Catégorie: Troubles urbains
Oakland Cops Beat Iraq war veteran Kayvan Sabehgi
NDLR : « Shoot me, I'm filming »... La vidéo, ci-dessous, pourrait plaire à Copwatch, aux chinois de la place Tian'anmen, ainsi qu'à certains journalistes parfois un peu trop sûrs de leur statut particulier. La vidéo pourrait aussi instruire divers manifestants français, elle nous montre des forces du maintien ou du rétablissement de l'ordre public à l'oeuvre, après plusieurs sommations - revoir le PDF de ma présentation, pour NDH2K11, chez Mickey. « Shoot me, I'm filming »... c'est à peu près ce que je lançais à des magistrats, au cours de ces dernières années. Je pense que les juges ou ces « maisons qui rendent fou » du coin, des démineurs à la petite semaine, n'ont pas idée de la matière écrite qu'ils m'ont très consciencieusement servie sur un plateau. Shoot me, I'm fighting... je pense que Stéphan Hessel m'a très bien compris, en avril dernier.
La « prière sauvage » de militants anti-IVG devant l'hôpital Tenon
NDLR : Un exemple de gestion puis de dispersion de manifestations ou de rassemblements « sauvages » par des civilisés... Au tout début du « printemps Arabe », MAM avait pensé que nous pourrions former les forces de l'ordre tunisiennes. Il faudra songer à former celles du Gard ou de Rodilhan aussi
PROVOCATION ANTI-GUEANT 15/10/2011 à 16h48, Rue89, extraits
La « prière sauvage » de militants anti-IVG devant l'hôpital Tenon
Sébastien Leban
Étudiant
Samedi matin, 10h30. Aux abords du square Edouard Vaillant (XXe arrondissement de Paris), des mégaphones crépitent et viennent troubler la tranquillité du marché installé rue de Chine.
Près de 200 manifestants se sont massés devant la grille de l'hôpital Tenon à l'appel du Collectif Tenon. La raison de ce rassemblement : lutter contre un groupe d'intégristes catholiques, SOS Tout-petits, venu remettre en cause la réouverture du centre IVG de l'hôpital au mois d'avril, obtenue après de longs efforts.
Des dizaines de policiers anti-émeute, épaulés par les gendarmes, sont postés de chaque côté de l'établissement et filtrent le passage pour éviter aux contre-manifestants d'accéder au groupe religieux.
Installée 150 mètres plus loin sur le boulevard Gambetta, à l'entrée du métro Pelleport, la cinquantaine de militants anti-IVG récite des extraits de la Bible et crie sa volonté de mettre fin à la « peine de mort pour les tout-petits ».
La tension est palpable aux abords de l'hôpital et les quelques mètres qui séparent les deux groupes sont scrupuleusement balisés par les forces de l'ordre installées à chaque carrefour.
[...] 12h30, les participants décident de mettre fin à leur action et se dispersent doucement. Un gendarme intervient et leur conseille d'attendre quelques instants que « la zone soit sécurisée ». Un militant anti-IVG s'empare du micro pour donner la consigne : « Ne bougez-pas, la police va nous escorter. »
Cette prière sauvage ainsi que l'attitude des forces de l'ordre ce samedi matin contrastent avec l'interdiction de prier dans la rue, entrée en vigueur le 15 septembre, et les déclarations de Claude Guéant :
« Je le répète, j'avais dit que la pratique des prières dans la rue devait cesser et elle cessera à la date prévue. Nous pourrions aller jusqu'à l'emploi de la force si nécessaire, mais c'est une hypothèse que j'écarte car le dialogue qui a été conduit porte ses fruits. »
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Clichy : les familles iront en cassation
NDLR : Je me demande si ces familles de Clichy seront également blâmées pour pareille impertinence, oser se pourvoir en cassation, contester ainsi un avis du parquet et une décision de cour d'appel...
Clichy: les familles iront en cassation
AFP, 27/04/2011 | Mise à jour : 13:18
Les familles des deux adolescents morts en 2005 à Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) vont se pourvoir en cassation après le non-lieu en faveur de deux policiers prononcé aujourd'hui par la cour d'appel de Paris, a annoncé leur avocat Me Jean-Pierre Mignard.
