Archives pour: Mai 2012
Nue sur le toit, elle se tue en chutant de sept étages
France
Paris. Nue sur le toit, elle se tue en chutant de sept étages
25 mai 2012 à 14h38, le Télégramme
Cette nuit, une jeune femme est morte après avoir chuté du toit d'un immeuble du XIXe arrondissement de Paris, où elle était montée nue avec son petit ami après avoir bu de l'alcool. Le petit ami de la victime a été placé en garde à vue dans les locaux du commissariat du XIXe arrondissement de Paris. Selon ses premières déclarations, les deux jeunes gens, qui avaient bu de l'alcool, sont montés sur le toit de leur immeuble haut de sept étages pour s'amuser. Mais la jeune femme a alors chuté accidentellement dans la cour intérieure. Le Service de l'accueil et de l'investigation de proximité (SAIP) du XIXe arrondissement a été chargé de l'enquête.
N. A., avec l'AFP
Tags : Paris, faits divers, nue, chute accidentielle, mort
Le procès-verbal truque la réalité
NDLR : Constater que Eolas peut lui même crier sur la toile en s'adressant aux magistrats fait plaisir. Quelqu'un a soufflé dans les bronches de Eolas ? Ca mérite bien quelques BL en retour, non ? Le tweet de Maître Eolas a bien plu, je l'ai vu repéré et RT par TopTweets. Le contenu et son gazouillis seront parfaits pour la cote de popularité du Maître. Ici, ce sera en bonne place en rubrique Victimes #divertissements. Par ailleurs, j'ai repéré que un commissaire parisien et ses services pourraient eux-même être en sérieuses difficultés... rubrique #pschitt. Des flics pas très rigoureux dans ce pays, mais où et quand aurait-on pu distinguer ça ? Il ne peut s'agir que de rumeurs, sur Internet. En France, tous ces services sont parfaitement neutres, intègres et bienveillants, surtout les travailleurs sociaux. Parmi de nombreux autres, le magistrat Olivier Echappe devrait pouvoir confirmer cela à Maître Eolas... Quand c'est moi qui tweete ou exprime pareilles idées, que des fonctionnaires pètent parfois un boulon, ça pose problème ? Serait-ce par ce que je publie aussi des noms de juges ? Parce que mon blog a trop de mémoire ? Jamais je n'aurai pensé à emporter le hamster à une audience... On m'avait souvent dit d'effacer tout ou des morceaux de mon blog, des juges aussi ont souvent lourdement insisté, pour que j'efface tout. Et puis quoi encore
Un statut, sur Twitter, et un article sur Sud-Ouest
Le pourvoi de Colonna examiné le 21 juin
NDLR : Ah, du pénal ! Donc #important et rubrique Victimes #divertissements
LE FLASH > Actualité
Le pourvoi de Colonna examiné le 21 juin
AFP Mis à jour le 23/05/2012 à 11:27 | publié le 23/05/2012 à 11:25
Le pourvoi d'Yvan Colonna contre sa troisième condamnation à la réclusion criminelle à perpétuité pour l'assassinat du préfet Erignac sera examiné le 21 juin par la Cour de cassation, selon l'un de ses avocats, Me Patrice Spinosi.
Cet examen interviendra quasiment un an jour pour jour après la condamnation, le 20 juin 2011, du berger de Cargèse pour l'assassinat du préfet de Corse Claude Erignac, le 6 février 1998 à Ajaccio, et pour l'attaque, quelques mois plus tôt, de la gendarmerie de Pietrosella (Corse-du-Sud), où l'arme du crime avait été dérobée.
Elle achève au couteau son mari
NDLR : Encore du pénal, ça ne devrait que plaire, comme on peut le lire sur Snatch mag.
LE FLASH > Actualité
Elle achève au couteau son mari
AFP Publié le 22/05/2012 à 20:26
Une retraitée de Fieux, dans le Lot-et-Garonne, a appelé les gendarmes en expliquant qu'elle avait "donné des coups de couteau" à son mari "pour mettre fin à ses souffrances" car il avait ingéré du poison pour se suicider, ont indiqué les gendarmes et le parquet.
