Archives pour: Octobre 2008, 16
Le père du garçon adopté par Madonna « choqué » par son divorce
Publié le 16 octobre 2008 à 13h43 | Mis à jour à 13h45, Agence France-Presse
Le père du garçon adopté par Madonna «choqué» par son divorce
Le père du petit David, adopté au Malawi par la chanteuse américaine Madonna, s'est dit jeudi «choqué mais pas triste» du divorce de la star et du cinéaste britannique Guy Ritchie.
«Madonna adore l'enfant et je veux qu'elle continue à l'aimer malgré le divorce», a déclaré par téléphone à l'AFP Yohane Banda, depuis son village de Mchinji, situé à 110 kilomètres de la capitale administrative Lilongwe.
«Je suis choqué mais pas triste», a-t-il poursuivi.
Armes à feu : un jeu mortel ?
Un mort à Martelange: la “ roulette russe ”?
Luxembourg, lundi 09 juin 2008, 07:12, www.lameuse.be, extrait
Que s’est-il passé au domicile de Daniel Kill samedi soir vers 22h30? À Martelange, les rumeurs les plus folles courent. Seules certitudes: Denis Trum (63 ans) est mort, tué d’une balle en pleine tête. Et Daniel Kill a été inculpé d’homicide involontaire.
Faits divers
Roulette russe fatale dans le Cher
leparisien.fr avec AFP | 06.10.2008, 20h18, extrait
Un homme de 42 ans ans est décédé dans la nuit de dimanche à lundi après avoir été grièvement blessé par balle dans la tête en jouant à la roulette russe à Ménétréol-sous-Sancerre (Cher).
Selon les premiers éléments de l'enquête, l'homme, un vendangeur saisonnier, avait passé une partie de la journée en compagnie d'une femme et de son fils et aurait voulu jouer à la roulette russe par fanfaronnade.
COLOMBIE-BRITANNIQUE (RC) - Un garçon de 13 ans de Surrey est mort, jeudi, après avoir reçu le projectile d'une arme à air comprimé à la tête deux jours plus tôt.
17 octobre 1961 : les associations réclament « vérité et justice »
Société
17 octobre 1961: les associations réclament "vérité et justice"
AP | 16.10.2008 | 17:39
Vingt-trois associations, partis et syndicats réclament à nouveau "vérité et justice" à l'occasion de la commémoration du massacre de plusieurs dizaines d'Algériens par les forces de l'ordre dans la nuit du 17 octobre 1961.
Elles exigent notamment "la reconnaissance officielle du crime commis par l'Etat français" et la liberté d'accès "effective" aux archives. Un rassemblement sera organisé vendredi à 18h30 au pont Saint-Michel à Paris, où une plaque officielle apposée en 2001 commémore l'événement.
Fugue à Reims : Le père est soupçonné d'avoir organisé la disparition
Le père des jeunes fugitives de Reims soupçonné d'avoir organisé leur disparition
AP, extrait
"Il ne parle pas beaucoup, mais Renaldo Galtieri est directement impliqué dans la disparition de ses filles, Valérie et Sophie", a déclaré jeudi à l'Associated Press le procureur de la République de Reims, Madeleine Simoncello.
La magistrate ne cache pas sa colère. Le père "a mené tout le monde en bateau et nous a bernés. C'est inadmissible, je ne ferai pas de cadeau. Il a fait travailler une cinquantaine de policiers. Il est en garde à vue de même qu'un frère et deux amis, tous des hommes de 35 à 40 ans". Le procureur ajoute que "d'autres personnes pourraient être inquiétées. La responsabilité de chacun sera étudiée".
Mme Simoncello précise que la piste familiale avait d'emblée été ciblée, en raison de "coïncidences troublantes, mais aucune piste n'a été négligée". Des écoutes téléphoniques et une surveillance discrète ont permis aux policiers de suivre le scénario. Grâce à "une organisation familiale", souligne le procureur, les deux soeurs ont été déplacées au fil des jours. Leur réapparition jeudi matin "survient après des descentes de police" dans la matinée, note-t-elle.
Les soeurs âgées de 11 et 13 ans ont en effet réapparu dans leur établissement scolaire, le collège Maryse-Bastié à Reims, cartable sur le dos, comme si elles n'avaient jamais disparu. Elles "donnaient l'impression de deux élèves qui venaient de rater le bus et qui avait un quart d'heure de retard, c'est tout", a témoigné sur RTL Dany Alary, le principal du collège.