A la Une > Société
Clichy-sous-Bois : non-lieu pour les deux policiers, les familles iront en cassation
LEMONDE.FR avec AFP | 27.04.11 | 08h15 • Mis à jour le 27.04.11 | 14h44, extrait
La cour d'appel de Paris a rendu mercredi 27 avril un non-lieu au profit de deux policiers poursuivis pour la mort accidentelle de deux adolescents en 2005 près de Paris, qui avait déclenché une vague de violences sans précédent dans les banlieues françaises. Les familles des victimes ont immédiatement annoncé vouloir se pourvoir en cassation, a déclaré leur avocat Me Jean-Pierre Mignard.
Conformément à l'avis du parquet, la chambre de l'instruction a infirmé l'ordonnance rendue en octobre par deux juges de Bobigny (Seine-Saint-Denis), qui avait ordonné un procès des policiers pour "non-assistance à personnes en danger".
Des milliers de Marocains manifestent
NDLR : Quel vent de fronde, et tout cela rien qu'avec Internet, Twitter ou Facebook... « Non ! Pas ça ! Cache ça ! » « Silence », m'ont en effet si souvent lancé des juges tandis que d'autres me réclament encore de nouvelles observations ? Il faut que j'en prépare d'ultimes, pour le 4 mars prochain. Elles seront simples, je suis lassé. Mais ce 4 mars, je pense que je vais rappeller encore une fois à la Cour que, de l'avis de certaines plumes ou courants, le fax, une technologie moderne d'alors, aurait contribué à l'effondrement de l'ex bloc de l'est. Voir aussi « La désobéissance civile ne s'improvise pas » ainsi que La police et son histoire et « le maintient de l'ordre ». Je me dis maintenant « franchement, quel pays, la France, quels gouvernants et juges, quel pouvoir pitoyable. » Je suis à nouveau très curieux de la suite. Il n'y a plus que quelques semaines à patienter.
Des milliers de Marocains manifestent
AFP, 20/02/2011 | Mise à jour : 12:54, extrait
Dans la foulée des événements de Tunisie et d'Egypte, de jeunes Marocains avaient lancé sur Facebook le mouvement "du 20 février", appelant à manifester pacifiquement pour réclamer une nouvelle Constitution limitant les pouvoirs du roi et plus de justice sociale. L'appel a rapidement rassemblé des milliers de sympathisants.
International
Lybie : les opposants au régime sévèrement réprimés
RTL, 20/02/2011 - 10h20 - En bref
La situation dégénère clairement en Lybie où, depuis quatre jours, malgré le verrouillage du pays, plus d'une centaine de morts ont été recensés au cours des différentes manifestations. L'insurrection est particulièrement forte à à Benghazi, la grande ville de l'Est. De toute évidence, le leader Mouammar Kadhafi n'entend pas laisser la place et il n'hésite pas à faire tirer sur la foule.
High-Tech
La Lybie bloque Facebook et les accès internet
Créé le 19.02.11 à 08h30 - Mis à jour le 20.02.11 à 08h30 - 20 minutes
Le vent de révolte populaire qui agite le peuple libyen a conduit son dirigeant à bloquer l’accès Facebook depuis Tripoli. Et pas seulement: La main de fer de Muammar Kaddafi s’étend à l’ensemble de l’internet local, qui est sporadiquement coupé. Manifestement, le régime libyen craint qu’il lui arrive la même chose qu’en Tunisie ou en Egypte. [Yahoo] Gizmodo.fr en partenariat avec 20minutes.fr
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Prison avec sursis contre sept policiers
NDLR : D'autres ont bien inventé des histoires pour motiver le « placement » de mon aînée. C'est grave ? Manifestement, pas trop. D'une part, personne ne s'en émeut jamais, ou si rarement. D'autre part, que seraient de toutes petites peines assorties de sursis pour quelques travailleurs sociaux et le pasteur d'Uhrwiller ?
Infos > France
Prison avec sursis contre sept policiers
Par Europe1.fr avec Pierre de Cossette
Publié le 3 novembre 2010 à 23h18
Mis à jour le 4 novembre 2010 à 20h08
Ils sont accusés d’avoir inventé de toute pièce un scénario pour justifier une course-poursuite.
