Archives pour: Mars 2009, 06
Dylan, l'enfant « séquestré » : la photo exclusive des parents
NDLR : Pour le maire de Millau, le responsable, c'est la carte judiciaire ? On aura tout entendu...
Vendredi 06 Mars 2009
Dylan: La photo exclusive des parents
Par la rédaction
leJDD.fr, extraits
Depuis de nombreuses années, il vivait cloîtré dans sa chambre, fermée de l'extérieur. Interrogé vendredi, le procureur de la République de Millau, Patrick Desjardins, a toutefois estimé qu'il n'y avait pas eu de dysfonctionnement, précisant toutefois que l'enquête permettrait de mieux connaître le déroulement des événements.
Les parents, eux, Franck S. et Stéphanie M, dont le Journal du Dimanche s'est procuré la photo en exclusivité*, ont été incarcérés jeudi. [...] Selon le procureur de la République, le père aurait eu par ailleurs quatre enfants nés de relations antérieures. Une enquête avait été ouverte en 2002 pour violences présumées sur l'une des filles, mais celle-ci n'avait pas donné lieu à des poursuites.
*La photo du petit Dylan, en bas à droite du cliché, a été volontairement floutée.
Les avocats des parents de Dylan tentent d'atténuer leur responsabilité
Créé le 06/03/09 - Dernière mise à jour à 19h58, Europe 1, extrait
Un délai de près de 8 mois s'est écoulé entre le signalement et l'arrestation des parents du petit garçon retrouvé séquestré à Millau, dans l'Aveyron. Le procureur de la République de Millau a écarté vendredi, à ce stade de l'enquête, un dysfonctionnement des services sociaux, mettant en cause "le nuage de fumée" autour des parents. Pour défendre la mère de Dylan, son avocat a évoqué un "état de dépendance" par rapport à son concubin. De son côté, le père "a essayé de faire face à des difficultés d'éducation", a déclaré son avocat. Le couple a été mis en examen et écroués jeudi pour avoir maltraité leur fils de 7 ans.
Comment ce drame a-t-il été possible ? Les responsabilités semblent partagées. Le reportage de Pierre de Cossette.
« Pour un fils » : ...et pour une mère ou le burlesque en salles
Critique
"Pour un fils" : ...et pour une mère
LE MONDE | 03.03.09 | 15h59, extrait
Séparée de son mari, assommée par l'épreuve qui lui est imposée mais n'ayant jamais perdu espoir, Catherine tente de se reconstruire, quand se présente un jeune homme qui prétend être son fils, enlevé dix ans plus tôt. Marqué de son côté par la culpabilité de n'avoir jamais retrouvé l'enfant disparu, le policier chargé de l'enquête est un homme à vif, sensible aux tragédies humaines (il s'occupe de son frère handicapé).
Lorsqu'il reçoit ces appels du jeune Matteo qui prétend être le fils de Catherine, il multiplie les erreurs, bafoue les procédures. Impatient d'illuminer cette famille crucifiée, il permet à Catherine de visiter l'enfant à l'hôpital, autorise Matteo à venir s'installer chez elle, avant d'attendre le résultat du test ADN.
C'est à partir d'un fait divers qu'Alix de Maistre a bâti son thriller psychologique...
Suggestion de lecture, Le caméléon : « pour quelques jours d'amour, ça valait le coup »
Cinéma 04/03/2009 à 06h51, Libé, extrait
Tiens, revoilà du Bourdin !
Fait divers. «Pour un fils» évoque l’histoire du «Caméléon».
Bouleversée par un fait divers lu dans Libération, Alix de Maistre s’est attachée à réinventer les relations tordues entre une femme dévastée par le kidnapping de son enfant quinze ans auparavant (Miou-Miou) et un jeune imposteur qui prétend être son fils (Kevin Lelannier). Le film n’est pas très réussi (sauf Olivier Gourmet, émouvant dans le rôle du flic déboussolé par son enquête), mais tourne à nouveau les projecteurs sur le principal protagoniste du fait divers, Frédéric Bourdin. L’homme a emprunté tant de vies qu’il y avait de quoi faire plusieurs films. Les producteurs ne s’en sont pas privés, et Frédéric Bourdin veut à présent les faire payer.
En Aveyron : la cellule Enfance en danger est [enfin] mise en œuvre
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La cellule Enfance en danger est mise en œuvre
De source www.cg12.fr, en naviguant dans le menu et les actualités
La signature entre le Conseil général, l’Etat et l’autorité judiciaire, mardi 9 février au Foyer départemental de l’enfance, du protocole pour la mise en œuvre de la cellule Office en danger officialise la structure.
