Mot(s) clef: Lise
« Faites un don en confiance ! »
Vu sur le site de l'OSE France : « Don en confance », « Respect zone ». Il doit s'agir d'une blague
Faites un don en confiance! http://t.co/PbFhYNxeBr #ASE #éducspé #shoah
@gouvernementFR @DILCRA c'est une blague?
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— Bruno Kant (@bkant) 21 Avril 2015
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Norbert de Top chef condamné pour avoir diffamé son père
NDLR : Etranges, ces #journalistes, qui s'imaginent qu'on renouerait à l'occasion de tels procès, dans les couloirs des tribunaux... après ce genre d'histoire, un passé pareil, dépeint par Norbert, au gré de ses déclarations et multiples imprudences, pour M6, la presse people, des médias. « On ne choisit pas sa famille... » Ces affaires auraient plutôt pour réputation de finir de distendre et de rompre tous liens, lorsqu'il en subsistait. « C’est un rêve d’enfant. Je voudrais bien partager des moments avec lui. Se parler d’homme à homme, de père à père. C’est la plus grande carence de ma vie. » Après 20 ans, « vingt ans de silence », Norbert n'a toujours pas tourné la page ? J'ai le sentiment que ces ensembles de textes sur la vie privée, sur « la diffamation », ainsi que les limites ou restrictions qui s'appliquent à chacun ainsi qu'à la presse, aux médias, en général, doivent en emmerder plus d'un.
Pontoise (95300)
Ma ville, Val-d'Oise, Actualités
Norbert de Top chef condamné pour avoir diffamé son père
Frédéric Naizot | 16 Avril 2015, 18h00 | MAJ : 16 Avril 2015, 20h31, le Parisien
Norbert le cuisinier de Top chef avait évoqué dans une interview à « Voici » les circonstances dans lesquelles son père avait choisi son prénom qu’il n’aime pas. Il y raconte que celui-ci, sous l’emprise de l’alcool, aurait oublié celui initialement par sa mère en arrivant à l’état civil.
Ce qui lui a valu d’être condamné ce jeudi par le tribunal correctionnel de Pontoise. Les poursuites avaient été engagées par son père qu’il ne voit plus depuis vingt ans et qui a réclamé 30 000 € de dommage et intérêt lors de l’audience de février dernier.
Le tribunal a estimé que le jeune chef médiatique de 34 ans s’était bien rendu coupable de diffamation, tout comme l’hebdomadaire people. Les deux prévenus ont été condamnés à une peine d’amende délictuelle de 1 200 €. Les magistrats ont toutefois revu assez largement à la baisse les dommages et intérêts réclamés par le plaignant. « Voici » et Norbert Tarayre sont condamnés à verser solidairement la somme de 2 500 € au titre du préjudice moral. Les deux prévenus devront aussi verser chacun 1 250 € pour les frais de justice.
Procès Moog : « tous les clignotants étaient au rouge »
NDLR : C'est encore une actualité qui me fait repenser à la disparition subite de la mère de ma fille aînée, en 1999, aux urgences, puis à la disparition ou la destruction de son dossier médical, vers 2008, alors que les procédures dans les tribunaux étaient encore assez loin d'un terme... Manifestement, lorsque le personnel d'astreinte a décidé de ne pas se déplacer jusqu'à la clinique ou au CHU, il peut parfois bien suivre un petit procès. Et manifestement également, que les pathologies soient assez rares, difficiles à cerner, mais graves, ou beaucoup plus banales et diagnostiquées, les chances de survie dans ces services démunis sont occasionnellement assez faibles. Méfiez vous des services d'urgences, autant que des tribunaux de ce même pays, surtout lorsque tout clignote
Procès Moog « Tous les clignotants étaient au rouge »
Aujourd'hui, 14:03, l'Alsace, par Geneviève Daune-Anglard Vu 280 fois
Alsace, Justice, A la Une, Strasbourg
Le début du procès du Dr Raphaël Moog qui comparaît devant le tribunal correctionnel de Strasbourg pour avoir involontairement causé la mort de Maxime Walter, 15 ans, en septembre 2008 a été consacré au rappel des faits et à l'interrogatoire du prévenu.
Il en ressort que le médecin d'astreinte aux urgences pédiatriques du CHU de Strasbourg Hautepierre le 21 septembre 2008 n'a pas pris les bonnes décisions au regard du tableau clinique présenté par Maxime Walter, qui est mort deux jours plus tard après avoir vécu un véritable calvaire. Au centre des débats, les décisions prises par le chirurgien, à distance et par téléphone, de ne pas opérer l'adolescent. Comme l'a résumé la présidente Sophie Thomann « la prise en charge par les pompiers et le Samu a été correcte et efficace. Le diagnostic a été porté très rapidement y compris dans sa gravité à l'arrivée aux urgence pédiatriques ». Ce diagnostic étant une fracture de la rate avec une forte hémorragie intra-abdominale. « Le traitement non opératoire privilégié par le Dr Moog pouvait être envisagé au début, reprend la présidente, même si deux collèges d'experts ont estimé qu'il n'y avait que 17% de réussite vu la gravité de l'hémorragie, le Dr Moog aurait dû se déplacer selon tous les experts, pour évaluer la situation, prendre une décision collégiale et mettre une surveillance étroite en place. Tous les clignotants étaient au rouge ».
Mais le médecin, pourtant d'astreinte, ne s'est pas déplacé avant la fin de l'après-midi...
Délibéré le 29 mai
La « diffamation », ce piège à cons, pourrait donc poser problème à quelques journalistes. Je commence ce billet en notant qu'un avocat du milieu des « pères grues » a été mis en cause par ce dernier, via les ondes de Europe 1. L'information a pu être prise très au sérieux par les journalistes comme par l'Ordre des avocats de Paris. Dans le cadre du contradictoire, cet avocat avait pu réagir pour Europe 1 ; il dénonçait « un complot antisémite, puis un complot orchestré par des ténors du barreau. » Il avait aussi réagit sur Twitter ; depuis ce week-end, son compte semble avoir été suspendu, fermé ; il y réclamait un droit de réponse, semblait exiger deux heures d'antenne sans nous préciser de quoi il souhaitait encore nous parler, dommage...
Je viens d'acquérir « Faire justice soi-même, Etude sur la vengeance », un collectif paru aux PUR, en 2010. Dès la quatrième, on peut être tenté d'en offrir un exemplaire à notre ex-première dame : « le citoyen voit son désir de vengeance condamné comme une réaction affective privée prohibée. » En se penchant sur le droit en vigueur ainsi que sur la jurisprudence des gifles, on comprend que Valérie Trierweiller finira désapprouvée, condamnée. En s'y penchant mieux, on y lira que l'excuse de provocation figure encore dans l'article 33 de la loi du 29 juillet 1881 de la liberté de la presse. Plutôt que de baffer Mohamed Rizki, qui s'est senti humilié, blessé au plus profond de son fragile et petit être, Valérie Trieweiller aurait du se contenter de lui répondre, voir de l'injurier. En terrasse d'un café Parisien, pour Rizki, l'effet d'une bonne et courte réplique en retour pouvait être similaire à celui d'une gifle bien mérité.
