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Disneyland : la grève ne doit pas se poursuivre dimanche
LE FLASH > Economie
Disneyland : la grève se poursuit
AFP Publié le 31/03/2012 à 13:44, extraits, l'essentiel...
Plusieurs dizaines de salariés de Disneyland Paris étaient en grève samedi pour la deuxième journée consécutive, sans toutefois perturber les activités du parc d'attractions, où sont lancées les célébrations du 20e anniversaire, a-t-on appris de sources concordantes. Il y avait environ 150 grévistes samedi, selon les syndicats. La direction de la société Euro Disney en dénombrait une quarantaine.
[...] La direction explique qu'il y a déjà eu trois plans pour les salaires en 18 mois, et 500 embauches ces deux dernières années. "Nous sommes désolés de ce mouvement qui ne reflète pas l'engagement du reste des salariés pour faire de ce week-end (...) une réussite", a dit la direction à l'AFP, mettant en avant qu'il y avait "au maximum 40 grévistes sur un effectif total de 14.500". La grève ne doit pas se poursuivre dimanche.
Pschitt de la plateforme Total : il faudra attendre
Plateforme Total : il faudra attendre au moins dix jours pour creuser un puits de secours
France Info; le Vendredi 30 Mars 2012 à 14:39, extrait
Les travaux de creusement d'un puits de secours permettant de détourner la fuite de gaz sur la plateforme Total d'Elgin, en mer du Nord, pourraient démarrer d'ici une semaine à dix jours. Un incident qui pourrait coûter cher à Total.
Le père de Merah juge que son fils a eu tort mais attaque le RAID
NDLR : Le chat de Medvedev, le forum des fans des talibans, les soucis de Grébert ou de RSF, ceux du RAID ou du père de Merah, je m'en cogne. Je suis très content pour Rama Yade, elle semble (enfin) avoir l'assurance de pouvoir voter. Idem, je viens de recevoir ma nouvelle carte électorale ; où je réside actuellement, pour l'obtenir, je n'ai eu qu'à remplir de très banales formalités. Pour voter, en 2007, j'avais du solliciter un juge, Nanterre m'avait refusé sur la liste électorale. Quoi ajouter encore, dont #lesgens ne s'en cogneraient pas eux-même ? Bisoux
Actualité > Faits divers
Le père de Merah juge que son fils a eu tort mais attaque le Raid
Le Parisien | Publié le 28.03.2012, 17h54 | Mise à jour : 23h50, extrait
«Si mon fils est réellement derrière ce qui s'est passé (à Montauban et à Toulouse,ndlr), ce n'est pas bien», a déclaré Mohamed Benalel Merah dans une interview diffusée mercredi par France 24. Le père de Mohamed Merah a exprimé pour la première fois une pensée à l'égard des victimes, tout en restant quelque peu dubitatif sur la culpabilité de son fils.
«S'il a vraiment commis ces crimes et tué des innocents, il a eu tort. Si c'est vraiment lui», a insisté Mohamed Benalel Merah. «Ils étaient innocents. Il y avait des enfants parmi eux. Les jeunes militaires avaient des parents. Il y avait des Maghrébins parmi eux. Il n'avait pas à faire ça. Si c'est bien lui», a-t-il expliqué. «S'il a été poussé à commettre ces actes par d'autres gens, ils ont tort. Ils l'ont aveuglé», a-t-il estimé.
Il a chargé une avocate de poursuivre le Raid pour «assassinat»
Mardi, le père de Mohamed Merah avait vivement réagi hier depuis Alger où il donnait une petite conférence de presse, bien encadrée, dans les locaux du quotidien local arabophone Echourrouk qui a diffusé cet entretien, fermé à d'autres journaux et notamment à la presse étrangère.
Il a réaffirmé son intention de porter plainte contre les services de sécurité français et a chargé une avocate de poursuivre le Raid (police française) pour «assassinat». Ces hommes responsables à ses yeux de la mort de son fils de 23 ans, auteur du meurtre, à bout portant, de sept personnes à Toulouse et à Montauban, des meurtres qu'il a pris soin de filmer. Il s'était autoproclamé djihadiste d'Al-Qaïda avant de mourir, armes à la main, à son domicile, dans la fusillade durant l'assaut des hommes du Raid le 22 mars, après 32 heures de siège.
