Mot(s) clef: metz
Faurisson : délibéré le 15 septembre
Faurisson, l'authentique, je ne suis pas sûr qu'il soit très connu... voir plus bas, l'article du Monde.fr avec AFP.
En novembre dernier, j'envoyais une « lettre et un documentaire #LMEF à un avocat qui réclamait l'aide juridictionnelle ». J'invitais alors cet avocat de Metz a lire ou a relire, à mieux lire ce que je lui avais déjà fait parvenir, dans le cadre d'une procédure auprès du JAF, de Metz. Doucement, et alors que Cédric Giancecchi avait déjà pu percevoir une résistance, de franches objections de ma part, je ne lui reconnaissais plus de qualités professionnelles.
Puis passé mi novembre dernier et une audience a Metz, j'écrivais que je n'hésiterais plus à parler d'un faurisson. En janvier, cet « avocat » finissait par déposer son mandat pour la requérante, la partie adverse. A cette période, en janvier, j’enfonçais le clou avec une campagne de publicité #antipub sur Twitter. Plus tard encore, en audience, j’apprenais que cet « avocat » avait déposé son mandat car il avait été « personnellement mis en cause ».
Le JAF de Metz devait rendre un délibéré pour le 29 mai dernier ; donc, en plein procès « Outreau 3 ». Mais renseignement pris auprès du greffe, il y a eu report ; pour des raisons que j'ignore. Un recommandé m'attend au bureau de poste, il doit s'agir du délibéré du JAF de Metz, finalement rendu fin de semaine passée. Pour moi, ce jugement qui me parvient sera en premier une curiosité. Qu'aura décidé le JAF de Metz, et surtout, comment l'aura-t-il motivé ?
Je ne pense pas me rendre à la Poste avant lundi. C'est le week-end - et la nuit du hack.
Police et justice
Six mois de prison avec sursis requis contre Faurisson pour négationnisme
Le Monde.fr avec AFP | 17.06.2015 à 04h25 • Mis à jour le 17.06.2015 à 08h49
Le parquet a requis six mois de prison avec sursis et 10 000 euros d’amende contre Robert Faurisson, mardi 16 juin, pour des propos négationnistes que le prévenu a revendiqué à la barre du tribunal correctionnel de Paris.
M. Faurisson, 86 ans, était poursuivi pour ses propos dans un portrait-entretien intitulé « Un homme, Faurisson », diffusé notamment sur deux sites internet dont les responsables présumés étaient également poursuivis.
« Je continuerai d’enfreindre la loi »
Interrogé sur les propos en cause (« je ne crois pas aux chambres à gaz nazies », « la prétendue chambre à gaz », ou encore « totale bouffonnerie »), M. Faurisson a répété : « Il n’a existé aucun camp d’extermination, il a existé des camps de concentration, des camps de travail, et il n’y a pas eu d’extermination, c’est tout à fait clair. »
« Bloqué », par SOS les Mamans, une faveur
Il est facile d'injurier et de bloquer des gens, de crier « don't feed the troll » ou « attention au méchant », plutôt que de discuter sereinement avec eux, de choses embarrassantes, sinon compromettantes. Un certain @Euterpeaventure, parfait anonyme, recherchait des « témoignages » à défaut d'éléments de preuves ou suffisamment concrets (c'est en dire long, vu le milieu), manifestement dans le but de me nuire, de me noircir au moins, aux yeux de quelques uns... dont une bonne part de fange qui soutient les enfants des Delay - tant pis pour ces derniers.
@SOS_les_Mamans a réagit. Cette association ou ce compte m'a bloqué il y un très long moment déjà. Je doute que cette association accepterait un jour de discuter de l'intégralité des productions de l'un de leurs chantres, Maurice Berger, « pédo-psy », ou encore d'ouvrages ou conférences auxquels cet « expert » a pu contribuer. Et je suppose qu'il parait à @SOS_les_Mamans comme à @Euterpeaventure plus facile de me taxer lapidairement de « masculiniste », repoussoir, de calomnier, de m'injurier, plutôt que de reconnaitre des vérités évidentes pour beaucoup... par exemple, que l'un des « professionnels » du fiasco d'Outreau, Jean-Luc Viaux, « psychologue », s'est magistralement vautré, y compris lorsqu'il qualifiait lui-même ses propres travaux d'« expertises de femme de ménage ». Maurice Berger, pour pas mal, « un réac très à droite » ; je pense qu'à cet « expert » là, il ne fallait jamais toucher non plus, d'autant moins qu'il vient de publier une tribune sur le HuffPost, « Outreau : ma réponse de "pseudo-sachant" aux vrais "méprisants" ». Petit monde
C'est juste normal, courant sur Twitter : tweetez de travers du point de vue de quelques uns, puis vous finissez injurié/bloqué. J'en profite pour noter ici que l'affaire des viols dans des foyers de la Dass d'Anger est au point mort, qu'un avocat y frétille, viendrait même de saisir un juge d'instruction... et qu'à Nantes, il pouvait ne s'agir de vent.
Mes relations avec les « masculinistes » ou les « pères grues » ? Ces voleurs ont revendiqué mon action de mars 2013 sur Beaubourg, ce que @AFP et @prefpolice devraient pouvoir confirmer
Le délibéré de Metz ? Les juges de là bas ont pu s'octroyer un temps de réflexion.
De quelques echanges du week-end, sur Twitter, un espace publique
Norbert de Top chef condamné pour avoir diffamé son père
NDLR : Etranges, ces #journalistes, qui s'imaginent qu'on renouerait à l'occasion de tels procès, dans les couloirs des tribunaux... après ce genre d'histoire, un passé pareil, dépeint par Norbert, au gré de ses déclarations et multiples imprudences, pour M6, la presse people, des médias. « On ne choisit pas sa famille... » Ces affaires auraient plutôt pour réputation de finir de distendre et de rompre tous liens, lorsqu'il en subsistait. « C’est un rêve d’enfant. Je voudrais bien partager des moments avec lui. Se parler d’homme à homme, de père à père. C’est la plus grande carence de ma vie. » Après 20 ans, « vingt ans de silence », Norbert n'a toujours pas tourné la page ? J'ai le sentiment que ces ensembles de textes sur la vie privée, sur « la diffamation », ainsi que les limites ou restrictions qui s'appliquent à chacun ainsi qu'à la presse, aux médias, en général, doivent en emmerder plus d'un.
