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Au ministre de cette justice franco-moldave
Cette semaine, je pense que j'aurais le temps de m'arrêter à la Poste. Je devrais également envoyer une copie de ces observations aux assistants de Maître Charles Halter, notaire, tout en les invitant à me communiquer les leurs, s'ils en ont de quelconques à formuler. Mes observations déposées ce 3 mai, à Versailles, sont ici, au format PDF, avec les pièces jointes. Ce qui parvient au juge pour enfant de Nanterre est là, également au format PDF.
Lettre ouverte - au format PDF, avec deux des pièces jointes
Madame Michèle Alliot-Marie,
garde des Vélodromes et ministre de cette Justice franco-moldave,
J’ai fait appel d’une décision du juge des tutelles d’Antony (92) du 15 mars 2010. La cour d’appel de Versailles a convoqué pour ce 25 mai prochain, le greffe me demandant de déposer mes « éventuelles » observations avant ce 4 mai (pièce n° 1).
Ce 3 mai, au greffe de Versailles, je constatais que j’étais le premier ou le seul à déposer des observations. Je constatais également que le dossier avait déjà été transmis au ministère public, il est donc susceptible de formuler bientôt un avis sans même m’avoir lu.
Ce 3 mai, le greffier affirmait qu’il ferait rapidement suivre mes observations tout en m’invitant également à les communiquer au ministère public. Vous trouverez donc, ci-joint, copie de ces observations (pièce n° 2) que j’ai déposées, ce 3 courant, au greffe de la 2ième chambre 1ère section civile de la cour d’appel de Versailles.
Ci-joint, vous trouverez également copie d’une lettre ouverte (pièce n° 3) qui parvient au juge pour enfant de Nanterre. Il devrait bientôt convoquer, pour juillet prochain.
Les documents que je joignais aux pièces n° 2 et 3 seront consultables aux greffes de Nanterre et de Versailles. Ces documents sont également tous consultables sur Internet, je les ai publiés dans mon blog, à l’adresse suivante : http://justice.cloppy.net
Par ailleurs, je vous informe qu'il pourrait y avoir un problème au palais de justice de Paris. En effet, j'ai le sentiment que des services égarent ce que j'essaye de faire parvenir au procureur près ce prétoire (pièce n° 4). Par le passé, celui près le tribunal de grande instance de Nanterre ne recevait pas grand chose non plus.
Cordialement.
P.S. : Je confirme ce que j'écris au juge pour enfant de Nanterre, ma soeur trisomique emmerde maintenant ton ministère public. J'invite les pas contents à trouver un drapeau français.
Pièces jointes, toutes publiées et commentées, parmi d'autres, sur Internet :
1) Une convocation, pour ce 25 mai, journée internationale des enfants disparus,
2) Des observations déposées ce 3 mai 2010, à Versailles,
3) Une lettre ouverte au juge pour enfant de Nanterre
4) Une correspondance de mars dernier, restée lettre morte
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Vers un prix de la Coquille avec deux N
La Société des auteurs et compositeurs dramatiques (SACD) a décerné aujourd'hui le premier prix de la "Bêtise avec un grand C" au député UMP des Alpes Maritimes Lionnel Luca pour s'être "attaqué publiquement" à une oeuvre, le film de Rachid Bouchareb "Hors-la-loi", "sans l'avoir vue". • De source AFP, 07/05/2010. Pour une définition de la bêtise, voir ou revoir les actes d'un colloque de l'OSE France, de novembre dernier ; nous fêtions les 20 ans de la CIDE.
Début février dernier, constatant qu'il n'y avait aucune suite, Madame Muller - voir ma rubrique Affaires - avait sollicité le procureur général d'Aix en Provence, énumérant des dates auxquelles elle pourrait s'être plainte à chaque fois et explicitement de non représentation d'enfants. Madame Muller demandait une intervention du parquet général d'Aix auprès du parquet de Grasse. Elle vient de me communiquer une réponse datée du 30 avril, du parquet général d'Aix.
Madame Muller parle aujourd'hui de huit plaintes déposées en raison de non représentation d'enfants. Elle confond peut être de simples correspondances, des main courantes, des déclarations et de vrais plaintes. Parmi ces huit plaintes, elle pourrait également en compter de nouvelles, déposées depuis le mois de février dernier ?
Dans le peu que Madame Muller me communique, début février dernier, je ne compte que cinq plaintes, dont quatre ont pu être portées auprès du parquet de Grasse. Mais le parquet général d'Aix ne compte ou ou le parquet de Grasse n'a reçu que trois plaintes. Les premières déclarations, correspondances ou plaintes de Madame Muller avaient manifestement été enregistrées ou portées dans le ressort puis ont été adressées au tribunal de Valenciennes (59).
Le parquet général d'Aix en Provence semble aujourd'hui considérer que Madame Muller a porté plainte contre des services de l'Aide Sociale à l'Enfance des Alpes Maritimes (06), du Nord (59), ainsi que contre le père de l'un de ces enfants « placés », résidant dans le Nord (59). Pour sa part, Madame Muller affirme plutôt qu'elle avait porté plainte contre SOS Villages d'Enfants, probablement leur structure de Marly (59). Le parquet général d'Aix renverrait-il maintenant Madame Muller vers Valenciennes (59) ? Ce 11 février 2010, pour ces mêmes « difficultés d'exécution d'une décision de justice », le ministère de la justice (75) renvoyait Madame Muller vers le juge pour enfant de Grasse (06)... et selon Madame Muller, récemment, le parquet de Valenciennes (59) la renvoyait également vers Grasse (06).
Une référence du parquet général d'Aix, 446 A58/10 du 30/4, qui renvoie maintenant vers Valenciennes ?
Il pourrait ne s'agir que de coquilles, de suggestions et d'approximations qu'il faut savoir interpréter, convenablement, comme cela s'impose dans ces milieux. Je réfléchis depuis plusieurs heures à ces divers échanges et affirmations. En l'état actuel de ce dossier, le ministère public semble désigner ou suspecter le père de l'un des enfants de Madame Muller ? A mon avis et selon celui de Madame Muller, cet homme n'est pourtant pas du tout concerné par ces trois à huit plaintes en raison de non représentation d'enfants. En effet, ce père, de l'un de ces enfants « placés » seulement, n'a pas leur garde ; ils étaient d'abord et pendant longtemps chez SOS Villages d'Enfants et ils sont aujourd'hui « éparpillées », en foyer ou en familles d'accueil.
Tout pourrait s'embrumer plus dans les prochains jours, la cour d'appel d'Aix en Provence puis le juge pour enfant de Grasse viennent de convier, eux aussi. Dans ce contexte, Madame Muller redemande encore la consultation du dossier d'assistance éducative tenu par ce juge pour enfant, ses deux plus récentes demandes n'ont pas pu aboutir.
Madame Muller se plaint toujours de ne pas pouvoir consulter les dossiers administratifs de ses enfants ; l'Aide Sociale à l'Enfance (06) semble lui opposer un refus ferme ou faire l'autruche, depuis un an déjà. Madame Muller semblerait maintenant également rencontrer des difficultés pour consulter les dossiers médicaux et scolaires de ses enfants « placés »...
Depuis ce jour, Madame Muller fini enfin par en rire elle-même, ce qui ne pourra que lui faire le plus grand bien.
Point de vue
Le film "Hors-la-loi" de Rachid Bouchareb : les guerres de mémoires sont de retour
LEMONDE.FR | 05.05.10 | 11h56 • Mis à jour le 05.05.10 | 12h44, extraits
Précisant le sens de sa démarche, Lionnel Luca a déclaré le 23 avril 2010 à Paris-Match : "J'ai saisi le secrétaire d'Etat à la défense et aux anciens combattants dès que j'ai eu connaissance du scénario. Celui-ci l'a transmis au service historique du ministère de la Défense (SHD), qui a confirmé que de nombreux faits sont erronés et réinterprétés. Ce que je voulais avant tout, c'est que le film ne soit pas dans la sélection officielle française. Le projet me dérange. Il ne représente pas la France mais l'Algérie, cela me convient." A ses yeux, en somme, le financement de la création devrait dans ce domaine être soumis à un label d'Etat définissant ce qui est ou non "historiquement correct".