Entendues par les policiers, elles ne se sont pas montrées bavardes mais leur retour est survenu alors qu'une vaste opération de police s'était déroulée dès 6h chez 19 membres de leur entourage familial et des proches à Reims, Epernay et dans la région.
Nord : 2 arrestations pour maltraitance
Source : AFP, 16/10/2008 | Mise à jour : 20:09
Deux jeunes hommes ont été mis en examen et écroués mercredi pour avoir maltraité à plusieurs reprises un garçonnet de deux ans dont ils avaient occasionnellement la garde, à Sin-le-Noble (Nord), près de Douai, a-t-on appris de sources judiciaire et policière.
Les deux suspects, âgés de 21 et 24 ans, ont été mis en examen à Douai pour "violences sur mineur en réunion" et écroués. L'enfant a été retiré à sa mère et placé dans un centre éducatif, le temps que le rôle de celle-ci soit précisé.
« Une grève dont il va falloir décrypter le sens », selon le recteur de Paris
Un tiers des enseignants parisiens en grève
Créé le 14/10/08 - Dernière mise à jour le 16/10/08 à 19h23, Europe 1, extrait
L'appel à la grève lancé par les syndicats parisiens du SNUipp-FSU, du Sgen-CFDT, du SE-Unsa, de FO et de Sud a bien été suivi jeudi. Le rectorat a annoncé un taux de grévistes de 34,36% sur le total des enseignants. "Ca veut dire que c'est une grève importante (...) Une grève dont il va falloir décrypter le sens", car les participants sont "beaucoup plus que ce que je pensais avoir", a commenté le recteur de Paris Maurice Quénet.
[...] Les enseignants parisiens du primaire se sont mis en grève contre "l'autoritarisme" de l'inspecteur d'académie, son refus d'accepter une réunion syndicale sur le temps de travail des enseignants, les suppressions de postes, en particulier des réseaux d'aide spécialisée (Rased), les modalités de mise en place de "l'aide personnalisée" et le service minimum d'accueil.
La soeur de Sohane s’invite au procès Ferrara
Faits divers
Vitry-sur-Seine
La soeur de Sohane s’invite au procès Ferrara
leparisien.fr 16.10.2008, 07h00, extraits
LA JEUNE FEMME s’approche de la barre. Sa voix ne tremble pas, elle n’en rajoute pas dans l’émotion mais ses propos saisissent les jurés et le public. « Je ne connais pas du tout M. Traoré mais je tiens à dire qu’en 2002, quand ma soeur fut aspergée d’essence, il a été une des rares personnes à essayer de la sauver. »
[...] Mais hier il a donné des précisions qui ont semblé convaincre les magistrats de son intervention héroïque. Surtout que Kahina insiste. « C’est de notoriété publique à Vitry. Maintenant, je ne connais pas les faits qui sont reprochés ici à M. Moussa Traoré mais une personne qui, face à la mort, fait tout pour la dévier, ne peut pas être foncièrement mauvaise. Et quand je vois qu’il risque aujourd’hui la perpétuité alors que deux complices de l’assassin de ma soeur sont libres, je me dis qu’il y a une injustice. »
« La Marseillaise sifflée » vue du Maghreb
«La Marseillaise sifflée» vue du Maghreb
lefigaro.fr, 16/10/2008 | Mise à jour : 12:55 | Commentaires 108, extraits
REVUE DE PRESSE - Pour les journaux tunisiens et algériens, l'affaire traduit les rapports difficile de la société française avec ses «beurs».
La presse maghrébine a la gueule de bois jeudi, après la vive polémique de la Marseillaise sifflée avant le match amical France-Tunisie. L'éditorialiste du journal tunisien, Le Temps, stigmatise la «tentation xénophobe latente» en France. Fustigeant les propos de Bernard Laporte, qui suggère que «les matches contre les équipes maghrébines se déroulent dans les terrains de banlieue», Raoul Khalsi s'indigne de ce «dangereux lien de cause à effet : Maghrébins-sifflements».
[...] Et d'asséner : «On a trop fait sentir justement à ces Français, pas tout à fait Français, qu'ils ne sont pas «Français» vraiment et ne sont que tolérés. C'est en fait cela le drame de l'émigration maghrébine en France qui est aussi et en même temps l'échec d'une politique d'intégration qui n'a pas su faire la part des choses.»
Société
Lââm a eu "un petit peu de peine" lors des sifflets contre "La Marseillaise"
AP | 15.10.2008 | 19:26
La chanteuse Lââm a confié mercredi avoir eu "un petit peu de peine" lorsque "La Marseillaise", qu'elle interprétait mardi soir en ouverture du match de football France-Tunisie, a été sifflée.
