Catégorie: Affaire Cassez
Florence Cassez : la juge rapporteuse se bat pour elle
NDLR : Je note que pour ce rapporteur, « favorable » à la libération de Cassez, « il reste du chemin à parcourir pour convaincre les autres juges en charge du dossier ». Quand Copé ou l'UMP souhaiteront sauver encore Florence Cassez, ils penseront peut-être aussi à retrouver association-estelle.org, un site Internet porté disparu...
Actu-Match | vendredi 11 mai 2012, extrait
Florence Cassez. La juge rapporteuse se bat pour elle
Olga Sánchez Cordero, la nouvelle rapporteuse dans l'affaire Florence Cassez, a donné une interview dans laquelle elle confirme souhaiter sa libération, tout en reconnaissant qu'il reste du chemin à parcourir pour convaincre les autres juges en charge du dossier.
L’histoire sans fin. Florence Cassez, écrouée depuis plus de six ans au Mexique, pour...
Marion Cotillard a vu Florence Cassez
NDLR : Bientôt un beau film de plus ! Je le rangerais pas loin de L'affaire Finaly et de Présumé coupable.
LE FLASH > Actualité
Marion Cotillard a vu Florence Cassez
AFP Publié le 01/05/2012 à 22:40, extrait
L'actrice française Marion Cotillard a rendu visite début avril à sa compatriote Florence Cassez emprisonnée à Mexico depuis plus de six ans, a révélé le quotidien mexicain Reforma, citant des sources pénitentiaires et des "proches de l'actrice".
Florence Cassez, condamnée à 60 ans de prison pour enlèvements, qui a toujours clamé son innocence et dont le recours en révision est actuellement examiné par la Cour suprême du Mexique, a confirmé cette information à l'AFP par téléphone. La Française emprisonnée a toutefois démenti l'affirmation de Reforma selon laquelle aurait été évoqué au cours de cette visite un projet de film sur son histoire dans lequel Marion Cotillard jouerait le rôle de Florence Cassez. "Entre Marion et moi il n'a jamais été question d'un projet de film", a assuré la Française à l'AFP.
Cassez : Sarkozy promet de se battre
Infos > Politique
Cassez : Sarkozy promet de se battre
Par Europe1.fr avec Reuters
Publié le 23 mars 2012 à 14h34
Mis à jour le 23 mars 2012 à 14h34
Nicolas Sarkozy s'est déclaré "triste" du maintien en détention de Florence Cassez, une Française condamnée à 60 ans de prison au Mexique, tout en soulignant que la justice locale commençait à bouger sur ce dossier qui empoisonne les relations entre Paris et Mexico.
"Je suis triste pour Florence", a-t-il dit vendredi à des journalistes en marge d'un déplacement de campagne électorale à Valenciennes. "Je ne renonce pas, on continue. Je verrai sa famille", a-t-il ajouté.
Condamnée pour complicité d'enlèvement, une accusation qu'elle conteste avec véhémence, Florence Cassez a vu cette semaine une demande de libération rejetée bien que quatre des cinq juges de la Cour suprême mexicaine ont reconnu que ses droits avaient été violés dans la procédure.
Florence Cassez, bientôt libérée ?
LE FLASH > Actualité
Mexique : la libération de Florence Cassez va être proposée à la Cour suprême
AFP Mis à jour le 07/03/2012 à 21:02 | publié le 07/03/2012 à 20:22
Le rapporteur du cas de Florence Cassez devant la Cour suprême du Mexique, le juge Arturo Zaldivar, va proposer la libération "immédiate et absolue" de la Française condamnée à 60 ans de prison pour enlèvement, selon un communiqué de la Cour.
Cette proposition, qui doit être soumise aux cinq juges de la première chambre de la Cour suprême, est motivée par le non respect des droits consulaires, la non mise à disposition immédiate devant le ministère public et le non respect de la présomption d'innocence. Selon Me Agustin Acosta, avocat mexicain de Florence Cassez, la décision de la Cour suprême devrait intervenir le 21 mars.