Le père du tueur au scooter a également dénié au ministre français des Affaires étrangères, Alain Juppé, le droit de lui demander de «se taire». Après avoir déclaré auparavant au bureau de l'AFP en Algérie qu'il allait attaquer en justice les services français, il a provoqué l'ire des responsables politiques et à leur tête le président Sarkozy ou le candidat socialiste à sa succession François Hollande, ayant jugé ces propos «indignes» et «indécents». Et Alain Juppé a déclaré aussitôt : «Si j'étais le père d'un tel monstre, je me tairais». Pour Benalel Merah le père de Mohamed, «aucun responsable français n'a le droit de me demander de me taire».
Et d'ajouter : «je suis un citoyen algérien libre dans mon pays, je m'exprime comme je veux, c'est mon droit de défendre mon fils et mon pays (...) Comment un responsable de ce niveau qui se vante de la démocratie et de la liberté d'expression peut-il demander à un père meurtri par la perte de son fils de se taire ? Moi, je n'ai peur que d'Allah».
Puis il s'étonne encore en accusant les services français : «Ils auraient pu l'assommer avec des gaz. Ils ont les moyens pour le prendre endormi comme un enfant, l'arrêter vivant. Pourquoi ont-ils fait ça ? Ils auraient mis les moyens pour l'arrêter et le passer devant la justice. Qu'ils le condamnent même à perpète puisque la peine de mort a été abolie par Mitterrand...» Mais rien sur la violence de son fils qui a semé l'effroi dans toute la région toulousaine.
Il reconnait en revanche ses propres démêlés avec la justice française début 2000 pour trafic de stupéfiants qui lui ont valu des années de prison. «La justice a fait son travail», a t-il répondu sans sourciller avant de se montrer à nouveau menaçant contre les autorités françaises qui seraient, selon lui, «responsables de toutes représailles ou atteintes à (sa) famille à Toulouse».
Le père de Merah ne veut pas se taire
Voir aussi Merah : Laurent (PCF) comprend le père
LE FLASH > Actualité
Le père de Merah ne veut pas se taire
AFP Mis à jour le 28/03/2012 à 12:21 | publié le 28/03/2012 à 12:19
Le père du djihadiste français Mohamed Merah a dénié à tout responsable français le droit de lui "demander de se taire", dans un entretien publié aujourd'hui, répondant au chef de la diplomatie française Alain Juppé qui lui avait conseillé de se "taire".
"Aucun responsable français n'a le droit de me demander de me taire. Je suis un citoyen algérien libre dans mon pays, je m'exprime comme je veux, c'est mon droit de défendre mon fils et mon pays", a déclaré Mohamed Benalel Merah lors d'une rencontre hier avec le quotidien arabophone Echorouk qui en publie le compte-rendu sur deux pages.
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Al-Jazira propose de remettre à la justice les images des tueries
Actualité > Faits divers
Al-Jazira propose de remettre à la justice les images des tueries
Le Parisien | S.M. avec Am. Br | Publié le 27.03.2012, 10h24 | Mise à jour : 22h27, extraits
La chaîne de télévision qatarie Al-Jazira, le parquet et les familles de victimes se sont accordées mardi devant le tribunal de Paris pour que la chaîne ne diffuse pas la vidéo des assassinats commis par Mohamed Merah et remette à la justice les copies dont elle dispose. Alors que dans l'après-midi, le parquet de Paris avait assigné la chaîne en référé afin de l'empêcher de diffuser ces images, quasi-simultanément Al-Jazira annonçait dans un communiqué que «conformément à son code d'éthique et compte tenu du fait que les vidéos n'ajoutent aucune information qui n'est pas déjà du domaine public», elle «ne diffusera pas leurs contenus».
Me Patrick Klugman, l'avocat de la famille de Jonathan Sandler, assassiné avec ses deux enfants le 19 mars, avait tenu à une décision juridique. «Il y a un communiqué d'Al-Jazeera, mais quelle est sa force, quelle est son autorité ?», a-t-il affirmé. Mais au vu des engagements pris à l'audience, le procureur Pauline Caby a reconnu que l'interdiction réclamée était «devenue sans objet». «La chaîne a pris l'engagement de ne pas procéder à la diffusion en France ou à l'étranger de cet enregistrement», a relevé le procureur Pauline Caby. «C'est une décision qui semble s'imposer mais qu'il est heureux d'entendre prononcer ». Le tribunal, à qui les différentes parties ont demandé de «donner acte» de ces déclarations, rendra sa décision mercredi à 17h.