Pontoise (95300)
Ma ville, Val-d'Oise, Actualités
Norbert de Top chef condamné pour avoir diffamé son père
Frédéric Naizot | 16 Avril 2015, 18h00 | MAJ : 16 Avril 2015, 20h31, le Parisien
Norbert le cuisinier de Top chef avait évoqué dans une interview à « Voici » les circonstances dans lesquelles son père avait choisi son prénom qu’il n’aime pas. Il y raconte que celui-ci, sous l’emprise de l’alcool, aurait oublié celui initialement par sa mère en arrivant à l’état civil.
Ce qui lui a valu d’être condamné ce jeudi par le tribunal correctionnel de Pontoise. Les poursuites avaient été engagées par son père qu’il ne voit plus depuis vingt ans et qui a réclamé 30 000 € de dommage et intérêt lors de l’audience de février dernier.
Le tribunal a estimé que le jeune chef médiatique de 34 ans s’était bien rendu coupable de diffamation, tout comme l’hebdomadaire people. Les deux prévenus ont été condamnés à une peine d’amende délictuelle de 1 200 €. Les magistrats ont toutefois revu assez largement à la baisse les dommages et intérêts réclamés par le plaignant. « Voici » et Norbert Tarayre sont condamnés à verser solidairement la somme de 2 500 € au titre du préjudice moral. Les deux prévenus devront aussi verser chacun 1 250 € pour les frais de justice.
A gauche, opération « rangs serrés » et « secrets » avant le second tour
Zut... Je viens de lire que Taubira, la garde des sceaux ou ministre de la justice, passe pas loin de chez moi, mais que c'est secret ! Je lui aurais volontiers serré la paluche, pour lui glisser une carte de visite et lui dire que #Metz ou ces #avocats et cette ultime procédure auprès d'un JAF m'amusent beaucoup. « Il faut être là où on ne vous attend pas, être présent et ne pas se laisser intimider », commenterait Valls, après volte-face ?
#Mouahaha Taubira vient dans le secteur #LHayLesRoses #Fresnes
@AdrienJolly @VincentJEANBRUN Mais c'est secret :-) pic.twitter.com/rtIazae2Tk
— Bruno Kant (@bkant) 26 Mars 2015
Délibéré le 29 mai
La « diffamation », ce piège à cons, pourrait donc poser problème à quelques journalistes. Je commence ce billet en notant qu'un avocat du milieu des « pères grues » a été mis en cause par ce dernier, via les ondes de Europe 1. L'information a pu être prise très au sérieux par les journalistes comme par l'Ordre des avocats de Paris. Dans le cadre du contradictoire, cet avocat avait pu réagir pour Europe 1 ; il dénonçait « un complot antisémite, puis un complot orchestré par des ténors du barreau. » Il avait aussi réagit sur Twitter ; depuis ce week-end, son compte semble avoir été suspendu, fermé ; il y réclamait un droit de réponse, semblait exiger deux heures d'antenne sans nous préciser de quoi il souhaitait encore nous parler, dommage...
Je viens d'acquérir « Faire justice soi-même, Etude sur la vengeance », un collectif paru aux PUR, en 2010. Dès la quatrième, on peut être tenté d'en offrir un exemplaire à notre ex-première dame : « le citoyen voit son désir de vengeance condamné comme une réaction affective privée prohibée. » En se penchant sur le droit en vigueur ainsi que sur la jurisprudence des gifles, on comprend que Valérie Trierweiller finira désapprouvée, condamnée. En s'y penchant mieux, on y lira que l'excuse de provocation figure encore dans l'article 33 de la loi du 29 juillet 1881 de la liberté de la presse. Plutôt que de baffer Mohamed Rizki, qui s'est senti humilié, blessé au plus profond de son fragile et petit être, Valérie Trieweiller aurait du se contenter de lui répondre, voir de l'injurier. En terrasse d'un café Parisien, pour Rizki, l'effet d'une bonne et courte réplique en retour pouvait être similaire à celui d'une gifle bien mérité.
J'avais trouvé « Faire justice soi-même » suite à des échanges récents, sur Facebook. Le sujet traité sous cet angle particulier de la « vengeance » m'avait intéressé. Dans notre société, « se faire justice » comme « faire justice » est prohibé ; « se venger », n'en parlons même pas. Ecrire, s'exprimer et publier n'est pas encore interdit, même si l'avenir s'annonce assez incertain... « Faire sans la justice ? », c'est l'idée de pas mal de pères, de quelques uns de leurs chantres ou qui traverse leur nébuleuse ; ce n'était pas la voie que j'avais choisie, je fréquente d'ailleurs des tribunaux, depuis des années. La contribution de Aurélie Fillod-Chabaud pour ce collectif aux PUR s'étend justement sur des théories d'une association « de défense des droits des pères » pour laquelle aurait probablement pu parler ou plaider Me Axel Metzker ; en tous cas, Aurélie Fillod-Chabaud nous parle bien de théories d'un complot #genre qui serait « matricenté »...
J’oublie « Faire justice soi-même », ou ces théories farfelues et les développements sur la « vengeance » pour en revenir à mes propres crimes, théorisés il y a longtemps, par Sade, par Sartre... J'oublie à nouveau ces « pères grues » ou leurs milieux et soutiens pour noter également que l'avocat Hubert Delarue a été mis en examen pour « usage de faux ». « C’est une offense à la justice ! », s’est-il emporté. Un faux, donc ; « Mais comment pouvais-je le savoir ? », s'est indigné cet avocat. Il a reçu le soutien de l’association des pénalistes, qui ont communiqué : « L’avocat auquel des pièces sont remises ne peut être tenu personnellement responsable de leur authenticité ». Ils devraient encore s'exprimer, ce lundi ; je suppose qu'ils vont « résister », « se défendre ». C'est à l'aide juridictionnelle que les #avocats n'ont jamais le temps, ou c'est toujours ? Puis-je en conclure déjà que les #avocats ne font que brasser du vent autour de pièces qui leurs sont communiquées ? Et que font les juges de ces pièces et argumentaires ?