Florence Cassez : « une manipulation fantaisiste », selon Maître Berton
NDLR : Qu'est-ce qu'ils sont doués, ces mexicains, au moins aussi doués que des travailleurs sociaux ou des magistrats français, ils savent aussi monter des nuages de fumée, entretenir le doute, ou même en rajouter lorsque de précédents doutes ont été dissipés. Ou plutôt, que ne faut-il pas faire pour faire valoir un point de vue ! Récemment, j'ai remarqué que des journalistes ou un « expert judiciaire » pouvaient aussi enfumer le peuple lorsqu'il s'avèrerait nécessaire de « protéger » des enfants... Pourquoi les mexicains se priveraient-ils de ces procédés, puisque ça peut marcher ? Il est aussi possible que de nombreux journalistes nous rapportent très fréquemment n'importe quoi.
F. Cassez: "Une manipulation fantaisiste"
AFP Publié le 10/11/2011 à 19:30
L'avocat de Florence Cassez, la Française condamnée au Mexique à 60 ans de prison pour enlèvements, a qualifié aujourd'hui la campagne de presse lancée contre sa cliente de "manipulation fantaisiste", à l'issue d'un entretien de ses parents avec Nicolas Sarkozy.
"Le gouvernement mexicain, par l'entremise (du ministre de l'Intérieur) M. Garcia Luna organise en ce moment une campagne de presse visant à discréditer Florence en indiquant qu'elle essaierait, en prison, de constituer un gang (...) je démens totalement", a déclaré à la presse Me Frank Berton.
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Nicolas Sarkozy parle-t-il trop vite ?
Voir aussi Dati : « j'ai juste parlé un peu trop vite » et Pourquoi Sarkozy parle-t-il si mal ?
Egalement très drôle, En visite, à l'occasion de la 2 500e « greffe de la foi » ?
POLITIQUE
Nicolas Sarkozy parle-t-il trop vite ?
Créé le 16/02/2011 à 07h22, RTL
Nicolas Sarkozy s'exprime beaucoup et souvent à chaud, comme on vient de le voir à propos de l'affaire Laetitia ou du cas de Florence Cassez. Mardi matin, sur RTL, Robert Badinter l'appelait à parler moins souvent et moins vite. A-t-il raison ? La chronique d'Alain Duhamel.
Virés pour avoir pioché dans le buffet
Virés pour avoir pioché dans le buffet
AFP, 26/07/2011 | Mise à jour : 18:36
Deux employés de Gide-Loyrette-Nouel se préparent à saisir les prud'hommes, affirmant avoir été licenciés pour avoir récupéré des restes de buffets organisés par ce grand cabinet français d'avocats, a déclaré leur avocat à l'AFP. Sollicitée par l'AFP, Gide-Loyrette-Nouel s'est "inscrit en faux contre cette information erronée et caricaturale", une porte-parole assurant que le licenciement s'appuyait sur "des motifs réels et sérieux" qu'elle s'est toutefois "interdit de détailler pour des raisons d'éthique professionnelle".
Procès Chirac : « Deux justices dans ce pays »
NDLR : La réalité est assez limpide. En France, il y a au moins une justice pour les uns, les camarades, et les autres, les pas contents ou les mécontents, peuvent toujours faire appel... et même se pourvoir en cassation. Il y a également une justice pour Florence Cassez, une justice pour Eric Zemmour, une justice pour Dieudonné et le Pen, le père, une justice pour Jean, une autre, en faveur de Nicolas Sarkozy, une justice et des voies de recours en cassation pour Yvan Colonna, une justice en faveur du juge pour enfant Xavier Serrier, la procédure de prise à partie a été bâclée en 6 mois... Marine le Pen sera à l'antenne, dimanche, sur radio J ? Je vais essayer de l'écouter nous parler de la Shoah.
Affaire Florence Cassez
8 mars 2011, 23h10, France Soir, extrait
Affaire Cassez : L'année du Mexique résolument terminée
La France « constate l’impossibilité de mettre en œuvre » l’Année du Mexique ce mardi, et rappelle que Florence Cassez n'a pas eu « un procès juste et équitable ».