[...] Dans un courrier adressé le 15 janvier 2010 au député, Hubert Falco a affirmé que son ministère avait en fait saisi dès le 18 juin 2009 – donc avant l'intervention du député – le service historique de la défense "pour analyser le contenu historique du scénario" : "[Le SHD] confirme qu'un certain nombre d'erreurs et d'anachronismes en parsème l'écriture. Ces invraisemblances, parfois grossières, montrent que la rédaction du scénario n'a été précédée d'aucune étude historique sérieuse. Elles ne manqueront pas d'être relevées par les spécialistes lors de la sortie du film en salles. Au vu de ces éléments, et sous réserve que la version définitive du film n'y apporte aucun correctif, il semble difficile que les pouvoirs publics puissent soutenir un film qui livre de notre histoire une version aussi peu crédible. Je veillerai pour ma part, au nom de la défense de la mémoire qui relève de mes attributions, à ne pas cautionner ce film."
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3 ans et la peau d'un ours
A la grande fête de ce soir, devant le Fouquet's, j'ai baptisé mon tee-shirt avec :
• sur l'avant, une décision politique, rendue en toute discrétion, par le délégué du procureur de Paris,
• sur l'arrière, une décision de la cour de cassation, ignorée par la justice ainsi que par la presse
Mon tee-shirt me servira encore dans un proche avenir. Je vais le porter pour le 25 mai prochain, dans Paris, à l'occasion de la journée internationale des enfants disparus, ainsi qu'à Versailles, la Cour a convoqué pour cette même date.
Ce soir, quelques appareils et caméras se sont arrêtés sur ce tee-shirt. On le verra peut-être dans des vidéos qui seront diffusées au cours des prochains jours, sur la toile et aux infos. On le verra peut-être sur le site de la Télé Libre, leur point rouge était sur place. LCP ainsi que de nombreuses autres caméras étaient également sur place.
Un autre journaliste avec qui j'en ai discuté avait d'abord haussé les épaules. Je lui ai répondu qu'il suffit de décrocher des décisions hors du commun pour qu'ils se défilent tous. Après ma réplique, il a mis sa caméra à son épaule.
L'Intérieur et Morano convient à leur tour
Je viens de recevoir une convoc' de l'Intérieur, pour ce 19 prochain. Je vais téléphoner car je pourrais avoir à préparer quelques documents. Ce sera pour moi une opportunité pour parler à nouveau de diffamation, d'injures publiques ainsi que de diverses accusations calomnieuses que j'ai vu fleurir puis disparaitre au cours des mois passés, sur la toile ? Mais l'Intérieur pourrait simplement souhaiter me redemander pourquoi mon aînée est encore inscrite au fichier des mineurs disparus, deux fois, pour une première disparition, en 2004, puis pour une seconde disparition, en 2005. Selon ce qui me sera présenté et ce qui sera abordé ou non, je refuserais « l'audition », j'exigerais d'être d'abord « contraint ».
Morano aussi convie, demain soir, à Toul. Ce ne sera pas possible, j'ai déjà accepté l'invitation d'Alévêque, devant le Fouquet's. Je rentre de Paris où je me suis fait imprimer un tee-shirt : sur l'avant, je rappelle qu'on ne doit pas commettre des offenses au chef de l'Etat ; sur l'arrière, je rappelle aux juges qu'ils ne devraient pas oublier les règles, ils tendent parfois à se ridiculiser, surtout lorsqu'ils s'efforcent ensuite, en vain, de se défendre ou de se blanchir entre pairs.
En rentrant de Paris, j'ai trouvé un charmant petit français mécanique, un mouton blanc. Lorsqu'on lui tire sur la ficelle, il se met à frétiller. Lorsque toute la ficelle a disparue dans son cul, il ne bronche plus. On peut recommencer plusieurs fois, sa ficelle semble être plutôt robuste. Avant-hier, en rentrant de la synagogue, j'avais repéré Le journal des psychologues ; ce soir, je le rapporte également, pour quelques feuilles spéciales « signalement », « parents d'enfants placés » ainsi que pour « Culture et personnalité au Maghreb ». Je pense que je vais jouer, lire et m'amuser avec tout cela au cours du week-end prochain, je dois maintenant réviser et travailler ma voix, pour bien chanter Mille colombes.
En passant par le portillon du greffe social
J'ai pris le temps de ressortir ma déclaration de pourvoi de la mi-2008, elle est elle-même assez originale, c'est une des nombreuses cerises de ce gros gâteau. La procédure de prise à partie ne s'applique évidemment que dans d'autres juridictions que celle du juge pour enfant, où siègent des magistrats non professionnels. J'avais du déclarer mon pourvoi chez le greffe social, où ces textes s'appliquent, c'est pour cette raisons que j'avais été surpris, en décembre 2008, lorsqu'on m'avait annoncé que l'audience se tiendrait finalement en chambre civile.
J'avais du insister, convaincre, persister et pousser parfois très fort pour arriver tout là haut, en passant par ces lieux, le greffe social. J'avais perçu de très nombreuses réticences dans le cadre de cette procédure, à commencer par celles des huissiers de justice qui ne doivent pas vraiment avoir pour habitude de sommer des juges de juger.
C'était un voyage et un arrêt aujourd'hui inutiles, les magistrats du coin ne veulent pas entendre parler des conclusions qu'on peut en tirer. C'est une décision et procédure parmi d'autres dont ils me prient de ne pas parler, probablement parce qu'en marge de ce voyage précis, une procédure de prise à partie d'un juge pour enfant, un magistrat ou tricheur professionnel, nous avions fini par renouer avec Justine, puis nous avions pu passer l'été 2009 en famille.
Une journée chargée
Cette journée était chargée : couloirs le matin, conférence à la synagogue en soirée et, tout de même, travail au cours de la journée. Ce soir, avant d'entendre le discours du Grand Rabbin Meïr Lau, j'ai encore pu apprécier l'hypocrisie de la Direction de l'OSE France ; Jean-François Guthmann suggérait aux rabins de « collaborer » aussi avec ses services. Les écoles et les magistrats du coin ne collaboreraient-ils pas déjà assez avec les pros de l'OSE France ? Pourquoi ces derniers tiennent-ils tant à s'immiscer dans les relations telles que de confiance et familiales des autres ?
Loulek nous a parlé de l'OSE, d'Elie Wiesel, du camp de Buckenwald, beaucoup d'enfances terribles...
Mes observations ont été déposées ce matin, dans les délais. J'ai appris que le ministère public avait déjà retiré le dossier au greffe, mais ce dernier devrait les faire suivre. Je suis le seul à en avoir versé - pour le moment ; j'ai maintenant l'habitude de voir fleurir des correspondances ou des rapports et s'épanouir des avis en cours d'audience. Je vais essayer de consulter le dossier puis j'aviserais, au plus tard ce 25 ; j'ai théoriquement deux options au moins, la demande de renvoi ou la note en cours de délibéré, même si, en Moldavie française, la pratique est nettement plus aléatoire ou incertaine.
Le greffe m'a invité à faire parvenir également mes propres observations au ministère public ; c'était déjà prévu. Je vais aussi en expédier des copies aux assistants de Me Halter, en les invitant à me faire parvenir très rapidement les leurs. Je pressens qu'il va encore suivre une sorte de procès de con, contre un ministère public qui n'aura rien lu et contre deux lampistes, dont un certain Y..., tout frais sur la scène judiciaire... Mais « en chambre du conseil, les magistrats de Versailles trichent et trompent » pourrait émouvoir, éventuellement dans l'entourage de MAM. « Si t'es pas content, trouve toi un drapeau français » est également susceptible d'émouvoir, peut-être jusqu'au château.