En mai 2014, il me parvenait donc copie d'une requête de Cedric Giancecchi, un généraliste bien implanté dans le secteur de Metz. En le lisant, j'ai rapidement compris que le juge aux affaires familiales ou le JAF de #Metz allait être extrêmement tolérant, qu'il accepterait toutes sortes d'insanités et d'outrances à ce dossier, une demande de pension alimentaire que lui présentait ma fille aînée, une majeure. Par deux fois, le JAF de Metz me l'a depuis confirmé ; ce JAF ne souhaite ou ne peut pas appliquer les textes relatifs à la liberté d'expression dans les prétoires, manifestement celui relatif à la suppression d'écritures non plus ; le JAF envisage de se déclarer incompétent, c'est ce qu'il m'a dit, ce 13 mars, et de considérer simplement que la contestation des écritures de Cédric Giancecchi relèverait exclusivement du pénal ; je note bien cette opinion ou position, pour une éventuelle suite de cette procédure, tel que l'appel... Interrompre le cours de la procédure civile pour agir préalablement au pénal était une stratégie qui ne m'intéressait pas ; trop long, trop coûteux, et surtout, tellement trop hasardeux, sinon susceptible de me renvoyer tout simplement vers le JAF et au civil, déjà saisi.
Dès juin, je répondais à Giancecchi, en communiquant des observations. En août, il me parvenait une « courte réplique » qui m'a permis de mieux cerner ce qu'il avait dans le ventre et dans son encrier. Dès l'été 2014, je choisissais de traîner Giancecchi sur d'autres terrains ou la voie qu'il avait retenue, celle de la diffamation non publique, auprès du JAF. J'ai donc rédigé des écrits et rassemblé des pièces que je versais au dossier du JAF tout en faisant parvenir copie de tout ou partie à d'autres destinataires. De la diffamation non publique auprès du JAF, nous glissions dans le champ plus confus et vaste de la diffamation publique et non publique. C'était une bonne idée ou stratégie, qui semble avoir porté des fruits ; ce 13 mars, à l'audience, j'apprenais en tout cas que Giancecchi a déposé son mandat car je l'avais « personnellement mis en cause » ; après mes écrits, discours et publications, donc. Je vais le laisser se dépatouiller avec l'Ordre des avocats et le parquet général de Metz, avec le Ministre de la justice et le Républicain Lorrain aussi ; il pourra leurs expliquer que mes critiques étaient assez sérieuses pour qu'il se retire, mais trop peu pour qu'ils s'y penchent ? Il s'est retiré de l'affaire, mais il restent les écritures de Giancecchi, des affabulations, palabres, grossièretés et calomnies, toujours au dossier du JAF ; je vais me concentrer au fond, sur la « demande » de ma fille aînée, qu'elle a maintenue.
Ce 13 mars, pour l'audience, je pensais arriver seul ; la procédure aurait pu s’éteindre. Lorsque le JAF a appelé l'affaire, une avocate est apparue et s'est constituée pour la requérante, ma fille aînée. Ca m'arrange ; j'aurais été ennuyé si la requérante s'était représentée en personne, je préfère qu'elle soit assistée par des « professionnels » ; quelle que soit l'issue de cette affaire, personne ne pourra me lancer que la requérante était ou finissait dépourvue. La suite pourrait maintenant se révéler assez simple. Ce 13 mars, à l'audience, la requérante a reformulé une « demande » très légère, de 600€ de pension alimentaire, mais sans rien exposer de sa situation personnelle actuelle et récente, ou ce qui contribuerait aux motivations d'un jugement qui lui serait favorable. Dans une correspondance de fin janvier, je parlais déjà d'un abus de droit... De surcroît, il y a eu adoption simple, de fait, par les époux Clementz ; j'estime que si une telle « demande » de 600€ pouvait être justifiée, elle serait à soumettre en premier à sa famille maternelle, à ces époux... Je vais attendre maintenant le délibéré du JAF, qui doit être rendu le 29 mai prochain.
Au sortir du prétoire, j'avais très soif. J'ai d'abord déambulé dans Metz, à la recherche d'un distributeur. J'ai trouvé un DAB rue Serpenoise, où je me suis installé en terrasse d'un café... face au Républicain Lorrain ! Je n'avais pas prévu de reparler à des journalistes ; ils ont toujours d'autres choses à nous exposer. J'en ai finalement rappelé un, puis j'en ai profité pour visiter et pour discuter également avec un journaliste de la rédaction de la rue Serpenoise. Le Républicain Lorrain est Charlie, mais sa rédaction ne jouit pas des mêmes protections, on y entre comme dans un moulin...
Le premier journaliste est susceptible de publier un papier sur « les difficultés des pères », vers fin mai ; je lui ai rappelé l'article récent de Causette #52, « les pères ont les boules », à quoi j'ajoutais « et la bourse ». Au second, j'ai également exposé toutes les difficultés auxquelles les membres de ma famille et moi-même avons été confronté au cours des années passées ; il a été surpris ou déçu car je ne recherche pas à renouer avec ma fille aînée ; il s'attendait peut-être à recevoir un papa en larmes et désespéré, sujet certainement vendeur... Si des journalistes souhaitent produire des papiers pour faire bien chialer dans les chaumières, je leurs suggérerais de contacter plutôt Valérie Dubois ou Mathilde X - qui ne m'a pas répondu. Je n'entretiens pas de relations avec des primitifs, des obscurantistes, des affabulateurs, des déséquilibrés, des fragiles, des réacs, et je n'envisage pas de rétablir une relation avec ma fille aînée, si mal éduquée, très mal élevée par des magistrats, des travailleurs sociaux, sa famille maternelle, et de surcroît, vraiment mal représentée ou défendue par des avocats. Par le passé, tout en m'intimant de tourner la page, d'en faire le deuil, ces derniers se sont obstinés, acharnés, et ont rompu, anéanti cette relation ; aujourd'hui et pour longtemps encore, j'ai mieux à faire que de « réparer » ou rétablir une relation sur fond d'un tel et lourd passif ; s'y est ajouté cette « demande » de pension alimentaire, peut-être une sorte de « peine complémentaire » après des années « d'assistance éducative »...