C'est ce soir que l'homme né en 1947, âgé d'environ 65 ans, aurait ingurgité un poison pour mettre fin à ses jours, apparemment un taupicide. Il aurait été atteint d'une maladie, selon la gendarmerie, qui n'a pas précisé sa nature. Tordu de douleurs dans la nuit, l'homme aurait alors demandé à son épouse âgée de 63 ans, "de l'achever à coups de couteaux parce qu'il souffrait trop à cause du poison", selon les gendarmes.
L'épouse a été placée en garde à vue, puis immédiatement admise dans un hôpital psychiatrique, pour une observation qui s'est achevée en fin de journée. Suite à cette hospitalisation, les gendarmes n'avaient pas encore pu l'interroger en détail sur son geste, mardi en fin d'après-midi, ont-ils précisé à l'AFP. Selon le parquet, la victime et son épouse étaient suivies par un médecin psychiatre. Le couple de retraités agricoles a trois enfants, selon une source proche de l'enquête. Une autopsie du corps qui pourrait aider à confirmer ou infirmer les affirmations de l'épouse sera pratiquée mercredi à l'Institut médico-légal de Bordeaux, a indiqué le parquet.
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Christiane Taubira cristallise les rancœurs sur le Web
NDLR : On parle maintenant de Taubira. Et #UMP semble encore butter sur le 6 mai, à Bastille... Et cette histoire d'évasion, est-ce un hoax ? Mais si j'ai bien lu ses avocats, la vrai victime du jour, c'est à nouveau DSK.
Christiane Taubira cristallise les rancœurs sur le Web
Le Monde.fr | 21.05.2012 à 15h46 • Mis à jour le 21.05.2012 à 15h46
Par Samuel Laurent
La nouvelle garde des sceaux n'aura pas eu à attendre longtemps pour subir sa première salve de critiques. Issue du Parti radical de gauche (PRG) et élue guyanaise, Christiane Taubira est, depuis sa nomination, l'une des cibles privilégiées de la droite et de l'extrême droite sur le Web.
INTOX SUR UNE FAUSSE CITATION
Une partie des critiques, comme celles qui visent son projet de supprimer les tribunaux correctionnels pour mineurs, ressort du débat politique normal. D'autres sont plus douteuses. La ministre s'est ainsi vu attribuer, durant le week-end, une phrase polémique. Selon plusieurs blogs et comptes Twitter, la ministre aurait affirmé au micro de RFI : "Brûler des drapeaux français, c'est un geste de liesse pardonnable."
Sympathisants de l'UMP ou blogueurs ont amplement relayé cette information, notamment sur Twitter, la reliant aux polémiques sur la présence de drapeaux étrangers à la Bastille le soir de la victoire de François Hollande.
Après l'élection, l'attente et l'espoir, sans illusions
Fin de la rubrique « 2012 » ou de ces présidentielles, on nous renvoie à présent aux banalités et aux joies du quotidien, au temps qui passe et qui se perd. On nous sollicitera à nouveau en juin, nous priant tous, une fois encore, de glisser la bonne enveloppe dans une urne. C'est ça, la démocratie, en France. Très occasionnellement, chacun peut aller voter, si les fonctionnaires vous y autorisent, et le reste du temps, tout vous suggère très fortement de vous taire.
Je n'attendais rien de ces présidentielles. J'ai juste croisé les doigts pour que le nabot dégage, beaucoup pour des raisons tout à fait « personnelles », suffisamment bien décrites aujourd'hui dans ce blog et sur la toile, depuis 2003. Qu'espérer ? Les gens ont peut être pu comprendre ou constater qu'ils pouvaient provoquer des changements. Qu'est-ce qu'ils en feront ? Je n'ai pas d'illusions à ces sujets.
