site là, association-estelle.org ? C'est encore dans la base, whois retrouve bien ce domaine ; last updated may, 2012, devrait expirer en 2013 seulement. J'ai fait un test à partir de mon mobile, le site semble bien être indisponible ; les DNS ne renvoient rien, l'hébergeur du site est en panne ? Le barouf parisien des enfants disparus pourrait suivre dans moins de 15 jours. D'ici à cette période, le site de l'association Estelle Mouzin fait peut-être peau neuve ? Il pourrait aussi s'agir d'une simple panne, d'un banal mais gros incident technique, chez l'hébergeur, ou chez celui qui s'occupe du site. Ca va, ça vient, ces trucs là. J'ai remarqué qu'après la suppression d'un contenu, qu'après des tweets de @bvnca, le loueur d'autos hollowcost.fr répond à nouveau...
Ces derniers jours, mon propre site est lui aussi souvent indisponible, ou lent à répondre. Mon hébergeur pourrait avoir patché quelque chose, de son côté... A l'occasion, je vais peut-être y remédier. Je m'en fous. De toute façon, mes affaires ne sont plus que « d'ordre privé » ; depuis juin 2008 et un reportage Faits divers, le mag, pour France 2, elles n'intéressent plus aucun média, plus le moindre journaliste. Ces derniers ont bien plus important à faire, tel que de suggérer maintenant aux gens de lancer des chaussures dans les tribunaux, surtout quand rien n'y va plus ; pourquoi pas ; j'aurais vraiment tout lu. Mon blog peut donc continuer à fonctionner de façon erratique, tantôt et souvent là, parfois pas là.
Si je ne vois rien, si je ne cherche pas moi-même, si je ne farfouille pas, si je ne provoque rien ni personne, ce n'est que très exceptionnellement qu'on me dit quelque chose, qu'on m'informe. Ce n'est pas plus mal comme ça, alors que plus d'un hurluberlu pourrait m'envoyer n'importe quoi, ou des liens susceptibles de m'agacer comme rarement. Archives et palabres ou belles déclarations d'intentions : « Une campagne choc qui va faire débat ! », une présentation, sur le site de la Fondation Enfance, dans le cadre et à l’occasion de la Journée internationale contre les violences éducatives ? Je découvre ; je n'ai même pas téléchargé leur dossier de presse ; la vidéo, je l'avais vue. Avril 2011, c'était encore sous la présidence de Nicolas Sarkozy, le nabot de cette histoire ; il a fait pschitt, ce 6 mai ; C'est Sarkozy, à l'Assemblée, qui nous avait assuré que tout serait fait pour retrouver Estelle ; mais qui s'en souvient, ou ne s'en fout pas ?
A l'époque, début 2011, je gigotais encore à la cour d'appel de Versailles. C'est l'arrêt de cette période, d'avril 2011, que la cour de cassation pourrait bientôt rejeter, en « raison de la majorité » de ma fille ainée. J'avais publié quelques lignes à ce sujet, aux alentours du 21 avril dernier, en plein premier tour. Tout peut maintenant finir de faire pschitt ?
Je n'ai pas tout « perdu ». Comme à d'autres, le mois, dernier, l'UMP m'a fait par de ses « regrets ». Les socialistes, je les avais croisé devant ma porte alors qu'ils y faisaient le tapin. La cour d'appel de Versailles venait de me rendre un ultime torchon... à moins qu'un faux. C'est toujours ça. Avec du papier en main, parfois même n'importe quoi, et quelques traces bien ancrées dans le réel, je peux encore et comme depuis toujours m'exprimer assez librement.
Je finis toujours par apprendre ou trouver des choses. Je provoquerais ou fouillerais encore. Fin mars dernier, je m'étais rendu à Limeil-Brevannes, à la mairie. Je voulais un exemplaire de leur canard municipal. Avoir du papier en main, c'est toujours mieux. Et puis je vais finir par me lasser vraiment, c'est en bonne voie, depuis un moment déjà. Ca ne m'intéresse plus, « l'assistance éducative », j'en ai maintenant amplement fait le tour, en près de 10 ans de procédures assez diverses, de recherches en toutes matières, et occasionnellement, d'échanges parfois sérieux à ces sujets. Maintenant, je pense plus à vaquer à mes occupations usuelles, tel que travailler, il le faut bien, acquiescera la gauche comme la droite, ainsi qu'à prendre encore des notes et surtout, à alimenter un peu une rubrique victimes, #ragots #cancans #loisirs
Le Castor, mars 2012, n° 155
Le mensuel d'information et d'expression de Limeil-Brévannes
La mère du petit Antoine interpellée
NDLR : A chacun sa façon d'interpeller les journalistes, ou de faire réouvrir des dossiers. Pour peu que cette femme persiste sur ces voie, nous reparlerons souvent d'Antoine. La journée des enfants plus là, c'est dans 10 jours. Qu'est-ce qui se passe ? Le site association-estelle.org est toujours porté disparu sur la toile.
