Catégorie: Rétention de sureté
Une « détenue » cesse sa grève de la faim
NDLR : Bizarre que les français ne se soient pas déjà inspirés de pratiques du Hamas ou d'Israël pour anticiper, contrer la « menace islamiste », pour « neutraliser » des sujets tels que Merah, avant qu'ils ne sévissent. Ce sera peut-être le thème de prochains débats et colloques, une fois le problème de la grande criminalité définitivement résolu. Nicolas Sarkozy nous en parlera peut-être, après ses échanges avec l'IPJ. « Excessif, pas légal, inadéquat, injuste, surtout si c'est exécuté sans procès décent », rouspètera Maître Eolas et sa cour, toute la gauche aussi ? Mais que n'a-t-on pas déjà fait au cours des années et des siècles passés, en France, pour contenir la folie, pour le maintien ou pour le rétablissement de l'ordre public... ou pour « placer », « sauver » des enfants - ce dont personne ne s'émeut. Français, soyez vous-même, exprimez vous dans les urnes, soutenez Sarkozy et la droite la plus populaire, ne vous laissez rien dicter par les bien-pensants, qu'attendez vous pour faire « sécuriser », pour enfin « aseptiser » votre territoire ?
LE FLASH > Actualité
Une détenue cesse sa grève de la faim
AFP Publié le 29/03/2012 à 21:32
Une détenue palestinienne, Hanaa Chalabi, emprisonnée en Israël, qui refusait de s'alimenter depuis 43 jours, a accepté d'arrêter sa grève de la faim, annoncé jeudi soir le ministre palestinien des Prisonniers, Issa Qaraqaë.
"Hanaa Chalabi a accepté d'arrêter sa grève de la faim à la suite d'un accord avec les autorités israéliennes aux termes duquel elle va être exilée dans la bande de Gaza", a déclaré à l'AFP M. Qaraqaë. Selon le club des prisonniers palestiniens, Hanaa Chalabi sera exilée à Gaza pendant une période de trois ans.
Sarkozy dénonce le « cynisme » de Hollande
NDLR : Plus de 800 réactions à cet article, sur le site du Figaro... Au cours d'une campagne présidentielle, le parti de Sarkozy peut-il à ce point nier ou ignorer son bilan, son oeuvre ? Au cours des prochaines semaines et alors que les socialistes du quartier m'avaient assez bien compris, dimanche dernier, je vais essayer de faire réagir l'UMP, de les débusquer, de les faire sortit de leur mutisme. Sarkozy et son entourage, ces grands naïfs ou hypocrites, savent que l'assistance éducative, ca fonctionne très mal... Je n'ai pas rêvé, en 2008, lors d'un colloque d'humanistes ou de travailleurs sociaux, le Directeur national de la PJJ leurs a lui-même lançé qu'ils bossaient comme des gorets, en des termes bien évidement un peu moins « explicites ». Quant à Nicolas Sarkozy, Nadine Morano et Jean-Marie Bockel (j'en passe, la liste serait longue...), ils ont également eux aussi très souvent raillé la justice et la protection de l'enfance. Il faut croire qu'ils ont tous déjà tout oublié. Au cours des années passées, je pense leurs avoir fait découvrir que d'autres juridictions que celle du juge pour enfant peuvent également rendre un peu n'importe quoi, ce que Sarkozy et son entourage savent aussi, bien sûr. Ce que m'a répondu le Ministère de la justice, en mai 2010, tend aussi à le confirmer, j'ai souvent été très bien reçu et compris par ces sphères. Suivra donc bientôt une « bataille des idées », autre chose que de simples « regrets » ou des « condoléances » présentés par Sébastien Huygue ? Ce serait super, j'y suis amplement préparé. Cette bataille ou guerre des idées, je l'ai depuis longtemps entamée, beaucoup avec des publications, dans ce blog, ainsi que dans des prétoires, au cours des années passées, beaucoup aussi au cours de mes nombreuses sorties. J'étais encore dans le champ de la bataille des idées, ce 3 mars, au Mémorail de Caen, lorsque je traitais Magalie Bodon-Bruzel de charalatan. Et je me situerais à nouveau dans le champ des idées lorsque je critiquerais encore le travail ou les théories de Richard Josefsberg.