Trois à six mois de prison avec sursis. C’est la peine demandée par le parquet à l'encontre de sept policiers de Seine-Saint-Denis poursuivis pour "dénonciation calomnieuse", "faux en écriture publique" et "violences volontaires". Ils sont accusés d'avoir inventé de toutes pièces un scénario afin de justifier une course-poursuite avec un automobiliste au cours de laquelle l'un d'eux avait été blessé.
Le procureur a par ailleurs demandé, pour cinq d’entre eux, l'inscription de la condamnation au B2 du casier judiciaire, ce qui entraîne de fait l'interdiction de travailler dans la police. Le jugement du tribunal sera rendu le 10 décembre.
Belgique/moules à 5€ : embouteillage
Politique | 30 Octobre 2010 | Mise à jour le 31 Octobre 2010, extrait
Besancenot, la rue pour se faire entendre
En pointe dans les manifestations, le facteur du NPA est concurrencé par Jean-Luc Mélenchon, nouveau héros de la gauche radicale. Si l’on mesurait l’influence d’un parti au nombre de décibels et de chants dans les manifestations, le Nouveau parti anticapitaliste (NPA) serait sans doute le premier de France. Jeudi dernier, baskets et doudoune noires, Olivier Besancenot a pris l’air de la rue pour se refaire une santé à un moment où il a plus de mal à être entendu dans l’opinion. Sourire aux lèvres, le porte-parole du NPA n’arrête pas de distribuer aux passants des cortèges ces désormais fameux billets de 500 euros à l’effigie de Nicolas Sarkozy et d’Eric Woerth. Photos, poignées de main, discussions, le facteur de Neuilly, en grève depuis deux semaines, se prête à tout. "Nous sommes dans le mouvement social comme des poissons dans l’eau", répète-t-il. Son souhait d’une grève générale est resté lettre morte. La suite sur le JDD
Gérald Dahan
envoyé par franceinter. - Plus de vidéos fun.
Plus d'infos sur France Soir, Gérald Dahan aurait il été chaleureusement remercié ?
Belgique/moules à 5€: embouteillage
AFP, 31/10/2010 | Mise à jour : 13:18
Un "moules-frites" pour cinq euros: la promotion proposée aujourd'hui par une grande surface de la région de Gand, dans l'ouest de la Belgique, a connu un tel succès qu'un bouchon de cinq kilomètres s'est formé sur l'autoroute dès le milieu de la matinée, a indiqué la police.
Bugaled Breizh : vers un non-lieu, en toute discrétion ?
NDLR : Je n'ai pas encore le Siné hebdo de la semaine, il doit être drôle d'après ce que je lis sur leur ouèb. Par chance pour certains, ces rubriques rats crevés ainsi que ces troubles en banlieue nous distraient...
Foot
Domenech et les Bleus : Thierry Henry veut calmer le jeu
Le Parisien | 07.09.2009, 20h38 | Mise à jour : 21h32, extrait
Déminer le terrain. Affirmer qu'«il y a une super ambiance dans le groupe». Mais pas question d'en dire plus. Après les révélations de notre journal ce lundi au sujet de l'explication survenue vendredi à Clairefontaine entre les joueurs de l'équipe de France et le sélectionneur Raymond Domenech, le capitaine des Bleus Thierry Henry a calmé le jeu ce lundi soir sur TF1. Ce qu'on s'est dit, ça reste «dans le château». Car la discussion a bien eu lieu vendredi dans le salon Rose du château de Clairefontaine au cours de laquelle le patron des Bleus à pris la parole. Une discussion «constructive entre le coach et le groupe comme on peut en avoir assez souvent, explique Henry. Je n'ai pas remis en cause les qualités du coach. [...] Il n'y a vraiment pas eu de clash.»