Dans les couloirs de Versailles, un chariot m'a fait sourire et penser à M. Françis Painot. Lui ou ses services ont récemment été accusés de m'avoir communiqué des éléments extraits de dossiers judiciaires de quelqu'un d'autre. Dans un hall, j'ai aperçu des dossiers dont il aurait été facile de s'emparer ou même d'en froisser, mâcher ou brasser vite fait les pièces... J'en profite pour saluer l'étude Fievet-Lafon, l'un de ces avoués m'avait ponctuellement assisté, mi 2008, dans le cadre de la procédure de prise à partie ; pour glisser une requête précise, la représentation était obligatoire.
A gauche, un « placet »
Plus tard, dans la journée, j'ai tout autant sourit en lisant ce qui pourrait être la réponse officielle et définitive de M. Painot, suite à ces récentes accusations farfelues ou calomnieuses. Bien évidemment, il invite à la prudence, sur Internet.
Internet, ce n'est pas plus confidentiel qu'un couloir, tout peut s'y éparpiller ?
Des observations
Versailles souhaite recevoir mes « éventuelles » observations avant le 4 prochain, pour l'audience du 25 mai. J'en ai quelques unes à formuler, je souhaite par exemple « dire » ou « expliquer » que le juge des tutelles ne convoque plus d'audiences et ne me lit probablement même plus, depuis plusieurs années. J'attends ensuite d'entendre des magistrats marteler ou m'écrire que ce genre de décision est aussi réputé contradictoire et également parfaitement motivé ; la deuxième chambre de la cour d'appel de Versailles va très probablement s'en charger, en chambre dite du conseil, une sorte d'étouffoir pour affaires scandaleuses, un espace où trônent des mythographes.
Ajout du 2 mai, tard le soir... J'ajoute une petite phrase, ci-dessous, en italique. Un PDF ; je n'ai plus qu'à les déposer. Je vais être impatient d'entendre le ministère public, Messieurs X et Y, assistants de notaire ; le premier me boude et je ne connais pas les deux autres, des assistants, je n'ai toujours échangé qu'avec Maître Charles Halter.
Ajout du 3 mai au matin... « C/ le Ministère Public » en premier, ça a le mérite d'être un peu plus clair ; il n'est pas neutre dans ces affaires qui concernent ma fille Justine. Est il complaisant ou simplement insouciant ?
L'étude de Maître Charles Halter, notaire, à Saint-Avold (57), s'occupe depuis plusieurs années déjà du traitement de la succession de M. Kurt BULOW, le grand-père maternel de la mineure Justine KANT. Le traitement de cette succession ne progresse pas ou très difficilement.
M. Bruno KANT est l'administrateur légal des biens de sa fille Justine KANT.
En 2004, Madame Carole BULOW, Assistante Sociale de la Dass (en Moselle), corbeau et tante maternelle de Justine KANT a écrit au juge pour enfant de Nanterre (dans le 9-2), « dénonçant » M. KANT. Suite à cela, le juge des tutelles d'Antony (dans le 9-2) a été saisi. M. KANT a du fournir des explications au juge des tutelles.
Début 2005, M. KANT a été accusé d'avoir commis des diligences auprès de l'étude de Maitre Charles HALTER. M. KANT a fourni des explications suite à quoi le juge des tutelles a formulé une plainte auprès de la chambre des notaires.
En 2005, en marge du traitement de la succession de M. Kurt BULOW, le juge des tutelles a suggéré à M. KANT de déposer des plaintes, il venait de s'apercevoir qu'un inventaire d'une autre succession ne pouvait pas être établi et que « inconnu » était intervenu sur des comptes bancaires de la mineure, Justine KANT, ainsi que sur les comptes bancaires de sa mère décédée, Mademoiselle Sonja BULOW. M. KANT a porté plainte auprès du procureur près le TGI de Nanterre. Diverses plaintes de M. KANT sont toutes restées sans suites connues. L'une des plaintes de M. KANT a été « classée d'office » par le parquet financier de Nanterre.
Fin 2005, Maître Charles Halter ayant pu progresser un peu et fournir enfin un inventaire de la succession de M. Kurt BULOW, le juge des tutelles autorisait finalement M. KANT à accepter cette succession, pour le compte de sa fille mineure Justine KANT. Mais peu après cela, il s'est avéré que l'inventaire de la succession de M. Kurt BULOW établi par l'étude de Maître Charles HALTER était non conforme à la réalité juridique (pièce n° 1). Depuis, le juge des tutelles ainsi que Maître Charles HALTER prient encore et systématiquement M. KANT d'accepter cette succession pour le compte de sa fille Justine KANT, même si son inventaire est toujours non conforme à la réalité juridique.
La plainte « classés d'office » par le parquet de Nanterre avait été dépouillée de ses éléments matériels, par un OPJ. En 2006, M. KANT s'en était encore plaint, auprès de Monsieur Nicolas Sarkozy, Ministre de l'Intérieur. Selon le cabinet de ce Ministre, un « examen approprié » pouvait suivre (pièce n° 3) ; malgré des relances auprès du cabinet de ce ministre, M. KANT n'a jamais eu connaissance du résultat de ces investigations.
En mars 2007, après avoir reçu une correspondance de la part de l'étude de Maître Charles HALTER, sans le moindre échange ni aucun débat contradictoire, le juge des tutelles a prêté des « carrences » à M. KANT et a désigné un administrateur ad'hoc pour faire progresser le traitement de la succession de M. Kurt BULOW. Le juge des tutelles a alors désigné un assistant de Maître Charles HALTER.
Fin septembre 2009, M. KANT a écrit au juge des tutelles, en lui communiquant une décision de la cour de cassation (pièce n° 3). M. KANT a le sentiment que cette correspondance a été purement et simplement ignorée par le juge des tutelles. En effet, le jugement de mars 2010 rendu par le juge des tutelles ne fait aucune référence à cette correspondance pourtant reçue le 23 septembre 2009, par le greffe du juge des tutelles.
En mars 2010, après avoir reçu une nouvelle correspondance de la part de l'étude de Maître Charles HALTER, encore une fois sans le moindre échange ni aucun débat contradictoire, le juge des tutelles a désigné un autre administrateur ad'hoc pour faire progresser le traitement de la succession de M. Kurt BULOW. Le juge des tutelles a alors désigné un autre assistant de Maître Charles HALTER.
Depuis mars 2007, il appartiendrait à l'étude de Maître Charles Halter de traiter convenablement la succession de M. Kurt BULOW, avec le concours de la famille maternelle de Justine KANT. En janvier 2010, malgré les contestations et les critiques formulées par M. KANT, la cour d'appel de Versailles rendait un arrêt selon lequel aucun reproche ne peut être fait aux membres de la famille maternelle de Justine KANT, surtout pas à Madame Isabelle CLEMENTZ née BULOW, pasteur d'Uhrwiller et soeur du corbeau, Madame Carole BULOW. Depuis mars 2007, M. Bruno KANT n'a plus aucune responsabilité dans le traitement de la succession de M. Kurt BULOW ; en effet, des assistants de Maître Charles HALTER ont été désignés administrateurs ad'hoc dans le cadre de cette succession.
Mais en mars 2010, Maître Charles HALTER priait encore une fois M. Bruno KANT d'accepter la succession de M. Kurt BULOW, pour le compte de la mineure Justine KANT (pièce n° 4). Or, d'une part, l'inventaire de cette succession est toujours non conforme à la réalité juridique tandis que, d'autre part, un assistant de Maître Charles HALTER est administrateur ad'hoc dans le strict cadre du traitement de la succession de M. Kurt BULOW.