Je pense avoir vraiment mieux à faire de mon temps libre. Au café, rue Serpenoise, le hasard m'a fait discuter un long moment aussi avec Joseph - Jo pour les intimes. Il se plaignait de la psychiatrie, m'expliquait que depuis 35 ans, il subissait le tourniquet ou les tourments des permissions, fugues, périodes de libertés et d'enfermement, qu'il en a marre. Il m'a parlé de son traitement, trop lourd, disait-il, qui lui est injecté s'il le refuse. Il contestait le diagnostic des psychiatres, qu'il estimait de plus en plus et anormalement chargé après toutes ces années. Il a ajouté qu'il finirait par réagir violemment, même si ce n'est pas du tout ce qu'il souhaite ; puis nous avons parlé de l'UMD, ce trou du cul ou le bout du monde de l'univers carcéral, de ce qu'il encourt s'il dérape. J'ai suggéré à Jo de se rapprocher d'une association, il en existe de sérieuses, mais il n'a pas Internet, pour des recherches ou lectures... Je lui ai expliqué qu'une fois enfermé, il pourrait saisir le juge des libertés, et avec un avocat, pour commencer, demander une contre expertise psychiatrique. Le juge des libertés, il en avait entendu parler ; « c'est nouveau », disait Jo.
Chez le JAF, à Metz, pour l'audience de ce 13 mars, il ne s'agissait que de tourisme. J'y passais les mains dans les poches, équipé pour la route, rien dans mon sac (sauf savon, rasoir - électrique - et graisse à chaine), principalement pour soutenir mes propres écrits, pour écouter ainsi que pour discuter, ou pour réagir aussi, lorsque nécessaire. J'ai surtout profité de deux beaux jours à moto ; à l'aller, via la Lorraine, puis au retour, via les Ardennes ; le soleil et quelques gros moucherons était de la promenade ; mais vivement qu'arrive le printemps, pour des températures moins mordantes.
Une petite pause, et ça continue. Par ici, on respire mieux qu'au TGI de #Metz :-) pic.twitter.com/8FzjiL1fLK
— Bruno Kant (@bkant) 13 Mars 2015
Départ de Lili : « en une heure tout était fini »
Ils sont bizarres, ces journalistes, la télévision aussi. Depuis des années, la presse et les journaux sont truffés d'allégations susceptibles d'embarrasser des rédactions, susceptibles de leurs valoir des procès. Qu'est-ce que j'expose de si particulier pour qu'ils soient toujours à ce point frileux et réticents lorsque je m'adresse à eux ?
Récemment et après avoir longuement discuté avec lui, un journaliste m'avait suggéré de lui faire parvenir la décision que rendra le JAF de #Metz, après mi-mars. J'en suis à me dire que je ne la lui communiquerais probablement pas. A quoi bon faire un tel effort et gaspiller encore le coût d'un affranchissement ? Je venais de lui faire parvenir un ensemble d'éléments, des développements sur plus de 15 ans, avec de très nombreuses références à des décisions rendus par des tribunaux, par des cours d'appel ainsi que par la cour de cassation. Lui faudrait-il encore du papier...
Je vais utiliser mes enveloppes et mes timbres pour d'autres choses. Il faut que j'écrive à nouveau au JAF de #Metz. En novembre dernier, il m'a demandé quelques documents pour son dossier. Je veux l'informer que ça ne suivra pas.
« Lili revera sa maman dans 15 ans où au bon vouloir du papa », peut-on lire sur Facebook... Patience. 15 ans, ça va finir par passer ; vite. C'est à peu près ce qu'on m'avait lâché, vers 2005. « Et alors ? Vous la retrouverez plus tard. Elle est avec sa famille maternelle, c'est bien. Elle reviendra vers vous lorsqu'elle sera majeure. »
De source Facebook, la page ou communauté Protégeons la petite LILI
De source Facebook, la page ou communauté Protégeons la petite LILI
Colère à la rédaction de @Midilibre
« Possible risque de poursuites en diffamation... » #Mouahaha quelle #presse ! J'ai souvent eu le sentiment que jamais aucun journaliste ne « dévoilera » plus quoi que ce soit de ce que j'ai exposé dans ce blog. Ce qui m'a été dit récemment, au téléphone, alors que je reparlais de #Metz et beaucoup du passé n'a fait que renforcer cette impression
Extrait de source le Monde avec AFP, mis à jour le 20.02.2015 à 23h26
Encore un ?
Je parcoure toujours occasionnellement #Puteaux, comme d'autres hastags. Je viens d'y lire que Christophe Grébert est à nouveau convoqué pour un petit délit de presse, d'opinion ou d'opposition. Enfin, c'est ce qu'il est possible d'y saisir. Depuis le temps qu'on nous dit qu'on ne devrait ni bloguer, ni tweeter... ou que c'est parfois risqué
Publié sur Google drive, on trouve ce qui semble être des « conclusions participatives » pour l'audience à suivre, auprès de la 17ième du Palais de justice de Paris : « Cette plainte », voir l'extrait d'un document à la suite, « détourne par ailleurs de son objectif la loi sur la Presse, car au lieu de défendre la liberté d’expression, il s’agit ici de faire taire un opposant », Christophe Grébert, donc, « et de produire de la censure sur internet. » On dirait que certains n'ont toujours pas assimilé que la liberté d'expression a des limites, et qu'il vaut mieux ne pas s'aventurer trop autour des lignes jaunes... Selon l'un de ses tweets, il envisagerait même un « procès collaboratif ». Selon monputeaux.com, il envisagerait également de se défendre en personne. Bon courage ; et surtout, bonne chance, j'ai le sentiment qu'il lui en faudra.