"C'est vrai que j'ai eu un petit peu de peine, je suis venue pour un match amical, pour la paix", a-t-elle dit sur France Info. "Je m'étais psychologiquement préparée, mon mari aussi. Il m'a dit: 'Surtout ne pleure pas'", a-t-elle indiqué.
La chanteuse franco-tunisienne a par ailleurs estimé que "c'est vrai aussi que ça ne va pas dans les cités, il y a des gens qui souffrent, des Français maghrébins qui souffrent", et que siffler pendant l'hymne français était "une façon à eux de s'exprimer en disant: voilà, ça ne va pas".
Rouilan reste en prison
RTL info.be - Le célèbre écrivain italien Claudio Magris a réclamé des excuses au président Nicolas Sarkozy qui a "insulté" l'Italie en la faisant passer pour "un pays de barbares" avec son refus d'extrader l'ex-terroriste des Brigades rouges Marina Petrella en raison de sa santé.
Marseillaise: Laporte "assume" ses propos
Source : AFP, 16/10/2008 | Mise à jour : 20:19, extrait
Le secrétaire d'Etat aux Sports, Bernard Laporte, a affirmé jeudi soir assumer sa proposition de ne plus jouer à Paris les matches contre les équipes du Maghreb après les sifflets de mardi soir contre la Marseillaise, une idée qui lui a valu de vives attaques.
"J'assume tout ce que j'ai dit", a déclaré M. Laporte au journal de France 3.
Le secrétaire d'Etat a ensuite repris son argumentaire, estimant "inadmissible que l'hymne national soit sifflé", et affirmant: "les matches à risque, il faut les délocaliser et aller les jouer en province".
"Ce n'est pas de la discrimination", a-t-il assuré, en réponse aux critiques qui se sont abattues sur lui.
Mort d'un détenu dans une prison du Var
Publié le 16/10/2008 à 20:03, Reuters, extrait
Sarkozy porte plainte contre Yves Bertrand, l'ex-patron des RG
Nicolas Sarkozy a déposé une plainte à l'encontre de l'ancien directeur central des renseignements généraux (RG), Yves Bertrand, pour "atteinte à la vie privée", "dénonciation calomnieuse" et "faux et usage de faux", annonce jeudi son avocat, Thierry Herzog.
Société
Le père, l'oncle et un proche des deux collégiennes de Reims en garde à vue
AP | 16.10.2008 | 15:33, extrait
Le père, l'oncle et un proche de Valérie et de Sophie, ces deux soeurs qui avaient disparu le 6 octobre du domicile familial avant de réapparaître jeudi matin, ont été placés en garde à vue au commissariat de Reims (Marne) pour y être interrogés par le SRPJ rémois et la Sûreté départementale, a-t-on appris de source policière. On précisait qu'une quatrième personne soupçonnée d'avoir aidé les deux soeurs à se cacher pendant dix jours devait être interpellée prochainement.
Mort d'un détenu dans une prison du Var
Source : AFP, 16/10/2008 | Mise à jour : 20:02
Un jeune homme de 23 ans, détenu à la prison de La Farlède (Var) où il purgeait une peine de 8 mois pour trafic de stupéfiants, est décédé il y a une dizaine de jours à la suite d'"une régurgitation massive", a-t-on appris auprès du procureur de la République de Toulon.
Cour européenne : la France condamnée pour un suicide en prison
Mme Dati en difficulté face à la crise des prisons
LE MONDE | 16.10.08 | 15h49 • Mis à jour le 16.10.08 | 16h18, extrait
Série noire dans les prisons. Trois adolescents se sont suicidés depuis le début de l'année, alors que cela n'était pas arrivé depuis 2002. Cela porte le nombre de suicides à 88 personnes depuis janvier. Quatre meurtres ont eu lieu en prison, dont deux en moins d'un mois.
Les syndicats de surveillants et de magistrats font part de leur exaspération et s'unissent pour critiquer la politique de la chancellerie. Très attendue, la loi pénitentiaire n'est toujours pas inscrite au Parlement. Décryptage de la crise carcérale.
Chronique
Les femmes, antidote à la crise boursière, par Annie Kahn
LE MONDE | 15.10.08 | 14h44, extrait
Plus une entreprise compte de femmes - et de femmes cadres en particulier - dans ses effectifs, moins son cours de Bourse a baissé depuis le début de l'année. Ce qui pourrait sembler être une élucubration féministe est, en fait, le résultat d'une étude de Michel Ferrary, professeur en gestion de ressources humaines à la Business School du Ceram (Ecole supérieure de commerce à Nice-Sophia Antipolis).