Ce 25 mai 2010, pour ce traitement de la succession de M. Kurt BULOW, M. Bruno KANT demandera que soit désigné un autre administrateur ad'hoc qui ne soit pas un assistant de Maître Charles HALTER.
Ces observations ainsi que leurs pièces jointes sont publiées sur Internet. Ce 25 mai 2010, auprès de la cour, M. Bruno KANT critiquera principalement des décisions du juge des tutelles, surtout celle du 15 mars 2010, objet de cet appel, diverses décisions du ministère public, le travail du ministère de l'intérieur, entre 2006 et 2007, ainsi que le travail de l'étude de Maître Charles HALTER, depuis 2005 au moins. M. Bruno KANT réclamera alors également une audience publique. En chambre du conseil, les magistrats de Versailles trichent et trompent.
L'essentiel figurant déjà au dossier du juge des tutelles, très bien informé, M. KANT ne communique que peu de pièces à la cour :
1) Une correspondance de Me Charles HALTER au juge des tutelles du 5 juin 2006,
2) Une correspondance du 18 juillet 2006 du ministère de l'Intérieur,
3) Une décision du 17 décembre 2008 rendue par la cour de cassation,
4) Une correspondance de Me Charles HALTER du 2 mars 2010
Les pièces n° 1 et 3 devraient déjà figurer au dossier du juge des tutelles. La pièce n° 2 ne devrait pas figurer au dossier du juge des tutelles, ce juge était déjà informé qu'un OPJ avait dépouillé une plainte de M. KANT de ses éléments matériels.
La pièce n° 3 semble être un document « sensible », personne ne s'aventure à la commenter publiquement, pas même l'Elysée. Pourtant, M. KANT a plusieurs fois sollicité Monsieur Nicolas Sarkozy, aujourd'hui Président de la République Française.
La pièce n° 4 du 2 mars 2010 est bien évidemment un élément « nouveau », elle n'a probablement pas été communiquée au juge des tutelles. Cependant, selon M. KANT, si le juge des tutelles le lisait mieux ou entendait encore de temps en temps M. KANT, ce juge aurait pu percevoir que l'étude de Maître Charles HALTER fait un peu n'importe quoi, depuis plusieurs années déjà, et, ce 15 mars 2010, ce même juge aurait très certainement pu rendre une décision un peu différente.
Plaise à la cour...
Lettre ouverte au complice ou pédocriminel du siège
Je ne vais pas attendre la fin mai, une audience à Versailles, puis d'avoir lu l'ultime lettre de cachet que rendra ensuite la cour d'appel. J'ai tranquillement rédigé et vais faire parvenir une lettre ouverte au juge pour enfant de Nanterre. Je suppose que le juge Thierry Baranger, « clinicien judiciaire », est toujours saisi du dossier de ma fille aînée.
Quelques uns de mes lecteurs pourraient encore être scandalisés par ce que j'envoie maintenant à ce magistrat du siège. Je leurs répondrais comme je pourrais répondre à un Mégel, à un Supéri ou leurs soutiens, ces derniers acquiesceraient très certainement : des pros de la Dass ne devraient pas sodomiser les gosses, ce n'est ni merveilleux, ni éducatif.
Ce qui suit est à peine différent des conclusions que je déposais en décembre dernier, à la cour d'appel de Versailles. J'informais ou éclairais alors très bien ces professionnels : « Après avoir plaidé, M. KANT ne se lèvera plus jamais devant aucune Cour ni aucun juge français. » J'assume, tandis que ces cafards se défilent tous ou restent retranchés en chambre dite du conseil. En janvier dernier, je pensais qu'il allait y avoir un changement ; mais je n'ai alors été convié qu'à prendre un thé dans l'entresol du palais de justice de Paris... je venais de commettre une offense au chef de l'Etat français.
Je pourrais lui en écrire ou lui en communiquer plus, éclairer mieux le juge pour enfant. Mais il n'y a pas urgence ni aucun impératif ou nécessité, la quille ou la fin de ce « placement provisoire », c'est en fin 2011. Je n'ai plus qu'à imprimer cette lettre et ses pièces jointes, en deux exemplaires ; dans les prochains jours, je m'arrêterais à la Poste.
Madame Muller a également publié un petit bilan de ses affaires en cours, dans son blog SOS Parents Abusés ou Villages de Marly : Serait-ce de l'acharnement ? Avec d'autres, je continue à la soutenir dans ses démarches, je l'aide à résister ainsi qu'à agir un peu. Cette autre histoire et pratiques « professionnelles » présentent d'étranges similitudes avec les pratiques de l'OSE France et celles de l'ARSEA. Quant aux récents discours de Laurence Ferrari, ils me rappellent beaucoup ceux qui ont été promus par Enfance et Partage, en novembre 2007. Peut-on parler d'impostures ?
Mais ces derniers temps, en attendant des audiences ou d'autres conférences et sorties, je préfère me distraire. Je me suis détaché du flot de l'actualité pour me consacrer à plus utile mais également à beaucoup plus futile aussi. Depuis quelques jours, je regarde souvent pousser mes plantes en me demandant comment exploiter des vieilleries russes.
Lettre ouverte
Monsieur le juge pour enfant,
Par le passé, Madame Carole Bulow, le corbeau de cette histoire, avait affirmé que j'aurais un jour acquis une maison « à Rambouillet », d'une manière douteuse, voire ignoble (pièce n°9). A l'époque, les juges du secteur courraient déjà comme de beaux lévriers après un leurre. Aujourd'hui et malgré mes multiples remarques, je pense que cette correspondance de ce corbeau figure toujours à votre dossier, parmi de nombreuses correspondances et avis ou rapports de nature et aux fonds assez similaires : calomnieux et diffamatoires, à mon encontre. Je pense aussi qu'aujourd'hui, de grands naïfs et des magistrats - dont vous même - courent toujours.
Il y a peu, le juge des tutelles rendait une lettre de cachet (pièce n° 1) en faveur de l'étude de Maître Charles Halter. J'ai fait appel de cette décision ; la cour d'appel a convoqué pour le 25 mai prochain. Je me plaindrais alors de l'inexistence du contradictoire chez le juge des tutelles. Je critiquerais encore une fois le travail de l'étude de Maître Charles Halter. Je sais cependant que cette démarche est vaine ; je connais aujourd'hui très bien les coutumes et les usages de la magistrature de ce pays. La Cour soutiendra le juge des tutelles et blanchira l'étude de Maître Charles Halter, notaire.
Je ne sais pas si vous avez pu lire les conclusions écrites que j'ai déposé, en décembre dernier, à la cour d'appel de Versailles ; si elles vous intéressent, vous les trouverez facilement sur Internet. En octobre 2008, le juge pour enfant Xavier Serrier, un indéboullonable ou, selon votre jargon, un inamovible, sautait de son siège (pièce n° 6) ; j'avais engagé une procédure de prise à partie contre ce magistrat professionnel ; vous pouvez avoir oublié ou vous pourriez tout simplement nier ce passé, tout ce qui s'est tramé depuis, comme certains de vos compères pairs qui trônent à Versailles. Depuis octobre 2008, vous avez eu de nombreuses opportunités de me lire. Vous m'avez aussi reçu et entendu. Vous avez également lu, reçu et entendu ma compagne.
En mars dernier, je vous informais que ma fille Justine semble souffrir de vertiges, depuis de nombreuses années maintenant (pièce n° 7). Selon votre correspondance du 22 mars 2010 (pièce n° 2), vous paraissez m'avoir compris. Cependant, selon cette même correspondance, je constate que vous avez simplement transmis aux gorets de l'ARSEA. Eu égard aux informations que je vous communiquais, je suis surpris que vous ne leurs ayez pas réclamé une note d'information. Mais par le passé, alors que Justine était placée dans un établissement de l'OSE France, le juge pour enfant de Nanterre et Versailles n'en auraient pas fait beaucoup plus (pièce n°10).