J'avais trouvé « Faire justice soi-même » suite à des échanges récents, sur Facebook. Le sujet traité sous cet angle particulier de la « vengeance » m'avait intéressé. Dans notre société, « se faire justice » comme « faire justice » est prohibé ; « se venger », n'en parlons même pas. Ecrire, s'exprimer et publier n'est pas encore interdit, même si l'avenir s'annonce assez incertain... « Faire sans la justice ? », c'est l'idée de pas mal de pères, de quelques uns de leurs chantres ou qui traverse leur nébuleuse ; ce n'était pas la voie que j'avais choisie, je fréquente d'ailleurs des tribunaux, depuis des années. La contribution de Aurélie Fillod-Chabaud pour ce collectif aux PUR s'étend justement sur des théories d'une association « de défense des droits des pères » pour laquelle aurait probablement pu parler ou plaider Me Axel Metzker ; en tous cas, Aurélie Fillod-Chabaud nous parle bien de théories d'un complot #genre qui serait « matricenté »...
J’oublie « Faire justice soi-même », ou ces théories farfelues et les développements sur la « vengeance » pour en revenir à mes propres crimes, théorisés il y a longtemps, par Sade, par Sartre... J'oublie à nouveau ces « pères grues » ou leurs milieux et soutiens pour noter également que l'avocat Hubert Delarue a été mis en examen pour « usage de faux ». « C’est une offense à la justice ! », s’est-il emporté. Un faux, donc ; « Mais comment pouvais-je le savoir ? », s'est indigné cet avocat. Il a reçu le soutien de l’association des pénalistes, qui ont communiqué : « L’avocat auquel des pièces sont remises ne peut être tenu personnellement responsable de leur authenticité ». Ils devraient encore s'exprimer, ce lundi ; je suppose qu'ils vont « résister », « se défendre ». C'est à l'aide juridictionnelle que les #avocats n'ont jamais le temps, ou c'est toujours ? Puis-je en conclure déjà que les #avocats ne font que brasser du vent autour de pièces qui leurs sont communiquées ? Et que font les juges de ces pièces et argumentaires ?
En mai 2014, il me parvenait donc copie d'une requête de Cedric Giancecchi, un généraliste bien implanté dans le secteur de Metz. En le lisant, j'ai rapidement compris que le juge aux affaires familiales ou le JAF de #Metz allait être extrêmement tolérant, qu'il accepterait toutes sortes d'insanités et d'outrances à ce dossier, une demande de pension alimentaire que lui présentait ma fille aînée, une majeure. Par deux fois, le JAF de Metz me l'a depuis confirmé ; ce JAF ne souhaite ou ne peut pas appliquer les textes relatifs à la liberté d'expression dans les prétoires, manifestement celui relatif à la suppression d'écritures non plus ; le JAF envisage de se déclarer incompétent, c'est ce qu'il m'a dit, ce 13 mars, et de considérer simplement que la contestation des écritures de Cédric Giancecchi relèverait exclusivement du pénal ; je note bien cette opinion ou position, pour une éventuelle suite de cette procédure, tel que l'appel... Interrompre le cours de la procédure civile pour agir préalablement au pénal était une stratégie qui ne m'intéressait pas ; trop long, trop coûteux, et surtout, tellement trop hasardeux, sinon susceptible de me renvoyer tout simplement vers le JAF et au civil, déjà saisi.
Dès juin, je répondais à Giancecchi, en communiquant des observations. En août, il me parvenait une « courte réplique » qui m'a permis de mieux cerner ce qu'il avait dans le ventre et dans son encrier. Dès l'été 2014, je choisissais de traîner Giancecchi sur d'autres terrains ou la voie qu'il avait retenue, celle de la diffamation non publique, auprès du JAF. J'ai donc rédigé des écrits et rassemblé des pièces que je versais au dossier du JAF tout en faisant parvenir copie de tout ou partie à d'autres destinataires. De la diffamation non publique auprès du JAF, nous glissions dans le champ plus confus et vaste de la diffamation publique et non publique. C'était une bonne idée ou stratégie, qui semble avoir porté des fruits ; ce 13 mars, à l'audience, j'apprenais en tout cas que Giancecchi a déposé son mandat car je l'avais « personnellement mis en cause » ; après mes écrits, discours et publications, donc. Je vais le laisser se dépatouiller avec l'Ordre des avocats et le parquet général de Metz, avec le Ministre de la justice et le Républicain Lorrain aussi ; il pourra leurs expliquer que mes critiques étaient assez sérieuses pour qu'il se retire, mais trop peu pour qu'ils s'y penchent ? Il s'est retiré de l'affaire, mais il restent les écritures de Giancecchi, des affabulations, palabres, grossièretés et calomnies, toujours au dossier du JAF ; je vais me concentrer au fond, sur la « demande » de ma fille aînée, qu'elle a maintenue.
Ce 13 mars, pour l'audience, je pensais arriver seul ; la procédure aurait pu s’éteindre. Lorsque le JAF a appelé l'affaire, une avocate est apparue et s'est constituée pour la requérante, ma fille aînée. Ca m'arrange ; j'aurais été ennuyé si la requérante s'était représentée en personne, je préfère qu'elle soit assistée par des « professionnels » ; quelle que soit l'issue de cette affaire, personne ne pourra me lancer que la requérante était ou finissait dépourvue. La suite pourrait maintenant se révéler assez simple. Ce 13 mars, à l'audience, la requérante a reformulé une « demande » très légère, de 600€ de pension alimentaire, mais sans rien exposer de sa situation personnelle actuelle et récente, ou ce qui contribuerait aux motivations d'un jugement qui lui serait favorable. Dans une correspondance de fin janvier, je parlais déjà d'un abus de droit... De surcroît, il y a eu adoption simple, de fait, par les époux Clementz ; j'estime que si une telle « demande » de 600€ pouvait être justifiée, elle serait à soumettre en premier à sa famille maternelle, à ces époux... Je vais attendre maintenant le délibéré du JAF, qui doit être rendu le 29 mai prochain.
Au sortir du prétoire, j'avais très soif. J'ai d'abord déambulé dans Metz, à la recherche d'un distributeur. J'ai trouvé un DAB rue Serpenoise, où je me suis installé en terrasse d'un café... face au Républicain Lorrain ! Je n'avais pas prévu de reparler à des journalistes ; ils ont toujours d'autres choses à nous exposer. J'en ai finalement rappelé un, puis j'en ai profité pour visiter et pour discuter également avec un journaliste de la rédaction de la rue Serpenoise. Le Républicain Lorrain est Charlie, mais sa rédaction ne jouit pas des mêmes protections, on y entre comme dans un moulin...