Rachida Dati vivement attaquée par la magistrature
LEMONDE.FR 16.10.08 | 16h42, extrait
PARIS (Reuters) - Sur fond de crise du système judiciaire, la magistrature française lance une vive attaque contre Rachida Dati avec l'annonce d'une journée de protestation nationale le 23 octobre et la saisine du Conseil supérieur de la magistrature (CSM).
Cour européenne : la France condamnée pour un suicide en prison
LEMONDE.FR avec AFP | 16.10.08 | 13h37 • Mis à jour le 16.10.08 | 15h32, extrait
La France a été condamnée par la Cour européenne des droits de l'homme, jeudi 16 octobre, pour n'avoir pas "protégé le droit à la vie" d'un détenu psychotique qui s'était pendu dans sa cellule. Joselito Renolde était mort en juillet 2000 dans une cellule disciplinaire, à l'isolement, dans la prison de Bois-d'Arcy, en région parisienne, où il avait été placé après l'agression d'une surveillante. Trois jours auparavant, il avait tenté de se suicider en se tailladant les bras.
Elles sont arrivées « comme si de rien n'était »
Le père des deux fillettes en garde à vue
TF1-LCI, le 16/10/2008 - 13h55, extraits
Dix jours après l'annonce de leur disparition, les deux adolescentes de 11 et 13 ans se sont présentées jeudi matin dans leur établissement scolaire.
Alors que les deux soeurs de 11 et 13 ans, disparues à Reims depuis le 6 octobre dernier, se sont présentées jeudi matin dans leur établissement scolaire, leur père a été placé en garde à vue jeudi midi au commissariat de Reims. "On ne connaît pas les raisons. Il n'a même pas pu voir ses filles", a déclaré son avocat, Me Sylvie Dumont-Dacremont.
Les deux fillettes se sont présentées peu après 8 heures à l'entrée du collège Maryse-Bastié à Reims, là où elles auraient dû se rendre le lundi 6 octobre, jour de leur disparition du domicile paternel. "Elles sont arrivées comme si de rien n'était, avec leurs sacs d'école. C'était vraiment deux enfants arrivant à l'école en retard. Elles ont été prises en charge très rapidement par le conseiller principal d'éducation puis par la police", a confirmé à l'AFP Dany Alary, proviseur du collège Marise-Bastié. "Elles auront quelques explications à nous donner", commentait-on du côté de la police. Conduites dans les locaux de la Sécurité publique, elles se montraient en milieu de matinée "peu loquaces", confiait à LCI.fr un policier. "A priori elles sont saines et sauves", a déclaré pour sa part la procureur de la République de Reims, Madeleine Simoncello.
20 ans pour le meurtre de sa fillette
20 ans pour le meurtre de sa fille
Source : AFP, 16/10/2008 | Mise à jour : 08:32
La cour d'assises de Haute-Saône a condamné hier soir à Vesoul un père de famille à 20 ans de réclusion criminelle pour le meurtre de sa fille de six ans par incendie volontaire de sa maison.
Cet homme de 34 ans a été jugé coupable d'avoir donné volontairement, mais sans préméditation, la mort à sa petite fille en mettant le feu au panier à linge de sa chambre avec un verre de fuel à Melisey (Haute-Saône) en novembre 2005, dans un contexte de divorce difficile.
"J'avais pris la décision de me suicider avec ma fille", a déclaré le père, au chômage et dépressif, qui reconnaît être à l'origine du drame sans avoir jamais attenté à sa propre vie, d'après les éléments de l'enquête.
"Mais je ne l'ai pas prémédité", assure-t-il à voix basse.
Le président de la cour lui a rappelé pourtant qu'il avait donné des sédatifs à sa fille la nuit du drame. "Oui, deux, mais pour qu'elle dorme bien. Rien d'autre", se défend-t-il.
Pour la partie civile, il savait n'avoir aucune chance d'obtenir la garde de ses enfants et supportait mal la séparation. D'après elle, donner la mort à sa fille, qui avait pourtant voulu rester avec son père malgré la départ de sa mère et de ses deux soeurs trois semaines plus tôt, était une "vengeance contre la mère".