ACTUALITÉ > Présidentielle
Sarkozy dénonce le «cynisme» de Hollande
Mots clés : Présidentielle, Lyon, Nicolas Sarkozy
Par Charles Jaigu
Mis à jour le 17/03/2012 à 20:33 | publié le 17/03/2012 à 19:19, le Figaro, extrait
Lors d'un grand meeting à Lyon, le président-candidat a fustigé les «mensonges» de son adversaire socialiste qu'il appelle à une «bataille des idées» plutôt qu'à une «guerre des mots».
Nicolas Sarkozy s'est livré samedi lors d'un meeting dans la banlieue de Lyon à une charge au canon contre son adversaire socialiste, François Hollande, accusé notamment de «mensonge» et de «cynisme». Depuis plusieurs jours, l'objectif est simple: à la faveur de sondages qui le placent à égalité, «débusquer» le candidat PS, le faire sortir de son «terrier», éroder son image «de prélat chattemite et onctueux», selon un sarkozyste.
Vers une « évaluation de la dangerosité » ?
NDLR : Voilà, avec ce nouveau projet, tous les agités du web, de Twitter et de Facebook vont pouvoir se calmer. Pour ces « affaires les plus graves », je suggère qu'un pasteur précis ou de quelconques religieux à la perception apocalyptique du monde se joignent aux collèges d'experts qui auront à se prononcer sur la « dangerosité » des criminels. La gauche la plus angélique a-t-elle déjà annoncé une date pour un prochain colloque interculturel, une resucée de Culture psychiatrique et culture judiciaire : relire Michel Foucault ? Le cas échéant, je ne manquerais pas cet évènement, surtout s'il s'agissait à nouveau d'un grand évènement international avec une intervention de Robert Badinter. En septembre 2009, j'avais découvert une nouvelle définition, celle de « l'expert bouffon ».
Vers une "évaluation de la dangerosité" ?
AFP Publié le 21/11/2011 à 13:09
La question de "l'évaluation de la dangerosité" des délinquants sera incluse dans un projet de loi "présenté au Conseil des ministres la semaine prochaine", a annoncé aujourd'hui le garde des Sceaux Michel Mercier à l'issue d'une réunion à la Chancellerie sur l'assassinat d'Agnès en Haute-Loire.
"La loi de programmation qui sera discutée dans quelques jours au Conseil des ministres pourra reprendre un certain nombre de points et notamment un point qui est essentiel, qui est l'évaluation de la dangerosité", a déclaré le ministre, qui a appelé à organiser "mieux l'évaluation de la dangerosité, au moins dans les affaires les plus graves".
Agnès : un juge « ne prend pas de risque », selon Jean-Pierre Rosenczveig
NDLR : Voilà pourquoi personne de la Dass ne me répond, ces pros ne prennent jamais aucun risque
Agnès: un juge "ne prend pas de risque"
AFP Publié le 20/11/2011 à 13:54
Le président du tribunal pour enfants de Bobigny, Jean-Pierre Rosenczveig, a déclaré aujourd'hui qu'"un juge ne prend jamais de risque" et que celui qui avait eu à se prononcer précédemment sur le meurtrier présumé d'Agnès "était convaincu qu'il n'y avait pas de danger".
Selon le directeur du collège-lycée du Chambon-sur-Lignon en Haute-Loire, où était scolarisée Agnès, cette collégienne de 13 ans qu'un lycéen du même établissement a avoué avoir tuée et violée, l'établissement n'avait pas été informé du casier de violeur de l'adolescent.
Dans cette affaire "extrêmement grave", "on a un juge qui, avec la caution du parquet, des psychiatres, des éducateurs, prend une décision, dans le cadre du contrôle judiciaire, qui est de bon sens, avec la décision de le faire partir de Nîmes --pour ne pas qu'il rencontre sa précédente victime-- et l'obligation de l'internat", a expliqué M. Rosenczveig. Ce juge "était convaincu qu'il n'y avait pas de danger", a-t-il plaidé.
