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Maltraitance de chiens : prison ferme requise contre le couple
NDLR : Ce cas de maltraitance de tant de chiens me fait repenser à ces six pauv' créatures, obligées de bouffer des enfants, que sont-elles devenues ? Et à Taverny, encore rue de la tuyolle, ça se passe comment, aujourd'hui, avec autant de « cas sociaux » ? « Ils étaient heureux chez nous », pourrait un jour reprendre la Direction de l'OSE France...
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Maltraitance de chiens : prison ferme requise contre le couple
Le Parisien | ÉLISA PERRIGUEUR | Publié le 23.02.2012, 05h28
« Ils étaient heureux chez nous. » Pour Pascal Dupont, accusé de maltraitance de 46 chiens de race dans sa demeure à Séry-Magneval, il n’y a jamais eu de problème au sein de son élevage. Le procureur de la République de Senlis a toutefois, devant les preuves rassemblées, requis hier contre lui dix-huit mois de prison dont douze avec sursis, avec interdiction d’élevage, de diriger une société et de détenir des animaux.
Carlton de Lille : la garde à vue de DSK prolongée
Carlton de Lille : la garde à vue de DSK prolongée
Publié le 21/02/2012 | 06:31 , mis à jour le 21/02/2012 | 19:13, FTVi, extrait
Une juge d'instruction est attendue en début de soirée, mardi 21 février, à la caserne de gendarmerie de Lille (Nord) pour prolonger la garde à vue de Dominique Strauss-Kahn, selon une source proche du dossier. L'ancien directeur général du Fonds monétaire international (FMI) a été placé en garde à vue mardi peu avant 10 heures, pour "complicité de proxénétisme" et "recel d'abus de biens sociaux", dans le cadre de l'affaire du Carlton de Lille.
La garde à vue de DSK peut théoriquement se prolonger jusqu'à 96 heures, mais elle devrait plutôt durer 48 heures. A l'issue de sa garde à vue, il peut être libéré sans poursuites, ou être déféré dans la foulée devant les juges. Ces derniers peuvent également le convoquer ultérieurement.
Kerredine - J'veux m'intégrer (Clip Officiel)
La révolte des parents privés de leurs enfants
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RÉFORME
La révolte des parents privés de leurs enfants
Le Parisien | Valérie Urman | 13.05.2001
Réunis pour la première fois hier, les parents d'enfants « placés » ont fait entendre leur voix. Selon eux, les juges et les procureurs ont trop de pouvoir. Le gouvernement, qui les a entendus, présente une réforme mercredi.
POUR LA PREMIÈRE fois, ils sont venus parler sur la place publique. Les parents d'enfants placés ont tenu hier leurs « premières assises nationales », réunis par l'unique association à les représenter en France, le Fil d'Ariane. Environ 100 000 enfants sont, actuellement, retirés à leur famille. La justice, saisie d'environ 120 000 « mineurs en danger » sur une année, ordonne une fois sur trois le placement de l'enfant, soit 38 500 mesures nouvelles. Des chiffres énormes, dont l'importance même, alarme désormais autant les associations familiales que les juges et les pouvoirs publics. « Il arrive que l'on aille chercher un bébé tout juste sorti de la maternité... Il faut mettre en oeuvre d'autres moyens de prévenir les situations à risque », observe Ségolène Royal, qui souhaite « réduire le nombre de placements de moitié ». Secrétaire d'Etat à la Famille, intervenue hier, elle présentera mercredi la réforme de l'aide sociale à l'enfance en Conseil des ministres. Plusieurs rapports officiels remis au gouvernement ces derniers mois démontrent l'emballement abusif des procédures. Faute de prévention adaptée, des placements « économiques » achèvent de couler des familles pauvres qui ont cumulé les difficultés de l'exclusion, voire de l'errance. « Avec les 800 F à 1 000 F ( 122 € à 152,45 €) par jour que coûte l'enfant dans une institution, on pourrait aider la famille à se relever », relève