Sur www.lepays.fr, extrait
Pour la partie civile, il savait n'avoir aucune chance d'obtenir la garde de ses enfants et supportait mal la séparation. D'après elle, donner la mort à sa fille, qui avait pourtant voulu rester avec son père malgré la départ de sa mère et de ses deux soeurs trois semaines plus tôt, était une «vengeance contre la mère».
Cette dernière explique sa rupture par la jalousie maladive de son mari, son agressivité et surtout «ses menaces de mort», réitérées contre elle et ses enfants.
L'accusé se justifie de son discours approximatif et contradictoire par ses failles psychiques. Profondément dépressif, il était suivi par des psychiatres avant le drame.
Le ministère public avait requis entre 25 et 28 ans de réclusion criminelle.
Plus d'un million d'entrées pour «Entre les murs» qui divise
NDLR : Des trous dans la tête, une fiction, diviserait peut être moins selon de premières critiques...
Loisirs & Spectacles
Cinéma/Fréquentation
Plus d'un million d'entrées pour «Entre les murs»
leparisien.fr | 15.10.2008, 20h30
INFO LE PARISIEN. Trois semaines après sa sortie en salles, Entre les murs, le film du réalisateur Laurent Cantet - Palme d'Or du dernier Festival de Cannes - a déjà franchi la barre du million d'entrées en France. En effet, il totalise depuis mardi soir, 1 039 096 spectateurs dans l'Hexagone (dans 512 salles). Ce long métrage inspiré d'un récit écrit par l'ex-professeur de français, François Bégaudeau, qui joue son propre role à l'écran, raconte le quotidien d'une classe de quatrième dans un collège sensible du XXe arrondissement de Paris.
Vingt-quatre jeunes élèves de cet établissement en sont les interprètes. Le bouche à oreille, très favorable à Entre les murs, pourrait lui permettre d'atteindre 1,5 millions d'entrées au début du mois de novembre. Une belle carrière pour ce film dont le budget n'est que de 2,4 millions d'euros, vendu dans une cinquantaine de pays, et qui a été choisi pour représenter la France à l'Oscar du meilleur film étranger.
Entre les murs de la classe politique
L'Express, mis à jour le 15/10/2008
Ecole mais aussi intégration en échec : la palme d'or de Cannes gêne les responsables de droite... et de gauche.
Entre les murs divise le monde enseignant. La classe de quatrième du collège Françoise-Dolto, observée par Laurent Cantet, met aussi mal à l'aise la classe... politique. On aurait pu imaginer que, dans la majorité comme dans l'opposition, on tente de récupérer un film sur l'expérience -vécue- d'un professeur, récompensé par la palme d'or à Cannes; qu'on s'enthousiasme devant des ados venus de ZEP et devenus acteurs, allant jusqu'à New York pour faire la promotion du film. Pourtant, il n'en a rien été.
Abdel, 7 mois, victime d'un « barbare » de 5 ans ?
NDLR : La justice pourrait avoir trouvé un coupable : un barbare de 5 ans... Mais il subsisterait tout de même la question du défaut de surveillance au sein de l'établissement gardien.
Abdel, victime de la violence d'un autre enfant ?
Le nourrisson de 7 mois avait été retrouvé mort le 19 septembre dans un foyer de l'enfance en Seine-et-Marne.
TF1-LCI - le 15/10/2008 - 18h11
Le 19 septembre dernier, Abdel, un nourrisson de sept mois, était retrouvé mort par une puéricultrice. L'enfant, placé au foyer de l'enfance de Rubelles, près de Melun, en Seine-et-Marne, gisait au pied de son lit. L'autopsie devait révéler qu'il avait succombé à un traumatisme crânien. L'enfant n'ayant, a priori, pas pu tomber seul de son lit, le parquet de Melun avait ouvert une information judiciaire et le Conseil général avait ordonné la fermeture temporaire de l'établissement, ainsi que le placement des 45 autres enfants dans d'autres structures d'accueil.
Selon nos informations, la première piste envisagée, celle d'une erreur ou d'une maladresse de la part d'un personnel de l'établissement, n'a pu, pour l'heure être démontrée. "Les auditions n'ont pas montré de faille", selon une source proche de l'enquête. Une autre piste est, en revanche, sérieusement évoquée : Abdel pourrait avoir été victime de la violence d'un autre enfant placé au centre. Selon nos informations, un enfant de cinq ans, placé au foyer en raison de son comportement agressif envers les autres et envers lui-même, aurait été aperçu en train de rôder autour du lit d'Abdel peu de temps avant sa mort.
