Archives pour: 2010
De l'identité Nationale à l'identité Juive, que de débats
Hier, sur France Info, j'entendais le discours de ce qui pouvait être une association juive. Je n'ai pas retenu de nom et je n'ai pas eu le temps d'enregistrer ce son que je ne retrouve pas sur Internet. J'apprenais que des juifs dont les noms ont été francisés souhaiteraient maintenant obtenir plus facilement des modifications des fichiers de l'état civil, pour renouer avec leurs origines, renforcer leur identité. Un nom et l'état civil sont-ils porteurs de sens ? En surfant ici et là, on apprend qu'à travers l'histoire, nos assemblées ont souvent débattu de ces sujets, la francisation des noms des populations immigrées ou des noms étrangers, de noms difficiles à prononcer, des prénoms ridicules également. J'ai repéré des ouvrages intéressants, plutôt vieux, onéreux ou indisponibles à la vente. Le sujet est bel et bien d'actualité ; hier, en rubrique Société, Libé publiait « Avec cette francisation, je me suis senti étranger ».
Mais selon l'arrêt rendu ce 15 courant, par Versailles, ces débats n'ont probablement pas lieu d'être. Tout ce que j'ai entendu ou lu dans l'actu depuis hier, lu aujourd'hui sur la toile, par exemple, dans quelques extraits de livres d'historiens ou de droit, ce n'est pas vraiment avéré, c'est tout juste virtuel, irréel, au moins numérique ou simplement diffusé par Radio France. Même ce qui est écrit noir sur blanc, sur du papier, dans mes piles et mes étagères, c'est irréel, à oublier, voire même à faire brûler, à détruire. Qui accorde encore une quelconque importance à l'état civil et à ces noms, à l'histoire des contraintes exercées sur ces derniers, voire même sur certains sujets, du fait de leurs noms ? Certainement pas les magistrats professionnels du coin.
Depuis que j'ai lu cet ultime arrêt rendu ce 15 courant, par Versailles, j'ai eu de nombreux doutes. Sur Wikipédia, j'ai bien relu que Klaus, Papon et Touvier ont été condamnés. J'ai aussi lu encore que « Jacques Chirac a consacré plusieurs de ses discours au sort des Juifs de France » ; on peut le lire ici. Un peu plus loin, on peut même lire que « Le Président de la République française, Jacques Chirac, a inauguré le 25.1.2005 à Paris le `' Mémorial de la Shoah " ». Est-ce bien sérieux ? Certaines de ces condamnations sont anciennes, mais quelques discours de Jacques Chirac seraient plus récents. Il n'est pas sûr qu'ils aient porté partout. J'ai maintenant assez hâte de feuilleter Parquet et politique pénale depuis le XIXe siècle, ce collectif paru en 2002. Quelques pages pourraient être consacrées à des périodes plus glauques du passé, comme « Vichy », « l'Algérie », etc.
Par le passé, j'ai manifesté devant le mémorial de la Shoah. Je ne suis pas passé inaperçu, j'avais un écriteau autours du cou : « j'ai couché avec une allemande ». Il y a eu des discussions et la police est évidemment passée, ce jour là. Une dame m'a houspillé, j'apprenais que c'était kipour. Mais je suis resté digne, avec mon écriteau autour du cou. Après m'avoir écouté puis après ses propres vérifications, la police ne m'a pas embarqué. Depuis, je suis parfois retourné au mémorial ; j'ai prévu de m'y rendre encore, dans 10 jours.
Parfois, tout vacille lorsqu'on a été confronté à des discours ou à des écrits de révisionnistes, de négationnistes. Je doutais et devais faire une vérification dans le livret de famille de ma fille Justine ; elle en voulait une photocopie, ce dont la Dass et la chambre des créatures inférieures de Versailles ont fait tout un fromage. J'ai bel et bien couché avec une allemande, quand à cette gosse, pour certains, ce sera bien une enfant de boches. Elle est sûrement très à l'aise, à Hagenau plutôt qu'à Bagneux, de l'autre côté des Vosges, parmi ou moins loin d'autres schleus.
Peut-on rire, en France, après la Shoah ? Oui, beaucoup même, par exemple en lisant le Charlie hebdo qui paraissait hier. La chancellerie ne m'a pas répondu ; en septembre dernier, j'écrivais à la Garde des vélodromes. Souvent, je me demande pourquoi des français auraient souhaité priver Papon de sa médaille ; n'a-t-il pas été enterré de l'autre côté du périph ? Ces jours-ci, Monseigneur Williamson fait encore un carton, sur dailymotion ; est-ce bien réel ? Sur le Parisien, je lis : « En réponse à une question, il dit qu'il est poursuivi en Allemagne pour avoir "mis en question les six millions de juifs gazés. Et le mettre en question, c'est un crime, selon le droit allemand, donc ils m'attaquent". » Mais en France, aujourd'hui, on rigole plus volontiers d'autres sujets, tel que celui de la burqa ou du voile.
La burqa s'invite aux vœux de Sarkozy
AFP, 21/01/2010 | Mise à jour : 20:10, extrait
Les responsables religieux ont présenté aujourd'hui leurs voeux au président de la République à l'Elysée et parlé du voile intégral, le représentant de l'islam Mohammed Moussaoui redisant son opposition à une loi d'interdiction.
Charlie hebdo du 20/1/2010 et un livret de famille de boche délivré par la ville de Paris
J'y retourne, Versailles a débroussaillé une voie
En septembre dernier, le juge pour enfant de Nanterre a reçu quelques correspondances. Depuis, lui-même m'a répondu deux fois, par de simples correspondances dont j'aurais souhaité pouvoir faire appel en décembre dernier, ce que la chambre des créatures inférieures n'a pas accepté. A Versailles, je souhaitais pouvoir débattre de l'intégralité des éléments qui figuraient dans le dossier du juge pour enfant, il contient un rapport de l'ARSEA du 27 novembre 2009.
En septembre dernier, ma compagne et moi écrivions à Nanterre. J'aurais souhaité qu'il y ait rapidement une audience chez le juge pour enfant, pour exposer alors la nouvelle situation de ma fille Justine. Mais selon le juge pour enfant de Nanterre, il n'y avait pas d'éléments « nouveaux » à son dossier, il me suggérait d'attendre très sagement que la cour d'appel de Versailles délibère, ce que j'ai fait. Or, lorsque je lis l'ultime arrêt rendu par Versailles, ce 15 janvier 2010, il se pourrait que le juge Thierry Baranger ne sache pas vraiment ce qu'est un élément « nouveau », Versailles semble en voir où ce juge pourtant expérimenté n'en aura vu aucun.
Versailles souhaitait des démonstrations, je vais aller en discuter avec un vrai juge, s'il veut bien convoquer une audience. S'il convoque très prochainement, je serais curieux de lire sa décision ; renoncera-t-il à son cadre pour suivre le pasteur « qui n'en peut plus », son mari le médecin généraliste, ma fille Justine et les travailleurs sociaux de l'ARSEA Alsace ?