C'est fini, l'ère sakozyste. Pour un certain temps au moins, car l'UMP revient déjà à la charge. Sur le Monde, j'ai encore lu des jérémiades police/justice au sujet de leur traitement sous le régime du sorti, au sujet de ces insupportables piques du chantre et de celles des ténors de l'UMP. Je lis que des magistrats réclament maintenant encore une fois du respect, « le respect de la justice dans sa complexité » ? Début 2010, j'étais explicite dans des observations déposées à la cour d'appel de Versailles, je ne me lèverais plus devant des magistrats français, ces employés de bureau, ces affranchis. En octobre 2010, un arrêt de cette même cour était ensuite cassé et annulé.
Heureusement que Nicolas Sarkozy n'est plus là, pour un quinquennat de plus, à nous parler et à houspiller encore tous ces fonctionnaires, à critiquer leurs travail et leurs forfaitures, ou les plus faibles parmi les fervents, les incapables, sauvages ou jeanfoutres allaient tous mourir, de désespoir ou de honte. J'étais déjà très fâché avec des fonctionnaires, sous Chirac, dès 2003, et plus fâché encore dès début 2004. Quelque chose pourrait changer avec Hollande, maintenant que le nabot n'est plus là ? Je n'y crois pas non plus. Merci au Service Société du Monde, il m'a encore bien irrité.
Oui, par le passé, je faisais déjà chier Chirac et son entourage, dont Nicolas Sarkozy. Mais je ne pense pas que Chirac puisse s'en souvenir. Dans mes cartons, j'ai des lettres de cette période, dont de l'Elysée, une réponse à la con, quelques formules types. En 2006, je finissais par envoyer un simple tract à l'Elysée, avec un dessin de Sempé et un court extrait du Figaro. Deux jours plus tard, Dominique Versini a été nommée « Défenseure des enfants ». C'était amusant. Faudrait-il que j'envoie bientôt des choses à Hollande ? Pour quoi, pour qui, pourquoi ?
Minute de la semaine passée m'a amusé. J'ai pu constater que je n'étais plus le seul à m'être bien moqué des astrologues et des intellectuels qui soutenaient le nabot... jusqu'à ce qu'il fasse enfin pschitt. Hier soir, quelques twittos en faisaient encore très naïvement la promo, en diffusant la couverture de Minute du 14 mai 2012, « Nadine, la poissonnière ». C'est bien, Longuet, bravo à l'UMP, ces pensées ou ce tract très à droite se répandent. Je ne suis toujours pas convaincu que tous ces dérapages à droite, de l'UMP, étaient très intelligents. Copé persiste...
Oui, ce billet figure aussi dans ma rubrique Victimes. Il doit en contenir un petit nombre
Après l'élection, l'attente et l'espoir, sans illusions
LE MONDE | 14.05.2012 à 13h09 • Mis à jour le 14.05.2012 à 17h03
Par Service Société, avec les journalistes d'« Une année enFrance », trois extraits
Ont voté. Ont élu. Ont été, pour beaucoup d'entre eux, de cette majorité qui a porté François Hollande à la présidence de la République, le 6 mai. Et les voilà dans cet entre-deux singulier, où l'ancien pouvoir n'est plus et où le nouveau n'est pas encore. Dans ce temps suspendu où, d'acteurs, ils sont redevenus spectateurs. Les harangues se sont tues. Les sondages sont provisoirement au repos. Les regards se portent ailleurs.
[...] "ENSEIGNANT EST QUASIMENT DEVENU UN GROS MOT"
Lionel Laboudigue, spécialisé Rased depuis un an, avait lui aussi le sentiment d'avoir "trouvé sa voie", après quinze ans de carrière dans l'école publique. "On est la soupape qui fait diminuer la pression entre ces enfants et leurs appréhensions face à l'école. Sans cette soupape, le risque d'imploser devient énorme. Que deviendront-ils si on arrête de les aider ? On peut imaginer qu'ils seront éjectés du système scolaire à un moment ou à un autre."
Pour lui, les années Sarkozy ont surtout porté atteinte au métier d'enseignant. "'Enseignant' est quasiment devenu un gros mot. Le gouvernement n'a cessé de nous décrire comme des feignants ou des fonctionnaires arc-boutés sur leurs acquis."