"La question à se poser est la suivante: où est l'erreur"?, s'est interrogé le président du tribunal pour enfants. "Est-ce lié à l'incompétence de ceux qui ont évalué la situation? Est-ce lié au fait que la dangerosité de ce jeune homme n'était pas visible?", a-t-il insisté. "Si cette dangerosité était visible, il y a erreur, si elle ne l'était pas, on peut difficilement condamner ces personnes", a-t-il poursuivi.
Liberté de la presse, la justice lève une menace
NDLR : Le Monde du 7 mai, paru vendredi soir, les quatre ans du « petit », était déjà un collector. Le Monde du week-end dans lequel s'expriment encore des partis, des journalistes contre le procureur Courroye, est à ajouter à la pile. Je ne suis pas journaliste. Il y a huit mois, le proc' du coin, Nanterre, a peut être vérifié mes appels téléphoniques aussi, suite à un déluge de plaintes farfelues portées contre moi... voir Cou... coucou... courage, Courroye, viens voir ! Qu'est-ce que Courroye a pu être déçu depuis l'été et l'automne 2010. A l'heure du bilan, en prévision de 2012, Sarkozy et sa cour pourraient être bien emmerdés aussi ; voir La curée, une nouvelle rubrique que j'ajoutais à ce blog, fin octobre 2010. L'UMP et Sarkozy vont maintenant « inventer » autre chose encore, pour 2012 ? Depuis 2006, il y a déjà eu de nombreux changements.
Tum Sally - J'ai changé par cassetoipauvcon
A la Une > Société
Edito du Monde
Liberté de la presse, la justice lève une menace
LEMONDE | 07.05.11 | 14h02 • Mis à jour le 07.05.11 | 14h02, extrait
La loi est sans équivoque : "le secret des sources des journalistes est protégé dans l'exercice de leur mission d'information du public". C'est pour ne pas avoir respecté ce principe cardinal de la liberté de la presse que le procureur de Nanterre, Philippe Courroye, a été sanctionné, jeudi 5 mai, par la cour d'appel de Bordeaux.
En pleine affaire Bettencourt, le magistrat avait ouvert une enquête préliminaire pour violation du secret de l'instruction, après un article du Monde du 2 septembre 2010 relatant une perquisition de la juge Isabelle Prévost-Desprez chez la milliardaire. En conflit ouvert avec sa collègue magistrate, Philippe Courroye voulait impliquer Mme Prévost-Desprez comme source potentielle de nos enquêteurs. Pour ce faire, un moyen simple : se procurer les listings des appels téléphoniques des journalistes, et ce sans leur autorisation - ce que le code de procédure pénale proscrit.
Ce n'était pas la première fois qu'une autorité publique tentait d'identifier les sources du Monde dans l'affaire Bettencourt. Quelques semaines auparavant, la direction centrale du renseignement intérieur (les policiers du contre-espionnage) avait cru repérer un informateur d'un de nos journalistes en consultant ses factures téléphoniques détaillées. L'enquête, menée hors de tout cadre légal mais au nom de "l'intérêt national", avait abouti à la mise à pied de la personne ciblée, un conseiller du ministère de la justice. Dans cette affaire et dans celle de Nanterre, Le Monde a porté plainte pour "violation du secret des sources".
La cour d'appel de Bordeaux vient de donner raison à nos arguments. ...
A la Une > Politique
Devedjian : "Cessons d'attendre de la magie des politiques"
LEMONDE.FR | 07.05.11 | 14h33 • Mis à jour le 07.05.11 | 17h03, extrait
Ancien ministre de la relance, député, réélu en mars, à la tête du conseil général des Hauts-de-Seine, avec le soutien affiché de Nicolas Sarkozy après avoir redouté qu'il ne s'y oppose, Patrick Devedjian est un soutien historique du président, et un artisan de la victoire de 2007. Ancien secrétaire général de l'UMP, cet avocat qui a toujours rêvé devenir garde des sceaux se veut "à la fois libre et loyal" vis-à-vis du chef de l'Etat. Il explique comment et pourquoi M. Sarkozy a des chances de gagner en 2012.