Des mesures administratives et financières devraient être prises entre les commissaires mexicains et français la semaine prochaine à Paris, selon un communiqué. L'institut français, organisateur de cette manifestation pour le ministère des Affaires étrangères, y explique encore qu'il « mettra tout en œuvre pour accompagner au cas par cas les structures organisatrices et les aider à gérer au mieux le démontage, les annulations et, lorsque ce sera possible, le report et la reprogrammation » des 360 manifestations qui avaient été prévues dans le cadre de l’Année du Mexique en France.
Le gouvernement mexicain avait réaffirmé ce week-end que « les conditions n’existent pas » pour sa participation à l’Année du Mexique en France en raison du lien maintenu par le gouvernement français avec l'affaire Florence Cassez.
Le Canard, 1er octobre 2008
Politique
8 mars 2011, 22h19, France Soir, extrait
Marine Le Pen invitée sur une radio communautaire juive
« Marine Le Pen n'est pas Jean-Marie Le Pen » a fait savoir le chef du service politique de Radio J, Frédéric Haziza.
La raison ? Début février, la récente présidente du FN s'était en effet démarquée de son père à qui elle a succédé à propos de la Shoah. « Ce qui s'est passé dans les camps nazis est le summum de la barbarie » avait-elle affirmé au Point. Voilà pourquoi, elle serait pour la première fois de sa vie, l'invitée de la radio communautaire juive ce dimanche, selon Frédéric Haziza. Ce qui n'a jamais était le cas de Jean-Marie Le Pen en raison de ses propos antisémites.
Procès de Jacques Chirac
8 mars 2011, 22h13, France Soir, extrait
Procès Chirac : « Deux justices dans ce pays »
Le procès de l'ex-président de la République au sujet des emplois fictifs de la Ville de Paris n'a pas tardé à susciter de vives réactions.
La question prioritaire de constitutionnalité (QCP), déposée lundi par Me Jean-Yves Le Borgne, a été acceptée par le tribunal correctionnel de Paris. Les débats sont donc reportés au mois de juin, le temps pour la Cour de cassation de statuer si elle renvoie la question au Conseil constitutionnel.
À l'annonce de ce report, la première réaction est venue de Me Jérôme Karsenti. L'avocat de l'association Anticor a été très virulent, critiquant au passage le fonctionnement de la justice : « Si aujourd'hui Marine Le Pen est à 23% dans les sondages, on sait aussi que c'est parce que les puissants échappent finalement à leurs responsabilités ».
Au micro de Europe 1, le député vert Noël Mamère s'est indigné du déroulement de ce procès : « Cette affaire illustre encore une fois qu’il y a deux justices dans ce pays : une qui prend son temps et une qui juge à l’abattage, en comparution immédiate ».
Au Parti socialiste, les propos sont moins tranchants, mais tout aussi convaincus de l'importance de la tenue de ce procès. « Il ne peut y avoir ni acharnement ni esprit de revanche en quoi que ce soit mais je crois que c'est vraiment l'intérêt de la démocratie que ce procès ait lieu », a insisté Elisabeth Guigou au micro de I-télé, avant d'ajouter : « Sinon les Français vont se dire qu'il y a la justice pour les puissants et la justice pour les autres ».
A la Une > Politique
Cantonales : Marine Le Pen "booste" les candidats frontistes
LEMONDE.FR | 08.03.11 | 20h41 • Mis à jour le 08.03.11 | 20h42
"Des surprises", a prophétisé François Hollande, dimanche 6 mars, à l'occasion d'un déplacement à Sarcelles pour soutenir Didier Arnal, le président socialiste du Val-d'Oise. Des surprises "pas très bonnes", a précisé le président du conseil général de Corrèze, désignant la possible entrée d'élus du Front national dans les conseils généraux. Pour les 2 023 cantons renouvelables lors des dimanches 20 et 27 mars prochains, ils sont 2 880 candidats et suppléants frontistes à s'être engagés dans la campagne. Le parti présidé par Marine Le Pen sera présent sur les trois quarts du territoire national, tissant un peu plus serré ses réseaux locaux.