En cas d'audience, je profiterais de l'opportunité pour rappeler d'abord au juge pour enfant de Nanterre que Justine semble avoir des problèmes de santé, ce qui n'émeut toujours pas la Dass, un peu comme par le passé. A l'époque, en 2005, plutôt que de reconnaitre que Justine pouvait avoir besoin d'un médecin et non simplement d'un pasteur et de travailleurs sociaux, les professionnels de la Dass avaient préféré me faire convoquer plus tard, chez un « expert psychiatre ». Depuis, les savoirs contemporains, notamment la médecine et plus particulièrement cette pseudo science qu'est la psychiatrie, ne servent plus qu'à proroger le « placement » de Justine.
De l'arrêt rendu ce 15 janvier 2010,
par la cour d'appel de Versailles
Sieg Versailles !
Je viens de recevoir du courrier. J'apprends que la magistrature du coin reconnait enfin que ma fille cadette est née en 2003, ce qui figure depuis toujours aux fichiers de l'état civil ? Mais ce n'est peut être qu'une coquille dans le dernier arrêt rendu. En effet, selon « l'autorité de choses jugées » par le passé, par Versailles ainsi que par Nanterre, ma cadette devrait être née en 2001... Que de progrès après cet ultime appel. Encore un ou deux passages à Versailles et les juges du coin reconnaitront peut être timidement que la Shoah, ce n'est pas qu'un mythe ?
Dans ce même arrêt on me reproche de ne rien démontrer tout en me déniant encore tout droit et même possibilité de le faire un jour ? Par contre, le pasteur d'Uhrwiller « expose », « dit », « explique » en un très court paragraphe, et la Cour suit... Je ne peux que repenser encore à ces juges qui marchent au pas aux côtés de ces grandes figures d'avant 1905.
Feuilleter La République et l'Eglise (il y a un siècle)
Je crois que la chambre des créatures inférieurs n'a pas compris que je n'attendais plus qu'une choses de sa part, soit qu'elle se ressaisisse, soit qu'elle recrache encore du papier noirci d'encre, ce qu'elle vient à nouveau de faire.
Je constate aussi que le cadre défini par le juge Thierry Baranger a définitivement volé en éclat, fin juillet dernier. Selon lui, ce n'est pas à l'enfant de décider, or il apparaitrait maintenant que l'enfant est à présent ferme : Justine ne veut pas être scolarisée à Paris, elle exige de rester à Hagenau ? Quelle importance après tout, elle est « placée » là bas aux frais de la collectivité... Par ailleurs, les travailleurs sociaux de l'ARSEA ou ces kapos du social ne souhaitant pas travailler avec moi, je pense que plus globalement, la décision confirmée ce 15 courant, par la Cour, restera sûrement inexécutée, comme de précédents jugements ou arrêts rendus par Nanterre et Versailles. Mais conformément aux usages de la Cour, comme depuis plusieurs années déjà, le jugement déféré est confirmé en tous points. Il suffisait à sa Cour de motiver mieux. A la suite, quelques extraits. Mes conclusions déposées en décembre dernier semblent avoir été lues.
Le pasteur d'Uhrwiller n'en peut plus de « ce cirque », que je ferais souffrir à Justine ? Pauv'chérie ; le pasteur devrait lire du Barella, elle s'apercevra qu'hors de sa paroisse et des huis clos, ce même cirque peut faire rire. J'avais très bien expliqué à l'ARSEA que Justine en personne ne souhaitait plus retourner dans les prétoires, que sa présence n'y était plus requise puisqu'elle peut y être représentée par son avocate, susceptible de mieux la conseiller aussi. En décembre dernier, Justine n'y serait-elle plus venue de son plein gré, bien entourée par Mme Romain, son avocate et ce même pasteur ? Ce n'est pas son père qui a trainé Justine à Versailles, ce 11 décembre dernier ; mais elle a pu y être convoquée par la Cour... qui note : « Justine a souhaité être entendue en présence de son père ». Tout ce cirque nous serait-il à tous imposé par l'enfant qui n'en ferait qu'à sa tête ? Ne serait-ce pas précisément ce que le juge Thierry Baranger souhaitait un jour assainir ?
Je pense que d'ici quelques temps, je vais me faire un plaisir de répondre à la Cour, notamment sur des points sensibles et particuliers tel que celui du « prosélytisme religieux abusif ». Ca va beaucoup plaire à Richard Josefsberg, de l'OSE France ; il gémissait déjà mi 2005, c'est un peu suite à cela que le si bon Docteur Magalie Bodon-Bruzel est intervenu dans ce dossier « d'assistance éducative ». Mais je parlerais plutôt de pratiques proprement sectaires. J'ai tout mon temps pour murir une réponse. En effet, en décembre dernier, la Cour me rappelait bien que la quille, soit la majorité de ma fille aînée et la fin de ces mesures « d'assistances éducatives », ce n'est que dans deux ans ; d'ici là, Justine restera donc en Alsace, avec un pasteur et une sociale travailleuse - point. D'autre part, ce n'est qu'en octobre 2012 que l'OSE fêtera son centenaire, ce qui me laisse également assez de temps pour rédiger un petit pamphlet.
Mais pour « bien » répondre déjà au petit paragraphe, plus bas, publié sous la lettre de la MIVILUDES, d'avril 2006, soit à ces pitres en robe noire ainsi qu'au Docteur Magalie Bodon-Bruzel, un bouffon en blouse, et à son prédécesseur, Madame Claire Davidson, je ne vais pas me gêner et publier bientôt l'intégralité d'autres décisions de justice qui ont été rendues par d'autres prétoires que ceux de Nanterre et de Versailles, tel que :
- celle rendue en 2002, par Strasbourg(67), un non-lieu d'un homicide involontaire, suite au décès subit de la mère de Justine, en milieu hospitalier,
- celle rendue en 2005, par Antony(92), par le juge des tutelles, qui confirmait finalement mon statut d'administrateur légal des biens de Justine, quelqu'un souhaitait que je sois déchu,
- celle rendue par Anthony(92), début 2007, qui m'inscrivait sur la liste électorale alors que des représentants de la préfecture et du TGI de Nanterre avaient refusé de le faire,
- celle rendue par le tribunal administratif de Strasbourg, qui a étouffé mon recours contre l'Etat suite au non-lieu rendu en 2002,
- l'arrêt rendu en décembre 2008, par la cour de cassation, déjà publié dans ce blog, qui reste toujours sans le moindre commentaires, comme ces vidéos,
- une correspondance de septembre 2009 qui confirme que je détiens toujours et malgré tout l'autorité parentale sur ma fille Justine,
- le très simple et si sobre rappel à la loi imposé en décembre dernier, par le parquet de Paris, je venais de déployer une banderole dans cette cité, à l'occasion des 20 ans de la CIDE
Notant d'abord que ma soeur aînée est trisomique, le Docteur Magalie Bodon-Bruzel affirmera que rien de tout cela est réel. Madame Claire Davidson poursuivra, dans le prolongement de l'OSE France : « M. KANT est un très vilain procédurier, il est peut être dangereux ». C'est à ce moment là qu'interviendra ponctuellement le juge Thierry Reveneau, soutenant que « les larmes versées à l'audience par l'enfant démontraient... » On s'apercevra peut-être aussi que les paranos, les zinzins ou les oies sont plutôt du côté de ceux qui recherchaient mes comptes au Japon, ceux sur lesquels j'aurai pu verser les fortes sommes perçue suite à mon recours contre l'Etat, après le décès de la maman de Justine... Je percevais 90 euro par mois, l'allocation dont peut bénéficier tout orphelin d'un parent. Depuis plusieurs années, cette allocation est due à Madame et Monsieur Clementz qui n'a à ma connaissance jamais le moindre compte à rendre à personne. Madame et Monsieur Clementz bénéficient aussi des indemnités de tiers « dignes de confiance » et bénéficient aussi comme du soutien de toute une institution. En effet, ils n'ont jamais eu besoin du moindre avocat dans les prétoires du coin.