Le premier journaliste est susceptible de publier un papier sur « les difficultés des pères », vers fin mai ; je lui ai rappelé l'article récent de Causette #52, « les pères ont les boules », à quoi j'ajoutais « et la bourse ». Au second, j'ai également exposé toutes les difficultés auxquelles les membres de ma famille et moi-même avons été confronté au cours des années passées ; il a été surpris ou déçu car je ne recherche pas à renouer avec ma fille aînée ; il s'attendait peut-être à recevoir un papa en larmes et désespéré, sujet certainement vendeur... Si des journalistes souhaitent produire des papiers pour faire bien chialer dans les chaumières, je leurs suggérerais de contacter plutôt Valérie Dubois ou Mathilde X - qui ne m'a pas répondu. Je n'entretiens pas de relations avec des primitifs, des obscurantistes, des affabulateurs, des déséquilibrés, des fragiles, des réacs, et je n'envisage pas de rétablir une relation avec ma fille aînée, si mal éduquée, très mal élevée par des magistrats, des travailleurs sociaux, sa famille maternelle, et de surcroît, vraiment mal représentée ou défendue par des avocats. Par le passé, tout en m'intimant de tourner la page, d'en faire le deuil, ces derniers se sont obstinés, acharnés, et ont rompu, anéanti cette relation ; aujourd'hui et pour longtemps encore, j'ai mieux à faire que de « réparer » ou rétablir une relation sur fond d'un tel et lourd passif ; s'y est ajouté cette « demande » de pension alimentaire, peut-être une sorte de « peine complémentaire » après des années « d'assistance éducative »...
Je pense avoir vraiment mieux à faire de mon temps libre. Au café, rue Serpenoise, le hasard m'a fait discuter un long moment aussi avec Joseph - Jo pour les intimes. Il se plaignait de la psychiatrie, m'expliquait que depuis 35 ans, il subissait le tourniquet ou les tourments des permissions, fugues, périodes de libertés et d'enfermement, qu'il en a marre. Il m'a parlé de son traitement, trop lourd, disait-il, qui lui est injecté s'il le refuse. Il contestait le diagnostic des psychiatres, qu'il estimait de plus en plus et anormalement chargé après toutes ces années. Il a ajouté qu'il finirait par réagir violemment, même si ce n'est pas du tout ce qu'il souhaite ; puis nous avons parlé de l'UMD, ce trou du cul ou le bout du monde de l'univers carcéral, de ce qu'il encourt s'il dérape. J'ai suggéré à Jo de se rapprocher d'une association, il en existe de sérieuses, mais il n'a pas Internet, pour des recherches ou lectures... Je lui ai expliqué qu'une fois enfermé, il pourrait saisir le juge des libertés, et avec un avocat, pour commencer, demander une contre expertise psychiatrique. Le juge des libertés, il en avait entendu parler ; « c'est nouveau », disait Jo.
Chez le JAF, à Metz, pour l'audience de ce 13 mars, il ne s'agissait que de tourisme. J'y passais les mains dans les poches, équipé pour la route, rien dans mon sac (sauf savon, rasoir - électrique - et graisse à chaine), principalement pour soutenir mes propres écrits, pour écouter ainsi que pour discuter, ou pour réagir aussi, lorsque nécessaire. J'ai surtout profité de deux beaux jours à moto ; à l'aller, via la Lorraine, puis au retour, via les Ardennes ; le soleil et quelques gros moucherons était de la promenade ; mais vivement qu'arrive le printemps, pour des températures moins mordantes.
Une petite pause, et ça continue. Par ici, on respire mieux qu'au TGI de #Metz :-) pic.twitter.com/8FzjiL1fLK
— Bruno Kant (@bkant) 13 Mars 2015
Enfants placés (en Suisse) : un site internet pour raconter leur histoire
NDLR : A chacun sa Mémoire, ses histoires ou difficultés, ses témoins... « Ob du 30 Jahre alt bist oder 90 Jahre ».
Enfants placés: un site internet pour raconter leur histoire
02.03.2015, 15:20 - Suisse Actualiser
Actualisé le 02.03.15, 16:33, Le Nouvelliste(.ch)
Mémoire
L'Université de Zurich a créé un site un internet - www.meet-my-life.net - pour permettre aux anciens enfants placés de raconter leurs récits de vie.
Les anciens enfants placés de force pourront désormais publier leurs récits de vie sur Internet. Une plate-forme a été créée par l'Université de Zurich à l'attention de ceux qui désirent faire part de leurs expériences. Des étudiants aideront les personnes qui ne se sentent pas à l'aise avec les ordinateurs.
Le nouveau canal de diffusion doit permettre de consigner par écrit le plus grand nombre possible de ces histoires qui se transmettent oralement, afin que le public puisse en prendre connaissance. Il vise également à soutenir la recherche scientifique.
Ce projet à but non lucratif entend empêcher que de nombreux souvenirs ne sombrent dans l'oubli. Beaucoup ne figurent en effet que sur des ordinateurs privés ou n'ont même pas été transcrits, lit-on dans un communiqué publié lundi.
La plate-forme ne nécessite que des connaissances rudimentaires de l'informatique. Les anciens enfants placés qui rencontreraient malgré tout des difficultés recevront de l'aide d'étudiants de l'Institut d'anthropologie sociale et de science de la culture empirique (ISEK).
Le site Internet prévoit d'assister la mémoire de ses utilisateurs via une liste de questions. Celles-ci doivent contribuer à ramener à la surface des événements oubliés.