[...] En marge d'un déplacement de campagne à Guérande (Loire-Atlantique), Nicolas Sarkozy a salué mardi la décision «raisonnable» de la télévision qatarie Al-Jazeera, et promis d'empêcher leur diffusion éventuelle par d'autres chaînes. «C'est une décision raisonnable qui a été prise par Al-Jazeera, et je vous dis tout de suite que si elle devait être détournée par des télévisions appartenant ou proches d'organisations propageant des idées terroristes, nous n'hésiterons pas à faire ce qu'il faut pour empêcher la diffusion du signal», a déclaré le chef de l'Etat. Son rival dans la course à l'Elysée, François Hollande, avait estimé de son côté que la diffusion de telles images serait «extrêmement grave».
Alors que les images des scènes de meurtres hantent les esprits des familles des victimes et des Français, le responsable du bureau parisien de la chaîne qatarienne offre une description. Elles auraient été montées avec de la musique et des versets du Coran. « On voit toutes les attaques perpétrées à Toulouse et à Montauban, dans l'ordre chronologique », « on entend les coups de feu au moment des assassinats, les voix, celle du tueur et celle des victimes... », avait-il poursuivi, ajoutant : « On n'est pas une chaîne de sensationnel, on ne cherche pas à diffuser des images sans mesurer les risques et les conséquences », expliquait-t-il encore.
Lycéenne retrouvée morte : des aveux
NDLR : « Des vies gâchées... le chien n'a pas été retrouvé »
Infos > Faits divers
Lycéenne retrouvée morte : des aveux
Par Europe1.fr avec Emilie Nora et agences
Publié le 27 mars 2012 à 18h41
Mis à jour le 27 mars 2012 à 23h20
Son corps a été découvert mardi près d'Yssingeaux, en Haute-Loire. Le suspect a avoué.
Une jeune fille de 19 ans a été retrouvée morte, mardi, en Haute-Loire, deux jours après sa disparition dimanche à Yssingeaux. Gala se trouvait ce jour là avec son chien, un rottweiler. Elle ne s'était pas présentée lundi matin au lycée agricole qu'elle fréquentait et sa mère avait tenté de la joindre sans succès.
Son corps a finalement été retrouvé mardi au bout d'un chemin d'Yssingeaux, près d'un petit ruisseau, sur les indications d'un suspect. L'homme de 35 ans, placé en garde à vue, mardi a finalement avoué "lui avoir donné la mort", a indiqué le parquet.
La question de l'agression sexuelle "reste posée"
"Il a passé la soirée de dimanche à lundi avec elle. Il a reconnu l'avoir ramenée à Yssingeaux, à son domicile à lui", puis l'avoir "agressée" et lui avoir "donné la mort", a déclaré lors d'une conférence de presse le procureur de la République de Clermont-Ferrand, Pierre Sennes.
Selon le magistrat, l'adolescente "a reçu un choc à la tête qui pourrait avoir été porté avec une bouteille", un scénario que devra confirmer l'autopsie prévue mercredi. Après le meurtre, commis lundi, il a expliqué avoir "emmailloté le corps dans un drap", l'avoir "chargé dans le coffre de son véhicule puis déposé dans la forêt", selon le procureur.
Le suspect, qui avait "proposé à la jeune fille de la ramener" après une soirée passée avec des amis, "la connaissait apparemment depuis quelques jours", a poursuivi Pierre Sennes. Il est "plus ou moins forestier" et son casier judiciaire est vierge. La question de l'agression sexuelle "reste posée", a ajouté le magistrat, pour qui le médecin légiste doit "apporter les précisions".
"Des vies gâchées"
De gros moyens d'investigation avaient été mis en place pour tenter de retrouver la jeune fille, à Yssingeaux mais aussi à Lyon où elle avait des amis. "Je suis profondément choqué", a déclaré le maire. "C'est des vies gâchées. C'est un nouveau drame de la jeunesse".