Dans votre correspondance du 22 mars 2010, vous me suggériez de contacter l'ARSEA afin, probablement, de leurs parler de ces problèmes de santé dont se plaint ou parle parfois ma fille Justine. Entre juin 2008 et septembre 2009, j'ai bien essayé de discuter avec les gorets de l'ARSEA. Depuis, je n'ai plus aucun contact avec ces professionnels. Eux-même ne me sollicitent ni ne m'informent jamais. Je n'ai plus l'intention d'échanger quoi que ce soit avec ces gens là. Je ne me fais cependant aucun soucis pour ma fille Justine. Le pasteur d'Urhwiller, la soeur du corbeau, tiers digne de confiance, son avocat ou cafard, Maître Delphine Roughol, ainsi que vous-même, bourreau juge pour enfant, veillez aux intérêts supérieurs de mon aînée. D'autre part, selon la cour d'appel de Versailles, ma fille Justine est aujourd'hui en âge de se faire entendre, de préciser son point de vue et ses opinions. D'ici quelques temps, même si je ne « collabore » pas, vous pourrez donc confirmer ou infirmer les problèmes de santé dont parle ou se plaint parfois Justine.
La mère de Justine est décédée en 1999. Dans une correspondance du 3 décembre 2009 (pièce n° 5), vous me rappeliez que je suis toujours détenteur exclusif de l'autorité parentale sur ma fille aînée Justine - j'adore le cynisme et l'hypocrisie, surtout celui de professionnels de la justice ou de la Dass, n'hésitez pas à m'en renvoyer de pareilles. Dans les faits dont vous ignorez peut-être tout, ce sont d'autres que moi qui exercent l'autorité parentale sur ma fille Justine, depuis 2004 au moins. A l'occasion, vous pourriez envisager de me déchoir pour ne plus m'accorder qu'un simple droit très occasionnel et approximatif de surveillance sur ma fille aînée, ce serait plus conforme à ce que je peux encore exercer - car j'apprécierais aussi, parfois, un peu plus de franchise, d'honnêteté et de sincérité de la part de la magistrature de ce pays.
En février dernier, selon France Soir (pièce n° 3), Jean-Marie Bockel, secrétaire d'Etat à la justice, a « enfin insisté sur le soutien à l'exercice de l'autorité parentale, en constatant que les mesures prises à Mulhouse avaient eu des résultats `' en demie teinte ", certains parents étant `' totalement déconnectés " . » La chancellerie elle-même pourrait déjà s'être fait une raison : mener des expérimentations ou confier des missions à l'ARSEA, ce n'est peut être pas la panacée. Mais vous êtes indépendant ; vous pouvez encore vous obstiner ou persister et vous référer toujours à ce que des gorets vous rapporteront ainsi qu'à ce que le pasteur d'Uhrwiller vous expliquera. Vous pouvez bien évidemment faire suivre également la présente aux services concernés de l'ARSEA, en Alsace, soit ceux d'Ostwald, dirigés par Monsieur Thomas Resch ; mais je pense qu'ils n'en feront pas grand chose.
Vous pouvez savoir que, depuis 2005, mes paroles et écrits en public comme sur Internet ont fait l'objet de très nombreuses critiques ou complaintes en chambre du conseil, à huis-clos. Fin mai 2008, le ministère public en la personne du substitut Laeticia Felicis, le pasteur d'Uhrwiller et le juge pour enfant Xavier Serrier m'avaient supplié de supprimer mon blog ; en 2009, la cour d'appel de Versailles confirmait en tous points ; en janvier 2010, la cour d'appel de Versailles confirmait à nouveau. Mon blog est toujours en ligne ; récemment, deux huissiers de justice ont matérialisé tout son contenu (pièce n° 4). Pour le moment, je n'ai nullement l'intention de faire disparaitre un jour mon blog d'Internet. La présente lettre ouverte à votre attention est publié dans un billet dont le titre est le suivant : « Lettre ouverte au complice ou pédocriminel du siège ».
Dans un billet du 3 avril 2010, je publiais peut-être tout aussi intéressant que la présente, « Un bilan », une synthèse grossière, après sept années « d'assistance éducative ». Je vous en joins l'essentiel (pièce n° 8). Vous remarquerez peut-être qu'avec d'autres, je soutiens une mère qui est elle aussi priée de faire disparaitre son blog ; depuis juin 2009, elle subit de plus en plus de pressions et vient de recevoir une ultime lettre d'intimidation ou de mise en demeure. Un petit procès pourrait suivre à l'occasion duquel elle est susceptible de déterrer de très vieux textes, de 1881, relatifs à la liberté d'expression, ainsi que de plus récents, de juin 2004, relatifs à la confiance dans l'économie numérique.
Vous souhaitant bonne lecture, je vous prie de croire, Monsieur le juge pour enfant, en l’assurance de mes plus respectueuses salutations.
Copie à Madame Michèle Alliot-Marie,
Garde des Vélodromes et Ministre de la Justice
P.S.: Ma soeur trisomique t'emmerde, pas qu'un peu, et elle emmerde tout autant tes pairs et ton ministère public. Si t'es pas content, trouve toi un drapeau français.
Pièces jointes, toutes publiées et commentées, parmi d'autres, sur Internet :
1) Une ordonnance du 15 mars 2010 du juge des tutelles,
2) Une correspondance du 22 mars 2010 de Monsieur Thierry Baranger,
3) Un coupon de presse taillé dans France Soir du 19 février 2010,
4) Un extrait d'un constat d'huissier du 15 mars 2010,
5) Une correspondance du 3 décembre 2009 du juge des enfants,
6) Une correspondance du 28 octobre 2008 du juge des enfants,
7) Une correspondance du 8 mars 2010, au juge pour enfant,
8) « Un bilan », d'un billet du blog http://justice.cloppy.net,
9) Une photo d'une lettre du corbeau, au dossier du juge pour enfant,
10) Une main courante de janvier 2005, un document « confidentiel »
Versailles convoque
Par le passé, il s'écoulait parfois des lustres avant des audiences à la cour d'appel, puis suivaient des renvois. Aujourd'hui, je trouve cette cour de plus en plus pressée de me convoquer pour me débouter tout en me recommandant d'aller me faire « mieux conseiller » - à quoi j'ai donc fini par répondre plus franchement, avec ce son de Lilly, « Fuck You (very much) ».
Ce 25 mai, tout sera un peu différent, dans une autre chambre, mais encore à huis-clos... Le pasteur d'Uhrwiller ne devrait pas être convié, mon ainée et son cafard non plus. Je fais appel d'une décision du juge des tutelles et, pour changer, je ne critiquerais pas des gorets du social, mais le travail de l'étude de Maître Charles Halter, notaire, à Saint Avold (57). J'ai 15 jours pour communiquer « d'éventuelles » observations et pièces, pour l'audience à suivre.
Je rapporte encore quelques notes du colloque du jour, Le sociologue dans la cité, à l'EHESS. Selon certains discours du jour, la sociologie semble être en crise ; actuellement, des économistes et leurs modèles fiables et indiscutables emporteraient les préférences des dominants. J'en rapporte également un petit Que sais-je ?
Je ne regrette pas d'avoir écrit en Suisse, à Kipubli SàRL. J'envisage maintenant d'écrire bientôt à Google France. Je pense aussi reécrire au juge pour enfant de Nanterre, peut être début juin, après cette audience, à Versailles. Sous peu, je vais aussi reécrire au parquet de Paris ; je veux le relancer et porter de nouvelles plaintes, cette fois-ci, contre X.