[...] "DES RÉFORMES, OUI, MAIS PAS AVEC CETTE BRUTALITÉ"
Du quinquennat écoulé, Xavier Marie, professeur des universités en génie physique à l'INSA de Toulouse et directeur d'un laboratoire d'excellence, retient d'abord une phrase. Celle prononcée en 2009 par le président de la République sur « ces chercheurs qui ne trouvent rien, qui ne sont pas évalués et refusent de l'être, et qui viennent dans leurs labos parce que c'est chauffé".
[...] "RESPECTER LA JUSTICE DANS SA COMPLEXITÉ"
Marie (comme d'autres, elle requiert l'anonymat) est âgée de 31 ans, elle est juge des enfants en région parisienne, après trois ans passés au parquet des mineurs. "Ce qui a été instillé et validé au plus haut niveau de l'Etat, c'est que les juges défont d'un côté ce que les policiers font de l'autre", observe-t-elle.
Florence Cassez : la juge rapporteuse se bat pour elle
NDLR : Je note que pour ce rapporteur, « favorable » à la libération de Cassez, « il reste du chemin à parcourir pour convaincre les autres juges en charge du dossier ». Quand Copé ou l'UMP souhaiteront sauver encore Florence Cassez, ils penseront peut-être aussi à retrouver association-estelle.org, un site Internet porté disparu...
Actu-Match | vendredi 11 mai 2012, extrait
Florence Cassez. La juge rapporteuse se bat pour elle
Olga Sánchez Cordero, la nouvelle rapporteuse dans l'affaire Florence Cassez, a donné une interview dans laquelle elle confirme souhaiter sa libération, tout en reconnaissant qu'il reste du chemin à parcourir pour convaincre les autres juges en charge du dossier.
L’histoire sans fin. Florence Cassez, écrouée depuis plus de six ans au Mexique, pour...
Un député UMP, Jean Auclair, menacé de mort
NDLR : Pas mal, comme stratégie, celle d'Auclair, stigmatiser l'Autre tout en se présentant soi-même tel le vrai trublion et martyr... Méchant #PS ! Pourvu que l'UMP ni personne d'autre ne me lise jamais, dans mon blog, beaucoup pourraient relever quelques « troublantes similitudes » avec ce qu'on peut lire ici et la, dans des journaux et sur Internet. Je me demande si ce qu'a déclaré Jean Auclair est avéré ou si l'essentiel est principalement fantasmé, voire adroitement insinué. Une enquête étant en cours, nous en saurons peut-être un peu plus au cours des toutes prochaines semaines... Je note également que le Figaro a « retrouvé » Eric Besson, parti se cacher dans le privé, et que pour sa part, Pierre Moscovi poursuit Elle et Voici, menace ou moralise également les twittos.
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Un député UMP menacé de mort
AFP Mis à jour le 12/05/2012 à 16:50 | publié le 12/05/2012 à 16:11
Le député UMP de la Creuse, Jean Auclair a déposé plainte contre X pour menaces de mort après avoir reçu hier à la mairie de Cressat (Creuse), dont il est maire, une lettre anonyme lui promettant "le même sort que Yann Piat", la députée (FN puis UDF) assassinée, a-t-il indiqué aujourd'hui.
Selon l'élu, dans cette lettre, l'auteur, qui utilise des formules injurieuses, se félicite que Nicolas Sarkozy et sa femme ont été "dégagés" et dit que "ça sera pareil" pour le député, candidat à sa propre succession dans la deuxième circonscription de la Creuse. Ces menaces sont "complètement liées à (s)a candidature" aux législatives, selon Jean Auclair. Il estime qu'il y a "des similitudes troublantes et des éléments de langage communs" entre cette lettre et plusieurs tentatives d'intimidation de la part de membres de la fédération PS de la Creuse, dont il avait fait l'objet en 2002 et 2007.