En 2008 en Aveyron, 479 informations préoccupantes ont concerné 748 enfants en danger ou en risque de danger.
signature enfance en danger
Les missions de la cellule Enfance en danger sont : le recueil de toutes les informations préoccupantes concernant les enfants, l’évaluation de la situation qui permettra de décider des moyens d’aide les mieux adaptés aux besoins du mineur et de sa famille.
Cette structure constitue l’interface entre les divers services du département et l’ensemble des professionnels concernés par la protection de l’enfance.
En cette occasion, Jean-Claude Luche a rappelé l’effort du Conseil général dans le domaine de la famille et de l’enfance. 21,8 M€ y ont été consacrés en 2008.
L’action du Conseil général s’appuie sur la Protection maternelle et infantile (PMI) avec le suivi des familles, le suivi à domicile des enfants de moins de 6 ans, les bilans médico-sociaux dans les écoles.
En ce qui concerne les enfants en danger ou en risque de danger, le département propose 778 places d’accueil qui proposent des formules adaptées aux besoins : Foyer départemental de l’enfance, maisons d’enfants à caractère social à Villefranche-de-Rouergue, Rodez et Millau-Ségur, assistants familiaux, familles d’accueil.
Jean-Claude Luche a également confirmé le lancement de la réalisation du schéma départemental de la protection de l’enfance.
Millau : les réponses de Claude Halmos
NDLR : Ce matin, une autre chronique ou interview diffusée par France Info était plus virulente, probablement satyrique, je ne la retrouve pas sur le net. L'opinion de Claude Halmos, psychanalyste et auteur de « L'autorité expliquée aux parents » sera parfaite pour ces notes. On attend maintenant les résultats des investigations...
Séquestration et loi Bachelot
France Info - 12:40
Au carrefour de l’info la mise en examen des parents ayant séquestré leur enfant et la loi Bachelot.
Un enfant difficile. C’est la raison que les parents d’un petit garçon de sept ans ont évoqué pour justifier sa séquestration pendant des années. L’enfant vivait dans une chambre aux volets toujours fermés, sans jouet, dans des conditions d’hygiène déplorables et était battu quotidiennement par son père. Les parents ont été mis en examen et écroué à Millau et le garçon a été placé dans une famille d’accueil. Comment un tel drame a-t-il pu survenir ? Pourquoi les services sociaux n’ont-ils rien vu ? Quel est l’avenir de cet enfant ?
Jean-Pierre Gauffre - Hier, 07:30, France Info, Ecouter la chronique (2'03")
Politique
L'Affaire Pérol va rebondir à l'Assemblée
Le Parisien | 06.03.2009, 16h13 | Mise à jour : 17h13, extrait
La polémique au sujet de la nomination par Nicolas Sarkozy de François Pérol à la tête du groupe Caisses d'épargne-Banque Populaire a du mal à retomber. Le président de la commission de déontologie, Olivier Fouquet, sera auditionné jeudi matin par la commission des lois de l'Assemblée nationale, a-t-on appris vendredi de source parlementaire.
Près de chez moi
Essonne (91)
Le commissaire de Juvisy sera jugé le 30 mars
Le Parisien ave AFP | 06.03.2009, 16h27
Le commissaire de police de Juvisy-sur-Orge (Essonne), soupçonné de détournement de fonds, devait être déféré vendredi après-midi devant le parquet de Créteil (Val de Marne), désormais saisi du dossier, et sera jugé le 30 mars devant le tribunal correctionnel.
Soupçonné d'avoir détourné une somme de 3.000 euros saisie et placée sous scellés dans le cadre d'une procédure judiciaire, le policier avait été placé jeudi en garde à vue par l'Inspection générale de la police nationale (IGPN). Il a reconnu les faits.
Lettres de menaces : le « suspect » parle
Lettres de menaces : le "suspect" parle sur Europe 1
Créé le 06/03/09 - Dernière mise à jour à 15h35 - Europe 1, extrait
La garde à vue de l'homme, un temps suspecté dans l'enquête sur les menaces de mort envoyées à Nicolas Sarkozy et à plusieurs personnalités politiques, a été levée jeudi soir. Sans qu’aucune charge ne soit retenue contre cet informaticien de 47 ans qui met désormais en cause son ex-compagne pour l’avoir dénoncé à tort. Sur Europe 1, cet homme raconte être "fatigué" mais assure être resté "calme et serein" tout au long de la procédure. "Le corbeau était un petit pigeon tout blanc", conclut-il.