Gala, dont les parents habitent en région parisienne, était en deuxième année de BEP de soigneur aide-animateur aux métiers du cheval, au lycée George Sand. Elève moyenne, sans problèmes apparents, elle était entourée d'amis. Son appartement, qu'elle louait à Yssingeaux, a été perquisitionné.
Le chien n'a, quant à lui, pas été retrouvé.
Cassez : Sarkozy promet de se battre
Infos > Politique
Cassez : Sarkozy promet de se battre
Par Europe1.fr avec Reuters
Publié le 23 mars 2012 à 14h34
Mis à jour le 23 mars 2012 à 14h34
Nicolas Sarkozy s'est déclaré "triste" du maintien en détention de Florence Cassez, une Française condamnée à 60 ans de prison au Mexique, tout en soulignant que la justice locale commençait à bouger sur ce dossier qui empoisonne les relations entre Paris et Mexico.
"Je suis triste pour Florence", a-t-il dit vendredi à des journalistes en marge d'un déplacement de campagne électorale à Valenciennes. "Je ne renonce pas, on continue. Je verrai sa famille", a-t-il ajouté.
Condamnée pour complicité d'enlèvement, une accusation qu'elle conteste avec véhémence, Florence Cassez a vu cette semaine une demande de libération rejetée bien que quatre des cinq juges de la Cour suprême mexicaine ont reconnu que ses droits avaient été violés dans la procédure.
21 mars : Journée mondiale de la Trisomie-21
NDLR : Le parquet général de Versailles a-t-il une idée de ce qu'est la trisomie 21 ?
Le Soleil > Opinions > Points de vue
21 mars : Journée mondiale de la Trisomie-21
Publié le 21 mars 2012 à 08h00 | Mis à jour à 08h00, cyberpress.ca
Une résolution de l'ONU en 2011 a institué la date du 21 mars comme Journée mondiale de la Trisomie-21. L'occasion se présente donc pour faire le point sur la situation actuelle de la Trisomie-21 au Québec.
Dans un premier temps, il est utile de se remémorer quelques-uns des grands titres de l'actualité en lien avec la Trisomie-21. «Saint Jude; un homme atteint de Trisomie-21 passe plusieurs jours avec le cadavre de son frère avant de mourir de faim et de soif (2010)», «Utilisation du Taser pour maîtriser un homme de 43 ans atteint de Trisomie-21 (2009)», «Un homme accusé d'avoir agressé sexuellement une dame trisomique de 47 ans (2008)», «Hôpital Sainte-Justine: un garçon de 9 ans trisomique n'est plus le bienvenu (2006)», «L'agresseur d'une jeune trisomique voit sa peine réduite (2004)», «Une fillette trisomique de 7 ans n'est pas la bienvenue dans sa classe (2004)», «Une femme trisomique de 41 ans morte de faim et de soif après le suicide de son frère aîné qui s'occupait d'elle (2004)».
Sans oublier l'actuel gouvernement du Québec qui a mis en place un programme de dépistage prénatal de la Trisomie-21, envoyant ainsi le message à la population que mieux vaut ne pas vivre du tout que de vivre avec une Trisomie-21. À l'égard de celles-ci, ce fut d'ailleurs la seule générosité dont s'est senti capable le gouvernement du Québec. Cette politique du «contentezvous» les a enfoncées brutalement, ainsi que leur famille, dans une situation de repli et dans un grand sentiment d'isolement et d'incompréhension.
Ce petit tour d'horizon nous fait constater à quel point rien n'est facile, même de nos jours, pour les personnes vivant avec une Trisomie-21. Il s'agit bien là d'une grave injustice à leur égard puisqu'elles méritent bien plus que l'abandon général à leur endroit.
En effet, les personnes vivant avec une Trisomie-21, bien qu'aux prises avec un retard sur le plan intellectuel...
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Les élus de Nanterre revivent leur drame à travers celui de Toulouse
Actualité > Nanterre
Dix ans après la tuerie, les élus de Nanterre revivent leur drame à travers celui de Toulouse
Le Parisien |Valérie Mahaut | Publié le 21.03.2012, 04h12
Hier soir, dix ans après la tuerie de Nanterre et au lendemain de celle de Toulouse, les élus du conseil municipal ont partagé la douleur des familles des victimes lors d’une minute de silence.