"En tant qu'élu de la République, je trouve qu'il s'agit là de manoeuvres pitoyables. Hollande avait promis la République apaisée, mais je ne peux m'empêcher de penser que la République socialiste est la plus sectaire qui existe", a-t-il ajouté.
L'enquête a été confiée à la gendarmerie de Guéret.
Procès Breivik : un lancer de chaussure « libérateur » pour la Norvège
NDLR : Etonnant, cet article, choquant. J'y perçois comme un appel à briser « la loi du silence » dans les prétoires, à y lancer maintenant des chaussures... surtout lorsqu'on s'y sent très « frustré ». J'aurai peut-être du y songer moi même, oser passer à un tel acte, plutôt que de m'en tenir à de simples mots, et lancer une chaussure sur un magistrat. Tiens, j'aurai pu le faire à la cour de cassation, début décembre 2008. Ca doit soulager, sur le moment, mieux qu'une quelconque « psychothérapie », sûrement plus que de « faire appel » pour pas grand chose. Mais c'est évident, certain, les avocats des « présumés innocents » jusqu'à l'issue de toutes les péripéties de tels procès, jusqu'à l'épuisement de l'intégralité des voies de recours, n'accepteraient que très mal de telles attitudes dans nos prétoires. En Norvège, ce lanceur de chaussure a hurlé « sa douleur, promettant l'enfer à Breivik » ? Ca va, c'est pas trop grave, comparé à l'apologie de la tortue, par Elie Wiesel, Nobel de la paix, en 2009, dans le cadre de l'affaire Madoff... si, si, La haine de Wiesel pour Madoff ; je l'avais bien noté aussi.
Procès Breivik : un lancer de chaussure libérateur pour la Norvège
Le Monde.fr avec AFP | 11.05.2012 à 11h37 • Mis à jour le 11.05.2012 à 22h19
Par Olivier Truc
Le procès d'Anders Behring Breivik est arrivé, vendredi 11 mai dans l'après-midi, au terme de sa troisième semaine. Une éternité pour les Norvégiens. Une éternité enfin troublée par une réaction inattendue, désespérée, humaine, celle d'un homme pleurant son frère abattu. Un homme qui s'est levé soudainement et a jeté une chaussure en direction de Breivik, assis à à peine cinq mètres de lui . Il a touché l'un des quatre avocats du terroriste. Hurlant sa douleur, promettant l'enfer à Breivik, l'homme a été rapidement maîtrisé et emmené. Dans le couloir derrière la salle 250 d'abord, d'où ses pleurs terribles résonnaient dans la salle, puis jusqu'à un hôpital afin d'y recevoir toute l'aide psychologique nécessaire.
Pour la première fois depuis le 16 avril, un incident a ainsi forcé la présidente du tribunal à interrompre momentanément le procès du tueur ultranationaliste responsable de la mort de soixante-dix-sept personnes. "Le plus surprenant, explique Harald Stanghelle, rédacteur en chef du quotidien Aftenposten, qui suit le procès au jour le jour depuis le début, c'est que ce ne soit pas arrivé plus tôt."