Politique | 8 Mars 2011, le JDD, extrait
Immigration: Brunel rappelée à l'ordre par Copé
La députée UMP Chantal Brunel a choqué l'opposition en affirmant, mardi, qu'il fallait "remettre dans les bateaux" les immigrés venant d'Afrique du Nord. En début de soirée, elle s'est expliquée sur le site du Nouvel Obs' sans revenir sur le fond de ses propos. Ce qui lui a valu un rappel à l'ordre de Jean-François Copé, patron de l'UMP.
"Il faut rassurer les Français sur toutes les migrations de populations qui viendraient de la Méditerranée. Après tout remettons-les dans les bateaux!" C'est la phrase politique du jour, émise par la députée UMP Chantal Brunel, interrogée mardi après-midi, à la sortie de l'hémicycle du Palais Bourbon, sur l'impuissance de l'UMP face à la montée du FN dans les sondages. La déclaration a provoqué un électrochoc.
Année du Mexique : le désaccord perdure
Année du Mexique: le désaccord perdure
AFP, 06/03/2011 | Mise à jour : 14:28, extrait
Le Mexique a réaffirmé ce week-end que "les conditions ne sont pas réunies" pour sa participation à l'Année du Mexique en France en raison du lien maintenu par la France avec l'affaire Florence Cassez, a indiqué le Ministère mexicain des Affaires étrangères.
Crash d'un Mirage dans la Creuse : des fragments humains retrouvés
NDLR : Lathoud, Jean-Amédée... ex proc' général de Douais, ex aussi du secteur Versailles. Il pourrait se souvenir de moi ; ces dernières années, j'ai plusieurs fois rayé le parquet du coin... Outreau, 10 ans déjà.
Actualité >
Faits divers
Crash d'un Mirage dans la Creuse : des fragments humains retrouvés
Le Parisien | Publié le 02.03.2011, 09h55 | Mise à jour : 19h30, extrait
Quelques fragments humains ont été retrouvés, mercredi, dans la Creuse, aux abords du cratère où un Mirage 2000 s'est écrasé avec deux pilotes à bord, a indiqué le procureur de la République à Guéret, Olivier Quérard. Des analyses génétiques doivent être entreprises par l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale pour comparer ces fragments avec les ADN des disparus, âgés de 30 ans.
L'avion de la base aérienne 116 de Luxeuil-les-Bains (Haute-Saône), disparu depuis mardi soir des radars au-dessus de la Creuse, a été retrouvé dans la matinée à l'est du département. «L'épave de ce Mirage 2000 a été localisée sur la commune de Saint-Oradoux-près-Crocq au lieu-dit Le Mouneix», a précisé la préfecture, indiquant avoir «déclenché le plan Sater (NDLR: Sauvetage aéro-terrestre) et coordonné, durant la nuit, les opérations de recherches».
«Les pilotes n'ont pas donné signe de vie depuis hier soir», a indiqué le préfet Claude Serra, précisant qu'«aucun écho de balise» n'a été capté. L'appareil est tombé près d'un étang et, «en heurtant le sol, a fait un énorme cratère qui s'est rempli d'eau», compliquant les recherches, a-t-il ajouté. Les opérations de pompage du cratère se poursuivaient mercredi en fin de journée pour accéder à l'appareil, dont «une partie a été pulvérisée» dans le crash, selon le procureur.
PETIT DEJ'
Outreau, Cassez, Niger : Me Berton sur tous les fronts
Publié le samedi 19 février 2011 à 06h00 - Nord Eclair, extraits
PROPOS RECUEILLIS PAR SÉBASTIEN LEROY ET FLORENCE TRAULLÉ, PHOTOS HUBERT VAN MAELE
> region@nordeclair.fr VERSION COMPLETE REACTUALISEE LE 20 FEVRIER 12H30
Il fut l'avocat d'Odile Marescaux, la femme de l'huissier de justice dans l'affaire d'Outreau. Il défend Florence Cassez détenue au Mexique. Il est le défenseur des parents de Vincent Delory, ce Linsellois pris en otage et tué au Niger. Me Frank Berton est devenu un ténor du barreau qui ne s'est pas fait que des copains, bien sûr. Il revient ici sur l'affaire d'Outreau, pile 10 ans après qu'elle ne débute, et sur ces derniers gros dossiers. Un combattant.