Source : ATS
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« Outreau, l'autre vérité » : malaise autour d'un documentaire
Comme souvent, souffler d'abord | Ces médias, journaux et réseaux dits sociaux sont consternants. Pour ce 3 mars 2015, les journalistes du Figaro nous resservent des exposés sur les fragilités de bon nombre, exposés qui ne feront qu'alimenter encore les rumeurs des plus débiles. « La faute à Internet, la faute aux ados, qui relayent et croient tout ! » En juin 2011, au Grand Journal de Canal+, Luc Ferry accusait un ex ministre après avoir lu un article du Figaro magazine : « vous avez un épisode qui est raconté d'un ancien ministre qui s'est fait poisser [attraper] à Marrakech dans une partouze avec des petits garçons » ! Jean-Pierre Rosenczveig compte parmi ceux qui ne sont pas épargnés. Lui-même a été agressé - verbalement - en septembre dernier, par un groupuscule bien imprégné par ce qui bruisse sur la toile. Les faits ont été rapportés par le Parisien, ce journal et la victime donnant par la même occasion corps à la rumeur. « C'est la première fois que je me fais agresser, souffle Jean-Pierre Rosenczveig, c'est tout à fait désagréable. Mais au moins, ça me permet de coincer ceux qui me diffament », disait-il... |
Le net est depuis toujours prolixe. J'ai pu bien approfondir à nouveau les sujets précédents, notamment sur Queиel+ et chez Alain Soral, chez Mediapart aussi, dans leurs blogs ; mais je ne m'étends pas plus dessus. Je ne m'étends pas davantage non plus sur la crédibilité de nos médias traditionnels. J'ai vraiment mieux à faire que de me distraire avec pareilles salades et les milieux qui les cultivent, je laisse le soin aux journalistes de les traiter mieux
Le fameux documentaire de Serge Garde sur Outreau, ou « l'autre vérité », est à nouveau d'actualité. Je ne sais pas s'il a été diffusé à la télévision ; il parait au format DVD, ce 3 mars 2015. Il avait fait crier très fort Karine Duchochois, fait réagir Eric Dupond-Moretti également. J'ai évidemment passé commande, et j'ai très hâte d'en rire plus. Puis il devrait bientôt suivre un ultime petit procès, à Rennes, ou l'opportunité d'en pleurer et de se tordre, de rire, encore
Visiter http://thebobs.com | Sur Twitter, j'ai remarqué que quelques uns ont inscrits leurs sites ou blogs aux BOBS 2015, un « concours international de renom organisé depuis 2004 par la Deutsche Welle pour soutenir des blogueurs, militants et journalistes qui s’engagent par le biais d’internet en faveur de la liberté d’expression et des droits de l’Homme ». Par curiosité, j'y ai également inscrit mon propre site, http://justice.cloppy.net. Là bas, pour ce concours, je n'ai pas su faire le choix entre « Changement social », « Arts et médias » ou « Favori du public » de langue française... « Une attention particulière est accordée aux sites qui apportent leur contribution au débat public en analysant et commentant les événements contemporains », peut-on y lire. « En plus de ces 17 catégories du concours, la Deutsche Welle décerne un Prix de la Liberté d’expression. Ce prix distingue une personne ou une initiative qui, dans le monde numérique, s’engage de façon particulière en faveur du droit fondamental à l’expression libre. » « L’expression libre », c'est à dire, le droit de publier, de raconter vraiment tout et jusqu'à tout à fait n'importe quoi, comme c'est assez l'usage à Puteaux ou ces alentours, dans les journaux ou sur Internet aussi, ou comme de coutume également, dans beaucoup de tribunaux français ? D'une façon ou d'une autre, ce que j'ai produit et publié au cours des 10 ou 15 années passées doit aussi avoir sa place à ce concours. Il est inutile de me lancer que mon blog n'a aucune chance à ces BOBS 2015, ou que ce que j'exprime n'est que très impopulaire. Je sais bien que pareils contenus et idées agacent ou froissent énormément de monde Non, je ne me fais pas d'illusions, et je devrais plutôt dire que le vote, les avis de #lesgens ou du public, de tout ce qui grouille et clique, je m'en cogne, ainsi que du vote du jury. Lorsque je lis certains ragots ou commentateurs, sur le net, au sujet d'affaires dites « de familles » ou concernant des enfants, franchement... Quant aux avis, opinions et les « papiers » de certains « professionnels » sur le thème de ces mêmes histoires ou « difficultés d'ordre privé », n'en parlons surtout pas. |
Cinéma
«Outreau, l'autre vérité»: Malaise autour d'un documentaire
Publié le 06.03.2013 à 00:00
Mis à jour le 06.03.2013 à 11:00
20 minutes, par Caroline Vié, l'essentiel
Serge Garde dérange avec son documentaire Outreau, l'autre vérité. Cette affaire d'abus sexuels sur mineurs est considérée comme un fiasco judiciaire qui s'est conclu en 2005 par l'acquittement de treize accusés, déclarés innocents au terme de longs mois de détention provisoire.
[...] On aurait aimé que son argumentation soit plus solide quand il remet en doute l'innocence d'anciens prévenus qui ont déjà beaucoup souffert. Certains parlent de révisionnisme devant ce documentaire offrant davantage de questions que de réponses et laissant une impression de malaise généralisé.
M Culture
"Outreau, l'autre vérité" : un avocat de l'affaire dénonce un documentaire "malhonnête"
Le Monde.fr avec AFP | 05.03.2013 à 17h54 • Mis à jour le 05.03.2013 à 19h38
Le célèbre avocat pénaliste Eric Dupond-Moretti s'est insurgé, mardi 5 mars sur Europe 1, contre un documentaire sur l'affaire d'Outreau qui sort mercredi 6 mars dans les salles, le qualifiant d'"absolue malhonnêteté".
Outreau, l'autre vérité, donne la parole à une vingtaine d'acteurs ou témoins de l'affaire, parmi lesquels deux enfants victimes, des avocats ainsi que Fabrice Burgaud, qui défend son travail controversé de juge d'instruction dans ce dossier. Le réalisateur Serge Garde affirme apporter "un autre regard" dans ce film, qui se veut "un décryptage d'une manipulation de l'opinion publique", outre une dénonciation du rôle des médias. Il estime que l'affaire a fait l'objet d'une "instrumentalisation par le pouvoir politique dans le but de supprimer la fonction de juge d'instruction".
La suite, sur le Monde...
« Les méchants font la loi... des séries »
On lit de tout, sur les réseaux comme dans les journaux, et fréquemment n'importe quoi aussi, entre deux lolcats. Ce n'est plus AFP qui soutiendra le contraire, cette agence qui vient de nous annoncer la mort de Martin Bouygues...
Du supplément au Parisien n° 21919, 27/5/2015 | Sur un fake du jour, j'ai repéré le Parisien magazine du week-end : « Ripoux, trash et méchants ; Les salauds triomphent dans les séries télé ». « Avocats louches, flics criminels, infirmières droguées... Les scénaristes de télé créent de plus en plus de personnages sans foi ni loi. [...] Ce sont simplement des sales types, des anti-héros chez qui le vice prend le pas sur la vertu. » Je ne veux pas savoir où ces auteurs vont puiser leur inspiration ; j'en lis, j'en grince, j'en ris et j'en étudie moi-même déjà bien assez. Selon le Parisien, dans un essai paru chez Payot, Vincent Colonna, ancien élève à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (ça ne s'invente pas), nous explique que « la loi et le droit sont omniprésents », que nous n'avons donc plus à nous embarrasser de la morale. Je suppose que cet essayiste n'a jamais mis les pieds dans un prétoire, et qu'il n'a jamais lu ou écouté non plus des travailleurs sociaux, des psys, des éducateurs... |
Hier, après avoir découvert deux coupons de presse, de la Dépêche, puis de France Dimanche, j'ai envoyé quelques bouteilles à la mer, des mails, des tweets, afin d'entrer en relation avec Mathilde X. Si mes bouteilles lui parviennent, elle me contactera peut-être. Son affaire ou ses propres « difficultés familiales » m'inspirent, m'intéressent beaucoup ; ceux qui me suivent sur Twitter ont pu s'en apercevoir. Après de premières recherches, j'ai constaté que l'association Espoir CFDJ à laquelle elle s'oppose était pendant un certain temps présidée par le fameux juge de Bobigny, Jean-Pierre Rosenczceig, personnage que je connais bien pour l'avoir souvent lu et croisé, par le passé.