SUR LE MOMENT, LES GENS ONT APPLAUDI
Valérie Trierweiler tacle déjà Carla Bruni Sarkozy
NDLR : Sur Twitter, plusieurs se sont indignés, parlant parfois de « purge »... d'une « purge socialiste » ; les Grandes, la Terreur, Staline ? Nan, sans rire, ici, nous sommes en France, et pas du tout chez les soviets ! D'autres ont été plutôt surpris parce qu'avec Carla et Pépito, on pouvait se permettre de nombreux « excès ». Mais Valérie n'est pas Carla, l'une est issue et certainement encore bien immergée dans les milieux people, alors quoi de bien surprenant si un journaliste se fait un peu souffler dans les bronches, pour l'exemple, à ne surtout pas suivre ? Laurence Ferrari a elle-aussi déjà bien « mordu », Lyon Mag, en août 2008 : « Croyez-moi, je ne lâcherai rien. J'attaquerai quiconque s'intéresse de près ou de loin à ma vie privée. » Ce sont en tous cas des créatures dont je me méfie. Oser les « insulter », en public, avec pareils propos, on n'a pas idée ! Et je suis d'accord, perdre un taf, un contrat, pour un simple tweet, une si courte publication, une brève pantalonnade ou de comptoir, c'est assez violent. Rappel... « Par ici », dans le blog de Maître Eolas, Passage à vide, « on dit qu'on a 24 heures pour maudire son juge »
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Insulte à Trierweiler: RTL licencie Salviac
AFP Publié le 09/05/2012 à 18:43
Le journaliste Pierre Salviac, spécialiste du rugby, a été remercié par RTL après avoir posté aujourd'hui un tweet injurieux à l'égard de la nouvelle première dame et des femmes journalistes, a-t-on appris mercredi auprès de la radio. Quelques heures plus tôt, le commentateur avait lancé:
À toutes mes consoeurs je dis: "baisez utile vous avez une
chance de vous retrouver première Dame de France" ;-)
9 Mai 12
Le chroniqueur de RTL et de l'Equipe TV, avait provoqué une rafale de réactions dénonçant son "machisme", son "sexisme" ou sa "beaufitude". Valérie Trierweiler, la compagne du président nouvellement élu François Hollande, est journaliste politique.
"Dans le cadre d'un message publié sur Twitter, Pierre Salviac a tenu au sujet de ses consoeurs journalistes des propos intolérables et totalement inacceptables qui n'engagent que lui et que RTL condamne sans aucune réserve", a déclaré la direction de la station. "Pierre Salviac était jusqu'à ce jour un collaborateur occasionnel de RTL parmi d'autres médias. A compter de ce jour, RTL met un terme à toute forme de collaboration avec Pierre Salviac", a-t-elle précisé à l'AFP.
Le patron de l'information de RTL, Jacques Esnoux, avait auparavant dénoncé sur twitter la déclaration du collaborateur de la station: "Ton tweet est absolument intolérable. J'y vois un sexisme vulgaire inqualifiable que je condamne". Quelque deux heures après avoir lancé son tweet, M. Salviac s'est excusé sur le réseau de microblogging. "En balançant une vanne, j'ai blessé mes consoeurs. Je leur présente mes excuses et retire mon tweet", a-t-il écrit en ponctuant ses excuses d'un smiley en forme de clin d'oeil.
Le journaliste, âgé de 65 ans, avait fait ses débuts radiophoniques à l'ORTF, puis était passé par France Inter et France Télévisions avant de rejoindre RTL en octobre 2006.Les Farc veulent débattre de l'information pour libérer Langlois
NDLR : Voilà que les FARC et Langlois refont encore parler d'eux. Je les avais oubliés, ce 3 mai ; ils auraient pu attendre l'année prochaine... Comme c'est maintenant un peu de saison, bisous aux FARC et aux journalistes aussi, tant qu'à faire ! Mes procédures dans des prétoires, c'est quasi fini, l'essentiel a été foiré par la justice ou s'éteint depuis la majorité de mon ainée. Et mon ainée est libre comme l'air, depuis septembre dernier. Les magistrats français ne trouveront maintenant plus grand chose pour me faire chier encore, des mois et des années durant ; en théorie. Patience, Langlois, t'es même pas vraiment plus là, on sait ou t'es, chez les FARC, nous n'avons donc pas trop de soucis à nous faire ; tout finira par s'arranger, pour toi aussi
Les Farc veulent débattre de l'information pour libérer Langlois
Reuters, lundi 7 mai 2012 21h36
BOGOTA (Reuters) - Les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) ont réclamé lundi un débat sur la liberté d'informer comme première condition à la libération du journaliste français enlevé il y a neuf jours dans le sud du pays.
Roméo Langlois, correspondant de France 24 en Colombie, accompagnait les militaires colombiens lorsqu'il a été enlevé le 28 avril lors d'un d'un affrontement entre l'armée et les Farc.