Repéré via Twitter
« Si la nouvelle est fausse sur internet, c'est la faute aux médias »
Je n'irais pas vérifier l'information telle que rapportée par AFP, plus bas, au sujet des médias des USA. J'ai déjà suffisamment d'occupations avec d'autres bruits, ragots, rumeurs et informations propagées par les français, sur les réseaux, ainsi que par leurs journaux, leurs médias des plus officiels et traditionnels.
J'attends toujours qu'on nous en dise un plus après la « garde à vue » de Ulcan, en octobre dernier. J'attends aussi de découvrir quelle suite a été donnée à une plainte déposée en mai 2013, au TGI de Nanterre ; je suis persuadé que je pourrais encore bien en rire. Je rigole très fréquemment. Je doute que le Parisien ait publié un petit errata suite à la parution d'un article sur les enfants placés, en octobre dernier... Je rigolerais longtemps encore de la façon dont une « source policière » ainsi que d'autres ont enfumé les réseaux, AFP, puis toute la presse, en mars 2013 ; à l'époque, au printemps 2013, j'avais insisté et essayé de faire paraitre un démenti de la rumeur, en vain
Depuis mai 2014, je reste également souvent assez occupé par une ultime petite affaire, à Metz, ainsi que par un « avocat » de là bas, Cédric Giancecchi. Après beaucoup d'insistance, j'ai pu enfin en discuter avec un journaliste, un vrai, ayant une expérience ou d'assez bonnes connaissances dans le domaine judiciaire. Ce journaliste a fini par me demander ce qu'il pourrait m'apporter ; je lui ai répondu « rien », que je me débrouille, que j'ai mes propres moyens, un blog, Twitter, les réseaux... Il semblait surtout réticent et pourrait maintenant attendre que le TGI de Metz rende un jugement, tranche, ce qui devra suivre après mars prochain. La « diffamation » dans ce que j'expose semble l'inquiéter ; évidemment, si ce journaliste publiait un papier trop peu ou mal fouillé, ou pire, très déséquilibré, lui et son canard s'exposeraient à des risques de poursuites ; je lui ai répondu que c'est un risque que j'encours moi-même et que j'assume déjà ; depuis quelques temps, je surveille d'ailleurs à nouveau assez bien ma boite aux lettres ; depuis le printemps dernier, il ne m'est parvenu aucune lettre concernant mes publications, elles semblent être toutes acceptées, en l'état. La dernière fois qu'il m'est parvenu un appel ou un mail puis un petit papier, il me semble que c'était pour un billet d'août 2011.
Ecrire et publier tout en agissant ou en me défendant dans les tribunaux est un jeu que j'ai appris à maitriser il y a très longtemps déjà. Giancecchi affabulait, calomniait dans des écritures qu'il a envoyé au JAF de Metz ; j'aurais très bien pu me contenter de lui répondre en n'écrivant moi-même qu'au JAF de Metz ; il m'avait semblé plus intéressant et opportun de répondre à Giancecchi par des correspondances envoyées ici et là, dont au JAF de Metz, puis d'en publier des pans entiers, sur Internet. Le journaliste avec lequel j'ai pu discuter assez sérieusement n'a donc pas souhaité traiter le sujet, pas pour le moment en tout cas ; tant pis ; il aurait pu nous rapporter le point de vue de Cédric Giancecchi ; nous aurions surtout pu reparler beaucoup d'« assistance éducative », sur près de 10 ans, de suites également. Et si dans ce que je publie, dévoile, exprime, des informations paraissent erronées, inexactes ou insuffisantes, ce ne sera pas de mon fait, mais du fait des médias, qui n'auront pour une ultime fois donné aucune suite à mes nombreux appels
Médias, internet, USA
Si la nouvelle est fausse sur internet, c'est la faute aux médias
15 fév 2015, Mise à jour 15.02.2015 à 08:30, TV5 Monde
Par Rob Lever, AFP, dans Accueil, Média
C'est la vérité. Il ne faut pas croire tout ce qu'on lit sur internet et de nombreux organes de presse en ligne manquent souvent de rigueur, contribuant, selon une étude américaine, à répandre des rumeurs.
"Plutôt que de jouer le rôle de source d'une information exacte, de nombreux médias en ligne contribuent à la désinformation pour générer plus de passages et d'intérêt", indique l'étude "Lies, Damn Lies and Viral Content" (Mensonges, satanés mensonges et contenu viral).
Les organes de presse ont toujours dû s'attaquer à des informations non vérifiées mais certains sites accélèrent la diffusion d'informations fausses, ajoute l'étude dirigée par Craig Silverman au Tow Center for Digital Journalism de l'université Columbia.
"De nombreux sites ne vérifient pas ou très peu les informations qu'ils répandent. A la place, ils relient leur article à un autre média qui lui-même cite d'autres médias", indique l'étude.
D'une petite lettre au JAF de Metz
Ce qui suit, d'une correspondance, est déjà parvenu à ses divers destinataires, dont le juge aux affaires familiales de Metz, un ministre, le parquet... Je m'en fous, moi, du qu'en dira-t-on. Je n'ai ni carrière ni boutique dans ces milieux
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Il existerait bien des avocats bizarres
Par le passé, j'en cherchais des définitions officielles. En France, je n'en avais pas trouvé. Il m'avait fallu fouiller sur la toile pour trouver une définition « traditionnelle » d'un bavard « véreux » ; pour Eben Moglen, professeur de droit et d'histoire du droit à l'école de droit de Columbia, il s'agirait d'un « juriste qui, quand la loi est contre lui, martèle les faits ; quand les faits sont contre lui, martèle la loi ; et quand les faits et la loi sont tous deux contre lui, il martèle du poing sur la table ». Voir sur www.gnu.org. Fouillant beaucoup, j'avais aussi trouvé des définitions du quérulent et du procédurier.