Un bilan
J'ai dressé un petit bilan, une synthèse grossière, après sept années « d'assistance éducative ».
• Justine n'est à nouveau plus là ; elle est peut-être encore inscrite au fichier des mineurs disparus, depuis la fin 2004 ; je pense que je vais en reparler un peu, vers ce 25 mai prochain, à l'occasion de la journée internationale des enfants disparus ; je dois être prudent, je pourrais choquer des parents ou proches qui s'en remettent généralement à la justice ainsi qu'aux médias pour retrouver les leurs ou, parfois, pour sensibiliser des pédocriminels ;
• A présent, la petite s'en fout, elle s'est fait une raison et ne réclame plus sa grande soeur ou elle est fâchée ;
• Aujourd'hui, je m'en fous, moi aussi ; on ne peut pas s'opposer à un pouvoir discrétionnaire, irrespectueux des lois, des règles et des jugements ou arrêts rendus ; en décembre dernier, un juge de Versailles a confirmé que cette mascarade se prolongera jusqu'à la fin 2011, il n'y a donc plus qu'à attendre ; je pense que l'arrêt rendu en janvier dernier, par la cour d'appel de Versailles est définitif, je n'ai pas déclaré de pourvoi et je ne pense pas que le ministère public l'ait fait ;
• J'attends une décision de la cour de cassation, suite à mon pourvoi contre la décision rendue en mai 2009, par la cour d'appel de Versailles ; c'est sans importance, la cour d'appel et le juge pour enfant vont l'ignorer ; la décision rendue en décembre 2008, par la cour de cassation, a aussi été ignorée par les juges ; c'est à présent sans la moindre importance ;
• Je viens d'écrire à nouveau au juge pour enfant de Nanterre ; Thierry Baranger a fait suivre aux gorets de l'ARSEA ; je pense que Justine a des problèmes de santé, depuis la fin 2004, mais que tout le monde s'en fout, les juges en premier ;
• J'ai fait appel de la dernière décision du juge des tutelles ; le notaire du pasteur et du corbeau n'a rien foutu, depuis plus de trois ans ; un jour, peut-être, Justine percevra quelque chose de la succession de son grand-père maternel ;
• La succession de la maman de Justine pourrait s'être en grande partie vaporisée ; les juges s'en foutent ;
• Je n'ai aucune nouvelle de la Caisse d'Epargnes région Lorraine ; j'hésite à reécrire à cette banque, un peu « offshore » ; elle m'a souvent fait des réponses bizarres lorsqu'elle daignait répondre à mes correspondances ; les juges s'en foutent ;
• La maman de Justine est décédée très subitement, hospitalisé aux urgences, en 1999 ; en 2002, un juge d'instruction a rendu un non-lieu, concluant qu'il n'y avait pas de raisons de penser qu'il y aurait eu un homicide involontaire ; il y a peu, mon recours contre l'Etat ou Hospitalors, une clinique privée, a été étouffé par la justice ; un expert n'a pas pu se faire communiquer le dossier médical, retenu ou égaré par l'instruction, voir par la Poste ; les juges s'en foutent ;
• La ville d'Asnières a été condamnée par le tribunal administratif ; un jour, il suivra encore une audience, ma compagne a fait appel, elle espère obtenir encore un complément substantiel de salaire et d'autres indemnités ;
• Personne ne bronche ; le pasteur et le corbeau font l'autruche ; l'OSE France et l'ARSEA font aussi l'autruche, comme la chancellerie ; en octobre dernier, j'ai fini par envoyer des suppositoires à l'Elysée ; j'ai maintenant écrit plusieurs fois au château ainsi qu'à sa chancellerie, envoyé vraiment n'importe quoi aussi depuis la mi-2007 ; toutes mes correspondances sont restées lettres mortes ; mon envoi à l'Agence France Frousse ou Presse - Fuck You (very much) - est également resté lettre morte ; en janvier dernier, j'ai fait part de mes voeux pour 2010, je n'ai pas eu de retour non plus ; les juges s'en foutent également ;
• J'attends toujours des nouvelles du parquet de Paris, en décembre dernier, j'avais porté plainte auprès de ce procureur, en raison d'injures publiques, sur Internet ; mais je vais lui écrire encore ; je n'attends plus de réponse de la part du parquet de Nanterre... la Poste a perdu tout ce qu'il m'a envoyé ;
• Depuis quelques temps, j'essaye de faire faire le ménage dans les images de Google ; j'attends maintenant une réponse de Kipubli, une société Suisse ; il faut vraiment que j'arrête de jouer avec unblog.fr, je viens d'y remarquer un bug ou une faille Wordpress qui compromet la confidentialité des billets protégés par mot de passe ;
• Ces jours-ci, j'ai lu que l'ASE des Hauts de Seine ou des Yvelines, Monsieur Francis Painot, voire même la police pourraient avoir un jour à fournir des explications parce que, dans mon blog, j'aurai publié des documents peut-être extraits d'un dossier judiciaire de quelqu'un d'autre ; cette affaire là rappelle étrangement l'affaire Pécresse-Delattre-Poniatowski (Lefebvre qui n'aime pas les gens méchants nous parlera plutôt de l'affaire et d'un après Soumaré) ;
• Mon blog est toujours en ligne, sans « suppressions », malgré de nombreuses pressions et diverses tentatives d'intimidations ; depuis ce 12 mars 2010, je l'ai fait matérialiser par deux huissiers de justice ; le blog de cette mère de Vallauris est toujours en ligne, sans « suppressions » non plus, malgré toutes les pressions qu'elle a elle-même subie ; Je pense avoir à peu près migré de la 2.4.0rc2 à la 3.3.3-stable de b2evolution, les liens sont tous réparés ; d'après Google, qui aspire, tout va bien ; s'il subsistait un problème avec un billet, merci de m'en faire part ;
• J'ai pu voter, même si des représentants du TGI et de la préfecture de Nanterre m'avaient refusé sur la liste électorale ; c'est un juge d'Antony qui m'avait finalement autorisé à voter quand même ; évidemment, je vote mal, pas pour le Parti ;
• J'ai très souvent nommé des héros ; j'ai ajouté des fonctions de recherche, ils se retrouveront plus facilement ;
• J'ai encore trois ou quatre sorties prévues, pour 2011 ; je pense avoir largement contribué à l'occasion du soixantenaire de la DUDH, du cinquantenaire de la cinquième ainsi qu'à l'occasion des vingts ans de la CIDE ; les juges s'en foutent ;
• En janvier dernier, dans l'entresol du palais de justice de Paris, le délégué du procureur de la République m'avait prié de me tenir tranquille ; je crois que ce procureur m'a pris pour un con ; j'attends toujours des commentaires sous ce billet ainsi qu'à la suite de ces vidéos mais je crois que tout le monde s'en fout, les juges en premier ;
• La plante qui avait été bouffée par le chat va très bien ; je rassure Arno, le chat va bien, lui aussi ;
• j'attends l'Arche de mars 2010 ; j'aurais de la lecture et Ach Goood aura un joli chapeau ;
Miss Money (à droite) et Ach Goood à Versailles, en mai 2009
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C'est le printemps !
Certains de mes lecteurs - il y en a - ont pu se demander ce qui se tramait ces jours-ci, à quoi je m'affairais. J'ai entrepris de faire faire le ménage, dans Google. Depuis la semaine passé, il y a déjà eu du changement. En effet, Monsieur Emeric Lorentz semble s'être enfin résigné à supprimer une rubrique ou une catégorie de son blog ; le résultat des recherches, sur Google, est maintenant différent. Aujourd'hui, un huissier de justice est encore parti fureter sur le net.