Chronique de la médiatrice
Agacements, par Véronique Maurus
LE MONDE | 04.09.09 | 13h42, extraits
Des lecteurs racistes, xénophobes ou haineux, nous en avons, même si nous ne publions pas leurs courriers - ils écrivent d'ailleurs peu, hors des lettres anonymes. Ce ne sont pas de ceux-là qu'il s'agit ici. Mais de lecteurs ordinaires, aimables, ouverts, modérés, qui signent de leur nom et de leur adresse postale. Ceux-ci nous envoient, depuis quelque temps, des messages agacés et "politiquement incorrects", souvent assortis de témoignages et de justifications, comme s'ils étaient vaguement embarrassés des opinions qu'ils expriment. [...] Depuis deux mois, tout y est prétexte. Une sexagénaire fauchée par une moto de la garde républicaine sur le Tour de France : "Cette spectatrice n'étant pas issue d'une "communauté" issue de l'immigration, la compétition a pu se poursuivre sans incidents ni manifestation, ni dénonciation de la sauvagerie raciste des gendarmes par la famille, ni mise à feu de véhicules ou de centre commerciaux", relève Alain Vauzanges (Fort-de-France, Martinique).
Emoi dans l'Hérault après les interpellations dans l'enquête sur les menaces avec balles
LE MONDE | 07.09.09 | 14h04 • Mis à jour le 07.09.09 | 14h04, extrait
Joint par téléphone, un habitant de Riol, autre village tout proche, témoigne aussi, sous le couvert de l'anonymat, d'une présence policière massive. "On les voyait passer et repasser en voiture, dit-il. C'était pas discret d'ailleurs et ça finissait par nous agacer." Beaucoup s'étonnent du fait que les militants associatifs aient été particulièrement concernés par les recherches des policiers. "Notez bien qu'ils ne nous ont jamais parlé de politique", souligne l'un d'eux. Résidant à Premian, autre village alentour, Marcel Caron, placé en garde à vue et relâché samedi en début de soirée, raconte : "Jeudi matin, ils ont fondu sur l'arrière-pays avec 50 voitures, et se sont mis à perquisitionner partout. Un seul a résisté parce qu'il connaît le droit, un militant de la Confédération paysanne. Moi, ça a duré 6 heures la perquisition chez moi, puis ils nous ont emmenés à Montpellier, menottés dans le dos. C'était assez intimidant." [...] Avant d'ajouter : "Je suis en colère, parce que je viens de voir encore deux policiers en face de mon magasin, que j'ai chassés. Ça s'appelle du harcèlement ou de l'acharnement, ils commencent tous à me chauffer la tête." Réunis une première fois samedi soir devant la mairie de Saint-Pons, les habitants ont prévu de se retrouver au même endroit, mercredi 9 septembre, pour protester contre le déploiement policier. Au parquet de Paris, on indique sobrement que "l'enquête se poursuit".
Finistère
Bugaled Breizh. Des signatures pour soutenir les parties civiles
5 septembre 2009 - 2 réaction(s) (sur Le Télégramme, en deux jours)
Depuis quelques jours, les commerçants de l'Ouest-Cornouaille invitent leurs clients à signer une pétition de soutien aux parties civiles du Bugaled Breizh, le chalutier bigouden qui a coulé le 15 janvier 2004 en Manche (Le Télégramme du 29 août). «Ici, on a tous un fils, un papa, un tonton ou un voisin en mer. Alors, quoi de plus naturel que d'apporter notre soutien à ces familles qui ont besoin de connaître la vérité», témoigne Roger Gloaguen. Président du groupement des associations de commerçants de l'Ouest-Cornouaille (550 commerçants), le boucher de Plonéour-Lanvern a répondu favorablement à l'idée de l'une de ses adhérentes. Les centaines de signatures d'ores et déjà réunies appuient la démarche des parties civiles qui réclament que l'audience du 6 octobre, à la chambre de l'instruction de la cour d'appel, soit publique. Touchés par la mobilisation. Un geste salué par les parties civiles réunies, jeudi soir, aux côtés des représentants des unions commerciales. Elles ont acquis la certitude qu'un sous-marin est à l'origine du drame. «On se rend compte que l'on n'est pas seul. On a toute une population derrière nous. La mobilisation dépasse le cadre strictement maritime», souligne Michel Douce. L'occasion pour l'armateur du chalutier, comme pour les familles, de regretter la discrétion des politiques. Ils fondent tous leurs espoirs sur la publicité des débats judiciaires: «S'ils ferment la porte le 6 octobre, c'est qu'ils veulent clore l'affaire».