Je pourrais encore retrouver d'autres jugements ou republier aussi des correspondances qui m'ont été adressées par divers ministères, élus, Conseils généraux, par l'Elysée ainsi que par divers services tel que le SCPC. En regard de tout cela, Madame et Monsieur Clementz, les tiers « dignes de confiance », un statut qu'ils revendiquent et que leurs accorde gracieusement la Cour, ne pourront rien avancer du tout ? Les arrêts de Versailles, les jugements rendus par Anne Valentini, voire même ceux qui ne m'ont jamais été notifiés par Nanterre... Le pasteur d'Uhrwiller pourra aussi « exposer », « dire » et « expliquer », peut être un peu prêcher aussi.
Mais je crois que je publierais d'abord le mémoire du juge Xavier Serrier qui se défendait contre moi, à la fin 2008. Tout le monde pourra alors constater comment ce dernier se sera défendu contre moi, en cassation, me réclamant 2 500 euro qu'il n'a jamais obtenu. Je venais de le pousser de son siège. Quelle offense, un magistrat du siège est réputé inamovible ! Aurais-je vexé la magistrature française pour avoir touché un jour et vraiment l'un des leurs ? Certains « aspects narcissiques » seraient alors à rechercher maintenant ailleurs qu'à Bagneux, dans le 9-2.
De l'arrêt rendu ce 15 janvier 2010,
par la cour d'appel de Versailles
Le Canard, et le Nouveau Détective, ça peut suffire
Mon sentiment se confirme, un abonnement au Canard en complément d'un très bon tabloïde, ça devrait me suffire pour ces prochains mois. Je sais, ça peut surprendre. En quatrième du premier, je lis aujourd'hui quelques courbettes qui pourraient être un droit de réponse réclamé par Nadine Morano ; je pense qu'on peut à peu près s'y fier. D'après ce que je lis beaucoup plus à l'ouest, le Nouveau Détective aurait été mouché il y a peu, par un prétoire de Caen ; il peut donc également être assez fiable. Les deux sont alimentés par des plumes qui couvrent l'actu et sont probablement appréciés par leurs lecteurs respectifs, un peu comme Charlie ou Siné hebdo. En faudrait-il beaucoup plus pour sonder toute cette faune, suivre ce qui bruisse ? J'aurais toujours le net lorsque je souhaiterais en savoir un plus.
Dans le fil de l'actu, j'ai lu que quelques préfets ont bougé ; ça n'a plus rien d'exceptionnel. J'ai également lu qu'une mère a pris 15 ans pour un infanticide tandis qu'une autre n'en a pris que 5, avec du sursis ; l'une a été cassée alors que l'autre a été épargnée par des psys, il n'y a rien d'anormal ni de bien exceptionnel non plus. J'ai lu plus original, quatre procureurs généraux ont été nommés en Conseil des ministres ; par simple curiosité, j'ai tapé le nom de l'un d'eux sur google.
Après avoir lu ce qui pourrait en être un extrait puis le sommaire, j'ai craqué pour Parquet et politique pénale depuis le XIXe siècle, Paris, PUF, 2002. Ce collectif répondra peut être à une question que je me posais en mars 2009. En attendant que l'ouvrage me parvienne, je vais lire quelques pages de Tribune Juive n°53 ; Rufo en couverture puis la page 52 et suivantes ont retenu mon attention... « Le glaive vient dans le monde à cause d'une justice retardée et pervertie » ?
« On peut toujours compter sur le repentir », selon Eric Mouzin
Disparitions, ce nouveau « divertissement » proposé par TF1, ça informe, c'est assez sûr. Mais je me demande de quelle manière de tels « documentaires » pourraient faire progresser ces affaires dont une au moins, la troisième, est plutôt de nature « privée ».
Francis Evrard doit être prochainement rejugé. Quel pourrait être l'effet de ce premier « reportage » sur le cours de cette histoire, l'enlèvement d'Enis ? Ca fait une pub pour le dispositif Alerte, depuis, on retrouverait plus facilement les enfants... Je constate surtout que TF1 a encore diffusé le portrait de ce petit garçon, une victime, sans même lui flouter les yeux.
« Ca fait deux mois qu'Estelle a disparue. Les enquêteurs du SRPJ de Versailles font ce qu'ils peuvent, a-t-il dit, ne négligent aucune piste, et je vous confesse qu'aujourd'hui, et c'est bien pour cela que nous n'en négligeons aucune, nous n'en avons pas. Bien sûr qu'au nom du gouvernement, j'ai pris l'engagement, devant les parents d'Estelle, que la cellule spéciale qui a été mise en place ne s'arrêtera pas de travailler tant qu'on aura pas retrouvé Estelle. » « Les autorités refusent de rester sur un constat d'échec, l'enquête de terrain doit être relancée », ajoute la voix off. C'était en 2003, 2 mois après la disparition de la fillette.
Plus tard, en troisième partie de cette même émission, on apprend que « c'est surtout l'aspect religieux qui surprend Miguel... » Je pense que mon blog est depuis très longtemps illisible pour plus d'un convaincu ou fervent pratiquant.
Il y a 15 jours, j'étais à Guermantes, pour l'AG de l'association Estelle. En arrivant là bas, j'ai constaté qu'une caméra était sur place, puis j'ai appris que suivrait ce « reportage », sur TF1. On me verra peut être un jour, par hasard, dans l'un ou l'autre de ces « documentaires ». On m'a d'ailleurs déjà vu par le passé, au champ de Mars, notamment au cours d'une émission Faits divers le mag, début juin 2008, ainsi que dans un JT de France 3.
Je prendrais encore le temps de discuter de toutes ces affaires avec Eric Mouzin ainsi qu'avec quelques uns de ses proches, peut-être aussi d'une dépêche du jour. Je pense que je les rencontrerais à nouveau, au plus tard, au mois de mai prochain, au champ de Mars. L'an dernier, encore au champ de Mars, j'avais préféré me taire et me faire discret pour ne pas heurter l'assemblée. Mais malgré cela, certains ont pu me reconnaitre sur place, par exemple, sur une vidéo de TF1/LCI, derrière Arnaud Gruselle, Directeur de la Fondation Enfance.
Je crois qu'il est parfois vain de compter sur le repentir de pédocriminels et de tout ce qui fait corps ou se syndique, autours d'eux. Je pense même que la médiatisation ne peut parfois qu'exposer d'avantage encore les enfants, surtout, peut-être, lorsqu'on commence à mettre très sérieusement en doute la neutralité de quelques professionnels de sa justice. Au cours de ces dernières années, la juridiction du juge pour enfant de Nanterre, la cour d'appel de Versailles ainsi que quelques travailleurs sociaux, juges et partis qui s'opposent à moi l'ont très bien démontré, à plusieurs occasions.