Nicolas Sarkozy peut-il encore gagner la présidentielle ?
Oui, car ses chances de gagner sont en lui-même. En 2007, il a fait une très belle campagne, réfléchie, conceptualisée. Aujourd'hui, il faut qu'il invente autre chose. Pour l'instant, Nicolas Sarkozy est dans le temps du bilan. Un bilan ne sert pas à se faire élire, mais il peut éviter de se faire battre. Il est la condition de la crédibilité du programme à inventer.
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Affaire Tapie : Besson défend Lagarde
NDLR : Pour ma part, ça va, je pense avoir suffisamment de « preuves » ou d'éléments matériels. On me laisse d'ailleurs publier et m'exprimer tranquillement, depuis des lustres. Même Maître Roughol, le cafard de ma fille ainée, souvent mal à l'aise au cours de ces dernières années, n'entreprend plus rien contre moi... pas à ma connaissance.
Affaire Tapie: Besson défend Lagarde
AFP, 03/04/2011 | Mise à jour : 15:50
Le ministre de l'Industrie Eric Besson a accusé aujourd'hui les députés socialistes de tenter de monter "une nouvelle affaire" Tapie en demandant la saisine de la Cour de justice de la République (CJR) pour un "abus d'autorité" de Christine Lagarde dans l'affaire Tapie/Crédit Lyonnais.
S'exprimant au micro de Radio J, M. Besson a dit que la "lettre des députés socialistes était très surprenante parce que si j'ai bien compris, ils disent +nous n'avons pas de preuves mais...+".
Quatre critères définis pour l'audit des centrales françaises
NDLR : J'ai failli louper cette perle, dépêche ou information du 16 mars. A mon avis, d'ici quelques temps, on devrait soit nous annoncer que nous n'avons aucun outil « permettant de faire face aux situations extrèmes », soit nous annoncer qu'il suivra un Grenelle du risque nucléaire... et pschiiit, comme pourrait l'avoir fait un rapport du CGIET ?
Reuters - Publié le 16/03/2011 à 16:37
Quatre critères définis pour l'audit des centrales françaises
PARIS (Reuters) - L'inspection de la sécurité des 58 réacteurs nucléaires français décidée par le gouvernement prendra en compte les conditions de la catastrophe au Japon, a déclaré mercredi le ministre de l'Industrie, Eric Besson.
Le Premier ministre, François Fillon, a annoncé mardi que les mesures de sécurité de toutes les centrales nucléaires françaises allaient être contrôlées.
"Cette revue, a expliqué Eric Besson lors d'une audition à l'Assemblée nationale, portera sur les quatre points suivants: le risque sismique, le risque d'inondation, le risque de rupture des moyens de refroidissement et les outils permettant de faire face aux situations extrêmes de fusion totale ou partielle du coeur d'un réacteur."
"Les résultats en seront rendus publics et les prescriptions de l'ASN (l'Autorité de sureté nucléaire-NDLR) seront systématiquement prises en compte. Nous tirerons tous les enseignements de la catastrophe de Fukushima."
Marc Angrand, édité par Yves Clarisse
Les psychiatres contre un projet de loi « sécuritaire »
NDLR : Est-ce qu'on peut rire, ou au moins pouffer ? Il faut que j'arrête de suivre le flot de l'actu.
Actualité >
Japon : séisme, tsunami et risque nucléaire
EN DIRECT. Japon : pas de «catastrophe nucléaire», selon la présidente d'Areva
Le Parisien | S.M et A.L | Publié le 14.03.2011, 07h02 | Mise à jour : 21h45, extrait
La présidente du groupe nucléaire français Areva s'exprimait lundi soir au journal de France 2. «Bien sûr que je suis inquiète. On est en face d'une catastrophe naturelle très importante au Japon avec un tremblement de terre suivi d'un tsunami gigantesque», a-t-elle déclaré. Mais «ce n'est pas une catastrophe nucléaire», a-t-elle affirmé. «Je crois qu'on va éviter la catastrophe nucléaire. Nous sommes un petit peu entre les deux», a ajouté Mme Lauvergeon, estimant que la situation à la centrale de Fukushima ne ressemblait «pas du tout» à celle de Tchernobyl.