Je viens de trouver celle du « baveux », dans le blog de Maître Bogucki : « systématiquement dit n'importe quoi juridiquement », et « qu'importe » si le juge le reprend. « Et sur les faits, itou », poursuit Me Bogucki. « Il nie tout en bloc, n'hésitant pas à se montrer insultant pour le client de la partie adverse, quelle importance... Il n'a pas lu les pièces, n'a pas communiqué de document, peu importe, il clame. Ses demandes financières sont hallucinantes, aucune dépense n'est justifiée, et alors... » Me Bogucki ajoute que « elle est sortie écoeurée, un client en larme à ses côtés ». Pour l'avoir parfois subit et parfois vu, je ne doute pas que ce genre « d'avocat », de procédés ou de supplice peut ébranler la partie adverse. Le premier commentaire que lui adressait Valois, anonyme, peut faire autant rire ou peut glacer. « Parfois les grandes déclamations de tel avocat, même dénuées de tout soupçon, de preuve l'emportent... » Il resterait alors à faire appel ou plus, lorsque c'est possible, envisageable, utile, à croiser encore les doigts, à faire une fois de plus confiance...
Moi, je n'y crois plus, depuis longtemps. Et des tribunaux, je n'en attends plus que du papier noircit et tamponné ; d'après des rumeurs, ce genre de documents font autorité, une autorité qui s'imposerait à tous... Depuis la semaine passée, j'ai beaucoup réfléchit à ce qui s'est dit, à Metz, et encore réfléchit à ce qu'y a versé Cédric Giancecchi, une requête, puis une « courte réplique », ses conclusions. Par le passé, je n'hésitais plus à taxer les juges de la cour d'appel de Versailles de mythographes ; c'était vers fin octobre 2008 ; depuis, la cour de cassation m'a donc rendu deux arrêt favorables, très bien motivés ; puis plus tard, une chambre civile et le parquet général de Versailles devaient encore plier avec ce que je leurs présentais... entre temps, vers 2008-2009, le juge pour enfant de Nanterre finissait par plier ou changer, lui aussi. Je pense que c'est difficile à comprendre quand on ne connait pas ces sphères ; il me semble que près de 60% des français n'ont jamais connus les tribunaux ; courage à ceux qui s'y rendront alors qu'y accéder n'est pas toujours très aisé !
Les Français ne croient pas en la justice
Par Le Figaro.fr avec AFP
Mis à jour le 16/02/2014 à 09:16
Publié le 16/02/2014 à 08:20, extrait
À la question, "Estimez-vous qu'en France la justice fonctionne globalement...?", 75% des sondés répondent "mal", 24% répondent "bien", selon un sondage BVA pour Le Parisien Dimanche. "un niveau de défiance jamais atteint depuis 1962 et les premières enquêtes sur ce thème", précise le journal.
« Il faut y croire, faire confiance, espérer ! » Ce genre de déclarations comme ces jeux du cirque et ces histoires finissent par me lasser. « Il vous faut un avocat ! » Vite dit. D'abord, ça peut coûter lorsqu'on est pas à l'aide juridictionnelle, puis ensuite, tout dépend beaucoup des juges ainsi que de tous ou tout ce qui s'exprime encore à ces audiences, dont la partie adverse et ses bavards. Mythographes, écrivais-je par le passé, et bien plus. Je n'hésitais pas à parler de sauvagerie judiciaire. En mai 2008, au cours d'une audience, un substitut m'expliquait que la diffamation, ça allait ; pour le moment, ça semble aller toujours. On est encore assez libre d'exprimer des opinions (Internet, correspondances...) ; dans les prétoires, même si la parole ou les écritures devraient y être un peu plus libres, ça reste beaucoup moins vrai.
Je pense avoir toujours été suffisamment prudent lorsque je m'exprimais, en public comme ailleurs. Même lorsque certaines de mes déclarations, publications ou écritures pouvaient sembler excessives. Personne ne m'a d'ailleurs fait de remarques sérieuses depuis des lustres. Quelques remarques plus ou moins fondées suivront peut-être prochainement, à l'issue d'une sorte de huis-clos en présence d'un petit public, à Metz ? L'avenir nous le dira. Là bas, pour le moment, les quelques débats ont eu cours hors la chambre du conseil, un détail qui m’embarrasse ou qui m'arrange, c'est selon. Ca m'embarrasse, pour la partie adverse, la requérante. Mais comme à Metz, les débats ont été publics jusqu'ici, ça m'arrange ; personne ne me fera le reproche d'avoir dévoilé quelques éléments... Diffamer, c'est mal, mentir, ce serait pire, calomnier, ce serait inacceptable. Faire face à quelqu'un qui raconte n'importe, qui dit, qui explique, sans preuves, qui affabule, sans jamais devoir démontrer ou justifier quoi que ce soit, puis qui emportera la conviction du juge, c'est terrible.
Je veux le faire sanctionner, cet avocat de #Metz, et je vais y arriver
https://t.co/SkHZ6IMgFx #avocats pic.twitter.com/2pBkKF5CsX
— Bruno Kant (@bkant) 18 Novembre 2014
Sur la toile, quelques uns semblent assez convaincants et convaincus, que l'article 41 de la loi sur la liberté de la presse pourrait s'appliquer chez le JAF. Mais à Metz, ce 15 courant, au cours de débats (pourtant publics, en présence d'un public et portes ouvertes !), le JAF m'a dit que non - voir mon billet à ce sujet. Depuis, j'ai fouillé d'avantage le sujet sans avoir trouvé une réponse limpide, définitive, ferme. J'ai l'impression que l'article 41 ne pourrait pas s'appliquer car les débats chez le JAF doivent avoir cours en chambre du conseil, que toute publicité de ceux-ci est interdite, pour ne pas porter atteinte à la vie privée des partis, notamment des mineurs, ou même des adultes, lorsqu'il est question d'obligations d'entretien ou de pensions. Pour exclure l'application du droit de la presse ou de la liberté d'expression, j'ai le sentiment qu'en France, depuis 2004, on peut se référer à l'article 1074 du code de procédure civile, à son alinéa 1 : « Les demandes sont formées, instruites et jugées en chambre du conseil, sauf disposition contraire. » Je n'ai pas trouvé plus précis.