On va maintenant bientôt revoir notre chantre à la télé, sous peu, il répondra à quelques français.
Disparitions, le 19 janvier 2010 au soir... A voir ou à revoir sur le site officiel
En VOD, sur TF1 Vision... Disparitions
Film - Etats-Unis - 2002 - Drame / Passion - 107 min
Réalisé par : Christopher Hampton
Avec : Emma Thompson, Antonio Banderas
Tous publics. En Argentine, pendant la dictature militaire de 1976 à 1983, plus de 30 000 personnes ont disparu sans aucune explication ; parmi elles, Cécilia, une journaliste engagée. Carlos, son mari, directeur de théâtre, va tout faire pour la retrouver saine et sauve. Obsédé par sa quête, il imagine ce que sa femme endure et pense alors se découvrir un don de clairvoyance qui lui permettrait de vivre l'histoire des disparus et de retrouver leur trace. Mais pourra-t-il sauver Cécilia avant qu'il ne soit trop tard... La bande annonce
Un triplet gagnant : MAM, Lathoud et... Botton ?
Il m'arrive parfois d'avoir le sentiment d'halluciner lorsque je m’égare ici et là, dans mes lectures, sur la toile.
C’est à ces moments là que je vérifie d’abord différentes informations, voire que j'écoute même en premier tout ou partie de discours officiels. Une toute nouvelle association, « Prison du cœur », pour aider les nouveaux détenus à supporter le « choc carcéral » ? Par le passé, Dati avait souvent fait rire ; je pense que MAM et Lathoud vont très rapidement la détrôner. On lit Botton, sur rue89, puis on en verse déjà de premières larmes : « Aujourd'hui, la prison, ça arrive à tout le monde. Avec les nouvelles lois sur la conduite en état d'ivresse, vous pouvez vous retrouver en prison après avoir fait la fête, un vendredi soir. Et vous êtes confronté au choc carcéral. Vous êtes sonné, perdu, votre famille ne sait pas où vous êtes. » Botton poursuit, et vous endolori les zigomatiques : « La magistrature a sauvé ma vie. Tout le système judiciaire a sauvé ma vie. »
Sur http://www.pierrebotton.com/, j'adore la présentation, en 4ième, du livre « V.I.P. en prison, la vérité ». J'adore également ce billet de Philippe Bilger, de novembre dernier, éclairé par l'histoire ainsi que par l'actualité la plus récente... « Je ne dénie évidemment à personne le droit de réfléchir, de s'émouvoir ou de critiquer mais il y a une forme d'arrogance chez d'anciens condamnés qui leur fait confondre leur expérience singulière avec le pluriel d'une pensée et d'une vision équilibrées et lucides. »
Il y a depuis quelques temps bien trop de suicides en prison, on nous le dit depuis des lustres, MAM souhaite donc maintenant « tester sur le terrain un certain nombre d'actions. » Jean-Amédée Lathoud que je qualifierais bientôt et sans la moindre gène de « souteneur », à la tête de la pénitentiaire, pour « mieux » traiter ce que la morale réprouve, voire même pour « parfumer » tout simplement, mais « avec le coeur », ceux que la Société française souhaitera « neutraliser » ? Chaperonnée par sa chancellerie, cette scène a quelque chose d'ubuesque et d'irréel.
Je préfère pour ma part d'autres territoires, loin de telles esbrouffes, bien en amont de ces « traitements » par l'intimidation et par la force, par l'enfermement, des disparitions ou des suivis approximatifs. Une association oeuvrant depuis quelques années dans le secteur de la protection de l'enfance m'a proposé de préparer ou d'assiter à des forums théatre qui pourraient un jour permettre à des parents et à des professionnels de la Dass de se rencontrer.
MAM confie à Pierre Botton une mission sur la prison
Le Figaro, par Laurence de Charette, le 18/01/2010 | Mise à jour : 10:30, extrait
« Je sais de quoi je parle », assure l'ancien homme d'affaires et ex-gendre de Michel Noir, écroué dans les années 1990. Il a été l'un des détenus les plus médiatiques de France dans les années 1990 : Pierre Botton, revient aujourd'hui sur le devant de la scène avec le projet d'humaniser la détention. Avec un soutien de poids : celui de Michèle Alliot-Marie, qui l'a invité à présenter à son côté, ce lundi après-midi, ses projets, qui débuteront par une expérimentation à la prison de Nanterre, un établissement accueillant un grand nombre de jeunes de banlieue. « L'atout de Botton, explique un membre de l'Administration pénitentiaire, c'est d'être un ancien détenu, mais aussi d'avoir gardé un carnet d'adresses… » Pierre Botton devrait en effet mettre à contribution ses relations dans le monde artistique et culturel et les emmener à l'intérieur des murs de la prison. Mais pas uniquement pour rencontrer les détenus : l'homme d'affaires veut également valoriser l'action des surveillants pénitentiaires.
La sodomie reste interdite en Malaisie
AFP, 19/01/2010 | Mise à jour : 12:21
La justice malaisienne a rejeté le recours d'un homme qui protestait contre l'interdiction de la sodomie, un délit passible de 20 ans d'emprisonnement, a-t-on appris de source judiciaire. La cour d'appel de Kuala Lumpur avait été saisie par Abdul Rahim Abdul Rahaman, un homme de 39 ans, qui faisait appel de sa condamnation à 60 ans de prison pour 22 actes de sodomie d'un adolescent de 14 ans. Il a affirmé que la relation était consensuelle.
J'entends geindre, au loin, dans le 9-4
J'entends geindre dans le Val de Marne, mais j'entends également des gémissements ici et là, dans d'autres secteurs du pays. Comment se portent-ils dans certaines rédactions du Parisien ? Combien de temps avant quelques premiers cris ? Pourrait-on bientôt entendre de petits cris émaner d'une dépendance du château, voir même de ce dernier ?
« On fait ce qu'on peut avec les moyens dont on dispose », « c'est pas nous », « mais laissons d'abord les investigations progresser, sous les ors de la justice »... oui, je sais, c'est ce qu'on entend ou perçoit bien assez souvent. « Il n'y a rien d'avéré », « si t'es pas content, t'as qu'à saisir un juge »... oui, je connais aussi très bien ce genre laïus, je l'ai encore perçu ce 8 janvier, dans l'entresol du palais de justice de Paris.
Val-de-Marne
Le département veut faire payer l’Etat
Le Parisien | 18.01.2010, 07h00, extrait
Après la Saône-et-Loire et la Seine-Saint-Denis, le conseil général vient de lancer des recours contre l’Etat, qui rechigne à payer les compensations de transferts de charges. Quatre procédures en moins de sept semaines. Jamais le conseil général (CG) du Val-de-Marne n’a initié autant de recours contre l’Etat. Pourquoi le conseil général attaque l’Etat ? Le département reproche au gouvernement ne pas compenser financièrement les nouvelles compétences et les transferts de charges confiés aux conseils généraux depuis 2003. Quatre recours sont engagés : deux concernent le manque de financement des nouvelles compétences que sont la Masp (mesure d’accompagnement social personnalisé) et celle issue de la loi du 5 mars 2007 qui réforme la protection de l’enfance. Deux autres recours sont liés à l’insuffisance des moyens alloués au CG après le transfert du personnel techniciens, ouvriers et de services (TOS) des collèges en août 2004 et celui du personnel de la maison départementale des personnes handicapées (MDPH), créée par la loi du 11 février 2005.