Mis à jour 14-03-2011 20:48, Metro, un extrait et un encart
Les psychiatres contre un projet de loi "sécuritaire"
Psychiatres et magistrats se mobilisent contre le projet de loi réformant les soins sous contrainte, étudié dès mardi à l'Assemblée. Ils dénoncent un texte sécuritaire.
Professionnels de la santé mentale et magistrats sont vent debout contre un projet de loi qui sera étudié dès mardi 15 mars, en procédure accélérée, à l'Assemblée. Le texte, qui réforme l'hospitalisation sans consentement et les soins sous contrainte, est qualifié de "sécuritaire" par ses nombreux détracteurs.
Simplifier l'hospitalisation sans consentement
Long et complexe, le projet voulu par Nicolas Sarkozy après le meurtre d'un étudiant par un schizophrène en décembre 2008 à Grenoble, prévoit de modifier les soins sous contrainte qui concernent quelque 70 000 personnes par an. Dix mille sont hospitalisées d'office, à la demande du préfet, en cas de menace sur la sécurité des personnes ou sur l'ordre public, et 60 000 à la demande d'un tiers, membre de la famille ou proche. Le projet de loi entend "simplifier l'entrée dans le dispositif". Il instaure une nouvelle possibilité pour le préfet d'hospitaliser une personne sans son consentement, dans le cas où elle représenterait un "péril grave et imminent" pour elle-même.
Potentiellement dangereux ?
Pour rappel, seuls 2,7% des actes violents sont commis par des personnes souffrant de troubles psychiatriques (rapport de l'Igas en 2005). "La réalité, c’est que les personnes atteintes de troubles psychiatriques dans la population générale (hors personnes sans domicile fixe) sont douze fois plus victimes d’agressions physiques, 130 fois plus victimes de vols et ont 25 ans d’espérance de vie en moins que leurs concitoyens." C'est le député UMP Guy Lefrand, rapporteur pour la commission des affaires sociales sur ce projet de loi, qui le mentionne en préambule de son rapport.
Digne-les-Bains : le professeur s’était évadé de l’asile
Actualité > Faits divers
Digne-les-Bains : le professeur s’était évadé de l’asile
Le Parisien | THIBAULT RAISSE | Publié le 03.02.2011, 07h00, extrait
Un Irlandais enseignant dans un lycée de Digne-les-Bains cachait un passé de schizophrène, échappé d’un hôpital après une tentative de meurtre.
Il était apprécié de tous. Mais tous ignoraient son incroyable secret. Le 3 janvier, le lycée public de Digne-les-Bains (Alpes-de-Haute-Provence) accueille un nouveau professeur d’allemand. A seulement 26 ans, Lewis Mawhinney, originaire d’Irlande du Nord, est diplômé d’Oxford, la plus prestigieuse université britannique.
Pendant trois semaines, le professeur vacataire recueille tous les suffrages. Jusqu’à ce qu’une discussion privée pousse la direction de l’établissement à fouiller son passé.
Et de découvrir l’impensable : Lewis s’est échappé d’un asile de fous, où il avait été interné fin 2008 après avoir tenté d’égorger à coups de couteau un collègue de travail dans un ascenseur. A l’automne dernier, le jeune enseignant envoie une candidature spontanée au rectorat d’Aix-Marseille. Il est contacté pour un remplacement juste avant les vacances de Noël. « Il correspondait parfaitement au profil recherché et, bien sûr, ses diplômes étaient en règle », confie-t-on au rectorat.
Interné de force pendant 27 ans, il fait condamner la France
Dépaysement
Bettencourt: les mystères du transfert à Bordeaux
Par François Koch, publié le 18/11/2010 à 19:03, l'Express, extraits
Beaucoup d'observateurs se demandent à la fois pourquoi le tribunal de Bordeaux a été choisi et pourquoi celui de Paris n'a pas été retenu, malgré les réquisitions du parquet général de la Cour de Cassation.