"Rien ne permet pour l'instant de privilégier une piste ou une autre"
"Le nourrisson présentait des traces de morsure ou de suçon sur une joue, nous attendons toujours les résultats des analyses et des prélèvements médicaux. Sans ces résultats, rien ne permet pour l'instant de privilégier une piste ou une autre. Nous sommes toujours dans l'expectative, sans savoir ce qui s'est passé au centre", précise prudemment sur LCI.fr le procureur de la République Serge Dintroz. S'il s'avère qu'Abdel a été mordu, il sera notamment ordonné la prise d'une empreinte dentaire de l'enfant suspecté.
Si les investigations venaient à confirmer la thèse selon laquelle un autre enfant aurait violenté Abdel, restera la question du défaut de surveillance au sein de l'établissement. Il s'agira alors de déterminer si ce défaut de surveillance est lié à un membre du personnel ou à un problème plus général de fonctionnement au sein de l'établissement, dont les portes sont toujours fermées depuis la nuit du drame.
Abdel avait été placé dans l'établissement de Rubelles depuis juin suite à des "difficultés conjugales". "On l'avait placé là pour qu'il soit protégé, et c'est là bas qu'il est mort !", racontait en colère le jeune papa, Moktar, sur LCI.fr quelques jours après l'annonce du décès de son fils. Ce drame est d'autant plus traumatisant pour le jeune couple que Hayat, la mère d'Abdel, avait accouché de triplés. De grands prématurés nés à cinq mois et demi. L'un était mort-né. Le deuxième est décédé un mois et deux jours après. Et puis Abdel. Ironie du sort, le jour où Hayat et Moktar apprenaient la mort de leur bébé, ils recevaient une lettre leur annonçant qu'ils pouvaient le récupérer le week-end.
Rambla : "Je n'ai pas d'avenir depuis l'âge de 6 ans"
TF1-LCI - le 15/10/2008 - 16h33
Pour sa défense, ce meurtre ne peut s'expliquer sans évoquer un contexte dévastateur qui, depuis plus de trente ans, hante l'accusé : celui de l'affaire Ranucci. Jean-Baptiste Rambla est en effet le frère de Marie-Dolores Rambla, retrouvée morte le 4 juin 1974 à l'âge de 8 ans, un crime pour lequel Christian Ranucci a été condamné à mort et exécuté le 28 juillet 1976. "Je n'ai pas d'avenir depuis l'âge de 6 ans, je suis transparent. Corinne ne méritait pas de mourir, tout ça c'est à cause de moi, mon mal-être, je vais le vivre jusqu'à la fin de mes jours", a également déclaré l'accusé. "Quand on a vécu ce qu'il a vécu, on ne peut pas fonctionner normalement", avait expliqué avant l'audience l'un des avocats de l'accusé, Me Jean-Michel Pesenti.
Le dépôt de plainte sur Internet possible dès le 1er novembre
police
Le dépôt de plainte sur Internet possible dès le 1er novembre
La ministre de l'Intérieur a présenté le nouveau dispositif qui permettra aux Français de déclarer certains délits en ligne, pour accélérer le dépôt de plainte.
01net, le 15/10/2008 à 19h35, extraits
Le projet de commissariat virtuel du gouvernement est enfin sur le point d'aboutir. A partir du 1er novembre prochain, il sera possible d'effectuer un « prédépôt » de plainte sur Internet dans deux départements pilotes : les Yvelines et la Charente-Maritime. Le dispositif a été présenté en détail ce mercredi 15 octobre par la ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, qui compte bien « moderniser le ministère de l'Intérieur en le mettant au coeur des nouvelles technologies », a-t-elle insisté.
Comme prévu, le prédépôt de plainte ne pourra concerner que les délits ayant porté atteinte à des biens (vols, dégradation, escroqueries...), ce qui représenterait 61 % de la délinquance déclarée, selon Michèle Alliot-Marie. L'auteur du délit devra également être inconnu, pour éviter les dénonciations abusives. Les utilisateurs seront par ailleurs avertis que le service n'est pas adapté pour les cas urgents.
[...] Le dispositif va être testé dans les deux départements pendant six mois, avant d'envisager sa généralisation. Les cyberplaignants étant systématiquement recontactés, le ministère de l'Intérieur estime que les fausses déclarations devraient être très limitées. Un avertissement sera également mentionné sur le site, parmi les conditions d'utilisation que l'internaute devra cocher : il rappelle qu'une déclaration mensongère est passible de six mois d'emprisonnement et de 7 500 euros d'amende. Histoire de dissuader les petits plaisantins.
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