Dix ans d’écart, 700 km de distance, mais le même effroi, la même stupeur, la même peur face à l’horreur. Hier soir, dix ans après la tuerie de Nanterre et deux jours après celle de Toulouse (Haute-Garonne), les élus du conseil municipal de Nanterre ont partagé la douleur des familles des victimes dans une minute de silence, à l’ouverture de la séance du conseil.
Immédiatement après l’appel des présents, le maire de la ville, Patrick Jarry, a proposé cette minute de silence. « Après les événements de Toulouse hier matin, qui font suite à la mort des militaires, je propose une minute de silence », a exhorté un Patrick Jarry solennel.
« Evidemment, elle a une valeur particulière dans cette ville et dans cette salle où, il y a dix ans, nous avons connu les événements que vous savez, a-t-il justifié. Avec vous, par cette minute de silence, je veux envoyer à Toulouse un message de soutien et de solidarité, comme nous en avions reçu de toute la France. »
Toulouse : un djihadiste décrit comme « calme et gentil »
NDLR : Si la piste, Al-Quaïda, et le suspect sont les bons, parions que le « forcéné » sera un jour jugé, peut-être à huis-clos, et non simplement interné d'office en UMD, sans procès, façon Breivik ?
LE FLASH > Actualité
Toulouse:5 membres de la famille arrêtés
AFP Mis à jour le 21/03/2012 à 11:56 | publié le 21/03/2012 à 10:57
La mère du principal suspect des tueries de Toulouse et de Montauban retranché dans un appartement, ses deux frères et deux sœurs ont été placés en garde à vue ce matin dans le cadre de l'enquête sur les trois fusillades qui ont fait sept morts depuis le 11 mars, selon le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant.
Ces gardes à vue, qui peuvent durer jusqu'à quatre jours en matière de terrorisme, ont débuté entre 4 et 6 heures du matin, a-t-on précisé. Les enquêteurs ont perquisitionné pendant plusieurs heures aux domiciles de la mère et du frère du suspect né en 1988.
Interrogé à ce sujet, le ministre de l'Intérieur Claude Guéant a répondu lors d'une conférence de presse qu'il s'agissait de "gardes à vue de précaution". Il avait indiqué plus tôt que la mère du suspect Mohammed Merah avait été amenée plus tôt par la police dans le quartier où son fils est retranché, mais qu'elle "n'a pas souhaité prendre contact" avec lui. Selon une source proche de l'enquête, le frère est un sympathisant de l'islam le plus radical.
LE FLASH > Actualité
Toulouse: le suspect a cessé de discuter
AFP Mis à jour le 21/03/2012 à 11:06 | publié le 21/03/2012 à 10:53
Le principal suspect des tueries de Toulouse et de Montauban, Mohammed Merah, a cessé de discuter avec les policiers, a déclaré le ministre de l'Intérieur Claude Guéant. "Il ne parle plus, les conversations se sont interrompues", a dit Claude Guéant devant la presse. Il a ajouté que le tueur présumé était suivi depuis des années par la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI).
Libération d’Abdelhamid Hakkar, l’un des plus anciens détenus de France
NDLR : Ca me rappelle « Or, les murs », et Caen, la perpet... Il fallait faire appel, M. Hakkar !
Libération d’Abdelhamid Hakkar, l’un des plus anciens détenus de France
le Dimanche 18 Mars 2012 à 20:25, France Info
Il aura passé 27 ans en prison, pour le meurtre d’un policier qu’il a toujours nié. Abdelhamid Hakkar, 56 ans, a été libéré dimanche soir à Ensisheim (Haut-Rhin), au terme d’un parcours judiciaire hors norme.
Pour l’instant, il n’est qu’en permission. La fin officielle de son incarcération n’interviendra en effet que mardi matin, au moment où il sera placé sous bracelet électronique. Abdelhamid Hakkar vivra ensuite au sein de sa famille, à Besançon (Doubs), et travaillera dans une association de réinsertion de détenus.