Au Luxembourg, l'article 452 du code pénal semble être l'équivalent de notre article 41. Et là bas, c'est une jurisprudence de 1935 qui éclaire ; celle-ci parait nous dire que les calomniateurs et autres piafs y sont spécialement couverts lorsque les affaires ou les procès concernent des mineurs. Je crois que leur jurisprudence ou leur doctrine nous explique surtout que ces prétoires très à l'écart des indiscrets, du public, en sont de vrais, que les juges et partis pourront y faire un très soigneux tri entre le vrai, le n'importe quoi et le faux ; que donc, les droits qui s'appliquent aux tribunaux, à ces écrits et discours, y sont inutiles... En France, une opinion de 1935 nous éclairera à mon avis pas mal bien également :
En France, on retombe d'une certaine façon aussi en 1935 http://t.co/Zu2rgP7S7n (Loi n° 82-506 du 15 juin 1982) pic.twitter.com/Ycmocusxfk
— Bruno Kant (@bkant) 19 Novembre 2014
Depuis peu, c'est à pire que quelqu'un qui raconterait vraiment n'importe quoi que je me retrouve confronté. Ca me rappelle assez la figure du mythographe. Cédric Giancecchi a très largement dépassé les bornes de l'acceptable et il est exclu que je me laisse faire ; cet « avocat » l'aura peut-être bien compris lorsqu'il a reçu ma lettre du 5 novembre ? Il est insupportable, excessif et lapidaire dans ses écritures ; en réponse, je resterais encore modéré. Et tant pis si ça heurte ou choque ; en retour, tout de même, je n'hésiterais plus à parler d'un faurisson.
Ca changera à peine, après toutes ces années « d'assistance éducative »... Est-ce que ça se contre, un faurisson, une espèce d'historien étrange affublé d'une robe noire et d'un paravent ? Pas idée. Ca dépendra beaucoup du JAF, puis très certainement de la cour d'appel de Metz également. Mais en rappelant un peu l'esprit de plusieurs lois et conventions qui s'appliquent en matière de liberté d'expression, d'abus, de respect, de responsabilités, ainsi qu'en matière de droit à la vie privée et à la vie familiale, j'ai le sentiment qu'un argumentaire assez sérieux, simple et limpide, pourrait être développé.
Permettre à un bavard de récrire ma vie privée et plus, sur 20 à 30 ans, dans l'intérêt d'autrui ? Il rêve, Giancecchi
Je cherche toujours. Ce sont des idées qui nous arrivent de loin :-) pic.twitter.com/NbyD32pFVl
— Bruno Kant (@bkant) 19 Novembre 2014
Encore une lettre pour #Metz
Je ne suis pas sûr qu'on me comprenne ou qu'on me reçoive très bien, à Metz, dans le prétoire ou ces alentours. Là bas, il semblerait que juges et avocats connaissent surtout l'article 205 du code civil, des obligations du mariage ; j'ai déjà dû pousser un peu pour que Cédric Giancecchi revoie le fondement de sa requête d'avril dernier, et pour qu'il la formule sur la base de l'article 371-2, de l'autorité parentale, plutôt que sur l'article 205. J'ai poussé par soucis, pour la suite, car je ne souhaiterais pas qu'il suive un jour cassation sur un insignifiant détail de droit. Et car j'aimerais bien qu'au cours de cette procédure ou ultime procès, chacun s'efforce de respecter un tant soit peu le passé, l'histoire et la vie privée.
J'écris encore à Cédric Giancecchi. Je ne voudrais pas qu'en mars prochain quelqu'un me lance que je ne communique toujours que mal, insuffisamment, peu spontanément ou même trop tardivement. D'ici là, mars, cet avocat trouvera peut-être le temps de mieux me lire, de relire un peu aussi ses codes. D'ici là, mes lecteurs d'ici saisiront aussi un peu mieux de quoi il en retourne, pourquoi je rouspète encore un peu partout, ou de quoi je me plains aujourd'hui
Renvoi, au 13 mars
Je suis rentré de Metz dubitatif et un peu remonté. J'ai fait tout mon trajet retour en repensant au déroulement de l'audience, ce 15 courant, en pensant aussi à la façon dont je pourrais réagir encore. Une fois chez moi, j'ai approfondi mes recherches et lectures, puis j'ai décidé que j'écrirais encore au juge aux affaires familiales de Metz.
J'ai cru y reconnaitre une sorte de justice d'abatage, d'abatage de troupeaux ou de masses, où il semble vain pour la défense d'avancer quoi que ce soit, et j'ai eu le sentiment qu'à l'issue de la procédure en cours, je finirais condamné, sanctionné d'office. Ce ne serait pas très différent des pratiques ou des usages que j'ai connu au cours des années passées, alors que j'étais contraint de me défendre chez le juge pour enfant de Nanterre - lorsque moi et mon avocat n'étions pas simplement et fermement contraints de nous taire, intimés d'accepter ce qui se disait, puis d'accepter la décision du juge, sans jamais rien exprimer ni surtout contester, pas même faire appel.
Comme en juin dernier, ce vendredi, la requérante et son conseil, Cédric Giancecchi, un avocat de Metz, n'étaient pas à l'audience ; ils étaient représentés par un autre avocat, un paravent, qui peut épargner les audiences ou débats aux deux autres. Ca m'a aussi bien fait repenser à l'assistance éducative et ses flots de calomnies, d'écritures lapidaires ou autoritaires très longtemps versés par beaucoup au dossier de ma fille ainée. Mais chez le JAF, c'est assez différent ; je peux obtenir des pièces et les écritures de la partie adverse, les étudier, puis répondre. Je ne serais peut-être pas entendu ni suivi, sur aucun point ; mais à ce stade de la procédure, je m'en fous ; depuis qu'il m'est parvenu une requête, en mai dernier, j'approfondis le sujet de ces obligations et j'alimente le dossier, en prévision de l'appel et de la suite.