[...] Très vite, vous allez rencontrer le juge Burgaud ?
>> Oui, c'est la première fois que je vois. Je n'ai aucun a-priori. C'est un jeune juge. Odile fait ses premières déclarations devant lui. Contre Odile, il n'y a rien de précis. Je découvre à travers les questions qui lui sont posées toutes les accusations portées contre elle par Myriam Badaoui. C'est la première fois que je vois son nom. On est en plein surréalisme. Odile n'y comprend rien. Elle me dit que, peut-être, son mari est allée, en tant qu'huissier, à la Tour du Renard à Outreau. C'est sa seule hypothèse. C'est une femme sortie de sa maison bourgeoise, infirmière en milieu scolaire. Tout cela est incompréhensible.
Vous attaquez alors le fond du dossier ?
>> On va passer quelques semaines très difficiles. Ma collaboratrice, Aurélie Deswartes est alors une toute jeune avocate. C'est son premier dossier. Elle passe ses journées à Saint-Omer et Boulogne. Elle rédige des notes de synthèse. On s'imprègne du dossier. Avec Hubert Delarue, en février 2002, nous demandons la délocalisation du dossier. On s'est déjà bien rendu compte que le juge Burgaud part dans tous les sens, qu'il instruit à charge. Nous ne pouvons pas demandé à ce qu'il soit désaisi mais nous expliquons que le tribunal de Boulogne n'a pas les moyens de traiter cette affaire, que le climat devient délétère, que nous n'avons toujours pas la copie du dossier. Lathoud, le procureur général à Douai s'y oppose, nous répond qu'il n'y a pas de problème et qu'il fait toute confiance au juge Burgaud. On sait, et la suite le confirmera, que ce dossier a été signalé. C'est pour ça que je me suis opposé à ce que Marylise Lebranchu, alors ministre de la justice, fasse partie de la commission d'enquête qui s'ouvrira après le procès en appel à Paris.
Affaire Cassez : Calderon exige de la France plus de « respect »
"Ca commence à bien faire !": la phrase de Sarkozy qui a marqué les écolos
De Anthony LUCAS (AFP) – Il y a 17 heures, extrait
PARIS — L'environnement, "ça commence à bien faire": la petite phrase de Nicolas Sarkozy, il y a un an au Salon de l'agriculture, a marqué un tournant dans la politique du chef de l'Etat selon les écologistes, repartis à l'assaut du modèle productiviste à l'occasion de l'édition 2011.
"On a malheureusement l'impression que cette phrase a ouvert la voie aux grenello-sceptiques, le rapport de force s'est déséquilibré et on a vécu une année difficile", souligne Benoît Hartmann, porte-parole de France Nature Environnement (FNE), fédération écologiste qui a réveillé cette semaine le vieux clivage agriculteurs-écologistes avec des affiches-chocs sur les algues vertes, les OGM ou encore les pesticides.
Le 6 mars 2010, en pleine campagne pour les régionales, à la veille de la clôture du Salon de l'agriculture, Sarkozy lançait au monde agricole: "Je voudrais dire un mot de toutes ces questions d'environnement. Parce que là aussi, ça commence à bien faire".
Actualité > International
Affaire Cassez : Calderon exige de la France plus de «respect»
Le Parisien avec AFP | Publié le 19.02.2011, 08h09 | Mise à jour : 09h44
Le président mexicain, Felipe Calderon, s'est exprimé cette nuit pour la première fois depuis le début de la crise diplomatique qui secoue la France et le Mexique, dimanche soir. Il exige de Paris le respect des décisions de justice concernant Florence Cassez, condamnée à 60 ans de prison pour complicité d'enlèvements.
C'était sa première intervention publique sur l'affaire après le rejet du pourvoi en cassation de la Française le 10 février dernier. «Je réitère mon énorme respect et admiration pour le peuple français et ses institutions, y compris ses juges. Et j'exige le respect pour notre peuple, nos institutions et nos juges», a lancé le président mexicain lors d'un discours à la télévision.