C'est amusant, d'après le site Internet VONews, le Val d'Oise n'est pas content non plus, son Conseil général aurait aussi présenté une facturette à l'Etat français. Le Val d'Oise ou l'Etat français ont-t-ils envisagé de faire parvenir un jour une douloureuse à l'établissement de l'OSE France de Taverny ou rue du Temple, à Paris ? Les Hauts de Seine pourraient pour leur part envoyer bientôt une petite facture au pasteur d'Uhrwiller, à moins qu'à l'ARSEA Alsace ? Ces mêmes Conseils généraux et cet Etat seraient alors vraiment culotés car depuis 2003, ils n'ont fait que se défausser de leurs responsabilités, cautionnant et encourageant peut être même ce pasteur ainsi que quelques sociaux hurluberlus qui prétendrons évidemment toujours avoir oeuvré en faveur de ma fille Justine.
A l'occasion, j'en rediscuterais plus globalement avec des représentants d'Attac, par le passé, certains d'entre eux m'avaient rit au nez lorsque je leurs parlais des budgets de la protection de l'enfance, celui des régions, soit 5 milliards d'euros (auxquels il fallait ajouter les budgets de la PJJ). Sauf erreur, aux alentours de 2005 ou 2006, le social, dans son ensemble, représentait un budget de l'ordre de 520 milliards d'euros par an pour les Conseils généraux.
Ces derniers temps, j'ai également perçu comme d'autres bruissements, sur l'île de la Cité ainsi qu'en Lorraine. En effet, ces mois-ci, j'ai souvent discuté encore avec Mme Mireille Millet. Elle devrait bientôt être rejugée, à la cour d'appel de Metz, après une boulette, à la cour d'appel de Nancy. En effet, Mme Millet avait été condamnée pour des faits commis par sa fille, voir mes notes. Il y a quelques temps, Mme Millet faisait publier une lettre ouverte au Garde des Sceaux, dans le Républicain Lorrain, tout en créant un nouveau blog dans lequel elle a décrit la situation de sa petite fille. Suite à tout cela, Mme Millet et moi pensons que la chancellerie a un peu chuchoté.
Au cours de ces dernières années, j'ai souvent perçu ou eu le très net sentiment d'avoir suscité également quelques murmures dans des couloirs, depuis Nanterre et Versailles jusque dans ceux de l'île de la Cité. Il y a quelques mois, j'ai été surpris en constatant que Versailles convoquait aussi tôt, pour tout début décembre dernier ; d'habitude, le rôle de cette chambre des créatures inférieures ne permettait pas des audiences dans des délais aussi courts... Certaines affaires semblent ainsi parfois devenir prioritaires, comme s'il fallait occasionnellement très rapidement tourner des pages ; j'ai déjà vécu des situations similaires, par le passé. Depuis l'hiver et le printemps 2009, j'avais moi-même encore fait beaucoup de bruit, mais j'avais surtout écrit et commenté ou critiqué d'avantage, dans mon propre blog.
A suivre... J'ajouterais encore un paragraphe ou deux dans la soirée.
Une escroquerie judiciaire, emplatrée par le proc', des psys et un pasteur
Pour le moment et après tout ce que je viens de lire et de découvrir encore, je suis trop hilare et cet après-midi, nous fêtons les 7 ans - déjà - de la petite. Dans l'immédiat, je n'ai donc pas du tout l'esprit disponible ni le moindre temps à consacrer à cette histoire-ci, le « placement » de Justine, qui lui profiterait tant. Je mettrais ce billet à jour au cours du week-end ou des prochains jours, en l'éditant en ligne, comme j'ai pour habitude de le faire depuis plusieurs années déjà.
Suivent des ajouts du 16 au soir, après la grande fête du jour...
La dernière info qui me parvenait, ce matin, me laissera pendant longtemps encore hilare. Ce gouvernement ne saurait-il plus comment se débarrasser de moi, fallait-il que Roselyne me propose d'aller me faire piquer dans le quartier ? Si j'étais vraiment parano, ce qu'affirmait le Docteur Magalie Bodon-Bruzel, dans le prolongement des « pros » de l'OSE, je hurlerais au scandale, martelant maintenant qu'on cherche à présent à attenter à ma vie, par tous les moyens possibles
Comme je l'écrivais le mois dernier, j'adore lire un peu de tout et parfois ce n'importe quoi qui me parvient d'une manière ou d'une autre, que ce soit donc par la Poste et beaucoup aussi par le biais d'autres médias.
Je ne parle pas sans raisons d'escroquerie judiciaire, je l'évoquais déjà en décembre dernier, auprès de la chambre des créatures inférieures, prenant pour exemple la cassation. Les uns prêchent ou déblatère, font n'importe quoi, puis « gagnent » à tous les coups, tandis que ma compagne et moi, nous pouvons toujours ramer, puis joindre ensuite les deux bouts. Toutes ces actions et recours en « justice » sont souvent des plus onéreux et éprouvants pour des résultats généralement exécrables - sinon grotesques, comme je l'ai déjà démontré.
Ce matin, je recevais encore une correspondance de mon avoué qui me représente aujourd'hui à la cour de cassation ; j'ai fait déclarer un pourvoi après l'arrêt rendu en mai dernier, par Versailles. Mon avoué me réclame une petite rallonge ; je vais devoir l'appeler et en discuter avec lui, dissiper surtout tout malentendu, s'il y en avait un quelconque. Je ne me permettrais en aucun cas de le traiter d'escroc, loin de moi cette idée. Je pense qu'il a du fournir une prestation supplémentaire et qu'il me prie donc très simplement et tout à fait naturellement de lui verser un complément d'honoraires. Pour le moment, sa facture s'élève donc approximativement à 6 000 euro TTC, le prix d'une bonne petite voiture neuve, et ce ne sera peut-être pas suffisant. Personne ne me remboursera cette somme, nous n'avons pas accès à l'aide juridictionnelle.
La cour de cassation n'a à ma connaissance toujours rien jugé, elle rejètera peut-être même ce pourvoi, et quelle que sera l'issue de cet ultime recours, la chambre des créatures inférieures de Versailles pourra de toute façon balayer ses effets d'un très simple trait de plume. En effet, depuis mai dernier, 8 mois se sont déjà écoulés, plusieurs décisions ont déjà été rendues, la situation de Justine est à nouveau totalement différente ; on va de l'avant et on oublie tout le passé (hormis bien sûr ce que des magistrats souhaiteront en retenir, soit ce qui pouvait un jour « motiver » ou permettra demain de proroger encore le « placement » de Justine) ; ce qui pouvait éventuellement s'imposer en mai dernier ne pourra certainement plus s'appliquer d'ici quelques 6 à 12 mois. J'aurais finalement déboursé quelques milliers d'euros pour un résultat qui était parfaitement prévisible ; ces voies de recours sont réputées illusoires lorsque le juge pour enfant est saisi, le monde de la recherche en droit et en justice le sait très bien et je le sais également, depuis très longtemps déjà. Mais Versailles me priait de faire des démonstrations, mon précédent passage en cassation, en décembre 2008, ne suffisait pas.