"Il faudrait au minimum, avant qu'il ne soit libéré, un vaste débat national et international sur la liberté d'informer", écrit la guérilla marxiste dans un communiqué, sans plus de précisions.
"Les journalistes que les forces armées colombiennes emmènent avec elles (...) ne remplissent pas leur devoir d'informer de manière impartiale sur la réalité, ils manipulent (les faits)".
Les Farc ont diffusé dimanche une vidéo dans laquelle elles confirment avoir enlevé le journaliste français qu'elles qualifient de "prisonnier de guerre".
Luis Jaime Acosta, Marine Pennetier pour le service français, édité par Jean-Philippe Lefief
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Henri Guaino a « un sentiment d'injustice »
NDLR : Entendu sur France Info, c'était plus poignant lorsque Guaino l'exprimait #calimero
06.05.2012 à 20h45, le Monde.fr
Henri Guaino a "un sentiment d'injustice"
Le conseiller spécial de Nicolas Sarkozy Henri Guaino a exprimé dimanche soir "un peu de tristesse" et "un sentiment d'injustice" après la victoire du socialiste François Hollande à la présidentielle.
"Mon état d'esprit, c'est un peu de tristesse. Et puis un sentiment, peut-être, d'injustice parce qu'il (Sarkozy) a accompli quelque chose d'extraordinaire pendant ces quatre années face à la crise", a déclaré M. Guaino sur France 2.
Journée du soutien des journalistes et des commentateurs opprimés
Ce matin, sans même rien en savoir, sur Twitter, je remarquais comme un ultime appel à l'aide et à des « témoins crédibles », émis par Edwy Plenel. Puis je décidais de faire un peu de publicité gratuite pour Médiapart et ses pauvres journalistes, accablés et poursuivis par Nicolas Sarkozy, pour « faux », « fausses nouvelles », etc. Je ne découvrais qu'un peu plus tard, en écoutant France Info, qu'aujourd'hui, c'est la journée de la liberté de la presse, puis que Jupé ou la diplomatie Française nous a fait un petit speech, pour nous sensibiliser à ce qui se passe d'affreux à travers la planète : « Je veux rendre hommage à tous ces journalistes qui payent de leur vie ou de leur liberté l’exercice d’un métier souvent dangereux, au service de la recherche de la vérité, dans des pays déchirés par des conflits violents ou tenus par des dictateurs. Il nous faut saluer le courage de tous ceux qui, partout dans le monde, défendent au péril de leur vie ce droit fondamental qu’est la liberté de la presse et la liberté d’expression, alors que les atteintes à ce droit, universel, essentiel, persistent dans de nombreux pays [NDLR: sauf la France]. »
Pour en savoir plus, pour tester, |
Moi, ça va, on me laisse tranquille pendant cette campagne présidentielle, pourtant qualifiée de violente dans le verbe, par quelques spécialistes. « La faute à la crise », soutiennent certains, elle a le dos extrêmement large ; « la crise » expliquerait à elle seule la virulence de certains discours, requins et réactions. La nuit passée, je consultais les statistiques de mon blog alors que, depuis des mois déjà, je n'ai été ni injurié, ni à aucun moment durablement harcelé par un troll #UMP ou sakozyste. Ca va. Je constate qu'ici, le contenu est toujours parcouru, mais qu'il ne suscite quasiment pas de réactions, comme d'habitude. J'ai un peu tweeté au cours de ces dernières semaines, comme beaucoup ; hormis quelques BL, je n'ai rien « essuyé » de particulier ou qui ne me fasse pas rire aussi. Ce calme, ce bonheur, ça me change franchement de moments parfois très pénibles et si importants pour #UMP et Sarkozy, des périodes de gros Buzz ou, par exemple, la période de la campagne et des élections régionales de 2010. D'une certaine façon, ce calme est pour moi souhaité, voulu, et c'est donc parfait comme ça ; tandis que rien ne retient mon attention ou ne s'accapare mes ressources, mon esprit, je peux vaquer à mes occupations, lectures, promenades, digressions et distractions favorites