Cassez : nouveau rejet de Mexico
Cassez: nouveau rejet de Mexico
AFP, 18/02/2011 | Mise à jour : 07:07
Le Mexique a réitéré aujourd'hui qu'il n'appliquera pas la Convention de Strasbourg sur le tranfèrement dans leur pays d'origine des personnes condamnées à la Française Florence Cassez, dans un communiqué du ministère des Affaires étrangères.
Cassez, condamnée au Mexique à 60 ans de prison pour enlèvements, "ne peut être l'objet d'un transfèrement pour purger sa peine dans le cadre de la Convention de Strasbourg", selon le ministère mexicain.
Mercredi, le porte-parole du gouvernement français, François Baroin, rendant compte du Conseil des Ministres, avait souligné la demande de la France "que le Mexique respecte sa signature" à l'égard de la Convention de Strasbourg. Selon M. Baroin M. Sarkozy avait également rappelé "les engagements publics" du président mexicain Felipe Calderon "pour accepter le respect de la signature de ces conventions internationales".
Selon le ministère mexicain des Affaires étrangères, l'application de la Convention de Strasbourg "requiert le consentement de l'Etat du jugement et de l'Etat de l'exécution pour que s'appliquent ses dispositions".
Dans son communiqué, il rappelle qu'en juin 2009, après la création d'une commission binationale créée spécialement pour le cas de Florence Cassez, "le gouvernement du Mexique a conclu que les conditions n'existaient pas pour permettre de donner son consentement pour le transfèrement de Florence Cassez en France".
Affaire Cassez : l'impasse diplomatique éloigne une solution négociée
Affaire Cassez : l'impasse diplomatique éloigne une solution négociée
De Jean-Claude BOKSENBAUM (AFP) – Il y a 2 heures
MEXICO — L'impasse diplomatique entre Paris et Mexico sur l'affaire Florence Cassez reporte une éventuelle solution négociée du cas de la Française au plus tôt au-delà des échéances électorales que vont connaître presque simultanément la France et le Mexique en 2012, estiment les analystes.
Le dialogue est au point mort entre Nicolas Sarkozy et son homologue mexicain Felipe Calderon depuis la décision du président français de dédier l'Année du Mexique en France à Florence Cassez, ce qui a entraîné le retrait du gouvernement mexicain de cet événement.
"A ce stade, il est difficile d'entrevoir une solution avant les échéances électorales qui attendent les deux hommes", estime le professeur Stéphan Sberro, chercheur du département des Etudes internationales de l'Institut technologique autonome de Mexico (ITAM).
Sarkozy demande au Mexique de respecter les conventions internationales
NDLR : Peut-on donner tort à Carlos Fuentes ? Je suis très loin d'en être certain... « C'était leur seule litanie, Leur Credo, leur Confiteor, Aux copains d'abord, Au moindre coup de Trafalgar, C'est l'amitié qui prenait l'quart, C'est elle qui leur montrait le nord, Leur montrait le nord ».
Affaire Cassez: Carlos Fuentes attaque Nicolas Sarkozy
Par LEXPRESS.fr, publié le 16/02/2011 à 17:00
Carlos Fuentes soutient L'année du Mexique en France, mais pas le président français qu'il traite de "dictateur de république bananière".
[...] "Lorsque le président français déclare que chaque événement de L'année du Mexique sera introduit par un hommage fait à Florence Cassez, c'est à dire, une personne jugée et condamnée au Mexique, cela transforme la manifestation en un événement politique et judiciaire", peut-on lire sur Milenio.com. Pour le Prix Cervantes 1987, Nicolas Sarkozy se conduit ici comme le "dictateur d'une république bananière" en quête de popularité. "Les relations culturelles" entre deux pays "sont une chose", les "relations politiques, judiciaires et diplomatiques en sont une autre" déclare t-il. L'auteur se rendra aux évènements auxquels il est invité, bien qu'il soit en profond désaccord avec la politisation de l'évènement, déclarant souhaiter contribuer à faire perdurer "ce programme enraciné dans la grande amitié franco-mexicaine".
Monde
Le Point.fr - Publié le 16/02/2011 à 16:20 - Modifié le 16/02/2011 à 16:26, extrait
AFFAIRE CASSEZ - Sarkozy demande au Mexique de respecter les conventions internationales
Selon François Baroin, le droit international voudrait que les autorités mexicaines acceptent le transfèrement de la Française.