Cette année-ci, je pense que je ne déclarerais plus de pourvoi. Lors de mon prochain passage devant la Cour, je ferais peut-être brûler un ou deux billets de 500 euro, l'effet sera tout à fait similaire à celui d'un recours en cassation
Lorsque je parle de professionnels ou d'effets bizarres, tel qu'une escroquerie, je pense à de fortes sommes perdues, à des ressources gaspillées, et je pense évidemment aussi à d'autres individus que ceux qui me représentent aujourd'hui ou qui sont un jour intervenus dans mes affaires, à ma propre demande. Je pense également à certaines interventions ou publications sur Internet qui n'ont à mon avis pas été sans effet dans mes affaires dites « privées ». Dans un précédent billet, Un petit pot pourri, je me moquais déjà beaucoup de certains professionnels et prétendus experts.
Ce matin, en surfant, je suis tombé tout à fait par hasard sur quelques ordonnances rendues par un juge pour enfant de Nanterre et dont je n'avais pas la moindre connaissance. Elles ont été publiées par le passé, sur Internet, dans un blog dont l'éditeur pourrait avoir oublié le mot de passe (lire Nos vies sur Internet, à perpète). Je pense que ce que j'ai trouvé est conforme aux originaux... C'est à Paris que je pourrais bientôt me distraire si le ministère public ne décide pas de classer la plainte que j'ai déposée, fin décembre dernier.
Comme on nous le rappelle assez souvent, on devrait s'abstenir d'écrire et de publier n'importe quoi sur Internet, un espace public. J'attends de lire bientôt le dernier arrêt rendu par Versailles, mais j'attends aussi de découvrir le traitement que Paris réservera à cette plainte, déposée en raison d'injures publiques. Ce 8 janvier dernier, le pasteur d'Uhrwiller n'était pas convié dans l'entresol du palais de justice, lorsque j'étais moi-même convoqué, chez le délégué du procureur ; tout s'est finalement assez bien passé. Si ma plainte de décembre 2009 est traitée par Paris, le pasteur d'Uhrwiller ne devrait pas avoir l'opportunité de prêcher non plus. A la suite, un très court extrait de ce que je joignais à ma plainte, en décembre dernier.
Jusqu'à l'intervention récente d'un nouveau juge pour enfant, après quelques actions extraordinaires en justice, Versailles et Nanterre avaient pour usage de tout traiter par dessus la jambe. Il y a peu, je m'étais fixé pour objectif d'évaluer Paris. D'ici quelques temps, je pourrais en reparler, d'abord lorsque je rencontrerais à nouveau le juge pour enfant de Nanterre, puis ensuite, très probablement, auprès de la chambre des créatures inférieures de Versailles.
Ce soir, Fréderic Lefebvre m'a encore fait pouffer. Ce 8 janvier, lorsque Paris m'imposait un simple rappel à la loi, en retour, je n'hésitais pas un seul instant à faire un pied de nez à son parti, l'UMP. Pourtant, je ne suis pas encarté chez les socialistes, ni ailleurs. Qui fuit les débats, dans ce pays ? J'ai beau écrire, me déplacer, convoquer et même donner à d'autres l'opportunité de convoquer, y compris parfois au ministère public, tout le monde se défile ou se défausse, renvoyant à chaque fois au huis clos, en chambre du conseil, ainsi qu'aux calendes grecques. Je pense que la suite va encore être cocasse.
Lefebvre nous parle maintenant de « basses méthodes » ? A-t-il seulement eu vent ou l'opportunité de parcourir les conclusions que je déposais en décembre dernier, à Versailles ? Kapos est peut être un mot trop dur pour des travailleurs sociaux, je l'écrivais moi même. A l'avenir, et rien que pour faire plaisir à Lefebvre, le porte-parole de l'UMP, je parlerais de temps en temps de « cireurs de parquet ». Où je passe, sans chausser les patins, il en a parfois bien besoin.
Le PS, un parti "extrémiste"(Lefebvre)
AFP, 16/01/2010 | Mise à jour : 20:54
Le porte-parole de l'UMP, Frédéric Lefebvre, s'en est pris vivement au PS aujourd'hui dans un communiqué estimant qu'il "est devenu un parti extrémiste" qui "n'hésite pas à utiliser les plus basses méthodes". "Manipulations façon Peillon, fuite façon Glavany, insultes ou attaques ciblées contre le président de la République façon Frêche, Huchon et Vauzelle, le PS est devenu un parti extrémiste qui pour exister n'hésite pas à utiliser les plus basses méthodes et désigne un ennemi, le président de la République", déclare M. Lefebvre. "Le PS ré-enfourche son cheval de bataille favori, l'anti-sarkozysme primaire. Ce parti aux abois, sans idées et sans projet, fuit le débat d'idées et la confrontation de projets" ajoute-t-il. "Après Huchon voilà Vauzelle qui s'en prend à Nicolas Sarkozy pour lancer sa campagne des régionales en Paca !", dénonce-t-il. Le président PS de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur Michel Vauzelle, qui brigue un troisième mandat, a officiellement lancé samedi à Marseille sa campagne, la plaçant d'emblée sur un terrain national en attaquant frontalement la politique de Nicolas Sarkozy.
Les dés devraient être jetés
Ce matin, la chambre des créatures inférieures devrait rendre son délibéré. Mais je ne vais pas à Versailles, j'ai maintenant perdu bien assez de temps à ces jeux du cirque à huis clos. Je reverrais peut-être ces magistrats là d'ici quelques 8 à 12 mois, la quille, ce n'est que dans deux ans ; en effet, en juillet prochain, le juge pour enfant de Nanterre devra encore rendre une décision. Je crois que le corbeau de cette histoire profitera encore longtemps de cette situation imposée par les autorités françaises. Je vais tranquillement attendre que cet ultime arrêt de Versailles me parvienne par la Poste.
De source www.wochenspiegelonline.de
J'envoie un fax, au parquet des mineurs de Créteil
Je pense pouvoir l'expédier demain matin.
Madame, Monsieur,
Suite à une brève conversation avec un interlocuteur de votre parquet des mineurs, ce 12 janvier, j’ai été invité à vous faire parvenir un fax. J’étudie depuis plusieurs années déjà le dispositif français de la protection de l’enfance contre lequel je me défends moi-même, dans le cadre d’une affaire privée. Ces derniers jours, un fait divers rapporté par le Parisien a retenu mon attention, ce que j’exposais à votre parquet.
Quel Monde...
C'est dingue, si le parquet de Paris avait décidé de me poursuivre, notre chantre ou le chef de l'Etat français aurait pu se constituer partie civile, réclamer une quelconque « réparation symbolique » ? Notre chantre aurait-il pu se plaindre d'avoir reçu d'abord une carte de visite avec une clef USB, un son, puis d'avoir reçu aussi des suppositoires pour son cabinet ?
Ce 21 novembre 2009, la police m'avait bien fait sentir qu'il y avait eu toute une débauche de moyens pour m'interpeller, aux abords du barreau, sur l'île de la Cité, puis que ma banderole allait faire l'objet d'une procédure de « destruction administrative ». Ont encore suivis une garde à vue, une balade à l'Hôtel Dieu puis une convocation, dans l'entresol du Palais, juste pour une très sobre « admonestation ». Dans un Entrevue récent, cette revue spéciale Miss Paris 2009, j'ai pu avoir un aperçu des coûts de déplacements de nos forces de l'ordre, ils ne sont pas vraiment « symboliques ». L'indemnisation des services d'ordre constituerait même « un pactole » pour l'Etat. Mais je crois que ce n'est pas trop grave ; comme je l'écrivais il y a quelques temps, la République a les reins solides et des étouffoirs assez endurcis.