[...] Bertrand Louvel, président de la Chambre criminelle de la Cour de cassation, a une réputation d'indépendance. Certains disent que le ressort de Paris a été évité pour ne pas mettre l'affaire entre les mains de parquets perçus comme trop proches du pouvoir: Jean-Claude Marin, le procureur de Paris, et surtout François Faletti, procureur général de la Cour d'appel de Paris. D'autres affirment au contraire, qu'une fleur a été faite à Philippe Courroye, le procureur de Nanterre: si les affaires avaient été renvoyées au tribunal de Paris, il ne pouvait plus être promu dans cette juridiction.
La Cour de cassation a sans doute considéré que le tribunal de Paris est surtout trop proche de... Nanterre. Philippe Courroye et Isabelle Prévost-Desprez étaient en poste à Paris. Les magistrats de la plus haute juridiction judiciaire ont-ils aussi souhaité réduire la pression médiatique nationale? Sans doute un peu. Même s'il y a fort à parier que les médias n'hésiteront pas prendre le TGV pour se rendre à Bordeaux pour suivre les principales audiences.
actu-match | Jeudi 18 Novembre 2010
Interné de force pendant 27 ans, il fait condamner la France
Un homme interné d'office en hôpital psychiatrique depuis 27 ans a fait condamner la France pour détention arbitraire devant la Cour européenne des droits de l'homme.
Clément Mathieu - Parismatch.com
Après avoir été placé d'office en hôpital psychiatrique depuis 27 ans, Claude Baudoin s’est fait entendre. Cet ancien détenu de 65 ans a fait condamner la France pour détention arbitraire jeudi devant la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH). Condamné en 1975 pour assassinat Claude Baudoin a été interné d’officie en 1983 dans une unité pour malades difficiles (UMD) et ce quasiment sans interruption jusqu’à ce jour. Depuis, l'ancien détenu n'a eu de cesse de contester tant la légalité que le bien fondé de la mesure dont il fait l'objet.
Affaire Hodeau : pour l’USM, Hortefeux dit « n’importe quoi »
NDLR : Le coupable du jour de demain, c'est Plantu. Pffff, encore la cacophonie, comme depuis des années.
Affaire Hodeau : pour l’USM, Hortefeux "dit n’importe quoi"
Créé le 01/10/09 - Dernière mise à jour à 22h39 - Europe 1, extrait
Le président du syndicat majoritaire des magistrats réagit aux prises de position du ministre de l’Intérieur sur le "cas Hodeau". "C’est un grand classique. Après chaque fait divers dramatique comme celui que nous venons de vivre, nous avons le droit à une nouvelle loi", s’est indigné Christophe Régnard, le président de l’Union syndicale des magistrats, le syndicat majoritaire, jeudi sur Europe 1.
Affaire Hodeau: Hortefeux assure être "sur la même ligne" que MAM
(AFP) – Il y a 10 heures
VILLENEUVE-LA-GARENNE, Hauts-de-Seine — Le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux, très critique jeudi sur le rôle des juges après le meurtre d'une jeune femme par un récidiviste, a assuré vendredi être "sur la même ligne" que Michèle Alliot-Marie, qui a pris la défense des magistrats.
"J'étais au côté du président de la République quand il a reçu la famille de la victime. Ils étaient à juste titre très choqués, très excédés par le fait qu'il y avait une peine de prison de onze ans qui avait été décidée et que seulement sept années aient été effectuées", a dit le ministre lors d'un déplacement du Premier ministre François Fillon dans les Hauts-de-Seine.
"Je comprends ce sentiment mais avec la garde des Sceaux (Michèle Alliot-Marie) nous sommes tout à fait sur la même ligne et nous souhaitons encourager l'extension de la possibilité de castration chimique qui sera une bonne réponse", a-t-il tempéré après avoir mis en cause la veille les juges d'application des peines.
"On n'a sans doute pas donné au ministre de l'Intérieur toutes les informations nécessaires", avait alors commenté Mme Alliot-Marie, estimant qu'il n'y "pas eu de dysfonctionnement de la justice" mais une insuffisance des mesures de suivi (...) due essentiellement au fait que la cour d'assises ne les pas prévues".