Fausse piste dans l’enquête sur les lettres de menaces de mort
France Info - 14:00, extrait
L’homme entendu dans le cadre de l’enquête sur les menaces de mort adressées à plusieurs personnalités politiques, dont le chef de l’Etat, a été libéré sans qu’aucune charge ne soit retenue contre lui. Cet informaticien de 47 ans, militaire de réserve, soupçonné dans l’enquête sur les menaces de mort envoyées à Nicolas Sarkozy et plusieurs personnalités politiques, avait été interpellé mercredi à Montpellier.
C’est son ex-épouse qui l’avait mis en cause. Elle affirmait qu’il l’avait menacée dans des termes proches de ceux figurant dans les lettres de menaces contenant, chacune, une balle de 9mm.
Ni arme, ni balles, les enquêteurs n’ont retrouvé aucun indice matériel au domicile du suspect mais estimaient que la personnalité de cet homme pouvait correspondre à celle du "corbeau." "Il avait adressé des injures de toutes sortes à des familiers", soulignait-on de source proche de l’enquête. Depuis hier, Les policiers avaient cependant de sérieux doutes sur le bien fondé de cette piste.
A Millau (Aveyron), le procureur est formel : « c'est pas nous ! »
MILLAU
Enfant séquestré : les services sociaux pas mis en cause
NOUVELOBS.COM | 06.03.2009 | 14:53, extrait
Le cas du petit Dylan a été signalé en août 2008, mais les parents n'ont pas répondu aux différentes convocations. Patrick Desjardins, procureur de la République de Millau exclut, pour l'instant, un dysfonctionnement des services sociaux.
Maltraitance - Enfant séquestré : qu'ont fait les services sociaux ?
TF1/LCI - le 06/03/2009 - 14h58
Pour le procureur de la République de Millau il n'y a pas eu dysfonctionnement des services sociaux, concernant les mauvais traitements infligés à Dylan. Un couple a été mis en examen et écroué jeudi à Millau pour avoir séquestré et maltraité son fils de 7 ans vraisemblablement pendant plusieurs années.
Le procureur de la République de Millau, Patrick Desjardins, est catégorique : il n'y a pas eu dysfonctionnement des services sociaux, concernant les mauvais traitements infligés à Dylan, un garçon de 7 ans dont les parents ont été écroués jeudi. Même son de cloche chez la vice-présidente du Conseil général de l'Aveyron, en charge de la mission enfance-famille, Renée-Claude Coussergues, pour qui "les services sociaux n'ont pas failli".
Protéger l'enfance : « nous sommes tous concernés »
NDLR : Selon France Info, il se pourrait que les équipes du Conseil général chargées de rassembler et de recouper les informations inquiétantes ne soient constituées et opérationnelles que depuis peu de temps. Récemment, la presse nous informait que la plupart des Conseils généraux avaient fait le nécessaire suite aux débats et travaux initiés en 2005, après l'appel des 100 en faveur du renouveau de la protection de l'enfance. Mais à ma connaissance, les Conseils généraux n'ont pas d'obligations particulières.
D'après le Post, l'enfant aurait passé la nuit dans une famille d'accueil et non dans un service de pédiatrie ou de pédopsychiatrie. On peut donc supposer qu'il y a plus de bruit et de rumeurs que de dégats avérés et que cet enfant s'en sortira bien.
Publié le 06/03/2009 08:01 - Modifié le 06/03/2009 à 11:41 | B.-H. S.-P., La Dépêche, extrait de la page
Millau. Dylan, 7 ans, séquestré et maltraité
Pouvait-on découvrir plus tôt cette situation? Y-a-t-il eu des dysfonctionnements?
Car c'est seulement à la faveur du suivi par les services sociaux, à la faveur de la naissance du deuxième enfant, qu'un signalement a été effectué auprès de la juge des enfants de Rodez, Amandine Abegg. «Les parents ont délibérément agi pour ne pas scolariser Dylan et ne pas répondre aux convocations des services sociaux. La situation est aujourd'hui figée. L'instruction montrera s'il y a eu des carences administratives», souligne le procureur. «Il n'y avait pas d'obligation de suivi par les services. Les parents avaient cependant l'obligation de scolariser leur enfant», précise pour sa part Amandine Abegg.
Comment va l'enfant ?
Il a passé la nuit dans une famille d'accueil de Millau, selon le maire de la commune.
"Il a toute chance de bien s'en sortir" affirme un pédopsychiatre sur RMC. "Il va nouer des liens affectifs, en mangeant, en dormant dans des conditions confortables. Il va abandonner rapidement le monde effrayant dans lequel il se débattait et la réinsertion devrait se passer au mieux.