Ce soir, en rentrant de Guermante, je m'étais éternisé dans un point presse des Halles, pour m'y réchauffer. Un fonctionnaire de la RATP m'y a bousculé, ça m'a fait sourire. Puis on m'a prié de sortir car le point presse fermait ; dehors, j'ai constaté qu'il y avait trois groupes : deux de fonctionnaires de la RATP ainsi qu'un groupe de policiers qui retenait « deux jeunes pas vraiment de chez nous ». Il m'aurait donc suffit de tirer la langue. Mais je pense que le parquet « délocaliserait » immédiatement, à son tour, dans un quelconque tribunal d'instance de la Cité ; ça ne m'intéresse pas.
D'après le Monde du week-end, récemment, des juges de Nanterre et de Versailles auraient apporté un certain « soin » lors de la rédaction de deux décisions ; ces juridictions se sont prononcées sur « l'épineuse question » de la recevabilité de de la constitution de partie civile du chef de l'Etat. Il y a peu, je suggérais moi même à la chambre des créatures inférieures de Versailles d'être un peu moins « brouillon », de me lire, puis de motiver « vraiment mieux » ; elle doit rendre un délibéré ce 15 janvier prochain, j'ai maintenant assez hâte d'en prendre connaissance.
Le Monde du 10/11 janvier 2010, « pourquoi la météo s'affole »
Un simple rappel à la loi
Aujourd'hui, j'étais convoqué au palais de justice de Paris, dans son entresol, suite à mes sorties de novembre 2009 ; je l'exposais fin décembre dernier. Un peu comme Julien Dray, j'ai eu droit à un simple rappel à la loi : « s'il vous plait, ne recommencez pas ou nous allons devoir nous fâcher, c'est quand même le chef de l'Etat ». Mais la loi, je la connais à peu près, je pense que c'est ce qui se dégage du contenu du dossier du procureur de Paris et, probablement même, de tout ce qui s'est passé depuis novembre dernier, y compris en public, dans Paris. Je pense que c'est aussi ce qui se dégage de mes divers billets et notes : « la loi », je la connais assez bien ; j'avais même remarqué que Hervé Eon avait été condamné malgré tous ses soutiens, une condamnation confirmée ensuite, par une cour d'appel - « ça ne se fait pas, on ne dit pas des trucs comme ça ». Dans ce dossier du procureur de Paris, il apparait aussi que ce 21 novembre dernier, j'estimais avoir de très bonnes raisons de manifester devant le barreau de Paris.
J'ai essayé de discuter un peu avec ce délégué ou médiateur du procureur de la République, mais ça n'a pas été possible ; j'ai évidemment eu droit au laïus usuel concernant ces voies de justice et de recours... J'ai donc choisi de signer son papier car j'en voulais une photocopie. Je me demande si ce délégué n'aurait pas pour habitude de recevoir des mineurs, des ivrognes ou d'admonester des multirécidivistes, j'ai eu le sentiment qu'il n'y comprenait pas grand chose lorsque je lui ai parlé très simplement d'assistance éducative et de cassation. De mes échange avec ce délégué, je retiendrais qu'au cours de ces six prochains mois, il me suffira, si j'en ai envie, de tirer la langue à quelques fonctionnaires de la RATP, le parquet de Paris pourrait alors se décider à déclencher l'action publique quand même. A mon avis, Nicolas Sarkozy et le parquet de Paris ont aujourd'hui tout intérêt à ce que je me tienne tranquille... et pourvu qu'aucun fonctionnaire ne fasse la moindre « bavure » dans un proche avenir, ce qui pourrait également déclencher l'action publique ?
Je ne suis donc finalement ni enfermé ni interné suite à mes sorties des 20 et 21 novembre dernier, dans Paris, pour les 20 ans de la CIDE, malgré cette banderole « fuck you - sarkozy - very much ». Je ne suis même pas prié d'aller me faire « soigner » ni d'ailleurs d'aller me faire « mieux » conseiller. Ce n'est donc vraiment qu'à huis-clos, dans le secret des chambres du conseil de Nanterre et de Versailles que je suis « fou ». J'en profite alors pour faire un pied de nez à Maître Eolas ainsi que, tant qu'à faire, à l'UMP et au Docteur Pascal Clementz, le mari du pasteur d'Uhrwiller.
Le combat pour réformer la garde à vue
AFP, 08/01/2010 | Mise à jour : 15:48, extrait
Deux syndicats d'avocats et de magistrats, classés à gauche, ont affirmé aujourd'hui à Paris leur intention de mener ensemble la bataille pour une réforme des modalités de la garde à vue en France, "intolérables" selon eux. "Le combat pour mettre la France en conformité avec les standards européens en matière de garde à vue et de défense pénale est un combat commun d'avocat et de magistrat pour défendre les libertés publiques", a déclaré à la presse Jean-Louis Borie, président du Syndicat des avocats de France (SAF). Comme d'autres organisations d'avocats, le SAF prend appui sur des arrêts de la Cour européenne des droits de l'Homme pour réclamer une refonte de la garde à vue, en particulier l'implication d'un avocat dès le début et tout au long de la mesure, avec accès au dossier de la personne entendue.
Finalement, je m'en sors toujours assez bien, surtout peut-être lorsque je peux refuser « l'aide » d'un avocat ? Pour la plainte que je viens de porter, ce sera encore un peu différent ; si le parquet daigne s'en emparer, je pense que je me ferais assister par un bon juriste, pour me faciliter l'accès au dossier et afin de bien verrouiller la procédure. Il apparaitra encore les noms de Sarkozy, Nicolas et Jean ; il apparaitra encore l'UMP et Versailles ; ce ne sera pas mon problème.
Ce matin, je pense que nous étions encore une fois plusieurs, convoqués à la même heure, 10h30 ; il pourrait s'agir d'une sorte de préliminaire ou rituel « préparant » aux entretiens ; ça m'était déjà arrivé, par le passé, dans un commissariat, alors qu'on me convoquait car j'avais fait inscrire Justine au fichier des mineurs disparus, nous étions plusieurs à patienter alors que je lisais du Barella... Ce matin, en attendant d'être appelé à mon tour, je lisais tranquillement Les savants fous, d'Hananian Alain Amar. A la page 120, un court passage renvoie à la lecture des ouvrages écrits par l'Argentin Miguel Benasayag ; je pense avoir fait un bon choix avec Pouvoir et disparition. Dans Les savants fous, un paragraphe de la page 120 me fait beaucoup penser à quelques professionnels de la Dass auxquels j'ai été confronté au cours de ces dernières années : « Les théories scientifiques fumeuses et quelques applications non moins fumeuses ». Page 104 du même ouvrage, Les savants fous, sur le thème « Les scientifiques dans les anciens et les nouveaux conflits », « Nous nous interrogeons : `' (...) quels étaient les mobiles des scientifiques et les sources de leur empressement ? En premier lieu, bien entendu, la 'loyauté patriotique'. Cette noble raison devint, cependant, difficile à invoquer quand la guerre froide remplaça la loyauté envers l'Etat par la loyauté envers l'idéologie officielle. Un autre mobile, moins ouvertement évoqué mais non moins pressant, fut la recherche du pouvoir et du prestige (...) " » Dans Les savants fous, il est fréquemment question d'éthique et assez souvent de peines très légères, lorsqu'il y a eu poursuites, condamnation puis exécution des peines.