Le Parisien du 2 et le Monde du 3
Dans France Soir du 2
Joggeuse tuée : quand Brice Hortefeux se trompe de cible
Juges d'application des peines: quand Brice Hortefeux se trompe de cible
Créé le 02.10.09 à 07h54 | Mis à jour le 02.10.09 à 08h06, 20 minutes, extrait
JUSTICE - Michèle Alliot-Marie ne veut pas polémiquer, mais elle a remis le ministre de l'Intérieur en place...
«On n'a sans doute pas donné au ministère de l'Intérieur toutes les informations nécessaires.» La saillie est signée Michèle Alliot-Marie. La garde des Sceaux a estimé jeudi soir que Brice Hortefeux avait eu tort de s'en prendre aux juges d'applications des peines qui avaient libéré le meurtrier présumé de Marie-Christine Hodeau. Selon elle, en effet, les magistrats n'ont fait qu'appliquer «la loi en vigueur à l'époque».
>> Lisez les réactions des politiques à l'affaire Marie-Christine Hodeau en cliquant ici
«Il n’est déjà pas dans son rôle lorsqu’il s’en prend aux magistrats», s'agace même l'entourage de la ministre de la Justice. Par ailleurs, les proches de Michèle Alliot-Marie rappellent que, si le suspect est en état de récidive pour la séquestration et l'enlèvement, il a purgé sa peine précédente de manière définitive. En conclusion: «Aucun magistrat n’est en cause. S’en prendre aux juges d’application des peines dans ce cadre, c’est juste de l’ignorance.»
Joggeuse tuée par un récidiviste
Sarkozy veut une meilleure surveillance des condamnés qui ont purgé leur peine
Créé le 01.10.09 à 12h51 | Mis à jour le 01.10.09 à 18h09, 20 minutes, extrait
En écho, Brice Hortefeux a estimé que l'«assassinat de Marie-Christine Hodeau (...) aurait pu être évité». Le ministre de l'Intérieur, qui s'exprimait devant les préfets, a mis en cause «les juges d'application des peines qui ont pris la décision de libération conditionnelle» du meurtrier présumé. Des propos jugés «scandaleux» par les syndicats de magistrats. Christophe Régnard, président de l'Union syndicale des magistrats (USM, majoritaire), a en effet assuré que ses confères ont «appliqué la loi», rappelant par ailleurs que «Rachida Dati, n'a cessé de dire qu'il fallait aménager les peines au maximum pour vider les prisons, et assurer le suivi des personnes à l'extérieur».
L'émission "Action discrète" est "dans le registre du canular" pour Canal+
AFP – Il y a 2 jours, extrait
PARIS — Canal+ a rappelé, mercredi dans un communiqué, que l'émission "Action discrète" dont des membres ont été interpellés à Calais est "dans le registre du canular" et "vise à caricaturer de façon burlesque des faits de société". "Nous sommes dans le registre du canular, interprété par des comédiens en caméra cachée, qui font des happenings autour de faits d'actualité. Cette émission vise à caricaturer de façon burlesque des faits de société", écrit le groupe. Le ministre de l'Immigration, Eric Besson, a dénoncé mardi "une grave dérive médiatique" après l'"interpellation" des membres d'une équipe de l'émission "Action discrète" de Canal+ qui s'étaient fait passer pour des policiers et des migrants mardi à Calais.
Sarkozy : mieux surveiller les condamnés
NDLR : J'adore toujours autant ce son de Lily.
Sarkozy: mieux surveiller les condamnés
AFP, 01/10/2009 | Mise à jour : 17:21
Nicolas Sarkozy a demandé à Brice Hortefeux d'étudier les moyens de renforcer la surveillance des condamnés qui ont purgé leur peine pour réduire les risques de récidive, a indiqué l'Elysée après une rencontre entre le président et la famille d'une femme tuée dans l'Essonne.