Ce petit homme à moustache, fin juriste, clôt ainsi un parcours judiciaire hors norme. Condamné à trois reprises à la perpétuité pour le meurtre d’un policier à Auxerre en 1984, il avait obtenu de la Cour européenne des droits de l’Homme d’être rejugé après un procès où ni lui ni son avocat n’avaient assisté.
Il aura aussi été condamné à quatre reprises au cours de sa détention pour des tentatives d’évasion. Des tentatives qui lui ont notamment valu de passer 12 ans à l’isolement et d’être transféré à 45 reprises.
Hakkar se sera également illustré en cosignant en 2006 avec neuf autres détenus de la centrale de Clairvaux (Aube) un texte réclament "le rétablissement de la peine de mort", préférable à une "perpétuité réelle" qui les faisait "crever à petit feu".
Après 27 ans derrière les barreaux, celui qui faut jusqu’à ce dimanche soir l’un des plus anciens détenus de France, n’aspire qu’à une chose : "Être paisible pour sa réinsertion", confie son avocate Me Canu-Bernard.
Sarkozy parle à « la majorité silencieuse »
NDLR : Après tout ce qui s'est passé, pas de réactions au contenu de mon blog, juste du off, très occasionnellement, parfois des « s'il vous plait, modifiez ceci et cela, pliiiize, ne publiez plus... » ou encore, « oui, on le sait bien, la justice, ça fonctionne mal, mais avez vous fait appel ? » La « majorité silencieuse » à laquelle Sarkozy vient de s'adresser, je l'ai souvent sondée au cours des années passés. Récemment, après avoir échangé sur twitter puis avoir écrit à Sébastien Huygue, cellule riposte UMP, je sondais donc encore une fois des socialistes, ceux du quartier, en les incitant aussi à lire également mon blog. Un peu comme Sarkozy, et alors que je suis effectivement très souvent lu et entendu, je me doute que tous ces silencieux ou taiseux n'en pensent pas moins, et qu'ils prennent aussi et très régulièrement des décisions. Je pense que le comité de soutien qui se constitue autour de Christophe Grébet et de monputeaux.com devrait pouvoir confirmer, l'association ARVA qui soutenait Arthur et Valentine devrait pouvoir confirmer également, des silencieux peuvent parfois se rassembler et agir ou réagir.
LE FLASH > Présidentielle
Sarkozy parle à "la majorité silencieuse"
AFP Publié le 16/03/2012 à 13:50
Le président-candidat Nicolas Sarkozy a exhorté aujourd'hui, lors d'un meeting à Meaux, "la majorité silencieuse" des Français à refuser "le diktat de la pensée unique" et "les scénarios écrits à l'avance" pour permettre sa victoire le 6 mai.
"Pendant cinq ans, j'ai donné à la France tout ce que je pouvais lui donner et je vous dis, du fond de mon coeur: j'ai fait tout ce qui était humainement possible avec une seule idée, tenir, tenir, tenir, envers et contre tout pour que la France tienne", a-t-il déclaré aux militants (plus de 2.000, selon l'UMP) réunis au Gymnase Tauziet, à Meaux, la ville dont le secrétaire-général de l'UMP, Jean-François Copé, est maire.
"Refuser le diktat de la pensée unique"
"Lorsqu'on est président de la République, il faut avoir du courage, il faut savoir dire non, il faut savoir résister", a-t-il insisté pendant son meeting après avoir visité le quartier de Beauval, axée sur la rénovation urbaine. "Dans ces deux mois qui restent, la victoire, le résultat, dépendra de vous, comme jamais dans l'histoire politique de notre pays, jamais. Vous n'imaginez pas", a lancé le chef de l'Etat.
"Si le peuple de France décide que la majorité silencieuse refuse le diktat de la pensée unique, refuse les scénarios écrits à l'avance, refuse qu'on lui impose des idées dont elle ne veut pas, et si ce peuple de France, où qu'il se trouve, quel qu'il soit, dit "maintenant, ça suffit, c'est nous en liberté qui choisirons le prochain président de la République" alors je vous le dis, mes chers amis, oui, on va gagner", a-t-il assuré sous les "Nicolas président!" de la salle.
Hollande interpellé par les urgentistes
NDLR : C'est utile, les urgences. Mais en 1999, on pouvait déjà y crever... Moi, ça va.