Ce magistrat - aujourd'hui honoraire, à la retraite - aura-t-il à faire face bientôt à de nouvelles difficultés ? Selon son CV, il était au conseil d'administration avant de présider Espoir CFDJ... Je lui avais moi-même déjà posé quelques difficultés, elles sont sommairement exposées dans mon blog, ici et là. JPR en avait surtout essuyé d'assez conséquentes avec le scandale Cheval pour tous. J'en discuterais volontiers avec Mathilde X ; elle-même pourrait m'exposer un peu mieux les siennes, autrement en tous cas qu'au travers du filtre sibyllin et souvent approximatif des journaux.
Mathilde X se dit médecin. Des mots tels que éthique et déontologie devraient donc avoir un sens pour elle, des serments tels que celui d’Hippocrate également. Je me ferais un plaisir de lui décrire de quelle façon les juges de Nanterre ainsi que de la cour d'appel de Versailles ont « protégé » ma fille ainée, comment ils ont « protégé » Sébatien, le petit fils de mémé Mireille. Je pourrais lui parler de l'OSE France et de l'ARSEA Alsace, de quantité d'autres choses encore, de psychiatrie, par exemple, ou de sujets plus méconnus. Je pourrais même lui parler de Valentine et d'Arthur, des « difficultés personnelles » ou du « divorce » de Valérie Dubois, de nombreuses autres affaires encore. Pourvu que mes bouteilles parviennent à Mathilde X, puis qu'elle me contacte, et enfin, qu'une discussion avec elle soit possible... Elle même, présumée criminelle et très dangereuse, pourrait ne pas avoir envie du tout de me parler ; d'abord parce que je suis un homme, potentiellement autant suspect et dangereux sinon pire coupable qu'elle
Quoi que décide Mathilde X, je suivrais son affaire et ce que nous rapporteront encore les journaux. Selon la Dépêche, elle serait aujourd'hui représentée par Mes Maisonneuve et Dupont-Moretti, talents qu'il est inutile de présenter. Ces derniers pourraient avoir des surprises s'ils n'ont qu'une expérience de pénalistes ; chez les JAF et le JPE, c'est du « civil », un espace d'infra-droit qui peut s'avérer jusqu'à profondément inique, très éloigné des divers idéaux que les « professionnels » de ces milieux ont pour coutume de nous dépeindre, de nous rabâcher. Pour Mes Maisonneuve et Dupont-Moretti, la première des difficultés pourrait consister à saisir le juge, le JAF ou le JPE ; que feront-ils si le juge n'a pas envie de les recevoir ? L'autorité de choses jugées ou viciées pourrait leurs valoir de sérieuses difficultés également ; la France est réputée ne jamais accorder de révisions, ce qu'on perçoit très bien au « civil ».
« Il n’y a point de plus cruelle tyrannie que celle que l’on exerce à l’ombre des lois et avec les couleurs de la justice, lorsqu’on va, pour ainsi dire, noyer des malheureux sur la planche même sur laquelle ils s’étaient sauvés. » • Considérations sur les causes de la grandeur des Romains et de leur décadence, Montesquieu, 1721
« Quand les situations n'entrent pas dans le cadre des nouveaux modèles de réussite, quand les enfants ont des réactions et des attitudes qui ne ressemblent pas aux images de `'l'enfant du divorce" forgée par notre société, ceux qui se tournent vers la justice pour qu'elle dise la norme et tranche un conflit de droit ne rencontrent qu'une institution désemparée. Faute de savoir répondre à leur demande, la justice ne peut que mettre en oeuvre tous les moyens possibles pour étouffer les différends. » • Le démariage. Justice et vie privée, Irène Théry, Odile Jacob, 1993
Départ de Lili : « en une heure tout était fini »
Ils sont bizarres, ces journalistes, la télévision aussi. Depuis des années, la presse et les journaux sont truffés d'allégations susceptibles d'embarrasser des rédactions, susceptibles de leurs valoir des procès. Qu'est-ce que j'expose de si particulier pour qu'ils soient toujours à ce point frileux et réticents lorsque je m'adresse à eux ?
Récemment et après avoir longuement discuté avec lui, un journaliste m'avait suggéré de lui faire parvenir la décision que rendra le JAF de #Metz, après mi-mars. J'en suis à me dire que je ne la lui communiquerais probablement pas. A quoi bon faire un tel effort et gaspiller encore le coût d'un affranchissement ? Je venais de lui faire parvenir un ensemble d'éléments, des développements sur plus de 15 ans, avec de très nombreuses références à des décisions rendus par des tribunaux, par des cours d'appel ainsi que par la cour de cassation. Lui faudrait-il encore du papier...
Je vais utiliser mes enveloppes et mes timbres pour d'autres choses. Il faut que j'écrive à nouveau au JAF de #Metz. En novembre dernier, il m'a demandé quelques documents pour son dossier. Je veux l'informer que ça ne suivra pas.
« Lili revera sa maman dans 15 ans où au bon vouloir du papa », peut-on lire sur Facebook... Patience. 15 ans, ça va finir par passer ; vite. C'est à peu près ce qu'on m'avait lâché, vers 2005. « Et alors ? Vous la retrouverez plus tard. Elle est avec sa famille maternelle, c'est bien. Elle reviendra vers vous lorsqu'elle sera majeure. »
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Des expertises d'un « niveau cours préparatoire »
NDLR : J'avais failli louper cet article sur les « travaux » de Régine Labeur, ou sur ce qui peut faire durablement autorité dans pas mal de prétoires de ce pays, les opinions de « psychologues » ainsi que celles de vrais charlatans... En juin 2013, j'étais occupé par d'autres choses que ces lectures là ; figurant au mois de février 2015, le court paragraphe, à la suite, complètera très bien mon billet récent sur Les cahiers de l'EFPP n° 20... Ethique et travail social. Ce que j'ai publié au cours de ce mois de février 2015 constitue encore un ensemble bien chargé ; et comme le plus souvent, je ne remarque aucun commentaire, pas la moindre réaction, ni ici, ni ailleurs ; ou alors, les bruits et leurs échos ne me parviennent plus jamais...