Au fil de l'info
Pont-l'Abbé
18:45 - vendredi 04 septembre 2009 - Ouest-France
Bugaled : une pétition pour que l’audience du 6 soit publique
Les commerçants de l’Ouest Cornouaille lancent une pétition. Objectif : soutenir les familles des cinq marins décédés dans le naufrage du chalutier de Loctudy dans leur quête de la vérité. Les commerçants du groupement ouest Cornouaille espèrent, tout comme les parties civiles, que l’audience qui se tiendra le 6 octobre à Rennes sera publique. C’est là que se décidera l’avenir judiciaire du dossier. Si l’implication d’un sous-marin ne semble plus faire de doute, il n’a pas été identifié, après quatre ans d’instruction. D’où un éventuel non-lieu.
Faits divers
Accusée de double infanticide, elle clame son innocence
Le Parisien | 07.09.2009, 20h02 | Mise à jour : 20h12, extrait
Quatre ans après la mort de Mélissa et Jason, empoisonnés par des médicaments mélangés à des cannellonis, tous les regards étaient braqués lundi sur leur mère, qui s'est présentée en victime de son mari, au premier jour du procès du couple à Aix-en-Provence. Plus que le beau-père Jean-Paul Steijns, qui a avoué les faits, Marie-Hélène Martinez a essuyé le feu des critiques de la famille du père biologique, Antoine Correlejo. Une violente altercation l'opposant même, avant l'ouverture de l'audience devant la cour d'assises des Bouches-du-Rhône, à la tante des enfants, convaincue, comme l'accusation, qu'elle a «tout manipulé». Les cadavres des deux enfants, âgés de 8 et 7 ans, avaient été retrouvés en octobre 2005 dans le coffre de la voiture de Mme Martinez, peu de temps après la découverte du corps du bébé des deux accusés sur le balcon de leur appartement marseillais. A la barre, la jeune femme blonde de 29 ans, entièrement vêtue de noir, campe sur sa position. «Je suis innocente». «Je me présente en tant que victime, je suis innocente», déclare-t-elle d'une voix éplorée en préambule, dans une ambiance crispée, en répondant au président de la Cour, Jean-Pierre Deschamps. «J'aimais trop mes enfants, je n'aurais jamais pu faire ça», assure-t-elle.
Faits divers
Affrontements au Pontet : «Pas de place pour le communautarisme»
Le Parisien avec AFP | 07.09.2009, 08h44 | Mise à jour : 19h24, extrait
«Il n'y a pas de place sur le territoire français pour le communautarisme», a déclaré Brice Hortefeux, le ministre de l'Intérieur qui s'est rendu lundi au Pontet (Vaucluse) où un homme est mort et deux autres ont été blessés au cours de très violents affrontement entre communautés turques et maghrébine dimanche soir. Quatre personnes, d'origine turque, âgées de 16, 21, 22 et 49 ans, ont été placées en garde à vue lundi.
L'essentiel de l'actualité du 04/09/2009
Médias&People : Mélissa Theuriau défendue par M6
NDLR : Tiens, Clichy et novembre 2005... Je ne suis pas le seul à m'en souvenir.
Médias et People
Télévision
Mélissa Theuriau défendue par M6
Le Parisien | 03.09.2009, 19h19 | Mise à jour : 04.09.2009, 18h07, extrait
Un syndicat de police a dénoncé jeudi le «dérapage» de Mélissa Theuriau dimanche soir dans son émission Zone interdite. Aujourd'hui M6 riposte et défend sa journaliste. Le patron de M6, Nicolas de Tavernost, a défendu vendredi la journaliste Mélissa Theuriau après les réactions du syndicat de police Alliance, qui avait dénoncé un «comportement agressif» de la présentatrice de Zone interdite dimanche 30 août: «Notre journaliste n'a fait que son métier objectivement, sur un sujet que nous savons tous délicat, et sur lequel les polémiques excessives ne font qu'attiser les flammes toujours promptes à repartir», a-t-il écrit dans une lettre au secrétaire général d'Alliance, Jean-Claude Delage. «Croyez bien, en tout cas, que notre chaîne continuera de traiter le plus objectivement possible des problèmes évoqués dans l'ensemble de cette émission en soulignant, comme il le faut, la difficile tâche qui est celle des forces de police», conclut-il dans sa missive.