Actualité > Faits divers
Exclusif. La mère du petit Antoine interpellée
Le Parisien | Jean-Marc Ducos | Publié le 14.05.2012, 21h06 | Mise à jour : 15.05.2012, 09h35
Alexandrine Brugerolles de Fraissinette, 27 ans, la mère du petit Antoine, 6 ans, mystérieusement disparu en septembre 2008 de son domicile à Issoire (Puy-de-Dôme), a été interpellée ce mardi matin, dans un village du Vaucluse où elle réside désormais. Son compagnon, Sébastien Ribière, 33 ans, a lui aussi été arrêté par la brigade criminelle de la police judiciaire de Marseille, parmi une dizaine d'autres personnes.
La PJ enquêtait depuis un an sur le meurtre d'une femme de 38 ans, battue à mort dans son appartement de Marseille en juin 2011. Son cadavre avait été retrouvé une semaine après son décès, nu dans sa baignoire. Selon nos informations, Alexandrine Brugerolles et Sébastien Ribière, qui vivaient à l’époque des faits dans les Bouches-du-Rhône, étaient en contact étroit avec la victime, impliquée dans un trafic de stupéfiants et qui servait de «nourrice» à des revendeurs. Ce sont des écoutes téléphoniques qui ont permis de remonter jusqu’aux suspects interpellés ce matin. La mère d’Antoine et son compagnon ont tous deux été condamnés dans le passé pour trafic de drogue.
C’était la 10e Journée internationale des enfants disparus
NDLR : Il y a 10 jours, je constatais que association-estelle.org avait disparu de la toile. Il me semble que l'APEV avait ensuite annoncé que « le traditionnel lâcher de ballons » ne devait pas avoir lieu cette année. Depuis 2 ou 3 jours, le site de l'association Estelle est à nouveau en ligne. J'en sais maintenant un peu plus, après la lecture d'un article paru dans le Monde de ce samedi 26 mai. En janvier dernier, j'avais bien noté que Eric Mouzin et ses proches étaient en colère, ou très déçus. « Changer de juge », combien en ont rêvé... il suffisait pourtant d'une carotte. Obtenir des « contrôles », c'est déjà plus dûr. Je ne sais pas encore si la cour de cassation examinera finalement ou non un arrêt rendu en avril 2011, par la cour d'appel de Versailles. Une cassation de plus, même sans renvoi, ça me suffirait. S'il ne suivait qu'un arrêt de rejet, tant pis. D'une façon ou d'une autre, je ferais avec, et « en tuant comme jadis ». #lesjuges devraient pour leur part être contents. Comme l'an dernier, ce 25 mai, je n'ai pas mis les pieds à Paris, pour y endosser le rôle du plus zinzin d'entre tous. En 2010, j'y étais, pour un clash, sur le parvis de l'hôtel de ville de Paris.