Ce vendredi, le juge a un moment souhaité en finir avec ce dossier, délibérer, statuer prochainement. Le paravent me réclamait des pièces, de simples justificatifs de mes revenus ; il était envisagé que je les communique en cours de délibéré. J'ai pour ma part réclamé un renvoi, car la requérante et Cédric Giancecchi étaient absents ; je n'ai toujours aperçu ce dernier que dans les couloirs du tribunal de Metz... Puis le juge a donc décidé d'un renvoi au 13 mars prochain, m'intimant de communiquer d'ici là les pièces réclamées par la partie adverse, me disant que l'article 9 du code civil ne pourrait pas me protéger. J'ai l'habitude de n'avoir aucun ou que très peu de droits dans ces espaces, les prétoires, tout comme j'ai pu avoir l'habitude d'y voir mes plus proches, ma famille, mes enfants, régulièrement et systématiquement spoliés de leurs droits, pendant des années ; ce 15 courant, à Metz, chez le JAF, rien ne m'a donc fait chaud ou froid.
Après quelques années à « l'ASE », ces services très bien dépeints par Riguet #LMEF et Laine, puis une période au cours de laquelle elle a semblé être indépendante, autonome, ma fille ainée a saisi un tribunal et réclame une pension alimentaire. Et aujourd'hui, tout reprend donc un peu comme par le passé, dans le parfait déni de l'histoire, de ce même passé, que Cédric Giancecchi s'est occupé de reécrire tout en refusant explicitement le principe du contradictoire. Il me semble que j'avais pourtant bien prévenu cet avocat que je ne me laisserais plus ni faire ni intimider d'aucune façon par pareils procédés indignes, déloyaux. Je parle encore de ma fille ainée... je pense que c'est bien elle qui me fait maintenant visiter parfois Metz, qu'il n'y a pas à en douter, même si en mars 2013, elle reniait publiquement sa filiation.
Dans la lettre, à la suite, je cite Dalloz. Ce juge là doit aussi se placer au moment ou il statue ?
Lettre à un avocat qui réclame l'aide juridictionnelle
J'ai lu qu'en ce moment, des avocat sont en grève ou protestent, rouspètent, qu'ils attendent encore une réévaluation, une réforme de l'aide juridictionnelle, et qu'ils excluent d'y contribuer. Par le passé, ma fille ainée était représentée par Delphine Roughol, à l'aide juridictionnelle ; j'ai souvent eu à me plaindre de cette avocate, y compris lorsqu'elle négociait ses honoraires dans le cadre d'un référé suspension, qu'elle parasitait plus globalement la procédure. Puis aujourd'hui, j'en suis donc à me plaindre de Cédric Giancecchi, avocat aussi ; dans mes conclusions que je viens de communiquer récemment, je demande d'ailleurs même qu'il soit condamné. Cet avocat sera peut-être aussi à l'aide juridictionnelle. Le ministère de la justice a-t-il envisagé de ponctionner, de faire les poches des avocats trop légers pour alimenter le fonds de l'aide juridictionnelle ? Il pourrait s'agir d'une bonne piste à explorer. Lorsqu'un citoyen commet des infractions au code de la route, il paye bien des amendes, perd des points, peut suivre des stages de récupérations de points... Un permis à point éclaire, il y a ceux qui en ont quasi ou toujours 12 et les autres.
Je pense que ma lettre, à la suite, à l'attention de Cédric Giancecchi, est assez limpide. Sur Twitter, son troll détector aurait évidemment clignoté ; aurait pu y suivre un clash, un BL, un bloquage. Il n'y aura pas de BL possible ; ce 14 novembre, Cédric Giancecchi devrait être au prétoire, chez le JAF de Metz ; je l'y attendrais en tous cas.
Inutile de me dire ou de m'expliquer qu'on ne peut pas récuser l'avocat d'une partie adverse ; j'ai déjà discuté de cela avec le parquet de la cour d'appel de Versailles, en 2009, au cours d'une audience. Et s'il n'existe pas de telles procédures, il est toujours possible de parler de ce sujet, de critiquer un avocat, ses méthodes, ses écritures, ses allégation, l'avocat général en avait bien convenu. J'ai l'impression que Cédric Giancecchi ne souhaitera pas entendre parler de protection de l'enfance, de dysfonctionnements sérieux de la justice non plus ; j'attendrais cependant de cet avocat qu'il fasse l'effort, qu'il me laisse plaider moi-même comme bon me semblera, que M. Gianchecchi ne m'intimera pas de me taire, lui aussi. Ah, cette loi du silence, qui ne serait qu'un mythe, mais qui s'exerce pourtant un peu partout dans ces milieux...
Sur son site Internet, Cédric Gianchecchi affiche plus de 15 ans d'expérience. Il semble être généraliste, plutôt pénaliste, avec une expérience en droit de la famille, en assistance éducative également. Je n'ai pas remarqué qu'il aurait une expérience en droit de la presse. J'ai moi-même plus de 15 ans d'expérience dans des tribunaux, particulièrement longue en assistance éducative, en droit de la famille aussi. J'ai mon blog et je publie sur Internet depuis plus de 10 ans. Fin 2011, j'avais eu « l'opportunité » de me défendre contre Agathe Cordelier, qui s'affichait experte en droit de la famille ; elle a perdu. En 2008, un magistrat professionnel, Xavier Serrier, se défendait contre moi, en personne, auprès de la cour de cassation ; la SCP Ancel et Couturier-Heller (aujourd'hui Meier-Bourdeau Lécuyer) a perdu. Tout début 2011, deux juges des tutelles finissaient désavoués et l'étude de notaire de Charles Halter à Saint Avold se prenait un bon vent ; je me défendais encore en personne ; je découvre que depuis, il y a eu du changement, à Saint-Avold... Je ne suis maintenant plus qu'impatient d'être à l'audience, ce vendredi, puis de lire ce que nous rendra ensuite le JAF de Metz.
Environ 15 ans que ça dure, et plus de 10 ans pendant lesquels quelques uns m'ont fait franchement chier ; ça ne semble plus près de s'interrompre, même si on m'annonçait la quille, fin 2009. J'aimerai bien qu'un jour le ministère public et des magistrats m'expliquent à quoi tout cela rimait, quel sens il faut y donner. On me fournira peut être des explications au cours de cette ultime procédure auprès d'un JAF, procédure qui s'inscrit dans le prolongement de beaucoup d'autres.