Nucléaire : l'Iran critique la France
NDLR : Voilà plein de travail pour des professionnels tels que le juge Anne Valentini, Mesdames Claire Davidson et Magalie Bodon-Bruzel, des tribunaux pour créatures inférieures plus généralement. Ils pourraient faire taire les critiques par l'effet de la sensure ou, pourquoi pas, en plaçant durablement quelques enfants à l'OSE France ou ailleurs, jusqu'à ce que tout le monde se taise enfin. Madame Obama pourrait ne pas être contente, mais quelle importance, il suffirait à la Cour de ne pas la convoquer et de la noircir. Moi, un Bourricot ?
Nucléaire: l'Iran critique la France
AFP, 17/09/2009 | Mise à jour : 09:36
Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères a regretté l'hostilité de la France à son égard et critiqué les déclarations du président Nicolas Sarkozy qui a affirmé la "certitude" de son pays sur les visées militaire de son programme nucléaire. "Les déclarations des responsables français à propos du programme nucléaire pacifique de l'Iran sont très éloignées de la vérité et font partie de la vision hostile et illogique des responsables de ce pays", a déclaré Hassan Ghashghavi, selon l'agence Isna. L'Iran "regrette les déclarations du président français qui sont en totale contradiction avec les preuves des experts de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et (...) avec l'approche des autres membres du groupe 5+1", a-t-il ajouté. Le fait que "l'Iran travaille aujourd'hui sur un programme nucléaire" militaire est "une certitude pour tous nos services secrets", a déclaré mardi le président français Nicolas Sarkozy lors d'une rencontre avec des députés, selon des participants.
Calais: Kouchner approuve Besson
AP, 17/09/2009 | Mise à jour : 09:32
Le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner a défendu la décision d'Eric Besson de démanteler "avant la fin de la semaine prochaine" la "jungle", cette zone boisée proche du port de Calais qui abrite des centaines de migrants espérant rejoindre la Grande-Bretagne. "Se regrouper de cette façon extraordinairement malsaine d'un point de vue de l'hygiène et d'un point de vue de l'ordre public, ne peut pas être toléré sur notre territoire", a-t-il observé sur France-Info, promettant qu'ils seront traités "humainement". Il a rappelé que les migrants qui se regroupent dans ce village clandestin depuis la fermeture du centre de Sangatte en 2002 ne voulaient "pas rester chez nous". "Ils veulent aller en Angleterre où ils pourront travailler. Avec nos amis anglais, nous tenterons de leur trouver une façon de revenir qui leur convienne", a poursuivi Bernard Kouchner, tout en reconnaissant qu'il faudrait "faire très attention" avec les Afghans car leur pays est en guerre.
Bouclier américain : la Russie satisfaite
Le Figaro, 17/09/2009 | Mise à jour : 09:29
La Russie a toutes les raisons de se féliciter d'un abandon du projet américain de bouclier antimissile en Europe si les informations de presse à ce sujet se confirment, a déclaré une source au sein du ministère russe des Affaires étrangères. "Si les Etats-Unis ont effectivement l'intention d'abandonner leurs plans de déploiement d'éléments du bouclier antimissile en Pologne et en République tchèque, c'est, de toute évidence, une bonne nouvelle", a déclaré cette source à l'agence Interfax. "Nous attendons une confirmation officielle de Washington. Si une telle décision est prise, les inquiétudes de la partie russe seront prises en compte et cela contribuera au développement des relations russo-américaines", a ajouté une source au ministère citée par Itar-Tass.
MAM veut améliorer la vie des détenus
MAM veut améliorer la vie des détenus
AFP, 04/09/2009 | Mise à jour : 21:33
Le garde des Sceaux, Michèle Alliot-Marie, estime inadmissible qu'un détenu reste 22 heures par jour en cellule et souhaite développer les activités encadrées, a-t-elle déclaré dans un entretien accordé au Parisien paraissant demain. "On ne peut pas admettre que quelqu'un reste 22 heures par jour dans une cellule! Pourquoi, ce n'est qu'un exemple, ne pas faire entretenir les sous-bois pour éviter les incendies de forêt par des détenus encadrés ?" a demandé le ministre qui doit défendre en commission le projet de loi pénitentiaire mardi.
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