Catherine Gadot, présidente fondatrice du Fil d'Ariane. « 'ai mis six ans à prouver que je m'étais reconstruite » Dans tous les cas, les droits fondamentaux des parents ne sont pas respectés. Les familles n'ont pas accès au dossier avant d'être convoquées chez un juge. Les parents « débarquent » dans le bureau, 8 fois sur 10 sans avocat, sans être informés des griefs invoqués par les services sociaux. En cas d'urgence, près d'une fois sur deux le placement intervient sans audience préalable des familles. Celles-ci attendent même la convocation du juge de longues semaines après le placement, parfois sans nouvelles de l'enfant. Or, les ordonnances provisoires de placement, difficiles à contester en appel, sont souvent renouvelées quasi automatiquement. La réforme attendue permettra aux parents d'accéder à l'ensemble du dossier. Elle imposera aussi au juge de recevoir la famille au plus tard 15 jours après le placement de l'enfant. Les procureurs aussi devraient voir leurs pouvoirs mieux encadrés. Actuellement, ils peuvent placer un enfant en urgence sans passer par un juge, « sans recevoir la famille, sans motiver sa décision et sans possibilité d'appel », déplore Jean-Pierre Rosenczweig, président du tribunal pour enfants de Bobigny. « Informer les parents, c'est un petit minimum, concède Catherine Gadot, qui s'est vu retirer sa fille de l'âge de 10 mois à six ans. On vous colle l'étiquette de mauvais parent, après on n'arrive plus à remonter la pente. » Elle-même n'a pas contesté le placement, justifié par le climat familial difficile. Mais, elle regrette que « l'affaire a été entendue en une demi-heure. J'avais ma fille le week-end, le reste du temps personne ne me tenait au courant du quotidien, de ses petites maladies, de l'école. La mesure a été reconduite tous les deux ans, ça durait un quart d'heure devant le juge qui se fondait sur le dossier des services sociaux. En plus, cela se passait mal avec l'éducateur, j'ai mis six ans à prouver que je m'étais reconstruite. »
Le Parisien
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Génocide : Sarkozy craint le recours
Génocide : Sarkozy craint le recours
AFP Mis à jour le 31/01/2012 à 15:14 | publié le 31/01/2012 à 15:12
Le président Nicolas Sarkozy a déclaré mardi aux parlementaires de la majorité que le recours au Conseil constitutionnel contre le texte pénalisant la négation du génocide arménien "ne (lui) rend pas service", ont indiqué plusieurs sénateurs UMP.
Le chef de l'Etat a exprimé notamment le risque que si la proposition de loi était annulée, il y ait ensuite un recours contre la pénalisation de la négation de la Shoah, selon les mêmes sources.
Créteil : suicide face au centre des impôts
Créteil: suicide face au centre des impôts
AFP Publié le 26/01/2012 à 15:32
Un quinquagénaire s'est suicidé d'une balle dans la tête aujourd'hui devant le centre des impôts de Créteil, a-t-on appris de sources policières. Selon les premiers éléments de l'enquête, cet homme s'est rendu vers 14H30 au guichet du centre des impôts pour y remettre un mot sur lequel était écrit: "Vous voulez ma peau, vous l'avez". Il est ensuite ressorti du bâtiment, a sorti un revolver et s'est tiré une balle dans la tête. Il y avait six balles dans le revolver, a indiqué une des sources. Le périmètre a été bouclé pour les constatations médico-légales d'usage.
Un site parodique consacré à Morano
NDLR : Si on ne lisait pas les journaux, on aurait pu rater ça...
Un site parodique consacré à Morano
lefigaro.fr Mis à jour le 25/01/2012 à 21:21 | publié le 25/01/2012 à 21:09
Un site parodique consacré aux interventions de Nadine Morano a ouvert aujourd'hui, révèle Le Parisien. Reprenant l'habillage de Megaupload, fermé la semaine dernière par la justice américaine, Megamorano recense une trentaine de vidéos consacrées à la ministre : allocutions à l'assemblée, clashs, gaffes...