Je recommande France Info, une radio vraiment très #LOL. Hier soir, avant le #debat, sur ou pour TF1, Hollande s'était arrêté quelques instants sous une banderole PSA. Ce premier mai, vers 14h00, sur France Info, j'entendais que « l'enjeu », pour Peugeot, est aujourd'hui de développer une relation « moins intime » avec la « population », ces quelques « travailleurs » ou familles qui dépendent encore de ce groupe industriel. Je n'avais pu que rire. Ce jour, peu avant 14h00, toujours sur France Info, j'entendais quelques journalistes ou militants nous reparler de bêtes, de droits des animaux, de corrida, des animaux de nos politiciens aussi. Je n'ai malheureusement pas pu tout suivre. Nous a-t-on reparlé du bichon de Chirac ? Comment va la pauv'bête ? Bien sûr, je sais comme tout le monde que le droit des animaux et des familles, une large majorité du peuple s'en cogne ; il se trame ou se passe toujours des choses plus graves à travers la France et la planète. Non, aujourd'hui 3 mai 2012, je n'oublie pas non plus Christophe Grébet, militant, blogueur déjà condamné, encore trainé au Conseil d'Etat et toujours pourchassé par quelques élus ou partisans #UMP ; pour faire un don à Grébert ou pour lui faire part de votre profonde sympathie, visiter monputeaux.com. Ayez aussi une petite pensée pour le Canard, tant qu'à faire ; Bouygues, manifestement « pas content », a fait appel...
Vraiment, moi, ça va, sûrement aussi bien qu'un Canard qui aurait gagné contre la bétonneuse Bouygues. |
Le #debat d'hier soir, je ne l'ai suivi qu'en pointillés. Plusieurs choses m'ont choqué, par exemple les échanges sur le nucléaire, et particulièrement les explications et précisions à ces sujets de Sarkozy. A ma connaissance, Three Mile Island et Tchernobyl n'ont pas été engloutis par une grosse vague...
Mais j'ai surtout été profondément heurté par l'agité nous parlant de CRA, lorsqu'il répondait à Hollande, martelant que le PS souhaiterait que l'enfermement des irréguliers ne soit plus que « l'exception ». Sarkozy est pourtant avocat de formation (mais plutôt réputé « avocat d'affaires »...) et spécialiste du droit (surtout son droit de récidiver, d'accabler ce ou ceux dont les comportements supposés ou les discours lui déplaisent). Sarkozy n'y comprenait alors rien tandis que Hollande ne perdait pas sa boussole, nous parlant toujours « d'exception ».
J'appelle depuis le 24 avril à voter pour Hollande, contre Sarkozy, afin que le second soit très prochainement expulsé du château. Je n'ai pas changé d'avis ni d'opinion. Ce 6 mai, au second tour, je croiserais les doigts dans l'isoloir, je voterais pour Hollande. Je me ferai injure si je votais aujourd'hui autre chose que contre le nabot.
Marion Cotillard a vu Florence Cassez
NDLR : Bientôt un beau film de plus ! Je le rangerais pas loin de L'affaire Finaly et de Présumé coupable.
LE FLASH > Actualité
Marion Cotillard a vu Florence Cassez
AFP Publié le 01/05/2012 à 22:40, extrait
L'actrice française Marion Cotillard a rendu visite début avril à sa compatriote Florence Cassez emprisonnée à Mexico depuis plus de six ans, a révélé le quotidien mexicain Reforma, citant des sources pénitentiaires et des "proches de l'actrice".
Florence Cassez, condamnée à 60 ans de prison pour enlèvements, qui a toujours clamé son innocence et dont le recours en révision est actuellement examiné par la Cour suprême du Mexique, a confirmé cette information à l'AFP par téléphone. La Française emprisonnée a toutefois démenti l'affirmation de Reforma selon laquelle aurait été évoqué au cours de cette visite un projet de film sur son histoire dans lequel Marion Cotillard jouerait le rôle de Florence Cassez. "Entre Marion et moi il n'a jamais été question d'un projet de film", a assuré la Française à l'AFP.