LE FLASH > Présidentielle
Hollande interpellé par les urgentistes
AFP Publié le 16/03/2012 à 13:22
L'Amuf, association de médecins urgentistes, a écrit aujourd'hui au candidat socialiste à l'élection présidentielle François Hollande pour lui demander de se "positionner" sur les question de la santé, regrettant la "timidité" de ses propositions dans ce domaine.
L'Amuf "vous demande de vous positionner pour que la France retrouve sa place dans l'efficacité et l'accessibilité de son système de soins", écrit l'association dans cette lettre ouverte à François Hollande.
La santé, 11,7% du PIB
"Le secteur sanitaire souffre d'une grave crise, les dépenses de santé représentent 11,7% du PIB, il s'agit donc d'un enjeu socio-économique majeur pour tous nos concitoyens", souligne-t-elle, dénonçant "les thèses néolibérales qui ont nourri toutes les réformes de ces dix dernières années".
Banier : Le Point condamné en appel
LE FLASH > Actualité
Banier: Le Point condamné en appel
AFP Publié le 10/03/2012 à 08:29
La Cour d'appel de Paris a confirmé le 22 février une décision du tribunal de grande instance de Paris de condamner Le Point pour atteinte à la présomption d'innocence de François-Marie Banier dans le cadre de l'affaire Bettencourt, selon un arrêt consulté hier par l'AFP.
La cour a confirmé "en toutes ses dispositions" un jugement prononcé le 24 novembre 2010 par la 17e chambre civile du tribunal de grande instance de Paris. Le journaliste du Point, Hervé Gattegno, et son magazine avaient été condamnés par la 17e chambre civile du tribunal de grande instance de Paris à verser un euro symbolique au photographe, ainsi qu'à publier le jugement. Ils avaient fait appel de la décision.
L'article litigieux était daté du 24 juin 2010. Intitulé "Les amis de Mme Bettencourt", il proposait notamment des extraits d'une conversation entre François-Marie Banier, le gestionnaire de fortune de Liliane Bettencourt, Patrice de Maistre, son avocat Me Georges Kiejman et son notaire Jean-Michel Normand. La cour a considéré que les premiers juges avaient relevé "à juste titre" que le choix de publier des extraits de cette conversation relevant de la défense de M. Banier "sans aucune précaution ni explicitation particulière destinée à éviter une lecture dénaturée de leur retranscription" avait compromis sa présomption d'innocence.
Par ailleurs, dans un autre arrêt, la cour a infirmé un jugement rendu le 21 juin 2010 par le tribunal de Paris et qui donnait raison au Point.
Royal fait du porte-à-porte à Bagneux
NDLR : Cité de la Madeleine, « ton papa est là ? » Si Royal pensait me croiser, si elle ou des socialistes pensaient que nous pourrions discuter de notre échange de la fin 2006, c'est raté, j'ai déménagé, l'été dernier
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Royal fait du porte-à-porte à Bagneux
AFP Publié le 07/03/2012 à 21:43
19H00. Bagneux. "Bonjour Madame. On ne vous dérange pas?". Ségolène Royal, ex-candidate à la présidentielle, sonne à la porte d'un appartement. Opération porte-à-porte pour la campagne de François Hollande. But: lutter contre l'abstention et toucher cinq millions de foyers.
Cité de La Madeleine. Plusieurs barres d'immeubles rénovées récemment et assez soignées de dix étages. Des fumets de soupe s'échappent des portes fermées. La présidente de la région Poitou-Charentes monte au premier, accompagnée d'une militante PS, Ghislaine, et frappe à la première porte.
"Bonjour Madame. On ne vous dérange pas? Pas du tout", répond la dame africaine, fichu sur la tête. "On voulait savoir si vous vous intéressez à l'élection, si vous avez des questions", poursuit Mme Royal. La dame dit qu'"il y a beaucoup de femmes qui se plaignent du logement, des enfants. Je suis ravie de vous voir. Vous voulez un café?". L'ex-candidate à l'Elysée décline puis sonne à la porte de l'appartement suivant. Pas de réponse. Un autre encore pas de réponse. Escortée d'une caméra, d'un micro perche, elle monte au 2e étage. Une porte s'ouvre sur une petite fille. "Ton papa est là?, demande Royal.
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