Millau : le procureur écarte pour l'instant un dysfonctionnement
NDLR : « Circulez, y a rien à voir, c'est une affaire `'privée". Rentrez chez vous, allumez votre télévision. » Voir ce que me répondait Maître Eolas, début décembre 2008. Ne pas louper Emily a retrouvé ses maîtres.
MILLAU, Aveyron (AFP), il y 54 minutes — Le procureur de la République de Millau, Patrick Desjardins, a écarté vendredi, à ce stade de l'enquête sur les mauvais traitements infligés à Dylan, un garçon de 7 ans dont les parents ont été écroués, un dysfonctionnement des services sociaux.
Il a en revanche mis sur le compte des parents les "retards" enregistrés entre les premiers signalements et l'intervention de la police.
Evadé sept mois, il mène une vie normale
Evadé sept mois, il mène une vie normale
Lefigaro.fr, 06/03/2009 | Mise à jour : 10:39
Un jeune détenu de 24 ans en semi-liberté qui n'avait pas réintégré la maison d'arrêt de Colmar en août dernier a été interpellé le 14 février dernier, rapportent aujourd'hui les Dernières Nouvelles d'Alsace.
Pendant sept mois, il a mené une vie tout à fait normale, à son domicile colmarien et en compagnie de sa femme et de son enfant d'un an et demi, trouvant même un travail au mois de novembre. Alors qu'il n'avait jamais été inquiété par la police et la justice depuis son évasion, l'homme a été interpellé par hasard lors d'un contrôle pour excès de vitesse.
Contacté par lefigaro.fr ce matin, le parquet reconnaît qu’«il y a eu un loupé», tout en soulignant que le jeune homme était condamné pour des délits mineurs.
Libérable en janvier 2010 s’il avait exécuté sa peine, le jeune homme va maintenant devoir rattraper les mois perdus, et purger une peine supplémentaire : un mois ferme pour la conduire sans permis, et quatre avec sursis pour l’évasion.
La grand-mère de l'enfant séquestré : « je ne comprends pas »
Un enfant séquestré par ses parents depuis plusieurs années
France Info - Hier, 15:09, Ecoutez le témoignage de la grand mère du petit garçon (0'40")
Faits divers
« Je ne comprends pas »
MARIE-FRANÇOISE, grand-mère maternelle de Dylan
Le Parisien | 06.03.2009, 07h00
« Je suis outrée ! Quand je suis entrée dans la chambre, ça m’a fait mal ! Je ne comprends pas. » Marie-Françoise est la grand-mère maternelle de Dylan. Elle vit dans la Nièvre. Quand elle a su que sa fille et son gendre étaient placés en garde à vue, elle s’est rendue à Millau, où elle n’était pas revenue depuis un an.
Nanterre dément les rumeurs d'échec de Nicolas Sarkozy au DEA
Nanterre dément les rumeurs d'échec de Nicolas Sarkozy au DEA
LEMONDE.FR | 06.03.09 | 11h33 • Mis à jour le 06.03.09 | 11h48, extraits
En pleine mobilisation des enseignants-chercheurs, un texte du professeur de sciences politiques Alain Garrigou, titré "Sarkozy et l'université – la revanche personnelle d'un cancre", s'est taillé un certain succès sur la blogosphère. Publié par le site de la Fondation Copernic et Mediapart, il y explique la "petite guerre" livrée par le chef de l'Etat aux scientifiques et aux universitaires par ses études "assez médiocres".
[...] L'université a de son côté indiqué au Monde.fr, après recherches, que Nicolas Sarkozy a en fait obtenu son diplôme à la session d'octobre-novembre 1980, en conservant le bénéfice de ses notes de séminaires de l'année précédente, et avec 6 à l'examen écrit, et 16 au mémoire. Soit une moyenne de 14, correspondant à la mention "assez bien". Alain Garrigou souligne que pour terminer son diplôme l'année suivante, il faut obtenir une dérogation, "ce qui n'arrive que dans des cas exceptionnels"... L'université indique pour sa part que ce n'est pas si rare. Et devait publier un communiqué sur l'affaire, vendredi 6 mars.
Appeler Pôle emploi peut coûter cher
Créé le 17/01/09 - Dernière mise à jour le 06/03/09 à 12h36, Europe 1, extrait
Téléphoner au numéro d'appel unique de Pôle emploi, le 39 49 qui permet de joindre le nouvel organisme chargé des chômeurs, coûte en principe 11 centimes d'euro la minute. Mais la note est six à sept fois plus élevée depuis certains téléphones mobiles.