Source AFP
Le président Nicolas Sarkozy a redemandé mercredi au Mexique de respecter les conventions internationales qu'il avait signées, notamment celle concernant le transfèrement dans leur pays d'origine de personnes condamnées définitivement à l'étranger. Selon le porte-parole du gouvernement François Baroin, qui rendait compte des travaux du Conseil des ministres, Nicolas Sarkozy "a rappelé tout le chemin parcouru par la France, depuis six ans" que Florence Cassez est emprisonnée au Mexique.
"La France a eu pendant six ans une position déterminée pour faire valoir le droit international, puisque le Mexique a signé les conventions internationales qu'il doit respecter. (...) Ce que nous demandons, c'est que le Mexique respecte sa signature à l'égard" de la convention sur les transfèrements de prisonniers, a dit le président, cité par François Baroin.
Une ONG mexicaine sûre de la culpabilité de Florence Cassez
L'Express, publié le 16/02/2011 à 19:59, extrait
La justice mexicaine a rejeté la semaine dernière le pourvoi en cassation de Florence Cassez, emprisonnée dans ce pays depuis plus de cinq ans.
Sa défense a surtout mis en avant des violations de procédure, soulignant que la Française n'avait pas été présentée à un juge le jour même, de façon à pouvoir mettre en scène son arrestation le lendemain sous l'objectif des caméras.
Par Reuters
L’affaire Cassez embarrasse les entreprises
Finances > Economie
L’affaire Cassez embarrasse les entreprises
Par Europe1.fr avec Martial You
Publié le 16 février 2011 à 11h40
Mis à jour le 16 février 2011 à 12h03, extrait
Sponsors de l’Année du Mexique, elles risquent de perdre une occasion de faire du lobbying.
L’affaire Florence Cassez, qui complique les relations franco-mexicaines depuis vendredi dernier, est aussi une source de préoccupation pour les entreprises française. L’Année du Mexique en France, à laquelle Mexico menace de ne pas participer si elle est dédiée à Florence Cassez, est en effet un évènement sur lequel les entreprises françaises investissent beaucoup, dans l’espoir d’y obtenir des contrats.
Derrière la culture, le lobbying ...
France
Alliot-Marie avait téléphoné à Ben Ali lors de ses vacances en Tunisie
Politique, mercredi 16 février 2011, Ouest-France, extrait
Michèle Alliot-Marie n'a pas fin d'entendre parler de ses vacances tunisiennes. Contrairement à ce qu'elle avait d'abord affirmé, la chef de la diplomatie française, a eu «un bref entretien téléphonique» avec le président tunisien Ben Ali durant ses vacances controversées fin 2010 en Tunisie. C'est ce qu'a indiqué, ce mercredi le cabinet du ministre, confirmant une information du site Mediapart.
«A cette période, Mme Alliot-Marie a eu un bref entretien téléphonique avec M. Ben Ali comme elle en a eu avec beaucoup d'autres chefs d'Etat ou ministres des Affaires étrangères», a déclaré un membre du cabinet.
«C'est tout simplement le métier du ministre des Affaires étrangères que d'avoir quotidiennement des entretiens téléphoniques ou des entrevues avec des autorités gouvernementales étrangères", a fait valoir la même source proche du ministre.
Des chauffards meurtriers et «hilares» devant la justice
Mots clés : Accident, Procès, Chauffards, Paris, Elodie Monteiro, Parquet, Correctionnelle
Par Flore Galaud
Le Figaro, 16/02/2011 | Mise à jour : 12:35
Après avoir mortellement percuté en voiture Elodie Monteiro, une cyclomotoriste de 23 ans, les deux jeunes s'étaient contentés de rire avant de s'enfuir. Leur procès s'ouvre mercredi en correctionnelle.
Embardées, zigzags, accélérations, feux rouges brûlés... puis le choc. Deux jeunes comparaissent à partir de ce mercredi en correctionnelle pour avoir mortellement percuté en voiture Elodie Monteiro, une jeune femme de 23 ans qui circulait en deux-roues dans le IVe arrondissement de Paris.
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