Le site propose de «regarder Nadine en illimité» grâce à un «compte Rolex - Fourquets» à 19 999 €. Une partie «support» dresse un bilan à charge du «mandat de Nicolas Sarkozy en matière de libertés numériques». Jean-Denis Audibert, le concepteur du site, a expliqué s'être lancé dans l'affaire suite à un pari.
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Ilan Halimi : l’« appât » au bout de sa peine ?
NDLR : A mon avis, Libé n'est pas crédible, Emma n'est pas au bout de sa peine maintenant que son portrait a été diffusé par le Parisien et par Paris-Match. Je suis content d'avoir insisté, cet après midi, à la cour d'appel de Versailles, content de ne pas pas m'être désisté. Après quelques échanges avec la Présidente, j'y ai déposé mes conclusions dans lequelles j'évoquais, entre autres, le sujet de la réinsertion (de Jean-Luc Delarue). Mais il y a plus intéressant que toutes ces histoires là, par exemple, une nouvelle émission de France Inter : A votre écoute coûte que coûte.
Actu-Match | vendredi 20 janvier 2012
Ilan Halimi. L’"appât" libre
Emma, condamnée en 2009 à neuf ans de réclusion pour avoir été l’appât d’Ilan Halimi, ce jeune juif torturé à mort en 2006 par le «Gang des barbares», a bénéficié d’une libération conditionnelle.
Lucie Dancoing - Parismatch.com
Elle était le personnage sulfureux du «Gang des barbares». Une jeune femme qui sort littéralement de l’ombre aujourd’hui. Accusée de complicité dans l’assassinat précédé de tortures d’Ilan Halimi, Emma, 23 ans, a été condamnée en appel à neuf ans de réclusion criminelle en décembre 2010. Selon les informations du «Parisien», la jeune femme a bénéficié d’une libération conditionnelle.
«Elle est même allée au-delà de la date à laquelle elle pouvait prétendre à une sortie», a déclaré son avocate, réfutant tout «traitement de faveur». Contactée par ParisMatch.com, Me Dominique Attias, a confirmé la libération de sa cliente mais refusé de s’exprimer davantage. «Il faut laisser cette jeune femme tranquille, qu’elle se reconstruise. Je crois en une chose qui est devenue négative aujourd’hui: la réinsertion.»
DSK : Marcel Campion maintient
DSK : Marcel Campion maintient
AFP Publié le 19/01/2012 à 18:42
L'entrepreneur forain Marcel Campion a maintenu aujourd'hui ses propos repris dans VSD, accusant Dominique Strauss-Kahn de lui avoir demandé un pot de vin en 1990, qui pourraient lui valoir des poursuites en diffamation de l'ex-patron du FMI.
Marche silencieuse en mémoire d'Estelle Mouzin, disparue il y a 9 ans
Marche silencieuse en mémoire d'Estelle Mouzin, disparue il y a 9 ans
(AFP) – Il y a 36 minutes
GUERMANTES — Une centaine de personnes ont participé samedi à Guermantes (Seine-et-Marne) à une marche silencieuse à l'occasion du neuvième anniversaire de la disparition d'Estelle Mouzin.
L'enquête est resté infructueuse jusqu'à présent.
Estelle, alors âgée de 9 ans, a disparu le 9 janvier 2003 dans la commune.
"Neuf ans, c'est très long. Neuf ans quand il ne se passe rien et qu'on n'a pas grand chose à se mettre sous la dent, c'est très frustrant", a dit le père de la disparue, Eric Mouzin, devant les membres de l'Association Estelle et les habitants venus soutenir la famille.