Elle tue un passant en se suicidant
NDLR : Pfff... Où nos journalistes vont-ils chercher tout cela ? N'ont ils plus mieux à faire ?
Elle tue un passant en se suicidant
AP, 02/09/2009 | Mise à jour : 13:16
Une femme de 45 ans, qui s'est suicidée en se jetant du 8è étage de son immeuble, a tué un passant de 50 ans en lui tombant dessus. L'accident s'est produit lundi à Viladecans, une banlieue de Barcelone. La femme est morte sur le coup. Le passant, grièvement blessé, a succombé quelques minutes après son hospitalisation, tandis qu'une personne qui l'accompagnait est sortie indemne, selon un porte-parole de la police.
Bagnolet: plainte pour diffamation
AP, 02/09/2009 | Mise à jour : 12:15, extrait
Le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux a fait savoir mercredi qu'il avait porté plainte pour "diffamation envers la police nationale" contre des habitants de Bagnolet (Seine-Saint-Denis) ayant affirmé dans la presse que la police serait responsable du décès de Yakou Sanogo.
Ce jeune homme de 18 ans est mort le 9 août alors qu'il tentait d'échapper en moto à un contrôle. Dans un article de liberation.fr et une dépêche AFP publiés le 10 août, des témoins de la scène racontent l'accident, affirmant qu'une voiture de patrouille a heurté le deux-roues. "Considérant que ces propos portent atteinte à l'honneur et à la considération de la police nationale puisqu'ils imputent à des fonctionnaires de police une infraction d'homicide sur la personne de Yakou Sanogo, le ministre de l'Intérieur a porté plainte en diffamation", indique la place Beauvau dans un communiqué.
Le préfet Langlade mis à la retraite ?
lefigaro.fr, 02/09/2009 | Mise à jour : 07:12
Selon Europe 1, le préfet Paul Girot de Langlade devrait être "mis à la retraite anticipée, sans primes, dans les semaines à venir". Suspendu de ses fonctions parce qu’il était suspecté d’avoir tenu des propos racistes, il fait désormais l’objet d’une procédure disciplinaire pour "propos diffamatoires" à l’encontre du ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux.
Sécurité : Sarkozy tape du poing sur la table
NDLR : Où sont passés les juges et les travailleurs sociaux ? Palin veut-elle faire mieux que Louvrier ?
Californie : les pompiers gagnent du terrain
Lefigaro.fr avec agences
02/09/2009 | Mise à jour : 09:09
Confidentiel : Palin fait de la géopolitique
Le Figaro, 02/09/2009 | Mise à jour : 11:16
L’ancienne colistière de John McCain, dont l’incompétence en matière de politique étrangère avait plombé la candidature du ticket républicain à la Maison-Blanche en 2008, va donner pour la première fois une conférence hors des frontières de son pays le 23 septembre, à Hongkong. Elle s’y exprimera sur des questions de géopolitique dans un forum qui a accueilli par le passé Bill Clinton, Al Gore ou Alan Greenspan, l’ancien patron de la Réserve fédérale. Sarah Palin, qui n’avait même pas de passeport jusqu’en 2007, a choisi une prestigieuse agence de Washington pour traiter les quelque 950 invitations - discours, collaborations télévisées ou tournage de documentaires - qui lui ont été lancées aux États-Unis et à l’étranger. Elle achève aussi un livre qui sera édité par HarperCollins.
Sécurité : Sarkozy tape du poing sur la table
Jean-Marc Leclerc
Le Figaro, 02/09/2009 | Mise à jour : 07:29, extrait
Le chef de l'État a exigé mardi une amélioration rapide des résultats dans la lutte contre la délinquance. Le rappel à l'ordre a été musclé. Mardi, le président de la République a convoqué à l'Élysée, autour de son ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, le directeur général de la police nationale, Frédéric Péchenard, le directeur général de la gendarmerie, Roland Gilles, et le préfet de police de Paris, Michel Gaudin. Claude Guéant,le secrétaire général de l'Élysée, se tenait à ses côtés, tandis que le premier ministre était représenté par son directeur de cabinet.