Elle tombe dans un nid de serpents en cherchant un signal réseau
NDLR : On a finalement trouvé mieux que la justice ou un rapport « pour faire la lumière », Valls et Taubira, pour se précipiter en Corse... Après quoi, on nous martèlera encore que la violence n'est pas la solution à retenir pour émouvoir ceux qui gouvernent. L'ordre a été « laborieusement inculqué au lendemain de la guerre, nous appartenons à une société qui résout ses différends par la parole ». Il suit bientôt, le procès de Chantal Clos ? Qu'en est-il des recherches de Antoine, à Issoire, elles aboutissent ? Rachida Dati, ex-Garde des Seaux à champagne, testera-t-elle, à son tour, la cour de cassation ? Des nouvelles de Estelle Mouzin ? Il va bien, le fonctionnaire récemment aspergé par une ex-enseignante ? Comment vont les enfants des bois, ont-ils maintenant renoué avec leur mère, Catherine Martin ? Ou en est rendue Mallaury Nataf, elle a récupéré la garde de Shiloh ? Christiane Felscherinow, que devient-elle, et son enfant, ça va ? J'ai bien noté que Philippe Courroye a fait sa rentrée dans le Val-de-Marne, et qu'il a maintenant un successeur, à Nanterre. Oui, comme beaucoup de Français, 18 millions, je lis les ragots et les journaux ; on me reprochera aussi de prendre des notes, pire encore, de voyager, et surtout de bavasser. Desproges avait bien raison, on peut rire de tout, mais pas avec n'importe qui
Actualité > Faits divers
Valls et Taubira en Corse dès ce soir après un nouvel assassinat
Le Parisie | Publié le 14.11.2012, 19h29 | Mise à jour : 15.11.2012, 00h33, extrait, l'essentiel
Ils devaient aller en Corse fin novembre, mais Jean-Marc Ayrault a demandé à Christiane Taubira et Manuel Valls de s'y rendre « sans délai ». Une urgence qui répond à l'assassinat vers 19 heures, mercredi, de Jacques Nacer, Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Corse-du-Sud. Il s'agit de la 17ème victime sur l'Ile de Beauté depuis le début de l'année.
Jean-Marc Ayrault entend ainsi démontrer « la détermination du gouvernement pour lutter contre la violence dans l’île ». Selon France Inter, la ministre de la Justice et le ministre de l'Intérieur seraient déjà dans l'avion. Ils devaient à l'origine effectuer une visite en Corse le 29 novembre. Il s'agira de leur premier déplacement là-bas depuis leur entrée au gouvernement.
Une photo de voyage, prise le 3 juin 2010,
au retour d'un prétoire de Lorraine
Deux juges vont suivre l’affaire Estelle
NDLR : Il y a 10 jours, je me demandais encore si nous avions des nouvelles de cette fillette, si la justice avait enfin pu progresser. Son père, Eric Mouzin pourrait être blême... satisfait, mais aujourd'hui blême. Avis à ces deux juges, qui ont peut-être tout à découvrir des tomes du dossier ou de l'affaire Estelle, cette disparition finalement très inquiétante, et un vrai « clou dans le coeur » : je collectionne des coupons de presse, ce qui ne fait pas de moi un suspect, je ne suis pas responsable, ni d'aucune façon militaire ou impliqué dans la disparitions d'Estelle ! Je ne fais que lire des journaux, comme beaucoup, tout en prenant parfois quelques notes
Archives (déjà)
Deux juges vont suivre l’affaire Estelle
Le Parisien | Publié le 22.11.2012, 07h00
Ce n’est plus un juge d’instruction, mais deux, qui sont désormais en charge de la disparition d’Estelle Mouzin. La petite fille, âgée de 9 ans, avait disparu le 9 janvier 2003 à Guermantes, alors qu’elle revenait de l’école. Le père de l’enfant, Eric Mouzin, continue d’espérer que l’enquête menée par la direction régionale de la police judiciaire (DRPJ) de Versailles permettra de connaître un jour la vérité.
Fugues, enlèvements parentaux : les disparitions ont augmenté en 2011
NDLR : Fugues, enlèvements parentaux, etc, affreux quand ça arrive aux autres #LOL Cette année, je prends la ferme résolution de ne pas être plus sérieux que l'an passé ; c'est ce qu'il y aura de plus facile à tenir
30/12/12 - 17h07, L'écho Républicain
Fugues, enlèvements parentaux: les disparitions ont augmenté en 2011
De la disparition d'Estelle Mouzin il y a presque dix ans à la fugue de deux lycéennes du Puy-en-Velay (Haute-Loire), dont une a été récupérée samedi par sa famille, les disparitions d'enfants recouvrent des cas très différents, mais ont fortement augmenté en 2011.
"Pour 2011, les disparitions ont augmenté de 9,1%, soit un total enregistré par les services de police et gendarmerie de 64.318", indique le site internet de l'Inavem, un réseau de 140 associations de professionnels de l'aide aux victimes, en précisant que les chiffres proviennent de l'Office central de répression des violences aux personnes.
Le chiffre le plus important est celui des fugues, avec 51.843 cas signalés, contre 46.595 en 2008. Suivent les disparitions inquiétantes (11.397 cas), la recherche dans l'intérêt des familles (RIF, 701 cas) et les enlèvements parentaux (377 cas).
Le bilan de 2012 n'est pas encore connu.
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