Ceux-ci ont défilé derrière une banderole demandant "Aidez nous à retrouver Estelle", parcourant quelques centaines de mètres jusqu'à un arbre du souvenir.
Eric Mouzin a déploré "l'absence de résultat et de progression de l'enquête".
Mardi, l'avocat de la famille d'Estelle Mouzin, Me Didier Seban, a demandé le désaisissement du tribunal de Meaux de l'affaire. "Le procureur général près la cour d'appel de Paris a répondu (vendredi) soir qu'il ne transmettrait pas ma requête à la Cour de cassation", a regretté Me Seban.
"Il a dit que s'il y avait des imperfections, elles ne justifiaient pas la transmission du dossier à un autre tribunal", a précisé le conseil, qui a annoncé qu'il allait "saisir le procureur général de la Cour de cassation".
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Disparition d'Estelle Mouzin : le coup de colère de la famille
NDLR : Ca me fait rigoler. En mai 2010, Eric Mouzin s'était un peu moqué de moi, je me plaignais du fonctionnement des prétoires de mon coin, Nanterre, Antony et la cour d'appel de Versailles... Et voilà donc qu'à son tour, Monsieur Mouzin réclame un « contrôle », voire même un « changement de juge »
Disparition d'Estelle Mouzin : le coup de colère de la famille
TF1/LCI, le 03 janvier 2012 à 13h51 , mis à jour le 03 janvier 2012 à 13h54
Près de neuf ans après la disparition de la fillette, l'avocat de la famille demande le dessaisissement du tribunal de Meaux, qu'il estime "pas en mesure de traiter normalement un dossier aussi grave". Et il dénonce : "On a le sentiment que les enquêteurs sont livrés à eux-mêmes".
Voilà neuf ans, pratiquement jour pour jour, qu'Estelle Mouzin a disparu. C'était le 9 janvier 2003, en Seine-et-Marne ; depuis, aucune nouvelle de la fillette. Ce mardi, à moins d'une semaine de la date anniversaire de sa disparition, l'avocat de la famille a demandé le dessaisissement du tribunal de Meaux dans l'enquête, estimant qu'il n'est "pas en mesure de traiter normalement un dossier aussi grave".
"Les dossiers s'entassent dans le bureau du juge d'instruction (à Meaux) sans être classés. Aucune pièce, aucune cote n'est aujourd'hui lisible et donc on se demande si la justice est en mesure d'orienter l'enquête. On a le sentiment que les enquêteurs sont livrés à eux-mêmes, sans aucun contrôle judiciaire", a dénoncé Me Didier Seban, lors d'une conférence de presse à son cabinet parisien.
Quid de la piste Fourniret ?
Que demandent les proches de la jeune disparue dans cette affaire ? "A la fois une enquête par le président de la chambre de l'instruction sur les conditions dans lesquelles cette enquête est menée par le juge d'instruction à Meaux et également au procureur général près de la cour d'appel de Paris que le dossier soit soumis à la cour de cassation pour être transféré à une autre juridiction", a insisté Me Seban.
Un exemple des lenteurs dans cette affaire : en mai 2010, l'avocat avait demandé à la justice d'expertiser trois scellés provenant du dossier du tueur en série Michel Fourniret, condamné en mai 2008 à perpétuité pour sept meurtres de jeunes filles entre 1987 et 2001. "Plus d'un an et demi après cette demande, nous ne sommes pas en mesure de dire si les scellés ont été examinés et si ça a donné quoi que ce soit", a-t-il poursuivi, martelant que c'est "scandaleux qu'on fasse attendre M. Mouzin et la famille sans que des orientations d'enquête ne soient menées". Et d'insister : "La première manière d'écarter la piste éventuelle de Fourniret, c'est d'examiner les milliers de cheveux qui ont été retrouvés dans sa camionnette et qui peuvent nous donner peut-être une vérité".