La fausse psy avait signé 400 expertises : son procès en appel tourne court à Toulouse
ACTUALITE Société
Par Stéphane Durand-Souffland
Mis à jour le 24/06/2013 à 15:09
Publié le 24/06/2013 à 13:37, le Figaro, l'essentiel
Selon ses détracteurs, les travaux de Régine Labeur étaient de très piètre qualité, truffés de fautes d'orthographe. Le Syndicat des psychologues en exercice libéral (Spel), partie civile, parle même d'un «niveau cours préparatoire». Pourquoi, dans ce cas, a-t-il fallu attendre que l'intéressée soit dénoncée par son troisième mari, dans le cadre de leur divorce conflictuel, pour qu'il soit mis un terme à ses agissements lourds de conséquences pour les justiciables? Peut-être la disponibilité de Régine Labeur faisait-elle l'affaire des magistrats qui la désignaient, tandis que la médiocrité de ses prestations arrangeait les avocats, qui pouvaient aisément les contester…
Les cahiers de l'EFPP n° 20... Ethique et travail social
NDLR : C'est pour mes diverses références... Je constate que Richard Josefsberg, Directeur de la Maison d'enfant de l'OSE France, ce spécialiste, était au conseil d'administration pour cette revue ou numéro de l'automne dernier. Je découvre ce numéro de l’école de formation psycho pédagogique ou EFPP qui pourra inspirer plus d'un travailleur social : « balayez la loi, ignorez la morale, élaborez une certaine éthique... », avec un exemple concret. Tout balayer, ou en quelque sorte, porte grande ouverte à toutes les dérives imaginables ! La loi et la morale, c'est déjà pas très clair ; la première s’interprète, la seconde est culturelle ; l'éthique, c'est encore plus sioux
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De source efpp.info
Colère à la rédaction de @Midilibre
« Possible risque de poursuites en diffamation... » #Mouahaha quelle #presse ! J'ai souvent eu le sentiment que jamais aucun journaliste ne « dévoilera » plus quoi que ce soit de ce que j'ai exposé dans ce blog. Ce qui m'a été dit récemment, au téléphone, alors que je reparlais de #Metz et beaucoup du passé n'a fait que renforcer cette impression
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Extrait de source le Monde avec AFP, mis à jour le 20.02.2015 à 23h26
Encore un ?
Je parcoure toujours occasionnellement #Puteaux, comme d'autres hastags. Je viens d'y lire que Christophe Grébert est à nouveau convoqué pour un petit délit de presse, d'opinion ou d'opposition. Enfin, c'est ce qu'il est possible d'y saisir. Depuis le temps qu'on nous dit qu'on ne devrait ni bloguer, ni tweeter... ou que c'est parfois risqué
Publié sur Google drive, on trouve ce qui semble être des « conclusions participatives » pour l'audience à suivre, auprès de la 17ième du Palais de justice de Paris : « Cette plainte », voir l'extrait d'un document à la suite, « détourne par ailleurs de son objectif la loi sur la Presse, car au lieu de défendre la liberté d’expression, il s’agit ici de faire taire un opposant », Christophe Grébert, donc, « et de produire de la censure sur internet. » On dirait que certains n'ont toujours pas assimilé que la liberté d'expression a des limites, et qu'il vaut mieux ne pas s'aventurer trop autour des lignes jaunes... Selon l'un de ses tweets, il envisagerait même un « procès collaboratif ». Selon monputeaux.com, il envisagerait également de se défendre en personne. Bon courage ; et surtout, bonne chance, j'ai le sentiment qu'il lui en faudra.
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Repéré via Twitter
« Si la nouvelle est fausse sur internet, c'est la faute aux médias »
Je n'irais pas vérifier l'information telle que rapportée par AFP, plus bas, au sujet des médias des USA. J'ai déjà suffisamment d'occupations avec d'autres bruits, ragots, rumeurs et informations propagées par les français, sur les réseaux, ainsi que par leurs journaux, leurs médias des plus officiels et traditionnels.
J'attends toujours qu'on nous en dise un plus après la « garde à vue » de Ulcan, en octobre dernier. J'attends aussi de découvrir quelle suite a été donnée à une plainte déposée en mai 2013, au TGI de Nanterre ; je suis persuadé que je pourrais encore bien en rire. Je rigole très fréquemment. Je doute que le Parisien ait publié un petit errata suite à la parution d'un article sur les enfants placés, en octobre dernier... Je rigolerais longtemps encore de la façon dont une « source policière » ainsi que d'autres ont enfumé les réseaux, AFP, puis toute la presse, en mars 2013 ; à l'époque, au printemps 2013, j'avais insisté et essayé de faire paraitre un démenti de la rumeur, en vain
Depuis mai 2014, je reste également souvent assez occupé par une ultime petite affaire, à Metz, ainsi que par un « avocat » de là bas, Cédric Giancecchi. Après beaucoup d'insistance, j'ai pu enfin en discuter avec un journaliste, un vrai, ayant une expérience ou d'assez bonnes connaissances dans le domaine judiciaire. Ce journaliste a fini par me demander ce qu'il pourrait m'apporter ; je lui ai répondu « rien », que je me débrouille, que j'ai mes propres moyens, un blog, Twitter, les réseaux... Il semblait surtout réticent et pourrait maintenant attendre que le TGI de Metz rende un jugement, tranche, ce qui devra suivre après mars prochain. La « diffamation » dans ce que j'expose semble l'inquiéter ; évidemment, si ce journaliste publiait un papier trop peu ou mal fouillé, ou pire, très déséquilibré, lui et son canard s'exposeraient à des risques de poursuites ; je lui ai répondu que c'est un risque que j'encours moi-même et que j'assume déjà ; depuis quelques temps, je surveille d'ailleurs à nouveau assez bien ma boite aux lettres ; depuis le printemps dernier, il ne m'est parvenu aucune lettre concernant mes publications, elles semblent être toutes acceptées, en l'état. La dernière fois qu'il m'est parvenu un appel ou un mail puis un petit papier, il me semble que c'était pour un billet d'août 2011.