Bernard Golse : « Il faut toujours garder espoir »
Enfant séquestré à Millau: pourquoi ne l'a-t-on pas découvert avant?
Par La rédaction du Post, le 06/03/2009, extrait
Du côté de la mairie ? "On ne les connaissait pas du tout. Les services sociaux ne nous ont jamais rien dit. L'enfant n'a jamais été inscrit à aucune école, aucune cantine, aucun centre aéré, rien" explique au Post le maire de Millau Guy Durand.
Du côté de la justice ? "La justice a fait son travail mais si nous n'avons pas à proximité les services de police ou de justice nécessaires, cela pose des problèmes", affirme Guy Durand, maire PS de Millau au micro de RMC. "D'après mes renseignements, un signalement a été reçu par la juge des enfants de Rodez à l'été 2008. Elle a convoqué les parents qui ne se sont pas rendus au tribunal, à 1h de route de là. Ensuite, la juge a saisi le parquet de Rodez... qui a ensuite saisi le procureur de Millau. Et la police n'est intervenue que cette semaine."
Faits divers
« Il pourra peut-être se reconstruire »
DOCTEUR BERNARD GOLSE, pédopsychiatre
Le Parisien | 06.03.2009, 07h00
Le Professeur de médecine Bernard Golse est chef du service de pédopsychiatrie à l’hôpital Necker, à Paris. Il est spécialiste de la prise en charge de la souffrance des enfants.
Qu’évoque pour vous cette affaire d’enfant séquestré ?
Bernard Golse. Je ne peux parler de cette affaire qu’en termes généraux.
Fiesta !
Politique
Publié le 05/03/2009 à 07:39 - Modifié le 05/03/2009 à 20:27, AFP, extrait
Une kyrielle de ministres réunis pour fêter les 50 ans du Conseil constitutionnel
Plusieurs générations de ministres se sont retrouvées jeudi soir pour fêter les 50 ans du Conseil constitutionnel, lors d'une réception dans son cadre historique du Palais-Royal à Paris.
"Plus de la moitié" des 350 ministres et secrétaires d'Etat de la Vè République invités "participent ce soir à cet anniversaire", s'est félicité le président du Conseil constitutionnel, Jean-Louis Debré, dans un discours prononcé au côté de l'ancien président de la République Jacques Chirac, membre de droit du Conseil.
M. Debré a brièvement retracé l'historique de cette institution, chargée de vérifier que les lois sont bien conformes à la Constitution, et installée par le général de Gaulle le 5 mars 1959.
Béchir expulse des ONG, fustige le « néo-colonialisme » occidental
Médiatrice
K. selon "Le Monde", par Véronique Maurus
LE MONDE | 20.02.09 | 14h19, extraits
Le Monde a-t-il fait preuve d'une indulgence coupable vis-à-vis de Bernard Kouchner - mis en cause dans le livre de Pierre Péan Le Monde selon K. ? En dénonçant l'"ombre idéologique" qui pèse sur ce livre, a-t-il déplacé le débat et transformé l'"affaire Kouchner" en "affaire Péan", contribuant ainsi à l'étouffer ? Les soupçons exprimés par les lecteurs, après la publication, le 6 février, de trois articles et d'un éditorial sur ce sujet, sont lourds.
Ils découlent de l'émoi provoqué par la chute d'une idole.
Publié le 12/02/2009, N°1900, Le Point
Docteur Bernard et Mister Kouchner
Ambiguïté. Sous quelle casquette Kouchner sillonait-il l'Afrique : humanitaire désintéressé ou consultant rétribué ?
Il est abasourdi. Estomaqué. N'y comprend plus rien. Pourquoi une telle haine ? Comment un tel procès ? Il se met à l'ombre, bordure les entretiens. Qui est cet homme que la lecture des journaux effondre ? Bernard Kouchner le flamboyant, dont il est écrit qu'il aurait confondu ses intérêts et ceux de la France ? Eh bien non. L'homme groggy est Pierre Péan, l'auteur du « Monde selon K. » (Fayard), frappé par un boomerang.
Darfour : Béchir expulse des ONG, fustige le "néo-colonialisme" occidental
AFP 05.03.09 | 22h50, extrait
Le président soudanais Omar el-Béchir a fustigé jeudi le "néo-colonialisme" occidental en justifiant l'expulsion de plus d'une dizaine d'ONG internationales au Darfour, accusées par Khartoum de collaborer avec la Cour pénal internationale (CPI).