De son côté, Eric Mouzin, le père d'Estelle, a estimé que "soit le juge décide de clôturer le dossier, soit on continue et si c'est le cas, on se donne les moyens de le faire".
le 03 janvier 2012 à 13:51
Marche silencieuse samedi pour Estelle Mouzin
Mis à jour 02-01-2012 17:41, Metro
Marche silencieuse samedi pour Estelle Mouzin
Disparue depuis le 9 janvier 2003, la fillette de neuf ans n'a jamais été revue depuis. Guermantes, sa ville de Seine-et-Marne, se mobilise une nouvelle fois cette année.
HOMMAGE - L'association Estelle organise samedi 7 janvier à 15 heures, neuf ans presque jour pour jour après la disparition d'Estelle Mouzin, une marche silencieuse dans la ville de Guermantes (Seine-et-Marne). Comme chaque année, une centaine de personnes est attendue dans la commune, à l'occasion du neuvième anniversaire de la disparition le 9 janvier 2003 de l'enfant alors âgée de 9 ans. Le cortège défilera comme chaque année dans la ville avant de se recueillir à l'endroit où a été planté en 2005 "l'arbre du souvenir", près du lieu de la disparition de la fillette.
Des difficultés récurrentes...
Alors qu'une conférence de presse est organisée mardi au cabinet de Maître Didier Seban, avocat de la famille, Eric Mouzin devrait critiquer une nouvelle fois les problèmes de coordination manifestes entre la police, la justice et l'association. L'année dernière, il avait déploré que "huit ans après la disparition d'Estelle, les choses se compliquent chaque année un petit peu plus" évoquant notamment "la disparition des éléments de preuve".
Seine-et-Marne : accusé de deux viols à seulement 14 ans
NDLR : Kevin, un profil à « placer » maintenant à Chambon sur Lignon ?
Actualité > Meaux
Seine-et-Marne : accusé de deux viols à seulement 14 ans
Le Parisien | Guénaèle Calant | Publié le 27.12.2011, 08h49
Kevin* est âgé de seulement 14 ans, et il se retrouve déjà derrière les barreaux. L’adolescent, mis en examen dimanche par un juge d’instruction de Meaux pour « viol avec arme » a été présenté dans la foulée à un juge des libertés et de la détention. Malgré le jeune âge du garçon, le magistrat l’a placé en détention provisoire suivant ainsi les réquisitions du procureur.
C’est que l’adolescent présente une personnalité plutôt inquiétante : au moment de l’agression, il était sous contrôle judiciaire. Et pour cause, ce mineur est déjà mis en examen dans une affaire de « viol en réunion » commis en Seine-Saint-Denis. C’est jeudi, vers 18 heures, que Kevin, qui a fugué du foyer la Passerelle de Nanteuil-lès-Meaux, est une nouvelle fois passé à l’acte.
Déguisé en père Noël, il tue sa famille
Déguisé en père Noël, il tue sa famille
AFP Publié le 26/12/2011 à 19:16
Un homme déguisé en Père Noël a ouvert le feu sur des membres de sa famille hier, tué six personnes, puis a retourné l'arme contre lui et s'est suicidé, dans une petite ville du Texas (sud des États-Unis).
"C'était une fête de Noël tout à fait ordinaire, avec un sapin de Noël, et les cadeaux venaient juste d'être ouverts lorsque l'incident a eu lieu", a expliqué le sergent Robert Eberling de la police de Grapevine. Quelqu'un a appelé la police hier à la mi-journée depuis le lieu du drame, mais lorsque l'agent a décroché, personne n'a répondu. C'est à ce moment que décision a été prise de se rendre sur les lieux.
Selon le sergent Eberling, deux armes de poing ont été retrouvées à côté des sept corps sans vie des victimes, âgées de 15 à 58 ans. Les corps ont tous été retrouvés dans le salon de l'appartement. Il n'y a aucun survivant. "Cela ne s'était jamais produit" à Grapevine, a souligné le sergent Eberling.