Ecrire et publier tout en agissant ou en me défendant dans les tribunaux est un jeu que j'ai appris à maitriser il y a très longtemps déjà. Giancecchi affabulait, calomniait dans des écritures qu'il a envoyé au JAF de Metz ; j'aurais très bien pu me contenter de lui répondre en n'écrivant moi-même qu'au JAF de Metz ; il m'avait semblé plus intéressant et opportun de répondre à Giancecchi par des correspondances envoyées ici et là, dont au JAF de Metz, puis d'en publier des pans entiers, sur Internet. Le journaliste avec lequel j'ai pu discuter assez sérieusement n'a donc pas souhaité traiter le sujet, pas pour le moment en tout cas ; tant pis ; il aurait pu nous rapporter le point de vue de Cédric Giancecchi ; nous aurions surtout pu reparler beaucoup d'« assistance éducative », sur près de 10 ans, de suites également. Et si dans ce que je publie, dévoile, exprime, des informations paraissent erronées, inexactes ou insuffisantes, ce ne sera pas de mon fait, mais du fait des médias, qui n'auront pour une ultime fois donné aucune suite à mes nombreux appels
Médias, internet, USA
Si la nouvelle est fausse sur internet, c'est la faute aux médias
15 fév 2015, Mise à jour 15.02.2015 à 08:30, TV5 Monde
Par Rob Lever, AFP, dans Accueil, Média
C'est la vérité. Il ne faut pas croire tout ce qu'on lit sur internet et de nombreux organes de presse en ligne manquent souvent de rigueur, contribuant, selon une étude américaine, à répandre des rumeurs.
"Plutôt que de jouer le rôle de source d'une information exacte, de nombreux médias en ligne contribuent à la désinformation pour générer plus de passages et d'intérêt", indique l'étude "Lies, Damn Lies and Viral Content" (Mensonges, satanés mensonges et contenu viral).
Les organes de presse ont toujours dû s'attaquer à des informations non vérifiées mais certains sites accélèrent la diffusion d'informations fausses, ajoute l'étude dirigée par Craig Silverman au Tow Center for Digital Journalism de l'université Columbia.
"De nombreux sites ne vérifient pas ou très peu les informations qu'ils répandent. A la place, ils relient leur article à un autre média qui lui-même cite d'autres médias", indique l'étude.
On nous annonce la disparition des #FEMEN en Europe
J'ai bien rit, cette semaine, en lisant et en relisant des articles sur les FEMEN, ainsi que sur leurs attitudes, réactions et cris récemment poussés en France. Beaucoup en lisant Chloé Delaume, sur Vanity Fair, « Les Femen : bonnets pleins, idées creuses », assez globalement dans l'article, un contenu, un fond qui ne plaira pas à toutEs : « Le `'sextremisme" est comme tout le reste, un outil de communication aussi creux que ces mignonnes petites têtes qui agitent leurs cheveux en deux temps. Pose 1 : droites et topless, braillant le slogan du jour, jusqu’à ce que le service d’ordre, quel qu’il soit, se manifeste. Pose 2 : visage à terre, ou menottes dans le dos, exhiber sa douleur autant que ses meurtrissures, les flashs doivent crépiter pendant que pleuvent les coups. La victimisation est le moteur des Femen. C’est leur fonds de commerce, par là elles revendiquent, justifient, et s’érigent en martyres politiques. Une bonne Femen se doit de finir... » #buzz
J'ai relevé quelques lacunes et imprécisions dans cet avis de Chloé Delaume. Nous les voyons bien de temps en temps à terre, mais les photographes, des artistes qui accompagnent ou qui courent après les FEMEN, nous rapportent fréquemment des clichés originaux, bien plus « sextremistes » que le laissait supposer Chloé Delaume. Pose 2, chevelures défaites devant les bottes, tétons à terre et menottes dans le dos... Avec la contribution de nos autorités, ces mignonnes petites têtes et ces artistes nous produisent fréquemment des clichés vendeurs, viraux, même #marketing
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Femen : manifestation devant le palais de justice à Paris
De source Sud-Ouest, le 26/10/2014, avec AFP
Pose 1, droite et topless, pose 2, tétons à terre. Ce dont Delaume ne nous parlait pas, c'est de la pose 3 : drapée, voilée, bien mieux couverte ou chignon/tailleur au prétoire, couchée ! Les FEMEN m'avaient également fait bien rire lorsqu'elles ont été enfermées puis jugées, en Tunisie ; on nous les avait alors présentées s'excusant, sous le safsari traditionnel ! Amina, qui a depuis largué les FEMEN, ne s'était pas pliée dans le prétoire, elle avait osé faire tomber le safsari et restait droite face aux juges ; comme les Pussy Riots en Russie, Amina ne s'était pas couchée, ne renonçait pas à ses idéaux.
@Nadhim66 #Amina de Femen défie encore une fois les traditions http://t.co/ellb9mkQRJ "Certaines croyaient que c’était une obligation"
— Bruno Kant (@bkant) July 4, 2013
RT @Hatemach #Amina #Femen photo de la cour pic.twitter.com/jGze7aIKj9
— Bruno Kant (@bkant) July 4, 2013
Les FEMEN européennes nous avaient expliquées qu'en Tunisie, elles avaient subies des pressions tout à fait extraordinaires, qu'elles y avait forcément été convaincues, contraintes ou manipulées pour accepter le safsari au prétoire, ainsi que pour s'y excuser ; celles qui avaient été emprisonnées, retenues là bas, étaient restées très sobres et discrètes jusqu'à leur retour en Europe, où sévit un climat politique très différent. Je me demande ce que ces pauvres petites créatures ont encore eues à endurer pour apparaitre récemment si sages ou affectées au palais de justice de Paris.
Pose 3, Delphine de Mallevoüe, un article du Figaro, nous éclaire : « Le maintien sage en chignon et tailleur pantalon, c'était pour trois heures [...]. Le temps, mercredi, de se défendre du délit d'`'exhibition sexuelle" à la barre de la 10e chambre du tribunal correctionnel de Paris. [...] Dans la salle [...], l'heure n'était pas à l'audace ni aux insolences. Alors qu'une rangée de quelques Femen venues soutenir la prévenue étouffaient des rires à la lecture des faits rappelant que les foies de veau sanguinolents figuraient `'le fœtus avorté de Jésus", la présidente du tribunal les a sermonnées comme des fillettes, avec une rigueur qui a figé et leur mine et leur aise durant toute l'audience. La hardiesse devant un écran ou devant l'autorité judiciaire n'exige pas le même élan. »
La justice française réagira-t-elle à ce que Delphine de Mallevoüe dévoilait ou pensait déceler encore ? « Pendant l'audience d'une ex-Femen poursuivie pour `'exhibition sexuelle" dans l'église de la Madeleine, le mouvement Femen a `'posté" sur les réseaux sociaux une photo et un message injuriant la justice. » Cette journaliste découvrait peut-être #FuckYourMorals Courageuses, les FEMEN, hors des prétoires. Pourvu que la justice ferme bien et longtemps encore les yeux sur ce qu'on lit et voit sur Internet comme dans la rue ainsi que dans la presse, sinon ces jeunes filles pleurnicheraient à nouveau, ou pourraient aller se ranger en larmes, pas très loin de Henri Guaino
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Les Femen défient et injurient la justice française
De source le Firago, publié le 16/10/2014 à 14:59
Depuis, et alors qu'elles doivent certainement redouter une seconde et sérieuse condamnation au motif d'exhibition sexuelle, de bonnes amendes, les FEMEN sont encore une fois allées interpeller François Hollande, avec leurs « messages politiques » griffonnés sur leurs « torses ». « Non, nous ne sommes pas des malades mentales, des exhibitionnistes, des déviantes ! » Il a répondu à l'une d'elles : « vous êtes féministe et je vous comprends, vous n'êtes pas une malade mentale mais vous ne pouvez pas vous mettre dans cette situation ». Les jeunes filles ou aux têtes creuses se sont ensuite emparées des quelques mots que Hollande a encore lâché à cette occasion ; elles espèrent vraiment que cet « avis » ainsi arraché sera « partagé par la justice » ? Hollande leurs répondait tout en étant à l'évidence plus préoccupé par les attentes de journalistes, par des déclarations officielles à leurs faire, et par le bruit que les FEMEN faisaient toujours tandis que le service d'ordre les éloignait.