Point de vue
Pour la création d'un pôle "génocides et crimes contre l'humanité" au TGI de Paris,
par Michèle Alliot-Marie et Bernard Kouchner
LEMONDE.FR | 06.01.10 | 11h53 • Mis à jour le 06.01.10 | 15h45, extrait
Le XXe siècle aura abandonné des millions de femmes, d'hommes et d'enfants à des "atrocités qui défient l'imagination et heurtent la conscience humaine" (préambule du statut de Rome de la Cour pénale internationale): génocides, massacres organisés, viols collectifs, transferts forcés de population dans des conflits qui, aujourd'hui encore, ensanglantent le monde.
Quel plus grand scandale que l'impunité des criminels contre l'humanité ? Quel plus grand outrage pour les victimes et, au-delà, pour l'humanité tout entière ? Le jugement des responsables des génocides et crimes contre l'humanité ne saurait se limiter au seul tribunal de l'Histoire. Les victimes de la barbarie humaine ont le droit de voir leurs bourreaux poursuivis et condamnés. Les sociétés meurtries par des crimes qui révoltent la conscience ont le droit de se voir offrir une possibilité de réconciliation. L'humanité a le droit de se défendre contre l'oubli.
Patrie des droits de l'homme, la France ne sera jamais un sanctuaire pour les auteurs de génocide, de crimes de guerre ou de crimes contre l'humanité. La création d'un pôle "génocides et crimes contre l'humanité" au tribunal de grande instance (TGI) de Paris réaffirme la volonté de la France de lutter sans faiblesse contre leur impunité.
Hier soir, à la Maison de la recherche, à l'issue de sa présentation, Luc Boltanski s'est adressé à l'assemblée, demandant à être mis en relation avec un avocat d'affaire. Il songeait au « papa » voire à un « tonton » de l'une ou l'autre des jeunes personnes présentes, probablement une majorité d'étudiants de la Maison. Luc Boltanski disait se demander comment ces avocats d'affaires pouvaient composer avec le foisonnement actuel du droit. Mais comme je l'exposais il y a peu, à la cour d'appel de Versailles, il me semble que les acteurs de telles sphères sont réticents à se laisser observer ou étudier.
J'ai remis ma carte de visite à Luc Boltanski, lui expliquant très sommairement ce qu'il pourrait découvrir ici. Sur une photo illustrant l'un de mes billets, il est susceptible de reconnaitre son ouvrage Rendre la réalité inacceptable ou La production de l'idéologie dominante. Son recueil De la critique devrait me parvenir au cours de la semaine prochaine.
« s'il vous plait, ne recommencez pas »
Une petite bafouille, à Versailles
Demain matin, je file à la Poste, puis je vais être encore être très occupé.
Bruno Kant 1, allée de la Madeleine 92220 Bagneux http://justice.cloppy.net | Monsieur le Président 7ième chambre spéciale des créatures inférieures Cour d’appel de Versailles 5, rue Carnot 78000 Versailles |
Lettre ouverte
Monsieur le Président de la chambre des créatures inférieures,
Ce 11 décembre 2009, je vous informais que j’avais été interpellé en novembre dernier, dans Paris (7-5), en marge de rassemblements et d’un colloque organisés dans le cadre des vingt ans de la CIDE (Convention Internationale des Droits de l’Enfant). Le parquet de Paris pouvait donner suite. Je suis convoqué, ce 8 janvier 2009, dans l’entresol du palais de justice de Paris. J’ai maintenant bon espoir de m’extraire bientôt du huis clos que m’imposent depuis plusieurs années déjà des professionnels de la justice de Nanterre et de Versailles.
Depuis quelques temps, j’avais moi-même une plainte à déposer, en raison d’injures publiques, sur Internet. J’aurai pu la porter dans le secteur. Mais par ici, souvent, des écrits se sont égarés, ici rien n’est jamais vraiment avéré, pas même l’état civil, ici tout n’est jamais qu’approximatif, tout est fréquemment très « différent » de ce que j’ai pu percevoir et de ce que j’ai vécu ou doit tout simplement être « oublié » ou « supprimé ». J’ai donc porté ma plainte auprès du Tribunal de Grande Instance de Paris.
D’autre part, comme je l’exposais dans mes conclusions déposées ce 11 décembre dernier, au cours de l’audience en chambre du conseil, je n’ai pas l’intention ni aucun intérêt à faire un jour une quelconque grosse « bêtise ». En novembre dernier, je rencontrais encore de nombreux élus, personnalités et divers acteurs ou responsables associatifs, comme la plupart du temps, lors de mes « sorties » dans des Cités de civilisés. Peu après, juste avant noël 2009, l’une de ces personnes a fait une très grosse « bêtise ». Vous trouverez ci-joint un tabloïde, le Nouveau Détective n° 1424 ; ses pages 16 et 17 vous renseigneront. Mais vous pourriez avoir entendu parler de l’enlèvement de Maître Pascaline Saint-Arroman Petrof, par une mère et par sa fille.
Par ailleurs, depuis plusieurs années déjà, des professionnels de la Dass, le pasteur d’Uhrwiller et sa sœur, le juge pour enfant de Nanterre et des juges de la cour d’appel de Versailles s’évertuent à « sauver » le « psychisme » de ma fille aînée Justine. Je vous joins donc également une feuille de l’édition confidentielle du Parisien du Val de Marne(9-4) du 5 janvier 2009. En page IV vous lirez qu’un enfant d’Orly est depuis quelques temps entre la vie et la mort ; manifestement aucun professionnel de la Dass, ni aucun expert, ni aucun juge n’auront pu sauver la cervelle de cet enfant du 9-4. Je vous rappelle que le Docteur Magalie Bodon-Bruzel m’avait reçu fin 2005, dans l’UMD (Unité pour Malades Difficiles) de l’hôpital Paul-Giraud de Villejuif. J’ai le très net sentiment qu’au cours de ces dernières années, certains corbeaux, kapos, croyants, experts et juges ont pu manquer de clairvoyance, dans plus d’une affaire.
J’ai appris que ce 5 janvier 2009, Monsieur Jean-Amédée Lathoud, jusqu'ici procureur général près la cour d'appel de Versailles, précédemment quelque part dans le nord, a été nommé, en Conseil des ministres, à la tête de l'administration pénitentiaire.
Je vous informe encore que, peu après l’audience du 11 décembre dernier, en chambre du conseil, j’ai fait une liste au père noël à qui j’ai commandé une plume.
Je vous prie de croire, Monsieur le Président de la chambre des créatures inférieures, en mes plus cordiales salutations.
Pièces jointes :
• une convocation devant le délégué du procureur de la République
• le Nouveau Détective n° 1424 du 30 décembre 2009
• la feuille III – IV – V – VI du Parisien du 5 janvier 2010, édition du Val-de-Marne