Ce soir, au téléphone, le collaborateur de cet huissier semblait être pas mal amusé. Je me demande si ces maisons lisent les pages qu'on leurs demande d'aspirer pour les déposer à leurs minutes. Il faut que j'arrête de solliciter cette étude, cet huissier précis, je le fais user ses stylos et je fatigue son poignet, je lui en ai fait signer des pages et des pages... On comprends vite pourquoi d'autres huissiers envoient plutôt des CDROM, un média certainement plus adapté.
A présent, lorsque je fais des recherches avec nom nom et prénom, sur Google, les photos de la femme et des enfants de Monsieur Lorentz n'apparaissent enfin plus. Mais pour cette recherche, il reste encore Monsieur Lorentz, parfois des références à une « affaire Bruno Kant », surtout des liens vers un blog et des diatribes dans lesquels je suis occasionnellement désigné, nommé, parfois accusé, souvent injurié. La plaisanterie a maintenant bien assez durée.
Vu sur google, ce 30 mars au soir... la « personne », en haut à gauche, n'est pas Bruno Kant
Cet ultime constat va me parvenir dans les prochains jours, par la Poste. J'attends aussi l'acheminement puis une réponse à un courrier RAR qui parvient au service juridique d'un hébergeur, OVH, ainsi qu'à Kipubli, en Suisse. La société Kipubli SàRL semble être le propriétaire et responsable technique de unblog.fr.
Des avocats et des juristes vont me dire que OVH et Kipuli ne sont pas les bons interlocuteurs pour un différend de cette nature ; je connais la chanson, ce ne sont que des prestataires techniques, pas les éditeurs. Cependant, dans un billet du 28 mars, Emeric Lorentz écrit que « son administrateur a été prévenu ». Ayant lu les CGU de unblog.fr, je suis assez surpris de lire que Monsieur Lorentz bénéficierait de telles faveurs ; son « administrateur » le soutiendrait ? Selon ces CGU, « Kipubli interdit formellement les utilisations suivantes pour le blog : … - La création massive par le Membre de blogs ou de pages au contenu similaire et répétitif dans le seul but de promouvoir un blog, un site ou un service dans les moteurs de recherche est interdite. » De source Google :
17 mars 2010 par eclma
moi on ne me dit pas de fermer ma gueule même ci c'est de mon propre compte Mr alors la pb
Mr c'est vous qui la faite a au faite merci pour l'affaire bruno kant j'ai eu 1000 visiteur qui on
regarder et puis on l'eu votre mail il nous on ...
http://christel.unblog.fr/
Des lecteurs vont vouloir me parler d'une histoire de tarte aux pommes en me lançant que la justice aurait bien mieux à faire... Mais je ne me plains pas d'un simple « salope » marmonné un jour, dans une boulangerie. Je me plains de troubles qui persistent depuis des mois et qui pourrait encore persister des années durant : lorsqu'on fait des recherches me concernant, il apparait vite le portrait d'Emeric Lorentz, puis, pour les plus curieux, ses diatribes, à mon encontre.
Depuis quelques temps, Emeric Lorentz semble considérer que « j'aurai des documents sur eux, sur leurs procédures en cours ». Monsieur Lorentz serait même récemment « allé de ce pas voir avec le conseil général des fuites au sein de leurs services ». Fin décembre dernier, j'avais encore quelques doutes. Je pense à présent que cette copie est conforme. Quel crédit accorder au blog d'un individu qui pourrait, par ailleurs, être poursuivi pour faux et usages de faux ? Mon nom est donc maintenant mêlé à de telles histoires ou affaires... Pourvu que Monsieur Lorentz soit allé se plaindre très vertement, auprès du Conseil général du 9-2. Il aurait même déposé plainte contre x et une enquête suivrait maintenant son cours ; je pense qu'on pourrait surtout, un jour, bien en rire avec quelques colistiers de Valérie Pécresse.
Ce 28 mars, abusant encore d'une certaine impunité ou d'une sorte de droit à la raillerie en public, Emeric Lorentz a surligné un extrait de l'un de mes propres billets, paru le 5 octobre 2009 : « Le Président de SEFCA Puteaux était un moment bien présent à la cour d'appel de Versailles, lorsque la chambre des mineurs remarquait elle-même, en public, que la situation de ma propre famille allait en s'améliorant, que renouer, voire même un retour de Justine à la maison pouvait être envisagé. » J'ai comparé ce passage précis à mon propre billet, cet extrait est conforme.
Je me demande ce que Monsieur Lorentz entend démontrer à partir de cet extrait de mon blog. Quiconque étant un tant soit peu familiarisé avec la procédure d'assistance éducative et ses voies de recours sait qu'à la cour d'appel, rapidement, les renvois sont négociés en présence du public. Le fond des affaires n'est abordé que plus tard, en l'absence du public, à huis-clos ou en chambre du conseil. En février 2009, Emeric Lorentz, sa femme et leur avocate avaient simplement été conviés à la même date que moi ; nous nous sommes, pour ainsi dire, simplement croisés dans les couloirs. En février 2009, le pasteur d'Uhrwiller ne s'était pas déplacé. Monsieur Lorentz aurait-il discuté alors avec Maître Roughol ?
Je ne vais finalement pas répondre encore ni tenter d'imposer un droit de réponse sur http://eclma.unblog.fr. Ce serait accorder bien trop d'importance aux publications ou aux élucubrations d'Emeric Lorentz tandis que celles des juges du coin m'occupent déjà bien assez. Par contre, je vais reécrire au Proc' près le Tribunal de Grande Instance de Paris.
Dans mon propre blog, j'ai un problème mineur depuis un changement de version. Certaines URL ou liens se terminent par un tiret. Il faut que je supprime ces tirets pour que ces billets soient à nouveau aisément lisibles par tous et par ceux qui débarquent ici, depuis Google. J'ai peur d'avoir à modifier des contenus et des liens vers plus de 500 billets...
~/temp$ gunzip * ~/temp$ grep "que Lefebvre nous propose de tout" * ... « un après Soumaré » ?', 'un-fanfaron-de-l-ump-propose-l-un-apres-', NULL, NULL, NULL, '' ... ~/temp$ grep -c "\-', NULL, NULL, NULL" * 520 ~/temp$ grep -c "\-\">" * 141
Les juges, la critique, le patho et le respect du « justiciable »
On vient de me signaler l'existence d'une communication de 2005, des premiers présidents des cours d'appels et publiée sur le site Internet de la cour de cassation. Le contenu de cette communication est succulent, pathétique même. Il serait peut être temps que je rédige et publie un projet de billet que j'avais par le passé : Un grand corps schyzophrène ?
J'ai maintenant un peu de lecture toute fraiche, cette communication déjà ancienne, de premiers présidents, des esprits sublimes et de grandes âmes, puis je mettrais ce billet à jour. Les affaires de Madame Muller, une humble, une petite, ont un peu progressées ces jours-ci ; je profiterais de ce même billet pour dresser un petit bilan ? Mes propres affaires ne progresseront plus beaucoup maintenant, ça me fait du temps libre ; des juges, des souteneurs ou des pitres en robe s'en sont déjà beaucoup occupé, un pasteur, des travailleurs sociaux, des gorets, et un notaire s'affairent toujours...
J'ai fait appel de la plus récente décision du juge des tutelles ; le dossier passe à Versailles. Pour ce genre d'ordonnance, un référé pouvait s'imposer ; selon le juge des tutelles, il y aurait « urgence ». Mais de toute façon, ces juges me déboutent à chaque fois, confirmant toujours en tous points, c'est là l'usage. Il n'était donc pas utile d'en faire plus. Je vais y aller pour faire du tourisme ; d'ici quelques temps, j'en reviendrais simplement avec un peu de papier en plus.