La réponse du Président : "vous êtes féministes et je vous comprends" , "c'est une revendication qui peut être entendue".
— FEMEN France (@Femen_France) 28 Octobre 2014
On espère que cet avis sera partagé par la justice.
— FEMEN France (@Femen_France) 28 Octobre 2014
Tiens, une Femen a été condamnée pour exhibition sexuelle. Première condamnation depuis 1964 pour des nichons. #XXIeSiècle
— Maitre Eolas ن (@Maitre_Eolas) 28 Octobre 2014
Maître Eolas balance fréquemment des insanités et des injures sur Twitter, sur Internet, comme et quand ça l'arrange ; il ne s'offusquera donc pas si d'autres injurient aussi des gens et même la justice sur les réseaux sociaux ; passons, c'est Eolas, un avocat que tout le monde connait bien. Manifester en petite culotte, string, ficelle ou résille contre une oppression qui s'exerce au quotidien sur nos corps, avoir le droit de manifester quasi ou même tout à fait nu dans l'espace public, « une revendication qui peut être entendue » ? Si de telles demandes peuvent effectivement être audibles, il semblerait cependant que la CEDH ne voudra rien en retenir, et que se foutre à poil dans la rue pour exprimer des idées ou pour crier avec des fleurs dans les cheveux ne relèvera pendant très longtemps encore que d'une simple tolérance (happening artistique, coup d'éclat politisé, mais exceptionnel...). Un arrêt de la CEDH de ce 28 octobre pourrait définitivement rabattre quelques caquets, renvoyer les FEMEN hors de l'espace public, chez elles ou à la plage, d'autres plages que celle de Paris, l'été #BonnesMoeurs Ou alors, demain, tout finira définitivement acquis et autorisé #égalité
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Affaire Gough c/ Royaume-Uni (requête n° 49327/11),
communiqué du 28/10/2014
Ulcan en garde à vue : info ou intox ?
Un bruit court, en France. Ulcan « aurait » passé 48 heures en garde à vue. On peut le lire ici et là. Bon nombre de twittos et la presse française nous suggèrent évidemment de faire le rapprochement entre cette « garde à vue » et ce que quelques personnalités, les autorités et les journalistes français reprochent à Ulcan, notamment des coups de téléphone et des attaques informatiques. Pour le moment, je n'ai pas remarqué des informations similaires sur des sites de journaux Israéliens. Ces derniers vont-ils bientôt s'en emparer à leur tour, copier/coller/propager ces rumeurs franco-françaises ?
Car il ne faut manifestement pas grand chose pour que ces sphères grouillent et scribouillent. Depuis quelques temps, nous avons bien pu constater de quelle façon nous pouvons être informés, influencés, manipulés, et souvent même trompés, que ce soit par ce qui fait du bruit sur les réseaux sociaux ou par ce que rapportent des journaux, de vrais. Tout le monde copie/colle et on nous assure que c'est vrai, partant ici d'un tweet de @SouidSihem, balayant une réaction de @LDJ_France et renvoyant vers une trop brève publiée par @laurentdoulsan, du service police-justice de France Info...
#UnderNews @FaizaZ @laurentdoulsan @Will_ld @SouidSihem @LDJ_France Où est la "confirmation"? http://t.co/HLrYGSo8PT pic.twitter.com/VMecBHHVF9
— Bruno Kant (@bkant) 27 Octobre 2014
Ce 24 octobre, Israël régissait « suite à des récentes interpellations dans la presse », rappelant « l'excellence et la qualité de la coopération judiciaire entre la France et Israël ». Mais il n'existe aucune information ou explication officielle émanant d'Israël sur cette « garde à vue » de Ulcan. Seul @pierrehaski, pour Rue89, avance un élément qui tend à confirmer que le « pseudo-hacker » s'est pendant quelques temps éloigné d'un clavier, que la rumeur pourrait être fondée : « Ulcan n’a plus écrit un mot sur sa page Facebook depuis le 22 octobre, alors qu’il y revendiquait quotidiennement ses actes de harcèlement via des attaques informatiques ou des prétendus canulars téléphoniques contre ses cibles. » Sur Facebook, on peut remarquer que Ulcan ne publiait pas tous les jours, puis qu'il semble y être inactif depuis ce 23 octobre, tard. Il n'est pas certain que toutes les publications Facebook de Ulcan soient publiques.
D'autre part, je remarque encore que @SouidSihem dont les tweets sont protégés, cachés, non publics, est une spécialiste de l'omerta (dans la police et autres). Ancienne fonctionnaire de la police aux frontières, elle est aujourd'hui chargée de mission au service de l'accès au droit et de l'aide aux victimes ; @SouidSihem ne devrait donc être que très éloignée des confidences, des services susceptibles d'être assez bien informés de ce qui se trame ou non en Israël, à Ashdod. « La garde à vue a été révélée initialement dimanche soir par Sihem Souid, conseillère au ministère français de la Justice et l’une des victimes d’Ulcan, sur son compte Twitter », révèle ou nous explique cependant @pierrehaski, via Rue89. Supposant que l'information est bien exacte, avérée, une victime de Ulcan, @SouidSihem, et de ce service là, était-elle une source crédible et autorisée, pouvait-elle nous apprendre que Ulcan avait été interpellé ?
Société
Secret d'instruction : les fuites pour les journalistes "sont inadmissibles"
Publié à 19h17, le 19 octobre 2014, Modifié à 11h16, le 20 octobre 2014
Par Gatéan Supertino, Europe 1
INTERVIEW E1 - Mireille Ballestrazzi-Choquet, présidente d'Interpol, était samedi l'invitée d'Europe1.
"Je ne sais pas d'où viennent les fuites. Si elles provenaient de mes services, les sanctions pleuvraient. C'est inadmissible". Mireille Ballestrazzi-Choquet, présidente d'Interpol, invitée dimanche d'Europe1, a fermement condamné les violations du secret d'instruction, notamment celles destinées à fournir des informations aux journalistes.
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