Cette réunion aux allures de conseil de guerre portait sur le tassement des résultats dans la lutte contre la délinquance. Et le ton n'était pas aussi amical que les participants ont bien voulu le dire à la sortie de l'Élysée. Selon certaines indiscrétions, Nicolas Sarkozy leur a tenu un discours particulièrement ferme, conscient que le retour à la sécurité «partout et pour tous» reste un axe fondamental de sa démonstration politique.
[...] Bien sûr, le bilan demeure globalement positif, avec une baisse de la délinquance générale de l'ordre de 15 % depuis 2002, soit plusieurs centaines de milliers de victimes épargnées. Mais les violences sont reparties à la hausse, d'environ 5 % chaque année, même si on est loin de l'inflation à deux chiffres des années Jospin.
[...] Et puis il y a les chiffres. «Le chef de l'État a demandé de mobiliser les forces de sécurité afin d'améliorer les résultats» , a résumé mardi Brice Hortefeux. Le ministre s'est toutefois réjoui de certains «aspects très positifs» , comme la hausse du nombre d'interpellations et de gardes à vue, ainsi que l'amélioration du taux d'élucidation, qui a grimpé de 50 % en dix ans. Il a aussi concédé que les résultats étaient «plus contrastés, moins satisfaisants, notamment sur les violences aux personnes ou les cambriolages». Les cambriolages d'habitations principales ont ainsi bondi l'an dernier de 12 %.
Une page se tourne Place Beauvau, où Brice Hortefeux recevra mercredi tous ses chefs de police et de gendarmerie départementaux pour leur fixer un nouveau cap et des objectifs chiffrés. De son côté, l'Élysée n'en a pas fini avec la séquence sécurité. À 17 heures, Nicolas Sarkozy fera le point sur le dossier terroriste, en compagnie des experts de la DCRI et de la PJ notamment.
Libération de Gilad Shalit : « pas de progrès »
Libération de G.Shalit: "pas de progrès"
AFP, 31/08/2009 | Mise à jour : 16:32, extrait
Le Hamas a affirmé lundi qu'il n'y avait "pas de progrès" concernant la libération du soldat israélien Gilad Shalit, en dépit d'informations de presse sur un accord dans le cadre d'un échange de prisonniers, et a rejeté la responsabilité de l'impasse sur Israël.
Baisse des crédits à la consommation
AFP, 31/08/2009 | Mise à jour : 17:10
Le montant des crédits à la consommation accordés en France a reculé en juillet pour le dixième mois d'affilée, mais le rythme de baisse s'est stabilisé, après le pic du mois de mai, a annoncé lundi l'Association française des sociétés financières (ASF).
Sortie de crise : la tentation de l'inflation
LE MONDE ECONOMIE | 31.08.09 | 14h28 • Mis à jour le 31.08.09 | 16h43
Le président Nicolas Sarkozy a lancé, mercredi 26 août, les travaux de la commission coprésidée par les anciens premiers ministres Alain Juppé et Michel Rocard : elle doit définir dans les deux mois les "priorités stratégiques" du grand "emprunt national" à lancer en 2010 pour financer des investissements d'avenir.
Fabien Jobard est chercheur au Centre de recherches sociologiques sur le droit et les institutions pénales (Cesdip-CNRS).
"On ne sait plus faire de la police générale, celle qui assure le lien social"
LE MONDE | 31.08.09 | 14h50 • Mis à jour le 31.08.09 | 17h50, extrait
Quel bilan peut-on tirer de la politique de Nicolas Sarkozy en matière de sécurité ?
Il y a plusieurs niveaux d'analyse. Sur le volet pénal, la vraie rupture ne date pas de 2002, lorsque Nicolas Sarkozy arrive au ministère de l'intérieur, mais du milieu des années 1990, lorsque l'on décide de poursuivre les mineurs. Ces derniers sont alors l'objet d'un durcissement des textes et d'une bien plus grande fermeté policière. Parallèlement, on a considérablement renforcé la répression des violences, notamment familiales et conjugales.