En raison de mouvements sociaux, je n'ai pas pu trouver Libé du jour. C'est dommage, je ne pourrais pas lire la tribune de Besson. Par contre, j'ai mis la main sur un Parisien, son édition du Val de Marne, un numéro spécial tarte aux pommes. La journée était chargée ; ce matin, je suis aussi passé à la Poste ; je fais de nouvelles « expériences ».
Je suis aussi en train de corriger de petits bugs ou plutôt des incompatibilités dans mes données. Je viens d'installer une nouvelle version, pour ce blog ; ça m'occupe. S'il y a un problème avec un billet, merci de m'en faire part.
Bulletin d'information n° 627 du 15/10/2005, extrait
COMMUNICATION
Le respect du justiciable
Réunion des premiers présidents des cours d'appel
à la Cour de cassation, le 28 juin 2005
rapport présenté par :
- Claude Nocquet, conseiller à la Cour de cassation
- Michèle Colin, vice-présidente au tribunal de grande instance de Paris
- Sylvie Ménotti, conseiller référendaire à la Cour de cassation.
Une dizaine de cours d'appel ont formulé des observations ou présenté des suggestions pour que soit effectivement amélioré le "respect du justiciable", l'un et l'autre termes étant pris dans leur acception la plus large.
Ainsi, même si le "justiciable" s'entend, en principe, de la seule personne convoquée en justice, les cours d'appel ne se sont pas limitées à cette "clientèle captive", et se sont penchées sur tous les usagers de la justice, volontaires, involontaires ou contraints, dont les enquêtes montrent qu'ils se répartissent en trois grandes catégories :
- d'abord, les institutionnels, comme les organismes de crédit ou d'assurance, qui génèrent une part importante des contentieux civils et commerciaux, dont ils connaissent les règles et les rouages ;
- ensuite, les citoyens normalement insérés, qui ont un niveau de culture suffisant pour accéder au droit et au juge, comprendre un peu... et critiquer beaucoup ;
- enfin, les personnes en difficulté, qu'elles soient immigrées, illettrées, malades, âgées, handicapées..., dont la "différence" appelle une attention et des attentions particulières.
« Merci de la pub », me lancent des infréquentables de Puteaux
Depuis de longs mois déjà, sur Google et dans un blog, il est question d'une « affaire Bruno Kant » et dans la rubrique images de Google, il en apparait d'assez bizarres pour qui me connait, pour qui a lu un Maxi de mars 2008 ou pour qui a vu Faits divers, le mag, début juin 2008. Ces jours-ci, quelqu'un est arrivé dans mon blog en recherchant un « droit de réponse » ; j'y songe, mais je ne sais pas encore ce que je pourrai faire insérer maintenant, dans le blog de SEFCA Puteaux ou Puteaux 2. Chaque chose en son temps. Cette semaine, un huissier de justice a matérialisé quelques pages de plus sur Internet, dont les CGU de unblog.fr, une sorte de service franco-suisse, en .fr mais avec une immatriculation au registre du commerce de Genève, un ovni de cette nature ; un nouveau constat me parvient, par la Poste.
Sur Google, la « personne », en haut, à gauche, est Monsieur Emeric Lorentz. Sur Google, on peut également reconnaitre sa femme. Dans leur blog et comme en réponse à l'un de mes articles de septembre 2009, ils me remercient « de la pub ». Lorsque je les lis, il m'arrive de penser qu'ils ne comprennent pas grand chose au fonctionnement d'Internet et de tous ces outils ou services en ligne. Comme je l'écrivais déjà en septembre dernier, je ne peux que mettre les lecteurs en garde, leur blog est à lire avec une très grande prudence.
Dans leur billet du 12 courant, Monsieur Lorentz affirme que je ne les aurai jamais aidé. En juillet 2008, lui et sa femme lançaient un appel aux médias. A l'époque, ils semblaient être plutôt ravis de me lire et de communiquer avec moi. J'avais largement contribué à diffuser leur appel, que ce soit dans mon propre blog ou même via d'autres sites ou moyens, par exemple et pour n'en citer que deux, sur la liste internationale « euro dads&mums » ou sur le site de Psychasoc, dans le forum. A l'époque, je pense que Monsieur Lorentz et sa femme avaient beaucoup profité de mes connaissances, de mon travail, de mes moyens et de ma notoriété. Aujourd'hui, je profite probablement plus et assez régulièrement de billets d'humeur de Monsieur Lorentz, de ses élucubrations, contradictions et injures, de ses écrits mensongers, diffamatoires et calomnieux, de la « publicité » qu'il se fait tout seul et par laquelle il cherche manifestement à me porter préjudice. Je pense également que Monsieur Lorentz est inscrit et milite au Parti, le « bon » parti, celui de notre chantre.
Par le passé, un autre blogueur, vraiment très médiatique, avait aussi aidé la famille Lorentz à faire connaitre leurs difficultés. Dans leur billet du 12 courant, SEFCA Puteaux 2 semble également casser un certain Grébert... qui serait mon « copain » ? Je me demande ce qu'il en pense. Il m'est bien arrivé d'écrire à Christophe Grébert mais il ne m'a jamais répondu. A sa décharge, ce blogueur de Puteaux a souvent eu d'autres soucis que celui de me répondre, par exemple, d'obtenir d'abord gain de cause dans des tribunaux puis, un jour, l'exécution de décisions de justice.
La parution de Maxi - on voit cet article de mars 2008, sur Google - avait beaucoup ennuyé le juge pour enfant de Nanterre et la cour d'appel de Versailles également. J'avais commenté cet article de Maxi dans mon propre blog, au moment de sa parution. Fin mai 2008, alors que j'étais suivi par des journalistes de France 2, le substitut Laeticia Felicis m'avait fait l'honneur de sa présence, à l'audience. Ce substitut m'avait surtout prié de ne pas autoriser France 2 à faire son reportage, pour Faits divers, le mag. A l'époque, après la parution de Maxi et de mes commentaires, le tribunal pour enfant et le pasteur d'Uhrwiller n'avaient pas souhaité s'exprimer pour ce reportage diffusé ensuite, par France 2. Monsieur Lorentz copiait alors mes échanges et écrits, il lisait mon blog et ne se plaignait absolument pas des mails qui lui parvenaient.
« Le ridicule ne tue vraiment pas », peut-on lire aujourd'hui, dans un billet du 12 courant, publié par SEFCA Puteaux 2.
Je profite de ce billet pour saluer Les Enfants de l'Orchidée, Patou, la nonne... et pour les rassurer, j'informe ces orchidées que je commente, critique et heurte toujours autant, où que j'aille. Un jour, je lirais La diplomatie pour les nuls.
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Ca bouge encore
Il fallait donc juste insister, relancer, ressasser, faire appel, etc, contester et houspiller à nouveau, lourdement. Le juge pour enfant de Nanterre pourrait avoir relevé mon erreur de plume dans ma correspondance qui lui parvenait ce mois-ci. C'est depuis l'automne 2004 que Justine « souffrirait », se plaint ou parle occasionnellement de ces vertiges.
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Sarkozy et sa Moldavie française « irréprochable », « exemplaire » même
Ce soir, j'ai encore beaucoup sourit en écoutant notre chantre nous parler de ses grands projets, pour la France. Je me marrais tout autant, hier, en lisant une dépêche qui m'apprenait que, selon le nouveau procureur général de Paris, François Falletti, le parquet n'est pas « aux ordres » ; répondait-il à Rachida Dati ou aux scribouillards d'Entreprendre ? J'ai souvent lu et perçu une réalité bien différente de celle qu'on vient de nous dépeindre. Mais s'il faut y croire...
J'ai le sentiment de comprendre de mieux en mieux l'insistance du parquet et des juges du secteur, ils m'ont très souvent prié de cesser de m'exprimer et de ne plus solliciter des journalistes : « s'il vous plait, pas de scandale ! »
D'une interview de Rachida Dati, parue en mars 2009,
dans le mensuel Entreprendre