A la une du Monde.fr : des jeunes, « seuls contre tous »
NDLR : Au Japon, quelque chose semble avoir changé. J'ai commandé Colossus, ça va me distraire.
Politique / Social - Économie
L'Huma, le 25 août 2009, extraits
Editorial par Michel Guilloux
L’oublié
Qu’attendent l’ouvrier de Molex, l’ouvrière d’Aubade, l’infirmière du centre hospitalier du Havre, l’instituteur de Marseille, la psychologue scolaire en RASED de Cergy, l’intérimaire licencié de Citroën Aulnay, l’étudiant de Saint-Denis, la chômeuse de Lens ? Que François Bayrou soit leur sauveur aux côtés de Daniel Cohn-Bendit ? Ou alors ils piaffent d’impatience d’ici à 2011 pour avoir le droit de départager les candidats socialistes à la présidentielle de 2012 ? On croit rêver. [...] En pleine crise du capitalisme financier, le chef de l’État va se payer le luxe de recevoir, pour la forme et pour la septième fois, les banquiers, parmi les premiers responsables de la récession en cours, rouages essentiels d’un système qu’il entend sauver. [...] Le tous contre Sarkozy qui émerge du week-end dernier chez certains résonne étrangement avec le « tout sauf Sarkozy » qui fit florès lors de la campagne de l’élection présidentielle de 2007. On a vu le résultat. On voit aussi des centaines de milliers de Françaises et de Français, de tous âges, se mobiliser, descendre dans la rue. On voit des milliers de salariés se battre pour préserver ici un outil de travail performant sacrifié sur l’autel de la loi d’airain de l’actionnaire roi, là pour défendre un service public menacé. Ce même peuple combatif n’attend pas le sauveur suprême mais des solutions crédibles.
Jeunes/police: « table ronde » lundi
NDLR : Je me demande si les professionnels s'en souviennent. Par le passé, nous avons amélioré le dispositif en envisageant de compter autrement. Qu'allons nous faire d'intéressant encore, à partir de ce lundi ? A lire un peu plus loin, chez le juge Jean-Pierre Rosenczweig, Pourquoi je n’étais pas place Vendôme (142) : « Pas question bien sûr d’aller à Canossa et de tendre la joue gauche après avoir reçu des marrons sur la droite! Mais le risque était limité car il fallait - telle était la commande présidentielle - une chute apaisante. Pas question non plus d’en revenir avec deux carottes et trois navets car le problème posé dans le courrier du préfet Cordet au ministre de l’intérieur n’était pas de ce niveau. Durant le week-end j’avais revu ma position initiale sans rien décider de definitif en estimant que cette réunion allait participer de l’opération "écran de fumée" montée par le ministre de l’intérieur depuis juin dernier... » Deux carottes et trois navets, on pourrait en rêver.
Jeunes/police: "table ronde" lundi
AFP, 29/08/2009 | Mise à jour : 10:52, extrait
Une "table ronde" sur les relations entre les jeunes et la police, annoncée par Brice Hortefeux après la mort récente à Bagnolet (Seine-Saint-Denis) d'un jeune motocycliste qui fuyait un contrôle de police, se tiendra lundi au ministère de l'Intérieur. Yakou Sanogo, 18 ans, s'était tué le 19 août dernier après avoir percuté une barrière de béton alors qu'il fuyait un contrôle de police, et sa mort avait provoqué de violents incidents dans la ville, où des jeunes gens accusaient les policiers d'avoir heurté leur camarade.
PARIS (AP), 25 septembre 2006 - A la demande du président de la République, le garde des Sceaux a réuni lundi à la Chancellerie les représentants de la police et de la justice de Seine-Saint-Denis. A l'issue de la réunion, Pascal Clément a annoncé quelques petites mesures pour améliorer la situation sur le terrain et la création d'un observatoire départemental de la délinquance.
"Nous nous sommes aperçus (...) que la police et la justice ne disposent pas des mêmes indicateurs", a souligné le ministre devant un dispositif médiatique dignes des sorties de son collègue de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy. Dont la sortie la semaine dernière sur le laxisme supposé des magistrats de Bobigny était à l'origine de ce tour de table.
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